vendredi 29 août 2014

565 Liens de discipline domestique (129 ème édition)

Au menu cette semaine : Dans l'intimité des filles


Je ne saurais dire si Simone de Beauvoir quand elle parle de l'adolescence retrace son propre ressenti ou si elle pointe sur un phénomène plus généralisée chez les filles. Bref, pou ma part je m'y retrouve assez bien. Ce besoin d'une bonne copine, d'une meilleure amie. Et même si ce n'est pas pour explorer ensemble les sensations de nos corps respectifs, il s'agit tout de même d'échanger sur les changements du corps et les sensations y liées. Mais ma meilleure amie a été aussi présente dans mes rêveries. Côte fantasme, sous la couette, pendant mes évocations d'une composition sur mesure. Il y avait un foyer en commun, avec une « belle mère » chez laquelle je me trouvais avec ma meilleure copine. Cadre entre filles qui sécurise par ce fait. La belle mère étais de plus stricte avec nous. Calquée en quelque sorte sur une belle mère des contes de fée qui fait transpirer les gentilles jeunes filles par ses exigences. Ce clip correspond bien au caractère quelque peu grotesque de ces fantasmes destinées à ne jamais voir le jour dans la réalité. Il y a l'effet « l'une devant l'autre », le partage du coin, le ridicule de la grande fille encore traitée en petite, puis des vêtements ringards qui sont déjà en soi une punition. En gros, de quoi a papoter entre filles, le soir au lit avec les fesses toutes rouges. Avec timides évocation des effets secondaires de ce traitement disciplinaire. Puis, pour rétablir une justice supérieure (il y a une morale dans les vraies contes de fée) la belle mère aussi n'échappera pas au juste châtiment sur ses fesses.


Il ne faut pas avoir fait de grandes études de la psychologie humaine pour trouver ce qui cloche dans cette photo. Bien sûr ! Jamais une dame en panne de voiture serait obligée de faire de la main d’œuvre elle-même. Autant plus quand elle se promène habillée rien que de jolis sous-vêtements, de bas noirs et d’escarpins vernis à hauts talons. Bon, trêve de plaisanterie. Appartement cette mise en scène retrace ce qui est censée être un fantasme entre filles (?). Mais quand on commence à lire sur le visage de ces deux dames qui tournent leur tête vers les spectateur, il y a une autre interprétation qui se dégage. Par exemple un monsieur, excédée par le fait que lui doit changer tout seul une éventuelle roue crevée de sa voiture...

.et qui image un scénario hautement sadique.

Deux jolies blondes, obligées de faire le travail elles-mêmes. Loin de moi de dire du mal des blondes. J'en ai été une assez souvent dans ma vie et il est vrai - du moins pour moi – qu'un joli blond et un beau sourire facilitent énormément la vie. Ceci dit, pas la peine de se déguiser en vamp de route pour faire de l'effet. J'ai su séduire mon chéri dans un rien de temps, habillée pour faire une (très petite) randonnée. Donc loin de tout glamour avec des chaussures de marche et en pull et jeans. Une taille trop petite ce dernier, j'admets. Non, non. Pas de fessée, ni même d'allusion à ce moment-là. Une belle histoire qui commence, se tenir la main, petit bisous et mots doux à l'oreille, promenade en amoureux...

Hors sujet, isabelle. Je préfère que tu racontes les fessées pendant nos randonnées.

Je prends bonne note de ta remarque, mon chéri !


La face cachée des filles fait rêver pas mal d'hommes sans que ce soit une question d'âge. Adolescente, au premier rayons du soleil printanier, je m'étais rendue dans un Biergarten (sorte de Bistro allemand en plein air), vêtue de longues cuissardes noires et d'une jupe assez courte... pour faire de l'effet. Ben oui, je ne vais pas forcement mettre des cuissardes parce que je trouve la sensation tellement sublime. Disons que le soleil est si rare dans la région de mon enfance qu'il vaut mieux mettre le paquet quand il fait bon et on est à la recherche d'un prince charmant.
Alors oui, ma stratégie a fonctionné au quart de tour. Me voyant déjà au début d'une superbe aventure, je fus vite refroidie par une phrase pour le moins que l'on puisse dire … maladroite du jeune prince

Tu gardes tes cuissardes au lit ?

