jeudi 31 janvier 2013

275 Provoquer avec mes fesses rouges 1


(En complément de : Home sweet home)

Comme c'est inspirant d'exposer un derrière tout rouge qui brûle.

La punition est finie et enfin pouvoir prendre de l'air frais, cela apaise quand même sacrement une peau tannée avec soin. Comme on dit en allemand, le meilleur moment est celui quand la douleur commence à relâcher. Ma conscience tranquille après avoir payé mes méfaits à leur juste valeur, mon corps se prépare à ce qui est la partie jubilatoire des châtiments corporels. Hein oui ! Ne nous voilons pas la face, une discipline domestique sans la moindre récompense charnelle n'existe même pas dans les anales de l’hystérie de conversion. Et il ne me semble pas un hasard qu'une certaine DD chrétienne insiste assez lourdement sur une sévérité exemplaire en vu de finir ou du moins essayer de finir avec les plaisantes sensations qui donnent justement cette envie de vouloir marcher à la baguette. La DD, peu importe sa forme exacte, est un concept éducatif vraiment intéressant, car ce qui est sensée à la base créer la dissuasion devient objet d'innombrables rêveries diurnes. Et même d'activités manuelles sous la couette parfois quand le partenaire est absent. Mais bon, mettons les rêveries de côté et considérons la situation entre les deux personnes qui forment un couple. Méditation du monsieur sur la grande question hautement existentialiste:

Toucher avec les yeux ou toucher avec les mains.

C'est le germe du voyeurisme et le germe de ...l'exhibitionnisme. Car effectivement moi aussi je suis troublée par un regard que je crois sentir et même me caresser. Fantastique ce que l'imagination peut provoquer comme effet une fois le terrain sensibilisé. J'ai deux possibilités pour répondre :

Passivement en laissant mon homme regarder mon derrière tout nu ou activement en lui montrant cette partie de moi.

La nuance est infime, subtile. Mais elle existe et le plaisir de mon chéri se trouve quelque part dans cette constellation. Alors je suis tout bêtement mes sensations. J'ai très mal au fesses et je ne me prive pas de les frotter ostensiblement. Je sais également de l'expérience que de m'étirer soulage agréablement. Il faut le faire de manière très lente pour détendre chaque muscle, ce qui donne à l'ensemble un air d'un exercice de plus sensuel. Sans oublier de pousser quelques soupirs - cela fait vraiment du bien - qui peuvent autant exprimer une sensation douloureuse que le début d'un état d'excitation agréable.

Je vais te passer la crème ce soir, isabelle !

Ah, monsieur réagit. Là il n'est plus question de toucher avec les yeux. J'ai l'impression qu'il cherche ma confirmation, mon accord pour toucher pour du vrai. Notons que je reçois des punitions pour améliorer mon comportement et non pour servir sans broncher à un usage sexuel. Et même si je veux bien, ce n'est pas un dû ! Mais là, c'est diffèrent. Ah, de la crème. Je vois immédiatement mon plaisir perso. Mon homme qui souhaite s'occuper de moi. Et dans ce cas j'adore ses mains baladeuses et ses doigts bien glissants qui explorent mes secrets intimes. Puis une fois de la crème partout, partout... c'est tellement agréable de se laisser aller sans modération.

A suivre...

mercredi 30 janvier 2013

274 Petite réflexion sur le monde ségurien (réédition)


Le fouet ne m’évoque pas grand-chose.

Je me souviens d’une scène dans un des films « Angélique ». Je l’ai vue gamine, puis ado. C’est passé à côté de moi sans que mon imagination ne divague en direction fessée. Un peu idem pour mes lectures de « De Sade » ou « L’histoire d’O ». Aucune étincelle. Pour De Sade un souvenir de quelques phrases intéressantes dans un univers fantasmatiquement ennuyeux à mon goût. Et pour l’histoire d’O, ma foi, rien à signaler non plus. Je n’ai jamais fini ma lecture. Il me manque l'étincelle pour la poésie de la dame qui fait tant de choses par amour. Qui souhaite s’offrir corps et âme. Qui peut éprouver un plaisir dans la servitude. C'est certainement une des raisons que je ne ferais pas une bonne soumise désireuse de combler son maître.

Je crois que l’univers des adeptes plutôt« séguriens » bien qu’il y ait allusion au fouet, se base sur d’autres attraits que les univers « sadiens ». Simone de Beauvoir apporte une réflexion intéressante sur ce qui est l’essence du ségurien selon elle, en constatant d’abord que le héros privilégié n’est pas un homme, mais des femmes. Puis elle ajoute :

« Les livres de Mme Ségur sont une curieuse exception : ils décrivent une société matriarcale où le mari quand il n’est pas absent joue un personnage ridicule… »

Ce qui m’évoque la pensée suivante :

Le fantasme de la discipline domestique serait-il un contrecoup du matriarcat ? Le désir que le monsieur revienne et prenne les choses en main … ferme ?

L’idée ne me parait pas absurde et je m’y retrouve sous bien de points de vue. Littéralement dans le sens que ce soit le monsieur qui porte le pantalon dans mon couple. Évidement l’expression « porter le pantalon » demande précision. Et c’est là où se pose la difficulté. Mes éléments associes à « porter le pantalon » n’ont rien de rationnel. Il faut les décoder un par un et les remettre dans le contexte de notre société actuelle. Ils ne se confondent pas avec une position patriarcale d’antan ou encore avec un machisme primaire. L’acquis social de la femme m’est naturel. Il existait déjà quand j’étais petite gamine et il faut en tenir compte. Je reconnais, qu’il n’est pas facile pour un monsieur de démêler tout cela. Il faut être attentif à la dame avec une oreille qui attend plus loin qu’une simple réalisation d’un plaisir récréatif. Et surtout ne pas hésiter à poser des questions…

mardi 29 janvier 2013

273 Bonne correction


...sur le derrière tout nu !

Voila qui traduit au mieux l'expression allemande « auf den blanken ». Ajoutons qu'il s'agissait de mon premier fantasme récréatif et qui marque un changement signifiant à rapport de toutes mes rêveries de mon enfance. Subitement la punition change de visage, perds sa primauté et se détache de la personne d'autorité de l'âge de mon papa ou de ma maman. Fantasme de plus basique, avoué à petite voix à ma meilleure copine qui se montre toute guillerette en m'imaginant sur les genoux d'un beau jeune homme du voisinage. Accent sur le beau concernant le garçon et accent sur la nudité concernant la fille. En fait je ne me souviens même plus si la nudité était imaginée intégrale ou seulement partielle concernant mon derrière. Voila le fameux stade génital qui s'annonce avec une force inouïe devant laquelle les détails s'effacent. Raison de plus de mon étonnement au sujet des poètes qui essayent de mettre en mots tendres ce qui se présente comme une ouragan.

A croire que Marie Bonaparte ne s'est pas trompée sur le rôle de la fessée sur le chemin de la sexualité vers la femme adulte. Pour ma part j'ai commencé d'un jour à l'autre de me payer des sueurs pas possibles en évoquant une telle scène. Le jeune homme ne fait pas dans la dentelle. Il ne cherche même pas de prétexte pour me déculotter et me passer sur ses genoux. Il agit tout simplement et moi j'en suis ravie. Puis il claque mes fesses. Il claque fort et cela s'entend de loin. Sorte de rite d'initiation par lequel il faut passer. Cela fait mal. Sans trop toutefois. En fait ce n'est pas si terrible comme imaginé. De quoi pour lui faire confiance et quand il me relâche, il se montre particulièrement tendre envers moi. Alors pourquoi ne pas aller un peu plus loin ?

