mercredi 30 mars 2016

854 Les fesses rouges pour celle qui aguiche (Petite fiction ou non)

Arrête de m'aguicher, isabelle, sinon tu va te prendre une bonne fessée !

Par aguicher mon chéri entend une nudité intégrale ou partielle de ma part, mise en scène de manière particulièrement provocante ! Ma nudité au service de la séduction, censée de lui provoquer une excitation sexuelle. Généralement cela marche très bien. Il n'est contre les petits extras de la vie conjugale, seulement parfois quand j'aguiche comme il aime dire ce n'est pas le bon moment. Par exemple quand il a une surcharge de travail. Me voir en petite tenue, bougeant mes fesses devant son nez le déconcentre. For heureusement ! Cela prouve bien l’intérêt qu'il porte pour mon auguste personne.

Tu m'agaces, isabelle !

C'est sa conscience professionnelle qui parle. Puis chez certains hommes un petit stress n'est pas vraiment ce qu'il y a de mieux pour qu'il profitent pleinement de leur libido. Mon chéri en fait partie. Alors on peut se poser la question sur mon comportement.

Pourquoi cette isabelle emme...de ce brave homme quand il a besoin de se concentrer !

Voila l'impression qui est sortie à quasi unanimité en présentant cette situation avec beaucoup d'humour lors d'une joyeuse soirée au jugement de nos amis. J'ai même poussé le vice de répéter sa menace à mon encontre.

Ben, il aurait dû...

Subitement je me suis rendue compte combien de personnes me souhaitent une fessée parce qu'elles me trouvent un comportement de princesse capricieuse pour ne pas dire de « sale gamine ». Moi je dis qu'elles ne comprennent rien du tout. Voyons un peu le non-dit de cette histoire.

J'ai vu très vite au début de notre relation que mon chéri en cas de débordement professionnel pour se détendre avait besoin de pauses manuelles. Il laisse tout sur place pour aller bricoler un truc. Petite réparation par-ci ou par-là pour revenir ainsi ressourcé dans son bureau pour se jeter à nouveau avec une féroce énergie sur les impératifs de la vie.

C'est à une telle occasion qu'il est tombée un matin sur moi en train de faire la poussière... les fesses en l'air.

Un peu comme lui, j'ai besoin d'une activité pour me détendre quand je ne sais pas trop comment finir de m'habiller. En gros je suis déjà pomponnée, veut dire coiffée, maquillée, en sous-vêtements et bien souvent en chemiser ou petite laine. Manque encore le bas et vu que je porte quasi exclusivement des strings cela donne une impression de fesses nues. J'ai eu la mauvais idée de commencer à raconter mes malheurs vestimentaires à mon chéri, toute en lui tournant le dos et en continuant à bouger mon plumeau en digne reine de la poussière. Mettant tout mon désespoir dans mes paroles. En espace de dix minutes j'ai su agacer mon pauvre chéri pour de bon. Frappé par mon égoïsme sans bornes, il m'a menacée d'une fessée. Je ne me suis pas dégonflée et j'ai poussé le vice de le traiter de papy pervers (nous avons 16 ans de différence d'âge!) qui ne peux pas passer à côté d'un fessier féminin sans vouloir le taper. Bref mon chéri m'a chopée par la taille (j'adore mon mâle quand il prend l'initiative!), il m'a renversée sur ses genoux et à commencé à me donner une solide fessée. Sans se presser en savourant chaque claque. Cela a duré peut-être deux ou trois minutes, puis il m'a relâchée.

Voila qui fait du bien !

Puis il m'a laissée toute seule avec mes fesses rouges au milieu du salon. Ce jour-là il n'avait pas besoin de bricoler. Il a dû super bien travailler, car en fin de l'après-midi quand je l'ai revu, il était d'une excellente humeur. Idem pour ma part. J'avais grandement apprécié cette fessée à l'improviste, plutôt basée sur un prétexte, ce qui ne lui arrive quasiment jamais. Puis la chaleur dans mon bassin m'avait procuré des sensations de plus agréables. Ajoutons que mes plus vieux fantasmes tournent autour d'une punition pour abus de nudité, justement pour aguicher le monsieur. Depuis je sais comment détendre mon chéri quand son travail lui pèse.

Je l'aguiche effrontément... pendant sa pause !

lundi 28 mars 2016

853 Fessée en jeans moulant (Lundi cinéma)

Mon chéri adore me voir dans un jeans très moulant...

… et parfois cela semble aller de paire dans sa fantaisie avec une bonne fessée grand format. Malgré son dada de l'élégance traditionnelle de la jupe ou de la robe, un jeans très serré sur moi ne manque pas de lui faire un effet monstre. C'est plus fort que lui, mais il n'est pas fier de cette lubie fantasmatique qui contredit ses grandes théories sur la féminité d'antan. Pour ma part je suis vite pliée de rire quand il s'engage dans une croisade contre....

.tous ces vêtements qui ne permettent plus de distinguer les garçons des filles.

Dans ces moments j'aime me moquer de lui non simplement par mes mots, mais aussi en prenant des poses les plus indécentes pour lui prouver à quel point un jeans peut contribuer à la sexy attitude. Avec petit bonus en plus, rien que pour ses yeux, l'inévitable porte-jarretelles en dessous et dont les attaches se dessins copieusement au travers de l’épais tissu. Puis évidement mes hauts talons pour mettre mes formes en valeur. Grand moment de séduction qui me prouve qu'il ne saurait se soustraire à mes charmes.

