vendredi 28 novembre 2014

612 Liens de discipline domestique (142 ème édition)

Au menu cette semaine : Mes rêveries d'ado


Difficile à dire sur combien de paires de genoux que je me suis imaginée quand j'étais ado. C'était une de mes fantaisies favorites dans laquelle a défilé une bonne partie de mon entourage. Princes charmants, les papas de certains princes charmants et aussi leurs mamans. J'étais très peu sectaire et disons que le fantasme de la belle mère qui me remets de temps en temps à ma place ne me déplaît pas du tout. Même maintenant. Pendant mes aventures claquantes je ne me suis pas vue comme ado effrayée ou intimidée. J'attendais moi la première un radical changement de ce qui me paraissait comme mes mauvaises manières. Mon regard sur la fessée comme pratique disciplinaire et éducative a pris au travers les lunettes du fantasme une apparence de plus positive. Mais pour que ce changement se mette en place, il fallait passer par une douloureuse et humiliante procédure. Humiliante dans le sens de devoir admettre une sorte d'échec :

Toute seule je n'arrive pas. J'ai besoin de la fessée !

Alors me m'imaginais de plus récalcitrante pendant l'acte punitif en bougeant dans tous les sens avant - sous l'effet du traitement - de fondre en larmes et de rentrer, ou plutôt d'être admise dans le rang des filles sages.

Monsieur savoure (petit clip)

Depuis mon adolescence je suis sensible à cette poésie... naturelle. Un monsieur qui prend plaisir à fesser la dame sur ses genoux. Je veux dire de prendre plaisir sous forme d'une vive réaction dans son pantalon. J'adore également quand cette réaction de plus virile se glisse au bon milieu d'un fervent discours sur la discipline et la perdition des mœurs de nos jours. Et moi, toute confuse et honteuse, de me trouver dans une tenue si peu glamour comme un jeans et un de ces affreux strings autour de mes chevilles en attente de mon châtiment méritée. Honteuse surtout parce qu'au lieu de me concentrer sur la punition qui m'attend, je salive à l'idée de pervertir mon vaillant éducateur par une sucette dans la règle de l'art :

Tu m'écoutes isabelle ?

Tu disais mon chéri...

Malheureusement mon homme ne se laisse pas corrompre quand il s'agit de me corriger. Attitude que me fait un effet monstre.


Mais ne nous emballons pas trop vite. Le charme opère car le jeune homme s'affiche dans un costume de fin d'études qui parle... à ma raison et non à mon entrejambe. En Allemagne une telle tenue se porte à l'occasion du doctora que je préfère en rerum naturalium. Parce que j'adore vivre avec un chéri qui sait m'expliquer le monde autant dans l' infinitivement grand que dans l'infinitivement petit. Un qui sait satisfaire ma curiosité sur tout point de vue. Puis, détail non négligeable, ce jeune homme montre clairement que dans sa future vie d'adulte il n'aurait pas peur de porter des cravates. Et les idées traditionalistes me plaisent beaucoup. Enfin, petit hic, certains scientifiques super doués ne sont pas forcement des hommes qui savent s'imposer devant une dame. Et quand on essaye de mener la discussion sur la fessée, il n'est pas sûr que le monsieur se voit en père fouettard. Il se peut que ses rêves tournent plutôt autour d'une mère-fouettarde de plus sexy.

Je te verrais bien avec de très longues cuissardes et un fouet en main, isabelle !

Ben voyons. Bref, c'est pas gagné d'avance pour trouver chaussure à son pied.  
Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !





















jeudi 27 novembre 2014

611 La nudité dans la discipline domestique

Tu peux garder tes bijoux, isabelle !

Il ne perd pas l'humour mon chéri, surtout quand il s'agit de me corriger. Je dirais même que dans ce cas le plus souvent il de l'excellente humeur. Et vu que la discipline domestique se nourrit en bonne partie de petites vibrations dans l'entrejambe, je suis peu étonnée que l'acte de corriger une dame gagne en saveur pour le monsieur quand il peut y ajouter un petit extra. Comme la nudité intégrale de la dame. Voila qui met en appétit l'ado caché au fond de mon homme qui en bavait pendant un bon moment pour trouver une dame (enfin une copine de son âge) qui veuille bien se mettre toute nue devant ses yeux. Et voilà, mission accomplie grâce à la discipline domestique. Soyons clairs, j'adore quand mon homme se montre comme chef à la maison. Quand il décide ce qui est bon ou mauvais pour moi et ce qui mérite punition et ce qui ne le mérite pas. Je dois admettre qu'il se débrouille très bien comme s'il sentait ce qui titille mon besoin de punition ou pas. Parfois c'est un peu absurde, mais pour satisfaire cette particularité personnelle, il faut être ouvert d'esprit, laisser son jugement de côté et ne pas manquer une bonne dose d'intuition.

Par exemple j'avais depuis mon adolescence une tendance à ne pas finir mes plats. Difficile comme ce n'est pas permis, j'étais la terreur de la personne qui fait la cuisine. Puis est arrivé mon homme. Voyant mes manières a table et après un feu d'artifice de mauvaises manières de ma part lors d'une de nos premières sorties chez des amis, il m'a préparé un petit piège le lendemain en tête-à-tête. Je n'avais pas encore fini ma phrase...

...non je ne mangerais pas de brocolis...

quand il m'avait déjà chopée au petits cheveux de ma tempe pour m'indiquer de manière très directive le chemin vers son bureau en me rétorquant:

Ce qu'on va voir !