En réalité, cette petite scène est restée un fantasme pendant mon adolescence. Les choses initiatiques se sont passées autrement, sans hâte, sans stress et dans des très bonnes conditions. Et depuis j'aime les galipettes sous toutes les coutures. Sans toutefois à avoir renoncé à mes premiers amours. Il m'a fallut quelques années de plus pour aller au bout de mes fantasmes qui sont en effet pas si nombreux que l'on puisse imaginer. Je suis pleinement satisfaite par ce que je vis, heureuse dans mon couple et heureuse dans ma vie familiale. C'est environ deux fois par semaine que mon homme me mets les idées bien en place (je parle de la fessée et non de nos autres activités conjugaux) sans qu'il y ait tentation de nous engager sur les chemins escarpés d'un raffinement sensationnel. Loin d'être psychorigides, la fessée se présente aussi parfois comme petit prélude à nos ébats amoureux et il n'est pas pour me déplaire non plus que mon homme me claque très fort le derrière dans certaines positions. Pas à chaque fois, j'ai horreur du systématique, mais quand il s'agit d'une surprise cela en est une bonne je trouve.

Plutôt kamasutra tous le deux, cette agréable détente physique nous importe plus que la découverte de pratiques nouvelles et encore plus nouvelles. Peu de chance de nous trouver dans un club, dans une soirée pour adultes ou en excursion chacun de son côté. Nous aimons trop les pantoufles et les mules à pompon. Quant aux jouets la question ne se pose plus depuis pas mal d'années.

Par contre étant très romantique, il m'arrive de temps en temps une folle envie pour réaliser mon fantasme « charnière ». Nom de code de l’opération :

Chéri, tu me montres comment font les vilains garçons avec les filles ?

lundi 28 janvier 2013

272 Autopunition


Je savais que certaines personnes aiment recopier des lignes en guise de punition.

Parfois des centaines de fois. Ce qui me vient spontanément à l'esprit c'est le côté ennui, répétitif et aussi corvée inutile. Pour ma part je préfère comme sanction (outre une bonne et claquante fessée) de cirer les meubles ou faire briller le carrelage à s'y voir dedans. Au moins que ma punition serve au bien-être familial. Par contre en me promenant un peu sur le net j'ai pu me rendre compte que mon préjugé de l'inutilité est vraiment … sans fondement. Voila donc un artiste qui met en vente ses œuvres d'autopunition. Il fallait y penser.


Fait divers qui me rappelle mes débuts en France. Je ne connaissais pas grand monde et je m'ennuyais terriblement. Je suis allée alors dans la bibliothèque locale pour me distraire un peu. Il faisait chaud et je me promenais au hasard dans le rayons. Il y avait une section bien fournie qui contenait des livres avec des méthodes pour apprendre à se motiver. En vue d'une grande carrière bien entendu. Faisant partie des personnes très travailleuses avec des résultats … très médiocres, mon intérêt fut immédiatement capté.

Il s'agissait en majeure partie de traductions d'ouvrages anglo-saxons dont je ne me souviens plus les titres. Mais j'y ai fait une découverte de plus étonnante.

Un des auteurs conseillait de commencer sa nouvelle vie avec l'achat d'un solide martinet.

Oui, oui j'avais bien lu. Je pense que le martinet était une petite plaisanterie culturelle de la traduction française, car la culture américaine ignore cette chose si familière de chez nous dans le temps. Je pencherais pour un paddle dans le texte d'origine. Peu importe. L'auteur continua sur un ton de plus sérieux en suggérant de l'accrocher bien en vue sur sa place de travail. Là j'ai décroché. Je n'essaye même pas d'imaginer un martinet pendouillant sur mon bureau. Il me serait impossible de me concentrer et je passerais mon temps à m'évoquer les contextes les plus divers qui nécessiteraient son emploi. D'ailleurs notre vaillant conseiller n'aborde nulle part une réelle utilisation de la choses. Il part du principe que l'on se met tout naturellement en mode travail quand la punition se trouve en permanence devant le nez.

Évidement en rentrant chez moi l'idée de l'autopunition m'a traversé la tête. Je me voyais mal de me déculotter toute seule pour m'appliquer des cuisants châtiments en cas de mécontentement avec moi-même. Notamment qu'il m'arrive souvent d'être mécontente de moi-même. Le plus souvent pour un rien. Je ne me sens pas vraiment harcelée par mes petits défauts, mais je ne dirais pas non dans un contexte propice de me faire corriger par une main ferme. Résumé de cette petite histoire. Je n'ai pas réussi à faire carrière, mais j'ai réussi à me créer des conditions propice pour des corrections régulières...

vendredi 25 janvier 2013

271 Liens de discipline domestique (46 ème édition)


Au programme cette semaine quelques fantasmes très répandus, mis en scène joliment dans des petits clips publicitaires. Précisons que les deux marques qui essayent d'attirer de la clientèle de cette manière très provocante, ne se sont pas inspirées de « Cinquante nuances de Grey ». Leurs allusions aux jeux claquants datent bien avant le célèbre livre.

Commençons par la belle mère. Question à mon chéri : As-tu déjà envisagé de claquer le popotin de ma maman ? Mais oui mon poussin. Oh le vilain. Tu me ferait cela. Tu n'as pas honte de fantasmer sur les fesses de ma maman. Et toi isabelle, tu as déjà imaginé de recevoir une sévère fessée par ma mère ? Avec sa fameuse ceinture ? Je rougis et je me tais. Puis en deuxième partie dans ce clip, la dame fait une surprise à monsieur. Tenue de femme dominante. L'effet ? Selon mes expériences Monsieur adore sans toutefois se laisser dominer. J'aurais donc un peu l'air bête avec ma cravache en main.


Passons au fantasme de la prof sévère. Avec chignon et lunette s'il vous plaît ! Provocante à souhait sur ses hauts talons, elle fait sa rentrée en tailleur ultracourt avec des inévitables bas et porte-jarretelles, mais surtout sur une musique qui fouette et quand elle tape avec la règle sur table la sonorité est vraiment convaincante. On dirait que mon homme se défoule sur mon derrière. J'ai des petits frissons partout. Et Monsieur aussi, mais pour d'autres raisons. Je crois qu'il fera appel dans les prochains jours à sa parfaite secrétaire.


Puis un autre grand classique des grands garçons. Observer une dame en toute discrétion. Notamment quand la dame est parée de belle lingerie et de plus s'applique une petite tape sur ses fesses avec une règle. J'adore quand les messieurs se mettent à raconter ce genre d'anecdotes. Il y a un peu de gêne au début devant une femme, mais quand je commence à rigoler « un peu bêtasse » comme je sais si bien le faire, l'atmosphère se détend et l'ambiance change dans un concours de la plus belle histoire. Alors je rigole encore plus et en échange j'ai droit à encore d'autres confidences. Quoiqu'il en soit, j'ai à juste titre une réputation de discretion exemplaire et cela semble délier les bouches.



