vendredi 29 janvier 2016

829 Liens de discipline domestique (202 ème édition)

Au menu cette semaine : Quand la fessée fait bon ménage avec le quotidien !

Votez bien, votez fessée ! (en haut à gauche)

Il s'agit d'une authentique affiche électorale pour inciter à voter pour ce parti néerlandais. Comme je dis souvent, les mœurs dans la plupart des pays nordiques sont d'une très grande innocence. Ce qui me semble une conséquence directe de l'influence du protestantisme, surtout luthérien. Il suffit de regarder les bon mots attribués à Martin Luther, le « père » du protestantisme comme :

Qui n'aime pas les femmes, la chanson et le vin, restera toute sa vie un imbécile!

C'est influence se retrouve dans le carnaval de mon enfance, bien qu'à la base d'origine catholique. Bref, la fête dans les pays nordiques n'est non seulement sacrée, mais vraiment exubérante. Je cite encore Luther pour le plaisir : D'un cul tendu, ne sort pas de pet joyeux. En gros, nous sommes loin de tout puritanisme. A croire que les protestants tournés vers une spiritualité plutôt traditionnelle, ont fait un long voyage en bateau vers le nouveau monde pour échapper à la dépravation de mœurs des autres. Voila pour dire que...

...à l'âge de quinze ans, j'ai participé à une boom de carnaval où le jeu de soirée consistait à bander les yeux des files pour leur appliquer une bonne claque sur leur derrières.

Et aux filles de deviner quel prince charmant s'était appliqué. A force de jouer, cela donner des fessiers très échauffés. Et il en va de soi que l'ambiance battait son plein. Quand j'étais ado et même dans les générations avant qui s'amusaient au jeu de la main chaude.


Chemise blanche et nœud papillon, un comble d'élégance pour moi. Et avant de partir au théâtre ou à l’opéra - ben non, pas trop notre truc – alors disons pour bien débuter une soirée entre amoureux, monsieur trouve une raison ou un prétexte, pour me donner une savoureuse fessée.

Sans abus, mais aussi sans complaisance coquine.

Il s'agit de bien me chauffer le derrière pour sentir intensément la brûlures pendant que je me retrouvera plus tard assise à une belle table devant mon chéri. Il m'aime frétillante sur ma chaise, mes yeux pétillantes et « mon rire joie de vivre ». Moi j'aime cette chaleur qui va se diffuser un peu partout dans mon corps et surtout dans mon bassin. J'aime ses petits mots doux et aussi des promesses de tant de vilaines choses qu'il me fera en rentrant ou qu'il souhaite que je lui fasse... sur place.

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !

Discipline stricte (petite série)






Solide la dame (petit clip)















jeudi 28 janvier 2016

828 Arthur et Léonie 3/3 (Un récit d'Arthur)

(Suite de : 824 Arthur et Léonie 2/3 ;

Début de l'histoire: 820 Arthur et Léonie 1/3)

Pour amateurs de la DD Inversée

Arthur et Léonie (3/3)

Pour commencer, Léonie qui se documenta beaucoup sur le sujet, apprit à Arthur à dissocier fessée et vanille. Comme elle lui disait parfois quant elle lui expliquait ses méthodes éducatives : « il est fondamental de ne pas confondre le bâton et la carotte ». Lorsque que comme ce soir, Léonie convoquait Arthur dans le salon, il y avait deux possibilités. Ou bien Léonie était vraiment fâchée : dans ce cas, la fessée serait sévère et Monsieur pouvait être certain que la soirée était finie (pour lui du moins). Ou bien Léonie estimait simplement qu’il fallait rappeler à Monsieur les règles du foyer : dans ce cas, Léonie usait de la tawse comme symbole de son autorité. Il ne s’agissait pas véritablement de punir Monsieur mais plutôt de lui inculquer vigoureusement quelques bons principes. En fonction de son humeur et de l’enthousiasme dont faisait preuve Arthur durant la leçon, Léonie pouvait ensuite l’inviter à lui témoigner virilement sa reconnaissance. Au moment où Léonie entra dans le salon, Arthur espérait encore que ce serait la seconde solution. Debout, les mains dans le dos et le regard baissé, il attendait qu’elle prenne la parole.

Comme toujours, Léonie prenait son temps, tournant autour de lui comme une lionne autour de sa proie.

Enfin elle se plaça devant Arthur et lui demanda « Pourrais-tu me dire combien de films a réalisé Agnès Jaoui ? » Arthur ne s’attendait pas à cette question. Léonie vit la surprise sur son visage ce qui l’amusa beaucoup et l’incita, chose exceptionnelle, à reposer la question une seconde fois. Bien sûr Arthur ne savait pas répondre et il dut le dire. Ensuite il dut avouer que non seulement il ne savait pas combien elle avait réalisé de films mais qu’en plus qu’il n’en avait vu qu’un seul. « Un seul ? » fit semblant de s’étonner Léonie avant de se lamenter « moi qui croyais que tu étais si cultivé, je suis un peu déçue… » Elle qui pensait également qu’il n’était pas possible d’avoir un avis sur des choses qu’on connaissait mal, elle s’interrogea sur ce qui avait poussé Arthur à émettre un jugement aussi définitif sur une œuvre qui lui était presque inconnue. Face à son embarras, évidemment, elle insista « C’est bien toi qui tout à l’heure parlait de cinéma vulgaire ? » Oui, c’était lui et effectivement, Léonie avait raison de remarquer que s’il y avait quelque chose de vulgaire, c’était plutôt de parler pour parler et de couper la parole aux autres « Ce qui est vulgaire c’est aussi de se trouver de fausses excuses » asséna également Léonie. « Tu ne t’es pas laissé emporter par ta passion du cinéma comme tu l’as dit aux invités, tu t’es laissé emporter par ton insolence » conclut-elle avant d’ajouter ces quelques mots, quasi rituels, qu’Arthur avait entendus si souvent et qui marquaient le début de la punition :

