vendredi 29 juillet 2016

915 Liens de discipline domestique (230 ème édition)

Au menu cette semaine : Ce qui fait transpirer les filles


Il y a des fantasmes que l'on apprend à cacher honteusement. Ce qui est étonnant qu'ils passent parfois moins bien dans un « milieu passionné » que dans un milieu vanille. En parlant de fantasmes de l'enfance et de l'adolescence avec des copines, nous avons déterré ce qui passe à la trappe une fois la vanille mise en place.

Dans ce contexte mes propres fantasmes ne me paraissaient pas plus absurdes que celles de mes copines.

Nous avons donc fait le tour de l’élèvement par un « bad boys ». Enfin, au début ils agissait d'une sorte de chevalier noir. La pauvre copine se retrouva vite enfermée dans un cachot à la merci de son ravisseur.

Il y a avait aussi du moins complexe, être séduite par un voisin sur un mode sept ans de réflexion. Un bel homme mur, devenu temporairement célibataire qui fait des yeux doux à une toute jeune dame. Puis des fantasmes de commodité, style le prince charmant qui sonne à la porte pour une prestation de service et une fois sur place se développe une histoire chaude. On constate que ses fantasmes ne parlent pas de simple assouvissement d'une pulsion impérieuse, mais restent dans un registre narratif, exaltant autant le narcissisme que la libido.

Je me suis alors lancée, en racontant mes aventures imaginées en fille au pair dans une famille traditionnelle.

Mes efforts pour me faire remarquer par le fils de la maison, la mise en route d'une petite histoire amoureuse avec expérience intime. Jusque-là rien de plus banal. Seulement la dame de la maison ne voyais pas de bon œil mes tentatives de corrompre son fils. Elle m'a prise donc à part pour une discussion entre femmes et à la fin j'ai du baisser mon jeans et ma culotte pour recevoir une bonne fessée dans la règle de l'art. Parfois à la main, parfois avec un instrument de préférence typiquement allemand comme un courte et fine baguette bien souple. S'agissant de fantaisies sans connexion avec la réalité, ne se basant nullement sur des expériences autour de la douleur, mon émoustillement se construisait surtout autour de mes tendances exhibitionnistes de devoir présenter mon fessier tout nu à la discipline. Ce qui fut confirmé par la suite de mes rêveries où je me voyais corrigée devant le fils de la maison, voire devant la famille au grand complet.

Ma confession finie, j'ai eu droit à une vraie surprise.

Une de mes copines c'est subitement souvenue d'une fantaisie intermédiaire dans laquelle elle s'imagina être entièrement dévêtue par un prince charmant qui lui appliqua une bonne fessée avant de lui faire des bisous partout. Enfin, autant dans ma rêverie que dans celles de mes copines, tout le monde est resté dans un registre plutôt sage.

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !














Discipline au bureau (petit clip)







jeudi 28 juillet 2016

914 Le « journal » de Christine 2

Cours d'effeuillage burlesques


...je pense être devenue incollable pour le « shimmy and shake », le « bump and grind », le « glove peel » et aussi le « tassel twirling », du moins en théorie car il ne me semble pas avoir encore atteint le niveau d’une véritable professionnelle. Mais je m’engraine, y compris chez moi lorsque j’ai un peu de temps, car tant qu’à faire quelque chose, autant le faire bien, mon mari m’y encourage et me le rappelle fréquemment.

Ce stage n’est pas encore terminé car une majorité a demandé et obtenu qu’il n’y ait pas cours pendant les congés scolaires, ce qui me semble-t-il arrangeait aussi la prof. Le stage est prévu de se clôturer par une « représentation » privée fin mai ou début juin, à laquelle pourront assister nos conjoints, et ceux qu’éventuellement il nous plairait d’inviter avec l’accord des autres : mon mari m’a déjà dit qu’il souhaitait que nos amis (ceux qui ont le club privé) en soient.

J’ai beaucoup de plaisir à suivre ce stage, car en plus de celui d’apprendre quelque chose de nouveau, de faire ce qui est véritablement un sport, il y a également une très bonne ambiance entre nous six et nous aimons nous retrouver. J’y trouve une sorte de camaraderie et même d’amitié telle qu’on peut l’imaginer dans un pensionnat de filles, avec sa joie, ses plaisanteries et ses taquineries.


Je peux parfaitement dater quand cela a débuté : après deux premières séances où nous avions appris à ôter notre soutien-gorge selon les règles du burlesque, avec un deuxième soutien-gorge pour ne pas finir topless ( !), la quatrième fut consacrée à découvrir l’usage, et d’abord la pose des nippies (que les américaines nomment plutôt pasties). Nous avons toutes réalisé alors (pour moi, c’était déjà le cas avant !) qu’il n’y avait pas lieu d’être pudiques entre nous six et qu’il était ridicule de jouer les timides effarouchées lorsque dans le vestiaire nous nous changeons avant et après le cours. De se voir dans le plus simple appareil a favorisé la liberté de parole, la possibilité de poser des questions et échanger idées et confidences sans paraître indiscrètes, et de devenir plutôt complices.

