mercredi 16 janvier 2013

263 Ma nervosité à la vue d'un martinet

Selon mon homme rien que la vue d'un martinet me rend nerveuse.


Toutefois dans un dégrée qui varie selon le lieu et les circonstances. On en découvrant dans un supermarché, ma nervosité est plutôt de l'ordre ludique. Je me sens agréablement stimulée comme après un tout petit verre d'apero et je ne peux m’émécher de les examiner soigneusement. Comme le mois dernier dans un grand magasin qui vend mille et une petites futilités pour s'embellir la vie. J'adore fouiller. Je suis tombée sur des martinets de fabrication chinoise (si, si c'était marqué) d'une qualité exécrable avec des lanières qui pendouillaient mollement, car faites dans une sorte de cuir daim si fin que l'on aurait dit du tissu. En gros des objets parfaitement inutiles et même avec un élan pas possible on ne sent strictement rien. J'étais donc très déçue et mon homme n'a pas tardé pour m'égayer :

Un affront pour toute personne qui reçoit une solide éducation au vrai martinet, n'est-ce pas isabelle ?

Oui, effectivement ! Quand je sors de l'étude de mon homme après m'avoir pris une bonne, je considère le martinet plutôt comme dissuasif que révélant de la bonne plaisanterie. N'oublions pas d'ajouter que pour apprécier une stricte éducation anglaise à l'âge adulte il faut au moins le sentiment que cela soit justifié, même si c'est de manière irrationnelle.

Que celle-là n'était pas volée !

Et il me semble facile à comprendre que la réflexion à tête reposée sur le fait de se faire convoquer sérieusement dans l'étude de son homme pour une savoureuse punition et d'en tirer « sur le coup » un plaisir cérébral d'absolution et par la suite une stimulation physique de plus intense, peut rendre nerveuse.

La situation se présente un peu différente quand je découvre un martinet dans une brocante. Le plus souvent ce sont des objets anciens que j'imagine avec une croustillante histoire. Alors là aussi j'examine attentivement. La texture du manche, la régularité de sa coloration. Est-elle altérée là où se pose la main, peut-être par l'effet de la sueur de la personne qui manipulait l'instrument. Était-ce un homme ou une femme qui s'en servait ? Dans quel but ? Qui recevait les punitions ? Je m'attarde sur l'usure des lanières. Un cuir filoché rend un instrument moins sévère en adoucissant la morsure. L'ancien propriétaire s'était-il débarrassé de cet objet car la qualité punitive commençait à décliner. Comme fait mon homme quand il estime que les lanières ne m'apportent plus de bénéfice éducatif parce que c'est devenu du beurre/du gâteau/de la rigolade. Parfois une lanière qui manque. Détachée, arrachée, découpée.

On éprouve de la nostalgie ?

Oui, cela arrive (très rarement tout de même) que quelqu'un me fasse une gentille réflexions quand je me perds dans mes rêveries en tripotant un vieux martinet. Je crois que cela fascine, de voir une femme avec une telle chose an main. Généralement la réflexion concorde avec ma présentation. Par exemple quand j'avais les cheveux courts, j'étais sensée d'être celle qui s'en sert.

Pas commode la petite dame !

J'aime bien ces mots conviviaux. Peut-être parce que c'est dans mon naturel aussi de commenter parfois (trop souvent selon mon homme) chez les autres.

Ma nervosité atteint son paroxysme quand je découvre un martinet quelque part dans le coin où j'habite. Chez des gens que je connais bien, que j'aime bien. Et ceci n'est pas aussi rare que l'on puisse imaginer dans les régions quelque peu reculées. Hein oui, le martinet, bien « poussiéreux» je l'admets qui pendouille dans une cuisine à l'ancienne parmi une multitude de bibelots également anciens ou qui a élu domicile sur la porte de la réserve et ceci depuis des longues décennies. Difficilement imaginable qu'il sert encore et en posant une ou deux questions curieuses, on apprend quelle était son utilité dans le temps. Il ne faut surtout pas se gêner pour aborder ce sujet qui n'a rien d'un tabou. Question de cohérence. Car si c'était gênant, on ne l'exposera pas. En vivant à la campagne, celle qui est décrite parfois de manière bien méprisante par l'expression France profonde, j'ai très vite eu le sentiment de me trouver dans l'autre pays de la fessée. J'ai pu également admirer un authentique nerfs de bœuf, accroché derrière une porte d'entrée pour faire peur aux voleurs. Aucun doute là-dessus, c'est un truc impressionnant et l'idée de l'utiliser pour des corrections ne me viendrais pour rien au monde à l'esprit. En fait tous ces braves gens exposent un matériel ancien qui servait aux punition sans mauvaise arrière pensée. Je dirais que cela faisait tout naturellement partie de la vie, comme le Rohrstock, la canne, jadis en Allemagne.

Je pense qu'il faut être parti pris comme moi pour qu'une telle découverte se transforme ...en nervosité. Notons que je sais rester imperturbable en surface et c'est avec grande probabilité ce trait de mon caractère qui me vaut tant de confidences. Je reste neutre et ma curiosité n'agresse personne.

Par contre mon homme sait sans faille détecter ma nervosité . Et il sait aussi la traiter. Efficacement cela va de soi !