« Maintenant mets toi à quatre pattes et baisse ton caleçon »

Léonie administra cinq coups de tawse à Arthur qui firent de longues marques rouges sur ses fesses puis elle contempla son œuvre : du beau travail. Arthur attendait dans cette posture ridicule, ignorant si la punition était terminée ou non. Léonie lui fit alors cette proposition : « Pour ce soir, je vais m’arrêter là. Demain, puisque c’est samedi, tu iras dans cette boutique où il y a tant de cinéphiles. Tu n’oublieras pas de mettre ton plug. Cela t’aidera à avoir les idées bien en place et à choisir un DVD, un seul qui sera un film d’Agnès Jaoui. On le regardera ensemble et ensuite tu m’en feras la critique. Si tu sais te montrer bienveillant et mesuré, si tu parviens à insister sur ce qu’il y a de positif et d’intéressant dans ce film, je me montrerai indulgente avec toi. Mais si tu es injuste, pédant et sûr de toi comme tout à l’heure, soit certain que je me montrerai particulièrement sévère avec toi. Maintenant embrasse mes mains, raccroche la strap et file au lit »Arthur s’empressa et alla se cacher sous la couette. Lorsque Léonie vint le rejoindre, il lui fit des massages puis elle ferma la lampe. C’était l’heure de dormir.

Arthur n’était pas en mesure de cacher son enthousiasme vis-à-vis des méthodes éducatives de sa chère et tendre.

Léonie le savait et par malice elle vint se coller contre lui. Il n’y avait aucun doute : son compagnon était dans de particulièrement bonnes dispositions à son égard. Demain, il ferait beaucoup d’effort et tenterait d’avoir un comportement exemplaire. Léonie aimait bien Agnès Jaoui et s’amusait par avance de la bonne soirée qu’ils allaient passer ensemble : Agnès, Arthur et elle. Elle se régalait aussi de leur prochain dîné entre amis, lorsqu’elle raconterait « On a vu Comme une image et Arthur a adoré ! N’est-ce pas Arthur ? »

mercredi 27 janvier 2016

827 La sexy attitude au quotidien

A la maison... je précise !

J'adore faire l'éloge de la petite robe et des hauts talons. Il s'agit d'un de mes vêtements préférés pour sortir en été. Rien de particulier jusque là. Pour le reste de l'année, à part les périodes de grand froid, ma collection de petites robes fait mon bonheur au quotidien à la maison. C'est si agréable à porter, notamment sans culotte et si plaisant à associer aux bas et porte-jarretelles en demi saison. Ajoutons à ceci des hauts talons que j’enlève pour me vautrer sur mon canapé pour écrire et qui se trouvent donc juste à côté... de mes pantoufles. On comprend que je choisi « chaussure à mon pied » selon mon activité à la maison. Bien évidement quand je n'ai quelques mètres à faire pour porter le café à mon chéri, j'opte pour mes escarpins ou sandales. Et vu la distance ridiculement petite pour mon déplacement, il m'importe peu que le talon soit vertigineux. De plus notre intérieur est conçu (par les soins du monsieur) pour éviter tout danger (style angles dangereux) autant pour la petite que pour mes... bas. Je pars alors en toute confiance ce qui n'est pas le cas quand je sors. On imagine mal les pièges de la vie courante sur des hauts talons aiguille. Mieux vaut avoir son chevalier galant à côté de soi qui en plus apprécie l'effort vestimentaire à sa juste valeur.

Je retourne sur mon canapé. Quand monsieur se trouve à proximité, je passe l’aspirateur sur mes hauts talons. Sans lui c'est l'option pantoufle. Sans oublier de me pencher dans le moindre coin. Une petite robe jumelée aux hauts talons a tendance à remonter facilement ce qui fait son charme.

Il en va de soi qu'il faut aimer les jeux de séduction pour faire un tel ménage vestimentaire.

Une autre partie de ma motivation est de l'ordre narcissique, se voir joliment présentée. Se plaire à soi-même. Comme tout le monde je prend de l'âge, mais comme dit mon chéri chaque âge a sa beauté. Sans oublier le côté sensuel d'une telle tenue. Le moindre courant air devient une grande aventure avec le petit frisson de la jupe qui se soulevé. La main de mon chéri qui s'égare quand il passe à côté de moi.

La petite tape sur les fesses qui procure un effet cul nu tellement le tissu de mes robes est fin.

Et le plaisir aussi de soulever ma robe avant de m'asseoir pour mieux apprécier la sensualité de mon canapé. D'ailleurs c'est devenu une sorte d'automatisme que j'ai du produire devant des amis à plusieurs reprises :

Mais qu'est-ce qu'il t'arrive isabelle ? Tu as lu l'histoire d'O ?

Non, pas vraiment. J'ai commencé à lire ce livre il y a longtemps, puis après quelques pages j' ai pensé à mes ongles et je me suis cherchée une lime. Je dois être incompatible à ce genre d'univers pour sortir mes griffes. Puis j'ai complètement oublie ce livre. Enfin, ce genre de petite remarque ne gâche pas ma bonne humeur et encore moins mon histoire d'amour avec les petites robes...

lundi 25 janvier 2016

826 Laisser libre cours à sa fantaisie en toute confiance (Lundi cinéma)

Quand le mécano prend soin de la dame

Une fantaisie bien cash qui se décline aussi en mode fessée. Alors en s'appliquant sur le derrière de la dame le monsieur montre ses capacités manuelles, détail fort important. Bien que j'aie un faible pour les intellectuels style Docteur Faust, je ne trouve pas une luxe que le monsieur soit doué de ses mains. Alors pour faire « plus ample connaissance » je pointe mes oreille façon écoute flottante en observant ce qui se passe au niveau de mains, sans oublier de temps en temps un regard franc. Étant très myope et ne supportant pas les lentilles, j'ai appris assez tôt que j'aie soi-disant un regard de « chambre à coucher » comme on dit en Allemagne. A condition que j’enlève mes lunettes quand le « scan » de la tête au pied a été convaincant selon ma liste de critères perso. Rien à voir avec une promesse de désir, phénomène plutôt physiologique, que je laisse à la libre appréciation de mon vis-à-vis tant que cela m'arrange. Enfin, cela a été avant... de me mettre en couple. Ceci dit, je regarde souvent attentivement les mains de mon chéri...