Quand tu mes cherches, tu me trouves, isabelle !

J'y compte bien !

Non, ce n'est pas systématiquement la bonne fessée grand format sur ses genoux qui m'attend. Il se peut aussi que l'envie lui prend de me pencher sur son bureau pour un registre plutôt classique de vanille. Nous savons tous les deux parfaitement communiquer sur nos désirs de manière non verbale ce qui rend les situations particulièrement émoustillantes. Souvent c'est petit à petit que l'apothéose se prépare. Que ce soit pour l'une variante ou l'autre, mon chéri se réserve le plaisir de...

...déculotter sa garçonne pour vérifier si c'est bien une fille.

A cet instant je vois le petit garçon qu'il avait été et qui se lance hardiment à la découverte de la différence. Moment de grande émotion comme s'il s'agissait de dévoiler une sorte d'imposture de ma part. Puis défroquée et ainsi démasquée en petite pisseuse ou chialeuse, il me montrera comment font les vrais garçons. J'aime qu'il soit vigoureux dans un rapport classique. J'aime sa détermination quand il a envie de dévier des sentiers battus. J'aime quand il décide de me rappeler fermement à l'ordre par une solide fessée pour tout un enchaînement d'insolences et provocations que je sais pousser loin.

J'attends que tu me montres qui commande dans cette maison !

Ce qui veut dire en gros qui a le dernier mot dans notre intimité. Étant un peu païenne, la virilité décomplexée de mon mâle homme m'importe beaucoup.

Avec moi, tu vas pas être déçue, isabelle !

C'est vrai ! Et ceci sans me traiter sur l’oreiller de tous les noms, sans me considérer comme sa soumise, sans notion de propriété privée et sans afficher un comportement résolument machiste dans la vie de tous les jours.

Mes jeans, outre le confort et l'aspect pratique quand je les porte, sont une source inépuisable d'inspiration pour monsieur. Et visiblement j'en rajoute par mes gestes et mouvements pour lui donner envie de me faire la fête. Au point que cela n'échappe pas à la vigilance de mes proches. Comme a dit une fois ma maman :

Tu cherches quoi là exactement avec tous tes déhanchements, isabelle, que ton homme se jette sur toi ?

Ce n'étais pas « exactement » ce que je projetai ce jour-là, mais je n'ai pas jugé utile de préciser le fond de mon désir. Bref Monsieur « outré » de ma mise en spectacle devant la famille, n'a pas hésité de me rappeler à l'ordre plus tard à un moment opportun.

Comme s'il savait lire dans mes pensées...

vendredi 25 mars 2016

852 Liens de discipline domestique (210 ème édition)

Au menu cette semaine: Spécial Pâques !


Cela se passe à la campagne suédoise où habite un vieux Monsieur avec quatre dames qui pratiquent la discipline domestique. Ce jour-là les dames sont en train de préparer la traditionnelle fête de Pâques sous l'attentive surveillance du Monsieur. Personnage charismatique et de plus connu en son pays pour son travail de graphologie, sorte de « science » qui déduit « des caractéristiques psychologiques de la personnalité d’un individu à partir de l’observation de son écriture manuscrite ». Et visiblement les « arts de la main » dans leur sens large sont son dada. Il est également un spécialiste de la fessée, se servant de jeunes branches de bouleau pour une application sur les fesses de vilaines filles. Il fait partie du rituel de Pâques que les dames mettent la table les fesses à l'air. Puis il est temps d'organiser un grand feu de joie. Pour ce les dames ramassent des branches et le monsieur amène une par une dans la maison pour lui appliquer sa fessée de Pâques. Le froid dehors ayant bien refroidi les fessiers aide à mieux sortir les sensations. Notons que ce monsieur pionnier de la spankingthérapie (petit clip) a maintenant l'âge de 92 ans. Voilà qui explique la forte touche rétro de ses clips.

Je ne me prononce pas sur le bien-fondée de sa méthode, mais mon homme est déjà tout feu tout flamme pour l’adapter à notre manière pour fêter pâques (avec du retard) des que l' on se retrouvera en tête à tête. Et à vrai dire cette petite aventure au milieu de la vie quotidienne me tente bien aussi. Notons que cette jolie coutume semble se pratiquer entre filles aussi (petit clip). C'est ainsi que je découvre l'ambiance entre jeunes filles (petit clip) qui me rappelle un peu les séances de sauna avec mes copines quand mes parents laissaient traîner des verges de bouleau. Évidement, il s'agissait uniquement de stimuler la circulation sanguine. Si, si...


Étant assez naïve parfois quand mon homme m'a parlé la première fois du bunny de Pâques, j'ai imaginé un truc de ce style. Alors il a passé un bon moment pour me faire comprendre qu'il aimerait bien me voir à moi comme le bunny. Il n'étais pas très adroit pour m'expliquer ce qu'il voulait exactement et j'ai mis du temps pour comprendre en n’arrêtant pas de me choper des fou-rires. Puis j'ai pigé que me voir avec une queue de bunny le démangeait sacrement. Le principe ne me dérangeait pas. Mais je fus tout de même intriguée comment faire tenir cette queue, car à part elle il me souhaita entièrement nue.

