lundi 31 août 2015

758 Du plaisir de corriger une vilaine fille (Lundi cinéma)

Je déteste quand on m'annonce ma correction...

...avec un sourire moqueur. Cela me met hors de moi.

Voila qui parle en long et en large de la construction de mes petits et grands titillements. Voyons cela un peu en détail. Ma rationalité, impuissante envers le fantasme et ses méandres, essaye de racheter son honneur par une attitude insolente et quelque peu hautaine quand la petite voix de mon irrationalité a décidé que je mériterais une bonne fessée. Et comme c'est mon homme qui est censé de réaliser à la lettre les désirs de ladite petite voix, c'est à lui que je m'en prends.

Le pauvre, quelle place ingrate que je lui réserve !


C'est comme si je partais en guerre contre un immuable ordre établi à la maison - par mes soins et sur mon insistance ; voyez comme ce truc est vicieux - où règnent les bonnes veilles méthodes. Pour répondre à cette complexité psychologique, mon homme aime bien se parer d'un superbe air moqueur. Il ne se prive pas dans de tels moments de me rappeler à l'amiable avec un grand sourie jusqu’aux oreilles la présence du martinet à la maison.

Rappelle toi, isabelle dans cette maison règne un esprit de discipline !

Mais il a beau de pointer sur l'objet en question, rien n'y fait. Enfin oui, ce doigt dirigé vers l'instrument de mon déshonneur et censé d'améliorer mes mauvaises comportements, communique comme par télépathie directement avec ma petite culotte. Curieux mélange qui me rend encore plus insupportable féroce. Pendant que cela chauffe et mouille sous ma jupe, se prépare à l’extérieur un véritable orage. Par conséquence mon chéri a droit à tout. Mes pires effronteries et provocations.

Tu l'a cherche là, isabelle ?

Bien sur que je la cherche. Même si sur le coup j'ai dû mal à comprendre ce qui m'arrive. Comprendre que je suis en train de donner une forme mimique et verbale à mon excitation sous-jacente (et de nature sexuelle ; tss tss la vilaine, la voici) qui motive et accompagne mon inadmissible comportement qui dépasse toute mesure. Mon homme prend son temps pour réagir, mais j'ai la certitude qu'il réagira. Voila qui est rassurant. Seulement de me voir agir ainsi sous l'influence de mon besoin de punition ne le laisse pas indifférent. Et à mon grand chagrin, ou courroux plus justement, il ne m’échappe pas son amusement pour me rappeler à l'ordre. De plus la perspective de me corriger cul nu, pendant que je peste et vocifère, le tout en pédalant avec mes jambes en l'air le met d'excellente humeur.

J'en connais une n'a décidément pas dépassé l'âge de la fessée !

Il n'a pas tort. Il ne s'agit pas d'un appel d'un rustre, d'un homme d 'un autre âge ou d'un dominateur chevronné, mais de la petite voix au fond de moi qui réclame satisfaction de mon besoin de punition. Ben oui, j'éprouve le besoin de baisser sagement ma petite culotte et de me mettre en position pour une séance cuisante de martinet sur mes fesses. Conflit interne qui se manifeste sur moi par une réelle honte donc se délecte mon chéri.

Le malheur des une fait le bonheur des autres !

J'ai beau essayer de ne pas prendre aux sérieux les circonstances de ma fessée. Cela ne marche pas. Je me sens vraiment, voluptueusement vilaine fille. Et une fois de plus , j'éprouve l'impuissance de ma raison !

Je beau aussi savoir que le motif, la fameuse faute résulte d'une fausse morale qui me fait croire que je mérite une punition.

Rien ni fait. Voila qui est enrageant. Aussi enrageant que de devoir écouter le sermon de mon homme qui reproduit strictement mes incohérences en se moquant ouvertement de moi, reprenant les arguments de ma rationalité.

Je me sens terriblement mise à nu !

C'est bien pire que de baisser ma culotte. Puis arrive la fessée. La douleur fait taire mon irrationalité qui – pleinement satisfaite - ne me harcèle plus.

Et ma raison ?

Hein ben, elle s'est fait - comme on dit si joliment - une raison de mon étrange fonctionnement depuis longtemps...

vendredi 28 août 2015

757 Liens de discipline domestique (180 ème édition)

Au menu cette semaine : Un truc de filles

Faire la maladroite (petit clip)

La vie d'une fille comporte de drôle de constats. Quasiment impossible de trouver un garçon pour jouer à la poupée quand on est petite. Je ne pousserai pas à parler de stéréotypes, mais c'est plutôt la nature de l'activité qui ne leur convient pas. Par contre, à l'âge adulte les partenaires pour jouer à la poupée vivante ne manquent pas. De plus, c'est une activité socialement revalorisé pour un homme de bien savoir de s’occuper des filles. Et voilà, le terrain du stéréotype nous guette encore. Surtout quand le jeu met en scène une dame ostensiblement maladroite. Ce n'est pas un truc qui marche avec tous les hommes, mais il y en a qui sont sensibles aux dames maladroites. Je pense que c'est le côté rassurant qui plaît et la notion sous-jacente d'un appel au secours. Puis sur un point de vue pratique, il est impressionnant de constater l'effet sur la libido de son chéri. Bref il y a toutes les ingrédients pour une soirée réussie. Tout va bien alors dans le meilleur des mondes.