...car la main qui démange n'est pas une vaine formulation !

Retournons voir le mécano de mon clip. On a compris, il s'agit d'une variante de la fessée pour une pénible cliente et mon exercice de style porte sur une nouvelle façon de considérer ce sujet. Notons pour l'occasion qu'il vaut mieux tomber parfois entre les mains d'un monsieur que d'une dame. A vrai dire je ne sais pas s'il s'agit d'un bref rappel à l'ordre qui mise sur l'aspect psychologique de la fessée ou encore une de ces séances à ne plus en finir qui relèvent plutôt d'un goût pour la sensualité douloureuse. Peu importe, moi cela m'évoque le frisson d'un monsieur qui réagit en comblant un souterrain fantasmatique de la dame. Et dans pareille situation malgré mes cris, mots, insultes et j'en passe, je dois avouer que je n'aimerait pas être à la place d'un monsieur qui doit se poser tout même la question s'il y a consentement de la dame ou pas. Pour ma part quand le moment est mal choisi (cela est rare, mais m'arrive parfois), j'émets quelques mots calmes et posés pour manifester mon désaccord. En quelques sorte une voix safe word que je sais respecté sans rancune.

Il en va de soi que cela crée la confiance nécessaire pour que je me laissé aller librement !

De plus connaissant les limites de mon chéri, je sais que je ne risque rien qui dépasse mes attentes. Non, je n'ai pas une tendance de vouloir aller plus loin. Mon fantasme en étroit rapport avec ce qui est considère comme la faute, j’attends une correction sur un mode bon enfant qui apaise mon besoin de punition.

Et pour être plus explicite encore, j'éprouve après l'acte un agréable sentiment de sécurité grâce à mon mécano perso pour vilaines filles...

… enfin vilaine filles au singulier, sinon je sors mes griffes joliment vernies.

vendredi 22 janvier 2016

825 Liens de discipline domestique (201 ème édition)

Au menu cette semaine : Les non-dits de la fessée en couple


On trouve sur bien d'images un air coincé autant chez la dame que chez monsieur qui accompagne l'acte punitif. Madame est tendu, car sait ce qu'elle attend. Sa pudeur est mise à rude épreuve à chaque fois que sa culotte descend pour un rappel à l'ordre qui se passe d'un commun accord malgré son âge de manière dite traditionnelle sous forme de fessée conjugale.

Je trouve qu'un « cul nu » donne une touche particulièrement cocasse à une situation disciplinaire !

Contrairement aux bonnes mœurs est dévoilé ce qui convient de cacher habituellement et comme si ce n'était pas assez, cette partie du corps devient le centre de toute l'attention du monsieur. Je doute qu'il soit possible pour un monsieur (enfin les exceptions confirment la règle) de garder devant telle perspective son sang froid et je serais curieuse de savoir ce qui se passe à ce moment dans son caleçon. Ne dit-on pas dans pareille situation que Monsieur ne manque pas de fermeté ? Bref, mal à l'aise l'un comme l'autre, Monsieur et Madame s'engageant dans un rituel qui offre à chacun ses non-dits.

Car notons bien que l'on a l'air coincé quand quelque chose coince... au niveau du psychisme.

Et si c'était tout simplement le petit piquant sexuel qui doit rester refoulé pour ne pas perturber le sérieux du rituel. Enfin, personne n'est dupe. Quand je passe sur les genoux de mon chéri, je sens très bien à quel point il est ému de me corriger. Et moi je me sens toute émue parce oser me fesser pour de bon est associé (ô nos incohérences) pour moi à une attitude particulièrement virile. Je pense que je me poserait de sérieux questions devant un monsieur qui saurait rester de marbre, je veux dire tout mou, enfin on a compris...

...détail essentiel dans ma vision de la fessée, un homme qui prend physiquement plaisir de me punir.

******
Il est fort probable que serais dans l'impossibilité de me connecter sur le net pendant quelques jours, ceci dit, comme d'habitude je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end 



Vestiaire des filles (petite série)





Le salut dans la fessée (petite série)













Le malheur des uns... (petite série)

jeudi 21 janvier 2016

824 Arthur et Léonie 2/3 (Un récit d'Arthur)


(Pour amateurs de la DD Inversée un récit que je trouve personnellement très  réaliste!)

Lorsque la porte du salon s’ouvrit, Arthur vit Léonie plus resplendissante que jamais dans la nuisette en soie blanche qu’il lui avait offerte il y a quelques semaines à peine. En l’admirant, Arthur songea à quel point la fin de soirée allait être agréable.  Sur un ton faussement ingénu, Léonie lui demanda :

« Tu pensais lire ta revue de cinéma ou venir me rejoindre ?»

Sans grande surprise, Arthur se leva immédiatement pour prendre la direction de la salle de bain. Impatient de retrouver Léonie dans la chambre, il n’ignorait pas qu’il lui fallait d’abord se doucher et se raser.