Ce sera la surprise du chef, isabelle !

Bref ce qui se trouve facilement de nos jours, m'était parfaitement inconnu il y pas 17 ans. Et effectivement ce fut la surprise du chef. Étant bien sensible de ce côté là, j'ai prix beaucoup de plaisir avec ce genre ...jouet ! Seulement je n'avais pas encore la bonne technique pour chatouiller monsieur en remuant mon fessier. Enfin je me rattrapée depuis. Mais le plus rigolo c'était la tête de mon homme quand je lui dit un jour que moi aussi je voulais rencontrer le lapin de Pâques doté d'une queue...

Réfléchis avant d'écrire, isabelle...


...deux instruments innovateurs !

Ayant un faible pour les grands garçons Messieurs qui bricolent, ma préférence va bien entendu vers le martiloopy de Waldo. Étant en fait très peu curieuse de tenter du nouveau, il y a grande chance que je n'essayerai jamais un de ces deux instruments. Mais je suis très sensible à la beauté des objets. Pour ceux qui aimeraient contempler le fouet Betty Page de plus près suivez le lien pour un clip explicatif !

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end de Pâques !







En duo (petit clip)












mercredi 23 mars 2016

851 Envie urgente de fesser sa dame 2 (Petite fiction ou non)


Alors mon chéri tu ne va pas me faire tout un plat parce que ton string te chatouille entre tes fesses.

Bon, là j'avais vraiment dépassé les bornes. Quelque peu intentionnellement. J'aime bien en fait sur un long voyage la pause fessée. Voila qui détend mon fessier un peu engourdi par la longue position assise. Puis, plus tard en continuant, j'adore la sensation de chaleur qui envahit mon bassin et qui mêlée à l'effet berçant d'une voiture, me rend toute frétillante en attendant le câlin du soir.

Avec son instinct de scout, mon homme il a su vite détecter une petit endroit romantique, invisible depuis la route. Il y a avait même un tronc d'arbre pour s'asseoir. Contrairement à ce qu'il dit, il aime beaucoup me voir en string. La coupe de ce vêtement le fascine (ben autant que moi!) et il s'amuse souvent en me tirant la ficelle. Contrairement aussi à ses paroles, il ne m'a jamais arraché la peau de mes fesses. Mais en plein air il peut s’avérer redoutable.

Pour lui c'est une rencontre marquante de la vie, une rencontre entre une main et un fessier de femme tout nu.

Il tient à la nudité et par conséquence il se délecte d'abord de défaire les agrafes de mes porte-jarretelles. Parfois que 4, parfois tous les six. Cela dépend de ses humeurs et inutile de dire qu'il prend son temps. Quand à mon string, il me laisse le soin de le retirer complètement avant de passer sur ses genoux. C'est son sens de voyeur qui trouve son compte en m'observant d'accomplir un acte d'équilibriste sur mes hauts talons, notamment en pleine nature. Il le confisque avec un sourire jovial sans oublier de sentir mes odeurs intimes.

Puis il n'oublie pas de me rappeler que le geste pipi s'impose pour les filles avant une copieuse fessée.

Il n'a pas tort, prenant beaucoup de plaisir de me regarder soulever délicatement ma belle robe avant de m'appliquer. Je ne me sens nullement gênée devant lui et une fois fini, j’attends sagement qu'il me tende un petit mouchoir en papier. Dernier instant de calme avant la tempête. Je regrette beaucoup de ne pas pouvoir observer l'expression de son visage pendant cette caresse fort ardente qui est la fessée. Par ses mot que dis-je par ses emportements délirants je sais qu'il cherche une sorte d'harmonie cosmique et il lui importe beaucoup que le son des claques sur mon popotin s’entende de loin. Comme s'il souhaitait réveiller les divinités de la pleine nature. Grâce à lui j'ai mieux compris les anciens rites de la fertilité. Le principe est simple. La fessée le met dans une superforme plus tard au lit.

Il n'y a pas plus pratique pour la fessée qu'une petite robe légère. Ce minuscule voile qui sépare le popotin de la main qui le convoité. Mais quelle différence de sensation quand on ne l'enlève pas. Mon chéri ne commet pas ce faux pas de taille, car il sait bien qu'une fessée bien sentie a besoin d'un cul nu. Il s'engage vite dans une interaction stimulante. Sa main stimule mes fesses, mes fesses stimulent sa main. Mes gigotements sur ses genoux stimulent ce qui est sous … le string de monsieur. Et cette chose qui durcit stimule mon imagination et par extension mon entrejambe. Nous ne sommes pas vraiment dans un registre de punition et dans ce cas monsieur ose ce qui est strictement interdit à tout bon éducateur qui se respecte.

Me passer la main entre mes fesses pour vérifier les réactions de mon corps ! Me masser pour me provoquer d'autres types de soupirs que ceux initiés par les claques.

Le connaissant un changement de position s'annonce. Un tronc d’arbre permet beaucoup de fantaisies. Comme par exemple de pencher la dame pour admirer son popotin rouge. Puis standing ovation sous son pantalon pour la belle couleur. Monsieur se lance sur une voie agréablement glissante. J'avais vu juste pour le rite de la fertilité.

Envie urgente de fessée ? Mon œil !
Et parce que je suis une fille très sage qui tient à garder sa petite robe dans un état impeccable, je finis devant mon chéri entre ses jambes. J'avais raison en lui montrant mon petit geste à mon rouge à lèvres. Il ne peut y résister.