Seulement ces amusements en couple semblent déranger certaines personnes.

Non, non, ce n'est pas un effet de l'actuel climat du politiquement correct. D'après ce que j'ai compris, ce n'était pas mieux à la grande époque de la révolution sexuelle dans les années 70. La dame qui osait aguicher le monsieur avec une panoplie d'originalités passait mal. Il fallait plutôt se restreindre aux trucs du « sexe à papa » comme l'amour en plein air (que j'adore d'ailleurs!), en groupe (qui ne me dérange pas dans le principe, mais qui m'excite autant qu'une partie de scrabble), entre filles (qui ne manque pas de charme non plus) etc. Donc une époque que je ne regrette pas de ne pas avoir connue. Personnellement je suis très contente d'avoir vécu la réhabilitation du porte-jarretelles, l'arrivée de l'épilation intégrale ou récemment l'introduction du S/m - celui qui plaît aux filles - version cinquante nuances avec menottes en peluche rose.

Quant à moi, j'adore les jeux de la maladroite, mise en scène vraiment ludique et théâtrale pour surprendre mon chéri.

Quand la fessée y intervient (ce qui n'est pas systématique), elle se fait à la main. Je suis littéralement troussée par mon homme qui savoure chaque dévoilement et prend son temps pour mettre à nu pas à pas mon fessier. Ma fessée ne vise ni un relâchement d'une tension intérieure par les larmes, ni un douloureux appel à l'ordre. Nous restons dans un registre fort sonore, visant une agréable brûlure de mes fesses qui se propage pendant l'acte lentement dans mon entrejambe pour me laisser toute pantelante. Ensuite j'adore exercer mon pourvoir érotique sur mon homme par le biais de mes fesses rouges en me sentant pleinement vicieuse, mais en lui laissant l'initiative pour la suite du programme...


« Une vraie fessée doit faire mal. A cet effet, elle doit être appliquée sur les fesses nues, ce qui fait du déculottage un préliminaire incontournable.»

Visiblement le monsieur qui vient de mettre ce nouveau site en ligne maîtrise le langage aussi bien que la photographie. Voila qui donne de nouveaux points de vue sur toute la ligne et le résultat me plaît beaucoup. J'étais donc enchantée de découvrir ce lien en début de semaine dans ma boite mail. Espérons qu'il y aura un suivi d'une aussi grande qualité...

« La fessée érotique, ce sont deux adultes qui décident, pour quelques instants, de quitter leur personnalité et leur habit social habituels pour entrer dans une autre dimension, secrète, où leurs désirs de domination et de soumission, de punition, de discipline, d’abandon de soi s’entremêlent dans une confusion vaporeuse. »

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !





















mercredi 26 août 2015

756 C'est la faute à Monsieur...

Le désir qui se cache derrière les mots

Il me dérange peu de faire du coin sous un œil attentif… de mon chéri.

J'ai dû prendre l'habitude il y a bien longtemps.

Penchons-nous un instant sur cette belle formulation. Elle s'emploie dans de nombreuses variantes dans la discipline domestique pour se déculpabiliser de ses propres rêveries. C'est ainsi que le partenaire endosse le mauvais rôle du père fouettard intraitable. Je suis obligée, forcée, censée... Il m'ordonne, m'impose, il exige... Au premier coup d’œil la vie d'une dame dans la discipline domestique est peu enviable. Il est peu étonnant donc que soit l'on la considère comme une cruche, soit comme une femme victime dont le monsieur abuse ouvertement.

Pour s'approcher de la vérité, il faut décoder.

Ces formulations font partie de la construction du plaisir (dans le sens d'excitation):

C'est la faute à mon homme que je me trouve exposée au coin !

Grand soupir de volupté! Déjà l'agrément que quelqu'un s’intéresse autant à mes fesses me va droit au cœur. Parfois j'ai dû mal à y croire. Il ne se lasse pas depuis presque 17 ans. Puis, avoir le droit, non, mieux encore, être obligée (ah quelle pauvre fille sous l'emprise d'un homme vicieux!) de tendre effrontément humblement mon fessier tout nu pour créer du désir chez la personne que j'aime faire ma pénitence.

Ajoutons que ce repos imposé me fait beaucoup de bien, car je suis une personne perpétuellement en activité avec grand mal pour m’arrêter. De toute façon dans pareille posture, le fait d'avoir les fesses rouges ou pas ne change pas grand-chose.

Le ridicule ne s’arrête pas à ce détail et de toute façon c'est encore la faute de mon homme...

Notons que le retournement de la situation existe bel et bien aussi. Il suffit de lire bon nombre de textes masculins pour se régaler d'une multitude de variantes autour de « c'est sa faute à elle », « elle l'a bien cherché », « c'est elle qui le veut », « elles ne cherchent que cela » etc. J'en parlerai une autre fois !

lundi 24 août 2015

755 Ces dames en uniforme qui donnent la fessée (Lundi cinéma)

Difficile de mieux souligner le caractère punitif de notre passion !