« Pour se présenter à Madame, il faut être présentable »

disait-il souvent, toujours fier de ses formules. Mais cette fois-ci, il n’eut pas le temps de le dire tout haut car c’est la voix de Léonie qui la première résonna dans le couloir :

« Avant d’aller nous coucher, j’aurai quelques mots à te dire sur ton comportement. Après ta douche, tu iras m’attendre dans le salon avec la strap. »

Dans le couloir, Arthur s’arrêta net, ce qui dut faire sourire Léonie. Arthur n’eut pas le courage de se retourner pour le constater par lui-même et il reprit le chemin de la salle de bain, désormais très inquiet. Tandis qu’il prenait sa douche, il ne cessait d’imaginer ce qui allait se produire. Il avait beau craindre la suite des événements, il sentait son sexe devenir de plus en plus dur ce qui lui faisait d’autant plus honte que Madame ne manquerait pas de s’en rendre compte. C’était toujours une situation fort gênante de se présenter devant elle dans cet état quand il s’agissait de faire le point sur son comportement. Le pire serait de toute façon de faire attendre Madame et Arthur savait qu’il n’avait donc pas le choix : il enfila un caleçon et un t-shirt blanc puis alla dans le salon où il décrocha la strap, attachée à un clou derrière un meuble.

Il posa l’instrument sur la table basse : il s’agissait d’une tawse anglaise à deux lanières qui depuis de nombreuses années déjà était venue avantageusement remplacer la première acquisition d’Arthur : un martinet acheté dans un sex-shop peu de temps après leur rencontre. Dans un passé désormais fort lointain, cet objet made in china, davantage ridicule qu’intimidant, avait donné lieu à quelques soirées coquines. Il s’agissait alors de contenter les fantasmes de Monsieur qui ne s’était jamais caché d’aimer les femmes dominantes et imaginait volontiers Léonie dans ce rôle.

Madame avait vite constaté l’effet que produisaient sur son amoureux quelques coups de martinet.

Elle en avait conclu qu’il s’agissait d’un excellent préliminaire mais presque trop efficace : à la vue du martinet Monsieur était si excité qu’il devenait presque incontrôlable et finissait généralement par se jeter sur elle visiblement décidé à montrer qu’il restait maître de la situation. Son manque de courtoisie et ses vilaines manières ne plaisaient guère à Léonie qui toutefois le laissait faire, convaincue qu’il fallait faire plaisir à Monsieur pour mieux le garder près d’elle. Naïvement, Léonie s’imaginait qu’Arthur appréciait la liberté qu’elle lui donnait : faire d’elle ce dont il avait envie mais aussi sortir à sa guise, se soûler avec ses amis et même se permettre de temps à autre une petite infidélité.

« Les hommes ont besoin de se détendre »

pensait Léonie qui fut fort surprise lorsque de nombreux mois après leur rencontre, Arthur lui parla pour la première fois de son « besoin de punition ». La vie libre et facile que lui offrait Léonie était certes très agréable mais au fond elle ne lui convenait pas :

Arthur n’avait pas besoin de liberté, il avait besoin de soumettre à une stricte discipline et il ne comprenait pas pourquoi Léonie se montrait aussi tolérante avec ses petits et ses grands défauts.

Ce jour-là, Arthur lui avoua même qu’au cours des mois précédents, il avait songé à la quitter parce qu’il la trouvait trop… laxiste. Léonie faillit en tomber de sa chaise. Passé la surprise et la colère, Léonie comprit toutefois peu à peu tout ce qu’elle pouvait gagner de cette nouvelle situation. Symboliquement, la tawse vint remplacer le martinet en plastique envers lequel Léonie développait désormais un profond mépris : dorénavant, il ne serait plus question de se plier aux fantasmes de Monsieur. Arthur voulait apprendre les bonnes manières, Léonie allait s’en charger au-delà de ses espérances.

A suivre

mercredi 20 janvier 2016

823 Petite dame indécente (Petite fiction... ou non)

Le doigt dans le c...

J'ai eu un jour la glorieuse idée de raconter à mon homme que rien que la pensée de me mettre un doigt dans le derrière, me donne une sentiment de très vilaine fille. Notamment quand je suis habillée en élégante dame : veut dire joli tailleur jupe droite, chemisier à petits boutons, ainsi qu'un attirail de lingerie adéquate. Le tout, moi quoi, perchée sur de hauts talons. Mes confidences l'ont fait beaucoup cogiter, ce qui était le but. Un jour, étant déjà préparée en belle dame pour sortir, il m'a demandé gentiment de me trousser ma jupe, de baisser mon string, puis de me titiller l'endroit que je lui avait auparavant indiqué. Étant un peu surprise, il a insisté :

C'est le moment de voir ce qu'il vaut, ton superbe vernis à ongles, isabelle !

Voila qui m'a fait rire de bon cœur. Je ne sais pas ce qui m'est arrivée, peut-être le fait de me sentir prise au dépourvu pour lui faire plaisir, mais j'ai vite pris un intense agrément à la situation en poussant bientôt ces soupirs obscènes qu'aime tant mon chéri.

Voila la preuve que le voies de la jouissance sont .. . pénétrables et communicatives.

Puis, nous avons passé une excellente soirée avec des amis et en rentrant à la maison mon chéri s'est montré dans une forme hors de commun. Dévoilant ainsi, malgré ses principes de discipline stricte, son faible pour les vilaines filles qui se cachent habituellement sous des apparences de plus sages.

Depuis, pour certaines petites insolence de rien du tout, mon chéri aime beaucoup, mais vraiment beaucoup alors, m'envoyer au coin, non pas pour méditer, mais pour...

...une séance de masturbation mode très vilaine fille. Pour te calmer, isabelle !

Et pendant que mon index fait le tour de ma petite porte pour « passer la pommade vaseline » et se prépare à se plonger doucement dans les profondeurs, je me sens encore plus émerveillée par le monde des adultes. En découvrant une gamme de... hmm disons de punitions ludiques pour très vilaines filles que je n'aurais jamais imaginé étant petite...

lundi 18 janvier 2016

822 Fessée par la voisine (Lundi cinéma)

...ou la commodité fantasmatique a encore de beaux jours devant elle !