Sur ce je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !





















jeudi 24 janvier 2013

270 Vilaine marque

Quand je suis en colère je ne fais pas semblant !

Étant irrésistiblement attirée par les miroirs, il en va de soi que notre salle de bain est équipée d'une manière que je puisse me voir sous toutes les coutures. J'aime bien examiner mon popotin après une copieuse punition pour m'enivrer des jolis rouges ou parfois aussi des stries laissés par certains instruments. Rien de bien méchant. Cela ne persistera pas longtemps. C'est alors un jour au petit matin que je découvre une marque disgracieuse sur une de mes fesses. Un gros bleu qui a déjà commencé à virer de teinte. Aucun doute c'est l'effet de ma correction (bien méritée ceci dit) de la veille. Et aussitôt ma bonne humeur s'envole. Je ne perds pas une seconde pour voir mon homme. Éventuellement même de le tirer du lit s’il dort encore. Mais non , il est déjà réveille et profite de la caleur de notre nid douillet pour s'étirer un peu. Quand je suis lancée je tire sans prévenir.

C’est de ta faute !

Qu'est-ce qu’il t’arrive mon poussin ?

Tu as vu mes fesses ?

Monsieur regarde attentivement. Il a l’habitude que je fasse parfois éruption un peu brusquement. Quand je suis de mauvaise humeur pour une raison bien précise et j'estime qu'elle incombe à mon homme. Mais aussi quand j’ai absolument besoin de lui. Un truc à la maison qui ne fonctionne pas par exemple.

Ma marque ne le laisse pas de marbre. Je vois qu’il est désolé. Désolé non pas pour m’avoir appliqué une fessée la veille, désolé parce qu’il n’aime pas les bleu qui virent et quil considère « son travail » comme mal fait. Puis il réfléchit, me pose des questions et se souvient subitement d’un choc par inattention entre mes fesses et un étalage dans un supermarché. Je suis terriblement maladroite dans la vie courante au point de ne plus y faire attention. Tellement j'y suis habituée. Ce matin-là, c’est flagrant. J'avais déjà complètement oublié cet incident.

Alors c’est moi qui rougis et je reconnais ma mauvaise fois. Mon chéri me trouve assez punie avec ma marque. Je m’en tire avec un bon conseil :

Réfléchis un peu avant de me tirer du lit, isabelle ! Sinon la prochaine fois…

Je me glisse à ses côtés et je tire pour aujourd'hui le rideau…

mercredi 23 janvier 2013

269 Le vrai domaine de la fessée


Oh le beau témoignage. Comme c'est agréable de lire une telle approche.

Curieuse, ah oui, je le suis. Et j'aime beaucoup quand on me parle de ses expériences, se ses pensées, de ses émotions concernant notre sujet favori. Le courrier que je reçois est souvent d'excellente qualité. Malheureusement la plupart des personnes ne souhaitent pas une publication. Alors je reste discrète et j'apprends beaucoup de choses en cachette. De toute façon je ne publie rien sans l'accord de l'auteur. Notons aussi que je suis très mauvaise correspondante par manque de temps. Je publie en moyenne 5 articles par semaine, ce qui n'est pas négligeable quand il s'agit des messages à texte. Je passe un bon moment de la journée dans la recherche, je poste quelques commentaires quand le sujet m'interpelle et voilà, le reste du temps je m'occupe de mon enfant, de mon homme et de mon foyer.

J'ai reçu il y a quelques jours un mail commençant par un fort intéressant témoignage sur la façon d'aborder le sujet. Le voilà !

Je voudrais revenir sur le fait que par expérience il n'y a effectivement pas de relation avec les vêtements, les métiers etc et que c'est bien le dialogue qui au départ amène et m'a amené des expériences. Depuis que j'ai ressenti ce fantasme en moi, ces picotements lorsque j'entendais le mot fessée depuis l'enfance.

Au cours de mes différents points professionnels j'ai pu tester les personnes sur ce sujet, je dirai même que le terrain professionnel est le meilleur qu'il puisse existé. En fait parler de ceci à une amie, une copine, me parait plus difficile qu'à une collègue...

Le dialogue : oui j'ai souvent utilisé ce mot magique dans diverses situations et je me suis aperçu que même si la femme n'avait aucun intérêt pour vivre la fessée ou bien même qu'en parler je n'ai jamais eu de réactions méchantes, insultantes. Ceci n'est jamais arrivé devant le mot fessée, alors que j'imagine bien qu'un homme s'adressant directement à sa collègue en lui disant : tu veux pas baiser, ou tu veux pas me faire une f.......etc doit avoir des réactions violentes, des insultes, comme pervers voir même des plaintes au niveau hiérarchique et c'est bien normal.... Alors que de lâcher discrètement : il y a des fessées que se perdent, tu vas voir si tu continues etc etc amène généralement de la curiosité ou bien des réponses tu n'oseras pas, ou bien gentiment des  : non c'est pas mon truc. En tout cas je n'ai jamais été mal reçu et j'ai vraiment durant ces années pas mal utilisé cette situation et j'ai toujours pu réaliser des rencontres pas forcément pour pratiquer mais aussi pour dialoguer ce que j'aime bien aussi.

Il faut donc du dialogue et de la patience et on finit par rencontrer des personnes sensibles à ce fantasme très répandu finalement.
Par contre c'est après et bizarrement qu'intervient les vêtements. Je me suis aperçu sur deux femmes, la quarantaine à qui j'ai pu donner une fessée que par rapport à leur tenue habituelle au travail et bien le jour J elles avaient toutes les deux une tenue différente qui fait penser à des situations de leur enfance et de leur fantasme. C'était troublant, l'une plutôt petite fille l'autre plutôt sportive.....


J'ai un peu la même impression que ce charmant monsieur. Le fantasme (et non pas la pratique ; du moins pas pour l'instant) est très répandu. Peut-être parce que je me retrouve dans la démarche décrite qui reste légère, digeste, agréable, bon enfant. Pour ma part je l'applique dans mon entourage et je ne manque pas de discussions à ce sujet.

Alors séduite par ce témoignage je demande une autorisation de publication et là outre une réponse positive, ce magnifique constat de bon sens :

J'ai appris au fur et à mesure des conversations et des pratiques à d'une part ne pas être insistant et "boeuf" et d'autre part de rester dans le vrai domaine fessée avec toutes ces possibilités, mais ne pas déborder...

... à l'époque la fessée n'était pas si terrible. C'était une punition très courte et j'aime retranscrire exactement ce qu'elle était et ce qu'elle est.

Je ne saurais mieux dire de ce que je cherche dans cette pratique. Et idem certaines autres Miss Vanille que je fréquente dans ma vie de tous les jours. Désolée pour ceux qui aiment des pratiques plus corsées et qui durent, durent, mais dans ce cas il me semble que nous sortons de la version du fantasme très répandu...  

mardi 22 janvier 2013

268 Interdiction de porter des jeans

J'ai l'interdiction de porter des jeans à la maison !

