lundi 30 novembre 2015

799 Claques sonores et soupirs profonds (petit clip)

Comme d'habitude c'est mon imagination qui s'emballe !

J'aimerais bien être témoin, sans que cela soi prévu, d'un incident qui débouche sur une paire de fesses chaudes, façon claques sonores et soupirs profonds. J'y pense parfois quand j'assiste à une divergence d'avis dans un couple. Notamment quand cela se passe dans un lieu propice pour une suite, genre repas entre amis. Habituellement ce genre de désaccord reste heureusement superficiel, car il est pénible de se trouver pris en otage entre un monsieur et sa dame ou pire encore, cité par l'un ou l'autre en témoin dans une telle situation. Dans ma fantaisie je vois une dame tenace qui ne lâche pas prise. Je brode mon fil avec pas mal de détails intimes que je connais de cette personne en alignant maintenant ce qui arrange le mieux ma petite histoire.

Comme elle sait se montrer insolente la petite dame. A croire qu'elle cherche sa fessée !

L’insolence est un phénomène fascinant. Elle fonctionne sur un principe d'escalade. Peut-être pour cette raison les anciens grecs l'imaginaient accompagnée par Hybris, la démesure. Il y a indéniablement une avidité
d'en rajouter et rajouter. Difficile de s'en rendre compte soi-même et plus difficile encore d'en démordre. Arrive ce que tout le monde attend. La voix du monsieur qui s'adresse à sa dame :

Là tu dépasses les bornes !

Suivi d'un silence absolu, ambiance bon enfant oblige et l'impression que je ne suis pas la seule à table qui pense :

Il n'a pas tort ce monsieur.

Alors dans ma rêverie tout le monde souhaite avec délice que l'orage éclate. Surtout parce que courent les on-dits que le mari étant pragmatique et peu commode se sert d'un moyen peu orthodoxe pour ramener sa dame à la raison.

Excusez-nous un instant !

Surtout pas un acte devant tout le monde qui briserait la magie de l'instant. Plutôt quelque chose qui se passe à côté, derrière une mince porte qui n'oppose pas de résistance au son.

Une bonne partie de l'érotisme passe par la respiration de la dame, par son art de soupir.

Avec mon homme je me rend souvent compte de la proximité entre un acte de fessée et un acte d'amour. Il a fallut la perspicacité de Freud pour comprendre que la fessée est un acte d'amour à part entière. Non seulement sur un niveau psychologique.

Cet amour n'est ni platonique pour le bien de la personne, ni paternel ou maternel, mais purement charnel.

Derrière la porte fermée, les invité auront du mal à faire la distinction entre l'expression du plaisir de la dame ou une éventuelle souffrance causée par les brûlures sur la peau. Sa respiration sème le trouble, mais le son des claques met une lumière originale sur sa jouissance. Effectivement monsieur et madame ont trouvé un moyen bien personnel de régler leur litiges...

vendredi 27 novembre 2015

798 Liens de discipline domestique (193 ème édition)

Au menu cette semaine : Pimenter le quotidien du couple


Comme le jeu de la culotte oubliée, il en existe d'autres qui passionnent certains hommes dotés de petites ou grandes tendances un peu fétichistes. En tout cas avec le mien mes élans exhibitionnistes marchent à fond. Je part sur une ambiance indécise, style :

Je n'ai rien à me mettre...

Situation sans originalité en soi, j'en conviens...

.sans oublier que l'originalité c'est moi...

...vêtue simplement de mon chemisier, des bas, une jolie guêpière en dentelle et d'escarpins fraîchement cirés. Il en va de soi que je n'oublie pas de soigner mon maquillage et ma coiffure. C'est jeu tout « benef », si j'ose dire. Cela peu m'amener autant à une belle fessée de plus sensuelle (car mon chéri comprend au fond mon désespoir vestimentaire!), autant à une promesse de shopping avec une nouvelle jupe en perspective. N'oublions pas non plus les mille et une façons de vivre pleinement son couple avec un certain risque (tant désiré) en montrant de manière si éhontée mes fesses de me faire pencher en pleine matinée quelque part dans la maison. Évidement, discipline domestique oblige, c'est mon homme qui prend la décision sur les modalités de ce qui va suivre. On a compris, la discipline domestique n'est pas la guerre des sexes, mais un langoureux jeu de séduction (oups, j'ai pas vu les doigts!) qui pimente le quotidien.

La dame ne subit nullement les exigences d'un tyran machiste, mais de subtils non-dits mettent en route les choses à son rythme. Toutefois mon chéri aime bien se montrer un peu lourd de temps en temps. Par exemple quand il me met innocemment le tube de vaseline sur la liste des courses à la pharmacie. Il a de la logique. Cela va de paire avec mon traitement de fond sous forme de suppos. Bon, je sais lui rendre la pareille. Il n'est pas vraiment gêné de chercher la cire épilatoire et du talque, mais il sait pertinemment que je vais m'occuper sous peu de la broussaille sous son caleçon.