J'ai l'impression de nos jours que l'on essaye de faire croire aux dames que les fantasmes des messieurs se portent vers les stars de toute sorte y compris de la production P. Je trouve que c'est noircir les hommes inutilement, car rien à mon avis ne détrônera la poésie du « next door girl » ou comme dans ce clip la petite fantaisie entre next door girls. En gros c'est la vie sexuelle de la voisine, ou par extension de la collègue de travail, madame tout le monde qui ressemble qui réunit le plus d'amateurs. Et l'inverse me semble aussi vrai. Christian Grey c'est pour le moments de lecture, pour la soirée cinéma avant de retourner à nouveau vers un charmant garçon rencontré quelque part dans la vie.

Je me suis rendue compte de l'attrait pour les voisines au travers de me grands frères. Effectivement la dame était canon et comme cela ne suffisait pas, elle savait réveiller la curiosité masculine par une superbe gamme de petites culottes et autres choses aguichantes sur son fil à linge. Depuis un de mes frères prétend que sa passion pour collectionner des petites culottes de ses conquêtes est une suite directe du comportement de ladite dame. Ben voyons !

Pour ma part, j'ai eu une petite phase «voisine fantasmatique » un peu malgré moi, à cause d'une dame qui a su par mille une unes méchancetés me mettre hors de moi. Avec comme résultat que je me voyez inspirée de lui refaire son éducation par le biais de la fessée.

Chez la voisine fantasmatique se passent les choses les plus délurées ! Chacun voit midi à sa porte pour caser ses propres rêveries les plus osées. Par ce fait la voisine devient un véritable « objet » (car on ne lui demande pas son avis!) de convoitise.

Comme faisait remarquer l'illustre Hannibal Lector, la convoitise concerne ce que l'on voit tout les jours.

Je pense que cette tendance à la commodité est une héritage de l'enfance. Le petit être humain, bien que curieux du monde qui l'entoure, ne se sent pas encore prêt au grand envol ce qui se sent par des fantasmes de proximité. Puis une fois pris goût pour commodité, on ne change pas l’équipe qui gagne pour se réchauffer les idées sous la couette. Enfin, je me pose surtout la question si je n'ai pas eu de tels échos car j'ai un faible pour les hommes pantouflards qui font d'excellents... compagnons, voire maris...

vendredi 15 janvier 2016

821 Liens de discipline domestique (200 ème édition)

Au menu cette semaine : La féminité décomplexée


Toutefois pour moi cela reste réservé pour le privé, car il n'y a pas de risque que ce soit mal interprétée quand on a bien choisi sa cible. Une dame trop entreprenante dans un cadre professionnel (sans tomber dans la caricature de cette animation), voire autre se fait souvent traiter de tous les noms dans son dos. De nos jours encore, je précise.

Ben oui, j'ai pas mal « d'espions hommes » à mon service !

Puis il suffit de lire les commentaires et les titres des clips mettant en scène de telles situation dans un bureau (fantasmatique certes). Idem la littérature dite érotique qui s'empare de la secrétaire qui provoque son patron. Bref, toutes des sal..pes, sauf maman bien sur ! Sans oublier les messieurs... zoophiles qui ont un penchant pour ce qui habite dans une porcherie et le font savoir par de « jolis surnoms », censés de faire monter le désir féminin. Passons, même si de telles attitudes m'agacent profondément. Au lieu de se décarcasser pour donner envie à la dame de pousser loin la séduction, on veut faire croire que c'est par recours à la grossièreté (la fameuse sca...ologie verbale) que se crée l'émoustillement.

Enfin, devant son chéri le petit geste, le petit mouvement se charge d'une autre signification et devient source de bonheur conjugal. J'aime quand mon chéri se montre un peu grognon pour la forme :

T’empêches de me concentrer, isabelle !

Ben, c'est le but non ?

Puis parfois il me menace même d'une fessée, si je n’arrête pas mes provocations !

Je suis de plus en plus convaincue que le basic instinct c'est truc plus fort que bien de messieurs.

Ils ont beau de se plaindre, de faire semblant d'ignorer, de menacer de sanctions, rien n'y fait. C'est le démarrage garanti au quart de tour. La suite est habituellement de classique, un peu n'importe où dans la maison (en absence des enfants!). Donc cqfd !

Et s'il y a une fessée qui s'ensuit ?

La preuve flagrante que ne n'aie pas forcement tort avec mon intuition. Car cette fessée dévie très vite sur le terrain qu'elle est censée dans son sens primaire de combattre :

La dépravation des mœurs ! ...cqfd !


Bon, certains y voient une attitude de soumission tout simplement parce que Madame prend une pose qui exalte les instincts naturels de son mâle.Comme si la sexualité humaine se réduisait si facilement à un jeu de pouvoir. A ce tarif là, on peut aussi considérer les choses dans le sens inverse. Madame exerce un pouvoir naturel sur la chose du monsieur et le monsieur qu'il le veuille ou pas se sent fortement troublé. Enfin chacun son sens d'interprétation. Pour ma part j'aime bien les positions indécentes pour la fessée. L'enjeu étant chez nous que la punition reste une punition, j'adore quand le pantalon de mon chéri commence méchamment à lui serrer au point qu'il soit obligé de glisser une main dedans (bonjour le glamour!) pour mettre un peu d'ordre dans ses affaires. Voila le petit réconfort avant que les choses ne se gâtent pour mon derrière.

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !



Punition scolaire (petit clip)









Un collectionneur?








jeudi 14 janvier 2016

820 Arthur et Léonie 1/3 (Un récit d'Arthur)

Quand la discipline domestique s'applique au monsieur...

Il n'est pas un secret, je tiens depuis plus d'une année un autre blog qui a pour sujet la DD inversée. Manquant du temps pour entretenir deux blogs, j'ai envie de les fusionner petit à petit. Je suis de plus en plus convaincue que les fantasmes regroupés sous la dénomination discipline domestique se distinguent de ceux de la fessée par la différence d'enjeu. D'un côté la satisfaction d'un besoin de punition, ritualisé au quotidien entre deux personnes et de l'autre plutôt une satisfaction pulsionnelle. Il me semble que la DD est le fruit d'un long développement qui par une très bonne connaissance de son partenaire au fil des années, s'étale plutôt sur un terrain psychologique. Voici un très beau texte (fiction ou pas, quel importance), sur la discipline domestique qui selon moi reflète bien les subtilités des cette pratique.


