vendredi 30 juin 2017

1016 Liens de discipline domestique (277 ème édition)

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !





Fessée judiciaire (petit clip)








Dans un salon (petite série)




1015 Entre insolence et provocation

L'ange bleu version 2.0

On reprend un sujet vieux comme le monde, Eve qui tente Adam avec la pomme. Évidement on n'en parle pas du fait que la jolie dame cherche à partager une réelle connaissance qui est vite transformée en connaissance au sens biblique, celle des plaisirs de la chair. Cette même chair qui sera désormais associée au péché. Loin de moi de vouloir briser ce lien magique, car la morale qui donne de la saveur aux jeux de la fessée se nourrit pour bien de personnes de la même thématique :

Le contournement d'un interdit qui cherche sa punition.

Prévenu par sa maman de se méfier des filles aux mœurs légères mon chéri a fait de ces éléments tout un amalgame érotique dont la quintessence se manifeste dans la figure de l'ange bleu.

Femme sure d'elle, séductrice chevronnée qui n'en fait qu'une bouche du Professeur Unrath.

Homme de plus respectable qui dans ces heures perdues se bat vaillamment contre les tentations de la chair. Je ne suis pas une danseuse de cabaret, bien que le fantasme me plaît beaucoup et loin de moi de vouloir humilier mon homme (ou un autre) aux yeux du monde. Mais nos bases fantasmatiques sont proches ce qui permet une belle entente.

Il y a un non-dit qui nous unit. Pour ma part je peux réaliser mes tendances exhibitionnistes et mon homme s'efforce de me ramener dans le droit chemin. De manière fort traditionnelle qui est soulignée par la présence d'un martinet à la maison. Avant la naissance de notre fille il a été accroché à côté du bureau de mon homme, me rappelant à tout moment que...

...dans cette maison règne l'ordre et la discipline !

Et combien de fois je me suis faite sermonner, déjà déculottée avec vu sur le martinet. Effectivement chez les vilaines filles cela ne se passe pas sans laisser des « traces ».

Il est fort gênant de prononcer avec conviction son mea culpa avec un entrejambe luisant qui n'a rien compris à la situation et qui se prépare par étourdissement à une jouissance charnelle version vanille.

Il est plus gênant encore quand l'insolente provocatrice se surprend à argumenter sérieusement en raison de son âge d'être trop grande pour le martinet. Malheureusement monsieur reste inflexible rappelant à la dame qu'elle continuera à faire des courbettes devant le martinet à chaque fois qu'il le jugera nécessaire.

Non l'ange bleu ne causera pas la perte d'un monsieur qui sait affirmer son autorité...

mercredi 28 juin 2017

1014 Mener son homme par le bout...

...de la cravate !

Des cravates, il en porte régulièrement mon chéri. Pour nos sorties en amoureux. Pour une visite chez la belle-mère qui trouve que j'aie une excellent influence sur son fils. Ou tout simplement à la maison pendant ses heures de travail. Pour me faire plaisir.

Emmerdeuse la petite isabelle ?

Oh que non. Quand je m’agrafe le matin mes bas pour un glamour d'un autre âge, je le fais avant tout pour faire plaisir à mon chéri. Seulement je demande aussi un retour de glamour. La discipline domestique va dans les deux sens pour moi pour satisfaire les exigences de l'un et de l'autre. Pour éviter toute confusion avec une structure purement patriarcale dans laquelle la dame n'a pas son mot à dire. D'ailleurs je doute que la discipline domestique puisse marcher sans une excellente entente sexuelle.

Monsieur aime se prendre des libertés pour une attitude décontractée dès que je lui tourne le dos. Il arrive souvent que je le trouve au moment de sa pause avec les manches retournées de sa chemise et le nœud desserré de la cravate. Non, loin de moi de le critiquer. Même si l'envie ne me manque pas. En fait, un jour je lui avait bêtement demandé à quoi lui servaient ses manches retournées.

Tu va voir tout de suite, isabelle !