Inévitablement, elles ont par exemple voulu savoir pourquoi dans la vie normale, je ne porte pas de culotte ! plus encore où et combien avait coûté mon épilation définitive : si les deux jeunes s’offrent l’institut, les autres en sont encore à l’usage du rasoir, deux avaient d’ailleurs une touffe assez abondante que la prof leur a de suite enjoint d’éliminer car par trop apparente sous un shorty ou une culotte un tantinet sexy.


Nous ne devrions pas tarder à commencer les répétitions des « numéros » que nous présenterons pour notre « représentation » ! Il y en aura deux : l’un sera celui des deux jeunes que nous avons surnommées « les gamines », pour lequel elles se sont offertes de belles tenues burlesques typiques avec corsets et jupes froufroutantes et pleines de falbalas. L’autre sera pour les quatre « vieilles » ( !), mais bien sûr nous préférons nous nommer les « cougars »… Nous serons toutes les quatre dans les tons de rouge (sauf les bas nylon) nuisette longue, soutien-gorge push-up, nippies, porte-jarretelles avec des broderies, shorty-string en dentelle que la prof voudrait que nous remplacions par un string en dentelle pour mieux mettre nos fesses en valeur, et escarpins avec talons de 12cm … Le secret sera d’être parfaitement synchronisées pour que ce soit réussi !

Nous voilà donc avec un beau programme !



...out d’abord, maintenant, je « connais » bien Dita von Teese ( !): notre prof de notre stage de burlesque, à chaque cours, nous montre au moins une vidéo de danse New Burlesque pour que « nous en prenions de la graine » ( !). Pour elle, Dita von Teese en est la meilleure spécialiste, et elle nous incite à bien étudier tous ses gestes et mouvements.

Si nous avons vu plusieurs vidéo de Dita, il y en a eu d’autres danseuses telle Christina Aguilera, d’autres dont j’ai oublié le nom, et aussi d’Arielle Dombasle citée en exemple car star et épouse d’un philosophe people afin de nous ôter tout complexe de nous montrer en tenue et actions sexy, mais au contraire d’être fière d’être bien « dans notre enveloppe charnelle ». Nous avons eu aussi quelques vidéos de groupe, puisque c’est ce que nous aurons à faire pour notre représentation

Bien évidemment, tout cela se passe dans ce contexte de show burlesque, et tout comme vous, je ne peux imaginer cela dans la vie courante, que ce soit au travail ( !) ou en vaquant à mes occupations à la maison ou au dehors. Néanmoins, et si j’en crois mon mari car je ne pense pas qu’il dise cela pour me flatter ou m’encourager, il prétend que mes attitudes et ma démarche deviennent naturellement plus gracieuses ….


En ce qui concerne ma coiffure, pas question que je me risque à vous imiter ! Cela m’est strictement défendu …, mais néanmoins, en gardant des cheveux longs sans excès, il ne me semble pas passer beaucoup de temps pour me coiffer le matin, certainement moins de cinq minutes. Pour notre représentation burlesque, je me ferais coiffer chez un professionnel pour arborer une vraie coiffure vintage !



...notre « spectacle » a eu lieu, et qu’il s’est fort bien passé, devant les conjoints des « cougars », auxquels s‘étaient joints notamment nos amis (du club), et quelques autres amis (et amies surtout) des cougars et des gamines. Mon trac a pu s’envoler assez vite une fois sur scène, et mes craintes pour le cocktail d’après le show (de nous avoir vues en tenues légères !) n’ont pas été justifiées.

Notre prof de danse a aussi fait un numéro, en véritable professionnelle. Est ce cela qui en a donné l’idée à nos amis avec la complicité de mon mari, mais ils ont proposé (et décidé !) qu’en septembre ou octobre, je ferai un numéro au club : pour cela, mon mari m’offre une série de cours individuels, ainsi qu’une vraie tenue de danse burlesque. Il me reste à entretenir ma forme physique ….

Quant aux deux « gamines », elles sont très contentes d’avoir un premier vrai contrat de « skin burlesque ».


...au club de nos amis, il n’y a pas de scène : les numéros se produisent sur la piste de danse libérée à cet effet. Sur trois cotés de cette piste se trouvent les tables des (comment faut-il les nommer ?...) clients (Non, ce n’est pas bon !) plutôt des clubbeurs, ou mieux des membres puisque c’est un club privé avec une cotisation et un parrainage, et où on se connaît presque tous. Le quatrième côté n’est qu’une grande ouverture pour l’accès au bar, au bout duquel se trouve le couloir menant au vestiaire où on peut se changer et se préparer. 

Du fait de cette absence de scène, il n’y a pas de « distance » entre les artistes et les spectateurs. C’est plus intime, sans chiqué, mais en même temps, j’ai peur que ce soit plus intimidant pour moi, d’autant plus que je n’aurai pas l’anonymat de la plupart des filles qui viennent y faire leur show. C’est pourquoi je compterai beaucoup sur l’aide et le soutien de notre ami du club car je ne voudrais pas décevoir mon mari. Quand ? en septembre, ou plutôt en octobre je crois.

mercredi 27 juillet 2016

913 Dame de caractère (Petite fiction ou pas)

Les garçons ont besoin de plus de discipline que les filles !

