mercredi 29 juin 2016

900 Pour bien vivre la discipline domestique

rien ne vaut un mâle, un vrai !

Dénomination ô combien subjective. Un vrai mâle pour moi c'est un homme qui sait – rien que par sa présence et sa façon être - me procurer de l'effet dans ma petite culotte...

(...dans tes satanas de strings, isabelle !)

et qui ose me corriger bien sûr, mon chéri !

Un homme qui dans un monde qui se veut de plus en plus égalitaire, me renvoie à la différence biologique entre les sexes. Mon mâle je le veux fort. Qu'il puisse me porter sur son épaule, me soulever pour me pencher sur ses genoux. Qu'il puisse fendre du bois pour un feu de cheminée à la campagne ou tout simplement pour porter toutes les courses lourdes, me laissant seulement le soin de ma petite poche de produits de maquillage. Débrouillard non seulement par le biais des applications d'un smartphone, mais réellement. Qu'aucun lavabo bouché ne lui résiste ! Intelligent au point de savoir m'acheter tout seul de la lingerie fine à la bonne taille. Élégant quand nous sortons en amoureux, avec costume et cravate cela va de soi. Un peu de sport pour entretenir son corps et ses muscles. Pas de sport en club, mais à la maison. Que je puisse me rincer l’œil. J'ai un faible pour un monsieur qui fait du vélo d'appartement tout nu, mis à part un string...

tu la cherches là, isabelle ?

… en suant abondamment. Les fesses intégralement épilées, c'est plus hygiénique sexy. Puis les cheveux tondus à quelques millimètres en été et une toute petite longueur en hiver. Rude épreuve pour mon ancien hippie qui a dû se plier à cette exigence de ma part dès le début de notre vie en commune.

Tu es tyrannique, isabelle !

Je le sais bien mon chéri !

Voila donc toute une liste d’irrationalités plutôt sages qui enflamme ma libido. Dans un registre moins sage, j'adore que mon mâle s'occupe de mes bonnes manières. De manière physique, charnelle, car les bon conseils portent rarement des fruits avec moi. Qu'il ose me rappeler à l'ordre quand j'affiche un comportement indigne d'une dame.

Même si je ne rigole pas sur les coup, une bonne fessée pour un mot déplacé, me fait fondre le soir au lit.

Je trouve très sexy quand il ouvre la braguette de son jeans pendant que je lui serve le café. J'aime quand il me fait part de son besoin de se « détendre ». (Sans obligation pour ma part toutefois.) Cela me paraît plus sain que de se masturber en cachette. J'aime quand il profite pour me parler, les rares fois que je ne peux pas parler parce que j'ai la bouche pleine. J'aime quand il me fait part de ses projets éducatifs pour moi. J'aime quand il ajoute l'achat d'un tube de vaseline sur la liste des courses...

...pour ne pas perdre les bonnes habitudes.

J'aime nos retrouvailles le soir au lit après une bonne séance de discipline domestique. J'aime nos moments de tendresse sans qu'il y ait question de sexe ou de fessée. J'aime le fait que l'on vieillisse ensembles, j'aime élever notre notre fille avec lui.

Bref pour que la DD marche, il faut que le monsieur soit crédible, entier, attaché à son couple et sa famille!

lundi 27 juin 2016

899 La poésie de la pompon girl (Lundi cinéma)

...qui exerce une étrange fascination sur certains garçons !

Fesser une pompon girl me semble une fantaisie qui se met en place vers l'adolescence chez certains garçons dans un contexte culturel dans lequel interviennent bien évidement ces filles. Je sais de quoi je parle. Enfin, je n'ai pas été exactement une pompon girl, mais son correspondent allemand, une majorette du carnaval. L'activité consiste non pas à encourager les sportifs (les hommes en général ; comme c'est étrange !), mais à contribuer à l'ambiance traditionnelle de la fête, surtout dans la région du Rhin du Nord. N'ayant pas été destinée à une grande carrière de danseuse classique, j'ai su ainsi trouver un terrain favorable pour danser devant un public. On apprend non seulement à être à l'aise avec son corps, mais aussi...

...on se rends compte du pouvoir de séduction d'un corps en mouvement.

Bref mon activité a été un atout non négligeable auprès des princes charmants. Il m'est arrivée à plusieurs reprises d'être menacée de fessée sur un ton de plaisanterie par certains garçon dont j'ai refusé les avances. Idem pour mes copines majorettes dans des situations identiques. Peut-être parce que l'ambiance festive du carnaval permet de délier facilement les langues sans que personne n'y suppose une mauvaise intention.

Je dois avouer qu'une telle menace, prononcé par un jeune homme charmant, a été pour moi souvent une source d’émoustillement.

Ceci dit, je n'ai pas écouté mon fond fantasmatique comme seul guide pour débuter une relation. Puis il y a aussi à considérer le phénomène « parole, parole » qui veut que les promesses masculines sont rarement suivies d'actions. Difficile alors d'attribuer une place à la fessée dans l'imaginaire d'un jeune prince charmant. Les choses me semblent plus faciles chez les hommes, déjà bien ancrés dans la vie. Ils connaissent à priori leur désir et savent comment faire pour le réaliser. Malheureusement je n'ai pas eu de menaces par ces hommes, des vrais, style les papas de mes princes charmants. Car fréquemment je me suis sentie plus attirée par les papas que par les fistons.

En fin de compte, je suis donc restée devant une énigme sans solution :

Pourquoi ces menaces sans suivi ?

vendredi 24 juin 2016

898 Liens de discipline domestique (225 ème édition)

Au menu cette semaine : Le bon rythme...