Il y a de petits clips qui me font démarrer au quart de tour. Ma volupté se lie rarement à la technique ou à la douleur infligée, mais se nourrit surtout de belles situations dans lesquelles la fessée me paraît comme une conclusion idéale. Comme si ce châtiment, vieux comme le monde, satisfaisait mon sens de justice par exemple. On a compris, je ne cherche pas forcement les sensations physiques dues à l'impacte d'une main sur mes fesses dans cette pratique, mais ...

... le frisson que me procure l'idée d'un juste châtiment.

Voila qui s'exprime verbalement par « une fessée bien mérité » et quand mon homme lâche parfois un des ses célèbres « Mériterait bien une », je suis bien souvent de son avis. Mon corps aussi d'ailleurs et en rentrant à la maison je peux me montrer particulièrement câline. Notamment quand je ne supporte pas la personne à qui mon homme a souhaité une fessée. Dans ce cas c'est même doublement jouissif.

Il m'arrive aussi assez souvent quand je vois un flagrant incivisme de penser à la fessée.

Un fâcheux incident de la vie quotidienne se transforme en source de plaisir. J'éprouverais sans le moindre doute une volupté sans pareil si de telles situation débouchaient sur une claquante correction bien méritée. Avec pour comble « d'extase », comme dans ce clip la punition infligée par une dame en uniforme. Certes, je fais la part des choses entre ma fantaisie et la réalité de la vie, mais rien n'interdit de s'agrémenter ses journées en rêvant un peu. D'ailleurs je ne dois pas être la seule de me réjouir de telles fantaisies justicières. Sinon comme expliquer le succès de Zorro, Batman, Superman etc qui - en portant un uniforme!- se chargent de donner une issue voluptueuse à notre soif de justice. Idem pour les super-héroïnes dont j'ai déjà parlé ici. Bref, ces personnages, inventés pour réparer les injustices de la vie qui fâchent, font la joie de millions de personnes.

Alors pourquoi serait-il ridicule de se réjouir d'une pervenche en uniforme qui fessée un dame pour stationnement gênant si d'autres se réjouissent des messieurs en baby-gros qui sauvent le monde ?

vendredi 21 août 2015

754 Liens de discipline domestique (179 ème édition)

Au menu cette semaine : Les soucis de ces petites dames


Un homme qui connaît les rêveries des dames

J'ai eu un coup de foudre pour le travail de JPC il y a presque dix ans déjà. Pour moi il n'y a aucun doute, il sait récréer un univers qui convient à bon nombre de filles. Et le hasard n'y est pour rien. Il suffit de lire un des ses (malheureusement trop rares) textes pour comprendre qu'il sait aussi mettre les émotions féminines en mots. Il fait bon vivre dans son petit monde dédié à la fessée surtout parce qu'il arrive à se passer de tous les clichés BDSM. Et cela, c'est un vrai exploit ! Pour ma part je dirais tout simplement qu'il il est plus élégant et efficace (pour le lâcher prise, les larmes, l'abandon etc) de ne pas négliger une fessée pour le narcissisme (qui le mérite bien!) de la dame avant de se lancer littéralement dans une épreuve de force. Il est largement connu que bien de dames ont la peau des fesses dure, mais s'il y a un refus de jouissance plus ou moins inconscient, il s'agit peut-être avant tout d'un phénomène d'entêtement donc purement cérébral...


Au début dans ma vie de couple je forçais un peu la main de mon homme si j'ose dire. Alors j'inventais tout genre de situation comme celle que montre la petite animation. Le tout avec un succès foudroyant. Soit je recevais une belle claque sur les fesses :

Tu me déconcentres isabelle...

Soit mon homme devenait câlin et mes surprenait (comme prévu quoi!) par sa main baladeuse. Puis au fil des années ce genre d'exhibition glamoureuse est devenue ma seconde nature. Je prend les poses les plus suggestives et lascives de manière parfaitement naturelle quand je suis en train de téléphoner sur mon canapé. Par contre ce qui n'a pas changé, c'est l'enthousiasme de mon chéri de me voir ainsi :

Je crois que tu te rends même plus compte, isabelle...

Ben oui, comme il me connaît bien !


Un air de plage, de chaleur et de vacances certes, mais inutile selon moi de se cacher dans le dunes en espérant de devenir témoin d'une telle scène entre filles. A moins de tomber sur un tournage de clip comme ici. J'adore les fessées bonne humeur entre filles, mais il me semble plus difficile encore de trouver une copine sur la même longueur d'onde que d'un monsieur passionné par notre sujet...

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !

























jeudi 20 août 2015

753 Le malheur des uns...

Quand la punition d'autrui devient source de plaisir

La moquerie fait partie de ces puissantes émotions qui font déjà comprendre aux enfants ...

...où se trouve l'un des portails qui amène vers les sensations voluptueuses.

En ce sens, il ne me semble pas un hasard que les lectures de la Comtesse de Ségur sont hautement appréciées par tant de filles. Il est facile de s'identifier avec les mésaventures de Sophie et en restant pur spectateur d'affronter les conséquence de certaines actes sans risquer grand-chose pour la peau de ses fesses. Sans oublier de me réjouir de mon propre comportement de fille sage qui vit une volupté particulière quand elle observe ce qui arrive aux filles pas sages.