Il m'a chopée pour me déculotter sur le champs, suivi d'un longue et solide fessée à la main. Je me suis sentie un peu comme le petit chaperon rouge et j'ai décidé d'être plus prudente dans mes questions par la suite.
Par contre j'ai trouvé sa façon d'agir d'une virilité torride qui fut soulignée par une présentation de plus adapté à la situation. Il a vite compris que mes petits cris exprimaient une monté d’excitation et il a profité pour me montrer qui porte les pantalons à la maison. Il aime beaucoup me prendre en levrette quand j'ai les fesses rouges et il aime profiter pendant nos ébats pour les rougir encore plus. Mon seuil de douleur quasi inexistant à ce moment, cette « fessée érotique appuyé» me met dans un état second qui culmine dans un fulgurant orgasme. J'avais à l'époque les cheveux longs et je suis sortie de son bureau en affichant clairement ce qui m'étais arrivée. Satisfaite certes...

...mais sensible des fesses comme aime dire mon homme.

vendredi 23 juin 2017

1013 Liens de discipline domestique (276 ème édition)

Semaine de canicule. Heureusement nous sommes à la montagne!

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !










Une fessée pour la copine (petite série animée)












1012 Qui domine qui ?

Et si on arrêtait de chercher du côté de la surestimation humaine ?

C'est une question souvent traitée en rapport avec la fessée et plus encore dans les contextes du BDSM. Pas de réponse standard, mais selon maints auteurs la vraie personne dominante serait la dame soumise. Il existe même un qualificatif en anglais « topping from the bottom » qui tient compte du fait que ce soit la personne soumise qui détermine les règles du jeu. Pour ma part je ne me considère pas comme une adepte du BDSM. Pas besoin de sortir une argumentation laborieuse, je reste basique : Le vocabulaire comme soumission, abandon, maître, appartenance etc ne m'émoustille pas. Par contre j'aime bien le recours à certains accessoires comme la cravache, le bâillon, le collier, la laisse ou le bijoux rectal pour des mises en scène purement ludiques sans composante vraiment douloureuse. La cravache sert plutôt pour siffler dans l'air ou pour marquer une cadence. Et si je me vois dans cette constellation nullement soumise, je trouve flatteuse l'idée que ce soit moi qui est censée de tenir les rênes. L'expression est d'ailleurs faible pour décrire ce qui se passe en moi :

Je me sens toute-puissante en commandant par mon attitude l’excitation de mon chéri !

De la même manière quand je porte de la lingerie sexy ou quand je m’apprête à lui faire une petite sucette pour le détendre. Inutile de dire que ce sentiment de toute-puissance s'accompagne d'une folle ivresse qui prend tout mon corps en m'érotisant de la tête au pied. Et au moindre attouchement je plonge dans un univers de sensations plaisantes. Par conséquence mon homme aussi, se sent vite tout-puissant en commandant avec le « petit doigt » et avec la cravache mes petits cris et soupirs. Puis comme il est fier de son rôle de dresseur de (dangereux) fauve qu'il tient en laisse et qui subitement perd tout son mordant en ronronnant de plaisir. A vrai dire en réfléchissant à cette situation à tête reposée, il n'y a pas d’intérêt de déterminer qui domine qui. A moins que l'on soit titillé par la métaphysique du bien-fondé de servir comme pur objet de plaisir. Car souvent il y a culpabilisation, voire du mépris pour les personnes qu'y trouent leur compte. Seulement la personne se comportant en soumise n'a peut-être rien de soumis hors contexte de la sexualité. Idem pour le maître qui devient hors jeu un « brave gars » qui ne ferait mal à une mouche.

Qui domine qui ?

Personnellement il me paraît impossible de trouver une juste réponse à cette question.

Nous sommes sur un terrain de pure irrationalité humaine et il me semble une illusion de monter sur cette base une construction rationnelle.

Tout ce que je vois c'est un homme et une femme qui suivent leurs pulsions et qui par cet hasard de la nature sont susceptibles
d'apprécier telle ou telle autre constellation. Monsieur se prête au jeu parce que sa pulsion se montre impérieuse de s'engager dans une voie dite « dominante » et la dame se prête au jeu parce que sa pulsion trouve satisfaction sous forme dite « soumise ». Certes,on peut coller la philosophie ou la poésie amoureuse que l'on veut sur ce qui se passe. Peut-être tout simplement justement parce que...

