vendredi 29 mai 2015

713 Liens de discipline domestique (168 ème édition)

Au menu cette semaine : Ces choses qui se passent dans notre dos


Assez souvent d'ailleurs. Au début j'avais du mal à m'y faire. Il y a un côte particulièrement vexant, de devoir exposer son fessier fraîchement châtie, rouge comme pas permis et... douloureusement brûlant au bon plaisir de la personne qui vient d'appliquer la discipline.

Que ça te serve de leçon, isabelle !

Ben oui, on ne fait pas la fière en entendant dans son dos de petits sarcasmes, pendant que l'on essaye tant bien que mal avec la culotte ou pire encore avec le string et le jeans autour des chevilles de rejoindre le coin. Interdiction de se retourner, cela va de soi. « Démarche » qui fertilise hautement l'imagination.

Mon homme dans mon dos, que fait-il ?

A vrai dire j'ai tout imaginé au fil du temps, de la mine réjouie ou de la hilarité sur le visage à la vilaine main qui se glisse dans son pantalon. Cette dernière idée m'est venue un jour quand sachant mon homme sorti de la pièce pendant un moment, je n'ai pas pu résister de me passer ma main entre mes jambes, étonnée à quel point ma correction m'avait fait de l'effet... malgré moi.

En gros, pendant ma correction, je n'ai pas l'impression de vivre une situation excitante.

Je me sens... corrigée, remise à ma place. Par contre l'inconscient travaille et doit fournir matière à s'extasier pour mon entrejambe. Et cela se voit parfois en allant au coin.

Alors tu as pris du bon temps sur mes genoux , isabelle ?

Là, j'ai envie d'exploser, de gifler mon homme. Il vaut mieux donc que je me dépêche pour rejoindre mon coin et de me calmer. Et à vrai dire cela me réussit. Je compose dans ma tête mes sujets pour mon blog, je structure ce que j'ai à faire dans la semaine et surtout je fonds vite en gratitude envers mon chéri. Je n'ai pas de doute, la fessée que je viens de recevoir m'a fait beaucoup de bien.


Combien de fois quand j'étais ado, j'ai imaginé une situation qui rejoint le pur classicisme freudien, un fantasme sur un mode « une copine est punie ». C'est la position de la spectatrice qui rend la fantaisie agréable et qui permet en même temps de libérer une phénoménale quantité de sentiments haineux envers la vraie personne qui sert de (fille) modèle. Une de mes copines éloignées, une que je ne peux pas saquer. Dans un fantasme il est facile de trouver un prétexte pour arriver à l'improviste.

Comme tu vois isabelle, ta copine reçoit encore la fessée quand elle n'a pas été sage...

Ah quel instant jubilatoire ! Joie de courte durée, toutefois. Subitement un sentiment de jalousie de ma part. Je me souhaite à la place de ma copine. Je la jalouse de la fessée qu'elle reçoit....


Pour finir une petite pensée à Constance et Simon qui ont retiré leur blog du net.

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !





Viser le bon endroit (petit clip)
















Histoire de pantoufle (petit clip)



jeudi 28 mai 2015

712 Mémoires d'une éducation sévère 15


8.1 Discussion entre femmes

Non Lucie, il est hors de question que je revienne sur ma décision. Le rendez-vous chez Bérénice est pris et tu t’y présenteras dans deux semaines comme convenu. Ne t’inquiète pas, je serai avec toi.

Lucie avait demandé un entretien entre femmes, expression que Nadège affectionnait tant. Ces conversations se passaient toujours autours d’une « bonne tisane ». Son aversion contre cette boisson, infâme à son goût, n’avait pas changée. Un jour elle osa en parler à sa tutrice qui l’écouta attentivement. Nadège ne prit jamais une critique à la légère et ne refusa jamais de faire tour d’une de ses règles de bonne conduite. Elle partait du principe que rien ne s’imposait sans raison et l’élève avait le droit « d’exiger » une explication. Cette transparence lui valut l’estime de sa protégée qui, malgré l’intransigeance sur les décisions prises, vit une porte à saisir pour améliorer ses conditions d’éducation.

Ce jeu de force la stimulait fortement. Elle aimait trop les défis et la difficulté ayant compris que la vie appartenait au plus habile. Chaque entretien avec Nadège lui parut comme un excellent moyen d’exercer sa technique d’argumentation et elle n’hésita rarement de saisir son droit ; au point que ces têtes à tête devenaient une habitude quasi quotidienne après le goûter. Ce moment de liberté renforça significativement le lien entre tutrice et élève.