Si je ne respecte pas scrupuleusement cette consigne mon homme n'hésitera pas de me passer sur ses genoux. Et moi j'y trouve mon compte. Soyons caricaturaux. C'est l'essence même de la discipline domestique quand on la regarde à tête reposée. En fait le très raisonnable « cogito ergo sum » dont parles Descartes se fait narguer par les fantaisies de ses pulsions. Et non seulement il cède, mais en plus il essaye de donner quelques explications pour ne pas perdre sa face. Et justement « perdre la face » n'est pas une expression anodine. Elle indique en quelque sorte un riche souterrain fantasmatique qui invite le regard d'autrui de se tourne vers ce qui reste : par exemple... le côté derrière.

Se faire interdire un vêtement sous peine de punition, voilà encore une de ses « confidences isabelliennes» qui montre bien les aberrations de la discipline domestique. Aux yeux de certaines personnes il vaut mieux être une soumise qui s'abandonne aux exigences d'un vrai maître (avec un grand M) qu'une sotte Miss Vanille sous la tutelle d'un abominable macho en se faisant claquer les fesses pour un gâteau brûlé ou comme dans mon cas pour l'audace de se vêtir d'un jeans. Car n'oublions pas, notre soumise se soumet pour son bon plaisir, pour des révélations pas possibles sur elle-même, dans un noble but initiatique etc ...tandis que moi je suis sensée de ramper devant un patriarche à l'ancienne :

Au feu les jeans, ces horribles symboles des temps modernes ...

Hein oui, mon chéri. El le porte-jarretelles devrait être obligatoire pour les femmes !

Bon j’arrête. Mais cette petite introduction contient pas mal d'éléments qui n'échapperaient pas à un hypothétique observateur, placé derrière nos fenêtres. Alors oui, je pense qu'il se poserait à juste titre des questions sur mes motivations pour ce mode de vie. Comme moi je me poserais des questions sur sa présence sous mes fenêtres. Pas innocent ce petit plaisir d'observer une dame qui reçoit une éducation stricte comme au bon vieux temps, non ?

J’ai appris par mon homme que le jeans est arrivé seulement en fin de années soixante comme vêtement universel de la jeunesse en Europe. Il était associé à un nouveau style de vie et surtout à la liberté. A l’envie aussi de se dresser ostensiblement contre une société jugée trop rigide, ayant besoin d’un dépoussiérage. Un ami de mon homme m’a dit une fois :

Pour un jeune avant 68 rien n’était possible…

Porter un jeans c’était un affront au parents à un certain moment. Il fallait se battre pour le droit d’en porter. J’ai écouté des messieurs de la fin de cinquante qui racontaient des anecdotes sur leur adolescence. Ils planquaient un jeans dans leur cartable pour le mettre en cachette, une fois parti de la maison parentale. A l’école il y avait de remarques des profs. Parfois une interdiction d’en porter.

Je n’ai pas connu tout cela. Pour moi le jeans était le pantalon de mon père, de ma mère, de mes frères. Et le mien aussi. Il faisait partie de ma vie quotidienne. Quelle tristesse de devoir renoncer aux belles robes et jupes pour quelque chose si peu esthétique à mes yeux.Il faut dire que j’étais encore très petite quand Pasolini établissait un rapport entre la révolte de la jeunesse et son intérêt commercial. Écouter les Stones et Pink Floyd n’avait rien d’un renversement social pour lui, mais indiquait simplement un bon comportement de consommateur. Il fallait acheter un tourne disque et des disques avant tout. Et le plus souvent c’était payé avec les sous de papa et maman.

Pour ma part le jeans est associé - outre qu'à la canne - au strap américain, mi paddle mi morceau de ceinture qui est un instrument particulièrement cuisant. Mes fesses deviennent alors un lieu de bataille entre ancienne et nouvelle génération. Un vêtement de révolte mis en contraste avec à la rigueur d’antan et le traditionalisme. Et là, je vois plutôt le côté pratique. J’ai déjà reçu le strap sur un jeans. Cela fait nettement mon mal que sur un derrière tout nu et d'où l’effet dissuasif de menacer la dame de lui baisser son pantalon et par la prochaine fois...

lundi 21 janvier 2013

267 Fessée conjugale


Nous aimons les fessées folkloriques, spectaculaires, théâtrales.


Un joli attirail d'émotions qui s’extériorise par un riche gestuel, accompagné d'une forte verbalisation. En dosant savamment l'intensité et la cadence, mon homme en parfait chef d'orchestre arrive alors à me faire passer par une multitude d'étapes. Ne faisant pas parti des femmes immobiles, c'est un véritable rodéo qui se déroule pendant quelques courtes minutes. Et n'ayant pas ma langue dans ma poche, je peux être très méchante au début de l'action. Pour une personne extérieure à notre couple cela peut ressembler à un tour de force. Avec un bon brin de la poésie de la mégère apprivoisée pour un observateur cynique. Mais en réalité il s'agit d'un dialogue quelque peu archaïque autour de mon méfait pendant qu'il est en train d'être puni à sa juste valeur. Mon homme et moi, nous avons besoin l'un comme l'autre de cette forme de communication intime qui met en relief des petits et grands non-dits qui passent à la trappe dans une discussion normale. Il suffit que j'aie vraiment mal aux fesses pour lâcher ce que j'ai tendance à garder normalement pour moi. Il en va de soi que l'enjeu n'est pas le plaisir. Le plus souvent je me suis faite remarquer auparavant par un comportement ...

...inadmissible !

Comme il aime ce mot mon homme. Quand il le prononce c'est la fessée assurée. Une qui se veut hautement éducative et qui reste par ce fait douloureusement supportable, car il s'agit de travailler sur une amélioration de mon comportement et non pas de me faire souffrir, de me faire peur ou de tester mes limites. Ceci dit, étant dépourvue de toute fierté mal placée, loin de moi d'afficher un insolent

Même pas mal !

qui incarne pour mon homme l'attitude par excellence d'une filles mal élevée. Il en suffit souvent un peu plus d'une minute pour m'entendre chanter à haute voix. Ayant déjà très mal aux fesses car Monsieur ne va de main morte, je suis encore partagée entre rage contre moi-même et qui se manifeste par quelques vilaine injures contre mon homme et le grand relâchement nerveux qui se pointe devant moi. Mon vocabulaire en ces conditions peu digne d'une dame ne dérange pas mon homme :

Tu as besoin d’évacuer tes mauvaises tension, isabelle. Ne t'en prive pas pour moi !

Grand geste magnanime au premier abord, mais en profondeur un subtil mécanisme instauré au fil du temps dans notre couple. Car plus que je lui balance des gros mots, plus son bras s'active et en même temps monte le niveau sonore. C'est particulièrement spectaculaire quand il se sert de notre paddle avec deux surfaces différentes pour varier l'intensité. Quand il passe du velouté qui se prête plutôt à la récréation amoureuse au côté lisse, je comprend littéralement ma douleur. Cela chauffe vite, le flot de mes gros mots se tarit et je passe aux supplications.

Je ferai des efforts !

J'ai déjà entendu cette chanson des centaines de fois !

Je travaillerai sur moi !

On fais quoi là, d'après toi isabelle !

Je ne recommencerai plus !

Pendant au moins une semaine quand j'aurais fini avec tes fesses!

