mardi 31 mai 2016

885 Trahie par mon rire

J'adore les fessées pour comportement indécent !

Voila qui prouve que j'aie vraiment réussi à mettre mon homme hors de lui, veut dire de lui avoir provoqué une sacrée réaction sous son caleçon. Pas besoin toujours d'une tenue ultra féminine sur la base du glamour traditionnel. Cela marche égalent avec un jeans bien coupé y compris la version short. Je parle surtout du mini-short qui dévoile copieusement la naissance de mes fesses. Sans oublier la petite touche romantique sous forme de quelques bordures dentelées. Je m'en sers pendant nos longues randonnées en montagne où la tentation se trouve en permanence devant les yeux de mon chéri. Normal que le pauvre n'en peut plus au bout d'un moment. C'est d'ailleurs le but. J'attends qu'il craque pour me pencher sur ses genoux.

Nous sommes loin de toute rationalité, de tout acquis social qui permet à la dame de s’habiller comme bon lui semble sans que cela soit considéré comme un harcèlement.

Alors quelle idée de chérir de se faire punir pour son comportement indécent ?

J'aurais envie d'objecter aux apôtres du fantasmatiquement correct :

Laissez-nous jouir voluptueusement de la culpabilité de « nos fautes » !

Rien que l'idée que je puisse recevoir une bonne fessée de la part de mon homme comme juste châtiment de mon comportement éhonté me met dans tout mes états. C'est un grand classique chez nous qui nous renvoie à notre rencontre.

Lui est moi, nous étions en jeans, 501. Lui moulant comme il faut et moi dans un modèle un peu trop moulant. Choisi bien évidement intentionnellement très serré, car en cette époque avec la vie que je menais, il n'y avait pas de risque de ce kilogramme de trop qui m'aurait empêchée de rentrer dans mon vêtement. Un jeans moulant provocant comme aime dire mon chéri. Il a attendu un peu plus de familiarité pour me parler de son attirance pour les dames avec...

einem drallen Arsch, un fessier plantureux,

ce qui désigne malgré le gros mot « cul » surtout un derrière rond et très ferme. Un très joli compliment en fait !

Puis, peu de temps après, il m'a parlé de son adolescence, d'un temps où dans bien de familles il faillait se battre pour le droit de porter un jeans. Car les mœurs étaient encore strictes, malgré un changement amorcé de la société par les événements de mai 68. Contexte qui m'a aussitôt inspiré la fessée et je n'ai pas hésité de le taquiner à ce sujet. J'ai appris donc que lui avait encore connu la vraie fessée, la déculottée et je l'ai aussitôt imaginé là, tel comme il était d'en recevoir une devant moi.

Pour lui apprendre de ne plus draguer des filles aussi provocantes que moi.

Voila qui m'a déclenché un fou-rire et c'est par ma façon particulière de rire, je serais tentée de dire voluptueuse qu'il a tout compris. Il est reste calme, stoïque en me rétorquant, mine de rien et sans profiter de la situation :

seriez pas en train de chercher une fessée là, isabelle ?

Une fois rentrée chez moi, je n'ai pas arrêté de remémorer la scène , en me voyant déjà sur ses genoux.

lundi 30 mai 2016

884 Vacances chez une tante sévère (Lundi cinéma)

Tu reçois encore la fessée, isabelle ?

C'est un fantasme qui date du temps quand j'ai commencé à fréquenter les princes charmants. Je me voyais en vacances chez une tante très à cheval sur la moralité d'une jeune fille et qui partait du principe que la continuation d'emploi de la bonne fessée déculottée n'est pas une question d'âge, mais de besoin. Avec le recul je dirais que cette « tante » était « calquée » au niveau de sa présentation sur certaines élégantes dames de mon entourage d'enfance et que j'imaginais à la hauteur une telle tache. Dotées d'une allure sévère sans manquer une belle touche de sexy. Dames que l'on appelle phalliques qui se comportent avec grande aisances devant les messieurs. Je dirais donc que j'étais chez elle en apprentissage pour devenir comme elle. Seulement elle ne m'estimait pas encore en âge de m'engager dans un commerce avec les princes charmants. Par conséquence elle surveillait mes sorties et j'avais consigne de rentrer de bon heure à la maison. Elle m'attendait en cas de retard avec une baquette bien souple, posée négligemment sur la table. Après une longue est sérieuse discussion entre femmes, nous passions dans son boudoir où elle me déculotta pour m'appliquer une correction éducative.

J'ajoute que j'ai parfois divagué vers les plaisir entre dames, m'imaginant me faire masser mes fesses avec une huile apaisante.

Mais plus encore j'aimais imaginer mes corrections observées par mon prince charmant. Par une fenêtre qui offre vue dans la pièce. Derrière une porte, prié par ma tante de nous excuser pendant un petit moment, car elle avait un mot à me dire. Ou encore invité ouvertement d'assister à ma correction pour regarder de ses propres yeux...

ce qui arrive aux vilaines filles !

Dans tout ces fantasmes avec ma tante seule, une fois ma fessée annoncée, il y avait toujours un angoissant frisson ce qui allait vraiment arriver à mes fesses. Pas exclusivement dans le sens de la douleur je veux dire. Par contre dans mes fantasmes devant prince charmant le mot clef était la honte de devoir subir une punition hors de mon âge devant ses yeux.

Puis en fin de compte, une fois reculottée et ma tante partie de la pièces, il me regarda d'un air très coquin en me disant :

Tu reçois donc encore la fessée isabelle !

Tandis que moi je baissait pudiquement mon regard en rougissant encore plus. Puis il ajouta :

C'est une excellente habitude. Nous allons la garder une fois en couple !

vendredi 27 mai 2016

883 Liens de discipline domestique (219 ème édition)

Au menu cette semaine : Fesser une fille...