Il en va de soi que Lucie sortait toujours perdante pendant des semaines. Elle n’en voulait rarement à Nadège et passa des longues heures à cogiter sur des meilleurs raisonnements pour la prochaine fois. En plus, Nadège ne considérait jamais un sujet comme clos. Lucie avait le droit aussi de revenir à tout moment sur n’importe qu’elle discussion en apportant de nouveaux éléments. Par contre elle n’admit pas une reprise sans fondement, motivée uniquement par une prise de tête. Dans ce cas elle rappela Lucie les conséquences d’un comportement de gamine en la traitant ainsi. Elle ne s’adressait plus à la raison de son élève, mais à sa peau des fesses, plus susceptibles de comprendre les règles du jeu.
Quant à la tisane elle écouta Lucie longuement avant de trancher :

Il en ressort que de ton aversion se base sur rien d’autre qu’une simple histoire de goût personnel. Pour te rassure, je n’aime pas la tisane non plus, mais j’en bois parce que je suis convaincu du bien fait.

Lucie fut stupéfaite. Il s’agissait de la première confidence intime -d’une très longue série - de la part de sa tutrice et il n’est pas exagéré de prétendre que Nadège gagna ainsi la confiance de sa protégée. Lucie savoura en quelque sorte sa première victoire et se sentit encouragée dans ses efforts. Cependant le contrecoup de sa découverte fut cher payé. Elle dut étudier un épais manuel sur l’art et l’utilisation de la tisane et se vit contrainte de contrôles écrits sur son savoir fraîchement acquis. Il est évident qu’en dépit de bon résultat, elle affronta le martinet jusqu’à ce qu’elle afficha de solides connaissances sans lacunes.

En cet après-midi pluvieux, Lucie exposa son point de vue sur l’épilation qui la menaçait. Et elle se prit mal. Elle évita bien sur l’origine de ses rougeurs, mais se basait en toute honnêteté sur ses craintes concernant la rentrée et la douche commune avec ses copines après la gym.

Une forte pilosité ne fait pas de toi une femme responsable ou plus mature qu’une autre. Tu n’as pas besoin de tes poils pour afficher ta féminité non plus. Je ne t’impose pas une telle mesure pour te ridiculiser devant tes amies, mais pour améliorer ta santé. Tu seras intégralement épilée que cela te plaise ou pas. C’est ton bien-être qui te fera comprendre le sens de cette mesure. Puis n’essaye pas de me faire croire que l’envie de dénoter ne fait pas partie de ta personnalité. Il serait temps que tu commences à t’assumer avec tes points forts et faibles.

Lucie se sentit vaincue et essaya de gagner un peu de liberté sur un autre terrain.

Dans un autre ordre d’idée,

commença-t-elle timidement,

je ne vois plus l’utilité de mes cours de gym. Nous en faisons assez tous les matins. Il serait plus judicieux que je choisisse un autre sport qui m’apportera des atouts complémentaires.

Tu as mûrement réfléchi ?

Il me semble…

Dans ce cas je ne vois pas d’objection. J’allais t’en parler de toute façon un de ces jours. Je verrais d’un très bon œil que tu t’inscrives à la fanfare comme majorette.

A suivre

mardi 26 mai 2015

711 Manie de (mon) grand garçon

S'asseoir sur ses fesses nues

Mon homme adore me savoir à la maison en string ou mieux encore sans rien du tout sous une robe ou jupe ample. Celles qui se soulèvent facilement au moindre coup de vent ou quand je manifeste ma joie de vivre en me mettant à danser.

Pas la peine d'être une fine psychologue, il a du mal à cacher son trouble.

Et malgré son attitude quelque peu hostile, du moins verbalement envers les strings, je crois qu'au fond ce n'est qu'une formalité comme chez beaucoup de messieurs de sa génération. Ils ronchonnent pour ne pas passer pour un affreux macho qui trouve son excitation dans la manière de la dame de s'habiller. La sexy attitude semble difficilement conciliable avec « l'esprit Woodstock » comme si elles s'entourait d'un sceau de perversité.

Non, ce n'est pas une exigence de sa part, une tenue qui m'est imposée sous prétexte de discipline domestique. Et encore moins dans un but punitif. Voilà pourquoi mon plaisir de le narguer si légèrement vêtue reste intact.

Non, je n'ai pas systématiquement droit à une ou plusieurs claques sur mes fesses à chaque fois que je passe à côté de lui. Je crois même qu'une telle compulsion m'agacerait vite de la part d'un homme. Il sait rester raisonnable, même si la main le démange. Quand il me soulève ma jupe ou robe, nous restons dans un registre de festin. L'acte s’accomplit avec délicatesse, accompagné de jolis compliments sur mes rondeurs qui me vont droit au cœur. Sa main est câline, en effleurant ma peau pour me provoquer de délicieux frissons. Parfois sur mon popotin de petits bisous qui quand nous nous sentons câlins tous les deux se transforment vite en ardents ébats.