La phase du « dialogue » prépare ma contrition. Monsieur me connaît parfaitement et il ne me fait pas le moindre cadeau. Je ne le trouve pas particulièrement dur en ces moments-là, car visiblement j'ai besoin qu'il se montre ferme avec moi. Sinon je ne me serais pas lancée dans la discipline domestique avec lui.

Je resterai intraitable...

Ce qui est parfaitement vrai. Et cela me rassure contrairement à ce que l'on pourrait imaginer. Monsieur va au bout de mon besoin de punition, le satisfait comme il se doit et fait ainsi sortir toute cette tension accumulée en moi. C'est un processus purement nerveux, sorte de relâchement de la censure psychique. On peut y voir une analogie avec le relâchement d'un muscle comme la fameuse perte de contrôle dans une situation de grand stress qui amène certaines grandes filles à se faire pipi dans la culotte.

Heureusement nous sommes dans un processus autrement libératoire. Cela commence par des cris hystériques à forte sonorité. Puis très vite je me sens envahis par une intense gratitude qui se manifeste par des pleurs douces. Ceci dit l'ensemble de notre petit ménage correspond à un spectacle d'une acoustique tellement intense qu'il vaut mieux vérifier avant l'acte la bonne isolation phonique quand cela devrait se passer en appartement. Car même une oreille distraite reconnaîtra sans le moindre mal ce qui se passe et le risque de se faire envoyer les gendarmes au moins pour « tapage nocturne » est grand. Ou dans une autre mesure de s'exposer au ridicule quand les voisins sont au courant de la bonne entente du couple et commencent à comprendre que ce genre de punition fait partie intégrante de la vie conjugale:

Tiens, isabelle a dû encore faire chi.. son mec !

dimanche 20 janvier 2013

266 Le bon niveau sonore


Bruyante ou silencieuse ?


(Un petit texte supplémentaire cette semaine.)

D'après mes lectures, la plupart des amateurs de la fessée sont sensibles à la sonorité liée à l'acte. Et pour ma part je n'en fais pas exception. J'aime que cela s'entende de loin et même si nous prenons toutes les disposition possible pour ne pas nous donner en spectacle, il y a toujours une petite tentation de rajouter du piquant, justement par le fait que quelqu'un puisse y participer de manière auditive. Autant que je suis indifférente que quelqu'un entende mes ébats amoureux avec mon homme, autant je me découvre concernant mon pêché mignon cette fausse pudeur qui cherche sa satisfaction par une intense honte sur le mode :

On dirait que t'as reçu une fessée, isabelle !

Rien que d'y penser j'ai déjà la chair de poule. Si, si la honte est un motif plus que valable pour se faire claquer le derrière. C'est un agréable moteur d’excitation chez certaines personnes et qui peut voler facilement la vedette à la sensation.

Donc pour moi une de particulièrement sonore s'il vous plaît.

Fantasme assez basique à réaliser d'ailleurs. Il suffit d'aller dans certains hôtels mal insonorisés et quand je lis des récits de rencontre qui décrivent les émotions féminines liées à la honte pour se déculotter et tendre leur fesses à un monsieur plus ou moins inconnu, je me pose aussi la question sur un éventuel exhibitionnisme de la sonorité. Cela ne doit pas passer inaperçu quand comme marqué dans certains textes le monsieur s'acharne avec passion pendant une heure ou deux sur le postérieur de la dame.

Passons et regardons un peu plus loin que les son qui émanent de la peau des fesses. Quand on rencontre un monsieur que cela soit pour la vie ou pour une aventure, il se pose vite la question de sa sensibilité à la « sonorité de la dame ». Selon mes petites expérience certains messieurs adorent pendant les galipettes les femmes bruyantes. On dirait même que cela les déchaîne (évitons le mot dopage qui a très mauvaise réputation) hors norme, tandis que d'autres se montrent plutôt gênés, voir agacés. Étant pour ma part particulièrement ...impliquée, je ne passe pas inaperçue quand on s'occupe de moi. Ni dans la vanille, ni quand on me remet vigoureusement à ma place.

Mais j'ai pu constater que les messieurs qui aiment les bruitages au lit, comme par hasard, aiment aussi la bonne correction accompagné de protestations, implorations, cris etc de la dame...

Fidèle à mes habitudes je ne ne manquerai pas un petit clin d’œil à la psychanalyse qui parle de la résonance du coït parental entendu par l'enfant et qui enflamme son imagination. Pour ma part c'est fort juste et dans ma théorie enfantine j'ai associé ce genre de bruitage à … la fessée.

Je reviendrai demain à ce sujet avec un petit récit distractif !  

vendredi 18 janvier 2013

265 Liens de discipline domestique (45 ème édition)

La fessée entre femmes !


Voila de quoi pour mettre Berlin en extase . Encore un de ces petits film qui devrait horripiler ceux et celles qui aiment les corrections solides et plus classiques. Hein oui, les goûts d'isabelle sont très particuliers comme aime dire Monsieur183. Pour ma part je trouve ce clip envoûtant et bien que l'art de la ficelle m'évoque seulement les jeux de cowboy et indien entre mes frères et de leurs copains, j'aime cette mise en scène sans hâte. Bien adaptée à mon propre rythme. J'adore les coiffures en imaginant la tête de mon homme de me découvrir comme la dame brune. Le pauvre, il me ferait une syncope. J'aime les corsets, mais portés plus décontractés, veut dire taille moins 5 cm en évitant une véritable contrainte. De toute façon ce qui intéresse dans ce cas le plus mon chéri c'est l'effet de volume sur mon derrière. Et dire que certaines femmes complexent sur leurs rondeurs. Rappelons tout de même que les rondeurs présentent un tabou, entretenu par l'industrie comme montre le retrait de ce magnifique clip de lingerie. Je reviens au trouble que me provoque Berlin, ici dans le sens de jeux bien stylisés entre filles. Tout se perd dans une sensualité qui ne demande pas de scénario supplémentaire dans la tête. En gros pour moi, c'est de la bonne vanille.

Dans un registre plus corsé, il en va de soi pour moi que de se prendre une bonne fessée par une autre dame présente un comble émotif. Cela me renvoie soit à mes anciens conflits avec ma mère, soit à des ardents rivalités entre filles. Et d'expier toute cette agressivité latente d'une telle manière, n'est pas pour me déplaire. De préférence devant mon homme après un long bilan détaillé de mes insolences par la dame. Enfin, il vaut mieux que je me calme. Pas bien mes petites rêveries de punition pour du vrai. Nous ne sommes pas encore dans la démocratisation de tels désirs autre que sur un niveau ludique. Je ne changerai pas pour autant la ligné éditoriale de mon blog qui au lieu de se perdre dans l'éloge du plaisir et du partage, se consacre à la recherche de la vraie nature des différents fantasmes de la fessée. Ce qui ne m’empêche pas de le faire de manière distractive et surtout sans prétention.

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !



















Concerto pour fesses (petit clip)

jeudi 17 janvier 2013

264 Fantaisies punitives chez les filles


Et qui d'autre que des filles pourrait en parler le mieux ?