Il y a aura tant de choses a dire sur l'érotisme chevalin. Dompter la bête en nous en se scindant en deux, la cavalière et le cheval, la tête et le corps, la raison et les pulsions. Voila qui met joliment en relief le symbolisme et l'enjeu de la domination/soumission de ce genre. Sans être une fan de la jouissance spirituelle, du don ou de l'abandon, d'obscures révélation sur ma vraie nature etc, je vois toutefois le lien avec la mythologie grecque qui attribue à ce duo peu banal une origine divine sous forme de centaure. Mais autant que je trouve crédibles les situations entre la belle amazone qui chevauche son mâle, autant je doute de la véracité pulsionnelle d'une telle constellation entre dames. J'ai plutôt l'impression qu'il s'agit une fois de plus d'une mise en scène pour faire plaisir aux messieurs... à tendances voyeurismes (pléonasme!). Par contre je connais bon nombre de dames qui comme moi adorent, toute nue ou coquinement vêtue, se mettre sur une selle en cuir. Et la sensation est encore plus édifiante après une bonne fessée.


L'esprit un peu mal tourné, je vois midi à ma porte. Mais pour accomplir ce prodige, il faut un monsieur assez fort et une dame pas trop lourde. Équilibre qui malheureusement s'évanouit petit à petit avec le temps. Malgré nos efforts mutuels. Pour ma part, j'essaye de me rattraper par des régimes sous stricte surveillance. Hélas, malgré mes fesses qui fument quand je me rend coupable d'un péché calorifique, ce n'est pas évident d'y arriver. Idem pour mon chéri qui essaye de maintenir sa force par quelques excises adaptés pendant que je fais du coin. Conclusion sur notre intimité: Je passe régulièrement du temps au coin ce qui lui permet un sérieux suivi d’exercices.

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !





L'angoisse juste avant (petite série animée)



Vu de très près (petit clip)









Le coup de la brosse (petit clip)





Se déculotter avant de se pencher (petite série animée)

lundi 23 novembre 2015

797 L'une après l'autre (petit clip)

Pour qu'il n'y ait pas de jalousie !

J'aime bien les clips sur un mode l'une après l'autre qui pointent dans une direction punitive. Peut-être parce que cela m'évoque de multiples fantasmes, non seulement quand j'étais ado, mais aussi quand j'étais adulte.

Bien que la vision d'un martinet de supermarché ou d'un petit paddle de la taille d'une brosse à cheveux, ostensiblement accroché dans un décor « Monsieur et Madame tout le monde » me procure un effet fulgurant sous ma jupe, je ne suis pas une fan d'une décoration surchargée. Notamment quand cela commence à m'évoquer la poésie d'une salle de torture médiévale. Il en est de même pour les donjons toutes équipés, un peu comme les salles de sport où l'on se trouve devant bon nombre d'installations en se demandant à quoi cela puisse bien servir. Je suis une personne très curieuse, mais ma soif de recherche de sensation nouvelles est plus que limité. Cela commence déjà par les pubs pour appareils de massage intime. Je n'y vois pas trop l'utilité. J'ai un homme à la maison, certes moins perfectionné que le dernier cris d'un appareillage stimulant, mais c'est en fait la présence humaine qui me fait fondre.

Quant aux corrections sophistiquées, mon besoin de punition ne va pas aussi loin. Pour le dire clairement, j'ai beaucoup d'indulgence envers mes fautes, tandis que d'autres inconscients essayent de faire payer pour une broutille de rien du tout d'un prix démesuré à leur propriétaire. Ouf, j'ai échappé au pire.

Par conséquence je préfère le fantasme de la fessée façon l'une après l'autre dans un cadre domestique et pourquoi pas dans le cadre du travail.

Que ce soit avec un bonne copine qui s'est rendue aussi coupable que moi de petites bêtises qui agacent ces messieurs et qui décident d'appliquer une discipline orchestrée par un duo,à quatre mains ou avec une collègue qui me déteste autant que moi je la déteste, mais également mise en évidence comme moi pour un travail mal soigné, les possibilités pour envisager une double séance éducative sont vastes.

Pour moi c'est une recherche de plaisir plutôt cérébral de partager un déplaisir avec une autre dame.

Car l'ambiance je la souhaite réellement punitive. Comme dans mes rêveries d'une stricte éducation d'antan. Avec remontrances, déculottage dans la règle de l'art, puis suivi d'une fessée qui a pour but de procurer une douleur au popotin qui incite à réfléchir, pour corriger littéralement un mauvais comportement.

Étant nullement courageuse, loin de moi de faire la fière pour impressionner ma compagne de fortune par ma résistance. Très vite je tomberais dans mes habitudes de tenter les larmes de pardon et les promesses d'améliorer mon comportement. Et pourvu que cela marche et que j'échappe à une trop rude mise en question. Par contre une foi relâchée de la mauvaise place, le derrière encore en train de fumer comme aime me taquiner mon homme, je retrouverais mes instincts sadiques en espérant que celle qui passe après moi ne se fasse pas louper.