Bien fait pour elles !

Avec comme sous-entendu de pure jalousie...

...si j'avais le courage je ferais pareil...

...mais bon, hélas je suis une fille sage. Enfin, et là nous arrivons à une troisième famille de sensations voluptueuses, la lecture de la divine comtesse fertilise l'imagination et subitement on commence donc à se poser la question ce qui arrive concrètement à Sophie pour ses écarts du droit chemin. Que la fessée s'applique déculottée fait partie de la connaissance de presque tous les enfants, même ceux qui comme moi n'ont pas connu ce châtiment dans leur enfance. Phénomène déclenché par des menaces entendues par ci et par là. Sophie tombe donc à pic à un moment où se développe la pudeur et pimente l'idée d'une nudité imposée, bien que partielle, par le déculottage. Ajoutons à cela un acte punitif physique, suggère « innocemment » par le mot fouet, mais interprété par moi plutôt dans le sens d'une fessée à la main.

Voila tous les ingrédients réunis pour rendre plausible la genèse d'un authentique fantasme de fessée.

Mais en réalité les choses ne se sont pas passées aussi simplement chez moi. Car déjà mes émotions autour des malheurs de Sophie ou toute autre filles réelle, imaginée ou de provenance d'un univers littéraire ne datent pas vraiment de mon enfance, du moins pas aussi explicitement exprimées. Ma vraie prise de conscience s'est faite à l'adolescence quand j'étais déjà sur le chemin vers l'univers des princes charmants. Étant encore peu à l'aise sur ce terrain...

.j'aimais me réfugier dans les histoires de fessée, car elles contenaient quelque chose de rassurant pour moi.

Et la fessée intervenait comme châtiment pour ce que j’imageais se passer entre un prince charmant et sa princesse. Le tout sous un nom de code : Rentrer trop tard le soir à la maison. Bref mes rêveries ne se privaient pas d'amalgames, ni d'incohérences de toute sorte. D'où la raison pourquoi par exemple la poésie de la fausse écolière en jupette et soquettes passe comme une lettre à la poste quand je regarde un clip. Car bien évidement je ne cherche pas non plus la cohérence dans les fantasmes des autres. La seule chose qui me révolte, c'est un réel abus d'autrui...

lundi 17 août 2015

752 Le plaisir de fesser (Lundi cinéma)

Les dames, auraient-elles une autre conception du plaisir que les messieurs ?

J'aime quand les dames qui appliquent n’hésitent pas à afficher leur enthousiasme avant, pendant et après une bonne fessée. Pas besoin de justifier la main qui démange. Nous sommes dans un registre de la joie de vivre à l'état pur qui se communique au spectateur. Pas besoin d'un long et inutile discours sur le plaisir dans le sens de la jouissance de la partenaire. Tout le monde le sait, une fessée fait mal et il me semble fort hypocrite de chercher des prétextes pour un sadisme mal assumé. Dans ce clip, c'est chacune pour soi et l'absence de volonté de donner une orientation explicitement sexuelle à ce qui se passe, enlevé cette pression de devoir jouir à tout prix, imposée bien souvent par les bonnes intentions d'un monsieur.

Comme si ce dernier souhaitait soumettre la dame une manière particulière d'atteindre l'extase.

Cette « alchimie » ne prend que rarement dans les clips et les efforts de la mettre en place se montrèrent sur les visages crispés des protagonistes. Mieux vaut d'entrée mettre les prétentions de côté. C'est un peu comme dans la vanille quand on tombe sur un monsieur calibre veni, vidi, vici qui peut facilement être la cause du célèbre « mauvais quart d'heure » que passe la dame.

Ici, la rivalité féminine se montre sous forme d'un rapport de force par un contraste habillée/toute nue. Elle livre une tension sous-jacente qui se décharge autant pour l'une que pour l'autre dans l'activité claquante. Et il semblerait qu'elle s'exprime de manière plutôt joyeuse, triomphe du narcissisme oblige. Rien à voir avec l'ambiance « guerre des sexes » qui caractérise souvent les constellations dame et monsieur. Voila qui change de la soupe à la grimace ou encore d'une allure de constipation de première ordre.

A croire que certains messieurs n'osent pas exprimer en toute innocence leur joie de pouvoir claquer un fessier féminin.

Attitude de plus frustrante... pour ces dames qui trouvent leur compte dans le plaisir qu'éprouve « leur grand garçon ». Malheureusement le fesseur joyeux semble une espèce rare. Par conséquence on trouve peu de matériel en ce sens. Soit on tombe sur du hyper technique, soit du hyper long, soit du « hyper intense ». Mise à part la douleur, on cherche vainement le déclic qui prépare la dame à l'absolution de son besoin de punition.

Certes la douleur est indispensable, mais n'oublions pas que l'on puisse aussi expier les mauvaises vibrations dans la joie et dans la bonne humeur.

Bref, j'ai un faible pour cette dame résolument moderne, souriante et fort à l'aise d'appliquer une fessée à l'autre dame. Une fessée certainement intense en écoutant la sonorité qui se dégage des claques. Puis un joli interlude à la main. Le tout est fait avec beaucoup de savoir faire et...