Il ne m'a pas fait mal en me tenant fermement, mais j'ai compris qu'il valait mieux mettre ma fierté de côté. J'ai senti ô combien ce chemin vers Canossa pour mes excentricités alimentaires m'avait toujours manqué. Toutefois, difficile d'admettre le bienfait d'une action qui me mettait à la place d'une capricieuse gamine qui va...

...enfin apprendre les bonnes manières !

Mon chéri, tout frais tout beau, avait décidé que la discipline à nu s'imposait pour labourer le terrain au mieux. Je n'ai pas mis longtemps pour me déshabiller, mais déjà cette action toute seule a été hautement bénéfique pour moi. Si on considère la féminité comme une habile construction (je dirais presque une machine de guère) pour séduire par ses apparences, la nudité intégrale a pour effet de se/me retrouver femme... devant un/mon homme. C'était un moment d'émotion intense de devoir écouter sans le moindre vêtement le discours de mon chéri sur mes mauvaises habitudes. Une impression d'être prise avec la main sur... enfin je ne fais pas un dessin. Il a su rendre ma nudité pesante et sous très peu j'ai commence à regretter sincèrement ce qui m'était reproché. Nous sommes rentrés dans un rapport d'autorité de plus crédible. Puis j'ai dû adopter une posture aussi ridicule que celle de la dame et que mon homme aime appeler...

...la position du suppo pour grandes filles.

Pas de fessée à la main, mais une solide séance au martinet pour me mettre les idées en place.

J'ai réellement eu un déclic... ce jour-là.

Fait est quand je suis retournée à table en me frottant avec une main le derrière et avec l'autre mon maquillage coulé que j'ai fini sagement mon assiette. Il a fallut encore quelques autres de piqûres de rappel pour que les nouvelles idées restèrent à leur place. Il me semble dans la nature d'un besoin de punition de tester les limites. Ou selon la philosophie de mon homme :

La première fessée sert à prendre connaissances d'un mauvais comportement. La deuxième sert à faire comprendre que la première punition n'a pas été un hasard. Et la troisième sert à prendre conscience du lien entre mauvais comportement et punition.

Étant une élevé de bonne volonté, je n'ai pas tardé pour me dénoncer systématiquement au moindre écarts du droit chemin. Avec la ferme intention de vaincre mes démons. Puis d'un jour à l'autre plus de caprices sur les légumes vertes, une bonne partie des fruits et les fromages de caractère. Je me suis sentie libérée d'un poids énorme. Sans oublier un bien constatable pour ma santé. Mes proches n'en crurent pas leurs yeux.

Comme elle a changé notre petite isabelle !

mardi 25 novembre 2014

610 Jeux de docteur

Voila qui me fait frissonner

(Je manque du temps pour écrire. Donc seulement une réédition d'un ancien texte pour aujourd'hui)

Mon homme déguisé en docteur me fait entrer dans son cabinet pour un examen médical. Pendant qu’il me questionne sur ma santé, mon regard est absorbé par le paddle, négligemment posé sur le bureau. J’essaye d’évaluer l’effet de cet outil de soin d’urgence. Sous ses jolies apparences il me semble bien douloureux en traitement cutané. Monsieur devine mes pensées, mais reste strictement professionnel. Il oriente ses questions vers le danger de la cellulite, joue avec cette angoisse qui hante beaucoup de femmes. Pour se prononcer si je cours un danger, il faut examiner l’endroit en question. Un déshabillage s’impose.

Seulement votre jupe et la culotte, Madame.

Oui, il a bien dit Madame. Quand il m’appelle ainsi ce n’est pas innocent. Madame fait partie des grandes. Il faut donc employer des moyens plus intenses que pour la petite Demoiselle que je suis parfois. C’est cet éternel imprévu qui pimente le jeu. Monsieur oriente et moi je dois m’y appliquer sagement. Peu importe que je sois Madame ou Mademoiselle.

Écartez un peu vos jambes et penchez vous en avant.

Je n’aime pas trop cette position si impudique dans ce genre de jeu. Je ne sens terriblement offerte à sa vue. Pour une fois il n‘a pas mis des gants fins en en caoutchouc. Cela me rassure un peu.

Non, non. Je n’ai plus de problèmes de digestion depuis que vous m’avez proscrit la cure Xantis.

Il commence à me palper les fesses, me pincer doucement pour vérifier la fermeté de la chair.

Oui, je ne porte que bas depuis que vous m’avez mise en garde contre le danger des collants pour la circulation sanguine.

La fessée pour combattre efficacement la cellulite ? Non je n’y ai pas pensé encore.

Restez penchée pendant que je vous prenne la température!

Pendant ce temps, il cherche le petit paddle et me le présente devant mes yeux. La position est inconfortable. Pour la stabilité mes mains entourent mes chevilles. Je me sens bien ridicule devant mon médecin. Il m’est difficile de lever les yeux vers lui.

Pourquoi avec un paddle ? Pour l’uniformité du traitement ? Oui, je comprends bien.

Pendant trois semaines tous les matins au lever ? Ca ne fait pas un peu trop ?

Si, je tiens énormément à ma silhouette.

N’ayez crainte ! Mon homme est très consciencieux quand il s’agit de suivre vos conseils.

Je suis toujours penchée quand il établit l’ordonnance. J’ai échappé belle pour l’instant à la fessée. Monsieur le docteur est vicieux, mais reste toujours très professionnel. Jamais de remarques déplacées ou d'allusions coquines. Il tient à sa bonne réputation auprès de mon compagnon.

tous les matins 5 minutes pendant 21 jours en augmentant doucement l’intensité….finir par une très forte application pour un meilleur résultat.

Non, pas le soir. Je comprends bien Madame que vous travaillez et que ce traitement peu être gênant pour asseoir pendant la matinée…. au moins. Vous connaissez le dicton : Il faut souffrir pour être belle…

J’envoie mes honoraires comme d’habitude à Monsieur ? Passez lui mes hommages.

