mardi 31 juillet 2012

136 Parfaite secrétaire 2 (Le bureau des filles; un fantasme)


Le bureau fantasmatique a hanté très tôt de manière fort agréable mes rêveries. Il en existait deux variantes principales.

Dans l'autre variante, la redoutable chef de bureau c'est moi. Cela se passe exclusivement entre filles (désolée pour les messieurs!) et il vaut mieux ne pas faire partie de mon service quand on manque le sens ou le goût pour le travail dans une structure de plus hiérarchique.

Les tenues et présentations sont imposées jusqu'à la couleur du vernis à ongles. La cadence de travail est soutenue et gare aux fautes. Les petites sont sanctionnées dans mon bureau par une claquante remise à niveau. Il m'arrive souvent « d'oublier » de fermer la porte pour que le service entier profite des corrections à l'ancienne que j'applique avec un solide paddle en cuir qui est accroché à porté de ma main.

Concernant les grandes fautes cela se passe devant tout le monde, la jupe et la culotte enlevées pour servir d'exemple. Il en va se soi que la fautive travaillera pour le reste de la journée les fesses à l'air, exposant une rougeur proportionnelle à la gravité de son manquement.

Et quand on me demande comment je fais pour assurer un travail d'une qualité irréprochable, je pointe tout naturellement vers le paddle en vantant les méthodes traditionnelles.

Toutefois l'ambiance au travail est agréable. Les filles sont loin d'être terrorisées. Même si elle ronchonnent à la vue du paddle , personne ne met en doute le bien-fondé du système punitif.

On y trouve de la rivalité féminine toute mignonne. Des filles qui se dénoncent entre elles pour la satisfaction de voir passer leur vilaine collègue sur mes genoux. Par exemple parce que au lieu d'enfiler une culotte réglementaire, elle a essayé de me duper avec un string.

Puis, moment culminent de la semaine quand arrive l’inspecteur ou l’inspectrice pour me demander le bilan. Jamais content, je dois répondre par la peau de mes fesses en réajustant les objectifs encore plus vers le haut. Je suis déculottée en présence de l'équipe complète et avant de recevoir ma correction, je suis amenée à exprimer un mea culpa sincère sous les discrets ricanements de mes filles.

Étant la supérieure, je reçois une discipline exemplaire correspondant à mon statut. Il me semble inutile d'insister sur le fait que pour le reste de journée je suis de très mauvaise humeur et à pendre avec les pincettes, sévissant pour un oui ou un non. Sachant que de retour à la maison, mon mari, prévenu de me pitoyables prestations selon ses propres mots, se chargera pendant le week-end de réviser avec moi de manière particulièrement pertinente et spectaculaire mes objectifs. Et ma réputation de passer les lundis matins toujours debout, faire rire aussi tout les autres services de la boite.

Voila donc mes deux familles de rêveries. Dans le prochain volet je raconterai comment certains éléments du fantasme de la parfaite secrétaire ont pu se glisser dans ma vraie vie.

lundi 30 juillet 2012

135 Parfaite secrétaire 1


C'est l'été. Il fait chaud. Je mets la réflexion complexe au placard. Place à un sujet purement distractif.

Au niveau de ses fantasmes, mon homme est parfois … souvent d'une banalité à toute épreuve. C'est ce que j'aime en lui et ce qui me rassure en lui.

(Je prépare mes fesses pour ce manque flagrant de respect ? )

L'envie d'une secrétaire très particulière à sa disposition a dû déjà trotter dans sa tête bien avant de me rencontrer. Il m'a suffit simplement de regarder son étude pour savoir comment lui faire plaisir.

Il ne te manque qu'une secrétaire dévouée...

Ses yeux se sont aussitôt mis à briller comme chez un petit garçon. C'était beau et touchant à la fois. Puis en discutant un peu j'ai appris autant les « aptitudes » requises pour postuler à un tel poste, autant les exigences vestimentaires à respecter. Et également sur quel ton à parler à mon futur patron :

Tu ne saurais pas me donner une formation vraiment sérieuse un de ces jours, chéri ?

Mais avant de raconter quelques anecdotes indiscrètes, d'abord un petit échantillon de mes propres fantasmes à ce sujet.

Le bureau fantasmatique a hanté très tôt de manière fort agréable mes rêveries. Il en existait deux variantes principales.

Dans l'une j'étais employée chez un patron exigeant qui gardait dans le tiroir de son bureau un bandeau en cuir, un strap comme disent les américains pour sanctionner mes fautes professionnelles de manière insolite. J'imaginai mille et une situations pour passer sur ses genoux et l'idée de me faire trousser par lui ma jupe et baisser ma culotte me procurait d'intenses frissons. J'envisageai mes punitions d'une sévérité exemplaire, me laissant pendant des jours avec un derrière strié. Ceci dit, il est bien mignon de voir dans ses fantasmes perdurer des larges striés rouges sur son postérieur. Dans la réalité par contre, à un tel dosage cela ne reste pas rouge longtemps et vire facilement vers des … vilains hématomes !