N'ayant plus 20 ans je ne me retrouve peu dans les images ou clips sur notre sujet. Pas moyen de m'identifier à moins d'endosser le rôle de celle qui applique. C'est tellement rare de tomber sur une dame sans un physique d'ado qui se fait botter le derrière. Pourtant dans ma tranche d'âge je ne suis pas la seule qui aime en dehors d'une vie sexuelle plutôt classique la petite aventure cuisante qui change le quotidien.

Il y a aussi la question d'intensité. Je n'accroche pas avec les exploits qui laissent les fesses dans un état pas possible. Puis, la fessée entre filles, c'est bien mignon. Mais à vrai dire j'aimerais trouver plus de matériel avec des messieurs inspirés et non pas des « machines à taper », concentrées et blasées qui gagnant durement leur vie à la force de leur poignée.

En fait, je sais très bien ce que veux et ce que je ne veux pas.

J'aime la fessée coquine, celle qui mélange claques et caresses dans un but de stimuler la sensualité. J'aime l'improvisation sur mon fessier lors de la vanille en levrette. Au point où j'en suis, il faut taper fort. Ma sensibilité à la douleur est déconnectée à ce moment. Toutefois c'est l'instant où je cherche surtout la virilité de mon partenaire. Donc quelques fortes claques me suffisent. J'aime la fessée improvisée, lors de nos balades en montagne ou sur un parking discret lors d'un déplacement. J'attends une application généreuse sans hâte. Une sonorité qui flatte mes oreilles et une intensité fait persister l'effet de « siège chauffée » pendant un long moment. J'aime la fessée ludique en rentrant d'un restaurant par exemple. Sur un mode dessert gourmand et non pas m'évoquant la sensation de me trouver en compagnie d'un loup affamé qui se défoule sur mes fesses. Puis toutes les registres de la fessée punitive.

Bien évidement punitif, n'est pas équivalent d'abus.

Je souhaite le cérémoniel entouré de beaucoup d'imagination pour instaurer une pesante atmosphère d'orage. Une préparation psychologique de plus troublante qui me permet d'évacuer mon besoin de punition sans la nécessite d'une fessée sans fin. A chaque fessée son rythme. Rien n'est plus barbant que la monotonie d'un pratique figée...

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !




















mardi 21 juin 2016

897 Dame de respect

Attention à tes bonnes manières isabelle,

dit-il mon chéri parce qu'il a bien cerné la situation. Son sourire parle en long et en large de son plaisir de m'imaginer déjà allongée sur ses genoux, ma superbe robe de soirée troussée. Délicatement il va baisser la petite culotte de mon nouveau coordonnée couleur champagne avant de passer aux choses sérieuses. Aucun doute, lui il apprécie cette dame qui me tient compagnie et qui vient de s'absenter pour un petit instant. Il a pu s'en apercevoir en observateur discret qu'elle possède toutes les qualités requises pour m'agacer prodigieusement. Avec le ton qui monte. Peut-être une ardente dispute entre femmes en vu. Cette dame de respect défend ses opinions de la même manière que moi les miennes. Avec acharnement. Elle est aussi passionnée que moi par le sujet qui nous unit et désunit à la fois. Petite moquerie de la part mon chéri :

J'aurais jamais cru que deux blondes à cheveux courts arrivent à se crêper le chignon !

Il a un faible pour les dames de respect. Certainement une revanche de plus érotique sur son éducation stricte. Irrationnellement pour lui une dame de respect c'est une femme qui aurait pu figurer comme initiatrice fouettarde dans ses rêveries sévères de son adolescence. Rationnellement il entend par cette expression fétiche une femme qui sait s'imposer dans la vie. Une dame instruite, cultivée aussi, subtil mélange entre savoir factuel, savoir faire social et conclusions personnelles. Ma dame de respect ne manque pas de conversation, ni de réflexion.

Quel superbe combat de coq entre deux femmes... comment ça s'appelle déjà isabelle... phalliques... c'est bien ça !

Toutefois la faute qui causera ma perte et qui m’amènera droit sur les genoux de monsieur ne consistera pas dans le fait de contredire une autre femme de manière fort passionnée... tant que je garde mes bonnes manières. Mon homme apprécie le tempérament et le sang chaud. Il adore la façon qu'elle et moi, nous nous déstabilisons mutuellement. Car contrairement à une discussion en compagnie masculine que je survole autant qu'elle avec une facilité déconcertante, ici les apparences tombent. Les petites ruses de séduction ne prennent pas. J'ai l'impression d'être au courant de ses petites faiblesses comme elle est au courant des miennes.

On dirait une mercenaire de l'esprit comme toi, isabelle !

Comme il sait bien se moquer des malheurs d'isabelle ! Certes, je ne sortirai pas de mon rôle social. L’entretien avec la dame de respect se déroulera de manière cordiale. Après un long échange d'arguments objectifs nous nous perdons dans les prouesses du sophisme. Terrain qui m'est franchement défavorable. Malgré mon calme apparent j'ai envie de lui sauter à la gorge. Il vaut mieux ne pas savoir tout le mal que je lui souhaite. Et pendant que je m'adonne à de voluptueuses fantaisies en lui appliquant une bonne corrections se manifeste - satanas de mer... - mon besoin de punition. C'est le retour du bâton, littéralement. Je relâche le martinet que je tiens dans ma rêverie et j'écoute la voix de ma conscience.

Tu mériterais une bonne fessée isabelle !

