vendredi 24 février 2017

985 Liens de discipline domestique (259 ème édition)

Au menu cette semaine : Sous les jupes des filles

La poésie de la culotte blanche (en bas de l'écran)

Mon homme est un nostalgique d'une époque imaginée où bas et porte-jarretelles étaient les vêtements habituels pour les filles. Il sait en rajouter dans ses formulations et me fait bien souvent rire jusqu'au larmes. Il trouve des oreilles particulièrement attentives à ses grandes théories devant un public d'amis de sa génération. Soirée entre hommes où seule la maîtresse de la maison est admise.

Et vous, vous en pensez quoi, isabelle ?

Ah le charme des ces messieurs d'un certain âge. Ce vouvoiement de politesse et de respect devant une dame. Je me sens reine dans une cours de recréation de grands garçons qui après un bon vin commencent à se prendre quelque libertés sans dépasser les limites du convenable.

Qui suis-je pour contredire mon chéri ?

J'ouvre une parenthèse: Il me semble évident qu'aucun des ces messieurs à échappé au son des mes hauts talons pendant que je faisais le service. Puis ma jupe malgré qu'elle couvre pudiquement mes genoux laisse libre vue sur les coutures de mes bas. Mon homme aime beaucoup que je me donne séduisante pour de telles soirées. Cela gonfle son ego et moi je n'y vois rien de mal, car je flatte le mien à la même occasion. Puis je m'évade dans ma pensée vers petit secret qui ne se laisse pas deviner. Je pense à ma... culotte. J'ai reçu la veille une solide fessée pour quelques moqueries concernant les amis de mon homme. Il n'aime pas cela et je le sais bien.

Dans son langage à lui j'ai cherché ma fessée !

Ce qui est parfaitement juste. J'avais envie qu'il s’occupe de moi. Stratagème qui fonctionne toujours. Il a dû sentir le vice dans ma démarche. Pour me punir à la hauteur de mon méfait pour que je retienne bien à leçon, j'ai eu une punition supplémentaire.

Une semaine en culotte blanche... en coton !

Puis ensuivit suit longue éloge de la culotte blanche en coton avant qu'on nous impose (à eux les hommes en fait!) ces affreux strings qui ne servent à rien. Je ferme ma parenthèse !

Allons, isabelle, ne soyez pas sibylline ! Quel est votre avis !

Vous voulez le fond de ma pensée ? Les bas et les porte-jarretelles m'évoquent une question existentialiste : Culotte ou string !

J'ai gardé le coton par discrétion pour moi, mais dans la discussion qui a suivi ma question elle a vite fait surface.


Je n'ai toujours pas lu les « cinquante nuances », ni même vu les films. Je ne suis ni pour ni contre, mais il me manque le temps pour découvrir ce BDSM qui fait unanimité chez pas mal de mes copines. Toutefois je suis pragmatique. Je reconnaît l'utile publique de ce livre qui permet de parler fessée et autres pratiques comme on parle vernis à ongles ou recette de cuisine. Et visiblement - comme montre cette publicité de restauration rapide – nous ne sommes pas encore au bout d'un long processus de banalisation de telles pratiques. Notons que Freud avait prédit une telle évolution des mœurs. Au risque de passer pour une cruche, à quoi sert le truc avec la boule en bois ?

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !













La joie de fesser (petit clip)








mercredi 22 février 2017

984 OTK façon chesterfield (mercredi cinéma)

J'aime les hommes , les vrais !

Voici un clip qui met en relief cette « affirmation » venant tout droit de mes irrationalités. Déjà, je trouve d'un comble de virilité quand mon homme ne se « laisse pas faire » et me pose des limites en me passant sur ses genoux pour une bonne fessée traditionnelle, cul nu et en claquant fort. De préférence accompagnée d'un joli sermon. Mais comme bat fort mon cœur quand il se laisse aller à une prestation qui demande force et équilibre. Avec moi comme principale actrice et attrape l’œil. Je pense que bien d'hommes se trompent en imaginant qu'une fessée devant public se nourrisse uniquement de fantasmes coquines de la dame. Je serais plutôt tentée de parler d'un événement qui flatte le narcissisme de la dame d'une manière particulièrement intense. Cette impression s'accentue encore pour moi quand je vois certaines mises en scène du BDSM. La dame est mise en valeur, « sublimée » devant autrui de façon hautement seyante. Elle capte tout les regards et - élément très important - s'empare de l'imaginaire des spectateurs. Comble de la satisfaction narcissique, être l'unique centre du désir d'un groupe et qui peut s'accompagner d'un sentiment de toute-puissance dont le caractéristique est une désinhibition euphorique plus ou moins large.