Résumé : On ne s'improvise pas séductrice. Cela s'apprend !


Mon pauvre chéri avait sous-estimé, si je porterais un uniforme scolaire, les effets secondaire sur lui. Un peu perturbé par mes apparences inhabituelles, il n'a pas pu s’empêcher de me passer sa main sous ma jupe, puis dans ma culotte.

Ah ce vilain garçon !

La sensation du coton se mélangeant à une chair douce et dépourvue du moindre poils lui fit perdre le reste de son calme. Bien que ce soit le comportement le plus logique de la part de beaucoup d'hommes, j'étais tout de même un peu étonnée. Alors j'ai fait de grands yeux avant de changer le rythme de ma respiration. J'adore de tels manifestations spontanées de la virilité...

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !

















mercredi 27 août 2014

564 Je ne fais rien que des bêtises

Pour être maladroite, elle est maladroite ma petite isabelle !

Dixit mon homme qui - après presque 16 ans de vie commune - sait parfaitement de quoi il parle et surtout à quoi il s'expose avec moi. Bien entendu il tient compte que je ne produis pas « mes gaffes à gogo » intentionnellement, car dans ce dernier cas...

...je t'aurais pas supportée aussi longtemps...

Il se méfie surtout quand je viens le voir en disant avec une toute petite voix :

Chéri, je crois que j'ai fait encore une bêtise...

Alors il pointe ses oreilles pour évaluer le surplus de travail que je lui cause. Car mes bêtises - cela va soi – je ne suis pas capable de les réparer moi-même. A supposée qu'elle soient réparables.

Au début de notre relation, j'étais encore loin d'un état d'esprit de me dénoncer sur le champ. J'essayais de cacher avec plus ou moins de habilité mes bêtises. Non pas parce que j'avais peur d'une éventuelle colère de mon homme. Mission impossible de le mettre en une vraie colère, enfin presque. Mais parce que...

...je me trouve parfois d'une stupidité à toute épreuve quand je réalise la connerie que je viens de commettre.

Comme si cela s'inscrivait en gros sur mon visage. Alors je n'ai pas forcement envie qu'une autre personne se rende compte de l'ampleur des dégâts que je suis capable d’enchaîner.

Bref, laisser une personne découvrir mes bêtises c'est de la laisser rentrer dans ce qui m'est le plus intime.

Une preuve de grand amour de ma part, comme a dit une fois mon chéri. Par exemple après une ou deux semaines de vie commune, je voulais l'impressionner par mon côté petite ménagère au soin de son chéri. J'ai voulu tellement bien faire que je me suis mise au travail déjà crispée. Fait est que je me suis trompée de la température pour laver un des ses pulls... que j'avais taché par un geste maladroit. Tache qui s'était avérée tenace par un lavage à la main à l'eau tiède. Alors en bonne scientifique, sachant que la vitesse et donc l'efficacité d'une réaction dépend de la température, je me suis dit qu'il suffisait de l'augmenter de 10 petits degrés pour un résultat impeccable. Sans penser à la propriété du matériel du pull. Est sorti de la machine un modèle enfant, sans tache, et moi j'étais terriblement gênée. Mon homme a rigolé de bon cœur sans toutefois cerner tout de suite le fond de mon problème. Étant été toujours bichonnée comme une princesse pendant mon enfance, personne ne m'avais appris comment laver un pull d'homme. Le sujet étant délicat, je passe sur plein d'autres de mes maladresses.

Mais je vais en raconter une qui m'a valu une fessée particulièrement originale.

Mon grand classique à l'époque de mes cheveux longs était le lavabo ou la baignoire bouchée. Alors une des premières fois, j’ai attendu patiemment après mon bain pendant très, très longtemps pour que l'eau s'écoule. Puis j'ai passé soigneusement une éponge pour un effet brillant.