Ma conscience, fausse amie dans bien de situations ne manque pas de pulsions sadiques. Mais ce que je prend à ce moment pour ma conscience n'est pas ma conscience, plutôt l'alliée intime de mon besoin de punition. Heureusement mon homme sait comment je fonctionne. En sortant du ring, chauffée à bloc je démarre au quart de tour et ma colère risque de se déverser sur lui. Lui qui n'y est pour rien et par conséquence je sens ma punition encore plus méritée. D'autres fois, je me suis comportée avec moins de recul et plus d'insolence envers une dame de respect. Il ne prend jamais partie sur le contenu de la dispute, mais il me rappelle que je ne me suis pas comportée en dame. Ce qui veux dire que mon éducation reste à parfaire. Il adore particulièrement me corriger quand je suis en grande tenue. Mais parfois, quand il me sens épuisée par tant d'efforts, il trouve le mot juste pour me rassurer. Il sait que mon besoin de punition me travaille et au cas où il se propose pour l'apaiser. Enfin il reste vague dans sa formulation, car il se peut aussi que je ne souhaite qu'une bonne coupe de vanille.

Pas besoin de me chercher des misères, isabelle. Je m’occuperas de toi en rentrant...

lundi 20 juin 2016

896 Le charme d'un élégant monsieur (Lundi cinéma)

Parce que je le vaux bien !

Il y a un lien dans ma tête, pas très raisonnable j'admets, qui me miroite une fessée particulièrement voluptueuse quand le monsieur réussit à m'impressionner par sa tenue. Certes, mon chéri comme beaucoup d'hommes de sa génération manque rudement originalité quant à ses pantalons, ses éternel jeans. Mais grâce à moi (sur ta lourde insistance, isabelle!), il se soigne aux niveau de ses chemises. Donc pas de risque de le trouver en T-shirt ou polo en dehors de ses jours de bricolage. Concernant la cravate cela l'embête un peu... beaucoup d'en mettre une à la maison. Mais j'ai un truc infaillible pour arriver à mes fins.

Et toi, tu aimes bien me voir en bas et porte-jarretelles tous le jours, non ?

Ceci dit, la cravate c'est une arme à double tranche pour moi. Mon homme se sentant un peu serré au niveau de sa gorge se montre très à cheval sur mes bonnes manières. Il y a donc forte chance de finir à un moment ou autre de la journée sur ses genoux. Puis, le voir cravaté me travaille drôlement. J'adore lui rendre la vie difficile, en adoptant des attitudes particulièrement aguichantes, rien que pour le voir se desserrer le nœud en ma présence... car il a chaud, très chaud !

Effet touchant quand la séduction opère encore comme au premier jour dans un vieux couple.

Revalorisant aussi, de me savoir une quarantaine décomplexée qui fait toujours mouche. Enfin, je ne me vante pas que je reçois encore la fessée.
Bien souvent dans une telle situation mon chéri aime savourer le plat qu'il me sert si chaud ! Il prend son temps. S'amuse en variant l'intensité de ses claques. Me parle d'effets de résonance sur la peau de mes fesses.

Me passe même un doigt dans mon entrejambe. Oh ! Le vilain.

C'est une séance bonne humeur. Je ferme mes yeux et je le laisse faire. Sans me plaindre et bientôt on m'entend de loin. Non, non, ce ne sont pas les cris de la méchante fille rappelée à l'ordre. Cela ressemble plutôt à une production P avec moi comme vedette.

Une bonne cuisson et voilà la petite dame prête à tout !

Mais pourquoi ramène-t-il toujours mon éducation à la nourriture ? Zut, moi aussi je suis sensible à ce discours et c'est en écoutant mon entrejambe que me vient à l'esprit l'un des mes fantasmes vraiment pas sages. Celui de devoir finir un plat sous surveillance. D'abord j'essaye de tenir tête, puis une bonne fessée et me voilà de plus raisonnable. C'est avec un plaisir inouï que je finis ce plat qui avant me repoussait tant. Je léché même l'assiette ! J'avais parlé de ce fantasme à un analyste, il y a bien longtemps :

Vous ne voyez vraiment pas la signification, isabelle ?

vendredi 17 juin 2016

895 Liens de discipline domestique (224 ème édition)

Au menu cette semaine : Le vice dans la peau


On parle souvent d'hommes vicieux. Je vais exclure ici les tordus de toute sorte qui fond de la manipulation un art de vivre et qui se spécialisent parfois dans l'arnaque sentimentale.

J'entends « vicieux » dans son sens noble, c'est-à-dire un homme qui connaît mille et une ruse pour augmenter le plaisir de la dame.

Le vicieux qui fait rêver. Comme ceux qui savent avec leur langue aussi bien former de jolis discours que de voluptueuse frissons chez la dame. Comme ceux qui sont adroits avec leurs mains pour les taches minutieuses qui ne pardonnent pas le moindre faux geste. Comme ces grands garçons touchants qui ne peuvent pas s’empêcher de s'extasier de leur faculté de savoir faire sans les mains. N’empêche cet exercice basique de la sexualité est un art et ne pas le moindre. De mon côté je me suis toujours sentie flattée quand un homme m'a trouvée vicieuse.

Toutefois j'ai l'impression que le vice des filles se distingue de celui des garçons.

Comprenons pour les filles un vice qui par un fin jeu psychologique augmente le désir du monsieur. Un jeu de petites allusions. Un jeu qui dévoile sans trop montrer. Un jeu qui remplace les mots pas de petits soupirs de « bien-être physique ». Et ne sous-estimons pas le pourvoir érotique du bien-être. Cette disposition « polymorphe-perverse », savoir tirer plaisir de beaucoup d'activités et situations. Y compris se vernir les ongles, de faire les boutiques (de lingerie en mode vicieuse), un long bain à bulles etc.

Le vice féminin qu'adore mon chéri est d'un basique à toute épreuve. Il adore les situations entre filles. De préférence dans un joli et suggestif environnement. La photo de mon lien quoi...

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !














jeudi 16 juin 2016

894 Fessée pour nudité provocante 2


Au fil des années mes rêveries de fessée pour nudité aguichante se sont collées dans un décor de glamour sexy.