Tu cherches la fessée publique là, isabelle ?

A condition que tu ne poses pas ton pied sur notre canapé, chéri !

Du favoritisme, isabelle ?

Bon il est vrai, parfois je m'y pose avec mes hauts talons. Seulement il s'agit de mes hauts talons de... maison et ma manœuvre n'a pas d'autre but que de proposer une jolie vue à mon chéri quand je l'entends quitter sa pièce de travail. Petit geste qu'il apprécie hautement et qu'il appelle la belle sur son divan. Comme il sait me parler !

Enfin, je m'y vois déjà. Comme la dame dans le clip. Haut perchée sur son genoux, position qui permet un maximum d'expression corporelle.

Des claques solides, espacées pour un effet fessée bien sentie.

Mais par pitié, pas de culotte blanche et qui de plus n'est même pas baissée. Franchement je me sentirais vexée de na pas pouvoir présenter mes fesses nues aux yeux de mon homme. Bref en début de ce post, je parlais d'un homme d'un vrai. Justement selon mes fantasmes un tel homme se flatte d'appliquer la fessée exclusivement cul nu ! Ouf ! L'honneur est sauf à la maison.

vendredi 17 février 2017

983 Liens de discipline domestique (258 ème édition)

Au menu cette semaine : Cherchez l’intrus...


Rien n'échappe à la vigilance de mon homme. Un coup d’œil lui suffit pour apprécier une situation à sa juste valeur. Monsieur regarde amusé , se frotte ostensiblement les yeux, puis regarde à nouveau.

Tu devrais mettre tes lunettes au moins quand tu choisis des liens pour ton blog isabelle !

Pourquoi ? N'aimes-tu pas cette ambiance d'un autre âgé ?

Oh que si ! Il aime beaucoup. Mais c'est le détail qui m'a échappé, cette corde qui lie les mains de la jeune dame punie qui calme son habituel enthousiasme. Mon chéri a une préférence pour les filles qui participent activement à leur punition.

Les filles qui comprennent et cherchent le bienfait d'une éducation stricte !

Toutefois les sujet est propice au confidences. J’apprends entre autres que la vue d'une telle situation, entre filles, lui procure des frissons … sous son jeans. Ah ces hommes qui se contentent de si peu tandis que les filles dégustent des frissons partout, partout. Ma curiosité attisée, je jette un regard sur son jeans et il y a un beau fou-rire qui me prends.

Mais chéri, tu es en train de ban..der !

C'est de ta faute isabelle, fallait pas me montrer de telles images...

Il reste décomplexé, sûr de sa virilité, soutenu par la belle bosse sous son pantalon et me tire sur ces genoux.

Je vais t'apprendre à me harceler dès le bon matin.

Voila qui claque fort dans notre cuisine, car Monsieur n'a pas manqué de me baisser ma culotte. Quand je le vois sens s'appliquer avec tant d'ardeur sur mon derrière, je pense souvent à Blanche neige et les sept nains et leur légendaire vaillance dès l'aube. Je passe sur l'interprétation exacte de cette association, mais je me dis tout de même : Ouf ce n'est qu'un état passager chez mon chéri. Il ne restera pas toute sa vie à un stade prégénital, il sait aussi se montrer en homme, en vrai quand il le faut. Mes fesses commencent vite à chauffer, malgré l'aspect ludique de ce qui m'arrive. Ma fessée est agréable et la sensation s'amplifie par ce que je sens sous moi. Cette virilité dure à croquer me donne envie de lui remercier après ses efforts de manière particulière par de très vilaines choses.

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !
