La sonorité des claques sur son postérieur me feront chaud au cœur et de les entendre me serait certainement et hautement jouissif.

vendredi 20 novembre 2015

796 Liens de discipline domestique (192 ème édition)

Au menu cette semaine : Du blabla isabellien et beaucoup de doubles de dames


Et à chaque nouveau prince charmant rencontré, la même question.

Osera-t-il ?

C'est un peu la prolongation des jeux cap ou pas cap de notre enfance. Et avant de vouloir y interpréter une dame qui désire inconsciemment que l'on lui force un peu la main, ou dans notre cas la peau de ses fesses, notons une fois de plus que de telles généralités ne tiennent pas la route. La psychanalyse du comptoir est celle qui exprime plutôt le désir (ou les associations pointant dans cette direction) de celui qui exprime ses théories.

Quand j'étais ado, j'adorai aller au cinéma en charmante compagnie. Certes j'avais facilité la démarche de l'élu de mon cœur, mais j'aimai bien qu'il fasse comme dans une grande production hollywoodienne le pas décisif qui change l'amitié en amour.... charnel. Ce n'est pas toujours gagné d'avance. Il en va de soi que le prince charmant qui hésite trop, risque surtout de vexer profondément là jeune dame au point qu'elle se jette parfois dans les bras du premier venu (ah l'âge impulsif!) pour exprimer sa colère sur un mode :

Voila ce que tu rates...

Évidement le cap ou pas cap reste d'actualité dans la vie d'adulte comme comme importante question qui peut se poser au début d'une relation de couple. Et plus précisent encore quand la dame chérit un fantasme de fessée disciplinaire...


Difficile de dire de quel objet il s'agit exactement. Pour ma part je suis trop futile pour chercher la petite bête là où je rigole de bon cœur. Il n'en est pas de même pour mon chéri qui aime bien se poser la question de ce qui se cache sous ma jupe. Comme il me dit, cela le détend et lui change les idées quand il travaille trop. Alors oui, ses mots ne sont pas tombés dans les oreilles d'une sourde et j'use et j'abuse même de ce petit jeu. Et la joie de mon compagnon est régulièrement au rendez-vous comme à nos débuts.

Certaines copines me demandent pourquoi je ne me suis jamais lassée de ce jeu.

Réponse simple : Comme moi je comprend la motivation profonde de mon chéri, lui aussi comprend la mienne. Il ne s'agit pas forcement que j'attende de lui qu'il me trousse sur le champ pour me faire ma fête (même si cela arrive parfois!), mais qu'il me montre son attention, son intérêt pour ma personne, pour mon physique. Ne nous voilons pas la face. A moins d'avoir un faible pour les amours platoniques, les autres s’entretiennent au quotidien. Tout bêtement.


J'aimais bien ce blog, non seulement pour ses jolis clips comme celui-ci. Visiblement découragé par un manque de participation son auteur/ses auteurs jettent l'éponge après... 2950 posts. Voila qui pose la question de la motivation du blogueur. Pour ma part je distingue clairement entre un blog et un forum. Selon mon point de vue on fait un blog quand on a des choses à dire et on va sur un forum quand on veut discuter. Évidement concilier les deux est fort agréable et je profite ici pour remercier les personnes qui commentent sur mon blog.

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !











Deux à la fois (petite série)











mardi 17 novembre 2015

795 Une fessée pour la pénible cliente (Lundi cinéma)

Une très sonore fantaisie écrite par la vie !

Tout le monde n'a pas de fantaisies irréprochables. C'est humain. Comme imaginer de retourner une emmerdeuse pour lui botter solidement le derrière. Heureusement il y a le bon sens qui fait la distinction entre le désir de sa réalisation. Et parce que nous sommes bien élevés, nous gardons même nos petites histoires jouissives pour nous ou du moins pour l'intimité de son couple. Cette terreur de la commerçante, cette tenace emmerdeuse...

c'est toi, isabelle et tu t'en rends même pas compte !

Ah bon ? Ce qu'on va voir !

En posant question après question, en procédant un peu comme l'inspecteur Colombo pour me faire une juste idée de la qualité de la marchandise convoitée, j'admets que l'on puisse me trouver pointilleuse. Mais je sais surtout que ce comportement agace prodigieusement mon chéri. Que je fasse une fois le coup pendant une séance de shopping en amoureux passe comme une lettre à la poste, à la deuxième tentative je vois Monsieur se crisper et la troisième tentative... ? Elle n'aura pas lieu. Tout simplement. Car j'ai fait de très mauvaises expériences en abusant vraiment de la patience de mon chéri.

Je me retrouve assez bien dans la tenue de la dame qui se fait rappeler à l'ordre. Toutefois j'opterais pour un chemisier plus sexy. Je ne le dis jamais, mais mon chéri aime aussi la poitrine mise en valeur. Quand les boutons tirent un peu. Il a aussi un faible pour les jupes droites bien coupées, celles qui se troussent sans s'abîmer par un geste hâtif au feu de l'action. Par conséquence je fais très attention à ce critère quand je m'achète une jupe. Et lui, il fait semblant de ne pas comprendre le pourquoi quand je pose mille questions sur le tissu, son élasticité etc. Car sans même évoquer la fessée...

