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mercredi 3 janvier 2018

1076 Duo de soubrettes

Il m'arrive parfois que j’occupe la place d'une soubrette érotique auprès de mon homme.

Très blonde, en uniforme de service je me tiens à sa disposition. Rien ne manque : Ni la petite robe noire, très courte. Ni la guêpière et les bas couture. Ni les hauts talons de 10 qui me donnent de belles jambes et un fessier archibombé. Ni même le petit tablier en dentelle et la coiffe blanche dans mes cheveux. L'effet fulgurant sur mon homme est assuré, mais je dois avouer que je prend aussi beaucoup de plaisir à scruter mon reflet dans le miroir de mon boudoir.

mercredi 27 septembre 2017

1048 Confidences sur les fantasmes de nos hommes

T'avais pas rendez-vous avec ton coiffeur ce matin, isabelle ?

Dit-il, mon tendre compagnon quelque peu énervé en passant au salon où je me trouve - encore une fois – avec ma copine en train de papoter. En ajoutant non pas avec une certaine amertume son grand classique :

il y en a qui ont de la chance !

Le pauvre ! Habitué que je lui fasse le service pour sa pause dans son bureau, ce matin il est obligé d'aller voir lui-même dans la cuisine.

vendredi 18 août 2017

1036 Matinée sauna entre filles

Elle a tenu parole.

Elle est venue dans une petite robe légère sous son manteau bien chaud. Moi aussi je suis en petite robe. J'ai l'habitude d'en porter en hiver... à la maison exclusivement. C'est mon rayon de soleil. Voila qui fait du bien de se retrouver entre copines, parées d'un air estival.

C'est drôlement bien chauffé chez toi, isabelle !

N'est-ce pas ! Mon chéri est un spécialiste de l'isolation.

Je ne me prive pas de lui raconter l'envers du décor. Monsieur, friand de me voir en tenue glamour d'un autre âge, j'ai posé mes conditions. Un environnement favorable aux bas et les porte-jarretelles. Pari tenu. Je peux me promener à poil dans la maison sans craindre le moindre rhume.

J'ai invité ma copine pour faire du sauna avec moi. Inutile de dire qu'il s'agit également d'un travail de mon homme. Mais avant de nous détendre, nous buvons une petite tisane. Monsieur traverse le salon pour se chercher un truc dans la cuisine.

...c'est la sortie plage aujourd'hui ?

Mais non... on va transpirer un bon coup !

Pfff...y en a qui ont de la chance. Amusez-vous bien les filles...

J'ai l'impression de voir son cerveau assimiler l'information pas à pas. Deux filles dans un sauna égal deux filles toutes nues ! Pas besoin de plus pour mettre son sang en ébullition. Heureusement il n'est pas collant, style : Je peux me joindre à vous ». Je ne supporterais pas de partager ma vie avec un libertin. Par contre je m'en tape royalement de ce qu'il a envie d'imaginer, tant qu'il ne fait pas des yeux doux à ma copine. Fausse blonde comme moi. Coquette comme moi. Exubérante comme moi. Décomplexée comme moi.

Une fois au sauna pas de tripotage vicieux entre blondes. Nous n'allons pas aussi loin dans les clichés de la culture P. Pas de fouet de sauna non plus. Je n'ose pas encore. Que du blabla. Nous parlons beauté. L'épilation plus exactement. Ma copine affiche un ticket de métro. Vingt poils courts qui se battent en duel, comme dirait mon homme. Il ne comprends pas pourquoi les filles n'enlèvent pas tout dans ce cas-là.

Ma copine est curieuse. Elle me pose pas mal de questions. Non, je n'ai pas été à l'aise après mon premier intégral à la cire. C'était à la fin du siècle dernier quand la mode ne penchait pas encore en ce sens. Je me suis réveillée le lendemain matin avec une étrange sensation de douceur, me donnant envie de toucher cela d'un peu plus près. Essai fortement concluant par sa volupté. Puis au fil des jours je me suis habituée à mes nouvelles apparences. Seulement, quelques semaines plus tard cela a commencé à repousser et il faillait attendre une certaine longueur pour pourvoir « cirer » à nouveau. Non, je n'ai pas adopté le définitif pour moi. Je l'ai adopté pour mon homme. Me savoir sans poils le rassure... Nous rigolons ! Puis qu'est-ce que cela stimule sa libido.

Il est prêt à éclater, le chéri quand il me glisse la main dans ma culotte...

Tu crois que si j’enlevais mon ticket...

Tu n'as qu'à essayer...

Je viens de me faire épiler il y a deux jours. Allez revoir mon esthéticienne rien que pour ça, ça me fait suer...