Bref nous avons une vie affective et sexuelle à part entière en dehors de la discipline domestique!

Je pense qu'ici se trouve une bonne partie de la recette pour une longévité de notre DD. D'autres se trouvent dans l’acception de nos « bizarreries » mutuels. Par exemple mon chéri aime beaucoup quand je me promène sans culotte ou en string à la maison que je pose mon fessier tout nu directement sur le canapé ou une chaise, en levant délicatement ma robe ou jupe. A condition que la coupe de mon vêtement le permet.
Alors il tourne sa tête dans toutes les positions imaginables pour ne pas perdre une miette. J'ai presque l'impression de me trouver avec un ado qui s’intéresse au plus haut degré à ce qui se trouve sous les jupes d'une fille. Et son extase atteint un comble quand je suis en bas et porte-jarretelles. Évidement, il m'est très agréable avec si peu d'effort de me trouver au centre de l’intérêt de mon homme. Ayant pris tellement habitude, un jour j'ai fait mon geste en présence mes parents, causant ainsi un grand amusement familial.

Qu'est-ce qui t'arrive isabelle ?

Euh... j'aime bien le contact avec le cuir...

dimanche 24 mai 2015

710 Un monsieur passionné des fesses... (Lundi cinéma)

Il n'existe pas pour moi plus belle déclaration d'amour...

...que de voir et d'entendre un homme qui s'extasie sur la nudité du corps de sa dame. C'est la chair qui parle dans son langage universel et éternel. Et mon penchant va plutôt vers une déclamation de plus rustique, maladroite et touchante à la fois.

Oui, la nature fait bien les choses et il m'est donc facile avec mes armes de femme d'aguicher mon chéri. Autant la position que la tenue de la dame s'y prêtent à la merveille. Je m'y vois déjà en place, mes fesses en l'air, en attendant que mon chéri rentre à la maison. Étant la ponctualité personnifiée, il ne devrait pas tarder. Ma tête posée sur notre canapé, ce dernier toujours impeccablement ciré, je m'enivre de son envoûtante odeur de cuir. Je sais que mon homme adore également la sensualité de cette matière, surtout quand ma nudité intégrale ou partielle s'y ajoute. Mes yeux à mis clos, j'essaye d'imaginer les choses qui vont se passer.

A quelle tentation mon chéri va-t-il céder ?

De la vanille classique de plus glamour, peut-être en m'imposant sa cadence par quelques fortes claques sur mon popotin. Celles qui augmentent en volume mes soupirs de plaisir et mes chuchotements :

Plus fort chéri !

Et libre à lui de décider ce qui méritera « un plus fort ». Mais peut-être serait-il plus tenté aujourd'hui par ma petite porte. Préparée comme il l'aime, par un soigneux lavement pour une hygiène impeccable et puis lubrifiée à la vaseline par un long massage intérieur et extérieur. Évoquant une brillance « prêt à l'emploi ». En gros...

ma vilaine main a été au service d'une noble cause !

Mes fesses bien en l'air donnent une magistrale vue sur mon entrejambe. Je jouis de ma provocante passivité et surtout de mon pourvoir érotique sur mon chéri. J'entends derrière moi sa respiration, plus forte que d'habitude et je me languis de sa main pour vagabonder sur les terrains réservés aux grands garçons. Il aime les jeux de doigt et il peut passer un long moment à parcourir les courbes de mes parties intimes, à les explorer comme à la première fois, à les enflammer, à les rendre humides. Il aime voir mon corps dans un guêpière satiné qui gonfle, non seulement par effet optique le volume de mes fesses.

Ils veulent toujours plus ces grands garçons.

Il lui arrive, échauffé à bloc, sous l'emprise de la situation, de clamer haut et fort sa passion pour une peau dépourvue du moindre poil, parler longuement de l'élégance de mes bas ou de la beauté d'une jambe féminine dans un escarpin à haut talon. Sans oublier bien entendu le centre de son attraction : Mes fesses. Non, il n'est pas rien qu'un peu fétichiste, il est résolument fétichiste.

(Extraits du film : Les galettes de Pont Aven)

vendredi 22 mai 2015

709 Liens de discipline domestique (167 ème édition)

Au menu cette semaine : Douces provocations


Je pense que la fessée entre adultes a mauvaise réputation parce que bien adeptes de la fessée la font passer pour un acte de soumission de la dame.

Pourquoi ne considérions-nous pas la nature provocatrice de l'acte ?

Comme si la dame n'était pas au courant de son pourvoir de séduction en présentant son derrière dénudé ou à dénuder à l'attention du monsieur.
Peut-être son plaisir consiste-t-il tout simplement à provoquer avec la nudité de son corps pour se payer une mauvaise conscience d'enfer.

Une fille bien élevée...