Arthur et Léonie (1/3)

Désormais, il ne faisait plus le malin, c’était certain. Il y encore deux heures, il fanfaronnait au milieu des invités à expliquer ce qu’il fallait penser de ceci ou de cela.

« Mais comment peut on aimer les films d’Agnès Jaoui ? C’est du cinéma vulgaire ! »

disait-il. Léonie en avait eu assez d’entendre Arthur se montrer si méprisant et elle l’avait soudain interrompu :

« Cesse donc de dire n’importe quoi et écoute un peu les autres, Arthur ».

Elle avait formulé cette phrase sur un ton bienveillant mais avec autorité. Arthur s’était immédiatement tu avant de concéder dans un sourire :

« Léonie a raison, je me laisse parfois emporter par ma passion du cinéma ».

L’excuse était un peu facile mais elle semblait suffire aux invités qui reprirent leur conversation comme si de rien n’était. Arthur craignait toutefois que les choses n’en restent pas là et le regard que lui lança alors Léonie ne le rassura guère.

Mieux valait désormais se tenir à carreau pensa-t-il et c’est ce qu’il parvint à peu près à faire. Du moins redoubla-t-il d’attention sur le service, veillant à ce qu’aucun verre ne reste vide et s’empressant d’apporter les plats préparés par Léonie que les convives félicitaient pour ses talents, oubliant que c’est Arthur qui avait suggéré plusieurs recettes possibles, fait les courses et préparé les ingrédients sur la supervision de Madame :

« Il ne faut pas oublier que j’ai un commis de cuisine » avait finalement fait remarquer Léonie qui savait qu’Arthur aimait les encouragements.

Les invités partis, il s’affairait à faire la vaisselle (la machine à laver ne servait plus que dans les rares occasions où Madame était seule). Léonie l’observait astiquer couverts et assiettes avec énergie mais aussi une certaine nervosité. 

« Tu ne me demandes pas si j’ai passé une bonne soirée ? » l’interrogea-t-elle. 

« Si, si, j’allais le faire, Amour » lui répondit-il aussitôt. Il y eu un silence. Léonie regardait Arthur qui finit comme toujours par faire ce que Madame attendait de lui : 

« As-tu passé une bonne soirée Amour ? ». 

« Excellente » répondit-elle dans un sourire. Soudain, Arthur se sentait plus à l’aise et il en profita pour féliciter à nouveau Madame pour la qualité de sa cuisine :

« Inventive et savoureuse ! Comme toi, Amour ! »

Arthur était un baratineur, ce qui ne déplaisait pas à Léonie. Elle écouta encore ses flatteries un instant puis jugea que le moment était venu de préciser sa pensée :

« Je te disais que j’avais passé une excellente soirée. En revanche, je n’ai pas apprécié que tu coupes la parole à tout le monde avec tes jugements péremptoires »

Arthur pâlit mais se reprit rapidement :

« Oui, c’est vrai, j’ai eu tort. Tu as d’ailleurs eu raison de me le faire remarquer et je t’en remercie. Je ne m’en étais pas rendu compte tout de suite mais heureusement tu étais là et blabla bla et blabla bla…. ».

Arthur qui craignait les sanctions continua de se confondre en excuses et Léonie se demanda si son Arthur ne la prenait pas parfois pour une cruche en s’imaginant qu’il suffisait de reconnaître une erreur avant de commettre la suivante. Pour l’heure, elle se contenta de conclure la conversation par une évidence :

« Je ne devrais pas avoir à te reprendre à l’ordre. Encore moins lorsqu’il y a du monde. »

« Certes » admis Arthur qui promit à nouveau de faire des efforts et blabla bla et blabla bla. Enfin silencieux, il se remit à frotter la vaisselle de plus belle et Madame, satisfaite de le voir si volontaire, s’en alla en direction de la salle de bain. La cuisine était désormais impeccable et peu de temps après, Arthur quitta la pièce pour gagner le salon. Se pensant définitivement tiré d’affaire, il s’installa confortablement dans le fauteuil et se mit à lire les Cahiers du Cinéma.

A suivre...

mercredi 13 janvier 2016

819 Corriger une dame agaçante !

Voila un fantasme que mon chéri… chérit !

En fait, il est très assez pudique et ce que j'adore avec lui, c'est qu'il lui arrive fréquemment de se sentir gêné à ma place. Sans que je sache très bien pourquoi. Quand j'ai envie par exemple de faire mes achats de lingerie dans un grand magasin. Me voir avec ces petites choses en main, de les tripoter et de les tourner dans tous les sens, à la vue de tout le monde, sans pouvoir me décider, le travaille. Le rend nerveux. L'irrité ! Mais bon, vu que je souhaite porter ces choses vraiment au quotidien et non pas pour un intermezzo coquin, il m'importe beaucoup qu'elles soient adaptées à un usage intense. Pour faire la petite femme d’intérieur des années 50, hors de question que les coutures de mes bas partent dans tous les sens. Hors de question aussi que la partie transparente de ma nouvelle guêpière se craquelle après avoir fait la poussière sous le lit ou autres endroits peu accessibles. Voila qui prend du temps pour examiner soigneusement ce qui est associé de nos jours plutôt à une petite gâterie pour le conjoint. Et quand après disons... une bonne demi heure devant la même marchandise, je suis encore indécise, j'ai l'impression de l'entendre bouillonner.

Tu cherches quoi, isabelle, l'approbation des autres clientes ?