...il est décevant pour notre estime de soi de reconnaître que l'on suit une pulsion qui nous dépasse et qui nous dicte des règles qu jeu...

mercredi 21 juin 2017

1011 Mériter sa fessée

Soirée porte-jarretelles

Mon homme n'est pas le seul admirateur de la sexy attitude. Seulement, ce qui apparaît sur papier glace comme l'incarnation du glamour, « s'humanise » dès que l'on se met à porter pareilles vêtements dans un contexte réel. Impossible de ne pas évoquer l'image d'une effronterie aguichante … qui a fait et fait encore ses preuves certes, mais que les mauvaises langues associent à une certaine vulgarité. Le terrain est donc délicat.

En parlant entre copines, j'ai pu vite déceler celles qui ont un compagnon avec de semblables préférences. De là est né un jour l'idée d'une soirée porte-jarretelles. Non pas sous forme d'une rencontre libertine à aspirations de partouze, mais d'une soirée bon enfant dédiée à faire tourner littéralement la tête de nos hommes. En employant des jupes ni trop longues, ni trop courtes, d'une coupe qui rend quasi impossible de cacher les dessous dans certaines positions. Mon homme était fort étonné quand il a découvert ma tenue pour la soirée à venir...

mais isabelle, on voit tout...

C'est le but mon chéri ! Tu n'aimes pas ?

Puis, comme il a été émerveillé quand sont arrivées mes copines avec leurs compagnons.

Soirée qui a été un franc succès dans laquelle je fus reconnue à l'unanimité comme l'initiatrice du spectacle.

J'ai eu droit à maintes félicitations pour ma bonne idée. Voila qui ma évoqué la pensée suivante. Je ne cherche pas mon homme dans ses similitudes avec d'autres hommes, mais dans sa singularité qui le différencie des autres. Et là, constatons que les choses sont un peu différentes quand on vit avec un partisan de la fessée. S'ajoute subitement ce petit penchant pour le moralisme théâtral envers une fille qui n'a pas froid aux yeux.

En se montrant aguichante elle s'attribue le qualificatif « vilaine » et par conséquence elle mérite une bonne fessée.

Ne cherchons pas une logique apparente, ce jeux de courbes et de lignes se joue en misant sur le « basic instinct ». Surtout quand on ne se prive pas de chauffer son homme en prenant des poses suggestives !

Une fessée ? Chiche !

Une fois nos invités partis, Monsieur n'a pas pu s’empêcher de me mettre sur ses genoux. Ma jupe ample et mes bas et porte-jarretelles ont facilité mon déculottage. J'en ai eu pour mon compte, un fessier de plus rouge avant d'aller dans notre chambre pour une torride séance de ….vanille.

Tss, tss, il y a des mauvais esprits qui parlent de perversités !

Et si on parlait plutôt d'une vie amoureuse qui rajoute une jolie touche d'aventure et d'adrénaline avant de passer aux choses sérieuses...

vendredi 16 juin 2017

1010 Liens de discipline domestique (275 ème édition)

Au menu cette semaine : Jeans attitude en images

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !














La sévère tante (petit clip)




1009 Mauvaise surprise en balade (Petit recit)

Ou les risque de porter un short trop court

Malgré notre faible pour une élégance plutôt bgbg glamour d'un autre âge (avec cravate obligatoire pour le monsieur !), nous sommes dans notre vie quotidienne très jeans. Déjà parce que nous portions tous les deux des jeans de la même marque le jour de notre rencontre. Monsieur fut instantanément séduit par l’insolante garçonne que je suis sans oublier de remarquer mon potentiel de Barbie. J'entends par-là moins une prédisposition physique, mais une passion décomplexée pour le monde girlie. Comme Barbie je semble être née avec un sourire sur le visage que les mauvaises langues qualifient de bêtasse. Pourtant le sourire ouvre selon mes expériences facilement les portes et laisse chez la plupart des personnes une agréable impression.