...il n'est pas de bon ton de demander à la vendeuse si une jupe se trousse facilement pour une petite aventure coquine.

Puis, sans être Kim Kardashian, Amber Rose ou une autre dame de ce palmarès, j'ai tout de même un fessier volumineux (dont je suis très fière ceci dit !) et je ne souhaite pas que je craque accidentellement ma jupe comme cela m'est déjà arrivée avec un jeans très moulant. Ben oui, tout cela prend du temps à évaluer dans ma petite tête. Et croire que les dames mettent des heures à se décider pour des raison futiles. Je suis pragmatique moi. Je sais aussi que mon homme se laisse particulièrement inspirer par les jupes droites. Rien que l'idée de pouvoir me trousser ainsi vêtue le met en extase.

Ou encore l'idée de m'appliquer une fort savoureuse claque sur mon popotin, présenté dans une jupe droite !

Ah si mon fessier pouvait parler ! Bref je sais pourquoi je mets du temps. Ce qui donne l'impression que j'embête la commerçante. Notons que quand je me rend coupable de shopping abusif dans pareille tenue, mon chéri prend un malin plaisir pour me trousser en rentrant à la maison, puis en poussant le vice (il n'y a pas d'autre mot!) de me déculotter de mon string. Bon, nous sommes pas d'adeptes de fessées interminables (deux ou trois minutes suffisent) et la correction que je me prend n'en est pas vraiment une. Nous sommes dans un registre plutôt ludique.

Alors cela se passe de manière très traditionnelle et sensuelle à la fois.

Moi mes fesses à l'air, allongée sur les genoux de mon chéri qui s’enivre de la sonorité que produit sa main en claquant sur mon postérieur. J'aime bien qu'il met de l'élan et j'aime aussi quand une fois le travail fini, il me prend sur le champs. Non, notre discipline domestique n'est pas psychorigide. Nous prenons aussi le temps de vivre.

Je précise que nous adorons le shopping en couple !

vendredi 13 novembre 2015

794 Liens de discipline domestique (191 ème édition)

Au menu cette semaine : Mes rêveries de jeune fille

Un vrai métronome (petit clip)

Une de mes fantaisies favorites consistait à m'imaginer derrière une porte fermée, en étant témoin auditif d'une belle correction. Avec de longues réflexions préalables qui allait se faire fesser et qui appliquerait cette fessée. J'ai aussi essayé les constellations mixtes quand j'avais une hargne particulière envers un prince charmant qui ne s'était pas comporté selon les désirs de ma petite personne.

Un plaisir auditif se nourrit de belles sonorités. Contrairement que de se trouver dans la pièce, la fantaisie peut prendre son envol. Elle ne risque pas se heurter à des détails désagréables comme l'apparition subite de traces disgracieuses par exemple. C'est à partir du son que se crée l'image. J'ai un faible pour la très caractéristique sonorité du « cul nu » qui enflamme beaucoup plus mes sens que le retentissement feutré d'une action qui se passe sur un jeans.

Bien que je ne sois pas du tout une fan de la technique du métronome, force m'est de reconnaître que la régularité du son me berce. Et comme cela m'est déjà arrivée devant des films coquins, je me suis aussi endormie devant des clips de fessée. Avec, comme m'a certifié mon homme, avec une expression de bébé bien heureux sur mon visage.

Elle fait fort cette infirmière avec son martinet (petit clip; vers le bas de la page)

Je fais partie des bienheureuses natures qui savent rire sans ce poser la question du truqué ou pas. Les petits malheur qui arrivent aux autres me font toujours de l'effet. Les avis sur mon rire sont partagés. Les uns le trouvent mal placé et/ou bêtasse. D'autres l'apprécient et trouvent que cela fait partie de mon charme. Enfin, sous ma hilarité se cache, sans le moindre doute pour moi, une forme de sadisme qui m'est propre. Donc ce petit clip tombe à pic. J'adore les jeux d'infirmière depuis toute petite et j'ai bien entendu des tenues pour m'y adonner en couple. Par contre je ne pousserais pas mon sens d'humour à décrocher notre martinet (qui sert à me rappeler à l'ordre) pour faire une farce. Comme dit mon homme :

Le respect pour le martinet est primordial !

Ben oui, je suis une fille plutôt sage et attentive à ce que l'on me dit !


Sagesse vielle comme la bible qui donne d'ailleurs une signification particulaire à ce terme. Puis, il suffit de se rendre dans une faculté de science (enfin peut-être cela a changé depuis mon temps) pour s'apercevoir que les brillantes têtes font la joie de certaines jolies filles. Voilà un lien qui ne parle pas vraiment des pratiques qui me sont chères, plutôt « annexes », mais la preuve que je suis curieuse.

A chacun son de cloche !

J'ai même fait une copie de ce post, en partie du moins... pour ma fille. Donner une forme verbale compréhensible à la physique quantique de Schrödinger (Notons l'orthographe, nul n'est parfait !), n'est pas donné à tout le monde. Il s'agit à mon humble avis de la meilleure tentative avec celle de... Heisenberg. Enfin en lisant la suite du post, j'ai trouvé confirmation d'une petite idée qui me trotte en tête depuis longtemps. Contrairement à ce qu'imaginent certaines personnes, non, les scientifiques ne sont pas systématiquement ennuyeux. J'en ai un à la maison d'ailleurs... qui me surprend toujours par son imagination.