Mon chéri adore les promenades éducatives en forêt. Il se sent inspiré et me surprend agréablement par ses idées pour me vanter le bienfait de la fessée ! Cul nu, cela va de soi. Il sait chauffer l'ambiance en composant pour moi un préliminaire verbal sur mesure. Adapté à mon humeur du jour. Adapté aussi et surtout aux petit soucis qui me tracassent.

Rien de tel qu'une bonne bouffée d'air frais pour expirer correctement les péchés de la semaine, isabelle !

Et effectivement déjà notre première expérience en ce sens fut fort concluante. D'abord je me suis sentie libérée du stress de mon travail qui me gâchait auparavant bien souvent mes week-ends. Puis surtout je me suis sentie sécurisée par le fait que loin des oreilles de tout autre être humain mon nouveau chéri avait trouvé le bon dosage pour s'appliquer sur mon popotin. Fermement, mais sans abus.

Un belle brûlure, me donnant une bougeotte d'enfer !

Et une envie de parler, parler, pendant que Monsieur s'était installé sur un banc pour m'écouter.

Ma maman m'avait prévenue que les forets donnent parfois de drôles d'idées aux garçons et donc de me méfier avec qu'y aller. Conseil dont je n'ai pas douté une seconde de la sériosité, une fois questionné mon papa à ce sujet. Je l'ai vu devenir un peu gêné et moi adolescente à cette époque j'ai compris mieux la sagesse profonde de l’histoire du petit chaperon rouge. Sommeille au fond de tout monsieur, même le plus adorable et gentil, le loup, son réservoir de pulsions en quelque sorte qui n'est pas forcement en phase avec le caractère. Et bien évidement quand l'on s'aventure avec lui sur le terrain de ce qui est de pré ou de loin sexuel, nous avons à faire... à ses pulsions qui remontent.

Si elles sont trop fortes ou insatiables on risque de se faire dévorer tout cru comme le petit chaperon rouge.

D'où l’intérêt de bien choisir sa compagnie pour que le fantasme de la fessée en forêt reste un plaisir à l'état pur.


Un post qui mérite attention, car il parle joliment du « besoin d'un filet de sécurité » de la dame. D'où l'utilité du safeword. Je n'avais pas envisagé qu'il existe des dames (ou toute autre personne) qui n'osent pas émettre un tel mot quand elles se sentent dépassées par la situation. Puis par extension je me suis souvenue de mes très rares erreurs de parcours dans la vanille. J'avais envie de dire au monsieur :

Arrêtons, cela ne colle pas entre nous,

mais je ne l'ai pas fait parce que j'avais l'impression que cela ne se faisait. Ceci dit pendant mes presque 18 ans de de discipline conjugale, il m'est arrivée de dire stop à mon chéri lors d'une fessée... juste pour voir s'il respecte mon non. Ben oui, il le fait sans que cela ne lui pose problème. Résultat :

Je me sens en sécurité avec lui !

Et ce sentiment de sécurité se propage par extension dans toutes les domaines qui concernent notre couple !

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !

















Ces marques blanches (petit clip)

jeudi 26 mai 2016

882 Un lien perso entre fessée et sodomie

Tu mériterais une bonne fessée

Comment décrire mieux le caractéristique de mon fantasme de la fessée que par cette petite phrase qui s'impose subitement à ma conscience. Oh que non, ce n'est ni un constat de culpabilité honteuse, ni de plus chaste. Car aussitôt la petite phrase dans ma tête, se manifestent des sensations de plus agréables dans ma petite culotte.

La « menace » d'une « bonne fessée » m’émoustille depuis mon enfance.

Derrière cette en apparence si innocente expression se cache - outre une belle montée adrénaline - une plaisante sensation dans mon entrejambe. Elle se manifesta d'abord - quand j'étais encore toute petite - dans … mon derrière. Précieux indice pour dater mon fantasme, se situant à un âge où l'on est encore « trop occupé par ses fesses » pour s’intéresser à la différence entre garçons ou filles. Toutefois vu que cette sensation se localisait parfaitement à l’intérieur de mon corps et que la menace venait de l’extérieur, se forma un lien mettant en rapport une action extérieure à une sensation intérieure.

La petite menace me fit inconsciemment l'effet d'une invitation à une activité plaisante.

D'où un agréable frisson à l'entendre et d'où une certaine insolence de ma part envers les personnes qui sortaient parfois cette expression. Ajoutons, vu mes agitation, que la fessée me semblait dans mes rêveries comme un juste châtiment. On peut même attribuer le qualificatif mérité à un acte réussi de séduction/provocation de ma part. Mon fantasme s’accompagnait littéralement d'un trouble, car punition et plaisir se cofondèrent, sans que cela ne me devienne clair. Et devenue ado, je me suis posée la question pourquoi une action censée de faire mal, puisse se charge pour moi de volupté.

Nous trouvons les vestiges de ce processus dans l'expression de « désir coupable ».

Notons que le « désir coupable », peu importe son contenu exact, peut accompagner certaines dames au fil de leur vie d'adulte sous forme d'une inhibition de se montrer active (sexuellement ou dans un contexte de séduction), adoptant un mode : Monsieur propose, Madame ...

Puis ma sensation s'est déplacée vers le devant me donnant par commodité anatomique une cible plus « élégante » et pus facile à atteindre et à manipuler. Entendons par-là, la poésie de la vilaine main sous la couette. En gros, le « petit bouton », épicentre de la sensation voluptueuse m'a servi pendant des longues années comme intermédiaire - selon une réflexion de Freud après lecture d'un texte de Lou Andreas-Salomé! - pour « faire glisser la sensibilité anale au vagin ».