...on connaît la chanson. Ne prenons pas cette mauvaise conscience trop au sérieux non plus. Contrairement à ce que l'on imagine elle n'est pas toujours un fruit de l'éducation, mais de notre imagination étant enfant sur ce que serait la morale. Alors peut-être les intentions de notre dame sont-il de plus basique : Une fessée rédemptrice sans prise de tête et métaphysique à connotation de BDSM ! Le tout dans le but de s'adonner avec encore plus d'ardeur à provoquer ces messieurs, mais cette fois-ci, la dette étant payée, sans mauvaise conscience.

Une vilaine qui comptera bien de rester une vilaine !

Douce provocation à l'allemande (petit clip pour voyeurs)

Grand fan du cmnf (homme habillé, dame toute nue), mon homme s'est vu au bout de ses rêves avec moi quand au début de notre relation je lui ai parlé de ma passion pour marcher toute nue en peine nature ou de faire du vélo toute nue.

Je n'oserais pas...

...m'a-t-il timidement avoué et j'ai trouvé cela très touchant. Je n'aime pas trop les messieurs qui n’arrentent pas de se vanter de tout et de rien et surtout de leur grande liberté des mœurs. Bref je lui rétorqué :

Fais comme tu en as envie !

Il a pris beaucoup de plaisir de me voir évoluer toute nue, tandis que lui restait habillé. Certes nous sommes restés dans des endroits discrets, faits pour, mais je pense que l'idée d'une telle visite dans un musée devrait lui plaire. Notamment que cette expo a aussi accueilli un groupe de nudistes. Notons que la dame du clip est une artiste spécialisé dans les performance à nu et n’hésite pas pour la bonne cause de prendre également toute nue le tram aux heures d'affluence. Enfin, on peut facilement se rendre compte que cela ne choque pas les braves gens.


Je dois me sauver, sinon je risque une fessée qui n'a rien d'excitant !

Il est toujours édifiant dans une relation naissante de partir (au petit matin) en laissant planer une petite allusion pour qu'elle s'incruste bien dans la tête de notre chéri en devenir. Je me souviens de sa tête quand je lui dit que j'avais trouvé un esthéticienne qui pratique l'épilation intégrale. Ce qui n'était pas gagné d'avance à la fin du dernier millénaire en zone rurale. Un autre jour je lui avait fait part de mon goût pour les bas couture, introuvables également dans le coin à cette époque. Et même s'il s'agit d'un certain point de vu de rien de plus que de petite phrases, leur pouvoir était considérable. Bref j'ai vu le trouble dans les yeux de mon homme et à la prochaine rencontre l'effet de ces troubles sur sa libido !

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !
























jeudi 21 mai 2015

708 Mémoires d'une éducation sévère 14


Désir ardent de fessée 7.2


Je n’aurais pas cru que tes méthodes permettent une telle niaiserie à tes élèves.

Nadège était proche de perdre son calme habituel. Elle se sentait profondément humiliée devant sa copine qui mettait la réussite de ses méthodes en doute. Mais elle ne pouvait pas lui donner tort.

Lucie, viens ici que je te déshabille. Tu as un important rendez-vous avec le martinet.

Lucie se laissa faire sans broncher. Elle se sentait bien supérieure à Bérénice qu’elle venait d’insulter et qui cachait sous ses allures austères un secret d’un ridicule hilarant qui lui enlevait tout sérieux aux yeux de la fille. Avec une démarche hautaine digne d’une reine, Lucie décrocha le martinet pour le présenter à genoux dans une posture irréprochable à sa tutrice en demandant pardon et punition.

Je te trouve bien orgueilleuse, Lucie. Je saurais te faire passer ces grands air, crois moi. Tu vas regretter amèrement ton comportement.

Quelques minutes plus tard, une Lucie repentie, implorait le pardon de sa tutrice et de son amie offensée avec une sincérité qui ne laissait aucun doute sur la sévérité de la sanction. Elle réalisa que le ridicule la concernait plus que l’invite qui regardait avec ravissement un derrière brûlant qui témoignait d’un faux pas de taille. Très embarrassée Lucie prit sa place au coin.

Elle n’arrête pas de faire des bêtises. Elle présente encore trop de problèmes de discipline,

s’excusa Nadège.

Pourtant jugeant la couleur de ses fesses elle reçoit des déculottées mémorables chez toi.

Tout à fait. Je ne la prive jamais du martinet quand elle le réclame. 

Puis Bérénice devint à nouveau professionnelle.

Ton élève possède une forte pilosité. Ce n’est pas très esthétique je trouve. Surtout sur une aussi jolie fille.

Pourtant ses poils sont très soyeux. On dirait de la soie.

Et s’adressant à Lucie, elle rajouta :

Approche-toi, qu’on te regarde un peu. Je suis sure que Bérénice pourrait nous donner de précieux conseils pour ta beauté.