Un demi heure plus tard, à la maison j’ai les fesses en feu. Il ne s’agit pas d’une punition et toutes les coquineries sont permises par la suite. Je suis richement récompensée pour mon sérieux en matière d’entretien de mon corps. Et quand Monsieur commence à me passer une crème apaisante pour ouvrir les festivités, je pense à la pub à la télé :

Une silhouette comme cela, c’est mixa…

Peut-être mixa y est vraiment pour quelque chose, mais je suis sure que la dame qui la vante omet pas mal de détails supplémentaires qui donnent un corps de rêve…

dimanche 23 novembre 2014

609 Les périls d'une élevé désobéissante (Lundi cinéma)

A quoi rêvent les jeunes filles ?

Notamment celles enclines aux fantasmes de fessée. C'est Anna Freud, la fille de Sigmund qui pointe sur les éléments romanesques qui peuplent la fantaisie de certaines filles en soulignant que le travail de broder une histoire autour d'éléments punitifs a pour but d’empêcher la vilaine main de rentrer en action. Et selon mes propres expériences je trouve cette théorie pas si fausse.

Mais regardons plutôt comme début de réponse deux extraits du film : The perils of Mandy datant de 1980. Petite « œuvre » cinématographique que je serais tentée de qualifier sans prétention et qui met en scène de manière rocambolesque les mésaventures disciplinaires d'une (fausse) adolescente. Ambiance Saint Trinian's pour amateurs de grandes écolières en courtes jupes plissées qui se portent sur bas et porte-jarretelles. Bref cela sent les fantaisies masculines à des kilomètres. Loin de moi de vouloir critiquer ce genre de préférence vestimentaire.

Que ne ferait-on pas pour rassurer (si, si, c'est le terme qui convient) nos grands garçons ?

Pour calmer leurs angoisses de castration, cause de fâcheuses pannes dans l'intimité amoureuse. Veut dire avec de mots simples, il faut apprendre à contribuer avec ses moyens de femme au plus belles prouesses de la virilité. Car la sexualité, je veux dire la vraie, peut importe ses méandres est avant tout un sport d'équipe. Seulement quand on est ado, on ne se doute pas encore que... pas mal de messieurs doutent... de leur virilité.

Voyons un peu le sous-entendu de ce petit film niveau fille. Les messieurs dans mes premières rêveries sévères d'adolescence n'avaient rien d'un séduisant prince charmant.

Plutôt moches, voire légèrement répugnants, il incarnaient les vils aspects, le sadisme et la perversité supposée de la gente masculine.

Comme ici sous l'apparence d'un maître d'école qui abuse de son pouvoir. Constellation pour légitimer en quelque sorte la cohérence du scénario. Quant au motif de la convocation, je ne voyais pas le côté de la mauvaise élevé, mais plutôt celui d'une jeune dame entreprenante qui a fait en cachette ses premiers pas au pays des princes charmants en désobéissant ainsi au strict réglementé de l'école.

Une vraie vilaine donc.... pour reprendre les termes de ma fantaisie. De quoi à mettre un brave et vaillant le maître en colère.

Sorte de colère alimentée par le profond trouble que lui crée notre joyeuse écolière. Trouble charnel qui s'oppose à la conscience professionnelle. Jolie fille dans une tenue de plus seyante, notre vilaine réactive la jeunesse du monsieur sans qu'il arrive à s'en rendre compte ce qui lui tombe sur le dos. Nous assistons donc à une scène de séduction de manière particulière. Un énervement chez le monsieur qui est -ne l'oublions pas – une forme d’excitation qui s'apaise en appliquant une bonne correction à la fautive.

Sur ce s'ajoute le côté romanesque qui met en scène un enlèvement de la belle qui se trouve attachée sur un lit dans un endroit sordide, exposée sans défense au gré de ses ravisseurs. Heureusement pour elle, arrivent ses amis à la façon « Club de cinq » pour la libérer des griffes de ses tortionnaires. Difficile de faire mieux dans le décousu et invraisemblable. Élément qui confirme pour moi la proximité avec un authentique scénario de jeune fille. Mais n'oublions jamais que chez la plupart de jeunes dames il n'y aucune envie de le réaliser un jour ou autre. Peut-être une des raisons pourquoi elles n'ont pas envie de répondre aux questions sur leurs fantasmes. Du moins pas avant une longue et laborieuse élaboration qui sert à mettre un peu d'ordre dans les désirs. Ce qui me fait dire que je n'y crois pas trop dans la légende urbaine de la dame qui ne sais pas (exactement) ce qu'elle veut...

vendredi 21 novembre 2014

608 Liens de discipline domestique (141 ème édition)

Au menu cette semaine : Double de dames


Il y a quelque chose de joyeux dans cette fessée. Ambiance bien différente de la discipline domestique et que je souhaite grave et pesante quand il s'agit de travailler sur mes mauvais comportements. A croire que la bonne humeur entre filles est communicative.

Difficile de dire si mon chéri aimerait m'envoyer avec une de mes bonnes copines au coin.

Chacune avec son jeans et sa culotte autour des chevilles, en train de se déplacer laborieusement comme dans une course d'obstacles. Avec comme bonus pour l'observateur, deux paires de fesses en l'air et bien sur toutes rouges. Fruit d'un laborieux travail de la main de mon homme. Je ne doute nullement que l'idée d'un tel scénario lui plairait. Mais bon, il est quelqu'un de trop réfléchi pour prendre le risque de satisfaire une lubie fantasmatique dans une mise en scène qui dépassent le couple. Ce qui déjà une immense qualité à mes yeux. Puis, il est tellement charmant :

Mon jardin secret, c'est toi isabelle !