Quant à Monsieur je fus séduite par son physique de Mad Max avec des jambes interminables et des fesses de plus ferme. Puis son grain de folie, favorable à la réalisation de fantasmes inavouables.

J'ai vite compris son penchant pour remettre une insolente garçonne dans le droit chemin.

S'ajoute un discours qui va parfaitement avec et qui même presque 20ans plus tard ne cesse de me faire rire. Quand il s'emporte à cause de la dépravation des mœurs chez bien de jeunes dames ou encore de leur manière de provoquer - que dis-je - harceler par leurs comportements inadmissibles. Bref il a su - sans le moindre effort – réveiller la vilaine fille en moi qui ne rêvait que de le »harceler ». En mettant des tenues osées ou encore en défaisant effrontément sa braguette dans les assesseurs ou en voiture.

C'est ainsi que nous sommes partis un jour pour une randonnée en montagne. J'ai choisi un short encore plus court que les précédents et au lieu de se contenter de me menacer d'une copieuse fessée pour le soir, j'y ai eu droit en pleine nature. Il a pris tout son temps pour déboutonner mon short, puis de le baisser. Sans oublier une remarque sur...

le port du string qui est en soi raison suffisante pour une sévère fessée !

J'aurais mieux fait de me taire et ne pas le traiter de vieux schnock qui ne tolère que les horribles culottes en coton blanc. Que j'ai dû d'ailleurs porter pendant des semaines à la suite de cet incident. Bref j'ai eu droit à une mémorable séance de fessée cul nu qui m'a laissée dans un état secondaire avec un derrière en feux et un entrejambe de plus coquin, comme fraîchement lustrée. J'ai appris en passant les joies de faire du coin en pleine nature pour donner de l'air à mon coup de soleil éducatif. Puis après excuses pour mon audace, j'ai pu regagner mon short. La suite de la journée s'est passé dans la bonne humeur. Me fesser rend Monsieur très bavard et je me suis régalée de ses anecdotes. Apparemment en cet après-midi ensoleillé la bonne humeur était à l'ordre du jour. Étant très lente en montagne, nous fûmes doublés à mainte reprises par des marcheurs pour le moins que l'on puisse dire guilleret. Trouvant cela à force fort étrange, je me suis tournée vers mon chéri pour lui demander s'il y avait un rapport avec le manque d’oxygéné un altitude.

Pas besoin de chercher la complication, isabelle. Il suffit que tu regardes ce soir tes fesses dans une glace !

Effectivement ! Depuis je me méfie des shorts trop courts qui ne cachent rien...

mercredi 14 juin 2017

1008 Rencontre et échange entre amateurs de la fessée

Le tout nouveau site de Monsieur No !


Monsieur No est le créateur d'un mythique forum qui faisait partie du (défunt?) site « Discipline domestique ». Il a réussi d'attirer à la « grande époque »  entre 2005 et 2008 bon nombre de belles plumes avec pour résultat une impressionnante rubrique de récits des membres. On y trouvait également des personnes désireuses de participer à une discussion sur le sujet qui nous tient à cœur.

Notons la facilité de faire des rencontres, en toute discrétion et chacun à son rythme.

J'ai moi-même participé à cette aventure entre 2006 et 2008 et je garde un excellent souvenir. Et si je parle de discipline domestique sur mon blog, ce passage n'en est pas pour rien. Seulement je me suis rendue compte que le format blog me correspond mieux, étant trop branchée sur la construction du fantasme de la fessée. Ce qui peut être barbant pour les personnes qui cherchent avant tout une belle aventure humaine.

Étant très prise en ce moment, j'ai pu trouver tout de même le temps pour jeter un coup d’œil attentif sur ce nouveau site. Enfin, je suis extrêmement curieuse. Il y a d'abord la qualité de l'écriture de Monsieur No qui saute aux yeux comme ce...


Un des meilleurs textes du genre concernant les conseils. A lire absolument avant de se lancer pour éviter les mauvaises surprises.

Puis on y trouve ce qui fait la joie des filles, le divertissement, comme...