C'est la vie de tous les jours qui ajoute les ingrédients. Les magazines spécialisés pour montrer des filles plus ou moins dénudées étaient un véritablement phénomène de société à partir des années 70 en Allemagne. On en trouvait presque partout, dans les familles jusqu’à dans les salles d’attentes de pas mal de docteurs.

Pour mieux comprendre le contexte de l'époque voici un peu d’histoire…

La libération sexuelle des années 70 va de paire avec la révolution commerciale et l’arrivée de la consommation de masse. Il n’est pas étonnant alors que « l’industrie coquine » cherche à profiter de cette manne par des magazines les plus divers. Pour faire du grand tirage, il faut échapper à la censure. Présenter les choses d’une telle manière que les images ne choquent pas le grand public. Ou heurtent la sensibilité des mineurs.

En Allemagne la recette est simple. On mêle la nudité à toutes les sauces pourvu qu'il y ait de l'humour. Il est seulement interdit de montrer des parties génitales explicitement. A cette condition le magazine peut être vendu n’importe où et acheté par n’importe qui. Ce qui veut dire en clair que les messieurs par la spécificité de leur anatomie ne se prêtent pas à ce genre de publication. Pour les femmes c’est beaucoup plus simple. Elles sont dotées selon les méandres de la législation allemande d’une censure intégrée :

Les poils pubiens suffisent pour cacher ce qui est interdit de montrer.

Il en va de soi que les allusion au rasage pubien ne manquaient pas. Petit frisson à l'évocation d'un interdit et d'une limite à ne pas dépasser qui de nos jours donne un air rétro à ses publications avec ces dames aux toisons très fournies. Depuis dans ma génération l'épilation intégrale à fait un raz-de-marré en Allemagne. Toutes mes copines ont cédé à cette mode.

Ces magazines coquins ont a fertilisé mon imagination. On aurait dit des filles à moitié nues avec des sous-vêtements affriolants en déguisements de carnaval : Soubrettes, policières, militaires, danseuses, infirmières etc se dévoilèrent de manière assez impudique sans toutefois tout montrer. (A défaut de magazines allemands accessibles j'ai mis des liens de leurs équivalents anglais qui vont tout de même un peu plus loin). Laissant planer le doute (surtout pour un enfant) si au fond il ne s'agissait qu'une ambiance de fête entre filles. Ces magazines passaient bien parce que l’accent était toujours mis sur un humour « joie de vivre ». Calqué sur ce modèle, dans mes fantaisies...

... intervenait toujours une personne d’autorité, très en colère, homme ou femme, peu importe qui mettait une fin à ce qui semble ludique en appliquant une claquante fessée à chacune des participantes.

Il y avait également quelques rêveries concernant les fessées dans les vestiaires de filles. Comme la punition d’une rapporteuse ou des actes motivés par la rivalité ou jalousie. L'accent étant mis sur le côté humiliant de la fessée et nettement moins sur le côté sensuel.

A suivre...

mardi 14 juin 2016

893 Dispute avec ma mère 2 (Petite fiction ou non)


Du bienfait de l'éducation traditionnelle !

Rien que le mot « canne » me procure instantanément ce que l'on appelle du respect. Elle représente pour moi les bonnes manières à l’état pur. Je suis au coin, tenant un garde-à -vous irréprochable, devant ce morceau de bois qui sait changer significativement mes mauvaises habitudes. Une véritable baguette magique censée de me transformer en ce que voudrais être depuis toujours. Socialement difficile à admettre, mais le fondement pour moi de notre harmonieuse relation de couple. Sans se baser sur ma rationalité, bien entendu ! Seulement sur mon intuition qui semble me donner raison d’ailleurs au fil de nombreuses années de vie commune heureuse. Une femme modèle, dévouée compagne à son homme, moins égocentrique, moins narcissique. La fierté de son homme aussi. Celle qui n’est pas comme les autres. Celle qui se distingue justement par ses bonnes manières. Mes pensées tournent en rond. La canne reste immobile devant mes yeux.

J’abdique de mes droits de femme adulte.

Je frissonne devant un traitement qui me convient à la merveille. Qui me remet à ma place fantasmatique. J’aimerais avoir la punition déjà derrière moi. Mes fesses brûlantes par une correction qui me semble si nécessaire. Les cheveux en bataille et le maquillage coulé par les chaudes larmes de mon repentir. Me blottir dans le bras de mon homme pour lui remercier de ma correction si structurante.

Par la suite il se montre à la hauteur de mes espérances. Malgré mes protestations, malgré mes trépignements entre chaque coup de canne. Malgré mes promesses de toutes les coquineries du monde. Malgré un mea culpa bientôt chanté à haute voix et mes promesses de travailler dur sur mon comportement. Rien n’y fait.

On fera le tour de l’horloge, isabelle

Il me tarde minuit. Le douzième coup qui annoncera une nouvelle vie. Purgée d’une faute impardonnable. A aucun moment Monsieur abuse de sa force. Il reste dans le cadre d’une punition qui vise ma compréhension par la peau de mes fesses. Et non ma soumission par une douleur insupportable.

Enfin c’est fini. Je me sens bien mieux dans ma peau en me frottant le derrière et en sautillant d’une jambe à l’autre.

Tu peux garder ta tenue pour le reste de la journée, isabelle !

Trop généreux. Je sais qu’un nettoyage à fond de la maison m’attend. Et j’ai intérêt à ce que tout brille, si je ne veux pas risquer une mise au lit de bonne heure.

Un café mon chéri avant que je ne commence ?

J’essaye d’oublier la douleur qui persistera pendant de longues heures.