Toutefois ce « déplacement » m'est resté réversible.

Voila pourquoi la fessée, selon les jours, mes humeurs, la situation etc me provoque des titillements dans de différentes zones de mon corps et pourquoi parfois - sans que cela soit systématique - je me passionne pour la « discipline... rectale » comme conclusion d'une journée corrective.

mardi 24 mai 2016

881 Candaulisme intellectuel (petite fiction ou non)

Je vais le dire à ta maman que tu me mets toujours ta main sous ma jupe. Tu va voir tes fesses !

« Toujours ? »... bien entendu j'exagère. Je ne supporterait pas un homme qui veut me tripoter en permanence. Ce qui est à sa base un stimulant du désir et de la bonne humeur, deviendra alors très vite un réflexe sans signification, autant pour la dame que pour le monsieur. Une routine de couple.

Pour ma part je préfère la bonne éducation, le toucher avec les yeux.

Je suis facilement troublée quand je vois le regard de mon chéri s'attarder sur la couture de mes bas. Et pour éviter la main nerveuse j'ai trouvé une parade infaillible qui selon ses dires comble sa compulsion de vérification. J'opte pour des jupes et robes moulantes qui permettent à mes porte-jarretelles de se dessiner au travers du tissu. Le choix de la matière n'est pas évidente, mais mon homme se fait un plaisir de m'accompagner lors de tels achats pour me conseiller. Il n'est d'ailleurs pas le seul grand garçon qui s'adonne au jeu de guetter les petits signes ce que la dame porte sous sa jupe. Ces amis, hommes nostalgiques d'un certain age, sont pareils. Leur sens de voyeurisme se manifeste sous une forme bon enfant :

Vous êtes particulièrement en beauté ce soir isabelle !

Sans que cela n'aille plus loin. Le fait que le monsieur en face de moi sache que j'accroche mes bas à l'ancienne crée une sorte de complicité, un délit d'initié qu'il convient de ne point nommer. Voila où intervient la fameuse bonne éducation. Littéralement, car quasiment aucun des amis de mon homme n'y a échappé en son temps.

Je soupçonne d'ailleurs cette éducation à l'ancienne d'être la cause d'une libido qui a appris à faire des courbettes devant une dame.

Comportement que l'on nomme habituellement galanterie. Bref s'est agréable de pouvoir converser en bonne compagnie, de se sentir désirée sans que cela dégénère en « drague ». Rien ne vaut à mon avis un monsieur avec conversation, inspiré par un soupçon d'érotisme pour passer un excellent moment. Ayant une soif de connaissance sans fin, j'aime écouter, j'aime apprendre, j'aime que l'on m'amuse, j'aime rire.

Non, il n'est pas jaloux mon chéri.

Il est fier de sa dame, fier de la bonne impression qu'elle laisse auprès notre entourage... masculin.

Je pencherais avec grande probabilité vers une sorte de candaulisme intellectuel.

Car et ceci c'est son péché mignon, il adore finir une soirée un peu mondaine de manière de plus charnelle. Arrive enfin le grand moment de la vérification : Si je porte une culotte ou un string. Si mon allure « raide comme un piquet » souligne ma position de femme phallique ou trouve son origine dans un bijoux phallique que j'aie glissé dans un endroit intime en cas de m'ennuyer pendant la soirée. Sans parler de son plaisir de pouvoir trousser ma belle jupe droite en laine vierge pour dévoiler mon derrière parce qu'il estime...

qu'une bonne fessée serait le couronnement d'une si belle soirée !

Ayant été flattée comme ce n'est pas permis pendant des longues heures, j'aime beaucoup cet atterrissage. Il y a quelque chose de possessif dans son acte et aussi un air de marquer son territoire. La main souple, plus attentif de combler mes oreilles que les capteurs de sensations fortes de mon épiderme, il se laisse aller à une improvisation pour chauffer la place, sa place ! Mais contrairement aux apparences frivoles de ce préliminaire, nous adorons finir la soirée de manière de plus classique: 

Les yeux dans les yeux !

dimanche 22 mai 2016

880 Être témoin d'une fessée (Lundi cinéma)

Quand je pose des questions indiscrètes !

Je suis très sensible au charme de la « grande fille », veut dire une femme adulte qui pour une raison ou une autre se plie à un rituel traditionnel. Contrairement à une constellation avec un monsieur, toujours liée pour moi en fin de compte à la sensualité par le biais de la différence, je trouve le pendant avec une dame autrement "pervers". Entendons par autrement pervers un acte éducatif en apparence qui déjà par les éléments seyants comme la nudité du derrière de la dame punie prend en arrière fond une connotation fort charnelle . Notamment pour la personne qui regarde.

J'ai demandé à mon chéri comment il réagirait !

Déjà il est assez sadique coquin galant pour imaginer que ce soit moi la petite dame sur les genoux d'une sévère gouvernante. Confidence de plus flatteuse pour moi après une longue vie de couple. Le connaissant il sait garder son sérieux en toute circonstance. Par conséquence il ne lui manquera pas d'idée pour mener une conversation de plus inspirée avec la dame qui punit. Sur les bienfaits d'une éducation stricte. N'oubliant pas son sens d'autodérision pour préciser d'être passé par-là aussi, pour sa part. Bref j'ai vu ses yeux qui se sont mis aussitôt à briller, puis le trouble se propager dans son corps.

Alors comme cela tu m'imagines, les fesse à l'air et bien rouges sur les genoux d'une dame ? Tu n'as pas honte ?

Au contraire je prendrais un sacré plaisir !