Il est intéressant à noter que la fille de Freud, Anna, se penche sur cette thématique dans une conférence de psychanalystes en 1922. L'article est paru sous le titre : «Fantasmes de fustigation et rêve diurne  ». Je n'ai malheureusement pas trouvé de lien vers ce texte en langue française. Alors seulement un pour les personnes qui lisent l'allemand (Schlagephantasie und Tagtraum ). Je trouve ce travail remarquable. Il contient pour moi entre autres un mécanisme plausible comment une femme à partir de tels fantasmes peut arriver à la création littéraire. Voila qui jette une lumière sur le succès que rencontrent les livres de la comtesse de Ségur par exemple. J'y reviendrait plus tard.

Se basant sur le travail de son Papa Anna développe une théorie fort intéressante vers la compréhension du fantasme de la fustigation chez certaines filles. Et moi aussi je m'y retrouve ... partiellement. Car soyons clairs, d'après nos connaissance d'aujourd'hui Papa Freud décrit dans son célèbre article « Un enfant est battu », seulement une variante bien spécifique du masochisme, c'est-à-dire le masochisme  masculin chez ...les filles. (Merci Simon!)

Anna pointe sur le fait que la culpabilité dont parle son père peut concerner chez certaines filles (personnes ; ayons les idées larges de nos jours !) moins la fantaisie elle-même que « l'activité manuelle » y liée. Veut dire les jeux solitaires sous la couette. Et c'est là que se montre le pragmatisme féminin qui ne veut pas renoncer en bloc à cette source de plaisir. Il y a donc tentative dans un premier temps pour séparer l'évocation imaginative de l'action manuelle. Mais en fait cela ne marche pas trop bien. (Je pense à mes propres et très nombreuses « tentatives et rechutes »!)

Par contre pour déguster le plaisir le plus longtemps possible sans tomber dans les mauvaises habitudes il suffit d'ajouter une multitude de détails à la fantaisie. Comme une description d'une école, de la maison de correction ou du pensionnat dans lequel vont se pratiquer les punitions. Ainsi des chapitres sur le règlement à respecter, les rituels de punition, les instruments, tandis que les personnes restent au début vagues. Voila un astucieux processus qui augmente la tension intérieure, l’excitation pour ainsi dire et qui semble de plus promettre un plaisir final plus intense. Mais au bout du compte, cette tentative de séparer fantaisie et satisfaction physique échoue aussi. Et nous arrivons à une autre prouesse de l'esprit humain. La fille laisse tomber sa « vilaine histoire » et se tourne vers quelque chose de nouveau.

Et c'est ainsi que la « belle histoire » voit le jour avec des personnages en apparence positives et bien décrites. Avec une vie sociale et familiale, des noms, des traits de visages, de caractère etc. Seulement persiste une configuration de base qui reflète l'ancienne situation. Il y a au lieu de la situation adulte/enfant un fort et un faible. Par exemple sous forme d'une histoire de chevaliers dont l'un est capturé et mis en prison par l'autre. Le faible sans que cela fût dans son intention a commis un acte qui ne convenais pas au fort. Nous trouvons donc la peur du faible de la découverte de son acte, sa peur de la réaction du fort, sa peur de la punition, l'imagination des punitions/tortures les plus diverses. La tension monte, mais au lieu d'une punition on y trouve un dénouement de plus construit avec pardon et réconciliation qui rétablit l'harmonie entre le fort et la faible.

Moi aussi je me suis un peu perdue sur la piste des belles histoires quand j'étais gamine et ado, mais peut-être disposant d'une censure interne moins rigoureuse je me suis permise plus de petites satisfactions purement charnelles. Mais retenons l'essentiel comme décrit par Anna :

Un besoin de punition concernant mes activités manuelles !

Combien de fois j'ai rêve que quelqu'un s’aperçoive de mes pratiques honteuses et me punisse à la hauteur de mon méfait. Que l'on m'interdise strictement de continuer en m'imposant une surveillance étroite ou un dispositif rendant impossible l'acte Voila donc quelques les racines rationnelles de ma discipline domestique. J'en parlerai plus en détail dans un autre post pour ne pas perdre ici le fil de mes réflexions sur les fantasmes punitives.

J'aimerais maintenant pointer vers une catégorie d'histoires qui ne se sont pas déplacées comme chez Anna hors famille, mais qui restent dans le cadre familial. A mes yeux elles occupent le lien entre la constellation de base de chez Anna et les belles histoires. De plus la punition se justifie par un contexte culturel et/ou moral. En évoquant des petites fautives et les punitions qui en suivent, le regard se tourne facilement vers ... la comtesse de Ségur.

Sur un point de vue psychanalytique ses écrits sont considères comme un roman familial sur un mode sadomasochiste. Le roman familial est une fantaisie diurne consciente plus ou moins élaboré qui permet de désamorcer la situation œdipienne. Le personnage paternel (tiens en voyage par exemple) est dévalorisé et remplace par plus fort que lui, un être tout puissant et qui pourrait mieux occuper une telle place que Dieu. Il en reste du père seulement un attribut de substitution qui intervient dans l'acte de la punition, le fouet ou les verges, et qui est manié par la mère. Toute puissante elle aussi. Elle veille sur l'application de la loi divine, remplace la justice divine dans les affaires quotidiennes et s'occupe aussi des châtiments.

Regardons maintenant l’intérêt de l'univers ségurien pour essayer de comprendre son ingéniosité et son attrait. En fait il regorge de détails. C'est en inventant ou alternativement en lisant chaque détail que l'on gagne du temps, du temps pendant laquelle la fille est occupée avec son esprit au lieu de se perdre dans un expéditif scénario purement récréatif avec activités manuelles. La lecture de la comtesse de Ségur était donc un précieux allié de l'éducateur d'antan, car elle détourne l'esprit des jeunes filles de ce qui est vilain. Pour un temps au moins et c'est déjà cela de gagné. Donc à conseiller vivement.

Effectivement pour empêcher la vilaine main de faire son œuvre, la solution d'Anna ou de la comtesse de Ségur est incontestablement élégante :

Pouvoir prendre plaisir sans devoir culpabiliser !

mercredi 16 janvier 2013

263 Ma nervosité à la vue d'un martinet

Selon mon homme rien que la vue d'un martinet me rend nerveuse.


Toutefois dans un dégrée qui varie selon le lieu et les circonstances. On en découvrant dans un supermarché, ma nervosité est plutôt de l'ordre ludique. Je me sens agréablement stimulée comme après un tout petit verre d'apero et je ne peux m’émécher de les examiner soigneusement. Comme le mois dernier dans un grand magasin qui vend mille et une petites futilités pour s'embellir la vie. J'adore fouiller. Je suis tombée sur des martinets de fabrication chinoise (si, si c'était marqué) d'une qualité exécrable avec des lanières qui pendouillaient mollement, car faites dans une sorte de cuir daim si fin que l'on aurait dit du tissu. En gros des objets parfaitement inutiles et même avec un élan pas possible on ne sent strictement rien. J'étais donc très déçue et mon homme n'a pas tardé pour m'égayer :

Un affront pour toute personne qui reçoit une solide éducation au vrai martinet, n'est-ce pas isabelle ?

Oui, effectivement ! Quand je sors de l'étude de mon homme après m'avoir pris une bonne, je considère le martinet plutôt comme dissuasif que révélant de la bonne plaisanterie. N'oublions pas d'ajouter que pour apprécier une stricte éducation anglaise à l'âge adulte il faut au moins le sentiment que cela soit justifié, même si c'est de manière irrationnelle.