...il se peut bien que la dame qui se fait corriger ressente vraiment ce feu sacré qui donne à la fessée son inimitable note d'érotisme.

C'est du moins ce qui apparaît sur son visage...

vendredi 14 août 2015

751 Liens de discipline domestique (178 ème édition)

Au menu cette semaine : La mauvaise langue


Une réputation de mauvaise langue... moi ? Un peu, beaucoup, à la folie.

Il y aura tant de choses à dire sur « l'histoire » que raconte ce clip, en négatif je veux dire, mais j'aime bien l'ambiance entre filles dont l'une avec une vraie attitude « tête à claques ». Passons sur sa tenue. Peut-être je n'y connais pas assez à la dernière mode entre jeunes. Mais concernant son comportement, je comprends bien que la main puisse démanger l'autre dame. Et subitement, comme s'il s'agissait de la chose la plus naturelle au monde apparaît la fessée.

Comme si elle avait encore cours et s'appliquait en cas de besoin aux jeunes dames déjà adultes.

Bien évidement se trouve dans cette maison un instrument de correction, un joli strap souple qui évite à la personne qui corrige d'avoir mal aux mains. Ce strap produit une belle sonorité caractéristique et je pense sans qu'il y ait a aucun moment un sentiment d'abus sur fesses dans ce clip, qu'une bonne dizaine de claques avec un tel instrument rétablit facilement l'autorité à la maison. Là je parle de moi, car bien évidement mes fessées « grand spectacle et hystériques » restent réservées aux grandes occasion. Au quotidien c'est bien souvent le rappel à l'ordre.. puis la vie continue. Sans oublier toutefois de passer par la case du coin.


Sex implique le corps, le super coup implique l'esprit

Pas si vite mon coco ! Chaque chose en son temps. Moi j'adore blablater sur le sex la fessée, façon midinette ou hyper intellectuelle selon mes envies, mais en aucun cas j'implique mon esprit dans mes réussites « coïtales ». Je m'envole sans avoir regardé la destination parce que je fais confiance au pilote. Veut dire que je mets mon cerveau en mode off. Par conséquence je ne suis pas sensible à la sexualité ésotérique qui prétend - à tort ou à raisons - de connaître les ingrédients du bonheur ou plutôt de la superbe jouissance. Je suis satisfaite avec ce que je vis sans me poser des questions d'un mieux ou d'un autrement...


J'adore ce petit meuble pour faire du coin. Cela me changerais de mon superbe coussin qui me sert dans tout genre d'occasion quand je dois poser mes genoux parterre. Par exemple pour me confesser ou encore pour me glisser sous le bureau de mon chéri. Comme d'habitude je m’intéresse aux objets du décor et aussi aux vêtements de la dame. A croire que mes priorités sont parfois bien étranges.

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !

Une longue fessée (petit clip)
























mercredi 12 août 2015

750 Un intellectuel qui aime la fessée

Pas évident de trouver un partenaire, même si on sait ce que l'on veut

J'ai eu depuis mon adolescence une attirance pour les intellectuels qui savent en plus bricoler. Puis accomplir mille et une chose qui agrémentent la vie d'une dame. Il en va de soi pourquoi j’attache de l'importance à la habileté des mains. Et ceci n'est pas que pour la fessée. Selon moi, il n'est pas un luxe pour un monsieur de savoir masser une dame par exemple, ni de changer un carrelage de cuisine ou un robinet dans la salle de bain. Voila, j'ai des idées larges à ce sujet.

En gros, les intellectuels sont comme tout le monde et malgré une instruction de tonnerre certains se trouvent devant le douloureux constat que le savoir ne protège pas devant les profondeurs fantasmatiques qui peuvent hanter une existence humaine. D'où le plaisir d'une coquine et coquette dame de faire perdre ses moyens à un craquant et érudit monsieur en lui tendant effrontément son fessier pour récolter quelques claques savoureuses.

J'aurais jamais cru qu'un jour...

Toi non !

Là je parle à son intellect.

On devrait pas...

Mais ton conjoint sous ton caleçon il en crève d'envie !

Là je parle à son pantalon bien tendu. Ce fameux pantalon tendu qui ne semble d'ailleurs pas faire partie de bien de discussions sur la fessée. Style monsieur qui essaye généreusement de se faire passer pour un serviteur au désir de la dame. Si, si je n'invente rien. Cela existe. Ou encore un qui suit à la lettre les conseils de sa maman de ne pas donner une tape sur les fesses d'une fille.

Bof, pas sexy un type qui n'ose rien !

Moi je n'aime ni les lécheurs de bottes, ni les inhibés formatés.

Moi, ce qui me fait craquer, c'est un monsieur un peu gêné qui essaye de cacher la bosse sous son pantalon.

Celui qui en me déculottant frôle par vraie mégarde mon fessier avec la cause de ladite bosse. Celui qui me penche sous son bras pour que je ne découvre pas la dure réalité de ses pensées pas chastes. Cette petite touche du chef qui m’électrise et qui me fait comprendre que j'ai un vrai homme devant derrière moi. Et en même temps un gentleman qui ne confond pas le désir de la dame d'une bonne déculottée avec une invitation à la débauche. Enfin ce dernier désir existe aussi, mais il vaut mieux ne pas mélanger les registres avant de ne consulter la dame.