Bon, il ne doit pas être le seul homme avec de telles fantaisies. Mais jamais il m'a demandé de les réaliser. Enfin, étant de la génération moderne, je n'ai pas besoin d'un partenaire qui propose pour que je dispose. Au contraire je sais manifester mon désir toute seule. Bref je l'adore car il ne me prend pas pour une princesse nunuche, mais pour une femme consciente de ce qu'elle veut.

Certes, il n'est pas le prototype de tout homme et moi je suis trop grande pour une conception aussi simpliste du monde. J'ai donc posé au fil des années la question à quelques messieurs de mon entourage très proche quand une bonne occasion se présentait. Précisant qu'il s'agit de messieurs d'un certain âge. En excluant bien entendu de mon enquête les personnes qui ont vécu les punitions corporels dans leur enfance comme un traumatisme. Résultat :

Visiblement la scène trouble du moins par le fait de la nudité des fesses de la punie.

Chez les plus hardis j'ai compris que le spectacle serait source d'une forte émotion libidinale.

Curieuse la petite isabelle ?

Ben ouiiii !

vendredi 20 mai 2016

879 Liens de discipline domestique (218 ème édition)

Au menu cette semaine : Nudité pesante... nudité troublante !


Un fantasme qui me semble - tout subjectivement - bon enfant, donc nocif pour personne et très facile à réaliser.

Non, non cela ne me pose pas le moindre problème avec mes convictions féministes.

Tout simplement parce que ma maman (et mon papa aussi!) faisaient parfois le ménage tout nu … pendant nos vacances naturistes. Puis de manière générale je ne vois rien de « dégradant » dans le fait de faire le ménage, ni dans la nudité devant la personne que j'aime, ni dans un mélange des deux. Et encore moins de le faire dans un but de provoquer une réaction sexuelle de on partenaire.

Je peux comprendre le trouble qui s'empare d'une personne pudique, veut dire quelqu'un qui sexualise facilement malgré lui la nudité dans certaines circonstances.

Ce qui est le cas de mon chéri. Il m'a mis vite les cartes sur la table sur son étrange rapport avec la nudité. J'ai compris qu'il s'agissait de rationalisations, veut dire sa façon personnelle de s'expliquer la genèse de ses fantasmes. Ayant reçu la « fessée déculottée » dans son enfance, l'acte de devoir ou simplement de montrer le derrière dans son plus simple appareil lui provoque une forte émotion. Sous forme de certaines inhibitions selon les circonstances quand il s'agit du sien et sous forme d'un plaisir de plus jouissif quand il s'agit du mien. Voila qui tombait bien parce que moi à ce niveau des inhibitions je n'en ai pas. J'aime ma nudité façon coquine pour lui donner des idées ou façon punitive pour qu'il se rince l’œil sur mes fesses rouges, encore fumantes comme il aime dire. Et parce nous ne badinons pas avec la discipline domestique, c'est bas les pattes.

Interdiction de me tripoter pendant que je cire le parquet ou les carreaux.

Cette petite cure d'abstinence lui fait du bien (il vient juste de s’éclater sur mon derrière, n'oublions pas!) et lui donne une super forme pour plus tard. Puis je sais agrémenter la situation avec mes petits tabliers blancs bordés de dentelle !

A ma connaissance la nudité au ménage est un fantasme qui comble pas mal de messieurs de la génération de mon chéri. Leurs mamans faisaient le manage en présence de leurs petits qui n'en perdaient pas la moindre miette. Alors quand mon chéri parle avec ses amis de l'enfance, ressortent toujours les petites anecdotes sur les aperçues coquines. Un haut de cuisse dévoilé, la jupe qui remontait quand leur maman se baissait et ainsi de suite. C'était pour chacun d'eux le grand moment de s'adonner à la poésie œdipienne à l'état pur.

Quand je serais grand je veux être calife à la place du calife !

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !



Pas d'excuse (petit clip)














mercredi 18 mai 2016

878 Une fessée punitive... ratée (petite fiction ou non)

Il ne se vantera pas de celle-là !

Je fais partie de ces dames qui ont plutôt une conception de fantasmeuse envers la fessée. Regrettant parfois amèrement au moment de la vérité cette lubie de ma sexualité.

C'est surtout l'idée de me faire botter le derrière qui stimule fortement mes émotions et mon émoustillement.

Et plus précisément encore le fait de devoir exhiber mes rondeurs toutes nues pour une danse qui se fait dans une impudeur totale. Car le rythme et l'intensité des claques donne très vite lieu à des mouvement involontaires. Impossible à partir d'un certain degré de cuisson de pouvoir feinter les sensations comme cela est possible dans la vanille classique. Je suis le mouvement et voilà pour un éventuel témoin une fessée de plus crédible avec moi pédalant dans l'air avec mes jambes.

C'est cet aspect de vrai qui fait exploser la braguette de mon chéri !

Ce qui revient à dire que fesser sa dame rassure un grand garçon sur sa vision de jadis, imaginant ce rituel punitif suffisant pour envoyer une femme au septième ciel. Certes, il y a un rapport avec la lune, mais c'est avant tout le « conjoint sous le caleçon » qu'y croit encore dur comme du fer. Il ne se laisse pas convaincre par la rationalité d'adulte.

Connerie ces théories psychanalytiques !

Pendant que les claques pleuvent, j'ai vite tendance à évacuer la brûlure par mes petits cris qui deviennent au cours de l'action... ardents. Là, mon chéri, ayant un penchant pour les dames bruyantes, a de plus en plus de mal à cacher son plaisir que je sens au top de sa forme en dessous de moi.
Il m'impose fermement sa cadence et moi... je prend plaisir à m'y plier.

Loin de me sentir soumise, je me sens... femme, réactive au va et viens de la main de mon homme.