Ni vu, ni connu !

Ensuite je me suis tallée lâchement du lieu de mon déshonneur. Hélas, un peu plus tard dans la journée, j'ai entendu un terrible raffut dans la salle de bain. Mon homme, pas content de mes cachotteries, en train de jurer comme un charretier. C'est très rare que cela lui arrive, mais quand cela arrive il ne fait pas semblant.

Satanas d'isabelle, dès que j'ai le dos tourné, tu fais des bêtises !

J'ai pu ainsi goutter à une fessée très particulière. Monsieur tout nu, des résidus de savon sur le corps et du shampoing sur la tête, assis sur le tabouret de la salle de bain et moi seulement troussée sur ses genoux pour m'en prendre une bonne à la main. Et bien évidement, il n'est pas allé de main morte. J'ai pu ainsi constater de manière très directe, par le contact peau contre peau, l'effet libératoire que lui procure le fait de m'appliquer de bonnes et sonores claques. Sorte de transformation miraculeuse de son énervement qui lui fait beaucoup de bien. J'ai donc senti quelque chose gonfler sous moi et se durcir. Pour atteindre sa taille maximale au début du crescendo.

C'est ce jour-là que j'ai pleinement compris à quel point les effets de la virilité peuvent augmenter la cadence et la force de ce qui arrive à mes pauvres fesses.

Ajoutons que la fessée ne m'a pas guérie de mes bêtises. Mais elle m'aide bien a mieux supporter mes insuffisances. Et je serais très déçue si mon homme ne me donnait pas un coup de... main ou de martinet pour rééquilibrer mon amour propre.

lundi 25 août 2014

563 Ces nostalgiques de la fessée...

...qui ne se cachent pas !

Je veut dire de la vraie fessée. Celle qui punit les fautes ou mauvais comportements. Appliquée méthodiquement et avec la conscience de faire le bon choix de recourir à ce moyen éducatif.

En pointant bien ses oreilles et en écoutant ces personnes attentivement, on comprend vite que leur élan quasi enthousiaste de corriger de cette manière vise bel et bien les adultes :

Il n'y a pas d'âge pour recevoir une bonne correction !

Seulement, cela reste toujours à l'état de menacé. Meilleur exemple : ma maman qui - il y a quelque jours encore - n'a pas hésité de menacer autant moi que mon chéri d'une bonne fessée à cause d'une bruyante dispute (si, si cela nous arrive parfois). Bon, je ne lui donne pas tort. Il y a avait abus de notre part de nous donner ainsi en spectacle devant mes parents. Mais en même temps j'ai réalisé que ma Maman reste de plus vague concernant « ce projet punitif ». Elle ne se prononce nullement qui devrait se charger d'appliquer cette discipline bien méritée. Certainement pas mon Papa qui adore sa fille chéri. Alors à se pose la question si ma maman ne fait pas allusion à une justice supérieure. Aussi quand il s'agit exclusivement de moi, elle reste dans un registre de pure suggestion, même si tout le monde comprend bien qu'elle souhaiterais que ce soit mon homme qui s'en charge.

Me vient à l'esprit une autre situation de ce genre. Un adorable couple de retraités à la campagne qui ont eu l'heureuse idée d'accrocher un nerf de bœuf, un vrai, à côté de leur cheminée. La dame, très agile et énergique, ne manque rarement une occasion pour menacer quelqu'un d'une fessée. Comme ce fut mon cas à notre première visite, car inspirée par la vue de cet étrange instrument je n’arrêtais pas de ricaner et de me comporter en ado attardée comme si j'étais vraiment à la recherche d'une belle correction. Intervient alors le mari en demandant à mon homme, s'il savais de quoi il s'agissait en pointant sur la source de ma gaieté. J'ai vu mon chéri, les yeux rivés sur le nerf de bœuf, ayant du mal à retenir un fou-rire. En écoutant le monsieur, un ancien boucher, lui expliquer avec fierté comment il avait fabriqué lui-même la chose. Sans oublier de mentionner l'usage ...