Fais le toi-même. C'est facile. Il y a pour 2 minutes avec une bonne cire !

Tu crois...

Ben oui. J'épile une fois par mois mon homme. Il n'oserait jamais voir une esthéticienne. Il est pudique comme pas permis.

La curiosité de ma copine réveillée, je lui apprend que je veille sur ce qui se trouve sous son caleçon. Il y a bien sur ce que l'on imagine avant tout, mais non pas caché dans une jungle envahie de broussaille. Oh que non. Monsieur est aussi lisse qu'un popotin de dame. Cela lui va très bien. Puis surtout... pas d'ambiance de fauve, pas de poils sur la cuvette des toilettes...

Ah oui, je vois...

C'est un argument qui fait mouche. En papotant, il est convenu que je donne un coup de main à ma copine. Pendant que la cire chauffe au micro-onde je sors le talque pour une épilation sans douleur. Nous faisons un compte à rebours à haute voix. Façon nouvel an !

Trois, deux, un...

Un instant plus tard elle est aussi lisse que moi. Voila qui crée un lien fort. Le clan des pubis toutes glabres. Nous sommes toutes guillerettes. On dirait des ados. Rires insouciantes. De quoi intriguer mon homme qui passe à ce moment a côté de la salle de bain. Puis dans la cuisine persiste l'odeur caractéristique de la cire qui parfume encore le micro-onde pendant qu'ils se sert un café.

Comme j'apprends plus tard Monsieur s'est posé la question de ce qui se passe dans notre salle de bain.

Une douche à deux ?

Ben oui, cela aussi. Mais surtout j'ai épilé le ticket de métro de ma copine.

Vous auriez bien mérité...

Au moins il ne se cache pas. Le fantasme de fesser une de mes copines le turlupine régulièrement. Moi aussi je pars du principe que cela ne leur ferait pas de mal. Mais j'ai du mal à gérer ma jalousie. Alors à défaut de corriger deux filles pour comportement éhonté, il me fait parvenir généreusement une double ration. Ma peau mise en condition par une longue séance de sauna ne manque pas de sensibilité et ma libido, également stimulée par le sauna répond favorablement à la main vicieuse qui s'extasie sur mon épilation définitive.

PS : Notre petit coup de cire a engendré des miracles. Il paraît que le mari de ma copine ait raté plus d'une fois son jogging matinal parce que sa langue le démange...

vendredi 4 août 2017

1030 Manque de perversité (petite fiction ou non)

Tu t'es mise à la guêpière, isabelle ?

Dit-elle, ma bonne copine sur un ton moqueur bon enfant en me voyant avancer à petit pas. Tout est dans son regard amusé. Elle sait très bien que je me bats (comme elle d'ailleurs) durement contre mes kilos en trop et me soupçonne maintenant de faire appel à la méthode forte pour me mettre à mon avantage. Effectivement, une solide guêpière crée par sa coupe de plantureuses formes caractéristiques qui se remarquent. Et qui plaisent ceci dit ! Mon chéri n'est pas le seul homme à en être friand. Il n'est pas pour rien d'ailleurs que « je me suis mise » à ce vêtement, car je lui ai manqué ce matin même du respect.

Faute grave qui a été sévèrement sanctionnée par une fessée au martinet.

Penchée sous son bras, j'ai transpiré pendant de longues minutes en promettant une prompte amélioration de mon comportement. Monsieur prend beaucoup de plaisir à écouter mes bonnes résolutions dans de telles circonstances en cultivant une perversité certaine. Vu ma position et vu l'ardeur de mes gigotements, je dévoile malgré moi les aperçus de plus indiscrètes de mon entrejambe. Informations directement transmises dans le caleçon de Monsieur pour une réaction de plus virile. En homme « sérieux « qui se respecte, il n'abuse pas de la situation pour un intermezzo coquin. Toutefois estimant que j'aie la peau dure et que je ne sois pas été assez convaincante dans mon mea culpa, j'ai écopé d'une punition supplémentaire : Une semaine de port de guêpière. Décision prise donc ... à cause d'une « lubie» sous le caleçon et qui ne se justifie pas par une morale disciplinaire quelconque. Monsieur étant très inspiré m'a même donné un coup de main … supplémentaire pour fermer avec passion une par une les petites agrafes dans mon dos. Pendant cette procédure j'avais l’impression de sentir doubler le volume de mes seins et surtout de mes fesses, déjà sensibilisées par l'action du martinet. Subjugué par la vision de mon derrière ainsi mis en valeur, il n'a pas jugé utile que je m'habille entièrement. Ainsi, j'ai dû parader avec mes fesses bombées à souhait sous ses yeux dans la cuisine en préparant notre petit déjeuner en amoureux. Une séance de discipline le bon matin me réussit toujours à la merveille. Je déborde d'énergie et je ne manque jamais d'initiative coquine.