Mon homme est très sensible à la belle rougeur de mes fesses, fruit de son acharnement sur mon épiderme. Il en va de soi que mon fessier ne manque pas de fermeté et par conséquence chaque « nuance de rouge » se mérite durement. Je comprend donc parfaitement qu'il aime m’envoyer par la suite au coin pour admirer son œuvre. Un instant hautement érotique qui vie du trouble d'un regard dans mon dos. Du fait que je crois sentir son regard parcourir mon corps, ma nudité pour se glisser entre mes jambes.

Le coin, serait-il une sorte de jeu de bandeau pour intellectuelles ?

Je ne sais pas ce que pense mon homme pendant qu'il me fesse. Étant une femme, à vrai dire, je m'en tape un peu de sa métaphysique. Ce sont les garçons qui veulent tout savoir. Les filles, elles, savent quand le mot n'apporte plus rien au plaisir. Comme en cet instant magique quand je sens la vigueur de mon mâle sous mon bassin. Stimulée par mes gigotements, il doit prendre du bon temps. La preuve : Il y a déjà eu des « accidents domestiques » et j'avoue que pour moi c'est un comble extase quand mon chéri me relâche avec une double tache sur son beau jeans. La mienne et la sienne. La vision est encore plus seyante quand il porte une cravate. Le mâle autoritaire (notons la belle confusion fantasmatique avec... viril), arroseur arrosé si j'ose dire, qui me dévoile la vraie signification de sa morale punitive.

Regarde ton beau pantalon ! Tu n'aurais pas pu attendre que je te fasse une petite sucette, chéri. !

Zut, il m'a punie pour insolence et visiblement cette fessée un peu trop
sensuelle qui vient juste de se finir n'a pas su corriger mes mauvais comportements.

Il aurait du prendre le martinet comme d'habitude !

dimanche 15 mai 2016

877 Une fessée pour la secrétaire délurée (Lundi cinéma)

Trouve-t-on encore des secrétaires assez "délurées" pour porter jarretelles et bas sous leurs jupes ???

Question que l'on m'a posée récemment et qui m'a fait rire parce qu'elle m'a rappelé étroitement mon chéri à nos tout débuts. Visiblement le fantasme de la jolie secrétaire hante l'imaginaire de bien de messieurs. Ayant vu de moi une photo en « tenue de combat », de travail je veux dire et me connaissant jusque là uniquement en habits décontractés, il fut subjugué par ma double personnalité.

Une isabelle peut en cacher une autre !

Parée de mon look « parfaite secrétaire », tailleur avec sa jupe droite, j'étais en train d'exposer mon plus beau sourire « pub dentifrice ». De plus, étant prévenue d'une prise de photo, j'avais mis exceptionnellement des hauts talons. Petit secret que je me suis gardée pour moi en savourant l'effet de ma présentation :

T'es vraiment craquante en parfaite secrétaire, isabelle.

Sans y ajouter toutefois un des ses futurs grands classiques, car il ne me connaissait pas encore très bien...

Tu mériterais une bonne fessée pour harcèlement sexuel !

Je n'ai pas échappé à une question sur mes sous-vêtements. Il voulait savoir si je mettais des porte-jarretelles sous mon tailleur. Non pas au travail, mais en privé. Je suis restée très évasive dans ma réponse, stimulant ainsi encore plus sa curiosité. Il n'a pas arrêté de me parler de son fantasme de la secrétaire sexy me mettant au centre de ses éloges pour le chic d'antan. C'étaient des rêveries bon enfant, tournant surtout autour de situations de voyeurisme. Ce fut un coup de foudre fantasmatique !

J'ai compris que j'avais trouvé l'homme de ma vie, capable de satisfaire mon narcissisme.

En ayant la passion de ne pas se lasser de me regarder sous toutes les coutures si j'ose dire. Puis aussi de ne pas hésiter de m'offrir de belles choses pour me mettre en scène pour lui. La perle rare quoi. Car en fait, « le bon coup » se trouve assez facilement. Étant ado, ma maman m'a bien expliqué comment le reconnaître et cela marche très bien.

Je ne suis pas du style d'aguicher sur un lieu de travail, mais j'adore en privé aguicher l'homme que j'aime. Et je sais me montrer très crédible en (fausse) secrétaire qui n'a pas froid aux yeux. Sans qu'il y ait forcement question de fessée. Ajoutons que j'adore quand si mon comportement « délurée » fait un effet visible à mon partenaire.

vendredi 13 mai 2016

876 Liens de discipline domestique (217 ème édition)

Au menu cette semaine : Une confession ….


J'ai toujours trouvé troublant d'écouter les confessions intimes, de préférence les yeux dans les yeux. Alors je pince me lunettes entre mon index et mon pousse, façon...

continue à causer tu m’intéresse !

Puis je les baisse un peu pour lancer par dessus de la monture un regard que les âmes naïves appellent en Allemagne un Schlafzimmerblick (regard de chambre à coucher). Je parle de naïfs, parce que cet effet est provoqué par ma grande myopie qui ne me permet pas de focaliser correctement ma cible. Rien à voir (à priori!) avec un début de déchaînement de ma libido.

Mais parce que ma vue se trouble, certains me trouvent apparemment... troublante !

Je me souviens de mon chéri à nos débuts, pourtant un brillant orateur avec charme, humour et surtout contenu dans son discours. Il fut vite déstabilisé par mon gestuel, mêlé à un langoureux :

...ah oui ?

On dit souvent troublé comme un ado, comme un écolier, voire comme un puceau ou une pucelle. Voilà qui renvoie la source du trouble à notre enfance, à notre plus grande énigme à résoudre sur le chemin de devenir adulte :

D'où viennent les enfants et plus précisent comment fait-on concrètement pour les faire ?