Et quand je vois à quel point il s'occupe bien de sa petite famille, je sais qu'il est sincère. Notons qu'il m'arrive couramment de fantasmer sur mon chéri...


J'adore ce genre de longues chaussettes qui m'évoquait un comble de girlie pendant mon adolescence. C'est très agréable à porter sous une jupe sans oublier la petite touche sexy pour le prince charmant qui oser remonter les jambes de la fille avec sa main pour se glisser sous sa jupe. Amateur de bas ou pas, dans l’empire de la sensualité, le contraste de texture laine avec la douceur de la peau ne laisse personne indifférent selon mes expériences. Et, le test fait plus tard avec mon chéri, lui aussi s'est senti fort inspiré de cette découverte sensationnelle. Au point de me déshabiller pour que je garde uniquement mes longues chaussettes.

En voyant cette photo je me dis que la fessée c'est tout de même un drôle de fantasme que j'imagine ces deux filles punies pour leur audace de provoquer si effrontément un monsieur. Seulement ce que je ne dis pas c'est que ma vision de la provocation ne consiste pas dans un tel cas dans des joutes verbales, ni dans un simple acte d'exhibitionnisme. A vrai dire, en cherchant bien, on trouve toujours un vilain fantasme qui se cache derrière la fessée et qui lui mérite selon le propre ressenti de la personne une véritable punition. Chercher le détail qui tue, voila qui rend la lecture des textes sur notre sujet autant plus passionnante et n'étonnons-nous pas que bien d'adeptes de la fessée se passionnent également pour les histoires de... détective !


Elle n'est vraiment pas bien méchante, celle-là. Des plus en regardant les tenues quelque peu étranges de ces dames, je ne puis m’empêcher de penser que la mise en scène a pris son origine dans la tête d'un monsieur.
Sinon je ne verrais vraiment aucune piste pour comprendre ce petit scénario. Voyons, je me pose la même question que pour l'autre clip. Que fera mon chéri si je le mettait devant une telle situation ? Rien, à part de se rincer l’œil et de rigoler.

Par contre, je sais qu'il me souhaiterais à la place de celle qui se fait fesser.

Question de principe. Puis avec grande probabilité il encouragerait ma copine pour taper plus fort.

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !
























jeudi 20 novembre 2014

607 Tu as été prévenue

Vous pouvez préciser votre attrait pour cette phrase, isabelle ?

Cela m'évoque un homme qui me menace d'une fessée !

Petite phrase, grand effet ! J'ai toujours trouvé - surtout à partir de mon adolescence - d'un comble de virilité ces messieurs, qui non seulement savent mettre une dame en garde, mais aussi de passer à l'action quand les bons mots ne portent pas de fruits. Un homme qui sait tenir sa parole.

Si je vous comprends bien isabelle vous fantasmez sur un homme qui vous donne une fessée ? Mais encore...

Contrairement aux apparences, je n'ai pas un faible pour les machos. Loin de moi de me sentir attirée par un monsieur qui considère une dame comme une sorte de sous-être humain. Déjà pour la grossière erreur de la traiter comme « toutes les mêmes » (sauf maman bien entendu), au lieu de prendre le plaisir et le temps de découvrir l'individualité qui se cache derrière celle que l'on ne connaît pas encore. Et moi pour ma part, j'aime découvrir ce comble de virilité chez un charmant monsieur, ouvert d'esprit à tout point de vu, mais doté de ce petit faible fantasmatique qui fait qu'il ne peut s’empêcher d'associer la fessée au comportement capricieux d'une dame. Ayant parfaitement conscience ô combien ce penchant est politiquement incorrect. Sortant de ses gardes, car hautement troublé par une dame qui répond à ses allusions par un sourire bienveillant qui invité le conquérant à oser. Une dame comme moi qui souhaite voir dans ses yeux la main qui le démange, d'abord pour me trousser, puis me déculotter avant de me claquer copieusement mon derrière tout nu.

Avec vigueur et forte sonorité.

Constellation hautement chargée de sous-entendu qui se décortique de la manière suivante selon ma compréhension de la méthode freudienne. Selon une des théories sexuelles de la petite enfance, la fille considère le bébé comme un cadeau du papa. Sans forcement se soucier d'où il vient exactement ce bébé. Mais vu que les choses ne se passent pas de cette manière, la petite attend... pour rien. De quoi s’enrager et d'émettre de « sérieuses doutes » sur la confiance que l'on peut accorder à un homme. Voila ce qui peut donner plus tard le comportement de certaines dames de rendre la pareille au monsieur en le faisant (systématiquement) attendre. Je sais de quoi je parle et mon homme s'en est vite aperçu. Ne supportant pas ce genre de comportement chez une grande fille, il m'a donc prévenue  en cas de récidive de...

...me traiter comme mérite une gamine capricieuse !

Je n'ai pas pris trop au sérieux dans un premier temps ce bienveillant avertissement.

(C'était trop beau pour y croire!)

Erreur fatale que j'ai payé de manière caricaturale sur les genoux de mon chéri, tout nouveau, tout beau.

(Le bonheur quoi!)

Mes fesses à l'air et en pédalant avec mes jambes. Sans parler de mes cris. Théâtrales et surjoués au début, puis se transformant vite – car Monsieur n'a pas fait semblant- en sincères pleurs de contrition.

Psychodrame ô combien apaisant.