Lucie pâlit aussitôt. Le martinet lui faisait depuis quelque temps un effet bien particulier qui risquait maintenant se dévoiler au grand jour. Bérénice examina soigneusement la toison de Lucie. Elle devrait se rendre compte de l’humidité sur le champ. Lucie trembla en attendant le verdict.

Elle est toute humide,

dit la femme d'un air très professionnel.

Je crois qu’elle transpire fortement en cet endroit à cause de sa jungle. Et une sévère fessée n’arrange rien. Bien au contraire. Ce n’est pas très hygiénique. Elle risque des infections.

Justement ! J’allais t’en parler. Je dois lui passer deux fois par jour de la crème. Elle est irritée en permanence. J’aimerais que tu l’examines. Lucie adopte la posture du suppositoire.

Çà m’a l’air bien grave,

dit Bérénice après une étude approfondie.

Je crois que pour bien faire, il faudrait tout enlever et la garder lisse.

C’est bien mon avis aussi. J’avais déjà envisagée de lui faire la totale, mais esthétiquement il me plaît guerre de voir Lucie avec une barbe de trois jours dans l’entrejambe. Puis ça pique et risque d’empirer les chose.

Pourquoi tu ne la fait pas épiler intégralement à la cire. Il n’y a pas plus pratique pour une hygiène intime impeccable. Cela fait propre et lui donnera un air de jeune fille très sage.

Cela s’épile intégralement ce genre d’endroit ?

Bien sur comme je viens te raconter.

J’avais mal compris,

dit Nadège stupéfaite.

Le ticket de métro, ce n’est vraiment qu’un petit rectangle ? Et les lèvres alors ?

A zéro, comme les petites. Tu n’as qu’à me confier Lucie. Elle sera toute lisse comme si elle n’avait jamais eu des poils avant. Si tu veux je pourrais la prendre un matin et je te la rendrez glabre à souhait une heure plus tard.

L’idée me séduit beaucoup. Mais cela t’arrive de pratiquer ce genre de choses dans ton cabinet ? 

Pas encore, mais j’y compte bien. D’où mon stage. Ce sera un travail de longue haleine. Tu connais des femmes à la campagne qui voudraient ressembler à une adolescente ?Mais j’aimerais bien leur faire une démonstration de la technique et de différentes formes. Il me manque justement un modèle. Lucie n’aurait pas envie de gagner un peu d’argent de poche ?

La proposition enchanta Nadège.

Lucie sera volontaire. Il est temps qu’elle apprenne à se débrouiller dans la vie. Mais cela ne résout pas le problème de sa région anale.

Justement. Intégral, c’est intégral. Son anus aussi sera débarrassé de tout poils. Elle sera nettement plus gracieuse et accessible quand tu lui pendras la température ou tu lui donneras un suppositoire. Mais fais gaffe, il y a quand même un inconvénient. Il parait que les filles épilées se touchent plus que les autres vu la sensibilité de l’endroit.

Nadège coupa court :

Lucie ne mange pas de ce pain-là. Nous avons un petit secret Lucie et moi, n’est-ce pas ? Va chercher ta ceinture.

Bérénice ne fut pas convaincue :

Oui, il me semble qu’elle protège bien la partie frontale. Mais le derrière reste accessible par la découpe pour aller aux toilettes. C’est la porte grande ouverte aux mauvaises habitudes.

mardi 19 mai 2015

707 La poésie de la fessée

C’est au rythme de la fessée que les poètes doivent l’invention de la versification. Il existe une communication essentielle entre la main qui s’abat sur le postérieur du récalcitrant et celle qui court sur la page inspirée. 

Magnifique réflexion de la non moins magnifique Chantal Thomass, grande créatrice de lingerie. J'aime son air d'antan et l'ambiance chic de garçonnes entre elles qui me rappelle le temps quand j'étais encore célibataire. J'avais un faible pour des copines ayant au moins le double de mon âge et j'étais d'excellente écoute quand elles m'expliquaient les méandres de la vie ou plutôt de leur vie. Certaines avaient encore connu l'époque de la fessée et bien évidement j'étais particulièrement attentive lorsqu'elles abordèrent le sujet. Je riais de bon de cœur des mésaventures de leurs malheureux postérieurs et je me suis même vue à plusieurs reprises menacée d'une bonne fessée.

Après avoir lu la petite citation, ce contexte prend une toute autre tournure dans ma fantaisie. La poésie a toujours été mon pot de chagrin à l'école. Je n'y comprenais rien, malgré une bonne volonté et d'innombrables heures d'efforts. S'ajoute que je suis une personne qui ne se décourage pas, alors je ne compte même pas mes tentatives infructueuses en cette matière.

Peut-être aurais-je mieux compris par le biais de la fessée ?