Seulement l'enfant ne dispose pas de données suffisantes pour répondre correctement à cette question. Par contre il connaît très bien le frisson de sensations plaisantes qui le traverse en évoquant certaines rêveries. Rassurons-nous, quasiment aucun petit enfant ne saurait associer ses sensations plaisantes à la réalité d'un acte sexuel classique entre adultes. La conception de cette « scène primitive », le coït parental reste trouble et se cache derrière une forme symbolique qui recueille la charge émoustillante. Voila pourquoi, comme par enchantement, chez certains et certaines c'est l'acte de la fessée qui prend une toute autre dimension :

Troublante et excitante à la fois !

Puis comme sera encore plus grand le trouble de notre enfant – en grandissant - au moment où il s’aperçoit que l’excitation attribuée à la fessée est vraisemblablement de la même nature que celle ressentie dans un acte sexuel classique. Et bien que la connaissance de l'acte répond clairement à la question d'où viennent les enfants, elle ne répond toutefois pas à la question pourquoi la chargé émoustillante de la fessée persiste. Notons aussi que la double signification de la fessée, punition et acte sensuel à la fois, ne contribue pas à éclaircir le trouble...

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end  de Pentecôte !








Court, mais intense (petit clip)










jeudi 12 mai 2016

875 Les confidences intimes d'Anne-Sophie 3


Et comme dans la semaine dernière je poste mon commentaire... dans les commentaires. Voici la suite :

10. J'aime la soumission mais ne suis en aucun cas une masochiste.

Savoir que la moindre bêtise sera sanctionnée d'une fessée ça me rassure. La fessée permet de me rendre plus sage, elle me permet de comprendre que je dois bien me comporter. Si je ne me soumets pas aux règles et bien je reçois la fessée.

J'ai appris grâce à la fessée que c'est très confortable de se soumettre à l'autorité. J'ai réalisé que c'est apaisant et rassurant de savoir que quelqu'un d'autoritaire et strict me fasse évoluer dans le bon sens.
Jean Philibert me donne la fessée dès que j'agis mal et il me félicite si je progresse.

Il me demande de faire certaines choses pour mon bien. Par exemple lorsqu'il constate que je suis fatiguée il exige que je ne veille pas après 22 heures. Et si je désobéis c'est la fessée. Jean Philibert n'admet pas que je fasse des caprices alimentaires. Je veux systématiquement laisser de la nourriture dans mon assiette. Jean Philibert me dit alors: "Tu finis ton assiette ou c'est la fessée!".

J'aime me soumettre aux exigences de mon loulou. De plus ce ne sont que des exigences sensées. J'aime devoir obéir et je déplorerais même le fait de ne pas avoir assez souvent de contraintes, je souhaiterais avoir à obéir davantage encore. J'éprouve de plus en plus de plaisir dans la soumission. Je me sens protégée dans la soumission. Je me sens aimée dans la soumission.

En revanche je n'aime pas la douleur physique que me provoque la fessée. C'est la soumission qui excite mes sens. C'est la "fessée mentale" qui me plaît. L'idée d'être punie m'excite.

L'idée de recevoir la fessée me plaît. Mais recevoir la fessée me déplaît. C'est en ce sens que je ne me définis pas comme une masochiste. (Une personne masochiste prend du plaisir à recevoir une fessée;ce qui n'est pas mon cas).

11. L'importance des mots.

Dans la fessée ce sont tout particulièrement les mots que j'aime et ce sont les maux que je n'aime pas.

Je vais vous énumérer les nombreuses phrases qui déclenchent chez moi une forte excitation. Et sans cette excitation, la crainte et le respect de mon "Maître"ne peuvent être ressentis.

Ainsi, comme j'intellectualise la fessée, voici les mots que j'aime lire ou entendre:

-Tu vas recevoir une sacrée bonne fessée.
-Tu as mérité la fessée.
-Tu dois être punie et c'est donc une bonne déculottée que tu vas recevoir.
-Tu n'as pas été sage?Tu vas avoir la fessée.
-Tu ne vas pas échapper à la fessée.
-Tu peux être sûre que tu vas recevoir une bonne fessée déculottée.
-Je vais baisser ta culotte et te flanquer une sacrée bonne dérouillée.
-Je vais descendre ta culotte et te donner la fessée.
-Ce soir tu auras la fessée.
-Tu dois être punie et tu vas donc recevoir la fessée et tu iras au coin 6 minutes.
-Tu ne comprends que par la fessée.
etc

Comme vous pouvez le constater le mot "fessée" est récurant dans toutes ces phrases qui me sont indispensables. Ce mot "fessée"déclenche en moi une vive émotion.
 
Plus que les maux ce sont les mots que j'aime dans la fessée !
  
Merci Anne-Sophie  pour ces belles réflexions !

mercredi 11 mai 2016

874 Retour dans le droit chemin

Ne sous-estimons pas l'importance de la consolation !

A chacun sa façon de vivre sa fessée. Mais il y a tout de même un truc tout basique qui me turlupine. Comment après une fessée qui se veut punitive, ludiquement ou avec une réelle intention de châtier, on peut passer directement aux attouchement sexuels sans passer par la case de la consolation. Par la case de la tendresse. Ce petit moment à deux, de prendre la dame sur ses genoux, non pas pour une fessée de plus à la façon d'un rustre, mais pour lui faire quelques câlins.

Ne serait-ce pour la remercier de son aimable permission de lui claquer le popotin.