Toutefois on ne soigne pas les mauvaises habitudes d'une grande fille de presque 25 ans en une seule fois. Il a fallu d'une méthodique éducation anglaise pour corriger ce défaut de manière durable. Puis miracle, me voilà devenue ponctuelle. Très ponctuelle, car mon chéri sait se servir à la merveille de la canne pour travailler sur mes mauvais comportements qui persistent. Bref, moi je suis convaincue que la discipline domestique livre des résultats... quand il y a bonne volonté des deux côtés.  

mardi 18 novembre 2014

606 Vilaines associations...

.ou ce qui se cache derrière la personnalité construite !

Je sais que mon chéri prend beaucoup de plaisir pour me faire bénéficier de ce qu'il appelle une éducation de qualité. Il entend par là un savant mélange entre bienveillance et sévérité selon la devise  de l'ancienne pédagogie allemande :

Wer nicht hören will, muss fühlen !

Qui ne veut pas écouter doit ressentir ! Voila tout un programme qui se base tout naturellement sur l'emploi de châtiment corporels. Et pour le dire tout de suite, cela me convient à la merveille. Certes, moins au moment de la vérité, mais avec le recul je reconnais que j'aie besoin d'une main ferme qui me garde sur le droit chemin. Alors depuis plus de seize ans j'ai pris l'habitude de présenter mon derrière tout nu à la discipline que mon chéri juge utile pour moi. Donc bien que de l’extérieur cela semble le contraire, c'est moi qui marche dans notre intimité à la baguette. Enfin, après avoir dansé pendant un bon moment sur la tête de mon chéri. Parfois en public. Petite insolence qui appelle sans faute le martinet.

En gros, mon chéri a su transposer en pleine réalité ses rêveries d'ado. Rencontrer une de ces pétillantes dames qui n'ont ni froid aux yeux, ni la moindre inhibition devant la provocation grand jeu.

Ici, sous sa main, elle va s'en prendre une bonne pour ses audaces.

J'aime chez un monsieur ce genre de fantasme qui s'accompagne souvent d'une personnalité tendre, sensible, timide. Bref la cible idéale pour la dame audacieuse. Et moi j'adore dans cette situation le non-dit de la punition pour celle qui n’hésitera pas lors d'un voyage de déboutonner spontanément la braguette du monsieur dans un parking, pour se pencher sur la question de sa virilité. Celle qui fait du bon travail en allant jusqu'au bout sans laisser la moindre trace de ses impertinences.
Celle qui évoque sans rougir au petit déjeuner son programme de gym rectale par les biais d'une série de jolis dilateurs à l'ancienne en mettant la barre haute :

Je compte sur toi ce soir pour vérifier si je me suis bien appliquée !

Celle qui choisit une partie de sa garde-robe justement pour donner des idées à son homme au point qu'il à dû mal à cacher son trouble. Celle qui choisit sa coupe de cheveux et son maquillage pour faire exploser la braguette de son chéri adoré. Celle qui ne loupe pas une occasion pour frotter son derrière contre le pantalon du monsieur.

Aguicheuse et surtout active pour réaliser son désir au lieu d'attendre sagement dans son... coin !

Comportement sans-gêne qui se paye par un retour fantasmatique qui exige que je me retrouve régulièrement littéralement… au coin. Mes fesses toutes rouges, pour montrer en exemple ce qui arrive aux vilaines filles...

lundi 17 novembre 2014

605 L'art de se tortiller et de se frotter les fesses (Lundi cinéma)

Pour amateurs de jeux de docteur

J'avais initialement prévu d'inclure ce clip dans une histoire de docteur que j'avais écrite, il y a pas mal d'années et que je souhaitais rééditer. Puis en visionnant, je suis tombée sur un détail qui m'a fait changer d'avis. Dans ce genre « d'ouvrage » chacun comprend ce qu'il a envie de comprendre. En gros, il y a des scènes qui s’enchaînent pour que la fantaisie du spectateur puisse prendre son envol. Pour ma part, j'imagine une équipe de chercheurs, chargée d'étudier l'effet et l'impacte de différents instruments de punition sur unfessier féminin. Cela se passe sous surveillance d'un médecin qui se sert de ses deux jolies assistantes comme cobayes.

Et me voilà partie dans mes souvenirs de fac. Quand je faisais mes études de science, j'aimais particulièrement les travaux pratiques. Cela se passait en petites groupes et ma préférence allait dans le sens de former équipe avec un de ces jeunes hommes brillants et doués en la matière. Loin du cliché d'un bad boy, marginal ou fantaisiste, j'aimais ceux qui respiraient la sérosité. Ceux que l'on imagine sans le moindre mal se marier un jour pour fonder une famille. Cela existe version timide et - pour que cela soit dit - difficilement associable à mes fantasmes de discipline domestique. Enfin si ! Mais dans le sens inversé. Peut-être suis-je passée à plusieurs reprises très près à côté d'un avenir de dame bien décidée qui mène son petit ménage (et par conséquence son mari) à la baguette. Puis, il y a aussi la version homme de tête, prêt à tout pour faire une impressionnante carrière. Celui que l'on ne voit jamais à la maison, car il oublie vite sa petite famille pour les exigences de son travail. Peut-être avec un ascendant «  cool » et qui se tape sa secrétaire en cachette « pour ne pas faire souffrir son épouse ». Bref, je n'ai pas rencontré à cette époque un partenaire pour la vie et pour mes petites rêveries de discipline j'ai eu recours aux partenaires sans visage, ni même avec un physique déterminé.