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !



















Suite de clichés (petit clip)





mercredi 11 novembre 2015

793 Une fessée mémorable 2


Tu vas t'en prendre une que ton fessier s'en souviendra pendant longtemps, isabelle !

Jolie menace qui rencontre désormais sur un terrain favorable, savamment préparé et prêt à être fertilisé par la moindre petite allusions.
Alors quand un jour ou l'autre, je reçois à nouveau cette mise en garde de surveiller mon comportement, il y a tout un souterrain qui remonte à la surface et dont j'aimerais parler un peu ici. Nous sommes loin de vrais ou faux souvenirs d'enfance, génératrices de fantasmes de toute sorte. Nous sommes dans le concret et récent; un souvenir clair et non pas déformée par le recul des décennies. Certes, il n'y a avait pas mort d'homme de femme, mais cette fessée mémorable a laissé des traces qui reprennent vie aussitôt à l'évocation de mon châtiment à venir. En ce cas mes associations sont nettement moins coquines que dans les autres situations qui ne présentent pas autant de risque pour la peau de mon postérieur.

On pourrait parler d'un effet psychologique hautement éducatif, car je n'ai pas forcement envie de revivre la même situation.

Toutefois ce n'est pas exactement une peur qui me hante. Je pense, si c'était le cas, j'aurais laissé vite tomber depuis longtemps mes fantasmes de discipline. A vrai dire, le gentil avertissement de mon chéri me provoque - à mon grand enchantement - un état de palpitante angoisse qui se manifeste partout dans mon corps et me crée surtout une frissonnante tension au niveau de mon entrejambe. Effectivement, on pourrait parler tout court d'un trouble en quelque sorte voluptueux qui s'empare de moi, mais cette expression reste trop vague pour bien résumer mes émotions. Pour cerner correctement la nature d'un trouble, il suffit de comprendre qu'il se compose de tendances contradictoires, tendances chacune liée à de fortes émotions qui s'affrontent.

D'un côté nous trouvons...

...mon souvenir de cette mémorable fessée comme si c'était hier.

Souvenir d'un gants de toilette imbibé d'eau froide avec lequel je me suis massée le derrière avant de me coucher. Une sensibilité à « fleur de peau » quand mon homme a commencé à me caresser la zone concernée pour les câlins de bonne nuit. Sensations suprêmes certes, mais cher payées.

Bref je sais ce qui m’attend et que cela ne s'apparente en rien à ce que l'on décrit habituellement comme les délices érotiques de la fessée.

Non, non, c'est du punitif à l'état pur qui s'annonce. Ces quelques courtes minutes où je ne fait plus mon âge, où je braye à haute voix en promettant de ne plus jamais refaire ce qui a cause ma sanction. Du punitif bref et intense, un tourbillon sans cohérence dans ma tête, une situation qui me dépasse et qui me laisse avec un derrière cramé par la main de mon homme.

Un entrejambe de plus luisant aussi qui n'a pas encore compris ce que lui arrive, qui n'a pas encore transmis une info de plaisir à mon cerveau.

Par contre mon chéri saisit très vite le comique de la situation. Pendant que je suis en train - sous un flot de larmes de sincère repentir - d’évacuer pleinement le stress accumulé, il a déjà la l'humour facile :

Je viens tout juste de finir ta correction et c'est déjà la fête dans ta petite culotte isabelle ! Tu te moques de qui là.

Voila qui me met dans un sérieux embrasas, car l'autorité de mon homme qui vient de s'abattre sur mon derrière n'est pas un sujet qui me fait rire.

Maudite fessée mémorable tu m'auras pas une deuxième fois.

Par conséquence de l'autre côté...

… bien que consciente que mon besoin de punition nécessite une bonne dose de douleur pour s'apaiser, c'est mon manque de courage qui se fait sentir. J'ai envie de m'enfuir sur le champs, de me cacher de mon intraitable éducateur qui se languit de me mettre au pas.

Le jeans déjà autour de mes chevilles, mon string également, j'envisage encore ma fuite !

Tu m'écoutes, isabelle ?

J'ai intérêt à écouter attentivement mon homme qui est en train de me sermonner. J'ai l'impression de me trouver dans une attente interminable, j'oublie même pour des fraction de seconde ce qui m’attend pour comprendre aussitôt que tout mon futur semble se concentrer sur cette fessée qui me pend au nez. Il n'y a pas la moindre notion de jeu et mes pensées tournent en rond. Situation sans issu, car c'est la dure loi fantasmatique qui s'agite dans ma tête.

On n'est jamais aussi bien servi que par les punition que l'on souhaite à sois-même.