Quant aux tenues particulièrement étudies pour stimuler l'imagination masculine, elle ne faisaient rarement, voir pas du tout partie de mes rêveries d'adolescente.

Je ne suis pas gênée pour enfiler des tenues les plus extravagantes dans l'intimité. L'idée d'aller ainsi vêtue dans un endroit spécialisé pour me montrer ne me dérange pas, mais ne m'attire pas non plus. Cependant je préfère rester discrète en public. A moins d'être en excellente compagnie.

Ce sont mes rencontres réelles avec un petit (et adorable !) échantillon de la gente masculine qui m'ont enseignées l'emploi de tenues spécialisées et le plaisir que je pouvais partager avec un monsieur en train de perdre toute retenue.

dimanche 29 juillet 2012

134 La fessée, un acte d'amour


La formule fut popularisée au début des années 70 par l’écrivain Jacques Serguine dans son « Eloge de la fessée ».

Ce qui semble au premier regard une révélation majeure, considérer la fessée comme un acte d’amour, n’est pour autant rien d’autre qu’une reprise bien adoucie de la pensée…psychanalytique. Cette dernière ne fait pas dans la poésie romantique et nomme un chat un chat. Allant plus loin que Serguine, Freud pour sa part considère déjà la fessée comme un acte d’amour dans le sens charnel. Ceci expliquerait donc concrètement l’émoustillement qu’éprouvent certaines personnes pendant la fessée. Le ressentir subjectif pendant la fessée se confondrait avec le ressentir dans un acte sexuel classique.

L’acte de fesser/être fessée  peut être alors un plaisir charnel qui se suffit et qui peut se passer aisément de toute mise en scène ou contexte, ainsi que d’autres pratiques annexes.Si les partenaires sont sur la même longueur d’onde, c’est parfait.

Seulement cette approche ne reflète pas les fantasmes de tous les adeptes de la fessée. Reste entre autre l’énigme qui concerne les personnes comme moi, qui s’émoustillent à l’idée d’une sévère fessée, mais qui éprouvent l’acte en soi comme douloureusement désagréable. Et qui n’attendent qu’une chose : Que cela se finisse au plus vite. C’est seulement à ce moment là que la fessée devient à nouveau émoustillante.

Il y a donc porteur de l’émoustillement un processus psychique, tandis que dans l’extrapolation de la constellation freudienne c’est l’action même (la fessée quoi) qui porte l’émoustillement.

Mais quel est donc le plaisir de ceux et celles qui préfèrent « les alentours de la fessée » ?

Une réponse (il en existe bien d’autres selon la construction exacte du fantasme) est fournie par Lacan. Je la résumerais avec mes propres mots ainsi :

La fessée met en relief les conditions venant de l’inconscient pour aimer et être aimé.

Dans le sens littéraire et transposé. Elle ne se confond pas avec l’acte de la fessée et rentre en quelque sorte dans les préliminaires. Des préliminaires particuliers qui peuvent englober aussi une façon de se vêtir, maquiller, épiler, de se comporter etc

Ce qui peut se refléter dans un vaste vocabulaire qui est porteur d’émotion :

Tu n’as pas été sage. Tu te comportes en gamine. Je vais t’apprendre les bonnes manières…

C’est les alentours de la fessée qui devient l’enjeu essentiel sur le chemin du plaisir dont la fessée en est seulement une étape. Que l’on appelle cela jeu complice ou discipline quelconque, cela ne change rien au fait. On peut se laisser duper par notre raisonnement. Mais on ne peut duper son inconscient qui se base sur des faits. Et fait est que ce contenu inconscient existe car il s’exprime de manière éloquente par un émoustillement.

Il est donc important de tenir compte correctement du désir de la dame dans ce cas. Il se peut, si la fessée dépasse une certaine intensité, qu’elle ne la voie plus comme un acte préparatoire à l’amour, mais comme une tue l’amour…ce qui ne me semble pas le but de l’action. Il se peut aussi que la fessée sans autre suivi érotique la laisse crûment sur sa faim.

samedi 28 juillet 2012

133 Liens de DD (20éme édition)


J'adore la canicule. Excellent moment pour faire des pique niques à la campagne au bord d'une rivière, dans un camps, dans une foret. Profiter aussi des moments à deux quand cela est possible et renouer avec la « fessée bio de la belle des champs ». Ah qu'il est romantique mon compagnon !

Excellent week-end à tout le monde !


















Un nouveau blog de fessée et en français!


jeudi 26 juillet 2012

132 Ma nouvelle copine


Je mériterais une bonne fessée !

Dit-elle, ma nouvelle copine, sans se douter pour le moins au monde pourquoi mon visage s’empare aussitôt d’un sourire amusé.