Bref j'ai un faible pour les messieurs de tête qui se laissent déstabiliser par les charmes de la dame !

Un peu comme quand j'étais ado et un de mes princes charmants, en dansant le slow avec moi, fut dépassé par ses émotions. Un peu comme quand j'étais célibataire et le monsieur en glissant sa main sous ma jupe découvrait à son grand émerveillement le haut de mes bas tenus par un vrai porte-jarretelles.

Mais isabelle vous portez...

Vous n'aimez pas ?

Audacieuse ? Ben oui, j'aime être audacieuse devant le monsieur de mon cœur ou plutôt à l'époque devant un monsieur « coup de cœur ».

Le tout en revenant de récolter pour mon audace une bonne fessée.

Vu le profil esquissé dans ce texte, on comprend que j'ai mis du temps à trouver un qui a su prendre son courage en main...

lundi 10 août 2015

749 De la fessée scolaire (Lundi cinéma)

L'école produit-elle parfois de fantasmes sadiques ?

Je pense que pour assister à une solide fessée scolaire, il faut être inscrit à l'école fantasmatique qui regroupe les adultes avec un faible pour les châtiments corporels. Dans la réalité, je ne crois pas dans de tels « établissements » où de jeunes adultes - comme suggère le clip - acceptent une discipline de fer. Même à une époque reculée que l'on disait favorable à la fessée, je doute que les choses se passaient aussi méthodiquement. S'ajoute que je n'ai jamais vu dans ma carrière scolaire une prof aussi caricaturale, ni une élève avec une aussi coutre jupe.

Toutefois, les récits sur le net décrivant de méthodiques fessées scolaires ne manquent pas.

Je ne vais pas perdre ici notre temps pour évaluer la véracité de ces sources, mais considérer brièvement l'élément de la véracité même.

Il existe de constructions fantasmatique qui veulent à tout prix que la fessée décrite soit vraie.

Comme (rassurante) confirmation par exemple de leur hypothèse enfantine, veux dire que la vie sexuelle des adultes se passe bien comme eux l'ont imaginés et non autrement. Qu'elle contienne l'élément de la fessée sous forme de préliminaire, ne serait-ce que pour se mettre en phase avec le ou la partenaire pour explorer ensuite des chemins de traverse.

Pour ma part, je m'en tape complètement quand le lis un récit, s'il s'agit d'un authentique vécu ou d'un produit de l'imagination. Je suis plutôt attirée par la valeur distractive d'une histoire et surtout par le désir qui se cache derrière les mots. Ce qui saute aux yeux dans bien de jolies histoires, c'est un amour pour les détails, souvent même les petits détails, décrivant ainsi de A à Z un plus ou moins complexe rituel. Et si on considère à tête reposée, ce qui arrive à la personne punie, il est impossible de ne pas être impressionné par la charge... sadique.

Car fait est qu'il s'agit sans exception de sacrées déculottées.

Rentrent également dans ce genre les histoires du type « vacances studieuses sous stricte surveillance », « puni/punie pour mauvais carnet de notes » ou encore « méthode forte pour guérir la fainéantise ».

Je vais donner maintenant ma version personnelle du développement vers la ritualisation. Quand j'étais à l'école, certains cours me paraissaient particulièrement longs et pour mieux passer le temps j'ai pris vite l'habitude de m'évader dans ma fantaisie. Il y avait deux familles d'histoires. Les belles histoires et les vilaines. Entendons par vilain un scénario purement masturbatoire et par beau un envol romanesque qui couvre les éléments vilains par une action au premier abord « noble ». Avant la puberté, très fidèlement à ce que décrit Anna Freud, mes rêveries à yeux ouverts prenaient vite une tournure « belle histoire ». Par contre une fois la puberté arrivée, le choix entre belle et vilaine histoire, se penchait vite vers ces dernières. Certes, il y a avait une petite culpabilité :

Allons, isabelle, qu'est-ce que ces vilaines pensées ?

Mais la chair emporta facilement sur les bonnes résolutions et me voilà en train de m’émoustiller sur ma chaise en faisant semblant d'être présente aux cours. Il en va de soi que le cadre scolaire ne permettait pas les mêmes facilités que l'ambiance le soir sous ma couette.

Alors par défaut d'activer la vilaine main, il fallait compenser par le raffinement du scénario.

C'est à cette époque-là que s'est glissé dans mes fantasmes l'amour pour les détails et les nombreux rebondissements pour maintenir mon excitation à un niveau de plus plaisant.

La ritualisation élaborée dans mes rêveries, cette belle nuance de raffinement sadique, était donc... un produit de l'immobilité imposée par d'école !

Et voilà qui correspond parfaitement avec la vocation de l'école. Détourner l'enfant de ses pulsions de bouger pour le contraindre à développer son activité intellectuelle...

vendredi 7 août 2015

748 Liens de discipline domestique (177 ème édition)

Au menu cette semaine : En vacances


Il fait un peu trop chaud pour mettre des bas en ce moment, mais il y a au moins 8 mois dans l'année pour en porter. Et j'en profite... parce que cela plaît à mon chéri et parce que moi, je me sens... terriblement sexy. Sentir est les juste mot pour décrire l'agréable sensation quand un petit souffle d'air s'égare sous mes jupes ou robes. Notamment quand je me promène avec une persistante brûlure d'une fessée toute fraîche. Quand les personnes qui connaissent peu me trouvent particulièrement dynamique et ceux qui me connaissent bien...