Voila qui a le mérite d'être clair. Non, elle ne plaisante pas cette dame. Elle s'est exprimée avec sérieux, convaincue du bien-fondé de ce qu'elle avance. J'ai du mal pour ne pas éclater de rire. Un de ces rires bêtes dont je possède le secret et qui me prend quand quelque chose m'évoque des associations quelque peu indécentes. Dans ma fantaisie pour la fraction d'une second je vois cette brave dame, un martinet en main, insistant auprès de son mari pour qu'il baisse son pantalon pour recevoir une bonne déculottée. Une scène qui me semble non impossible dans ce couple d'un certain âge. Lui, un jovial érudit, voué à l'enseignement supérieur, ne manquant pas d'une certaine suffisance et qui - peut-être à cause de notre différence d'âge ou de son métier – se laisse aller à une bienveillance paternelle envers moi. Quand il s'adresse à moi, il emploie parfois l'expression : Ma petite isabelle. Je me sens littéralement petite, car malgré mes hauts talons, il fait encore une tête de plus que moi. Voila qui pimente ma fantaisie, car sa femme fait le même gabarit que moi. Comment ferait-elle pour mettre un tel géant sur ses genoux ? Je regarde autour de moi et j'opte pour une punition où il se penché sur le dossier d'un fauteuil. C'est là, me dis-je qu'il déboutonnera son pantalon en tergal, véritable pièce de musée. Quant au slip me vient spontanément à l'esprit un vrai feinripp, contemporain du pantalon.

Vous êtes en train de rêver, ma petite isabelle ?

C'est un cavalier de l'ancienne école qui n'attend pas de réponse. Je lui envoie un joli sourire pour sa sollicitude.

Madame pour sa part, dotée d'un brillant esprit, ne manque pas d'une réelle méchanceté dans bon nombre de ses propos. Elle a d'ailleurs une sacrée réputation dans son métier comme nous apprenons par son mari. Elle donne l'impression de représenter une vision féministe qui croit appropriée pour une femme moderne de s'afficher par un strict minimum de féminité. Veut dire, qu'elle fait soigneusement attention pour ne pas se transformer en leurre. Un peu dommage, car elle a un physique agréable. Je crois que l'ai déconcertée à notre première rencontre par ma présentation. Autant « scanner ambulant» que moi, elle m'a surprise par son indiscrétion.

Vous portez des bas, isabelle ?

Ben oui, j'aime beaucoup une petite touche sexy.

Je me sentirais pas.

Nous sommes devenues au fil du temps de bonnes amies. C'est une personne de confiance, très ouverte d'esprit et perspicace. Nous tournons pas autour des sujets. Elle est directe à souhait. D'où sa réflexion dans un repas entre couples qui commente un constat « d'injustices » de la part de nos hommes. Tous les deux ont connu une éducation sévère, basée sur des châtiments corporels, tandis que nous les dames, nous avions été chouchoutées comme pas permis.

C'était une autre époque où l'éducation des garçons visait d'en « faire des hommes ».

Concept assez vague qui retrace en quelque sorte une philosophie du style : On ne naît pas homme, on le devient.... grâce à maman. « Faire un homme » semblait désigner une résistance imperturbable aux aléas de la vie, un comportement sécurisant et protecteur envers sa femme, des attitudes responsables etc. Ces hommes qui ne pleurent pas. Des rochers inébranlables...

Je l'écoute avec plaisir. Elle se moque ouvertement de son homme, de son éducation. Comme moi aussi je le fais parfois avec le mien. Quand je fais des allusions à ma belle mère, style :

Si tu me mets encore ta main sous ma robe, je le dirais à ta maman ! Tu va voir tes fesses.

Voila qui crée un lien invisible entre cette dame et moi. Mais surtout se réveille ma curiosité. Subitement je me dis :

et si le caractère bien trempé de cette dame n'était qu'une façade ?

Si elle ne visait pas à ridiculiser son mari, mais de lui donner des idées... pour qu'il rappelle Madame à l'ordre une fois les invités partis. Si nous étions devant un rituel de séductions bien rodé qui pimente la la intime de nos hôtes. D'abord un sonore pan-pan cucul, puis « réconciliation » avec gros câlins ardents dans la chambre...

lundi 25 juillet 2016

912 Des fessées du matin jusqu'au soir ! (Lundi cinéma)

Certains en rêvent !

Cette journée éducative (clip de ...60 minutes) est un grand classique de la fiction sur notre sujet. Elle retrace fidèlement – à mon avis personnel – un fantasme typiquement masculin de performance (...phallique!) qui se décline en multiples variantes. Dans sa vision la plus commune, faire de l'amour du matin au soir. Impressionner la dame à tout prix. Être reconnu comme le meilleur. Quand il s'agit de productions purement fantasmatiques pour flirter avec la toute puissance, je ne trouve rien à redire. Quand il s'agit de le vivre réellement je me méfie.

J'aime la fessée, mais je ne souhaite pas qu'elle s'éternise.