Je pense qu'il s'agit d'une étape indispensable pour passer d'un registre à l'autre. Il faut être bien naïf pour croire que le punitif construit sa jouissance autour d'une « excitation mécanique » provoquée par des claques plus ou moins habiles ou intenses sur le derrière. C'est un peu comme la légende urbaine de l'étalon qui par sa virilité inépuisable croit laisser une impression impérissable chez la dame. N'empêche, il n'a pas tort, mais peut-être pas dans le sens qu'il ne l'imagine.

Je pense qu'une personne qui aime le punitif cherche avant tout un état psychique, nécessaire à l'effondrement de certaines inhibitions sexuelles.

Voila qui explique la nécessité d'une certaine douleur pour que la punition soit vécue comme telle. Le seuil dépend de la personne. La transition vers le registre sexy prend un certain temps. D'où l'astuce d'envoyer la dame au coin pour les messieurs trop pressés. L'épreuve de la patience, c'est bien pour eux. Bref, coin ou pas coin, j'adore quand mon homme me prend « autrement » sur ses genoux après une punition...

...en me massant mes fesses rouges et en me faisant des bisous !

Je me sens pardonnée et sécurisée. Ce qui reste de mon besoin de punition s’évapore et je prend pleinement conscience de jolies sensations dans mes fessées qui se propagent vers mon entrejambe. Mon homme aime beaucoup que sa petite dame laisse une belle tache humide sur son pantalon. Cela stimule sa virilité de voir l'effet qu'il me procure.

Ce processus de macération comme il aime dire me permet de me glisser dans le registre charnel. Je me sens prêtre pour de nouvelles aventures. Pour m'installer entre ses jambes, pour lui déboutonner la braguette et pour le récompenser sans hâte d'une longue et savoureuse fellation. Fière de mon chéri qui m'éduque avec une sévérité d'antan, mot de code pour dire qu'il sait me procurer un comble d'extase dans ma petite culotte. Et si l'envie lui chante de me retourner, je me sens comblée, car...

...à moi maintenant de le ramener dans le droit chemin.

lundi 9 mai 2016

873 Dilemme pour la dame (Lundi cinéma)

Mes premières fantasmes autour de la fessée n'avaient en apparence rien de jouissif !

Il s'agissait d'évocations de claquantes et sonores fessées punitives, appliquées par un monsieur d'un certain âge. Toutefois il y avait un sacré frisson à l'idée de devoir dénuder mon fessier avant de passer sur ses genoux. Puis ado j'ai pris conscience que ce fantasme était tellement présent en moi que j'ai souhaité de l'intégrer dans ma vie d'adulte.

Mais comment allaient être perçus mes désirs par un éventuel partenaire ?

Voici le témoignage d'un monsieur sur un forum allemand qui a dû mal à comprendre le fantasme de sa dame. Pourtant cette dernière a été très claire avec lui dés le début de leur relation en lui expliquant qu'elle était flagellante éducatif. N'ayons pas peur de ce mot qui s'utilisait en Allemagne dans le temps (le témoignage date de la fin du siècle dernier) comme un faute de mieux pour ce que l'on appelle de nos jours la discipline domestique, c'est à dire le désir de se faire punir pour de vrai.

Elle m'a dit que ce fantasme était en elle depuis toute petite. Il s'agit du flagellantisme éducatif qui n'a rien à voir selon elle avec le sex. Elle se sent ado dans sa tête et souhaiterait que l'on lui pose des limites, que l'on l'éduque.

Pour cela elle aime provoquer. Après quelques mises en garde elle attend que je la mette sur mes genoux pour lui donner une fessée d'avertissement. Puis elle continue à provoquer en attendant cette fois-ci que je la déculotte avant de la mettre sur mes genoux. La nouvelle fessée sert pour lui réchauffer le derrière. Puis intervient une troisième série de provocations avec comme but que je sorte enfin le Rohrstock (la canne).

Malheureusement ce monsieur ne se sent pas à la hauteur pour réaliser le désir de sa dame. Effectivement son rôle peut paraître ingrat. Rappeler sa dame à l'ordre et de lui appliquer des punitions d'un autre âge ne manque pas à évoquer une construction machiste. Voila pour dire à quel point le monde des fantasmes est complexe. Notre logique rationnelle ne nous est pas de la moindre utilité pour s'y approcher.

Un fantasme reflétant un désir pulsionnel n'a pas pour but de manifester ce qu'il y a les plus noble dans l'être humain, mais ce qu'il y a de plus vrai, l'ecce homo.

Le fantasme se moque de tout : de nos convictions, de nos aspirations nobles, humaines ou spirituelles. Alors pour le rendre socialement acceptable, notre partie rationnelle passe du temps pour donner un emballage acceptable à ce qui nous titille. Voila qui aboutit à pas mal de fantasmes de fessée prenant des apparences d'un jeu de rôle.

Mais la petite dame en question ne veut pas un jeu. Elle veut du vrai, voir réagir son compagnon en père fouettard à ses provocations !

Son fantasme ne reflète plus comme dans un scénario ludique une recherche de jouissance sexuelle particulière sur un mode de transgression de nos convention sociales de bonne conduite d'un homme envers une femmes. La jouissance de la dame se confond avec une vraie punition, acte hautement perturbant pour la monsieur. Entre ceux qui abusent de la situation et ceux qui n'osent pas, le dilemme pour la dame dans la discipline domestique est facile à comprendre...

...elle se sent incomprise !

vendredi 6 mai 2016

872 Liens de discipline domestique (216 ème édition)

Au menu cette semaine : Petite phrase grand effet ou...


Il n'y pas que la méthode classique qui fait de l'effet. Mon chéri  a hérité en quelque sorte de sa maman la passion pour la discipline cuisante. Son éducation stricte fut déterminante pour son choix de sa future carrière :

Éducateur spécialisée pour grandes filles en manque de bonnes manières.