...trouvent que ce jour-ci j'ai encore le feu aux fesses.

Par bon goût j'entends d'abord le mien et celui de mon homme. Puis celui de ses adorables copains que j'appelle les hommes nostalgiques. Mon chéri, en digne homme nostalgique adore faire de longs voyages en charmante et élégante compagnie. Il adore prendre un petit café, voire une repas selon l'heure avec moi quelque part dans le »no mans land » et aussi que des regards se posent sur mon auguste personne. Et il adore de me rappeler à l'ordre quand mon comportement laisse à désirer :

Le port des bas ne te dispense pas de la fessée, jeune dame !

Il est vrai que je me sens particulièrement honteuse quand je dois troquer mes jolis porte-jarretelles et bas contre de longues chaussettes blanches. Mais cela passe comme une lettre à la poste dans mon entourage qui voit dans cette tenue mon attachement aux coutumes vestimentaires allemandes.

Enfin, je ne me montre pas toujours capricieuse. Et je ne souhaite pas que l'attention de mon homme à mon égard se limite à la fessée. Bref, mon chéri se montre fort inspiré pour me trousser délicatement quand je porte une jupe droite, pour me pencher ensuite sur le capot de la voiture. Ce qui fait un effet de bas bien tendus. Petit interlude avec un frisson bcbg qui prouve qu'il n'y a pas que la fessée dans la vie et aussi qu'il faut savoir montrer de la manière la plus classique...

...qui prend les décisions vraiment importantes dans le couple.

Mais surtout que le désir reste toujours au rendez-vous, malgré une très longue route déjà parcourue ensemble.


Voila une position qui n'est pas accessible à tous le monde !

Cela reste plutôt dans une gamme érotique spectaculaire qui ne laisse aucun secret ouvert sur les détails anatomiques de la dame. Obscène pour les uns, excitant pour les autres ou encore typiquement humain pour d'autres. Honi soit qui mal y pense !

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !



Un air de discipline domestique (Suivez les flèches)




















mercredi 5 août 2015

747 Confidences sexies

Il n'y a pas que l'oreiller pour en faire !

Mon goût pour les petites confidences sexy dans un lieu neutre date peut-être du temps quand j'étais encore célibataire. C'était toujours édifiant dans un petit et discret restaurant, assise devant mon nouveau amoureux, de tester sa susceptibilité à la magie qu'éveillent les mots. Sa capacité d'imagination verbale pour s'accorder en vue de futures réjouissances.

Faisant partie des dames à « l'ancienne », celles qui lient l'érotisme à l'amour, ce petit test me permettait de ne pas perdre mon temps avec un « pas sérieux », seulement en quête d'un plaisir fugace. N'ayant rien d'une fille passive, j'aime bien prendre initiative. Mais contrairement aux apparences, je ne souhaite pas forcement décider de tout. Certes, il y a des trucs qui me laissent indifférente comme les clubs , l'échangisme entre couples ou encore le sexe en groupe. Ces pratiques sont associées dans ma petite tête la sexualité des années 70 qui n'a rien pour me séduire.

Mon chéri aussi est passé par ce test... à maintes reprises. Un soir, je suis arrivée au rendez-vous « en tenue de combat » prétextant de venir directement après une réunion de travail. Tailleur jupe de couleur neutre, chemisier uni et lunettes d'écaille pour une apparence très sage et professionnelle. Allant vers le mois de novembre, je lui ai fait voir sous ma jupe droite de longueur convenable ce qui lui semblait comme un « banal » collant couture, mais qui était en réalité un collant ouvert. J'ai vu mon chéri un peu déçu, en cherchant en vain les petits plis autour de mes chevilles. Toutefois il comprenait bien que je ne souhaite pas « aguicher » sur mon lieu de travail. C'était un joli point en commun pour débuter la soirée. Cet obstacle ne l'a pas empêché de faire le tour du propriétaire, en glissant dans la voiture, à l'occasion d'un feu rouge, sa main sous ma jupe en découvrant la vraie nature de mon collant. Je l'ai vu pester un peu, en me chopant un fou-rire quand il m'a expliqué longuement qu'il n'aime pas que l'on fasse les choses à moitie.

Fontaine, je ne boirais pas ton eau !

Fait est que mon collant a eu le temps de s'incruster dans sa tête tout au long de notre repas, me prouvant ainsi que la disposition polymorphe perverse n'est pas qu'un privilège des filles. Pendant le repas j'ai commencé à lui faire du pied sous la table. Le pauvre, il ne s'attendait pas du tout. Et pendant que je lui parlais de mon travail, j'observai avec curiosité sa difficulté de dissimuler le trouble qui s'emparait de lui. Moins provenant du sujet de ma conversation, bien entendu, mais de mes petits frottements à grand effet, en jugeant l'état de ce qui se trouve sous son pantalon. En fait, mon homme est un grand timide. Il a horreur de se donner en spectacle (expression qu'il affectionne!) et encore moins d'en être forcé. Bref même sous une table, une belle bosse sous son jeans le gêne dans le sens que quelqu'un puisse deviner son excitation procurée par ma présence.
Et moi j'adore quand son joujou se montre susceptible à mes charmes.