Ce jour-là, de retour dans la voiture, moi aussi je tiens un string confisqué. Tout un poème son odeur qui retrace fidèlement quelques centaines de kilomètre de séduction acharnée.

Tu avais raison chéri, les strings en cuir sentent vite le fauve...

lundi 21 mars 2016

850 Un psy qui soigne par la fessée (Lundi cinéma)

Pour traiter la sexualité débridée de la dame !

Une fessée hautement thérapeutique dont déjà la description est tout un poème. Une élégante dame consulte un aussi élégant psy car elle a du mal à gérer son impulsive sexualité. Elle ne porte jamais de culotte et adopte des positions et gestes pour que les messieurs s'en aperçoive. Au travail elle ne peut s’empêcher de multiplier les conquêtes et commence à s’inquiéter de son comportement. Le psy lui propose alors un châtiment corporel à forte dose pour la remettre sur le bon chemin, en commençant par une fessée cul nu.

Un scénario fort troublant certes, mais malheureusement loin de toute réalité. Un psy (je parle dans le sens analyste) ne procure ni satisfaction, ni punition à la personne qui le consulte. Par contre son travail peut consister à nous faire prendre conscience du lien entre une satisfaction et une punition. Car c'est ce point là qui rend la fessée troublante.

Ce qui est à la base un châtiment se transforme en volupté intense ! Rien qu'en y pensant !

Tout basiquement comme Freud le suggère la fessée est un acte d'amour charnel, donc un acte sexuel. Entendons par sexuel l'excitation d'un organe, ici la peau. Chez certaines personnes cet échauffement s'étale vers les organes génitaux procurant ainsi une forte excitation... génitale. Explication suffisante pour vivre ses fantasmes de fessée dans la joie et l’agresse. Mais chez certaines personnes, malgré la satisfaction de leurs désirs sous forme de plus ou moins copieuses fessées, persistent ou s’installent des rêveries de vraies punitions , parfois pour des faits bien réels.

Je me retrouve bien dans les « troubles » décrites par la dame du clip avec une grande différence toutefois dans la réalisation. Ma cible exclusive c'est mon homme. Notons bien une différence dans la réalisation et non pas forcement au niveau du fantasme.

Une dame active qui n'attend pas que le monsieur fasse le premier pas.
Attirail de la parfaite séductrice à l'appui. Je me retrouve bien dans cette présentation un peu caricature, mais je sais que mon chéri m'adore ainsi. Et moi j'adore quand il me gronde parce que j'ai encore oublié ma culotte. Sans tomber dans un registre de discipline domestique, j'aime bien le provoquer pour mériter une bonne fessée. Certains aimeraient bien y voir la confirmation du traitement du psy du clip, la fessée calme la dame et elle garde ses ardeurs comme le prévoit notre convention sociale pour son partenaire.

J'aime beaucoup le moment de passer sur les genoux de mon chéri.

Difficile d'égaler la sensualité d'une fessée à la main !

L'idée de devoir présenter mon popotin tout nu ou de le voir dénudée au fil de l'action met plaît beaucoup, veut dire me prodigue un fort émoustillement qui cherchera apaisement une fois la fessée finie. Et s'il y a un soupçon de honte, elle se porte justement sur ma manière si éhontée de provoquer mon chéri. Moins gourmande dans mon attitude que la dame et jouant plutôt sur un registre théâtral que les mauvaises langues qualifient d’hystérique. Mon homme réagit généralement fort positivement à mes tentatives de séduction si particulière qui cherche un apaisement aussi particulier. C'est là que commence l'aventure et il sait varier avec beaucoup d'imagination les châtiments qu'il me réserve.

Voila, ayant un partenaire attentif à la maison pas besoin de consulter !

vendredi 18 mars 2016

849 Liens de discipline domestique (209 ème édition)

Au menu cette semaine : Quand les dames étaient encore des dames...


Tenue hyper féminine qui correspond bien aux goûts de mon chéri, mais pas la façon de la dame de se comporter. Voilà une de ces situation qu'il qualifierait d'un... mériterait bien une... une fessée bien sûr, visant à corriger les mauvaises attitudes. Au lieu d'y voir un affreux machisme, considérons son cris de cœur comme une émanation de la profondeur de ses désirs et non pas fondé sur une explication rationnelle.

Pour ma part j'aime beaucoup la troublante évidence que mon châtiment préféré soit mis au service d'une aussi noble cause que la bonne moralité. Passons sur le fait que la fessée s'applique selon monsieur... cul nu... constituant ainsi un affront supplémentaire aux bonnes mœurs. Mais visiblement tout le monde semble fermer les yeux (manière de parler!) et moi la première je dois avouer que la nudité du popotin pimente agréablement ce plat qui se mange très chaud.

Ayant un certain âge pour reprendre une de ses expressions, une bonne partie de ses rêveries prend racine dans les années 60 et dans la naughty attitude (s'afficher en vilaine) supposée de certaines filles. De quoi à ravir un éducateur dans l'âme au service de son idéal.

Quand les dames étaient encore des dames...

