vendredi 28 avril 2017

1000 Liens de discipline domestique (268 ème édition)

Au menu cette semaine :Spécial otk pour mon millième post !


Certaines personnes avaient un penchant pour la fessée avant de connaître quoique ce soit à la sexualité !

Traduction très libre, mais de plus proche au sujet dont l'aspect le plus important est peut-être le fait qu'il confirme la fameuse sexualité prégénitale des enfants. Ceci dit j'ai personnellement l'impression que les rêveries voluptueuses sur la fessée ne sont pas la règle et existent en maintes variantes. Par exemple la fessée peut hanter l'imagination sous forme menaçante ou angoissante. Quoiqu'il en soit, c'est avec la venue de la génitalité à la puberté que le fantasme se met confortablement en place. Alors l'idée de passer sur les genoux d'un charmant monsieur devient une alternative à la vanille. Situation difficile à vivre ou du moins à accepter pour bien de personnes.

Personnellement je vois dans la fessée déculottée sur les genoux d'un homme, de préférence le mien, une constellation hautement chargée d'émotion. Et rien que le fait de me voir menacée dans une situation de plus banale d'une bonne correction chamboule toutes mes pensées pour me mettre dans un état de joyeuse excitation. Élément important pour moi, car je ne cherche pas des états de crainte. Le déculottage comble mes aspiration exhibitionnistes par un subtil mécanisme déculpabilisant. Être forcée d'accomplir mon désir.

Au plus tard à ce moment je sens ma fessée à venir pleinement méritée.

Quelle idée aussi d'aguicher effrontément avec ma nudité fessière au lieu de me repentir humblement de ma faute. Puis il y a un suspense qui s'installe sur la forme d'application de ma pénitence. Mon homme va au feeling pour satisfaire au mieux mon besoin de punition. Pour ceci il guette soigneusement mes réactions sans toutefois oublier la quintessence de la fessée punitive :

Selon lui et... selon moi aussi, elle doit faire mal ! Sans tomber dans l'abus.

Et si sur le coups je peux me mettre dans tous mes états proche d'une crise hystérique avec fortes verbalisations et larmes de colère qui se changent peu à peu en larmes qui font tant de bien, le vrai bienfait se montre pour moi au coin. Je me sens complètement détendue, pleine d’énergie et soif de vivre avec mes fesses brûlantes.

D'autres fois la situation est bien différente. La fessée sert tout simplement comme cocktail aphrodisiaque préparant une suite coquine sans la moindre retenue de ma part...

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !




Fessée et câlin (petit clip)






















vendredi 21 avril 2017

999 Liens de discipline domestique (267 ème édition)

Au menu cette semaine : La petite phrase qui tue !


Dit-il, mon chéri pur conclure le sujet. Calme, mais a haute voix. Je sais très bien ce que cela veut dire. C'est l'équivalent de :

Prépare déjà tes fesses isabelle !

Jeans ou tailleur, peu importe, Monsieur m'invitera à me déculotter avant de se consacrer à mon derrière. Habituellement cela se passe au martinet. Nous vivons en France et nous tenons à la tradition. Sauf quand il s'agit d'une faute grave. Dans ce cas nous avons recours à la badine à laquelle je me présente en costume de naissance.

Par exemple il m'est strictement interdit de me moquer de mon chéri en public à cause de sa pudeur exagérée. Hors de question par exemple que je fasse allusion lors d'un repas entre amis que sous son caleçon ne se trouve pas le moindre poil. Fesses y compris. Même si d'autres messieurs parlent sans complexes de leur épilation intégrale. Interdit aussi de m'étaler sur la bonne, vielle badine encore en usage pendant son adolescence. Même si c'est lui qui aborde le sujet. La moindre moquerie se paye sur la peau de mes fesses.

Notons bien que les cas cités ne sont un secret pour personne dans notre entourage. Monsieur il profite de sa place de « chef de la maison » pour satisfaire ses envies urgents de me corriger. Je le vois à la bosse sur son pantalon. Et rien que ce fait me rend toute guillerette. Mais depuis peu, il a trouvé un moyen supplémentaire pour me rappeler à l'ordre. Sans que j'échappe pour autant à ma punition en rentrant. C'est la petite phrase du haut de mon texte qui calme mes ardeurs :

Nous en reparlerons à la maison !

Poésie inspirante et ne pas que pour moi. Visiblement elle fait appel à quelque chose qui se cache au fond de bien de personnes. Voila qui réveille la fantaisie, le sens de moquerie aussi. Retour à un stade antérieur... de l'enfance ou adolescence quand on se faisait gronder devant les copines. Expression qui va de paire avec la bonne humeur. Il ne me semble pas un hasard que l'on parle d'une ambiance bon enfant. Bref, Monsieur brandit la petite phrase comme arme devant notre public.