Alors encouragée par les signes qui ne trompent pas, j'ai profité pour tenter un gros coup. Il n'a pas compris tout de suite pourquoi je gigotai autant sur ma chaise.

Mais qu'est-ce qu'y t'arrive isabelle ?

Tu ne le vois pas ? J'enlève mon string !

J'ai vu dans ses yeux son attention au plus vif. Peut-être sommes-nous là dans l'essentiel d'une relation charnelle entre deux personnes. Quand dame nature dépasse notre raison et s'impose avec une force qui balaie tout sur son chemin. Quand subitement la question si je porte mon string
sous un collant ouvert ou par dessus devient la plus importante de toutes. Bien échauffé, il m'a fixée en me disant :

T'aurais pas besoin qu'on te siffle la marche, isabelle ?

Aussi étrange que cela puisse paraître, c'était exactement ce que je souhaitais entendre. Surtout l'impact de cette introduction rehaussé par quelques réflexions sur ces insolentes filles, aguichant un monsieur sans la moindre honte. Voila qui me fait de l'effet que l'on me montre les limites du bon comportement.

Une fille bien éduquée n'enlève pas sa culotte dans un restaurant !

On comprend que la séduction, mode fessée, aime prendre un petit détour avant de se transformer en vanille passionnée. Ben oui, mon chéri a tenu parole. En rentrant chez lui, il m'a fortement sifflé la marche sur mon popotin sans oublier de me surprendre par son imagination pour créer un instant inoubliable. J'en parlerai une autre fois...

lundi 3 août 2015

746 Une fessée dans la règle de l'art (Lundi cinéma)

On dirait une réalisation d'un de mes fantasmes de jeune fille...

...et en jugeant la couleur du popotin de la petite dame, ce bienveillant monsieur qui applique cette fessée ne pas fait semblant. Voila qui suggère que la punie ne l'a pas volée celle-là ! Quand j'étais ado il ne me fallait pas plus que l'évocation d'une telle situation pour broder une jolie petite histoire sous la couette ou aux yeux ouverts en attendant un bus. J'imaginais le méfait et sa découverte, le sermon et le verdict, afin que d'affronter les conséquences de mon comportement.

La mise en scène de ce clip avec un décor de plus simple ne vise pas (au premier abord) un comble d’extase érotique, mais une satisfaction psychologique.

Voila qui montre qu'il existe bien des fantasmes de fessée qui expriment une recherche de plaisir et d'autres une recherche de punition.

Seulement, il me semble rare que l'on rencontre chez une personne exclusivement l'un ou l'autre versant. Mais avant de me pencher sur ce choix qui implique une certaine maturité en matière de rêveries, j'avais un fantasme préparatoire en quelque sorte. J'imaginais une de mes copines, celle qui m’agaçait le plus à ce moment-là se prendre une bonne déculottée par...

...par qui enfin ? En fait, cela m'importait peu.

Père, oncle, un monsieur de l'entourage, le personnage du monsieur restait flou et souvent je ne prenais même pas la peine de lui attribuer un physique. Par contre j'aimais détailler soigneusement ce qui arrivait à ma copine. Qu'on lui trousse sa jupe ou lui baisse son jeans, suivi de la petite culotte qui descendait aux chevilles. Il en va de soi que je ne perdais pas de temps non plus à l'élaboration de la petite culotte, style couleur, modèle etc.

Seul m'importait l'action de dénuder son fessier !

Cette évocation me provoquait une fort émoustillement. Je me nourrissais voluptueusement de la honte qui était censée vivre ma copine. Puis je me languissait d'entendre enfin tomber les claques. Cette sonorité si caractéristique d'une bonne fessée éducative appliquée sur le cul nu.

Ce fantasme me servait de prendre courage pour me projeter moi-même sur les genoux du monsieur sans visage.

Et le plus que mon corps s'échauffait pendant cette rêverie, le plus je souhaitais les claques fortes et douloureuses. Comme s'il y avait un rapport entre intensité de la fessée et sensations voluptueuses. Une fois glissée dans le rôle de la punie, j'ai commencé à me poser la question avec qui réaliser mon fantasme de fessée. Je me suis donc vue devant l'importante question de donner un physique au monsieur censé de s’occuper de mon popotin.

Et là encore c'est la psychologie qui a devancé le physique.

J'ai toujours gardé un faible pour un monsieur qui se moque de « mon malheur ». Qui prend un malin plaisir de m'annoncer mon châtiment avec le sage conseil de m'en prendre exclusivement à moi et de mieux me comporter la prochaine fois. Pourquoi pas comme dans ce clip une sacré différence d'âge, mais au fond deux esprits jeunes qui se rencontrent en perpétuant une vielle tradition disciplinaire. Notons que le plaisir du monsieur dans ce clip se construit autour du déplaisir infligé à la jeune dame. Constellation que je trouve fort émouvante et qui est indispensable à mon propre plaisir...