Bruyante ou silencieuse ?
(Un petit texte supplémentaire cette
semaine.)
D'après mes lectures, la plupart des
amateurs de la fessée sont sensibles à la sonorité liée à
l'acte. Et pour ma part je n'en fais pas exception. J'aime que cela
s'entende de loin et même si nous prenons toutes les disposition
possible pour ne pas nous donner en spectacle, il y a toujours une
petite tentation de rajouter du piquant, justement par le fait que
quelqu'un puisse y participer de manière auditive. Autant que je
suis indifférente que quelqu'un entende mes ébats amoureux avec mon
homme, autant je me découvre concernant mon pêché mignon cette
fausse pudeur qui cherche sa satisfaction par une intense honte sur
le mode :
On dirait que
t'as reçu une fessée, isabelle !
Rien que d'y penser j'ai déjà la
chair de poule. Si, si la honte est un motif plus que valable pour se
faire claquer le derrière. C'est un agréable moteur d’excitation
chez certaines personnes et qui peut voler facilement la vedette à
la sensation.
Donc
pour moi une de particulièrement sonore s'il vous plaît.
Fantasme assez basique à réaliser
d'ailleurs. Il suffit d'aller dans certains hôtels mal insonorisés
et quand je lis des récits de rencontre qui décrivent les émotions
féminines liées à la honte pour se déculotter et tendre leur
fesses à un monsieur plus ou moins inconnu, je me pose aussi la
question sur un éventuel exhibitionnisme de la sonorité. Cela ne
doit pas passer inaperçu quand comme marqué dans certains textes le
monsieur s'acharne avec passion pendant une heure ou deux sur le
postérieur de la dame.
Passons et regardons un peu plus loin
que les son qui émanent de la peau des fesses. Quand on rencontre un
monsieur que cela soit pour la vie ou pour une aventure, il se pose
vite la question de sa sensibilité à la « sonorité de la
dame ». Selon mes petites expérience certains messieurs
adorent pendant les galipettes les femmes bruyantes. On dirait même
que cela les déchaîne (évitons le mot dopage qui a très mauvaise
réputation) hors norme, tandis que d'autres se montrent plutôt
gênés, voir agacés. Étant pour ma part particulièrement
...impliquée, je ne passe pas inaperçue quand on s'occupe de moi.
Ni dans la vanille, ni quand on me remet vigoureusement à ma place.
Mais j'ai pu constater que les
messieurs qui aiment les bruitages au lit, comme par hasard, aiment
aussi la bonne correction accompagné de protestations, implorations,
cris etc de la dame...
Fidèle à mes habitudes je ne ne
manquerai pas un petit clin d’œil à la psychanalyse qui parle de
la résonance du coït parental entendu par l'enfant et qui enflamme
son imagination. Pour ma part c'est fort juste et dans ma théorie
enfantine j'ai associé ce genre de bruitage à … la fessée.
Je reviendrai demain à ce sujet avec un petit récit distractif !
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