Voila l'effet sécurisant avec mon chéri qu'il sait agir dans mon intérêt. Il connaît mes besoin et mon ambivalence devant les grandes punitions. Il sait rester doux dans ses attitudes, rassurant, mais sans que la fermeté se perde sur la route. Je souffle, je m'encourage moi-même. Je me sens encouragée aussi. Étant adulte et les pieds bien sur terre (avant de basculer sur les genoux de mon chéri!) mes craintes concernent la sensation. Si on peut appeler cela de cette manière. Sensation nécessaire pour accomplir l’alchimie. Transformer mon besoin de punition en sentiment de plénitude, à l’abri des regards du monde, seulement sous le regard de mon homme. Transformation qui se passera dans mon coin.Que dire de la fessée qui me sépare de cet état de grâce. Elle sera douloureuse, loin d'être émoustillante comme mes rêveries me font miroiter. Et surtout...

...ce qui rend mémorable une fessée mémorable est un effet de mes souvenirs. Jamais une fessée réelle sera à sa hauteur !

lundi 9 novembre 2015

792 Fessée devant témoin (Lundi cinéma)

Assister ou la recevoir, l'émotion est au rendez-vous !

Contexte fantasmatiquement ô combien stimulant pour bien de personnes. Le plaisir de ceux et celles qui observent, mais aussi, malgré ce que l'on dit, malgré le prétexte de la honte, le plaisir de la personne qui se voit infliger une cuisante correction. Toutefois ne confondons pas les émotions d'un fantasme ou d'une mise en scène sur le modèle d'un fantasme avec la réalité qui elle se présente nettement moins enchantant.

J'ai appris par des messieurs (et dames aussi) d'un certain âge que la fin de la fessée chez eux n'a pas constitué un événement tout naturel, mais était plutôt le fruit de sacres efforts pour gagner leur indépendance. Les plus chanceux parmi eux avaient des parents dotés d'un « certain bon sens », comprenant rapidement par eux-mêmes la nécessite de faire confiance à leurs enfants/ados et de leur lâcher enfin... la grappe. D'autres parents, plutôt œdipiens dans le sens d’avoir du mal avec le principe du changement des générations que les enfants un jour ne sont plus des enfants, s'obstinaient à vouloir les maintenir dans un état de dépendance. On mesure aujourd'hui difficilement à quel point il était compliqué dans le temps pour certaines personnes de gagner leur indépendance et par conséquence leur mérite de s'avoir défait de l'emprise de leurs parents. Sur un niveau analogue, mais tout aussi symbolique, ma maman m'a raconté son combat pour avoir droit au port des bas.

Il n'est pas dans mon propos de donner un avis détaillé sur un passé que je n'ai pas connu, mais de pointer sur l'étrange contradiction de certains fantasmes de fessée avec une réalité concrète. A croire que le fantasme embellit la réalité et la change même.

J'ai beaucoup d'affection pour la poésie de la bonne déculotté devant la personne offensée par exemple.

Ce qui me stimule particulièrement c'est le fait que je sois adulte, donc en rien censée de me plier à un tel rituel. On peut bien évidement essayer de voir dans ce faible un désir de régression.

Mais cette explication n'est-elle pas un peu simpliste ?

Tient-elle correctement compte de mes associations ? Par exemple du fait que j'aime particulièrement l'idée que le témoin de ma fessée soit une dame. Car en cas de monsieur comme témoin, mes émotions seraient occultées par un enjeu purement... sexuel. Qui a certes ses charmes, mais s’avère peu adapté pour satisfaire mon fantasme de base. A vrai dire je préfère un enjeu indirectement sexuel. Voyons cela d'un peu plus près

La satisfaction, le triomphe … jouissif pour le spectateur, en me projetant à la place du spectateur, se construit pour moi tout basiquement autour de mon plaisir de voir une personne qui « m'irrite » s'en prendre une bonne.

Pour comprendre la satisfaction de recevoir une fessée devant la même dame qui « m'irrite », considérons la fessée comme un acte d'amour. Et voilà nous devant un joli fantasme d'exclusivité qui exprime un triomphe (quelque peu douteux certes) sur la rivale :

Moi seul j'ai droit à la fessée de sa main...

Certes il s'agit de satisfaction de tendances agressives, hostiles qui caractérisent la sexualité pré-génitale qui est perturbante quand on est enfant par l'apparition de sensation et émotions excitantes et leur impossibilité de les satisfaire. Mais étant adulte, heureusement la génitalité donne le petit souffle en plus qui permet par la suite une concluions... orgasmique !

vendredi 6 novembre 2015

791 Liens de discipline domestique (190 ème édition)

Au menu cette semaine : Fantasmes étranges


Ah mes associations ! Évidement en faisant mon analyse j'y ai pensé auprès de « mon adorable monsieur » d'un certain âge. Ce dernier était un grand amateur (et connaisseur) de la philosophie, de la science et... de la féminité triomphante. Cela je le savais d'avance. Comme quoi le choix de l'analyste n'est pas innocent. J'ai appris pas mal de choses utiles avec lui. Comme le concept de l’esthétisme d'une pensée. La beauté de sa construction. Son élégance. Sa brillance. Voila qui m'évite depuis de me prendre la tête avec les opinons disons peu esthétiques, avec les jugements de valeur disons mal construites, avec la recherche du vrai et du faux quand ces qualificatifs relèvent de la pure subjectivité.