Elle a commis à son taf une bêtise monumentale et se trouve dans un sacre pétrin. En fait, c’est moins grave que cela a l’air. Toutefois pour arranger les choses cela demande un grand effort. En gros un bouffe-temps fort désagréable avec des démarches pénibles. Elle n’est pas contente d’elle-même.

Je profite pour une petite remise en question. En silence. Entre moi et…moi. Encore une qui me parle de mon penchant favori.

Est-elle au courant de mes pratiques ? 

Je ne pense pas. Je me confie seulement aux personnes qui savent garder un secret. Cela existe et je n’ai pas à me plaindre de mes amies.

Est-ce mon fantasme intervient inconsciemment dans le choix de mes copines ? 

Que je guette le moindre détail qui pointe dans la bonne direction ?  Piste à suivre, mais pas maintenant, car trop complexe.
Question de mentalité, de la campagne, de la montagne ? Fort possible. Effectivement j’entends souvent parler de pan-pan cucul, de martinets, nerf de bœuf. Même à la pharmacie ou à la boulangerie quand j’attends mon tour. Ce sont les autres qui en parlent. Et le rayon martinet existait au supermarché, il y a deux ans encore, sans que cela ne dérangeât personne.

Est-ce une expression anodine qui est mêlée à toutes les sauces ? 

Il existe son analogue en Allemand. Il est vrai, elle s’utilise moins souvent là-bas. Toutefois elle est sortie des bouches dont je m’en doutais le moins. Des braves gens bien sérieux. En fait, moi aussi je fais partie des gens dit sérieux et ma nouvelle copine aussi. Anodine ?
Un ange est passé. J’attends toujours son passage quand il y a allusion quelque part à la fessée. Je ne saute pas sur l’appât. Ce n’est pas propice quand je veux creuser un peu plus.

Ma nouvelle copine en redemande sans relance :

Cà te faire rire, isa ?

J’essaye d’imaginer.

Elle se retourne et jette un coup d’œil sur son fessier couvert par un jean bien coupé. Visiblement elle imagine aussi. Je réalise une fois de plus à quel point le sujet est délicat. Non, plutôt je réalise avec quelle délicatesse j’entoure parfois le sujet.

Cà t’arrive jamais ?

Oh que si !

Alors tu vois comment je me sens en ce moment.

Oui, je vois parfaitement. Un mal est fait et ce serait tellement plus facile et rapide de s’en sortir par la peau de ses fesses. Fantasme de commodité, du moindre mal. La brûlure d’une petite correction ne dure pas aussi longtemps que d’arranger ses erreurs par soi-même.

Pensée de plus enfantine : correction = ce qui est sensé corriger la faute dans la réalité comme par magie. Sorte de Paradis retrouvé.

Puis après l’acte ce sentiment de toute puissance qui monte à la tête. Aspect souvent oublié quand on parle des effets secondaire de la fessée entre adultes.

Ma nouvelle copine, pense-t-elle à l’aspect ludique de la chose ?

Je n’en sais rien. Mais je n’y crois pas. Résumer la fessée à ses aspects ludiques me parait réducteur.

J’opterais plutôt pour une hypothèse du style :

Elle permet à certaines personnes d’évacuer facilement les tensions négatives. La douleur n’y est pas pour rien, mais elle reste secondaire dans une alchimie complexe.

mardi 24 juillet 2012

131 Fessée et masturbation


« Le derrière de Rousseau est-il le soleil de Freud qui se lève ? J’y verrais plutôt le clair de lune romantique. »

Petite citation énigmatique de Jean-Cocteau, le monsieur qui comme peu autres se connaissait en Belles et Bêtes. Calé aussi en autres méandres de l'âme humaine et sachant en parler avec une subtilité hors du commun.

Non, je ne posterai pas un énième texte dévoilant ce qui n'est plus une passion secrète depuis longtemps. Je laisse cette partie des confessions de Rousseau aux bacheliers. D'ailleurs quel drôle d'idée de faire commenter ces désirs très particuliers concernant la peau de ses fesses par des jeunes esprits en formation.

J'ai plutôt envie de me pencher sur les abîmes que le besoin de punition semble couvrir si parfaitement que peu de gens se doutent leur existence.

Quel vilain secret cache une personne qui réclame ouvertement une fessée ?

Et là, bien évidement je semble à la bonne adresse chez Monsieur Rousseau. J'avais survolé une étude sur le célèbre philosophe qui date de 1927 et qui émets pas mal d'hypothèses sur son masochisme, son exhibitionnisme et sa perversion. Un jackpot en matière de ce qu'on appelle « info people » aujourd'hui et qui fait presque oublier – soyons clair sur ce point - une œuvre de pensée humaine exceptionnelle.

J'avais prévu de rajouter mon grain de petite penseuse sans prétention sur ces hypothèses. Puis je suis tombée sur un texte datant de 1992 d'un vrai penseur qui développe une brillante théorie sur les alentours de la fameuse punition.