Que celle-là n'était pas volée !

Et il me semble facile à comprendre que la réflexion à tête reposée sur le fait de se faire convoquer sérieusement dans l'étude de son homme pour une savoureuse punition et d'en tirer « sur le coup » un plaisir cérébral d'absolution et par la suite une stimulation physique de plus intense, peut rendre nerveuse.

La situation se présente un peu différente quand je découvre un martinet dans une brocante. Le plus souvent ce sont des objets anciens que j'imagine avec une croustillante histoire. Alors là aussi j'examine attentivement. La texture du manche, la régularité de sa coloration. Est-elle altérée là où se pose la main, peut-être par l'effet de la sueur de la personne qui manipulait l'instrument. Était-ce un homme ou une femme qui s'en servait ? Dans quel but ? Qui recevait les punitions ? Je m'attarde sur l'usure des lanières. Un cuir filoché rend un instrument moins sévère en adoucissant la morsure. L'ancien propriétaire s'était-il débarrassé de cet objet car la qualité punitive commençait à décliner. Comme fait mon homme quand il estime que les lanières ne m'apportent plus de bénéfice éducatif parce que c'est devenu du beurre/du gâteau/de la rigolade. Parfois une lanière qui manque. Détachée, arrachée, découpée.

On éprouve de la nostalgie ?

Oui, cela arrive (très rarement tout de même) que quelqu'un me fasse une gentille réflexions quand je me perds dans mes rêveries en tripotant un vieux martinet. Je crois que cela fascine, de voir une femme avec une telle chose an main. Généralement la réflexion concorde avec ma présentation. Par exemple quand j'avais les cheveux courts, j'étais sensée d'être celle qui s'en sert.

Pas commode la petite dame !

J'aime bien ces mots conviviaux. Peut-être parce que c'est dans mon naturel aussi de commenter parfois (trop souvent selon mon homme) chez les autres.

Ma nervosité atteint son paroxysme quand je découvre un martinet quelque part dans le coin où j'habite. Chez des gens que je connais bien, que j'aime bien. Et ceci n'est pas aussi rare que l'on puisse imaginer dans les régions quelque peu reculées. Hein oui, le martinet, bien « poussiéreux» je l'admets qui pendouille dans une cuisine à l'ancienne parmi une multitude de bibelots également anciens ou qui a élu domicile sur la porte de la réserve et ceci depuis des longues décennies. Difficilement imaginable qu'il sert encore et en posant une ou deux questions curieuses, on apprend quelle était son utilité dans le temps. Il ne faut surtout pas se gêner pour aborder ce sujet qui n'a rien d'un tabou. Question de cohérence. Car si c'était gênant, on ne l'exposera pas. En vivant à la campagne, celle qui est décrite parfois de manière bien méprisante par l'expression France profonde, j'ai très vite eu le sentiment de me trouver dans l'autre pays de la fessée. J'ai pu également admirer un authentique nerfs de bœuf, accroché derrière une porte d'entrée pour faire peur aux voleurs. Aucun doute là-dessus, c'est un truc impressionnant et l'idée de l'utiliser pour des corrections ne me viendrais pour rien au monde à l'esprit. En fait tous ces braves gens exposent un matériel ancien qui servait aux punition sans mauvaise arrière pensée. Je dirais que cela faisait tout naturellement partie de la vie, comme le Rohrstock, la canne, jadis en Allemagne.

Je pense qu'il faut être parti pris comme moi pour qu'une telle découverte se transforme ...en nervosité. Notons que je sais rester imperturbable en surface et c'est avec grande probabilité ce trait de mon caractère qui me vaut tant de confidences. Je reste neutre et ma curiosité n'agresse personne.

Par contre mon homme sait sans faille détecter ma nervosité . Et il sait aussi la traiter. Efficacement cela va de soi !

mardi 15 janvier 2013

262 Home sweet home !

On peut se demander quel plaisir éprouve un homme en envoyant sa dame après la fessée au coin.


Surtout quand sa culotte est descendue aux chevilles et elle avance à tout petit pas vers sa destination avec une démarche de plus étrange. Mais l’ingéniosité masculine ne s’arrête pas là ! Car on constate une jupe soigneusement épinglée, laissant ainsi une vue imprenable sur un derrière dans une nudité paradisiaque. De plus il est rouge, d'une nuance bien intense, témoignant ainsi d'une copieuse punition comme cela se faisait dans le temps quand une jeune dame n'eut pas été assez sage au goût de ses éducateurs. Intervint alors la main ou parfois le martinet selon la méthode jugée bon pour corriger les mauvais comportements.
Et n'oublions pas à ajouter que le châtiment à été sûrement bien intense, car Madame n’arrête pas de se frotter ses fesses.

Pour la dame c'est un moment de grande solitude, car elle ne voit pas avec son derrière. Je ne sais rien de ce qui se passe dans mon dos. J'imagine mon homme content de lui, ravi, un sourire sur les lèvres, un air moquer... C'est le calme après une bruyante tempête. Je crois avant tout que pas mal d'homme aiment le calme à la maison, la paix, leur paix. Faire ce qu'ils veulent, en étant tout de même en agréable compagnie. Pour se vautrer enfin dans leur fauteuil favoris, les jambes sur la table basse. Et devant leurs yeux le fruit de leur travail. Jolie création personnalisée selon leur souhait. La gamme varie entre le tout nu et des tenues les plus hallucinantes. Mais la pièce centrale, maîtresse reste le postérieur féminin qui rien que par sa forme suffit pour échauffer le tempérament de bien de messieurs.

Il a dû en rêver quand il était ado, d'une telle situation.

Monsieur confirme, c'était plus que d'en rêver. J’apprends comment il s'activait le soir sous sa couette en imaginant une savoureuse éducation d'une dame...tiens d'un âge qui avoisine du mien de nos jours. Et moi qui le croyait friand de jeunettes, d'étudiantes. Zut alors comme on peut se tromper. C'est rassurant et flatteur à la fois. Dans sa fantaisie de jadis ce fut la voisine de ses parents, une prof, une commerçante du quartier qui recevait sa formation. Rien de bien méchant, du bon enfant. Le retour du Papa dans le monde ségurien qui se languit de reprendre sa place et par la même occasion l'éducation de sa femme.

Le fouet, est-il toujours à sa place ?

Elle réagit par un petit frisson de plaisir pour répondre à son mari :

Ah si vous saviez comme j'étais méchante en votre absence, cher époux !

En fait quelle banalité fantasmatique. Cela me convient parfaitement. Conjuguer nos banalités. C'est étonnant comme la vue de mon fessier délie sa langue.

Mais, parle-t-il à moi ou à mes fesses ?

C'est une étrange sensation, l'impression que quelqu'un s'adresse à mon derrière. Lui fait des confidences. Je me sens impolie, insolente gamine qui refuse de se retourner pour parler les yeux dans les yeux. Cela mériterait... Subitement je me trouve à juste titre dans mon coin. Je pense à une des vocations premières du châtiment corporel dans le temps: empêcher la sexualité naissante prendre son cours naturel. Aux garçons qui se prenaient une bonne pour avoir osé de soulever la jupe d'une fille. Aux filles qui avaient fait des avances aux garçons.