Sous forme de travaux pratiques. En imaginant allongée sur les genoux d'une sévère et bienveillante copine, me faisant rentrer par la peau de mes fesses et de manière fort sonore les secrets de la versification.

Je profite pour une petite mise à jour de ma rubrique



Mise à jour du 19/05/2015


























lundi 18 mai 2015

706 De la fessée bon enfant

De quel enfant parle-t-on ?

Dès notre rencontre, j'ai su très vite surprendre mon chéri (émerveiller selon ses propres mots) par mes gaffes et insolences. Non pas qu'il me manque de l'instruction, mais une solide expérience de la vie n'est pas mon fort. Étant été presque toujours secourue au quart de tour dans bon nombre de situations, je n'ai pas développé l'ambition de m’intéresser aux choses « ingrates » de la vie courante. Par exemple je ne saurais ouvrir un capot de voiture ou changer un sac d’aspirateur. Ni même comprendre un mode d'emploi de quoique ce soit. Il faut que l'on me l'explique sans certitude qu'il y ait résultat. Le tout perçu par ma part comme un dû, en me comportant en gamine trop gâtée. Comme dit parfois mon homme exaspère :

Il y a des fessées qui se perdent avec toi, isabelle !

Et bien que mes corrections se passent la plupart du temps de manière ritualisée (va chercher le martinet, isabelle), il arrive à mon chéri d'agir sur le champs. Sur le lieu du crime, à chaud.

J'avoue que j'aie un faible pour le voir vraiment énervé et parfois je pousse le bouchon un peu loin.

J'aime quand je réussis qu'il se défoulé en me penchant sous son bras ou mieux encore en m'allongeant sur ses genoux. Un comble de virilité à mes yeux qui m'évoque la poésie de la discipline domestique caricaturale et très glamour des dessins humoristiques des années 50 dont je suis si friande. Généreux dans ses gestes et dans sa façon de me sermonner pendant ma punition, j'adore prendre pour mon grade. Car au fond cela reste une action sans grand risque, correspondant à un registre de la bonne fessée bienveillante d'antan.

Nous sommes très proche de mes fantasme de jeune fille qui révèlent un jeu de séduction de nature particulière.

Regardons cela d'un peu plus près. La séduction classique sert en fin de compte à procurer une excitation sexuelle chez le monsieur, de préférence facilement visible sous son pantalon. Pour conclure le tout par un joli moment de galipettes. Dans la « séduction particulière à la fessée » ce qui est visé, n'est pas le pantalon tendu (enfin aussi, je suis vicieuse!), mais plutôt l’énervement du monsieur avec d'aussi belles étapes que l'entendre hausser le ton (assez isabelle), mettre en garde (tu te laguis du martinet?), menacer, de préférence sur un mode de langage qui s'adapte à la situation, en faisant tilt dans ma petite tête :

Jeune dame je vais t'apprendre les bonnes manières !

On comprend facilement vu que la situation retrace un fantasme de la dame, datant de son enfance ou adolescence, que le choix des mots est primordial. Certaines dames préfèrent par exemple l’appellation « jeune fille ». Bien entendu notre « jeune fille », n'en est pas une en réalité.

Il ne faut pas confondre un fantasme de longue date avec ce qui devenue la personne.

Tandis que la personnalité continue à évoluer, le fantasme c'est un peu la belle au bois dormant. Il peut rester en sommeil pendant des années pour se réveiller un jour avec la fraîcheur de la jeunesse. Voila qui est très bien compris par l'analyse transactionnelle qui parle significativement de l'enfant en nous.

Cet enfant en moi se présente sous forme d'une vilaine fille qui fait sa crise d'adolescence...

...à l'âge adulte, vu le décalage entre ce que je suis et mon fantasme. Une bonne partie de mon plaisir consiste à déstabiliser mon chéri, à l'agacer par mes exigences et par ma mauvaise fois pour que son énervement soit réel.

Comme si j'étais un vraie ado.

Certes il me connaît et essaye de se soustraire à mon petit ménage. Mais vu qu'il partage mon fantasme de fessée, veut dire que le sien fonctionne en analogie et complémentairement au mien, il en va de soi qu'il y ait rapidement interaction...

vendredi 15 mai 2015

705 Liens de discipline domestique (166 ème édition)

Au menu cette semaine : Surprendre son chéri au quotidien


Le surprendre avec une tenue qui lui donne envie de parler avec ses mains. Puis ce geste qui lui plaît particulièrement. Et à moi aussi. Même devant nos proches. J'aime quand mon chéri marque son territoire. J'aime également quand sa main remonte ma jambe pour se glisser sous ma jupe. Ce geste-ci nous le réservons réservé pour notre intimité. Évidement quand c'est possible je ne manque pas de mettre des bas. Mon homme en est friand et à moi ce petit geste ne me coûte rien. Déjà littéralement parce qu'il n’hésite pas de m'en offrir. J'ai vite pris l'habitude et il arrive parfois quand je me penche trop que ma jupe remontre pour dévoiler ce qui se trouve en dessous. Si cela se passe en public, je risque gros, une bonne fessée pour trouble à l'ordre public. Enfin une fessée le plus souvent plutôt coquine dont la brûlure sert pour me mettre en appétit pour autre chose.