Oui et j’ai à te parler sérieusement aussi, isabelle…

Une heure plus tard, le tour de la question fait, je suis au téléphone. C’est la partie la plus dure de ma punition. Dépasser mon orgueil mal placé. Vis-à-vis de ma mère. Monsieur s’est fait clairement comprendre.

Maman, j’ai eu une discussion à la maison  à cause de notre dispute. J’ai compris beaucoup de choses. J’aimerais m’excuser pour mon comportement. J’espère de tout mon cœur que cela ne se reproduira plus.

Un instant de silence. Puis ma Maman visiblement très émue :

Merci ma chérie. Ça me tellement fait plaisir, isabelle ! Pense à faire des bises de ma part à ton homme. Avec lui je te sais dans de bonnes mains.

Depuis les relations avec ma mère se sont significativement améliorées. Il est devenu rare que je m’emporte. Au téléphone ou devant elle. Et je suis très contente de ce changement. Monsieur veille attentivement que je respecte ses consignes. Les révisions de ce programme se font encore, presque dix-huit ans plus tard, de temps en temps quand il y a nécessité. Avec autant de sévérité bienveillante qu’au début. J’aime cette constance chez mon homme. Ce n’est pas sa seule qualité. Ma mère qui l’adore lui trouve une autre entre autres :

Comme il est patient mon gendre. Il ne perd jamais un objectif de vue !

lundi 13 juin 2016

892 Expérience en plein air (Lundi cinéma)

...entre jeunes !

Ado, j'aurais aime vivre une expérience de fessée en plein air avec un prince charmant de mon âge. Un truc sympa, décontractée et surtout sans que le jeune homme se sente obligé de me prouver quoique ce soit. Étant moi même sur un terrain nouveau, il me paraissait clair de ne pas pouvoir attendre une prestation parfaite. Qui n'existe pas d'ailleurs! Le charme se fait tout simplement par un « découvrir ensemble » et vit de la maladresse de l'un comme l'autre. Un truc comblant un de mes fantasmes toutes simples :

Que le jeune homme me mette toute nue et me donne une bonne fessée.

N'étant nullement pudique j'aurais sûrement accepté cette proposition de la part de ce garçon qui n'a pas été le premier à me donner une tape sur mes fesses, mais qui a été le premier à s’appliquer avec fermeté sonore. Cela a fait tilt en moi, non pas en imaginant de jouissances formidables, mais en l'imaginant capable de créer une situation enviable au niveau professionnel avec une telle poignée de fer. Je n'ai jamais été romantique. Toujours dotée de mon pragmatisme isabellien ! Hélas cette fessée sur ses genoux ne s'est pas faite, ni dans l'intimité, ni à l’extérieur. Pourtant je me suis prise avec soin.

Pour vivre mes premiers émois du plaisir de la chair en toute sécurité, j'ai pu compter sur mes parents. Aucun problème pour amener un prince charmant à la maison. Pas de questions indiscrètes, pas d'envahissement toutes les dix minutes dans ma chambre sous un prétexte. Ambiance cool, je pouvais décider librement d'inviter le jeune homme pour rester pour la nuit ou non. Je me suis donc glissée dans ma vie d'adulte en douceur, à mon rythme et non pas à celui des garçons. Ma maman achetais même des préservatifs goût vanille, fraise, banane pour moi et mes frères. Et pour elle aussi comme j'ai pu m'en apercevoir un jour lors d'une discussion entre maman et fille quand elle m'a dit :

Moi j'ai un faible pour la fraise !

Toutefois ce jeune gars avait indéniablement un faible pour les fesses des filles. Chose rare à la fin des années... 80 qui faisait éloge des poitrines opulentes. Je me suis donc retrouvée sur ses genoux, ben oui … je me suis donnée vraiment du mal avec lui... et lui il m'a caressé avec enthousiasme mon derrière.

Et... il s'est si bien pris que j'ai oublié la fessée.

Comme je l'avais pressenti, il était doué ce gars, promis à un grand avenir !

vendredi 10 juin 2016

891 Liens de discipline domestique (221 ème édition)

Au menu cette semaine : Les yeux dans le dos


Après presque 18 ans de vie en commune mes fesses restent une source d'attirance majeure pour mon homme. Il ne se lasse pas de les regarder, habillées ou nues. Il ne se lasse pas les tripoter avec une préférence de remonter avec sa main le long de mes jambes pour se glisser sous mes jupes ou robes. Il ne se lasse pas de la bonne claque joviale qu'il m'applique quand je porte un jeans bien serré. Il ne se lasse pas de me fesser dans toutes les positions possibles. Et - très important - il ne se lasse pas de me complimenter... sur mes fesses aussi.

Il a aussi une autre qualité importante. Quand il se trouve devant mes fesses nues, dans une situation où il ne s'y attend pas, il marque un temps d’arrêt et son visage s'illumine comme celui d'un petit garçon dont le vœux le plus cher se réalise.

Miroir, mon beau miroir ? Ben non !

Des années de « pratique du coin » , m'ont donné un sixième sens. J'ai l'impression de voir ce qui se passer derrière moi. Enfin, c'est simple à savoir, je connais trop bien bien ses expressions. J'ai souvent les plaisir de savourer toute la gamme dans les situations les plus diverses.

Bref, parfois je le surprend ainsi le matin par ma nudité intégrale, pour notre petit déjeuner en tête-à-tête. L'émerveillement opère sans qu'il y ait forcement question de fessée. Il réagit (en laissant le petit garçon de côté) comme un ado pris en flagrant délit d'espionner l'intimité d'une dame. Un peu gêné, mais trop fasciné par ce qu'il voit pour pourvoir détourner son regard. Puis l'homme se saisit de lui, il retrouve son assurance imperturbable qu'il sait si bien afficher.