… avec d'autres mots quand elles portaient encore des tenues qui permettaient facilement aux messieurs de glisser leur main aux endroits sensibles. Petit garçon il a dû voir son papa, une ou deux fois faire ce geste, en rêvant d'en faire pareil une fois grand. Mais, comble de malchance, la mode change pour les dames. Ah, comme il aime citer Léo Ferré :

...aujourd'hui elles ont des collants qui collent aux yeux des leurs amants...

Quand il m'a posé la question si je me voyais de porter des bas au quotidien, j'ai été plutôt amusée. Craignant un peu de me faire peloter sans cesse. En fait non ! C'est l'idée de savoir que... qui le comble. Comme beaucoup de garçons ayant reçu une éducation très stricte, c'est le toucher avec les yeux qui le titille. C'est au bout de quelque semaines que j'ai commencé à prendre goût de porter des bas... pour la sensation. Quant à la fessée, j'adore le côté pratique des bas qui permet à mon homme de me trousser sur le champs quand j'ai bien mérité une.

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !






Discipline domestique (petite série)











Trois à la fois (petit diaporama)


mardi 15 mars 2016

848 Envie urgente de fesser sa dame 1 (petite fiction ou pas)

Si tu savais à quel point j'ai envie de te fesser isabelle...

...dit-il mon chéri lors d'un déplacement en voiture. J'étais un peu étonnée, car ce genre d'envie est assez rare chez lui. Il préfère me fesser pour de bon quand il estime que mon comportement laisse à désirer. Sur ce point il est assez paternaliste partant du principe que c'est à l'âge adulte que les filles ont les plus besoin d'une main ferme. Et loin de moi dans ma vie de tous les jours de me vanter que mes bonnes manières qui récoltent tant de compliments sont en fait le contrecoup d'une éducation de plus stricte.

Fille fessée se méfie de retomber dans les mêmes erreurs.

Étant été sage depuis le matin, je n'ai rien à me reprocher. Alors je commence à réfléchir ce qui pourrait titiller mon homme. Mes nouvelles sandales, scandaleusement hautes et prévues uniquement pour voyager en voiture ou pour un dîner en amoureux sans trop de marche ? Mes bas couleur chair à l'inévitable couture qui me donnent un air de glamour des années 50 ? Dénichés dans un brocante d'ailleurs et presque de l'époque ! Ma petite robe avec des pois bleus sur fond blanc. Mon nouveau vernis à ongles, mon nouveau rouge la lèvres, ma nouvelle coiffure ? Un faux mouvement dévoilant le haut de mes bas, un soupir à effet érotisant dont j'ai le secret ?

Difficile de savoir ce qui a provoqué cette envie soudaine de mon chéri. Mais elle est tenace. C'est amusant de voir comment rien que l'idée le travaille. Je sors mon rouge à lèvres en faisant semblant de couvrir des imperfections. Je sais que c'est un truc qui lui donne presque toujours des idées.

Et si je m'occupais un peu de toi pendant que tu bois un café ?

Tu es sourde isabelle, j'ai envie de te fesser que les yeux te sortent de la tête !

Waoh. Rien que cela !

On dirait un grand gamin qui fait sa crise.

Et en quel honneur ?

Pour ce maudit string que tu m'avait offert et qui arrête pas de me démanger en conduisant !

J'ai envie de rigoler et je ne me prive pas.

Ne me raconte pas d'histoire. Je porte des strings depuis des années. Il n' y a pas plus confortable !

Les garçons c'est pas fait comme les filles. Est-ce je te demande de mettre des cravates !

Ah j'adore quand mon chéri revient aux rôles classiques dans le couple. Étant de l'ancienne génération, il le fait avec beaucoup de naturel, je dirais presque avec de l’innocence. Mais c'est un langage qui me comble parce qu'il s'adresse directement aux émotions de mon entrejambe.

C'est toi qui porte les pantalons dans notre couple, mon chéri !

Phrase qui nous fait beaucoup d'effet à tous les deux. Qui nous renvoie à la différence (ne cherchons pas la logiques) qui se voit, mais aussi aux monsieur actif et à la dame qui frisonne de son attente passive. Bref agacé par mon joli cadeau Monsieur a besoin de taper un bon coup sur la table. Manière des s'affirmer comme le mâle.

Mais pourquoi en plus un string en cuir ? Ça se lave pas. Tu veux que je sente le fauve ?

J'ai beau à lui expliquer que j'adore voir ses fesses dans un string. Qu'il est mon road warrior, mon Mad Max à moi. Rien à faire. Il boude. Et quand je lui avoue enfin que l'idée qu'il sente un peu le fauve me rend toute pantelante, il croit que je me moque de lui.

Tu vas voir tes fesses, ignoble créature !

A suivre

lundi 14 mars 2016

847 Dame souhaite discipline traditionnelle (Lundi cinéma)

Peut-être pas un désir aussi rare que l'on ne l'imagine !

J'ai une nostalgie fantasmatique du « bon vieux temps » que je n'ai pas connu et qui m'évoque une discipline stricte pour jeunes dames. Évidement les rêveries sous la couette se moquent éperdument de la réalité qui elle était moins poétique. Mon homme a dû se battre pour le droit de porter des jeans. Il a dû se battre pour porter des chevaux longs. Il a dû se battre pour écouter certaines musiques autre qu'avec des écouteurs et j'en passe. Et quand j’entends ses amis, il semblerait que ces temps-là n'étaient pas de tout repos. Pour moi c'est le mérité de cette génération que les idées nouvelles ont pu trouver une place dans les familles. Toutefois lui-même ayant reçu la fessée et la trouvant inefficace pour éduquer un enfant, il reste fantastiquement attaché aux rituels punitifs, mais transposés dans un cadre adulte. Il n'essaye pas de justifier son penchant par une morale ou philosophie quelconque. Loin de lui aussi de me faire miroiter un progrès spirituel ou autre élévation comme résultat de son programme éducatif. En fait il a bien compris les bénéfice réel que je tire de la fessée. Je me sens apaisée et mieux dans ma peau sachant que le martinet m'attend quand je m'écarte du droit chemin.