Alors pendant que je me suis remémorée mes 20 ans en regardant en accéléré ce clip qui fait éloge de jolis fesses roses, je vu subitement le petit détail qui tue. Paf, l’arrêt sur l'image pour capter toute mon attention. Une des dames (celle de droite) maîtrise l'art de se tortiller et de se frotter les fesses d'une manière particulièrement sensuelle (vers 42min 20sec). Tout à fait au goût de mon chéri et donc par conséquence des déhanchements... qui me correspondent assez bien. Petite scène qui prouve que l'emploi de la canne ne rime pas forcement avec un massacre sur la peau des fesses. Et aussi que les « vibrations » de cet instrument s’amortissent bien par des mouvements lents et langoureux. D'ailleurs mon chéri m'a avoué une fois de s'impatienter que je fasse de très grosses bêtises pour pouvoir sortir la canne. En vu d'un spectacle qu'il trouve particulièrement excitant.

Je compte sur toi pour bien aguicher la canne, isabelle!

Car pour adoucir l'impacte de cet redoutable instrument, je ne connais pas meilleure méthode que de me mettre soigneusement en position et de bomber mon fessier comme la petite dame du clip.

D'où l'impression que j'aguiche la canne.

Bref pas de gros dégâts chez nous. Il s'agit de m'éduquer et non pas de me maltraiter. Mais le feu au fesses est tout de même très tenace et perdure longtemps.

Cà te coupera l'envie de recommencer avec tes bêtises, isabelle !

Dixit mon homme et comme d'habitude il a raison... du moins pendant un bon moment.   

vendredi 14 novembre 2014

604 Liens de discipline domestique (140 ème édition)

Au menu cette semaine : Élégantes dames et vilaines filles


A la base cela s'appelle « Sadisme » tout court. J'ai un peu de mal à voir le rapport avec ce gentillet tapotage sur les fesses, mais bon, il n'y a pas de nomenclature bien définie en la matière. Pour ma part je sécherais déjà pour expliquer tout simplement ce que c'est la D/s. Enfin, mon ignorance en la matière vient de prendre fin, car je suis tombée par le plus grand des hasards sur un brillant article qui établit un lien entre la D/s, l'amour oblatif et les sentiments religieux. Soudainement tout s'explique, tout devient clair. Même l'Histoire d'O que je n'ai jamais finie de lire. En plus maintenant je sais pourquoi je ne me retrouve pas dans cette pratique. S'il y a une vocation/qualité/trait de caractère qui me manque, ce serait sans doute l'amour oblatif. Ou encore le désir de passer par mille et une épreuve pour mériter/montrer mon amour. Désillusion jusqu'au bout, l'amour s’arrête pour moi au sentiment positif projeté sur le partenaire. Se manifestant dans mon sourire heureux et comblé quand je regarde le matin pour la première fois de la journée dans les yeux de mon chéri et qui me répond par un regard … émerveillé !


Un jours je me suis réveillée avec l'idée que pour être élégante de la tête au pied, il serait mieux que je me pare aussi d'un joli bijoux pour mettre mes fesses en valeur. Sans parler de l'agrément de me l'introduire dans le derrière et aussi de déguster une sensation voluptueusement étrange en le portant sous mes vêtements. J'en ai parlé à mon chéri et rien qu'en voyant ses yeux j'ai compris le pouvoir de suggestion d'une telle chose. Je réserve donc pour certaines de nos sortie en tête-à-tête le suspense à mon homme....

...si je suis vraiment élégante de partout.

Il m'arrive aussi de recourir à ce genre d'objet pour les soirées que je sais d'avance ennuyeuses à mort et où une petite distraction discrète s'avère la bienvenue.


Inutile de philosopher sur le pourquoi. La vilaine écolière adulte plaît à pas mal de messieurs. Et si j'aime m'adonner à un tel déguisement c'est aussi parce que cela correspond à une rêverie de mon adolescence. J'avais une phase, juste avant mes premières expériences avec les princes charmants, où j'imaginais que l'un d'entre eux me débarrasse de tous mes vêtements pour m'installer sur ses genoux et m'applique une claquante fessée. Petite fantaisie qui m'a embellie certains cours ennuyeux à l'école pendant lesquels je suivais le prof avec un air de plus béat :

z'etes avec nous, mademoiselle isabelle ?


Costeau le monsieur. La force tranquille. Et aussi une mise en scène qui change des éternels écolières. J'adore la tenue de la dame. Élégance des années 50 qui trouve encore de nos jours (très facilement) ses amateurs. Je le sais bien parce étant assez fantaisiste, il m'est déjà arrivée de servir un repas entre amis à la maison ainsi vêtue. Cela met de la bonne humeur. Surtout quand il s'agit d'une soirée à thème pour faire briller les yeux de nos grands garçons et aussi pour combler le narcissisme des filles. Certes, chez nous cela ne finit ni en fessée générale, ni en autre chose de plus osé en groupe. Mais une fois nos invités partis, mon chéri se trouve dans un état tout ému, causé par ma tenue. Parfois il me rappelle mes manquements lors de la soirée qui méritent bien entendu une bonne punition, parfois... hein bien... il me trousse pour me faire ma fête.

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !























jeudi 13 novembre 2014

603 Punition pour péché véniel

Que justice soit faite !

Un texte fort intéressant de Monsieur Pecan. J'adore l’appellation si poétique « péché véniel » qui correspond assez bien à ce que mon homme qualifié dans son langage plutôt laïque comme incivisme. Par exemple dans le temps quand j'écrasai un mégot de cigarette tout simplement parterre.

Pas uniquement tu pollues l’atmosphère avec cette saleté de cigarette, mais en plus tu montres aucun respect pour ceux chargés de nettoyer la ville.

Voila une façon de me parler à laquelle je suis sensible et qui a porté assez rapidement (aidée par quelques fessées de rappel pour incivisme) ces fruit. Bien avant l'interdiction en Allemagne par exemple de jeter ses mégots sur la voie public. J'aime la discipline domestique utile qui flatte en premier plan mon narcissisme.