Puis une bonne fessée par jour, une seule je souligne, me suffit amplement. J'aime la sensation de la chaleur dans mes fesses, la chaleur que mon homme vient de me donner. Je me sens d'attaque pour faire plein de choses. De bonne humeur. Émoustillée aussi, en pensant à une bonne séance de vanille plus tard. J'aime m'arrêter devant la glace. Regarder les jolies rougeurs sur mon fessier. Pas besoin de recommencer finalement. La fessée a accomplie son rôle de préliminaire. J'ai envie de passer à autre chose.

Je me sens coquine aussi, très coquine !

Inverser les rôles en quelque sorte. Déboutonner la braguette du jeans de mon chéri pour lui faire une bonne sucette pendant qu'il boit son café.

Mon plaisir se construit autour de la diversité des plaisirs existant.

J’attends la même chose de mon partenaire. Gare au monsieur qui entend par diversité de vouloir me surprendre avec un autre instrument. Il risque plutôt de m'agacer. Je peux comprendre le comportement du loup affamé dans une rencontre spécialisée, mais je ne la souhaite pas dans ma vie de couple.

Puis je tiens à une bonne dose de romantisme. Comme dormir dans une chemise d'homme, sa chemise à lui, imbibé de son odeur. Cela fait pour moi partie des petites manies d'une relation amoureuse. Mais quelle idée pour cette affectueuse habitude de tirer la petite dame du lit et de la fesser. Je me verrais mieux après la fessée de mettre sa chemise et de me promener ainsi devant ses yeux sans ajouter autre vêtement à moins d'une culotte éventuellement. De l'aguicher comme aime dire mon homme en appliquant une séduction lourde.

Je trouve ce clip attachant, car je retrouve plein de mes attitudes chez la la dame. Un comportement très girlie qui me rappelle mes débuts en couple. Je n'avais que 24 ans quand je me suis lancée dans la discipline domestique. Une chose me semble évidente dans ce clip. Je ne serais pas restée dans de telles conditions. Je sais que mon homme trouve plaisir dans des fantaisies de journée éducative. Mais les trouvant inconciliable avec la réalité, il a trouve un excellent moyen de compromis. Ses mises en garde dont il n'est pas avare et qui me tiennent dans une émoustillante tension tout au long de la journée.

vendredi 22 juillet 2016

911 Liens de discipline domestique (229 ème édition)

Au menu cette semaine : Honni soit qui mal y pense


C'est une fantaisie que j'ai rencontré chez mon chéri (nul n'est parfait) et aussi chez d'autres hommes de son âge. Ils étaient enfant à une époque où bien de mamans restaient encore au foyer pour s’occuper de leur famille. Ces dames ne se doutaient peut-être pas à quel point la curiosité sexuelle soit présente chez un enfant et à quel point certaines actions peuvent inspirer la fantaisie des petits. Certes je ne connais aucun homme qui enfant a eu explicitement le désir de baisser la culotte de sa maman en faisant le ménage. Mais l'idée a dû préexister quelque part. Vers l'adolescence elle fit sa sortie en grandes pompes se portant vers les dames de leur cœur.

Voila qui surprend quand en faisant « mon quota » de ménage surgit subitement mon chéri derrière moi pour me baisser la culotte ou défaire le nœud de mon tablier.

Heureusement pour moi le ménage n'a pas une connotation péjorative ou pire encore dégradante. Et loin de moi de chercher du sexisme quand visiblement mon fessier en gigotant donne des envies à mon homme. Il me semble naturel chez certains hommes de se trouver émoustillés en voyant une dame qui - pour une raison ou une autre - se trouve à quatre pattes et bouge ses fesses. Car en gros on peut résumer la situation ainsi. Je pense que la réaction du monsieur se trouve... dans ses gênes. Rien de mal... quand il y a consentement. Par contre dans toute autre constellation nous sommes dans l'inadmissible.

On peut aussi être fantasmatiquement convaincu (= excité sexuellement par la représentation) que la place d'une dame se trouve littéralement aux pieds d'un homme. C'est une constellation qui revient dans bien de scénarios de la D/s, mais aussi de la DD. Notons qu'autant certains homme que dames y trouvent leur compte. Moi je m'y retrouve par exemple dans la variante prodiguer une sucette. Toutefois cela reste dans un registre bien mignon.

Cela n'a rien à voir avec le fait de penser sérieusement que la place d'une dame soit au foyer, à quatre pattes etc.

Faisons la part des choses et méfions nous de ceux qui veulent introduire le politiquement correct dans le moindre recoin de notre intimité...

********


… je profite de l'été pour pour porter mes petites robes et jupes fines. Y compris quand je fais du vélo. Y compris quand il n'y a personne.

Surtout quand il n'y a personne.