Ce-soir là, notre hôtesse me regarde avec un air de plus amusé, style j'en connais une qui dormira sur le ventre. Puis jugeant un tel dénouement trop absurde, elle ne peut toutefois résister à la tentation d'ajouter son grain :

Oh, ça sent le pan-pan cucul. Méfie-toi, isabelle !

Il me semble un acquis que personne n'envisage ne serait-ce qu'une seconde que mon chéri passe vraiment à l'action une fois de retour à la maison. Tout le monde croit à la plaisanterie. C'est vexant je trouve. Comme si je n'étais plus en âge pour une bonne déculottée. Comme si nous étions des personnes trop sérieuses pour ce genre « d'activité »...

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !





Fesseuse endurante (petit clip)

















vendredi 14 avril 2017

998 Liens de discipline domestique (266 ème édition)

Au menu cette semaine: Quand nos fantasmes changent !

Fessée devant les invités (petite série animée)

Quand j'étais plus jeune, en évoquant le sujet d'une fessée lors d'une soirée entre amis, mon cœur se mettait à battre très fort. Je me voyais tout de suite comme le centre de toute attention:

Celle qui reçoit une bonne déculottée !

La nudité fessière est pour moi un indissociable du mythe qui entoure un tel événement. Et je ne suis pas la seule. Mon homme trouve justement la honte qu'il associe au fait de devoir baisser sa culotte devant public comme un des majeurs attraits de son fantasme de la fessée. Cela se voit déjà la façon que se passent mes corrections à la maison. Mon fessier est toujours mis en scène, que dis-je...en valeur avec un soin particulier, comme s'il y avait des spectateurs invisibles. Monsieur prend son temps pour accomplir le cérémoniel. Étant moins rapide que lui pour me mettre dans tous mes états, cela ma va parfaitement. Il sait savourer et faire savourer son plat favoris. En le pimentent par ses commentaires. Par exemple je suis censée de...

tendre avec impertinence mon derrière à la fessée !

…onduler le popotin pour aguicher le martinet !

goûter à la discipline cul nu en écartant un peu mes jambes et en me penchant bien en avant !

Ces petites phrases me font toujours de l'effet et bien évidement il faudrait un public qui aime également la partie verbale du fantasme. De ma part pour agrémenter une éventuelle phase préparatrice, j'aime beaucoup beaucoup réfléchir quelle tenue et surtout quel sous-vêtements me mettre. Étant très théâtrale le plaisir des yeux m'importe beaucoup. Seulement l'occasion d'une fessée devant les invités ne s'est jamais présentée. Certes j'ai déjà reçu quelques très claquantes fessées en fêtant le carnaval, mais cela est toujours resté une sorte d'amusement sans que la libido ne s’emmêle vraiment.

Puis en prenant de l'âge de la maturité... mon fantasme a changé de forme. Je me verrais plus comme témoin involontaire d'une fessée qui se crée à partir d'une situation du quotidien. Fessée qui se veut punitive. La surprise de découvrir chez des amis de longue date un faible pour la discipline domestique. Moment de confidence. Moment d'échange. Ajoutons que je ne souhaiterait pas assister à une fessée qui frôle les limites et/ou qui soit interminable. Pour moi un acte punitif est une remise en question constructive. Ce n'est pas son intensité physique qui lui donne son essence, mais son impacte psychologique...

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end de Pâques !



Joli résultat (petit clip)






Poésie de la culotte blanche (en bas de l'écran)











vendredi 7 avril 2017

997 Liens de discipline domestique (264 ème édition)

Au menu cette semaine: Événement marquant


Il suis très sensible à l'ambiance des chalets en montagne. Pas besoin de grand luxe (enfin c'est tout de même mieux avec) pour m'appâter d'y passer quelque jours. Toutefois je suis nettement moins sensible au charme du refuge. Je me suis faite piéger d'ailleurs quelques mois avant de rencontrer mon chéri par une « erreur de parcours » dans un refuge de montagne… délabré qui m'a été vanté comme fort charmant. Le tout par une nuit glaciale, à la merci de mon « erreur », car nous étions venus avec sa voiture. Non pas que ce brave monsieur aurait insisté là où il ne faut pas, mais vu le froid qu'il faisait il a jugé utile de me distraire par un interminable discours.

Franchement... amener une fille dans un endroit aussi paumé sans savoir « parler correctement » aux filles.

Toutefois quand l'homme de ma vie m'a proposé a nos débuts de passer un week-end dans un chalet, j'ai dit oui sans hésiter. Déjà parce que j'estime qu'il sait parler aux filles. Il a mis moins de 30 minutes pour me prendre la main et je n'ai pas eu la moindre envie de me soustraire à ses avances. Il a su me surprendre par ses points de vue et il su me faire rire aux larmes. Il n'a pas mis longtemps non plus pour me menacer d'une bonne fessée une vraie...

cul nu comme il se doit, jeune dame !

Et aussi parce qu'il a su faire de notre première expérience intime un événement inoubliable. D'où ma conclusion personnelle :

Un homme qui fait aussi bien l'amour, doit aussi s'y connaître en fessée.