Elle est très respectueuse de l'environnement, isabelle...

Ceci dit, curieuse comme je le suis, j'adore découvrir ce qui se se passe dans la tête d'un monsieur qui se charge de remédier aux péchés véniels chez sa dame.

Me voilà donc comblée par ce joli témoignage de Monsieur Pecan !

.je voudrais ici témoigner du fait que j'apprécie particulièrement de fesser mon épouse quand il s'agit de corriger un "péché véniel": impertinence, pénibilité, etc.

Le plus souvent je me retrouve alors avec madame sur les genoux et j'alterne avec entrain de fortes claques sur les fesses (même si parfois nous utilisons un instrument).

C'est à la fois une excitation de nature sexuelle (et d'ailleurs souvent la fessée est alors semi-punitive seulement et enchaîne sur le coït, la petite douleur dans le postérieur se rappelant au souvenir de la dame pendant l'acte) et une petite vengeance.

Pour expliquer la satisfaction de la "punition du péché":

Il y a longtemps de cela nous avions acheté une raquette de ping-pong en guise de "paddle", qui n'avait servi qu'à l'essai.

Madame a alors commis quelques semaines après une imprudence routière. Bien évidemment, elle s'est retrouvée déculottée sur mes genoux et la raquette à portée. Je me rappelle l'avoir bien grondée tout en lui claquant fortement de la main. Puis, alors qu'elle avait déjà le cul rosé, j'ai commencé un "paddling".

J'ai trouvé cet épisode très satisfaisant. Elle m'avait fait stresser très fort par son imprudence, je compensais.

Et j'ai trouvé très satisfaisant aussi de la voir "au coin" avec le cul rouge, une sorte de sensation que "justice était faite".

Quant à elle, elle m'a dit avoir parfaitement ressenti que la punition était méritée, la honte de s'être mal comportée et de m'avoir fait angoisser, et l'envie que je la traite comme cela quand elle le mérite. 

mercredi 12 novembre 2014

602 Discipliner son mari de manière saine 3 (petite fiction)


Du calme mon chéri, tiens ta position pour la vaseline. Tu ne voudrais tout de même pas que je te passe l'appareil de massage à sec, non ?

Malgré ses allures sévères et son intransigeance sur les punitions, la belle dame se veut une épouse aimante. Soucieuse du bien-être de son mari, ses directives et actions ne manquent pas de tendresse et de chaleur humaine. Et justement de la chaleur humaine, le mari - sous peu - va en recevoir beaucoup. Une correction de plus claquante par un douloureux passage du martinet sur ses fesses. Au début de leur mariage, madame a été perplexe en découvrant l'obscénité flagrante, générée par ce rituel. Se trouvant devant une insolente gaule à son mari, à l'image d'un « matin triomphant », si cher à Victor Hugo. De plus, outre que jumelant un fessier, vivement strié et une tête rouge de malaise, Monsieur n'a pas tardé de pousser des cris d'inconfort. Alors Madame, voulant épargner à son mari toute ambiguïté avec un pitre spectacle d'un authentique coq en rut, avait décidé d’instaurer - sur conseil médical - la détente préalable par voie rectale.

Pour le monsieur c'est le petit répit avant sa sanction. Habitué à ce procédé, il se laisse faire. Il n'y a personne pour pouvoir témoigner de son déshonneur. C'est déjà pas mal. Puis madame sait s'y prendre. Pas de geste brusque et une lubrification parfaite, permettent à d'effectuer facilement et rapidement tous les gestes nécessaires pour que Monsieur puisse profiter de sa discipline sans qu'une érection vienne troubler son concentration.

Une érection pendant sa punition ? Mon mari n'est pas un vicieux,

...a-t-elle confié récemment avec fierté à sa meilleure amie. Cette dernière n'avais jamais tardé de complimenter le comportement exemplaire du mari sans trop comprendre comment un tel miracle puisse se produire de nos jours. Alors un jour propice, Madame a parlé du bienfait de la fessée sur un grand garçon. Or l’amie, familière avec ce châtiment, enduré jadis en sa présence par ses grands frères, avait pointé justement sur le redoutable effet secondaire en fixant des yeux notre mari qui ne savais plus où se mettre. De plus il fut vite amené par son épouse pour avouer son approbation de l'emploi du martinet sur sa personne.

Mieux vaut avouer mes rendez-vous avec martinet que mes séances de massage,

avait-il pensé pour se rassurer. Et le pense encore ce jour-là pendant que son épouse crée...

...de saines conditions pour sa punition.

Ainsi subira-t-il plus tard sa claquante sanction sans vils écarts de comportement. Ses fesses tendues, prêtes à endosser une discipline quasi maternelle, il commencera très vite à transpirer sous l'effet des lanières du martinet. L'oreille tendue aussi, pour détecter le moindre sifflement du cuir, il ne lui échappera pas la respiration haletante de son épouse. Et il donnerait beaucoup pour pouvoir lui passer sa main sous sa jupe pour

vérifier, si elle aussi ne se rend pas coupable de réactions indécentes de son corps.

Malheureusement le moment est mal choisi. Les yeux droit devant, il faut d'abord payer le prix de son insolence ! Se jurant de ne plus contrarier son épouse inutilement. Cependant il sait que le soir venu, Madame va montrer un entrain particulier pour les caresses conjugaux. Pour une fulgurante finale avec lui en position par dessus. Obligatoirement, vu le piteux état de ses fesses...

lundi 10 novembre 2014

601 Ces larmes qui font tant de bien (Lundi cinéma)

Laisser libre cours à ses émotions !