Non, la DD n'est pas psychorigide !

Et pour éviter qu'elle prenne une mauvaise tournure, il vaut mieux oublier la main lourde quand il s'agit de punitions prétextes.


Sans tomber dans un registre exhibitionniste, les occasions pour enlever sa culotte devant son homme ne manquent pas. Par exemple sur un long voyage pour la pause pipi. L'effet est accentué en portant une jupe droite et de hauts talons pour la performance d'équilibriste et de contorsionniste.

Tu peux me tenir ma culotte s'il tu plaît ?

Difficile à dire ce qui se passe à ce moment-là dans la tête du monsieur, médusé et amusé à la fois. Pense-t-il au charme de la petite pisseuse qui a peur de tacher sa superbe culotte brodée ? Pense-t-il que les filles ne soient pas capables de se débrouiller aussi bien en pleine nature que les garçons. Serait-il curieux au point de ne pas détourner son regard pour voir comment font les filles ? Peu importe !

Une fois la culotte entre ses mains quel fier regard de conquérant !

Et s'il me penchait pour l'occasion sur le capot de la voiture ? Hic et nunc ! Ici et maintenant ! Après tout, les pauses sur la route servent à se détendre, non ?


Chéri au secours, j'ai besoin de toi !

En principe cela marche. Enfin, je ne le fais jamais pendant ses heures du travail. Là, il n'a aucun humour et je le comprend. Bref, il arrive assez vite, car je ne l'appelle pas trop souvent non plus.

Tu peux me le mettre ?

Question quelque peu magique qui fait à chaque coup briller ses yeux. Puis, la bonne humeur pour la suite de la soirée est assurée. Que ce soit au restaurant ou chez des amis, il a le coup d’œil. Mes petits moments de « bien-être », mes yeux à mis clos et cet air de volupté. A peine perceptible pendant la fraction d'une seconde. Il adore particulièrement quand la discussion entre amis se tourne vers les habitudes intimes des dames et moi avec mon air de sainte ni-touche je fronce un sourcil comme si j'allais sortir une remarque de plus moraliste. Tout le monde me regarde et j'ai l'impression que mon attitude constipée contribue à délier encore plus les langues. Comme si c'était une tare d'être coincée...

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !

























jeudi 14 mai 2015

704 Mémoires d'une éducation sévère 13


Désir ardent de fessée 7.1

L’effet sédatif du suppositoire de bonne nuit fut de courte durée et s’estompa après trois jours seulement. Lucie soumit son imagination et son ingéniosité à rude épreuve pour contourner le vilain obstacle, mais capitula devant les évidences. A force de tirer la ceinture dans tous les sens sous l’assaut de ses ardeurs, elle s’attira une irritation de ses parties sensibles.

Nadège toujours à ses petits soins se montra compatissante et octroya une crème apaisante qu’elle appliqua de ses mains après la toilette matinale sur l’entrejambe de Lucie en massant longuement que l’onguent puisse pénétrer en profondeur. Lucie approuva ce traitement par des petits soupirs de soulagement. Le soir venu, au moment de coucher Lucie, la tutrice répétait l’opération, suivie d’une talque pour peaux sensibles. Elle avait également une technique particulière pour préparer le terrain du suppositoire qui ne laissa pas indifférente son élève et qui lui tendit bien sagement son postérieur en abandonnant toute pudeur.

Nadège fit comme elle ne remarquait pas l’état tendu de Lucie et la dernière trop timide pour se confier à la première ne demanda pas un soulagement efficace. En conséquence le sommeil n’était pas au rendez vous et Lucie dormait de moins en moins, glissant dans une humeur que l’on peut qualifier comme nerveux ou du moins agitée. Son état s’aggravait de jour en jours.

En ce temps-là Lucie ne comprit pas le but visé par Nadège. Il lui fallut un long apprentissage avant que vînt l’illumination et nous allions suivre étape par étape le déroulement de cette initiation insolite.