Je ne tiens pas à me trouver des admirateurs, moi qui je suis une mordue de la sensation de la légère brise qui se glisse sous les tissus et les soulève. J'aime les vacances dans un cadre simple et l’arrière pays me convient parfaitement. Manger de bon produits achetés directement à la ferme où je me rends en vélo avec mon panier en osier. Bref c'est idyllique. Personne ne se doute que la petite dame installée sous un arbre pour préparer un pique-nique improvisé pour les siens s'adonne aux lectures coquines pour satisfaire sa curiosité sexuelle. Je découvre en rigolant de bon cœur comment chasser une parfaite soumise. J'aime lire le son de cloche de la part des filles. Il y a un pragmatisme et une sens de détail qui échappe souvent aux messieurs comme ces risques inattendus dans les hôtels. J'apprends également que pour les amateurs du « Ciel vous n’êtes pas mon mari ! » (avec petit clip) il existe désormais un endroit pour stimuler l'imagination. Pour nous, pour un extra en couple c'est un peu trop long le voyage. Enfin, pour finir, je me suis toujours posée la question comment est perçu un « certain vocabulaire » par une dame étant... « l'objet du Maître au service de sa perversité ».

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !

La fessée du chef (petite série)










Quel dynamisme (petit clip)










mercredi 20 juillet 2016

910 Le tiroir du vice

Une découverte qui change notre point de vue

Je me souvient vivement, un jour mes parents étant en vacances, d'avoir fouillé les tiroirs de ma mère. Poussée par une étrange curiosité, sans vraiment savoir ce que je cherchais, ni ce que j'allais trouver. Enfin peut-être que oui, j'avais envie de savoir plus sur ma mère. Et plus particulièrement sur sa vie intime, sa vie de femme. D'abord je suis tombée sur une belle collection d'appareils de massage. Ayant eu déjà parlé de telles choses avec ma maman, j'étais peu surprise. Par contre ce qui a attiré mon attention, était de jolis objets dans des matériaux toutes lisses, sorte de cônes arrondies qui semblaient être posés sur le pied d'un verre de cognac. J'en avais déjà vu dans certaines magazines et j'ai fait aussitôt le lien avec le tube de vaseline dans le tiroir du bureau de mon papa en comprenant à quoi servaient de tels objets.

L'idée qu'ils se mettent dans le derrière ne m'a pas dérangée !

On oublie souvent de voir dans ses parents un homme et une femme qui se sont aimés (du moins physiquement), notre raison d'être littéralement et a fait d'eux justement nos parents. Il en va donc de soi qu'il possèdent la connaissance biblique qui permet de perpétuer l’espèce humaine. Enfin, les choses sont en train de changer de nos jours, mais parlons vielle génération. Bref au lieu d'imaginer ses parents en train de prendre du bon temps, bien de personnes se font d'eux d'une image idéalisée et quelque peu aseptisée. Une image de « vieux ennuyeux » aussi, une idée de personnes rangées. Et pourtant ils ont fait des galipettes, pourquoi pas avec autant de plaisir que nous. Si on regarde la psychanalyse sans d'œillères et un peu mise au goût du jours, nous comprenons que cette idéalisation parentale, ce dépouillement de leur sexualité, ses étranges idées que nous nous faisons des personnes qui nous ont engendrés, sont des étendues... du complexe d’œdipe.

Quant à ces choses j'ai eu aussitôt envie d'essayer !

J'étais déjà au courant de la sensibilité rectale à la stimulation depuis quelques années. Enfant j'ai entendu parler ma maman avec ses copines de lavements qui étaient très en vogue vers le milieu des années 80 dans certains milieux. Non pas comme une pratique coquine, du moins pas en surface, mais comme un moyen de nettoyer, de « purger » son corps. Ado, j'avais essayé pour ma part (un équivalent de la cure X*antis) et j'ai trouvé fort agréable le sentiment de plénitude. Que j'ai d'ailleurs retrouvé quand j'étais enceinte de ma fille. Bref j'ai eu une sensation de vrai bien-être. Il en était de même avec ces buttplugs. Une fois mis en place, je n'ai pas eu l'impression d'une fulgurante excitation sexuelle...

...plutôt le contraire, une sorte d'agréable apaisement, un excellent remède pour calmer la nervosité !

Voila qui montre que la sexualité dite prégénitale se différencie de ce qui est génital et obéit à ses propres lois. Avec un buttplug on peut continuer sa journée en dégustant une sensation de l'étrange. Seulement cela ne produit pas d'envie sexuelle proprement dit. Je me suis posée alors la question pourquoi de tels objets se vendent dans les commerces spécialisés. J'ai dû attendre mon couple pour mieux comprendre.

L'excitation je l'ai trouvé chez mon chéri.

L'idée que je porte un tel truc l'a mis dans un drôle d'état avec plus tard une superbe forme au lit. Et son émoustillement s'est avéré contagieux.
Le voyant tourner autour de moi avec tant d’intérêt a mis à vif ma libido aussi.

Enfin, j'aime avant tout les buttplugs quand je me sens nerveuse.

La psychanalyse parle de fantasmes de grossesse. Ce qui n'est pas forcement faux. Et mon chéri quand il me trouve particulièrement énervée, ne hésite pas de me conseiller :

Va te mettre un bouchon dans le c..l, isabelle, çà te rendra de meilleure humeur !

lundi 18 juillet 2016

909 Le coup de la clepsydre (Lundi cinéma)

Monsieur fesse, Madame soupire...