En essayant de démontrer qu'elle empêche le jeune Rousseau de s'adonner à la … masturbation

Voici un condensé du passage en question de l'article original (qui peut être consulté en intégralité à la bibliothèque nationale en suivant le lien en fin de ce post).

Comment Jean-Jacques a-t-il pu échapper à cette perdition...

...Grâce à une magistrale fessée qui a trompé l'instinct tout en le déplaçant. Le petit Jean-Jacques a ressenti une telle jouissance à être fessé qu'il a concentré son instinct sur son derrière et cette anomalie prématurée l'a, par un heureux hasard, détourné d'occupations plus courantes et bien plus dangereuses.

« Qui croirait que le châtiment d'enfant reçu à huit ans d'une fille de trente a décidé de mes goûts, de mes désirs, de moi pour le reste de ma vie. Mes désirs bornés à ce que j'avais éprouvé, ils ne s'avisèrent pas de chercher autre chose. »

...En effet, portant son attention sexuelle de ce côté, Jean-Jacques néglige la masturbation car il ne parvient pas dès lors à comprendre en quoi consiste exactement le rapport des sexes. Aussi ses premières tentatives auprès des femmes l'amèneront à se déculotter pour leur montrer son derrière. Ainsi, il a été sauvé par ce qui pourrait passer pour un vice : « Ce goût bizarre m'a conservé des mœurs honnêtes qu'il semblerait avoir dû m'ôter »

Source: Y. Vargas; L'unité du rousseauisme

lundi 23 juillet 2012

130 Discipline domestique caricaturale


Il me semble extrêmement difficile de trouver du matériel historique authentique sur la discipline domestique. Voici un « témoignage (?) » datant soit disant avant 1952 d'une jeune dame qui se présente comme très candide et qui parle de règles abusives, absurdes et/ou impossibles à respecter.

Ayant fait des recherches sur le fameux institut de Vienne je n'y ai rien trouvé. C'est le vocabulaire du texte d'origine ( en allemand) qui me laisse douter de son véracité et je suppose qu'il s'agit de la « littérature de détente...manuelle ».

Ceci dit, en lisant des blogs sur la discipline domestique anglophone, le piège d'un règlement qui expose la dame pour un oui ou un non à la punition me semble bien réel et dangereux...

Il en va de soi que ce texte ne reflète pas ma propre vision de la discipline domestique.

Mon mari dont je fis connaissance à mon cours de danse, connaissait déjà avant nos fiançailles, par une remarque indélicate de la part d’une de mes amies, le fait que ma mère m’appliquait encore à cette époque la fessée. Aujourd’hui, je sais bien que ce fait m’a valu son intérêt particulier. Aboutissant à nos fiançailles.

Pendant ce temps il vint une fois me rendre visite, sans que j’aie entendu la sonnerie de la porte. Ni que la bonne ne l’avait laissé enter. Il resta silencieusement dans le salon pendant que ma mère me punissait dans la pièce avoisinante.
J’ai ensuite été terriblement choquée quand j’ai pu constater qu’il avait tout entendu. Au moment de notre mariage je n’étais pas encore majeure. J’étais inexpérimentée et je lui cru sur parole quand il me fit part que désormais le droit de m’éduquer lui incombait. Il avait intention d’appliquer le système de ma mère.
En fait, il commença par une fessée aux verges pendant notre nuit de noces...
Au cours de notre mariage, il prit l’habitude de me fesser chaque matin et chaque soir. Le matin pour que je me tienne au carreau pendant la journée et comme acompte pour ce qui m’attendait le soir.
Il m’était impossible de ne pas commettre de faute dans la journée. Le soir il me demandait compte sur chaque pas et mot prononcé. J’ai dû même lui raconter combien de fois j’avais visité les toilettes. Ce qui pouvait devenir un motif de punition.
Il me posait de nombreuses fois sur deux jours consécutifs la même question.  Si j’avais papoté  avec la voisine par exemple. Si ma réponse était oui, j’avais droit à une fessée pour bavardage.... Si ma réponse était non, il me punissait pour arrogance...

Source : Archives publiques de l’Institut pour la Recherche Sexuelle, Vienne

dimanche 22 juillet 2012

129 Effets secondaires de la cravate 2


Je suis pliée de rire entre ce qui me pend au nez et ce qui se dresse devant mes yeux....

...tandis que mon chéri desserre le nœud de sa cravate encore un peu plus.

Oh là, il a chaud, très chaud le pauvre...

Il respire profondément et essaye de se donner un air sérieux. D'après tout, l'autorité à la maison c'est lui. Et il est décidé de me le prouver. Je n'essaye pas de le divertir, par exemple en m'ajustant un des mes porte-jarretelles. C'est un geste qu'il adore, mais dans cette situation précise il considérerait cela comme une provocation supplémentaire. Alors je risque gros, des punitions à la hauteur de mon insolence. Style révision de mes connaissances de majorette sous des musiques allemandes de carnaval.