...pour ceux qui ne veulent pas écouter.

Disons que nous avons passé un excellent après-midi. Nous sommes rentrés chez nous avec avec l'intime conviction que le nerf de bœuf n'étais pas seulement un objet décoratif. Du moins il affichait clairement l'état d'esprit de la maison :

Chez nous la discipline est à l'honneur.

Je me souviens également d'une très sympathique boulangère, toujours prête à plaisanter sur le sujet. Et apparemment elle était bien au courant de ce qui se passe dans la tête d'une personne consciente de son besoin de punition par la fessée :

Ça lui fera du plus grand bien...

Au courant également des méandres de la psychologie de ceux et celles qui se sentent coupables de ce qu'ils ont fait ou.... ne pas fait.

Ça lui remettra les idées bien en place...

On s'en doute que je suis un excellent public pour de telles allusions. Étonnement (et heureusement) il s'agit quasi exclusivement d'histoires concernant les adultes. Certes, je me pose parfois la question si ces confidences tiennent à ma personne, à ma façon d'être, à ma présentation. En quelque sorte à ce que l'on projette sur moi selon l'impression que je donne. Notamment un jour, dans une quincaillerie, quand j'ai demandé à la dame s'il vendaient des martinets. Hein oui, parfois mon homme aime bien me charger des courses quand j'étais insolente en voyage. Enfin parfois, car il aime bien voir lui-même la qualité de la marchandise. Bref, j'ai eu comme réponse :

J'ai exactement ce qu'il vous faut !

J'ai dû marquer un petit instant de stupeur avant de « réorganiser » mon sourire publicité de dentifrice. Je suis sortie avec un martinet comme je n'en avais jamais vu en France. Un modèle très robuste avec des lanières assez épaisses et une étiquette annonçant fièrement :

Cuir véritable.

Comme a dit mon homme :

Elle ne s'est pas foutue de toi, isabelle !

Effectivement la dame ne s'est pas payée ma tête. J'avais encore des stries sur mon derrière le soir en arrivant en Allemagne chez mes parents. Donc un derrière plus que sensible au contact avec une solide chaise allemande de cuisine.

On dirais que tu as mal aux fesses, isabelle !

Normal Maman, nous avons fait plus de mille kilomètres en voiture aujourd'hui...

vendredi 22 août 2014

562 Liens de discipline domestique (128 ème édition)

Au menu cette semaine : Fantasmes scolaires


J'ai déjà entendu que certaines personnes ont été témoin d'un coup de baguette sur les fesses à l'école. Un unique coup de baguette, je précise, appliquée hâtivement sur un pantalon ou une jupe et dont l'événement le plus récent que je connaisse provient de source sure (mon homme) et date de... 1968. Ma belle mère parle également de punitions sur les vêtements la fin des années.... 30. Mais jamais j'ai entendu de vive voix un témoignage sur une punition ritualisée, style cul nu devant la classe. Je serais donc tentée de classer les innombrables récits à ce sujet comme purs produits de l'imagination de leurs auteurs ou comme légendes urbaines. A vrai dire, la véracité de tels récits m'importe peu. Ce qui m’intéresse c'est la forme exacte du fantasme. Et justement le fantasme de recevoir devant toute la classe une fessée sur mon derrière tout nu ou alternativement d'assister à un tel spectacle, m'a fortement inspirée quand j'étais petite. Je me souviens surtout comment au début j'ai soigneusement écarté l'idée que ce soit moi la punie et comme j'ai pris petit à petit de l'audace pour me projeter sur le devant de la scène...

...avec une sentiment de honte particulièrement intense et voluptueux.