...de volupté ou pour mieux gérer la brûlure, peu importe ! J'avoue que ce monsieur fait fort dans le raffinement de la fessée, ce qui semble expliquer son succès. Deux filles à la fois avec une superbe mise en scène. Une fille au premier plan qui se frotte les fesses et en jugeant par la couleur elle a toutes ses raisons pour essayer d'apaiser sa peau. Puis la fessée de l'autre qui se passe en arrière plan. Bouquet de fleurs blanches, épaisse moquette, moelleux canapé d'angle en cuir, jolies tenues et de chaussures impeccables. Puis cette clepsydre qu'il convient à la dame de retourner en début de séance et qui restera devant ses yeux. Voila un détail qui tue et par lequel ce monsieur sort pour moi tout naturellement du lot des fesseurs anonymes.

J'adore l'originalité chez un homme !

Elle contribue autant à mon émoustillement que le cadre, puis... le savoir faire du monsieur. Il ne s'agit ni de fessée punitive, ni de pelotage vicieux. Pas de geste déplacé, mais une solide séance qui marque autant l'esprit que les fesses.

Ma vision personnelle d'un BDSM noble et attirant !

L'idée de vivre cela avec une bonne copine me plaît beaucoup, mais s’avère impossible à réaliser à cause de ma jalousie. Hors de question de céder mon droit exclusif aux fessées de la part de mon chéri. D'ailleurs, même si j’insistais, il n'acceptera pas. Sachant trop bien qu'avec le recul ce sera source de vilaines disputes et loin de lui pour une petite lubie fantasmatique de mettre notre couple en jeu. Il faut savoir accepter ses limites. Ceci dit, je prend plaisir à regarder cette situation, mais je ne me sens pas hantée par elle.

Le monsieur ne fait pas semblant et je constate avec un réel amusement avec quelle vitesse la dame se précipité pour la clepsydre pour lui montrer que la séance est terminée. Plutôt que de me projeter à sa place, je préféré imaginer certaines connaissances de mon entourage de s'en prendre une pareille. Mon côté sadique épanoui ne me pose pas de problème métaphysique.

Bref, je retiens la clepsydre. Nous avons une à la maison que ma fille a surnomme le « deux minute ». En fait quand elle harcèle son papa, il lui dit souvent :

Deux minutes et j'arrive...

Pour que la petite puisse mieux comprendre qu'il ne s'agit pas d'une vaine expression, il lui laisse tourner la clepsydre. Bien entendu il tient promesse. De même quand il s'agit de me punir. Là aussi il dit parfois:

Prépare-toi, isabelle, j'arrive dans deux minutes...

Je passe sur l'aspect très vexant de devoir me déculotter toute seule et devoir me tenir prête les fesses à l'air pour un très claquant rappel à l'ordre...

vendredi 15 juillet 2016

908 Liens de discipline domestique (228 ème édition)

Au menu cette semaine: Pimenter le quotidien !


Ici ?

Ben oui !

Surprise, je suis très surprise, car cela ne correspond pas aux habitudes de mon chéri. Je regarde autour de moi. Non pas par pudeur pour savoir à quoi je risque de m'exposer, mais par un vieux réflexe acquis pendant mon adolescence. Bien de garçons qui demandent un truc pas possible à la fille le font pour impressionner leurs copains. C'est en quelque sorte de tomber dans un piège, style...

...z'allez voir, elle va me donner sa culotte.

Personnes! Nous sommes seuls dans un coin discret d'un joli restaurant.
Bien évidement monsieur m'a laissé par galanterie la place avec vue sur la salle. Se manifeste alors mon éducation des années 70. Il ne convient pas à une femme moderne de faire quelque chose pour faire plaisir à son partenaire. Non, il faut qu'elle se fasse plaisir à elle. Égoïsme culturel oblige. Je m'en tape un peu. J'aime beaucoup faire plaisir aux personnes que j'aime. Et j'aime encore plus procurer plaisir dans un sens sexuel à mon homme. Pour moi c'est la base du couple. Mon compagnon me regarde comme un garçon qui attend l'arrivé du père noël.

Quelle idée de me demander ma culotte !

Personnellement il ne me viendrait pas à l'esprit de demander le caleçon de mon homme. Même pas à la maison. Déjà ce n'est pas facile pour un homme de l'enlever. Et aussitôt je divague sur les avantages d'être une femme. De disposer d'une infinitude de belles choses pour pouvoir accéder facilement au moindre recoin de mon corps. Peut-être parce que la plupart des grand couturiers sont des hommes. C'est eux qui façonnent l'image qu'aura pour l'homme l'objet de son désir. Non l'idée que l'on me façonne en objet de désir ne me dérange pas... en couple. Au contraire, je suis bien contente du merveilleux choix que l'on met à ma disposition.

Et puis arrive cette demande de mon homme. Il veux me savoir nature sous ma robe. Ce qu'il excite n'est pas ce que j'ajoute, mais ce que j'enlève. Mes mains remontent mes jambes, je trousse doucement ma robe, mes pousses se glissent dans l'élastique de ma culotte et je me trémousse pour la descendre. Je fais attention à mes hauts talons, puis je passe la culotte discrètement sous la table à celui qui l'attend.

Tiens mon chéri !