J'ai eu beau a sortir toute une panoplie de tenues, l'une plus craquante que l'autre, rien à faire. Ce monsieur avait une conscience professionnelle, respectant scrupuleusement la maxime de la neutralité. J'ai appris donc, un peu contrariée, que...

...un bon psy(chanaliste) n'est ni là pour punir, ni pour donner des bon points.

Et encore moins pour juger nos fantasmes. Je me suis rendue - hélas - très vite compte de la place... ridiculement petite... que la fessée occupe dans cette démarche. Alors petit conseil, si on a envie d'aborder ce sujet en long et en large mieux vaut... à moins de disposer des moyens financiers inépuisables... d'en faire un blog !


Ben oui, pour sortir sans culotte il faut une occasion. A chaque fois que je passe chez JPC, il y a un petit truc qui s'incruste dans ma tête. Je me détache du quotidien pour un envol (c'est le cas de le dire ici !) dans un pays ou fantasme et fantaisie cohabitent. En gros je revis mes émois quand j'élaborai mes rêveries de fessée étant ado.

Disons le tout de suite, une culotte cela ne s'oublie pas. Mais l'idée de passer dans un but bien précis une nuit sans culotte, m'a effleuré la tête assez tôt. En gros, dès le moment que j'ai compris l'enjeu d'un tel « oubli » pour un monsieur. Je le vois avec mon chéri qui est loin d'être dupe. Toutefois il suffit que dans un tête-à-tête qui me rend inaccessible, comme au restaurant par exemple, que je mentionne mine de rien de ne pas avoir eu le temps de me mettre ma culotte avant de sortir. C'est basique, mais cela marche à tous les coups. L'attention de mon chéri est captée et la petite question comment se comporte mon entrejambe lui fait oublier toutes les autres. Voila ce qui est parfaitement pour passer une excellente soirée entre adultes...


A moi aussi, il arrive que je m’imprègne de l'odeur d'un vêtement de mon homme. Certes, je ne le fait pas toute nue, façon coït fétichiste avec une veste de costume. Alors j'étais peu étonnée l'autre jour de voir ma petite débarquer avec un T-shirt de son papa en m’expliquant toute fière d'avoir enfin un doudou papa. Et après il y a des personnes qui doutent de l'existence de la constellation œdipienne...

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !









Discipline traditionnelle (Petite série)

















mercredi 4 novembre 2015

790 Fessée à l'amiable 2 (Un récit de Bertrand)


Pas de doute possible, se dit-elle, c’est LA position « On the knees », qu’elle a plusieurs fois imaginée, dans ses scénarios avec petit fouets et martinets délicats.

Mais là c’est réel, et pas prévu au programme. Pas question de subir. Elle veut être maîtresse de son petit film intérieur et diriger les opérations. Aussi commence-t-elle, une fois la stupeur passée, à gigoter des jambes. Voyant qu’elle risque de s’échapper, Denis la maintient encore plus fermement et accélère la cadence. Églantine refuse de se laisser faire. Denis desserre un peu l’étreinte en bougeant un peu sur le canapé voulant relever sa jupe pour faire de la fessée une vraie déculottée. Églantine profite de cette liberté retrouvée pour s’échapper. Elle pique un sprint mais Denis la rattrape.

« Cette fois ça va être la fessée, la vraie : cul nu ! »

Elle reste longtemps allongée les fesses à l’air, sur les genoux de Denis lui même épuisé après une bonne trentaine de volée sur la croupe.

Tiens ? Églantine ne sent-elle pas quelque chose se raidir, comme une dureté dans le pantalon de son homme.

Non, il se lève très raide et demande à Églantine d’aller au coin.

« Je peux remettre ma culotte ? »

« Non »

« Mais ça me gêne pour marcher quand j’ai la culotte qui est tombée à mes pieds. »

« Interdiction de la remettre ni de l’enlever »

Boudeuse, pleurnicheuse, elle va d’une démarche gênée aux chevilles et disons, le, assez ridicule vers le coin désigné par Denis.

Tout d’un coup l’émotion d’une fessée subite se révèle à contre-temps, et Églantine se met à pleurer abondamment.

Denis passe derrière et relève un peu la jupe pour qu’elle tienne.

Églantine est en bas, culotte à ses pieds, les fesses bien rouges.

Denis reste à la regarder en consultant négligemment le programme télé, prenant la voix la plus dégagée possible, mais un léger tremblement montre une certaine émotion, de ce qu’il a fait quelques minutes avant et du spectacle sous ses yeux à cet instant.

« Bon qu’est ce qu’il y a à la télé, « Die hard », ils l’ont passé déjà 36 milles fois ! »

Après 10 minutes assez pesante on entend Églantine dire d’une toute petite voix :

« Denis… »

« Oui » Répond Denis d’un ton particulièrement rogue

« Tu me pardonnes ? »

« Tu n’y a pas été de main morte avec la voiture, l’arrière est complètement embouti »

« Toi aussi tu n’y as pas été de main morte »

« Mh, ouais. »

Silence

« Et mon arrière est tout cabossé » dit Églantine

« Je ne trouve pas, il a une belle couleur ». Malgré la volonté de rester de marbre, on entend le petit sourire de Denis dans sa voix.