Maintenant c'est moi qui s'amuse...

A partir de ce moment, il a des différentes possibilités. Parfaitement imprévisibles, ce que j'aime par dessus tout chez mon homme.

Il me menace :

A chaque fois que je mets une cravate le matin, tu me fais ton cirque isabelle. Soit tu te calmes, soit j'en mets plus.

Terrible sa menace. Je me retiens de ne pas exploser d'un autre rire encore plus bêtasse.

Il est susceptible ce jour-là à la ruse féminine :

Il est bien connu que certains garçonnets se calment quand on leur propose une sucette. Pour certains grand garçons c'est pareil. Et quoiqu'il en dise, le mien, il bosse bien mieux après une petite récréation.

Il se comporte en homme...tout court :

Sois sur le canapé de son étude, sois penchée sur son bureau, soit sur un des tapis etc. J'ai pu constater dès le début de notre relation à quel point son étude est bien...étudiée. Mais oui, il n'y a pas que la discipline dans notre vie.

Il recourt ce jour-là à la intransigeance masculine :

Le martinet en main, il me demande de me préparer. Bon, ma faute, pour le moins qu'on puisse dire minime, dans l'échelle punitive de notre ménage, va entraîner une toute petite séance d'échauffement de fessier.

Toutefois cela tangue vers la fessée punitive – et il m'importe beaucoup que mon homme me montre de cette façon qui porte le pantalon à la maison.

Mais avant, un moment particulièrement...délicieux  de gêne concernant mon déculottage :

Par curiosité, j'aimerais bien voir la tête d'une séductrice chevronnée qui s'engage dans cette voie et qui comme moi doit remonter sa jupe et baisser sa petite culotte pour présenter aux yeux amusés du Monsieur son derrière dans sa nudité paradisiaque. Pas de guili-guili, mais du pan-pan cul cul. Et après au coin, les fesses bien exposées.

Et là, je boude sérieusement...

Par contre je sais que Monsieur quand il a eu l'occasion de me corriger dans la journée, se montre particulièrement ardent le soir. Ce qui tombe bien. Moi aussi je me languis de cette réconciliation...

Ah oui, je me pose souvent la question si mon homme ne me provoque pas intentionnellement en mettant une cravate le matin...

samedi 21 juillet 2012

128 Liens de DD (19ème édition)


Une semaine très chargée pour la petite famille avec un long voyage en pleine canicule. Enfin c'est derrière nous. Malheureusement le temps laisse à désirer maintenant.

Quelques modifications sur mon blog. Notamment en ce qui concerne mes liens vers la discipline domestique anglophone. C'est un peu comme chez nous. Les gens se lancent dans la rédaction d'un blog et après quelques semaines...plus de nouvelles. Un peu étonnant pour des personnes adeptes... de la discipline. Cela mériterait bien...je vous laisse deviner.

Je vous souhaite un excellent week-end de préférence ensoleillé !


















jeudi 19 juillet 2012

127 Effets secondaires de la cravate 1


Il fait très chaud en ce moment .Des corrections plutôt ludiques , estivales, distrayantes ?

Il suffit de demander !


Monsieur, moi et les cravates, c'est toute une histoire. Quand je l'ai rencontré, il en avait déjà. Étant bien « classique » sur ce point, je me suis dit:

Excellent signe!

Et - comble de surprise – il y en avait des jolies. Selon mes critères, cela va de soi.

Chouette ! Un homme de goût.

Il en mets pour aller au restaurant ou faire du shopping avec moi sans que je sois obligée de lui rappeler que rien ne va aussi bien avec une femme en bas et porte-jarretelles qu'un homme portant une cravate.

Mais oui, on n'a rien sans rien  !

Pour mieux lui montrer que ce petit accessoire de rien du tout, dit phallique à juste titre, me procure des forts émois, je lui ai servi des repas en tête à tête, préparés de A à Z par mes soins et habillée uniquement en escarpins vernis et avec une de ses cravates. Il a beaucoup apprécié, non seulement ma cuisine mais aussi ma façon de me vêtir et on s'en doute un peu de la nature du dessert.

Mes efforts ont porté leurs fruits. Quand je lui offre des cravates (« le pauvre » selon ma Maman), ce n'est pas pour faire de la déco. Il les mets vraiment. Pas tous les jours, mais souvent ...le terme convient bien.

J'aime beaucoup les situations quand mon homme sous l'emprise de l’alchimie hormonale commence à desserrer le nœud de sa cravate...parce que j'ai encore pris - en toute innocence - des poses indécentes qui perturbent sa concentration (il travaille à la maison). Par exemple en faisant la poussière de notre bibliothèque qui se situe dans l'étude de Monsieur et qui prend un mur entier. Plumeau en main aucun grain me résiste ...

Tu fais encore la vilaine isabelle....

Ma foi, ce n'est pas très original ce qu'il a à me dire. Seulement là, il faut le comprendre. Il mène un dur combat intérieur entre sa conscience professionnelle qui est de taille, ses ambitions d’éducateur intransigeant pour grandes filles et une foulé de désirs pervers...

Vilaine, mais ouiii, je sais être terriblement vilaine !

Il arrive même à mon homme de pointer sur son pantalon pour me faire constater les ampleurs du dégât causé. Et moi insolente comme pas permis, je commence à ricaner...

...bêtement. Arrête isabelle, sinon je sors le martinet !

Oh oui, oh oui !

Et je suis pliée de rire entre ce qui me pend au nez et ce qui se dresse devant mes yeux....


mercredi 18 juillet 2012

126 La jalousie punie


Il n’est pas de bon ton d’être jaloux ou jalouse.

Cela va à contresens des mœurs « cools ». C’est un discours qui a bercé mon enfance et qui se poursuit.

Je n'ai rien contre l'amour libre. A condition que cela ne se passe pas dans mon couple. Mais cette façon d'envisager sa vie « amoureuse » comporte le piège des sentiments. Et dans ce cas il arrive qu'un discours truffé des grands idées...change. En fait je suis un peu...beaucoup partie prise, car j'étais souvent exposée aux critiques de ceux qui ont du mal à accepter les personnes qui vivent la fidélité non pas comme un concept philosophique, mais ...de manière naturelle.

Pour être claire, moi je suis facilement jalouse (sans qu'il y ait la moindre raison valable) et je le montre bien. De plus en plus même en prenant de l’âge. Et mes scènes peuvent être terribles.

Monsieur pourrait en parler en long et en large. Je ne sais pas combien de fois il a échappé au contenu d’un verre ou d’une tasse, si ce n’était pas le récipient lui-même. Je ne généralise pas sur d’éventuelles coutumes de dames à sang chaud. Pour ma part je me trouve dans le registre de caricature hystérique et j'en suis consciente.

Monsieur adore cette particularité de moi, ce folklore qu’il semble parfois réclamer. Le pire c’est que cela le fait rire quand je me mets en colère. Ce qui m’agace encore plus.

Alors le fantasme (j’insiste sur le mot) de me venger sur une potentielle rivale ne me déplaît pas.

Rien à voir avec une fessée « récréative ». Je pense que je me défoulerais bien et elle aurait du mal à s’asseoir pendant pas mal de temps. Du punitif à l’état pur.

Il me semble que beaucoup de petits films de corrections entre filles gagnent leur crédibilité par une rivalité féminine sous-jacente.

Les messieurs selon leur dire jouent souvent à la fessée. Pour certaines femmes c’est bien autre chose…ce qui expliquerait les expressions si naturelles que l’on trouve parfois sur les visages des protagonistes.

lundi 16 juillet 2012

125 Fessée sur mesure


Pour trouver le bon partenaire, il faut savoir ce qu'on désire !

Sagesse de mon Papa. Selon mes expériences aussi valable pour la petite aventure que pour la construction à vie.

Quand j'étais encore célibataire, le choix d'un futur compagnon m’occupait beaucoup. Je me voyais avec un homme stable, de caractère solide, avec sens pratique et instruction. Un qui conçoit la vie en aventure à deux, puis à plusieurs quand il y a des enfants, au lieu d'une aventure tout court. Du sens de la responsabilité et de l'engagement aussi, bien sur. Puis un physique qui me convient.

Mode d'emploi isabellien : Loup solitaire, ténébreux ou âme torturée s'abstenir. Oui à ceux qui sont abonnés à la bonne humeur dès le petit matin.

Je trouve que mon Papa a fait un excellent boulot. De Papa justement.
En m'expliquant de ne jamais perdre de vu mon désir... dans tous ses sens. De me méfier de ceux qui parlent exclusivement de plaisir charnel. Le leur ou le mien, peu importe. De ceux qui sont pressés. De ceux qui essayent d'exercer une pression joviale, style : T'es pas libérée toi !. Des formes diverses de chantage ou qui se mettent à bouder dès qu'on leur refuse un truc.

Malheureusement, il ne m'a pas expliqué les hommes qui aiment donner des fessées aux dames.

Et malheureusement je ne lui ai pas demandé non plus.

Alors, il a fallu que je fasse mes expériences seule, comme il se doit pour une grande.

Je me suis vite rendue compte qu'il existe certains messieurs « compulsifs » qui aiment claquer sur les fesses de la dame. A se demander ce qui leur importe le plus d'ailleurs : La dame ou ses fesses. Un garçon très gentil, mais qui met la fessée sur la table tout les cinq minutes et... qui devient vite lassant.

J'ai pu aussi approcher un monsieur ludique, adepte du tour des clubs et saunas, de la fessée conviviale avec d'autres couples. Je n'ai rien contre cette conception du fantasmes, mais elle ne correspond pas à la mienne.