Petit geste, grand effet. Un merveilleux repas en tête à tête. A croire qu'il est plus facile d’envoûter mon homme sans culotte sous ma robe...

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !
















Discipline domestique (petite série)








Entre copines (deux images)

mercredi 13 juillet 2016

907 La petite culotte rouge (Petite fiction ou non)

Je l'ai senti, il avait envie de causer à mon derrière.

Un bras autour de ma taille, il s'est tourné ostensiblement vers la partie de sa convoitise en me lançant un lapidaire :

En espérant d'y trouver meilleur écho pour mes paroles !

Cela fait presque deux décennies qu'il essaye vainement de me inculquer une soi-disant pudeur. Dès qu'il fait bon, dès que l'été pointe son nez j'aime retrouver une nudité paradisiaque. Évidemment je choisis des endroits directs pour ne pas m'attirer le courroux du gendarme de Saint Tropez. Comme tout les allemands j'adore Louis de Funès et même en connaissant ses films par cœur, il me font toujours rire. Seulement je n'avais pas compris avant de venir en France qu'il ne s'agissait pas d'un gendarme particulièrement moraliste, mais d'un gendarme consciencieux qui applique strictement la loi en matière de nudisme. J'étais donc un peu déçue !

Heureusement j'ai mon gendarme personnel qui ne badine pas avec la morale !

Il sait répondre avec brio à mes irrationalités et parfois il est tellement tatillon en me faisant rire aux larmes. Lui aussi rationnellement il n'est pas convaincu du bien fondé de ses restrictions, mais cet autre moi qui nous dicte les lois de notre jouissance le pousse parfois jusque la caricature. Par conséquence, de plus étant fort pudique, il n'en revient pas comment je peux accommoder ma nudité à tous les plats. Comment je peux m'en servir de manière aussi éhontée comme moyen de séduction. Il n'en revient pas certes, mais il raffole quand extériorise la vilaine fille qui sommeille au fond de moi.

T'as dépassé les bornes isabelle. Tu as pas honte ?

Je sais que le comble de l'impudeur consiste pour lui quand je lui présente sagement mes fesses toutes nues à ses corrections éducatives. Et là justement il a parfois tellement bien préparé le terrain avec son sermon que ma nudité me devient subitement pesante, honteuse.

Je raffole de cet état qui m'aide à expier voluptueusement mes fautes imaginaires.

Il aime se lancer par de solides claques qui résonnent dans la pièce. Affirmer bruyamment son autorité pour me montrer que chez nous règne la discipline. Le connaissant comme la peau de mes fesses, je sais quand il a envie de s'enivrer de sonorités. Je serai donc assiégée par de brûlantes stimulations pendant quelques très longues minutes.

Nous allons te mettre ta culotte rouge, isabelle!

Un joli rouge vif, je sais. Un rouge se limitant sur mes globes. Cette culotte me va très bien. J'adore la porter. Seulement ce n'est pas un parcours de plaisir de la mettre.

Il faut souffrir pour être belle!

Parfois j'ai l'impression que mon chéri se paie ma tête. Il sait garder son sérieux en toute circonstance. Il sait donner un air si authentique à mes corrections que je me sens entre de bonnes mains pour expier ce qui me pèse. Comme ses yeux brillent quand je lui avoue que sa sévérité me procure des frissons partout. Comme il rayonne quand je lui dit que martinet est le meilleur allié des vilaines filles. Ce jour-là monsieur est particulièrement en forme. Un bouquet sonore qui n'a rien à envier à la manière dont j'imagine le bon vieux temps quand les filles comme moi filaient encore droites. Puis pour finir ma punition, la remarque du chef !

Pas besoin de t'habiller. Tu peux rester dans ta culotte rouge, isabelle !

Subitement ma nudité prend une autre allure. Avec la culotte rouge je ne me sens plus à l'aise comme avant. Il y a une joli crispation que quelqu'un pourrait me voir, ce qui va mettre mon ménage émotionnel à vif. Émoustillement et gêne qui cohabitent. Mélange explosif qui va me de très vilaines idées... plus tard. De toute façon je sais que mon homme aussi aura la sensibilité à vif.

* * * * * * * * * *


Ps : Je profite pour mettre à jour (du moins partiellement) ma rubrique« Anecdotes et récits » :




Une fessée mémorable (suite et fin)













Mise à jours de ma rubrique « Faits divers »





lundi 11 juillet 2016

906 Fessée à la carte (Lundi cinéma)

Ces choses qui se passent entre filles !

Voici un clip que je trouve remarquable. Deux fessées filmées chacune sous 4 angles différents. Dont 8 séances en tout pour une durée de ...25 minutes. Alors chacun peut y trouver son bonheur. Je suis assez peu sensible au charme de la main anonyme qui tape sur un (superbe) fessier anonyme. Je préfère soit pourvoir regarder le visage de la dame qui applique soit le visage de celle qui reçoit.

C'est par-là que passent pour moi les émotions.

D'abord je dois avouer que je suis béate d'admiration devant un travail qui mérite largement le qualificatif bien fait. La dame qui applique dans le premier clip prend plaisir sans le dissimuler ce qui déjà agréable en soi. Puis quelle puissance de feu comme dirait mon homme. Une véritable virtuose de la main.