Je trouve à ce petit clip un air très réaliste. Il correspond bien à ma vision de la fessée dans la discipline domestique. Il ne s'agit pas d'explorer le côté sensuel, ni dans le sens érotique , ni dans le sens de douleur abusive, mais plutôt d'une recherche d'un intense bouleversement émotionnel qui se manifeste sous forme d'une jouissance névrotique, un flot de larmes qui fait tant de bien. A vrai dire, nous sommes très proches de ce qui se passe à la maison, sur les genoux de mon chéri quand j'ai été odieuse par exemple. Un instant avant, j'étais encore sous le charme de mon propre égoïsme et ivre de ma propre vanité, puis subitement ce rappel à l'ordre. Prononcé sur un ton sec et calme, mais surtout avec beaucoup de détermination.

Fin de la rigolade isabelle. Je veut t'entendre chanter ta contrition !

Oh la belle gifle pour mon narcissisme et le fait de devoir trousser ma jupe et de baisser mon string devient subitement une charge de plus vexante. Notamment quand mon chéri ajoute en me regardant un de ses fameux :

Le ridicule ne tue pas,

en faisant allusion à mon enthousiasme pour les strings. Difficile de cerner sa vraie position envers ce petit bout de tissu. Parfois j'ai l'impression que cela lui plaît beaucoup en jugeant son état... d'excitation. D'autres fois j'ai l'impression qu'il se paye ma tête.

Rien que le fait de porter ce truc, mérite une fessée !

En gros, il poursuit en « phase préparatrice » une stratégie purement verbale pour me remettre à ma place. Et cela marche bien pour me mettre les nerfs à vif. Je bouillonne vite et il m'arrive même de trépigner quand il m'annonce avec un grand sourire le moment de la vérité :

Jetzt gibts ordentlich was auf den Arsch !

(Maintenant ton cul a droit à une bonne dose !) Reste toujours ouverte la grande question. Pourquoi je me plie tout de même à un rituel indigne d'une dame de mon âge ? Réponse simple. Parce que je connais le bénéfice que je tire de mes corrections. Un état d'apaisement, je dirais presque apesanteur, qui m'envahit une fois installée dans mon coin, la partie douloureuse de mon châtiment finie. Et si les préparatifs sont bien menés, il suffit de rien de bien méchant, une fessée cul nu sans excès comme témoigne le postérieur de la dame dans le clip, pour que je commence à pleurer de bon cœur. Condition indispensable pour mon futur état de bien-être.

Passons sur le fait que comme cette petite dame j'avais - quand j'ai rencontré mon chéri - un tatouage. Sorte d'affiche de révolte postpubertaire et en y réfléchissant j'aurais bien aimé que l'on me guérisse de telles envies par une magistrale fessée. En me posant un clair et net :

Non, isabelle !

Notons aussi que c'est la première fois que je tombe sur un tel clip. Évidement je me suis projetée à la place de la dame et - peu étonnant- c'est mon narcissisme qui s'est aussitôt manifesté. Je doute fort que je fasse meilleure posture que cette petite dame et heureusement je ne me vois pas quand mon homme se charge de m'inculquer les bonnes manières. C'est clair, je ne fais pas la fière en brayant les fesses en l'air...

vendredi 7 novembre 2014

600 Liens de discipline domestique (139 ème édition)

Au menu cette semaine : Fessée cul nu sur les genoux du monsieur !


Pour mes 600 messages (avec un très grand merci à mes visiteurs pour le million de visites depuis hier soir !) quoi de plus naturel que de dédicacer cette édition au plus grand classique de la fessée. L'art et la manière de s'appliquer qui fait l'unanimité des amateurs du genre. Une dame déculottée, allongée sur les genoux du monsieur qui se charge de lui faire parvenir la fessée de ses rêves.

Qu'elle soit érotique, punitive, freestyle, érotico-punitif, érotico-sexuel etc me semble un détail.

Ce qui compte à mes yeux c'est le fait que le monsieur respecte scrupuleusement les désirs de la dame. Même si parfois cela ressemble à une mise en scène d'un « non-consentement consensuel ». Chez nous pas de « double peine » comme laisse deviner déjà au déculottage le fessier tout rouge de cette dame. Par contre nous avons un grand faible pour la fessée qui commence façon rodéo. Sans toutefois avoir recours à ce genre de rituel qui relève selon moi plutôt de la bonne blague.


S'il y a parfois discorde sur la tenue de la dame, un joli teint bonne mine par contre trouve beaucoup d'adeptes sur la même longueur d'onde. Pour ma part je me sens volée par une fessée sans brûlure dans mon derrière et sans les rougeurs accompagnantes. Et à vrai dire, j'en voudrais sacrément au monsieur, s'il ne sait pas s'y prendre. Car ces petits détails font partie de ma satisfaction que j’attends de cette pratique. J'ai horreur du :

Circulez, il n'y a rien à voir !

Je crois que ma tête serait rouge de colère en cas de me trouver envoyée au coin après un semblant de correction qui ne me permet pas d'exposer cet embellissement que je désire tant.


Visiblement cette dame s'amuse bien en recevant ces claques particulièrement sonores. Je serais tentée de dire...

...ce qui convient comme récréation à l'une, convient à l'autre comme punition.

A défaut d'avoir une pièce vide à sa disposition pour rehausser la tonalité, une simple salle de bain peut faire l'affaire de manière plus que satisfaisante. Comme presque toujours mon narcissisme demande son tribut lors de mes corrections. Modification sur le thème : miroir, mon beau miroir. Ici pas question qui est la plus belle, mais de celle qui a les fesses les plus musicales. J'aime la vigueur de ce monsieur et aussi la longueur de l'acte me convient parfaitement.

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !








Tendu le fessier de la dame (en bas de l'écran)