En manque d'idée pour t'habiller, isabelle ?

Superbe sujet ! J'adore écouter ses suggestions. Certes cela reste toujours dans le même registre, mais au fond je trouve cela fort rassurant. J'adore les habitudes. Et pendant que je bois mon café, le mâle en lui se réveille. Hors de question de me laisser partir sans gros câlin. Il reste dans un registre de plus banal en me penchant sur la table. Ben oui, je n'ai pas envie non plus de formalités et préliminaires, d'où ma nudité d'ailleurs, mais je prendrais bien quelques claques bien inspirées comme pousse-café...

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !





En route pour la fessée (petite série)


Double perspective (mini clip)





Un bêtisier ? (petit clip)






jeudi 9 juin 2016

890 La condition même de la jouissance

Ne tirons pas de conclusions hâtives sur l'emploi de la fessée punitive dans un couple!

Ce qui semble pour une personne extérieure, non habituée de telles pratiques, comme un forme de despotisme, voire de la violence conjugale peut prendre aux yeux d'un psy (...analyste... ben oui!) une signification toute autre. Familier des méandres de l'âme humaine, il sait regarder plus loin que les apparences :

« Ce qui est présenté comme un châtiment est la condition même de la jouissance sexuelle. » Joyce MacDougall

Une petite citation qui selon moi s’adapte parfaitement à l'essence du fantasme de la discipline domestique! Que la jouissance intervienne au moment du châtiment ou par décalage me parait un détail.

Ceci dit, il semble dans la nature de la discipline domestique qu'elle soit présentée d'une manière à induire en erreur le curieux.

Considérons d'abord la composante physique. Certaines dames avec un penchant pour la DD, comme moi par exemple, ne trouvent pas leur punition... jouissive. Du moins pas au moment de l'application. Si je ne parlais que de ce moment-là, bien évidement on se posera des questions pourquoi j'accepte de telles pratiques. Où se trouve mon plaisir ! J'ajoute donc que la fessée punitive me procure un effet de désinhibition qui permet des « retrouvailles » fulgurants.

J'ai suivi pendant de longues années un blog de discipline domestique en anglais. La dame qui le tenait se perdait dans de fort intéressants rationalisations, très sérieuses, en justifiant la DD sur un point de vue moral. Sans jamais évoquer un plaisir quelconque. Seul son besoin de punition/soumission apparaissait clairement. Malheureusement elle est tombée malade, perdant comme effet secondaire sa libido. C'est ainsi qu'elle s'est rendue compte ou du moins...

...qu'elle a avoué que sans composante libidinale... pas de discipline domestique.

N'oublions jamais que différemment des rencontres de fessée punitive sans sexualité explicite, la DD se passe dans un couple. Il y a donc forcement sexualité à un moment ou autre, bien que distincte de la punition.

Regardons maintenant la composante psychologique qui semble donner une allure de morale à la DD. Pour mieux comprendre il faut distinguer entre une morale, calquée sur un modèle de l'enfance qui punit pour faire « quelqu'un de bien » et une autre morale qui punit pour faire physiquement ou psychiquement « du bien » !

Entendons par cette dernière formulation un acte en apparence punitif qui sert à provoquer de plaisantes stimulations sexuelles !

Concernant la DD, la confusion entre ces deux morales est flagrante, voulue, entretenue et cultivée par le vocabulaire. Par conséquence il convient à mon avis de ne pas prendre les textes sur la DD à la lettre ou du moins savoir les lire entre les lignes...

mardi 7 juin 2016

889 Dispute avec ma mère 1 (Petite fiction ou non)

Apprendre les bonnes manières

Monsieur a horreur que je m'engage dans les disputes. Il ne supporte pas que je ton monte. Il est un adepte d’un échange calme et posé. Je me demande comment il fait pour garder la tête froide en tout circonstance. Je l’admire beaucoup sur ce point.

Ce matin-là - début de notre vie commune – il a été témoin pour la première fois que je monte le ton. Au téléphone. Et que je devienne même insultante. Criant à haute voix et je ne faisant pas bonne figure du tout. Pourtant rien de bien méchant. Plutôt du folklore entre deux dames à sang chaud, mère et filles. Pour une broutille qui n'en valait pas la chandelle. L’une comme l’autre, nous regrettons toujours avec le recul ce genre de théâtrale discorde. On passe l’éponge et basta. L’une comme l’autre nous ne sommes pas rancunières. Mon Papa pourrait en parler en long et en large. Il lui est même arrivé d’éclater de rire en face de ces deux femmes de sa vie qui se querellaient avec ardeur. Réaction fort imprudente qui lui a mis aussitôt mère et fille sur le dos. Le pauvre.

Monsieur porte un regard bien différent sur ce genre de scène. Mais je ne le savais pas encore. La conversation se termine sur un coup d'éclat, car je jette jeté bruyamment l’écouteur sur le combiné. Très en colère, je me tourne vers mon homme.

Tu n’imagines même pas ce qu’elle a osée me dire, ma Maman.

Pas besoin d’imaginer, isabelle. T’as crié tellement fort.

Fort remontée, je me prépare à passer mes nerfs sur une autre personne. C’est presque un réflexe depuis mon enfance dans une telle situation. J’ai raison et je veux être approuvée. Mon Papa m’approuvait et m’approuve presque toujours. Je m’apprête à reproduire le même mode de fonctionnement.

Et alors. Je n’ai pas raison !

Non !

Je marque un temps d’arrêt, tellement sa réponse est sèche. Je reste la bouche ouverte et mon regard fusille mon homme.

Va voir si je suis.

Monsieur a une réaction qui me surprend. Que je ne connais pas. Il m’attrape à l’oreille et cela me mets dans une mauvaise posture.