A cet instant j'étais encore long d'imaginer que les vilaines filles qui reçoivent la fessée cul nu se font aussi envoyer au coin. Cette dernière pratique existait encore dans mon enfance, mais elle n'a pas su me marquer. J'ai pu établir ce lien manquant une fois adulte, mes fesses rouges par une exemplaire correction, en faisant du coin dans le-dit chalet. Monsieur ayant eu marre de mes caprices et exigences s'était « montré en homme » tel que j’interprète personnellement cette expression. Il m'avait baissé mon jeans, puis mon string dans ce magique décors montagnard pour se défouler la main.

Et si j'étais parfaitement d'accord sur la nécessité de ma punition, je fus particulièrement vexée quand il m'a envoyée au coin pour méditer. C'est là où j'ai compris ce que l'expression méditer implique. La forte fessée avait stimulé mon flux sanguin et l'obligation de rester en place semblait le concentrer dans mon entrejambe. J'ai commencé à avoir des envies... coquines pas possibles qui devinrent vite visibles sur mon corps.

Et une fois de plus Monsieur a su se montré en homme.

Il m'a penchée sur une superbe table en bois massif en me faisant crier encore plus fort que sous ma fessée. Bref à la fin, je me suis trouvée toute essoufflée avec une brûlure toujours persistante dans mes fesses et j'ai beaucoup gigotée le soir venu en prenant le repas sur une chaise en bois massif, aussi rustique que la table.

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !

Fessée bohémienne (petite série gif)



Madame savoure (en bas de l'écran)














mercredi 5 avril 2017

996 Fessée voluptueuse (Mercredi cinéma)

Cet érotisme qui fait boum !

Selon mon homme la différence entre une fessée punitive et une fessée érotique se trouve dans la sonorité. D'une part celle produite sur les fesses de la dame, de l'autre côté dans le bruitage produit par la dame. Il en va de soi que les deux registres peuvent se chevaucher , voire se mêler... sur ma peau et dans ma tête. Mais rien n'échappe à Monsieur 183. Il a vraiment l'oreille.

T'as pas honte isabelle ? C'est pas le moment de te frotter sur mes genoux.

Bon, j'admets. Certaines de mes punitions me procurent des effets secondaires qui laissent parfois des traces humides sur le pantalon de mon homme. Il n'a qu'à me punir correctement s'il veut éviter de tels incidents fâcheux. Puis on ne le répète jamais assez souvent. Les poils pubiens accomplissent une action protectrice. L'herbe mouillée ne tache pas autant que les étendues glabres à perte de langue vue auxquelles il tient particulièrement.

Mais isabelle, tu es en train de jouir. Dois-je sortir le martinet pour te rappeler à la raison.

Tais-toi et continue avec ta main ! Montre-moi qui porte le pantalon !

Petite pique de ma part parce qu'il a choisi de me corriger toute nue. Situation que j’apprécie particulièrement. Je n'ai aucune inhibition pour me laisser aller et mes « prestations » varient selon mes humeurs. Bien souvent ce sont d'authentique larmes de repentir qui évacuent comme par magie mes situations de stress. D'autres fois quand je me sens insolente, mes fesses résistent et Monsieur doit affronter toute une gamme de verbalisations de ma part. Ce mot exprime de manière polie ce que je ne souhaite pas reproduire ici par convenance. En gros, mon chéri prend pour son garde. C'est notre forme de communiquer sur certains sujets. Comme il dit :

D'abord tu te déculottes isabelle, nous discuterons ensuite !

Évidement je n'ai pas l'air maligne avec mes fesses à l'air et mon string autour de mes chevilles pour soutenir une position... souvent insoutenable. Je prend conscience du ridicule auquel je m'expose. Mais la peau de mes fesses est solide et des années d'éducation anglaise font le reste.

En ce sens mes fesses supportent un sacré spectacle sonore.

Les fortes claques se transforment en cocktail émoustillant. Mes cris, râles et soupirs ne manquent jamais d'effet sur mon homme. Je trouve que lui aussi a le droit de se laisser aller et je ne manque pas de l'encourager en ce sens. N'étant pas une gamine, je ne suis pas à la recherche du mythe d'un mâle imperturbable. Au contraire j'adore ses petites faiblesse. Ainsi peut-il sortir en toute impunité - si j'ose dire - son côté d'éducateur pervers qui - sous prétexte de vouloir du bien pour son élevé – prend un vilain plaisir charnel à me corriger. Je le sens sous moi et je sais pourquoi il se méfie languit de mes gigotements. Étant une « véritable reine de la tache » - titre que je n'évoque pas sans fierté - il m'arrive de consoler mon chéri après une fin de fessée prématurée.

Ne t'en fais pas. Je ferai une machine à laver plus tard.

Passons sur ma satisfaction de voir mon grand garçon se déculotter devant moi. Ben oui, le caleçon aussi va à la machine...