Ce droit chemin me semble une sorte de zone de tolérance qu'accorde la petite voix en moi pour ne pas déclencher mon besoin de punition.

Mon homme partage ma conception en mettant un point d'honneur pour me tenir dans le droit chemin. Par ce fait je me sens aidée, soutenue et comprise dans un fantasme impérieux. Enfin, pas plus impérieux que la pulsion sexuelle elle-même. Disons autrement impérieux. Puis, me sachant alors entre de bonnes mains me sécurise. Ce qui est un réel surplus pour une personne qui s'inquiète facilement comme moi. Certes, il y a un prix à payer, sur la peau de fesses, mais qui me semble un bien moindre mal.

Nous avons mis du temps pour accorder nos irrationalités respectives. Les comportement qui donnent envie à mon homme de me corriger et les miens qui me donnent envie que mon homme me corrige.

Voila le vrai difficulté d'une mise en place de la discipline domestique.

vendredi 11 mars 2016

846 Liens de discipline domestique (208 ème édition)

Au menu cette semaine : Nos fantaisies indécentes

Le nez entre les fesses (série coquine)

Petite gâterie qui me plaît beaucoup de la part de mon chéri. Lui, il est plutôt très pudique de ce côté-là et quand je lui passe la cire parce que j'aime qu'il soit lisse de partout sous son caleçon - notre séance perso BDSM en quelque sorte - , il n'est vraiment pas à l'aise. Même s'il trouve au bout du compte le résultat fort agréable et plus hygiénique.

Décidément Il est de l'ancienne génération mon chéri !

De mon expérience de séductrice quand j'étais encore célibataire, je n'ai pas de souvenir qu'un prince charmant m'aurait demandé des caresses version recto. Visiblement bien de monsieur coincent de ce côté-là.

Les mêmes qui mettent un point d'honneur pour combler tous les orifices d'une dame.

Par contre le plongeon entre mes fesses semblait bien plaire. D'ailleurs j'ai l'impression d'avoir toujours attiré des messieurs aimant les popotins bien ronds. Je ne m'en plains pas. Hélas dans le temps peu de messieurs osaient parler de la fessée. Elle était encore trop collée à une vision traditionnelle. Bon, dans ces temps-là l'épilation intégrale aussi était malfamée. On imagine donc ce que c'était au millénaire dernier le nez entre les fesses. Et cet aspect touffu ne me mettait pas à l'aise non plus. Bref, personnellement j'ai commencé à me sentir à l'aise pendant ce câlin si particulier quand je n'avais plus le moindre poil. Sensation subjective de plus grande hygiène aussi.

Décidément moi aussi je commence à faire partie de l'ancienne génération !


J'ai un peu l'impression que le folklore de la dame toute nue, avançant à quatre pattes s'associe très souvent au registre du BDSM. Comme s'il s'agissait d'une forme particulière de soumission au mâle ou du moins à son plaisir. Toutefois, ce que pense le monsieur de la situation est une chose, ce que pense la dame en est une autre. Il y a des dames qui considèrent de se soumettre au coït avec le monsieur, d'autres s'accordent aux évidences de la nature qui pour des raisons de disposition physique attribue à chacun sa place quand il s'agit de passer à un acte de vanille. On peut donc inclure, comme suggérait déjà Simone de Beauvoir avec des termes plutôt complexes que que la soumission est un truc qui se passe dans la tête et non pas au travers d'un acte. Pourquoi la dame n'aurait pas simplement envie de provoquer une fessée ? Ceci dit, il suffit de faire le test de la marche à quatre pattes toute nue devant quasiment n'importe quel homme avec un penchant pour les dames pour s'en apercevoir que cette « démarche » produit un effet foudroyant sur sa libido. Je crois qu'il s'agit d'un truc inscrit dans les gênes.Pourquoi chercher du côté de la soumission ?

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !




Frissonnante devant l'autorité (série photo avec intéressant texte)



Jeune, mais strict (petite série)

Entre copines (petit clip)




Pour le plaisir des yeux (une fessée pas à pas)






mercredi 9 mars 2016

845 Fessée et prise de température... rectale 2 (petite fiction ou non)


Jeune dame, si ce thermomètre indique rien d’anormal, ton exécrable comportement de n'aura pas d'excuse et nous allons te traiter de la manière habituelle.