J'ai l'impression que nous traversons une situation d'indécision. Comme au tout début de l'adolescence. La fessée appartient au monde des enfants, maintenant il faut passer à autre chose. Alors comment faire ? Se familiariser avec l'autre sexe d'abord dans sa tête ? Avec des regards discrets ? Le rêve du grand garçon, épier impunément un derrière de fille, de préférence tout nu ? Ça y est, j'y suis: Je vois subitement l’intérêt du coin pour le monsieur.

Se rincer l’œil à volonté, ses pieds en pantoufles sur la table sans être embêté par qui que ce soit.

A suivre...

lundi 14 janvier 2013

261 Mes fantaisies punitives


Pendant mon adolescence mes petites fantaisies punitives...


... surgissent de partout, d'une force inouïe et surtout sans me prévenir. Le matériel que je préserve dans mes souvenirs est extrêmement riche. Par contre il m'est difficilement possible de reproduire les émotions exactes de l'époque. Ce n'est pas très important non plus car ce que j'aimerais raconter c'est l'interaction de mes fantasmes avec la vie réelle au point de me motiver de les intégrer partiellement dans ma vie d'adulte. Je crois qu'il est tout à fait faisable de vivre avec un besoin de punition et d'en tirer un épanouissement. Tout compte fait cet étrange besoin ne me semble ni culturel, ni religieux, ni maladif, ni « anormal », mais simplement une donnée personnelle, faisant intégralement partie de certaines personnes. D'abord il ne faut pas avoir peur de l'identifier comme tel quand il y a prédisposition. Quand il y a présence de fantasmes plaisantes qui mettent en scène des punitions. Il me parait important d'accepter cette vraie nature pour mieux se débarrasser d'une éventuelle culpabilité du fait de souhaiter recevoir de la discipline pour du vrai à l'âge adulte. Car le grand hic de ce pèche mignon est assez simple à comprendre :

Il constitue un affront à nos acquis sociaux et à l'image auquel un adulte devrait se conformer. A la responsabilité pour ses propres actes. A son propre jugement.

Puis l'évocation de ce drôle de besoin risque aussi de fâcher une bonne partie des personnes qui partagent la même pratique, surtout ceux et celles dont les motivations ont peu ou rien en commun avec les miennes. Pour que cela soit clair, je n’établis pas un lien systématique qui attribue à chaque adepte de pratiques cuisantes un besoin de punition. Par contre je trouve cette formule intéressante pour mieux comprendre la discipline domestique qui constitue le sujet principal de mon blog. Ceci dit au fil de mes lectures je me suis rendue compte qu'il semble également exister un besoin de soumission en ce domaine. Il me parait à priori indépendant de celui de punition, même si les deux peuvent cohabiter si intimement qu'il est difficile de les distinguer. Je suis encore dans la documentation. Je remets ce comparatif à une autre fois.

Retournons maintenant dans mon passé. Adolescente, pendant mes cours à l'école je m'égarais régulièrement par le biais de ma fantaisie dans un internat ultra-sévère par exemple avec des prof ayant une façon d'envisager l'éducation des élevés de manière très rétro. Convocations au bureau de la directrice ou du directeur pour des cuisantes remises en question.

Et pendant ce temps, en rêvant les yeux grands ouverts, j'accompagnai mes évocations par un rigoureux et discret exercice bien réel de mes « muscles de cuisses ». Pratique fort utile comme j'ai pu m'en apercevoir plus tard à l'émerveillement de mes partenaires masculins qui ne s'attendaient pas à tant … d'initiative de la part d'une jeune dame en apparence toute ingénue. Quand à la faute commise dans ma rêverie, elle restait dans l'obscure. Ce qui est simple à comprendre car en fait elle coïncidait avec l'apparition de mon besoin de « m'évader », de serrer mes cuisses, de jouer à la vilaine main...

Le soir dans mon lit j'avais les mains particulièrement baladeuses en m'évoquant des petites histoires de punitions. Et au lieu de me trouver en train de travailler durement pour améliorer mes mauvais comportements comme suggérait ma fantaisie, je me tordais … hm disons d'agrément sous ma couette... à cause de mes mauvais comportements. Situation qui me provoquait surtout après acte une intense honte. Au lieu de combattre mes écarts de la bonne conduite, je les cultivais. Et ma vilaine main devint très vite pour moi le prototype d'action d'une fille en manque de discipline. Alors mes fantasmes tournaient autour de soins pour y remédier. Et bien entendu ces soins se basaient essentiellement sur un emploi rigoureux de la fessée. Voila le parfait exemple pour montrer que le vice se trouve déjà à la base de la fantaisie dans le sens de vouloir soigner le mal par le mal. Effectivement je me suis vite rendue compte que mon impérieux besoin de punition surgissait apparemment sans raison aucune et il m'a fallu quelques années pour y voir plus clair.


vendredi 11 janvier 2013

260 Liens de discipline domestique (44 ème édition)


Les bonnes fessées d'antan en mots et images !


J'avoue de ne jamais avoir entendu jusqu'à la semaine dernière l'expression allemande : « Flagellantische Pygokoketterie » et qui date des années 20 du siècle dernier. Inventée avec grande probabilité par un monsieur qui ne manque pas de mérites concernant notre sujet favoris : Le fameux Docteur Ernst Schertel à qui on doit une œuvre impressionnante sur le « Flagellantisme ». Richement illustrée et surtout avec des textes qui dépassent la littérature de gare. Je n'ai jamais eu ces livres en main ; je ne connais que quelques extraits. Pour un amateur allemand de notre fantasme c'est en quelque sorte le sacré graal. Me voilà donc heureuse d'avoir trouvé un lien qui reproduit une belle palette d'illustrations présentés dans ce livre et qui parle de cet illustre monsieur. Et le tout en français s'il vous plaît !

Je reviens à mon expression du début qui me semble difficilement traduisible et qui décrit fidèlement une bonne partie du plaisir visuel de notre fantasme :

Coquetterie fessière chez les flagellants (vers 1920 ; six pages pur bonheur)

Il est bien connu que les femmes ne parlent que rarement de leurs fantasmes. J'ai entendu cette réflexion ci et là de la part de certains messieurs car - pourtant bavarde comme tout à ce sujet – je choisi toutefois avec soin les personnes à qui je fais mes confidences. C'est moins une question de pudeur que de discrétion que j'attends du monsieur. Alors en cas de doute je me abstiens. Je dirais que mes fantasmes ne vont pas bien loin dans l'originalité. Il m'arrive de me voir en éducatrice pour filles adultes et aussi à apprendre la discipline à un grand garçon. Ce n'est pas un scoop, il suffit de lire certains de mes récits. Toutefois l'originalité féminine à ce sujet existe. J'ai quelques clips à ce sujet et je commence cette semaine par une création très particulière d'une dame dont j'aime beaucoup le travail :


J'adore surtout la superbe gaine en cuir vieillie que porte la dame au début du film. Je n'oublie pas de mentionner un très vieux texte de moi (tiens je vais me gêner de me faire de la pub!) qui date avant le net et qui traite également le sujet de la « cavalière munie d'une cravache ».

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !