Mais
qui la mériterait en fait ?
Mon homme aime se souvenir de petits incidents de voyeurisme involontaire qui ont pris un
goût particulier pendant son adolescence. Ses amis, camarades
d'école aussi ! Il semblerait que ma présence (allongée sur
mon canapés en train de me vernir mes ongles) délie les langues.
Peut-être parce que tout le monde sait que je suis une nostalgique
de la glamour attitude et que je ne me prive pas d'accorder mes
sous-vêtements à ma passion. Je ne me livre pas à des séances
d'exhibitionnisme ostensible devant un public bon enfant, mais ce
sont les sous-entendus comme les plis de mes bas, mes hauts talons ou
ma façon de m'installer sur un fauteuil ou canapé qui chargent
l'atmosphère.
J'adore
ce jeu car je récolte bon nombre de compliments pour... mon
élégance.
Sortent alors de jolies anecdotes
concernant les aperçus indiscrets, veut dire l'histoire où un ado
pour une raison ou une autre aperçoit une partie de l'intimité
d'une dame. Rien de compromettant. Au mieux un haut de cuisse. Ce qui
me fascine dans ces histoires c'est la façon comme...
...un
banal acte de voyeurisme involontaire devient subitement un trophée
de chasse qui émeut un homme même 40 ans plus tard.
C'est en rentrant de l'école que mon
chéri, ado au début des années 70 passe à côté de la voisine de
ses parents. La dame s'étant pour une raison ou une autre penchée
très en avant, il réussit à glisser son regard sous sa jupe. Certes ce n'étaient
pas des porte-jarretelles version super sexy, seulement les
jarretelles d'une gaine qui tenaient une paire de bas couleur chair.
Vécu qui a vite échauffé son jeune esprit et dans sa fantaisie la
voisine est devenue héroïne de bien de rêveries indécents. Il a imagine d'abord
de recevoir une magistrale fessée pour son audace par les mains de cette dame. Il a aussi imaginé d'être
invité par elle dans son appartement, puis à être incité de lui
glisser les mains sous sa jupe. Sans oublier une fantaisie beaucoup
plus tardive de trouver la voisine et de lui appliquer une bonne fessée pour comportement éhonté.
La « dame impliquée », si j'ose dire, passe dans la rêverie
d'un rôle de « cible de voyeurisme » à une position de
séduction active, bien intentionnelle avec but d’inciter notre
jeune homme aux plaisirs de la chair. Notons les mille et un
souvenirs de messieurs qui ont été initiés par une dame plus
qu'âgée qu'eux. Ces anecdotes existent aussi au niveau de la
fessée. Forme de séduction à part entière, bien que sévère et
ardente. Avec un effet fulgurant sur ce qui se trouve sous le caleçon
du grand garçon. Il est toujours émouvant d'écouter les
confessions d'un grand gaillard qui s'imaginait au cours de son
adolescence allongé sur les genoux d'une stricte dame. C'est
tellement mignon de contempler comment les intentions non chastes
envers une dame se transforment par une culpabilité sous-jacente en
désir de punition sous forme de fessée.
Quelle
idée aussi d'espionner une dame en toute impunité !
Étant d'excellent public je ne serais
pas contre le fait d'assister à une séance de discipline domestique inversée. De
préférence chez une bonne copine dont le monsieur s'est rendu
coupable « d'insistance » envers ma personne. C'est un
fantasme vengeur en quelque sorte, pour les insistances masculines
réelles de la vie courante et qui trouve un dénouement ludique...