Pour souligner ses paroles, il a sorti le martinet du tiroir le mettant devant mon nez. Je me suis sentie comme sortie du paradis. L'idée que mon chéri me penche sous son bras, pour me corriger comme dans ce que nous appelons le bon vieux temps, m'inspire surtout dans ma fantaisie. Prise sur le fait, je me sens pas fière du tout. Et je pense de me distinguer en rien à ce moments de ces filles de bonne familles de mon imagination qui recevaient à un âge avancé encore des corrections au martinet. J'essaye -vainement- tout pour échapper à ma punition, mais avec le recul, mes fesses encore brûlantes, je ne puis jamais m’empêcher de remémorer la scène. Je me vois avec mes fesses impudiquement exposées. Je sens encore les lanières du martinet danser sur la peau de mon derrière et je m'entend encore de promettre de travailler sur moi. Le tout avec un profond émoi dans me strings. Mon homme le sait. Il se fait un plaisir quand je sors du coin de jeter un coup d’œil amusé sur la brillance de mon entrejambe.

Voila ce que j'appelle une attitude positive envers la discipline !

Car contrairement aux vieux manuels d'éducation pour grandes filles, il ne fait pas semblant d'ignorer les effets secondaires de la fessée. Après tout nous sommes entre adultes. J'ai d'ailleurs une drôle d'approche à mon éducation à l'âge d'adulte. Quand une copine se moque de mes bonnes manières et de mon langage châtié, il m'arrive souvent de penser :

Ma pauvre, si tu recevais le martinet comme moi, tu rigolera moins et tu surveillera ton vocabulaire comme moi.

L'attente avec le thermomètre dans mon derrière m'a parue fort longue, rendant finalement par des sonores bip bip un verdict en ma défaveur.
Je crois que de me voir avec le thermomètre bipant dans mon derrière a dû troubler mon homme.

Maintenant nous allons te reconduire dans le droit chemin, isabelle !

Après m'avoir retiré la chose, il m'a allongée sur ses genoux pour m'appliquer une fessée à la main. Ce qui est fort rare et en aucun cas une faveur à rapport du martinet. Au contraire, il est prudent avec les instruments, mais suit ses inspiration manuelles sans trop de retenue. Il n'est donc pas un vain mot quand il me dit parfois le soir :

On t'a entendu chanter cet après-midi, isabelle !

Effectivement, avec l'effet:

Libérée, délivrée (je ne mentirai plus jamais)...

...temporairement de mon besoin de punition. Bref, j'avais reçu ce jour-là une magistrale fessée, me mettant mes idées en place avec un fort besoin de câlins plus tard, assise sur les genoux de mon homme. Je lui ai avoué le plaisir que j'avais pris lors de ma prise de température. Plaisir bien évidement partagé. Depuis nous avons gardé cette façon de procéder et au fil du temps mon chéri a vu le se retourner thermomètre contre lui.

Ben quoi ? C'est cela l'égalité !

lundi 7 mars 2016

844 Nous avons tous un secret (Lundi cinéma)

Un fait divers claquant !

Difficile de trouver un monsieur insensible à la thématique de la fessée entre bonnes copines. Évidement les tenues sexy ne devraient pas manquer, car le charme des collégiennes ne plaît pas à tout le monde.

Pour ma part je me souviens vers la fin des années 80 quand j'étais ado d'un courrier de lecteur dans un magazine allemand quelque peu particulier. Ce sont des publications à grand tirage, typiquement allemand mélangeant d'images sexy, d'articles sur la sexualité et de la presse sensationnelle. On en trouve partout. Dans les familles et dans les salles d'attentes et tout le monde les feuillette.

Ce courrier parlait d'une colocation de 4 femmes autour de la quarantaine qui durait depuis 10 ans déjà. Se connaissant depuis l'école, elles avaient encore connu l'époque stricte et le règne du Rohrstock, de la canne autant au foyer familial qu'à... l'école. Car en fait l'interdiction des châtiments corporels à l'école ne date que de 1969. C'est donc une de ces dames qui parle de l'organisation interne de cette colocation...

...en avouant leur faible pour une structure traditionnelle avec recours aux châtiments corporels.

Une de ces dames organise et supervise donc cette petite communauté en attribuant les taches hebdomadaires de ménage, jardinages, courses etc. Ayant connu (de loin heureusement et en étant seulement en visite) ce genre de colocation, il me semble indispensable de bien s’organiser. Les plus souvent l'ambiance est assez anarchique et la durée de vie commune assez limitée. Pour un allemand saute donc aux yeux une longévité extraordinaire de 10 ans.

On s'en doute que l'article parlait donc des châtiments corporels appliqués par le biais du Rohrstock pour celles qui traînaient dans leur participation au ménage. La dame qui avait écrit au journal parlait de punitions toutes le six semaines environ la concernant. De son angoisse après l'annoncée de la punition, du mauvais moment de l'endurer et sa manière de pleurer « Rotz und Wasser » (de la morve et de l'eau) sur le coup.

Sans oublier de mentionner de se sentir beaucoup mieux après.

C'est surtout cette dernière phrase qui enflamma mon imagination. Certes l'évocation de la fessée me procurait à cette époque déjà une vive émotion dans mon entrejambe. J'étais attirée par un contexte de vraie punition pour une raison clairement identifiable, soupçonnant dans cette constellation un apaisement de mon état nerveux et comme disait la dame de me sentir mieux... dans ma peau. J'étais loin encore de me douter des mécanisme d'un besoin de punition. Mais j'avais déjà compris qu'il ne me poserait pas problème de réaliser des mises en scène de fessée coquine comme préliminaire. Par contre mes désirs de recevoir une vraie correction me gênaient beaucoup.

J'ai trouvé dans cette communauté de dames une excellente solution pour réaliser un penchant de vraie discipline, sans prise de tête.