Églantine essaye une nouvelle fois de rompre le silence et l’indifférence un peu blessante de Denis.

« Quoi encore ? tu es punie, je te rappelle. »

« Non rien. »

Après une petite demi heure la sanction est levée et Églantine peut de nouveau vaquer à ces occupations, toujours un peu émue de ce qui s’était passé.

Un peu plus tard, ils sont assis tous les deux sur le canapé en train de voir des idioties, Églantine avoue que cette fessée lui a fait beaucoup de bien. Sa tête posée sur la poitrine de Denis qui lui caresse les fesses. Elle les lui montre d’ailleurs, ses fesses encore rouges à Denis qui caresse ces zones encore douloureuses.

« Bon, maintenant tu me promets de ne pas utiliser la voiture sans mon accord ? »

« Oui Monsieur, je ne le ferai plus »

« Et à la prochaine incartade… »

« C’est pan pan cucul ? »

« Tout à fait. Tiens ! À propos de voiture, pour moi tu es comme une Ferrari.»

« C’est à dire ? 

« Tu es belle, racée, bondissante, tu démarres au quart de tour, mais mon Dieu que tu es difficile à conduire. »

« Ce n’est pas vrai. Je suis une allemande solide et fiable sans problème.
Avec moi ça roule tout seul. »

« Parce que je suis un très bon pilote et que je maîtrise tes incartades. »

« C’est vrai… et un bon mécano aussi. »

« Et oui, il faut parfois mettre les mains dans le moteur. »

(Églantine pense : et si j’achetais un martinet la semaine prochaine ?)

lundi 2 novembre 2015

789 Une solide fessée pour s'accorder (Lundi cinéma)

Comment savoir sinon, si on est sur la même longueur d'onde ?

Rien de mieux que les travaux pratiques pour explorer dans la bonne humeur une sensation forte et brûlante !

Il n'y a pas toujours besoin qu'une fessée ait une raison punitive, ni qu'elle soit ostensiblement érotique avec pelotage vicelard (celui qui fait fondre les grandes filles!). Pas besoin non plus qu'elle s’apparente à une séance de dressage avec de bleus disgracieux qui risquent de virer de couleur et de laisser un souvenir visuel pendant deux semaines.

On a compris, un fantasme de fessée sans précisons reste plus que vague.

N'en parlons pas de la poésie de superbes fessées cinématographiques qui remplacent le traditionnel baiser pour débuter une longue et heureuse vie de couple. Cette romantique rêverie de certaines filles branchées « couple traditionnel ». Comme moi par exemple quand j'étais encore célibataire. Pourtant le principe n'est pas bien compliqué. Le monsieur (avec l'accord de la dame, mais cela reste implicite) marque le terrain par quelques grandes claques. Mise en garde et avant goût pour de futures réjouissances. C'est le geste qui compte. Rien ne presse, le couple est une aventure de longue durée.

Quand j'étais jeune célibataire les réseaux de rencontre sur le net n'existaient pas. Pour ma part il n'y a pas de regret. J'aimais bien les rencontres à l'ancienne, « hors circuit spécialisé ». Rencontres faites par la vie. Par le hasard. Toutefois j'ai très vite compris à détecter des signes pointant vers un fantasme de fessée. Ce n'est pas un sixième sens, ni une intuition innée, mais le fruit d'attentives observations ou plutôt d'écoute, car il ne faut pas sous-estimer à quel point un fantasme sait filtrer toute information venant d’extérieur en vue de préparer sa satisfaction. Une fois une bonne cible détectée, c'est comme dans la vanille. Primo il faut savoir établir une relation... charnelle et secundo il faut savoir accepter un échec au cas où. Veut dire de lâcher prise quand il n'y a pas d'entente intime. Le fameux « fire te forget » (le virer et l'oublier) qui rythme les rencontres fugaces en boite.

Je pense que les dames au moins curieuses de tenter la fessée ne manquent pas. Que cela soit récréatif, punitif ou avec plus ou moins de soumission, à chacune sa préférence. Ce qui bloque me semble essentiellement la crainte de s'engager dans une expérience qui se révèle désagréable... à cause d'un mauvais choix de partenaire.

Je rappelle qu'une femme n'est pas en sucre concernant la douleur.

Il s'agit donc plus de la crainte... de la déception de se trouver sur les genoux d'un monsieur, bien sous toutes les coutures y compris au niveau de la vanille, mais qui ne convient pas à cette tache particulière. Puis, la constellation est un peu plus complexe que de feinter l'extase dans une relation classique avec quelques Oh et Ahhh pour faire jouir plus vite le monsieur, enfin que l'expérience se finisse.

Bref, nous sommes des adultes et et même si ce clip n'a rien d'une fessée glamour, je trouve le principe de la démarche très bien. Pas une trace de romantisme, mais des réponses claires autant pour l'un que pour l'autre...