Pour l'instant ce joli site est un accès libre, ce qui permet de flâner avant de décider éventuellement de s'inscrire.

Un petit mot pour les dames: Personnellement, sans m'avoir lancée dans la rencontre, je n'ai jamais été importunée, ni par message privé, ni dans mes participations sur l'ancien forum de Monsieur No. Au contraire. J'ai eu bon nombre d'échanges avec des personnes passionnantes et courtoises. Je fais donc confiance au maître du lieu, ainsi qu'aux « anciens » qui pointent déjà leur nez pour que cette nouvelle aventure soit une belle réussite !

vendredi 9 juin 2017

1006 Secrets de couple

Se montrer impudique


Il n'y a pas que la fessée qui me procure de belles émotions. Je me retrouve également dans les délices de la cérébralité. Par exemple quand Monsieur m'envoie au coin pour certains écarts du droit chemin. Pour ce, il lève son bras et pointe avec son index dans l'endroit qui m'est désignée. Parfois accompagné d'un regard de plus sévère et d'une voix ferme, parfois avec un bel air moqueur :

J'en connais une qui va tout de suite aérer son derrière pour se calmer !

Il ne dit pas toujours sagement « derrière », mais plutôt cul nu, beaux cul, joli cul rond. Toujours des qualificatifs valorisants, tournant autour du « cul », mot fortement apprécié par mon homme. Le fait que son emploi me soit strictement interdit a généré des effets secondaires. J'associe ce mot a une virilité décomplexée qui ouvre une scène de séduction quelque peu « rustique ». Une main joviale qui s'égare sous ma jupe, voire un doigt qui inspecte mon entrejambe. Voila qui m'évoque aussitôt mon adolescence et...

...la frissonnante appréhension qu'un prince charmant me mette la main au c*l !

Alors en entendant ce mot je deviens aussitôt guillerette en pouffant de rire. Petite habitude qui fait la joie de notre entourage, notamment des hommes nostalgiques, amis de longue date de mon chéri. A croire qu'une petite dame qui réagit avec une pudeur rougissante à une allusion non équivoque fait le bonheur de pas mal de messieurs.

Bref, nous avons compris, avant de rejoindre mon coin, il convient comme forme de pénitence de me déculotter pour laisser libre vue sur mon fessier qui devient ainsi le symbole même de ma disgrâce.Exercice auquel je me plie avec... volupté. Contrairement à mon enfance et le processus de la sociabilisation, il s'agit de suivre une directive déculpabilisante pour m'adonner en toute impunité à un acte d'exhibition. Tandis que mon homme parle avec beaucoup de sérieux d'une mesure éducative qui vise une amélioration de mon comportement par la honte. Quelle hypocrisie qui donne un piment supplémentaire à notre petit ménage. L'émoustillement sexuel est autant sous-jacent chez mon homme que chez moi. D'où bon nombre de variantes de ma mise au coin.

Cela peut aller de la nudité intégrale aux positions qui ne laissent aucune place à la pudeur.

Par exemple avec mes jambes écartées en me penchant bien en avant quand mon « péché » a porté justement sur un usage de gros mots. Bien qu'il s'agisse de la même position qui sert à une prise de température rectale ou encore de prélude à un rapport qui enchante les vilaines filles comme moi, le fait de devoir me contenter d'une exhibition change la donnée. L'instant est propice à la réflexion. Sans oublier la douce exultation d'un regard indiscret qui me scrute dans le moindre de mes recoins.

Considérons la situation du côté de Monsieur. Impossible de nier la satisfaction narcissique que procure la présence d'une dame bien éduquée qui consent d'expier ses écarts de comportement en faisant humblement pénitence. Voila qui booste non seulement l'ego du mâle, mais aussi sa libido. Enfin, évitons toute sorte de moralisme envers de telles mises en scène. Je trouve qu'une féminité décomplexée n'a pas besoin de se cacher. Ou, pour adapter librement Katy Perry (que moi et ma fille adorons !) :

Ce n'est pas parce que vous êtes féministe que vous n'aimez pas le vice !