Enfin, vrai courrier ou pas, la rêverie autour de cette communauté m'a accompagnée pendant longtemps en remplaçant ces dames par me propres copines d'école...

vendredi 4 mars 2016

843 Liens de discipline domestique (207 ème édition)

Au menu cette semaine : Cette fessée qui déchaîne la dame


Il n'est pas un secret que la fessée a fait son entrée dans le monde des films P. Certes, nous sommes loin de l'excellent jeu d'acteur de l'original, mais chaque chose en son temps. Quand je joue à la secrétaire avec mon chéri, ma prestation va plutôt dans le sens du premier clip. Ce qui nous importe surtout c'est la sexy attitude. Je ne suis pas actrice, mais j'aime mettre en scène ce qui me turlupine.

Il m'a fallut regarder « La secrétaire » pour découvrir a quel point il peut-être troublant de se faire fesser penchée sur un bureau en lisant une correspondance.

Contexte qui peut prêter à rire, mais qui retrace bien mes petits frissons. Ma position me met à la disposition de la virilité de mon homme. Sans oublier que c'est moi qui est la cause de sa réaction si naturelle. J'aime qu'il soit susceptible à mon harcèlement, commencé par ma tenue, mes gestes et mouvements. Ma façon de marcher, de me pencher pour dévoiler le hauts de mes bas. Mieux encore, je le souhaite agacé par mon forcing en matière de séduction et j'attends dans ce contexte une réaction particulière qui fait le sujet de ce blog.

Mademoiselle isabelle, calmez vous. Je tiens à la discipline dans mon bureau.

Ah ouiiii, et comment vous prendriez-vous pour me l'imposer ?

Ma constellation de base est plutôt de nature névrotique. N'ayons pas peur de ce terme qui désigne une sorte de barrage, derrière lequel s'entassent nos petits et grands désirs coquins. C'est l'accumulation qui donne l'impression d'une envie irrésistible. Puis, chez certaines dames comme moi, c'est l'effet de la fessée qui fait sauter l'obstacle et qui comme on dit populairement déchaîne une dame. Seulement, et là se trouve le hic pour les amateurs de la vraie fessée, bien de dames se contentent de quelques claques plus ou moins fortes, parfois ne manquant pas de friser la caricature pour (re)trouver leur état proche de l'Ohio.

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !

Dame à lunettes (petite série)























mercredi 2 mars 2016

842 Prise de température... rectale 1 (petite fiction ou non)

Petite pratique pour le plaisir du déculottage ?

Quand j'ai rencontré mon homme, je ne connaissais la prise de température... rectale que par les on-dit. Puis un jour, après une terrible colère de ma part, prétextant un état fiévreux, il a juge utile de sortir de son tiroir non pas le martinet, mais notre tube de vaseline et un...thermomètre.

Nous allons examiner la source de ce mal !

Je fus donc invitée de trousser ma jupe et de baisser mon string autour de mes chevilles. Et comme si cela ne suffisait pas, il a fallut en plus que j'écarte et fléchisse mes genoux, me penchant largement en avant en bombant mon fessier. Position particulièrement adaptée pour que mes fesses ne présentent plus aucun secret de mon anatomie intime. Je me suis sentie subitement très gênée, ce qui m'arrive rarement. Mon homme s'en est rendu compte, en m'expliquant jovialement de ne pas faire la pudique, car les présentations de ce côté étaient déjà faites depuis un moment. C'est indéniable, ce qui me paraît excitant dans une situation vanille quand mon homme me montre qu'il sait se servir de sa virilité avec détermination et sans tabou, peut se révéler gênant dans une autre. Toujours le mot qui tue sur ses lèvres, il a essayé de me détendre.

Allez arrête de froncer, isabelle et fais moi un clin d’œil amoureux!

En bonus j'ai reçu comme encouragement une fort sonore claque sur mon fessier. Toutefois j'ai commencé à éprouver du plaisir, beaucoup de plaisir à ce qui m'arrivait. J'ai eu droit à un long massage avec de la vaseline pour préparer mon examen médical. D'abord par des mouvements rotatoires pour me décontracter, puis en lubrifiant les parois intérieur. Mon homme a un excellent coup de doigt et je n'ai pas pu me retenir de pousser des gémissements de volupté. Surtout quand il a commencé à m'appliquer des langoureux et rythmiques va et viens. J'ai très vite calé mes soupirs sur les va et on nous aurait cru en pleine séance câline. Seulement toutes les bonnes choses prennent une fin et il n'était pas le but des efforts de mon chéri de vérifier mon érotisation rectale, mais ma température, soupçonne d'être à l'origine de ma violente colère de tout à l'heure. Colère pour un rien d'ailleurs. Car si je me sens tant attirée par une féminité ostensible, ce n'est que pour mieux cacher le garçon manqué en moi. Qui d'ailleurs est vraiment manqué dans les sens d'un flagrant manque de débrouillardise. Bref sans mon homme, je suis vite perdue, mais gare à celui qui me le fait entendre au mauvais moment. J'explose aussitôt.

Voici venu le moment de la vérité !

Avec ces mots j'ai senti le thermomètre mis en place.

Jeune dame, si ce thermomètre indique rien d’anormal, ton exécrable comportement n'aura pas d'excuse et nous allons le traiter de la manière habituelle.

A suivre...