Non, il ne préférait pas une petite boutique discrète. L'idée de se trouver devant une commerçante un peu très bavarde comme moi et qui par conséquence bavardera très vite intensément et sans la moindre retenue avec moi, lui déplairait encore plus. Notamment parce que la brave dame va se douter vite que je porte des vrais bas sous ma jupe droite. Du pain bénie pour une commerçante en lingerie. Effectivement, il faut être aveugle pour ne pas s'en douter. Déjà les dames avec des talons de 10 cm ne courent pas les rues. Enfin, là où j'habite. Mais bon, il faut savoir ce qu'il veut mon chéri. Bien qu'étant plutôt discrète, j'affiche tout de même une certaine touche d'une féminité classique quand je sors avec lui. Sans tomber dans la provocation vestimentaire en restant dans une gamme de jupes droites ou parfois crayon de longueur convenable. Je soigne également mes chemisiers pour éviter tout effet décolleté qui explose.

Alors il s'inquiète quoi ?

Que l'on découvre que je n'aie pas de culotte ? Que mon string pendant des essayages ne cache pas que je n'ai pas le moindre poil entre les jambes ? Que je me suis mise encore un de ces bijoux intimes dans le derrière que les langues peu raffinées appellent un plug ? Que je coupe net une proposition de la commerçante en lui disant :

Alors là non. Cela ne plaira pas à mon chéri !

Rappellerons que le dit chéri se trouve à côté de moi et j'ai décidé sans même lui demander son avis. Toutefois il préfère cette réplique à une du style :

Cela risque de le déconcentrer dans son travail !

Suivi de mon rire le plus enchantée. Enfin, je lui en ai fait voir de toutes les couleurs. Je réussi à l'agacer quand il s'attend les moins.

Pourquoi donc accepte-t-il de m'accompagner ?

Mais c'est simple comme tout. Parce qu'en arrivant à la maison je ne lui fait pas seulement un petit défilé très sexy et aguichant dans ma nouvelle acquisition. Je me laisse également convaincre que j'aie mérité une bonne fessée pour l'avoir prodigieusement agacé... ce qui ne me semble pas faux. Que je reçois mon juste châtiment seulement habillée de mon nouveau achat est un détail. Par contre je sais que la fessée achat guêpière va être plus redoutable que celle de l'achat serre-taille. Que le nouveau string me donnera a un postérieur plus rouge qu'une petite culotte en dentelle. Bref, comme disent nos amis les anglais :

She got hers now he'll get his !

(Elle a eu ce qu'elle a voulu, maintenant c'est son tour à lui!)

lundi 11 janvier 2016

818 Ces fessées ratées (Lundi cinéma)...

...celles dont on ne se vante pas !

A priori je ne suis pas une fan de la fessée rigolote, mais ce qui ce passe dans ce petit clip est trop mignon. Je ne rentre pas plus dans les détails...

...déjà trois lignes, isabelle et pas encore le moindre ...j'adoorrrreeee !

Tais toi, je suis en train d'écrire. Il n'est pas gentil de me regarder par dessus de l'épaule.

Contrairement à mon tempérament plutôt joyeux, «  l’insoutenable légèreté de l'être isabellien » (selon mon chéri en faisant référence à un grand écrivain), j'aime pour mes punitions une ambiance solennelle avec un certain air de gravité. Il faut savoir s'y prendre avec moi pour être sérieux de manière convaincante, naturelle, car j'ai horreur que l'on essaye de me jouer un truc. A ce niveau je suis un peu comme certains messieurs qui n'aiment pas les filles se laissent aller de manière stepfordienne. Justement je n'aime pas non plus que ma correction prenne les allures d'une aventure sexy-érotico-p*rnoextatique. Mes fantasmes sont autrement vilains pour en faire de la fessée un remake customisé de la scène primitive.

Pour moi la fessée intervient pour apaiser une étrange sensation de mal-être dans ma peau (nom de code : la faute) qui me procure un sentiment d'insécurité.

Alors quand mon homme me prévient, le martinet déjà en main :

Je saurais te soigner, isabelle !

il n'est pas très loin d'une vérité dans la quelle la satisfaction se confond avec un sentiment de sécurisation. Cher payé certes, parce qu'avec des petites tapes ce mécanisme ne se met malheureusement pas en route.
Toutefois comme semblent me prouver nos fessées ratées, il existe un autre chemin vers l'expiation, un chemin autre que les larmes hystériques. L'autre chemin c'est le fou-rire. Manifestation hystérique également qui met en relief de façon édifiante la charge... d’excitation sexuelle que sous-entend la fessée. Fou-rire devant cette canne qui se casse (oh le beau symbole de castration) pendant que j’attends déjà mon châtiment et mon chéri pour tester le matériel a fait un dernier essai sur un coussin du canapé.

Ouf, j'ai eu chaud !

Car dans ces circonstances, il n'insiste pas. Ma sanction est levée. Idem quand une lanière se détache du martinet. Alors mon fou-rire est vraiment libératoire ! Fou-rire surtout à cause de la tête que tire monsieur. On dirait un gamin auquel on pique la sucette. Enfin, avec moi pas la peine de désespérer. Il aura sa sucette. Une pour grands garçons...

Ne soit pas trop déçu mon chéri. Tu me corrigeras une autre fois !

vendredi 8 janvier 2016

817 Liens de discipline domestique (199 ème édition)

Au menu cette semaine : Les ruses des filles... ne sont pas le fruit du hasard !

Le voyeur dans son compagnon (petit clip hors sujet)

Tu m'écoutes chéri ?