Air d'un autre âge (petit clip)








mercredi 15 février 2017

982 Fessée non chaste (Au cinéma)

Décupler la sensibilité

Il y a des jours que je me trouve en quête de distraction érotique. Ma fantaisie divague et je me vautre dans mes rêveries d'adolescence. Parfois je m'imaginai tout simplement allongée sur les genoux de mon prince charmant en recevant une bonne fessée. D'abord sur mon jeans, ma jupe, ma robe etc selon les jours. Puis attendu en frissonnant, arriva le moment du déculottage. Mon homme a nos débuts a su ajouter un joli élément à mes rêveries de jeune fille.

Petite érotisation verbale réservée au monsieur car une dame n'utilise pas de tels mots.

Avec conséquence une inégalité bienvenue et hautement chargée d'émoustillement. Quand c'est moi qui emploie ce mot je suis dans le meilleur des cas envoyée au coin. Quand c'est monsieur qui le prononce, il libère en moi un rire mi-gênée, mi- complice y compris quand nous sommes en public.

Und jetzt den nackten Arsch frech herausgestreckt, isabelle !

(Et maintenant tu vas me tendre effrontément ton cul tout nu, isabelle)

Comprenons par effrontément de se servir de son cul nu comme arme de séduction. Avec la pleine conscience que cette partie de mon anatomie provoque des fulgurants effets sur mon homme. Parfois je suis invitée aussi d'aguicher le martinet, la canne, la strap avec mon popotin tout nu. Instants d'intense émotion, malgré un perspective de me trimbaler un fessier fort sensible pendant des heures.

Enfin, habituellement il s'agit d'un interlude coquin je m'annonce sonorement par mes hauts talons sur le parquet. Mon chéri y est très sensible et divine souvent quelles chaussures je porte. Bien entendu de tels jours je me languis de lui tendre mes fesses toutes nues à une improvisation ludique et sans la moindre hargne.

L'enjeu c'est la sonorité, le réchauffement de ma peau et la stimulation de ma circulation sanguine.

C'est un système de vases communicantes et il ne faut pas beaucoup de temps pour que je ressente le bienfait de mon traitement. Les fluides corporelles s'activent et mon chéri utilise des petites pauses pour vérifier
dans quel état je me trouve.

Fessée non punitive égal suite sexuelle !

Je me sens prête à tout genre de « cochonneries » et je suis certaines plus bruyante par la suite que pendant mon échauffement. Que ce soit une sucette, une entrée par la porte du service ou de la vanille de plus classique, j'éprouve les sensations d'une intensité décuplée quand j'ai mes fesses brûlantes...

vendredi 10 février 2017

981 Liens de discipline domestique (257 ème édition)

Au menu cette semaine : Il ne faut pas se fier aux apparences !


Il n'est pas un secret que mon homme adore que je porte des jupes en cuir. Avec des bas, porte-jarretelles et hauts talons... cela va de soi. Loin de moi de vouloir culpabiliser mon chéri pour ses fantasme avec des idées féministes. Je les trouve déplacées dans un domaine qui ne relève pas de la rationalité. Puis vivre en couple pour moi implique le désir de rendre heureux son partenaire. Alors, il y a quelques semaines nous étions dans une brocante avec un rayon friperie. Parmi les merveilles d'un autre âge se trouva un jupe, des années 80 très probablement, mais pas n'importe laquelle. Il s'agissait d'une jupe droite très courte en cuir noir de bonne qualité. Entendons par très courte une longueur largement en dessous des 46cm que j'aime habituellement porter pour aguicher mon homme. Bref c'était le genre de jupe qui au moindre mouvement remonte très haut en dévoilant impudiquement les attaches des bas. Comprenant que je tenais là en main une joyaux pour émerveiller mon grand garçon, je lui ai fait aussitôt signe :

Tu me verrais là-dedans ?

Emportée par la joie de ma découverte je n'ai pas été discrète. On a dû m'entendre un peu partout dans cette trocante avec mon trophée que je tenais fièrement entre mes mains. De plus ce vêtement dénotait complètement de mon style tailleur très sage. J'ai donc récolté quelques sourires amuses. Mon chéri, d'habitude la discrétion en personne ne savais pas trop sur quel pied danser. Un franc rire à cause de mon enthousiasme exubérant ou un regard sévère pour me rappeler un peu de retenue :

Il y a des fessées qui se perdent avec toi, isabelle...

Plus tard, à la maison, je lui ai fait un défilé dans ma nouvelle jupe. Mon homme était enchanté en profitant de me raconter un de ses vieux fantasmes :

Claquer bruyamment les fesses d'une provocante dame en mini-jupe.