4 commentaires:

  1. je suis mariée et à 25 ans je mesure 1.57m et mon mari 1.87m
    et partout on me prends pour sa fille ,car en plus mes cheveux sont tondus à raz,et mes vetements sont celles d'une fille!du genre,jupes plissées à bretelles,culottes en plastique et aussi une belle collection de blouses en Nylon pour fillettes la plupart boutonnées dos par de grands boutons plastique!.Lorsque je ne suis pas sage,en entrant de son travail mon mari d'abord me souleve et m'assois sur ses genoux ,et j'aime bien etre traitée en petite fille vilaine,justement s'il constate quelque chose qui ne vas pas ,il sort le beau Martinet qu'il a lui meme fabriqué car en plus d'etre très gentil et joueur il est bon bricoleur aussi!,Ce superbe Martinet est composé d'un manche en bois rond diametre 4cm et long de 40cm avec au bout 16 longues lanieres en cuir rouges plates et souples de 60cm!,et il me retrousse et ma jupe à brtelles ,culotte en plastique et blouse,et me fait pencher au dessus une chaise haute et cul nu je reçois entre 10 et 15 bons coups de Martinet ,qu'est ce que j'aime ça,,!!.Meme des fois je suis obligée de lui dire de frapper plus fort car j'aime que ces belles lanieres en cuir rouges me cinglent mon posterieur!,sans compter le bruit des grands SCHLACKS qu'il fait,mais je ne disrien ,du fait qu'aussi il me mets une grande tetine ( sucette) dans ma bouche ,qu"il a réussi à trouver également ,bref c'est le bonheur et je vous assure que ça mets "beaucoup de piment " dans nos relations!!

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  2. Chère Anonyme, il semble que vous ayez trouvé un bonheur conjugal qui vous réussit. Je ne suis pas une spécialiste de culottes en plastique, mais c'est un détail sans importance. J'imagine le superbe martinet crée par votre mari et l'affection que vous y portez. Il est toujours plaisant de lire des personnes qui réussissent à donner une réalité à leur monde intérieur. Je vous souhaite bonne continuation.

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  3. Chere anonyme suite à votre message en date du 12 mai courant,ou vous avez plaisir à des jeux pour adultes,je comprends tout à fait car moi meme avec mon mari,nous aimons également ces jeux erotiques,!Mais c'est moi sa femme qui tient le manche du Martinet!..En faite cela a commencé un jour en allant chez ma mere mon mari a vu le Martinet à ma mere qui était sur le buffet et dont elle se servait pour nous fesser moi et mes autres soeurs,et toujours dans un état impecable il m'a demandé de le prendre chez nous,lui qui n'a pas connu les bonnes fessées au Martinet données par maman.Donc je l'ai demandée à ma mere qui me demanda ,mais pourquoi faire ,heureusement j'ai réagie tout de suite et je lui ai répondue que c'était pour chasser les mouches chez nous,donc elle me l'a donnée sans se douter de rien!.En plus ma mere tenant un magasin de couture et de retouches avait à vendre sur un long porte manteaux des blouses blanches en polyestere,assez longues et larges aves 8 boutons devant et les poignées boutonées aussi,et seulement à 15 euros la blouse ,et comme j'ai toujours aimée porter des blouses à la maison elles m'ont plues,et j'en ai essayée une taille L est je l'ai achetée Puis mon mari les voyant également et me trouvant sexy dedans me demanda à moi et ma mere s'il pouvait en porter aussi ce genre de Blouses,et il en en a essayé une taille xl est franchement ça lui allait bien et pas trop feminin non plus.Donc lorsque nous faisons le menage à la maison,ou nous jardinons ou nous nous promenons avec notre chien ,on mets nos blouses !Ensuite mon mari n'ayant jamais connu le Martinet chez lui demanda à en gouter,et je n'étais pas contre,ayant en tete qu'avec le Martinet je l'aurais mieux sous ma domination,et ça fonctionne super bien entre nous,,comme par exemple ,lorsqu'il est au jardin et que je l'apelle et qu'il ne réponds pas,et toujours les deux dans nos blouses,j'arrive avec mon Martinet et lui souleve sa blouse et comme il est en short,les lanieres en cuir lui arrivent sur le haut de ses fesses,!Au début il me disait ' oh ça chauffe puis ça cingle bien aussi,mais si tu crois que je l'ai merité c'est normal que tu m'en donnes,et c'est moi qui decide et le plus souvent possible..!Et c'est vrai que ça augmente notre désir sexuel à tous les deux,en plus mon mari qui est adorable et fait toutes mes volontés,aime bien aussi d'etre en blouse et fessé comme les garçons dans les années 60 et 70 au Martinet.Et je ne le cache pas ,non c'est pur les mouches voyons !!,donc il est acroché sur la poignée de l'appui de fenetre de la cuisine!!

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  4. Merci chère Anonyme pour votre témoignage. Pour ma part j'ai aussi une blouse, blanche, courte et en coton quand je « joue » à l’esthéticienne ou à la coiffeuse. Et comme vous je constate un effet sexy qui opère sur mon homme et notamment quand j'opère en cette tenue sur lui. Ceci dit, cela reste vraiment une exception pour moi d'en porter. J'apprends avec beaucoup d’intérêt le plaisir que vous en tirez, à en porter,vous et votre mari et je suis très bon public pour voir un peu comment les choses se passent dans d'autres ménages. D'ailleurs un martinet accroché à la fenêtre pour chasser des mouches aurait sûrement attiré ma curiosité pour poser de petites questions. Je ne peux que vous encourager pour vous occuper de votre mari qui semble visiblement bien mériter ses corrections. Quelle idée aussi de pas venir quand vous l’appelez !

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