Les culot de certains messieurs ne connaît pas de imites. Il se prennent pour leur dame, en faisant comme elle la sourde oreille. Voila rien de mieux pour agacer ladite dame. Habituellement mon homme est de très bonne écoute, mais quand il est débordé de travail, il a du mal à décrocher en s’intéressant à mes blablatage. Alors pour lui faire retrouver son mordant, j'ai trouvé une astuce simple. Petite tenue extravagante dont les possibilités sont illimitées et qui réveille le sens du chasseur dans mon mâle. Évidement personne n'est dupe. Mon homme apprécie, car il arrive vraiment à se détendre. Et je m'en tape un peu des moyens, pourvu que je sois le centre de son attention. Entre mon enfance et les attentions de mon papa et de mes grands frères et mon chéri maintenant, j'ai développé un narcissisme – pourtant grassement nourri - à tendance boulimique. Et quand il y a abus, mon chéri décroche le martinet (enfin, il se trouve dans son tiroir du bureau depuis qu'il y a notre petite) pour me rappeler à l'ordre d'une manière pas vraiment flatteuse pour mon ego. A chaque couple son équilibre. Honni soit qui mal y pense !


La plupart des princes charmants, rencontrés au cours de ma vie de célibataire avaient la même réaction quand je leur ai parlé de mes années de danse classique :

Tu sais faire le grand écart, isabelle ?

Avec un petit sourire qui parlait en long et en large. Mon chéri
n'a pas fait d'exception. Ben oui, je sais faire le grand écart et j'ai une redoutable souplesse. Au lit aussi. Passons.

Personnellement je trouve la danse classique indispensable dans le parcours d'une jeune fille. J'ai de la chance que ma fille s'avère beaucoup plus douée que moi. Elle a le sens du rythme, l'oreille musicale, la musculature nécessaire et surtout une sorte de discipline intérieure, héritage de son papa qui lui évite des pertes d’énergie dans la vie en se posant d'inutiles questions. Elle a vite compris ce que la danse lui apporte. Une sorte de grâce naturelle, une démarche de plus esthétique qui combinée à l'héritage de sa maman, la bonne humeur permanente et un sourire radieux, lui ouvre facilement les portes. Bref l'art de la séduction se travaille... comme tout dans la vie.

Pour finir, un petit mot. Je serai brève pour aujourd'hui et peut-être encore plus pendant un long bon moment, scolarité de ma fille oblige....

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !

Kitschissime (petit clip)








Histoire sans mots (petite série)














mercredi 6 janvier 2016

816 Séduire avec ses fesses

Comme quoi la petite enfance n'y est pas pour rien !

Je suis toujours épatée de toutes ces personnes bien-pensantes qui nient tout lien entre notre sujet et la petite enfance. Voici donc un petit texte à la recherche du temps perdu.

Je me souviens encore quand j'étais petite gamine avec quel plaisir j'aimais montrer mes fesses toutes nues . Puis j'ai dû apprendre que cela ne se faisait pas par convention sociale et par conséquent j'ai du laisser de côté ce petit jeu. On m'a fait renoncer en douceur, sans me bousculer, sans me gronder et surtout sans me vexer ou blesser mon narcissisme.

Ce qui a abouti à une image (très) positive de mon corps.

Toutefois je n'ai jamais perdu le goût et cette sensation émoustillante dans une situation qui s'y prête, de pouvoir compter sur les charmer de mon derrière au naturel. Sans oublier ce que l'on pourrait appeler une sorte de sublimation, sa mise en valeur par le vêtement dont le choix reflète selon un texte presque centenaire le compromis personnel du porteur entre son sens d'exhibitionnisme et le refoulement de ce dernier, la pudeur donc.

Je passe beaucoup de temps à choisir des vêtements qui mettent mon postérieur en valeur. En choisissant quand cela s'avère avantageux une, voire deux tailles trop petites pour un effet super-bombé.

Bref j'ai pris très tôt l'habitude d'avoir recours à mon fessier en matière de séduction.

Ma confiance en mon fessier fut largement confortée par les princes charmants à partir de mon adolescence. Plus tard, étant jeune célibataire, même quand je partais pour me réjouir d'un beau paysage de montagne, je n'oubliais jamais un emballage revalorisant pour mon postérieur. Une sage décision d'ailleurs car quand j'ai fait rencontre avec mon homme, j'ai vu son regard s'attarder sur mon jeans très moulant. Enfin c'était réciproque. Moi aussi j'ai flashé sur ses fesses dans un 501 noir, très moulant. Quoique un peu trop délavé à mon goût.

Voila pour dire que le mélange entre mes désirs d’exhibition et la convention sociale de devoir cacher l'objet de ma fierté a créé en moi une sorte d'effet fruit défendu.

Mais seulement quand il s'agit de me préparer pour une fessée punitive!

Quand il s'agit par exemple d'un interlude coquin lors d'une randonnée les choses sont toutes autres.

J'aime que mon chéri me fournisse l'écho à mes fantaisies punitives !

Allez jeune dame, en tenue de punition !

Cette étape m'est très importante. J'aime que les formulations changent, j'aime que le ton change, qu'il soit parfois sévère, parfois ironique, parfois moquer. Toutefois, sujet très délicat, à éviter les associations malhabiles (pour éviter le terme insultant). Car effectivement, même bien consciente de mes formes et fière d'elles, un mauvais mot peut tout gâcher. D'ailleurs je ne suis ni un animal, ni une sal...pe.

Bref c'est le mot bien choisi qui prépare littéralement le terrain.

Alors quand je dois baisser ma culotte pour recevoir une bonne fessée punitive il y a d'un côté m'a pudeur qui se réveille. Pourtant habituellement dotée d'un sommeil aussi profond que celui de belle au bois dormant. De l'autre côté le plaisir déculpabilisant du « devoir faire », dans le but de...

...satisfaire mon désir de pouvoir montrer mon «c...l nu » à une personne qui s'y intéresse vraiment.

Et comme s'il lisait dans mes pensées de vilaine fille qui non seulement compte bien provoquer de manière la plus charnelle et éhontée son prince charmant, mais qui aussi jouit de cette situation, il ne se gêne pas de passer à l'acte pour m'appliquer cette fessée incontestablement bien méritée selon ma logique fantasmatique...