A l'occasion il m'a penchée sur ses genoux. Le cuir de la jupe étant très doux, elle se laisse facilement trousser. Alors il ne s'est pas privé pour me taper copieusement mes fesses. Sans oublier de me baisser consciencieusement mon string avant l'acte. J'ai reçu un fessée grand format , plutôt « érotico-punitive » pour m'avoir donnée en spectacle dans la trocante. Puis par la suite j'ai gardé la jupe sur moi. D'excellente humeur de l'impacte de mon achat sur la libido de mon homme, je me suis mise à passer... l'aspirateur. En dévoilant sans la moindre gêne au moindre mouvement mon fessier joliment teint en rouge vif.


Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !


















vendredi 3 février 2017

980 Liens de discipline domestique (256 ème édition)

Au menu cette semaine : Vice caché


Quand l'amour est tout jeune, tout frais beaucoup de dames se sentent prêtes à tout. Peut-être une question d'hormones en pleine ébullition qui baissent le seuil de la pudeur. Je n'en ai pas fait exception et ce fut donc le moment idéal pour que mon prince charmant me fasse des confidences sur ses préférences sexuelles. Monsieur 183 en devenir, étant aussi pragmatique que moi (ce qui se ressemble, s'assemble) a su mieux faire qu'un simple blabla d'un chat coquin. Entre beaucoup de tendresse (ben oui!) et prestations... convaincantes au lit (oh ouiii), il a lâché quelques petites phrases qui ont trouvées résonance en moi. Ainsi sur un terrain préparé par quelques allusions très claires, tomba finalement ce que j'attendais avec impatience, une phrase faisant mouche du style :

Il n'y a pas d'âge pour recevoir une bonne fessée, isabelle !

Me laissant toutefois l'entière liberté de céder à la tentation ou de la décliner par un franc rire sans m'engager dans de longues explications. J'ai beaucoup apprécié l'élégance de la démarche. La suite s'est jouée au niveau des regards. Après une courte hésitation...

...j'ai accepté de baisser sagement mon jeans et ma culotte pour me présenter les fesses à l'air et un peu honteuse à un rappel à l'ordre d'un autre âge.

Cet acte s'est passé de manière aussi convaincante que nos ébats au lit. Ni trop long, ni trop court, ni trop fort, ni trop tendre. En gardant bien en vue un accomplissement de la fessée quelque peu... névrotique. L'aspect punitif détermine la surface bien que les deux partenaires ne soient pas dupes.

La satisfaction sexuelle (je ne parle pas d'orgasme!) se passe sur la peau des fesses et aussi sur la main du monsieur.

D'ailleurs on ne parle pas pour rien d'une main qui démange. Quand je me suis rhabillée un peu plus tard j'ai appris que j'allais recevoir une solide éducation pour jeunes dames, digne de l'époque victorienne. L'expression m'a beaucoup fait rire dans cette histoire d'amour si bien partie. Surtout parce que je me suis sentie rassurée sur ses étendues et l'intensité de cette « éducation à l'anglaise ».

Évidement et bien heureusement les désirs de mon chéri ne se limitent pas à la fessée. J'ai vite connu tous les petits trucs qui le font démarrer au quart de tour. Cette façon de s’accorder aux plaisirs de chair me paraît très saine. On met les cartes sur la table pour bien commencer la partie. Je pense qu'il ne faut pas avoir peur de dévoiler ses rêveries les plus secrètes quand on souhaite s'engager à long terme. Une fois les débuts passés, toute confidence supplémentaire me paraîtrait personnellement comme un vice caché... littéralement.


Quand je me fie au contenu et aux chiffres de vente de telles ouvrages, il y une conclusion qui s'impose à moi :

Il semblerait que chez les dames le fantasme se mette plutôt au service de l'exaltation de la personnalité, tandis que chez les messieurs il se mette plutôt au service de la libido.

Je pense par conséquence qu'Anna Freud tenait le bon bout avec sa théorie des belles histoires qui cachent des fantasmes de punition et plus particulièrement de la fustigation sous des apparences joliment narratives... dans un but de renoncer à la masturbation.

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !







Constat et résultat (en bas de l'écran)











La touche érotique (petite série)