J'ai beaucoup d'indulgence pour ces messieurs qui aiment les grandes écolières un peu nunuches. Et quoiqu'on en dise, pour bien de dames, affectionnant notre fantasme, c'est un moment particulièrement chargé d'émotion de troquer leur tenue de séductrice contre une panoplie de parfaite écolière. Un fantasme plutôt bon enfant à mes yeux. Et quand je pense, malgré une instruction poussée assez loin, quel genre de bêtises je suis capable à lâcher, j'ai une large compréhension pour un monsieur qui souhaite me donner des cours particuliers avec des méthodes particulières. S'ajoute que j'adore essayer des nouvelles tenues et styles. J'ai un bon rapport avec mon corps et rien ne me gêne à ce niveau-là...

...à part l'horrible culotte blanche !


J'aime (à petite dose) les histoires scolaires, notamment quand elles se passent dans un cadre de jeunes adultes. Rien à voir avec le politiquement correct. Je prends plaisir à la situation du consentement, à cet étrange phénomène qu'une personne ayant le droit de dire non, se plie tout de même, pour des raisons plus ou moins complexes, à la discipline corporelle. Ressortent deux points forts dans la fantaisie scolaire: la nudité partielle forcée qui met à rude épreuve la pudeur et le bon nombre de témoins que suppose le cadre scolaire. Sorte de :

Regardez ce qui arrive quand on n'est pas sage !

J'y ai pensé souvent quand - jeune adulte - j'ai pris des cours du soir pour apprendre le français. Les futures aventures avec mes princes charmants pour le week-end à venir me passaient par la tête pendant que j'étais en train d'écouter le prof. Et à chaque fois que je faisais une faute, j'imaginais mon prof me convoquer pour un entretien après les cours pour faire le tour du sujet de mon manque de concentration. En appliquant une méthode particulièrement efficace.

J'espère que cela vous sers de leçon, mademoiselle isabelle !


Le vice chez un homme me semble plutôt une qualité quand il se montre de manière subtile. Avec un joli langage qui n'appelle justement pas un chat un chat et qui joue sur les ambiguïtés et contradictions qui nourrissent le souterrain de fantasmes punitives. J'aime beaucoup une ambiance stressante qui me fait transpires à grosses gouttes et qui m'évoque certaines pensées comme:

Ah si j'avais ma punition déjà derrière moi

ou alternativement :

Et si subitement sa main s'égarait entre mes jambes !

En gros, il semble qu'un maître d'école vicieux et une fille vicieuse forment un joli couple.

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !


















mercredi 20 août 2014

561 Soulager sa conscience

...et accepter sa punition

Un sujet inspiré par un excellent commentaire de Christine dont je reproduis ici un extrait :

Je crois pouvoir affirmer que je ne fantasme jamais sur l’idée d’être punie ! Bien au contraire, à chaque fois, je ressens cela comme un échec, le signe que je n’ai pas été la compagne, la femme, l’épouse, ou la collaboratrice qu’il souhaite, qu’il veut que je sois, que je n’ai pas bien agi, ou pas agi ou désobéi, etc. Mais il m’est devenu maintenant aussi nécessaire en un tel cas d’être sanctionnée, de lui avouer ma faute et être grondée. Corollaire dont j’avoue ressentir le besoin, il me convient de subir ensuite cette matérialisation de la sanction, proportionnellement à l’ampleur de la faute, qui fera rougir mon postérieur, de m’y soumettre pour cela avec humilité et sans pruderie pour obtenir le pardon qui m’est indispensable.

Je me retrouve à la merveille dans les conclusions de ce beau témoignage. Pourtant ma constellation du départ est bien différente. La fessée a toujours fait partie de mes rêveries autant que je puisse me souvenir, avant même de saisir qu'il s'agisse bel et bien d'une punition et que je souhaite ardemment payer pour mes fautes de cette manière. En fait une prise de conscience qui contient trois aveux distincts :

-Celui d'avoir besoin d'être punie pour mes fautes

-Celui d'avoir besoin d'avouer mes fautes

-Celui des modalités de ma punition

Pas besoin de faire un dessin, on comprends aussitôt pourquoi il est difficile, voire impossible de parler de la discipline domestique avec son entourage. Ce n'est bien entendu pas une question de quelques claques sur les fesses. Ce n'est également pas une question de petite envie de fessée récréative qui mélange savamment douleur et caresses apaisantes.