Voila que j'appelle une vraie fessée !

Punitive ou pas, que chacun imagine ce qui lui plaît le plus. Notons que dans ce genre de production il s'agit quasi exclusivement de professionnelles qui sont payées pour leur prestation. Elles savent donc à quoi s'attendre. Parfois je pense au film « La dérobade » où un client en sortant le martinet dit à Miou-Miou : « Plus tu auras mal, plus tu auras de pognon ». J'ai même lu sur un forum spécialisé que certains « fesseurs » ou « fesseuses » sont connus pour leur coup de main particulièrement lourd que certains modèles refusent de tourner avec eux par crainte pour leur épiderme. N'ayant ni un esprit de compétition, ni quelque chose à me prouver je les comprend parfaitement. Ce qui ne m'empêche pas d'être impressionnée par certaines performance.

Ici pas d'abus, pas de massacre sur les fessiers. Pourtant quelle sonorité et malgré un état correct de la peau à la fin de la séance, la brûlure persistera pendant un bon moment encore. Pas de longueur non plus. Je n'aime pas ces fessées interminable. Moi j'ai un faible pour le feu d'artifice. Puis on trouve dans ce clip même une tenue vestimentaire correcte, bien que très rétro, des protagonistes. J'ai entendu dire qu'ils existent également des amateurs du genre de sensations fortes et intenses qu'y trouvent leur compte. Il y avait des spécialistes de la fessée forte dans le temps sur les forums et en papotant entre filles on apprend parfois des choses de plus indiscrètes. Ceci dit sur un forum nous ne sommes pas dans le commercial, mais dans les préférences personnelles. Ce qui compte c'est d'être sur la même longueur d'onde. Enfin, la première fessée me trouble particulièrement...

...parce qu'elle me rappelle (un peu ) mes propres (et très rares) corrections grand format quand je n'ai pas été sage du tout !

vendredi 8 juillet 2016

905 Liens de discipline domestique (227 ème édition)

Au menu cette semaine : Fâcheux contretemps


Bien que mon homme prenne très au sérieux la discipline domestique (et moi aussi par la même occasion!), il serait erroné de croire qu'il me cherche la petite bête. Avec lui pas de prétexte tiré par les cheveux pour me claquer les fesses de « manière gratuite » pour son, pour mon, pour notre plaisir. Il sait parfaitement distinguer entre les deux registres.

Dienst ist Dienst und Schnaps ist Schnaps !

(Le travail est une chose, le plaisir en est une autre)

Par travail il entend bien évidement le travail éducatif. Voila qui me permet de vivre notre discipline domestique en toute sérénité. Je connais très bien les règles, dans leur majeure partie établies par moi-même d'ailleurs. Et quand il me met devant un :

Il fallait y penser avant...

… je ne puis qu'approuver ce qui m'arrive. Notamment s'il lui arrivait de se dégonfler dans son intention de me punir, je serai contente sur le coup, mais terriblement agacée un peu plus tard. Le traitant de tous les noms ou du moins en lui faisant sentir mon mépris pour sa lâcheté. L'avantage de la DD en couple, c'est de connaître sur le bout des ongles son partenaire. Il sait bien ce que j’attends de lui et il sait aussi malgré mes tentatives de me soustraire à ma punition (bien méritée, si, si!), que je compte au fond sur son autorité. Au fil des années il sait se montrer intraitable.

Il y a peu de temps j'ai été infernale à cause d'un rendez-vous que je n'avais pas vraiment envie de honorer. Trop lâche (décidément ce qualificatif me hante!) pour me décommander, la situation m'avait pris la tête au point...

de m'emmerder pendant ma pause de travail avec tes histoires de copines. T'as qu'à faire le trie isabelle.

Puis en insistant, malgré l'avertissement, quelque minutes plus tard je me suis trouvée sur ses genoux. Ma jupe troussée et déculottée pour une séance de rappel à l'ordre à la main. Mon chéri n'avait même pas pris la peine de sortie le martinet de son tiroir de bureau. Par conséquence j'ai vraiment dégusté. J'ai pu évacuer mon stress dans un flot de larmes et quand je me suis levée, je savais que pour le reste de la journée mon fessier sera... très sensible. Mais ce qui m'a surprise était les mots de mon chéri pour me congédier.

Va te décommander, isabelle. Dis lui que tu est consignée à la maison par ton homme pour l'aider dans la paperasse !


Il a solution à tout !


Un joli texte, vu sur un un blog que je trouve intéressant et que je lis parfois parce que la dame parle de choses que je ne connais pas ou très peu. Loin de moi de vouloir me lancer dans les rencontres sur le net, mais je suis curieuse et je ne manque pas un brin de voyeurisme ! Étant de la génération des filles qui a écumé les boites de nuit, je me dis au moins à cette époque il n'y avait pas besoin de mot, ni pour aborder, ni pour se faire aborder......

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !












Bonne technique (mini clip)

Jolie vue sur le programme (en bas de l'écran)


Les filles s'amusent (petit clip)