Il doit exister bon nombre d'autres approches, mais je ne me suis pas penchée sur la question parce que entre temps j'ai fait une découverte intéressante :

Le créatif, peu importe son domaine.

Déjà, la création m'intrigue personnellement. J'ai envie d'en savoir plus. Elle va souvent avec une bonne ouverture d'esprit...et parfois avec une belle dose de tendances perverses comme je les aime...dans le sens imaginatif, expérimental... La jouissance que cela soit la sienne ou la mienne n'est pas mise au premier plan et elle n'est pas abordée comme une science, un secret, un art de vivre...ouf !

Je pense que certaines personnes créatives sont hautement capables à créer une illusion de la réalité en étant conscient qu'il s'agit d'une illusion et sans vouloir duper la personne à leur côté.

La fessée comme si elle s'appliquait encore sérieusement pour fautes ou mauvais comportement...et ceci à l'âge adulte !

Si on arrive vraiment à y croire outre que par la douleur dans son postérieur, l'illusion est parfaite et les émotions à mon goût particulièrement intenses et crédibles...tout un art quoi qui se situe sur un autre niveau que la technique manuelle parfaite...

dimanche 15 juillet 2012

124 Petite réflexion à chaud sur le martinet...


...faite dans le coin cet après-midi après une belle correction ...méritée … évidement !

Le martinet d'antan est l'objet d’ambivalence par excellence pour moi.

Quand je ne suis pas en train de l'insulter, quand je n'ai pas envie de le jeter par la fenêtre ou de lui couper de lanières, il m'arrive de le regarder avec beaucoup de gratitude pour bons et loyaux services rendus sur ma personne. De caresser ses lanières et même de l'embrasser quand il vient juste de servir. Ce qui fait rigoler mon homme, d'assister à mes excellents rapports avec la discipline fraîchement appliquée. Ceci dit, il m'a raconté pas mal d'anecdotes sur ses propres rapports avec la ceinture de ma belle mère qui pour le moins qu'on puisse dire étaient étranges aussi.

La phénoménologie des ambivalences se base en grande partie sur ce qui inconscient, propre et différent en chacun de nous. Sa caractéristique et son effet consiste de manière générale dans le pouvoir de générer deux affects qui se contredisent, des (très fortes) émotions (positives ou négatives), des troubles (agréables ou désagréables ; honteuses ou assumés...), une attirance ou un rejet, un « tue amour » ou un stimulant...

En gros une belle contradiction intérieure qui peut poser un casse tête à la raison quand elle essaye de se battre vaillamment contre des pulsions (qu'elle juge indécentes ; voilà le truc) qui miroitent mille et un plaisir...

Évidement il m'arrive aussi que je trouve un peu étrange, voire rigolo de me languir que mon homme me baisse la culotte pour me botter le derrière. Mais à tête repose je vois une pratique qui me convient, qui convient à mon homme et qui n'est nuisible pour aucune tierce personne. Alors je vis mes ambivalences avec le recul nécessaire qui leur convient, en les considérant comme une singularité personnelle et en laissant libre cours à mes émotions quand je vois notre martinet.

Accroché pendant des années dans « l'étude » de mon homme, symbole de son autorité punitive, il comble à la merveille mes irrationalités.

Souvenirs de séances douloureuses pour payer mes fautes, penchée sur le bureau de mon homme, le martinet n'est pas un objet purement décoratif chez nous. Il sert... régulièrement... comme au bon vieux temps.

Je doute de son effet pédagogique dans le sens de transmettre du savoir. De me rendre meilleure sans trop savoir ce que cette expression veux réellement dire. Peut-être dans le sens d'équilibrer mes fortes jalousies, ma rivalité féminine qui se déclenche parfois pour un rien, mes disputes avec ma mère...

Mais je ne doute pas de sa contribution sur mon bien-être général...

Une idée comment cela se passe plus précisément ?

Si,si, mais j'en parlerai un autre jour...

samedi 14 juillet 2012

123 Liens de DD (18ème édition)


Ah, la fête nationale et le feu d'artifice. Je vais préparer un repas d'enfer sans oublier de me faire belle. Un air retro comme sur mon coup de cœur en bas dans mes liens. Seulement je ne jouerais pas la prof sévère comme la jolie pin-up sur un des clichés.

Allez, il fait super bon cette nuit et j'espère que demain ce sera pareil.

Un excellent week-end et un excellent 14 Juillet à tout le monde






















jeudi 12 juillet 2012

122 Administrer la correction la plus conjugale du monde (vers 1639)


En faisant de recherches dans mes archives sur une éventuelle coutume en France d'offrir un martinet aux jeunes mariés, je suis tombée sur ce fait divers datant vers 1639.