De plus je trouve terriblement sexy un homme qui tient un martinet en main pendant qu'il me parle.

Après de petits bisous et un « small talk maison » de plus indécent, c'est-à-dire une sucette gourmande qui laisse le lieu du crime dans un état impeccable, j'ai dû me dépêcher pour me brosser les dents et surtout pour ne pas rater mon rendez-vous avec ma copine. Il en va de soi que mon fessier brûlait encore. C'est une chaleur fort agréable, à accumulation, faisant part des énergies renouvelables, proportionnelle à l'intensité de ma fessée et qui peut se propager pendant des heures, surtout en mettant une jupe coupée près de mon corps. Chaleur accompagnée d'une sensibilité accrue quand je m'assois. D'où une certaine prudence dans mes gestes qui me donnent un air exigeant et précieux. Hélas, mes inévitables gigotements n'ont pas échappé à la vigilance de ma copine qui - très cash comme à son habitude - a toutefois mal interprété les apparences :

Mais qu'est-ce qu'il t'arrive. Tu t'es faite sodomiser en beauté ce matin, isabelle ?

Ayant avec ma copine une relation de plus franche, elle est au courant de pas mal de détails de ma vie intime. Comme par exemple notre prédilection pour les ébats le matin. Sur le coup je n'ai pas pu résister de faire sortir la vilaine fille en moi, mettant ainsi les cartes sur la table.

J'ai reçu une bonne fessée parce que je n'ai pas été sage.

Sortie du placard en toute douceur, pris comme une évidence, faisant parti d'une sexualité épanouie.

Waoh ! Il ne manque pas de perversité lui... ton homme.

J'ai bien compris qu'il s'agissait d'un compliment et aussi qu'il y avait matière à creuser...

mercredi 12 juillet 2017

1020 Journée sans culotte

Chiche ou pas chiche ?

Question qui me pose une bonne copine qui souhaite avant tout donner du piment à son couple qui bat un peu de l'aile. Certes, son compagnon est un « homme bien » sous toutes les coutures, mais il semble fortement négliger sa petite dame. J'en ai parlé à mon homme qui réfléchit pendant un court instant avant de prononcer son verdict dans un langage d'initiés :

Celui qui fait du jogging tout le temps ?

En gros mon homme part du principe que les hommes avec une préférence pour les sports d'endurance négligent souvent leurs dames qui pendant le temps de l’entraînement... je ne fais pas un dessin. Mes observations semblent confirmer ses dires. En « bonne copine » je suis au courant de beaucoup de choses dont le monsieur ne se doute pas pour le moins du monde.

Ce matin, la journée sans culotte devient prétexte pour que je me prononce sur la présentation de ma copine. Car son homme n'aime pas la vulgarité. Voila qui tombe bien, le mien non plus n'aime pas la vulgarité.

Seulement il ne confond pas vulgarité (qui suppose un regard de la société) avec une attitude dans l'intimité du couple.

Se donner provocante par un comportement ou une présentation lui semble du bon enfant quand il s'agit de donner du désir à son partenaire. En pratique , inspiré par son monde fantasmatique c'est plus complexe :

Une fille bien éduquée ne montre pas sa culotte et encore moins elle ne se montre pas sans culotte !

Sinon...ben, c'est pan-pan cucul. On ne badine pas avec les bonnes manières à la maison. Quand j'ai rencontré mon homme je faisais du « sans culotte » en toute insouciance. Puis j'ai appris qu'il existe un phénomène de perversité transmissible. Bien explicable au fond, car il s'agit d'une réactivation d'un contenu refoulé. Alors depuis quand je me promène sans culotte je me trouve exposée à un frisson constant espérant que cette audace soit découverte et sanctionnée par une claquante fessée.
Il en va donc de soi que cette « journée sans culotte » me procure une belle émotion.

Chiche !

Sans hésitation ! Ma bonne copine est chiche aussi. Elle mettra une jupe très courte une fois revenue à la maison, car son mari n'a pas cette compulsion de vérifier sous ses jupes comme mon homme...

Monsieur a écouté attentivement ces histoires de filles.

J'ai envie de me mettre derrière la fenêtre pour pister si son homme va passer comme d'habitude. Qu'en penses-tu ?

Pas si vite jeune dame. Tu crois que je vais passer sur ton oubli de culotte sans agir...