Et parce que je le trouve plutôt sérieux par ses motivations et compétences il a pu avec ma permission s'installer confortablement dans ce rôle tant convoité. Je frissonne à l'idée de le voir scruter mes comportements, sachant très bien qu'en cas de mauvaise prestation il n’hésitera pas de me trousser mes jupes et baisser mes strings pour me claquer avec conviction et sérieux mon popotin. Ceci dit, sa première qualité consiste à ne pas abuser de bonnes choses. Une ou deux fessées par semaine, pas plus. Puis selon sa devise :

Courte , mais intense,

il ne s'éternise pas non plus. Quelque courtes minutes qui me semblent interminables et l'affaire est réglée. Voila qui nous a permis de garder ce stimulant dans un excellent état au fil des années. Bien que notre faible pour la fessée éducative, nous ne sommes pas dupes sur ses effets secondaires.

T'es encore toute mouillée, isabelle ! T'a pas honte ?

Dit celui dont les idées pas chastes sont trahies par une virilité triomphante sous son jeans.

Il m'arrive souvent de rigoler de mon étrange lubie. Une assiette non finie, une insolence verbale envers une personne de respect ou une attitude indigne d'une dame, voilà qui réveille mon besoin de punition. Et franchement je serais très déçue que dis-je furieuse si monsieur ne cours pas à mon secours.

Voila ma vision personnelle de me faire tirer d'une situation désagréable par mon chevalier galant.

Sous forme d'une superbe fessée. Fortement claquante, suffisamment douloureuse pour me faire réfléchir et... si émoustillante pendant que je fais prendre l'air à mes fesses au coin. Petite action magique, source de bonheur pour mon chéri. Il ne se lasse pas de zieuter cette belle luisance de la fille bien corrigée dans mon entrejambe. Effet rehausse et mis en valeur par mon épilation intégrale qui lui fait dire que...

rien ne fait transpirer une vilaine fille autant qu'une bonne fessée !

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !


















jeudi 5 mai 2016

871 Les confidences intimes d'Anne-Sophie 2


Et comme dans la semaine dernière je poste mon commentaire... dans les commentaires. Voici la suite :

7. Pourquoi la fessée réussit elle à corriger mon comportement?

Dans le sens où la fessée me fait mal physiquement et que je n'en éprouve aucun plaisir, je ne souhaite pas la recevoir. Je crains beaucoup les fessées.

Mon comportement compulsif envers le sucre a été maîtrisé grâce aux nombreuses déculottées que j'ai reçues. A chaque fois que je mange du sucre je reçois la fessée. Dès que j'ai une envie de sucre je pense à la fessée qui va s'ensuivre et mon envie disparaît comme par magie!
Jean Philibert est intransigeant. Un seul petit bonbon ou un petit biscuit et c'est la fessée qui tombe.

J'ai dû recevoir de nombreuses fessées pour comprendre que je ne devais plus succomber à la tentation du plaisir que m'octroie le sucre. Le déplaisir de la fessée a pris dorénavant le dessus sur le plaisir du sucre!

8. S'améliorer grâce à la fessée.

La fessée m'a permis de ne plus avoir un comportement compulsif face au sucre. Alors oui il m'arrive quelquefois d'en reprendre(c'est comme une drogue cette addiction au sucre!)et là... la fessée tombe et mon envie de récidiver disparaît. Je crains tellement les grosses déculottées que je m'efforce au quotidien de bien me tenir. Et ce n'est pas chose aisée car je suis une femme très chipie, très "difficile"!

Maintenant que le travail de coaching au sujet du sucre est terminé, Jean Philibert s’attelle à corriger mon comportement capricieux et coléreux! Et il y a du boulot!!! La fessée a donné de tellement bons résultats pour me faire arrêter de manger des sucreries que nous avons décidé de pratiquer la fessée conjugale. Ainsi toutes mes bêtises quelles qu'elles soient, mes écarts de comportement, sont sanctionnés par la fessée. A chaque caprice c'est la fessée. Chaque colère est punie par une bonne fessée magistrale.

9. La fessée annoncée.

Lorsque je fais une bêtise je l'avoue par texto ou par téléphone aussitôt à Jean Philibert. Je suis alors immédiatement prévenue que je vais recevoir une fessée. Cette annonce de la fessée provoque en moi une grande émotion. Savoir que ma bêtise mérite la fessée me permet de prendre conscience que ce que j'ai fait est mal. J'aurais tendance à banaliser mes fautes.

Je suis d'une nature très capricieuse, je n'en fais qu'à ma tête, j'ai des difficultés à me soumettre à l'autorité et mon côté enfant fort développé chez moi m'incite à faire de nombreuses bêtises! Lorsque je fais une bêtise je l'avoue par texto à Jean Philibert et il réactive ma mémoire en me disant: "Je vais baisser ta culotte en arrivant ce soir, te pencher sous mon bras et te flanquer une sacrée bonne fessée. "

Cette annonce de la fessée provoque en moi une grande crainte. Cette crainte de la fessée se joint au respect que j'éprouve envers Jean Philibert. L'annonce de la fessée déculottée me fait vibrer de l'intérieur, tous mes sens sont en émoi et j'éprouve du plaisir mental qui rejaillit sur le plaisir physique. Plus mon Jean Philibert me menace de la fessée, plus il formule sa détermination à me corriger et plus je ressens le besoin de me soumettre à son autorité.

J'aime craindre Jean Philibert et cette crainte ne peut être ressentie que si je sais qu'une fessée va m'être administrée. L'annonce de la fessée a donc toute son importance pour que j'évolue positivement. J'aime me sentir cadrée, tenue, serrée.

A suivre...