Son plaisir sous verrou Lucie n’eut pas d’autre choix que de se confier entièrement aux mains de sa tutrice. Son corps approuva les méthodes, en développant une palpitante sensibilité qui lui révéla jour par jour de nouvelles sensations. Pour ainsi dire elle prit goût à cette discipline libidineuse. Si elle avait été toute seule au monde avec Nadège, elle ne s’aurait pas posé la moindre question. Hélas, sa tutrice ne se contentait pas d’imposer ce régime strict en toute discrétion et n’hésitait pas à exposer la condition de Lucie au vue du village entier. On savait bien que Lucie était volontaire et qu’elle se pliait donc par conséquence de son propre gré aux exigences de Nadège. Heureusement personne ne vit autre chose dans ce consensus que le désir de la fille de recevoir une éducation de qualité.

Lucie vivait dans la permanente crainte de voir revenir ses amies. Il lui parut impossible de leur expliquer se qui se passait dans sa tête et savait pertinemment qu’il serait très dur de leur cacher à la longue les détails de sa condition. Entre ses grands discours d’antan et sa docilité envers Nadège, l’abîme était trop grand pour passer inaperçu si elle ne trouvait pas une parade adaptée. Il était impératif d’obtenir un levé de la consigne à la maison avant que ses amies revinssent. Le seul chemin consista dans une conduite irréprochable aux yeux de Nadège.

Lucie n’était pas dupe. Elle se sentit prisonnière d’une attirance basée sur ses émois intimes, plus forts que sa raison et son bon sens. Elle maudissait la faiblesse de son caractère qui ne lui permit pas de mettre terme à cette relation qui lui pesait souvent et qui lui fit perdre l’estime de soi. Mais il suffisait le moindre contact corporel avec Nadège pour que sa honte se transformât en jubilation jouissive. Et la tutrice savait bien doser ses attentions.

Lucie se sentait protégé en son secret qui entremêlait volupté et obéissance. Et même Nadège qui la matait en quasi permanence n’avait pas fait le rapprochement entre activités nocturnes qu’elle jugeait normal et leurs motivations profondes.

Mais la suspension de sa détente nocturne compliqua les choses. Elle se trouvait privée d’un moyen efficace pour maintenir son équilibre entre sa haine contre la tutrice. Elle la jugea seule coupable autant de ses désirs étranges que de son son attirance pour elle. Et au fond elle se languissait des caresses de sa tutrice.

Pendant la nuit elle développa un goût pour les voies parallèles de l’apaisement sensuel par le seul accès possible. Processus qui renforça encore plus la sensibilité érotique de son derrière.

Pendant la journée, Lucie se comporta avec beaucoup d’insolence et afficha une conduite exécrable. Quand Nadège la déshabillait pour la punition elle ne frissonnait pas de peur, mais d’attente impatiente pour accomplir sa danse rythmique sur les genoux de sa tutrice. Le mélange de douleur et de volupté lui fit du bien, mais ne la calmait que pour quelques heures. Elle fit tout pour s’attirer la colère de Nadège, poussée par un ardent désir de recevoir de nouveau une bonne fessée salutaire.

Dans un premier temps elle maîtrisait son comportement odieux au point d’éviter ses dérapages en cas de visite d’une autre tutrice. Mais un jour elle découvrit la tentation de se voir prise en flagrant délit devant une voisine.

L’occasion se présenta devant l’esthéticienne qui entretenait une relation amicale avec Nadège et qui passait souvent à la maison. Elle aussi était une femme très coquette et parfaitement soignée de la tête au pied.
Elle avait effectué un stage de perfectionnement en ville, découvrant ainsi les dernières tendances à la mode. Elle parlait en long et en large du progrès dans l’épilation et plus particulièrement celle du maillot. En écoutant sagement, Lucie apprit pour son plus grand amusement que de plus en plus de filles en ville optaient pour des « coupes » très réduites qui se résumaient parfois à un petit triangle, carrée ou rectangle très étroit. L’esthéticienne vanta les avantages hygiéniques de telles mesures en insistant aussi sur l’aspect soigné.

Lucie qui était une vraie brune avait été toujours très enchantée par sa toison abondante qu’elle affichait sous douche avec grande fierté devant ses camarades et qui lui valut beaucoup d’admiration. Il existait un véritable concours parmi les filles, laquelle parmi elles possédait la décoration naturelle la plus impressionnante et Lucie sortit toujours en vainqueur incontestable.

Nadège pour sa part montra un grand intérêt pour ce sujet et demandait moult explications. Lucie se contenta de rigoler bêtement de temps en temps, puis poussa l’indiscrétion au point de demander à la femme si elle avait déjà essayé cette nouvelle mode sur elle. L’esthéticienne affirma en avouant qu’elle avait opté depuis ce stage pour un petit ticket de métro. Lucie se chopa un fou rire à ne plus s’en tenir sur sa chaise, puis ajouta inspirée par une mauvaise voix :

Je serais trop curieuse de voir une tutrice avec un entrejambe aussi ridicule.

Un silence menaçant s’instaura aussitôt. Puis l’esthéticienne se tourna vers Nadège.