Tu es mal élevée, isabelle. Je vais m’occuper de ce que ton père a oublié de t’inculquer. Le respect pour ta mère. On reprendra ton éducation à zéro.

Là, je me sens toute petite. Pas uniquement parce que je trouve que mon homme a bien raison. J’ai dépassé des limites qui ne se dépassent pas. Étrange de me rendre compte seulement à l’âge adulte. Je rougis. C’est bien rare.

Un petit instant plus tard, je médite presque toute nue au coin devant un instrument récemment acquis. Une belle canne en rotin. J’ai déjà fait l’expérience du bien fait de cet instrument qui sait me remettre les idées en place. C’est douloureux sur le coup, mais l’effet y est. Et c’est ce qui compte aux yeux de Monsieur. Et aux miens aussi par la même occasion.

J’ai dû mal à comprendre comment certaines personnes arrivent à prendre plaisir à la canne.

Je parle de ceux qui la reçoivent bien entendu. Certes, la situation est un peu ambiguë et hautement psychologique. Monsieur a insisté que je garde mes sous-vêtements. Quelques unes au moins. Je déteste quand je suis punie, vêtue seulement du stricte nécessaire qui me rappelle mon statut de femme adulte. Apparence bien coquine, faisant honneur aux grands moyens qu’une femme emploie pour séduire son homme. Pour lui changer les idées, pour le mettre dans sa poche.

Mon rêve de jeune ado, de me parer enfin de bas et porte-jarretelles, comme les séductrices chevronnées, me pèse lourdement en ce moment. Malgré mes apparences de grande dame, je vais me retrouver sous peu dans une situation de plus inconfortable. Elle me rappelle mes rêveries des pensionnats de jeunes filles. Elles étaient si plaisantes à imaginer. Sauf qu’entre temps j’ai bien saisi la différence entre une réalité douloureuse et un amusement de plus agréable avant de m’endormir.

A suivre...

lundi 6 juin 2016

888 L'art du sermon (Lundi cinéma)

Incroyable ! Monsieur a des choses à dire...

et ne se prive pas de la faire. Pourtant d'habitude c'est moi qui parle tout le temps. Voila donc un excellent moyen de remettre les pendules à l'heure et pour évacuer les mauvaises tensions. Les siennes... je précise. En verbalisant haut et fort ce qui ne va pas dans mon comportement, sortent parfois des petits non-dits fort constructifs. Des rancunes de rien du tout dont je ne me serais pas doutée pour le moins du monde. Notamment que mon chéri se trouve dans un état désinhibée à cause de mon fessier tout nu devant ses yeux, à cause de la belle sonorité que provoquent ses tapes, à cause du rougissement de mon épiderme et aussi à cause de mes gigotements et de mes petits cris.

Bref c'est le moment de la vérité pour lui et pour moi.

Il faut oser et assurer. Il faut du courage aussi pour ouvrir son cœur dans une telle situation. Ah comme c'est rassurant un homme qui sait s'exprimer et qui sait s'imposer.

Nous sommes en quelque sorte dans la loi du talion, dans l'archaïsme du juste châtiment et dont la bible parle déjà du bienfait de le recevoir.

Comprenons « bienfait » dans un sens double, charnel et spirituel et laissons planer la confusion sur les deux notions pour créer un joli trouble. Évidement dans une telle situation le moindre geste déplacée sera fatal pour briser la magie de l'instant. Le doigt vagabond du monsieur risque d'être vécu par la dame comme un sacrilège. Il faut être naïf pour croire qu'une personne adulte se soumette à un tel rituel uniquement par pur plaisir. Il y a d'autres composants plus profonds et plus subtils que se faire claquer le derrière qui pousse une personne à se livrer à une cérémonie d’expiation d'un autre âge. C'est le mélange qui crée l'ivresse. Et rien ne vaut un monsieur dont le discours et le sermon sont à la hauteur de la situation. Comme l'habilité de certains prêtres dans le temps qui avaient un succès fou avec bien de dames en les aidant à absoudre leurs péchés par une bonne et claquante fessée. Tous les ingrédients nécessaires pour apaiser son âme.

Regardons l'exemple d'un grand spécialiste du sermon avec châtiment corporel, un fesseur habile du 17ème siècle, le frère Cornelius Hadrien et sa disciplina gynophygia, présentée par lui-même d'une façon qui fait (me) rêver:

Étant donné que vous ne pouvez pas rester avec un tel poids de péchés et désirs à l’intérieur de vous, il faut les sanctionner par une punition venant de l’extérieur, suivie d’une repentance.

Et notons avec quel ingénieux stratagème il sait rassurer les dames craintives :

Cornelius donna rendez-vous à ses ouailles dans sa chambre de discipline qu'il avait mis en place chez une amie de confiance. Une fois la pénitente arrivée, l'hôtesse – avant de l’accompagner à la chambre de la discipline - lui donna une baguette en bois avec la consigne pour la prochaine fois, d’acheter un balai, de défaire les verges et de les apporter à chaque fois.

Bref, une confession, un sermon, une mise à nu pour se mettre en position de pénitence, puis cette rassurante poésie du châtiment qui suit inévitablement la faute. Certes tous le monde n'a pas un sens religieux, mais avoir un homme sur lequel je peux compter pour me débarrasser de mon besoin de punition est fort rassurant. Surtout s'il sait ajouter une bonne dose de théâtralité.

Savoir sermonner la dame, pour moi c'est un art à part entière.

vendredi 3 juin 2016

887 Liens de discipline domestique (220 ème édition)

Au menu cette semaine : Secret de fille !