Évidement, rien ne dit que les légendes urbaines, notamment sur ce qui se passerait dans d'autres pays, n'étaient pas déjà à la mode en ces temps-là ! Alors et sans garantie de véracité une petite histoire moscovite:

Un homme de basse extraction quitta l’Allemagne, et se retira en Moscovie. Si vous êtes tant soit peu curieux de le savoir , il se nommait Jourdain. Le séjour lui ayant paru agréable, il résolut de s’y fixer, et s’y maria. Passionnément amoureux de sa femme , il n'épargna rien pour l’en assurer, mais ses efforts firent inutiles ; elle souffrait intérieurement d'un chagrin qu’elle voulait cacher, mais que la rougeur de ses yeux , ses soupirs et ses sanglots trahissaient à chaque instant.

Son époux lui demandant la cause de cette tristesse, et cherchant à deviner en quoi il avait manqué aux devoirs de la tendresse, elle lui parla en ces termes , après s’être fait long-temps presser.

«  Pourquoi fais-tu si bien semblant de m’aimer? Crois-tu me tromper ? Crois-tu me cacher plus long-temps que je suis vile à tes yeux? »

et en même temps elle versait un torrent de larmes. Jourdain étonné de ce langage , lui demanda en quoi il avait offensé ; que peut-être il avait manqué en quelque chose , mais qu'il réparerait cette faute par plus de soins.

Enfin, lui dit-elle , puisque tu fais semblant de l'ignorer, où sont donc les verges avec lesquelles tu m'as apprise à t'aimer? Ne sais-tu pas que c’est chez nous l'unique moyen que doivent employer les hommes qui veulent nous persuader de leur amour?

Jourdain à ce discours fut long-temps dans une stupeur profonde, et eut toutes les peines du monde à s’empêcher de rire. Bientôt, la première surprise passée, et sa femme persistant à lui parler sérieusement, il fut forcé de croire que ce traitement était indispensable.

Mais comment se résoudre à battre une femme qu'on aime?
Il n’y avait pourtant pas de milieu, il eut été haï; il s’y résolut donc avec beaucoup de peine.

Peu de jours après il saisit un prétexte d’humeur de sa femme , et prenant un bâton, lui administra la correction la plus conjugale. Le remède fit merveille , et sa femme commença à le chérir de la meilleure foi du monde.

Johann Heinrich Maibom : De l'utilité de la flagellation dans la médecine et dans les plaisirs du mariage ; Londre 1801;(Le livre original date de 1639)

mercredi 11 juillet 2012

121 Fessée déculottée en plein air


J'adore quand mon homme se donne un air sérieux pour m'enseigner la science romantique au service de la libido. Jolie expression qui montre clairement son recul envers ses propres rêveries.

Une bonne déculottée en plein air. Quoi de plus sain pour entretenir le capital jeunesse de l'épiderme du fessier ?

Il en sort des conneries. Et je n'arrête pas de rire avec lui. Il arrive parfois même à me détendre sur ses genoux, déjà préparée, la robe relevée et la culotte baissée. Juste avant de passer en action. Pourtant -plaisanterie à part- par la suite rien ne ternit son image du parfait père fouettard.

Alors quand il y a la possibilité, mon homme se fait un plaisir de me punir à l'air frais. Il en va de soi que je surveille bien mon comportement quand les circonstances se prêtent à un petit tour devant la maison. Je crois qu'il n'y a pas meilleure preuve pour l'efficacité de la discipline domestique. Mon fessier possède une excellente mémoire et Monsieur aime beaucoup quand j'affiche un comportement exemplaire. Mais hélas quand j'essaye de faire attention, cela ne se passe pas toujours comme je veux. Et dans ce cas :

A la main, isabelle. C'est plus bio.

Bon, il est rare que j'aie de quoi à contester le motif de ma correction. Je ne puis malheureusement donner tort à mon homme et l'idée de payer ma faute ne me dérange pas.

Par contre ce qui m'agace un peu c'est la lenteur de mon homme pour me déculotter dans ce cas. Le temps qu'il prend avant de commencer mon châtiment. Il me fait cuire, sans se fatiguer. Et je ne manque pas le loisir de sentir le vent effleurer la peau de mes fesses qui attendent.

Chacun à sa place...

... comme plaisante souvent mon homme quand je me trouve sur ses genoux.

Puis suivent 2 ou 3 minutes de traitement en crescendo. Largement de quoi pour que je fasse -pendant que Monsieur me siffle la marche- ma crise hystérique habituelle. Voici quelques symptômes :

...cris, insultes (sans grossièreté tout de même), pédaler dans l'air...

...promesses de m'améliorer, d'être sage, de travailler mieux sur moi

...puis l'instant de gratitude envers mon homme et la fermeté de sa main.

Je ne sais pas si la déculottée en plein air entretient vraiment le capital jeunesse de ma peau. Par contre je dois dire que la fessée en plein air me réussit bien.

Je suis particulièrement entreprenante le soir venu, je me fais largement pardonner d'une autre manière mon dérapage de comportement et autant Monsieur que moi nous nous réjouissons d'un sommeil profond et qui rend de bonne humeur dès le lendemain matin.