Selon mes expériences il ne suffit pas qu'un garçon s’intéresse aux filles. Cela ne veut rien dire en soi et peut-être son intérêt ne va pas plus loin que le désir de satisfaire aux mieux ses titillements sous le caleçon. Mieux vaut en trouver un dont la curiosité sexuelle concerne le plaisir des filles. Je n’entends pas par-là de vouloir comprendre comment fonctionne leur plaisir, ce qui est impossible, mais tout simplement...

vouloir savoir comment font les filles pour se procurer du plaisir.

Le sujet est délicat, surtout si la fille est pudique. Mais si le monsieur est discret, veut dire de ne pas se vanter devant ses copains de ceci et de cela concernant les détails intimes, se construit tout doucement une confiance. Par exemple mon chéri m'a vue un jour assise sur la machine à laver qui était en train d'essorer. Il n'a pas établi le lien tout de suite, croyant que j'attendais avec impatience la fin du programme. En fait l'expression quelque peu crispée sur mon visage venait de mon impression d'être prise ne flagrant délit. Il n'a pas vraiment cerné la situation ce qui a fait appel à mes élans d'initiatrice.

Je l'ai invité pour un rdv vanille sur la machine pour le deuxième essorage.

Là il a compris et très bien compris. Depuis quand il me voit regarder avec envie une superbe selle en cuir, il sait que je ne bave pas à l'idée de prendre des cours d'équitation, mais que je suis déjà en train de me projeter dans une fantaisie délurée basée sur le frottement.

Il a compris également que je ne porte pas de bas et des tailleurs à jupe droite dans un soucis purement esthétique ou narcissique , mais parce que je compte sur l'homme de ma vie pour explorer le terrain dans des situation émoustillantes : Dans un ascenseur, dans un parking sous-terrain, sous la table d'un restaurant. Il a appris que les choses pour empêcher la vilaine main cachent des sensations particulières en les portant. Il a cerné l'inutilité de certains manœuvres. Puis je lui ai dévoilé un truc « cochon » qu'il a super apprécié pour qu'il découvre enfin le grand secret.

Ben oui, bien de filles savent faire sans les mains...


Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !














Bien rouge (deux images)




jeudi 2 juin 2016

886 Fessée pour nudité provocante 1

Le « déculottage » d'un fantasme pas à pas !

Mes fantaisies les plus anciennes ne sont pas inspirées par des images, textes ou souvenirs réels de fessée. La raison est simple. Quand j'étais enfant la fessée ne faisait plus partie des coutumes sociales dans le milieu où j’ai grandi. Mais elle est restée présente dans le langage de tous les jours. Ce sont les allusions verbales, les petites plaisanteries autour du sujet qui ont stimulées ma curiosité. Il est signifiant que ces allusions furent prononcées en rapport avec mon péché mignon de ma petite enfance, de me montrer toute nue et que j'ai essayé de prolonger vers mes 6, voire 7 ans. Sur cette base il s'est formé à l'adolescence un fantasme du style :

J'aime être punie quand je présente ma nudité, intégrale ou partielle de manière provocante !

Voyons un peu ce développement. Mes parents étant grands amateurs du naturisme, j'ai dû sentir quelque part qu'il existe deux formes de nudité. L'une qui est « innocente », naturelle et sans arrière pensée. L'autre que l'on dit biblique n'est « pas innocente » et s'entoure d'un interdit social, car elle se lie au frisson du plaisir charnel de se montrer nu. Bien que cette différence ne se soit pas présentée à moi à cette époque en termes clairs, elle s'est toutefois élaborée au niveau de mes rêveries dans lesquels l'on imposait à quelqu'un pour une raison ou autre la nudité. Et si la personne refusait, c'était la fessée. En tant que spectatrice, j'ai assisté dans ma fantaisie avec volupté à des examens médicaux, des punitions humiliantes et brimades s’acheminant toujours vers une nudité intégrale ou partielle devant un habile public moqueur.

C'est ici précisément que s'envole en éclat l'illusion de l'innocence enfantine. L'apparente « innocence » n'en est pas une pour la simple raison que c'est l'enfant lui-même qui élabore activement son fantasme. Toutefois il conçoit la réalisation fantasmatique de son désir sur un mode passif de sorte...

...ce n'est pas moi, c'est une autre personne qui m'a entraîné.

Ou encore, je ne faisais que regarder. Il suffit de lire quasiment n'importe quel récit sur la genèse du fantasme de la fessée pour se rendre compte qu'ils suivent un même schéma passif. La personne reçoit une fessée, appliquée par un adulte ou du moins devient témoin d'un telle scène. C'est donc l'adulte qui est censé d'être responsable d'avoir transmis le goût pour notre sujet. Ce raisonnement est compréhensible. Même en sondant scrupuleusement sa mémoire, la construction des fantasmes de cette époque ne permet pas sans aide de retrouver le « terrain favorable » préexistent qui par le biais d'un vécu ou tout simplement par l'imagination a été fertilisé.

Il y avait un grand changement pour moi à l'âge scolaire. Intervenait alors une sorte de faute, très répandue aussi dans les récits, qui est le mauvais carnet de note ou la perturbation des cours. A partir de maintenant c'était la faute prétexte qui soutenait la rêverie. La nudité apparaissait sous forme de déculottage, soit dans un cadre privé, soit devant la classe, suivie de la punition sous forme de fessée. Là encore difficile de détecter le plaisir de montrer ses fesses toutes nues, car comme le rêve, le fantasme aussi utilise ses différents éléments dans l’ordre qui l'arrange justement pour cacher le désir. Soyons admiratif du travail de notre inconscient qui édite à partir de ce matériel une histoire de plus cohérente de punition pour faute réelle. Le tout dans le but de cacher un exhibitionnisme latent. Pas étonnant que la honte s’emmêle et la punition nous semble fantasmatiquement de plus méritée...

A suivre...