En fait, rien de mieux pour se faire culpabiliser par son entourage en avouant un besoin de punition !

Car c'est un constat qui dérange par la vérité qu'il contient :

Je ne suis pas toujours «  maître » dans ma propre maison. J'ai parfois besoin d'une aide extérieure, d'un coup de main, pour retrouver mon bien-être.

Et au lieu de retenir l'essentiel dans ce constat, un moyen peut-être peu commun, mais efficace de la personne pour accéder à nouveau au bien-être, ressort une sorte de moralisme qui se veut dévalorisant, voire blessant.

Notons d'abord que l'aveu fait intégralement partie de notre environnement socioculturel et que sa présence dans certaines situations n'est pas seulement admis, mais exigée pour obtenir de circonstances atténuantes. Bien évidement nous ne sommes pas dans un registre « pénal », mais dans une registre d'erreurs humaines qui ne sont pas concernées par la législation, mais que l'on a du mal à se pardonner soi-même. Qui se collent quelque part dans notre tête pour nous pourrir avec ténacité notre joie de vivre. Rentrent dans cette catégorie par exemple certaines de mes comportements exécrables, en société ou en famille, qui malgré une vigilance accrue de ma part, refont régulièrement surface. Cette partie de moi qui se comporte ou ressemble à ce que je déteste habituellement et que je qualifierais chez une autre personne comme manifestation d'une très mauvaise éducation. Alors oui, quand je dérape de telle manière, il me semble justifié que mon homme me rappelle à l'ordre. Qu'il exige mes explications sur l'affaire qui vient de se passer. Et que je finisse sur ses genoux ou penchée sur son bureau pour une...

...correction de tes mauvaises attitudes, isabelle !

En gros, ce qui m'arrive, retrace pas à pas un cris de cœur de certaines de mes copines qui à la suite de certains événements de leur vie sociale ou affective se laissent aller au troublant aveux :

Je crois que je mériterais une bonne fessée !

Après m'avoir raconté en détail ce qui leur pèse sur la conscience (l'aveu de la faute quoi), suit l'aveu d'éprouver un besoin de punition (mériter), ainsi l'aveu des modalités (la bonne fessée). Puis, j'ai la bonne question en réserve qui ouvre parfois de discussions surprenantes :

Tu es sérieuse là ?

lundi 18 août 2014

560 Connaître les fantasmes de ces grands garçons

Certaines dames savent s'y prendre

My Mistress (bande d'annonce officielle)

Il n'est pas un secret que les fantasmes sexuels de ces messieurs m’intéressent. Pourvu que la présentation se fasse sans vulgarité et aussi sans vouloir m'impressionner par d'éventuelles performances, je suis d'une excellente écoute. Cependant il est très rare de tomber sur des messieurs qui se permettent « de baisser ainsi leur froc » devant une dame. Encore plus difficile est-il de tomber sur un jeune prince qui ose faire des confidences. Pourtant quand j'étais ado moi-même, je mettais le paquet pour les désinhiber. La réussite n'était que rarement au rendez-vous. Alors peu étonnant que cette bande d'annonce m'attire. Enfin un film qui met en scène, sous forme romancée, la curiosité sexuelle d'un jeune prince charmant, version James Dean, envers des fantasmes peu habituelles.

Visiblement, comme semble prouver cette histoire, pour connaître ce qui provoque les émois sous le caleçon d'un jeune homme...

...il faut une (très belle) dame mure qui sait se montrer en initiatrice.

Peut-être parce que une situation égalitaire entre deux ados, dans le sens d'un manque d'expérience des deux côtés, pose non seulement le problème de l'initiative, mais aussi comment s'y prendre concrètement. C'est le moment de la vérité. Les jeans ne sont pas encore tombés et se pose la question par quoi commencer. Difficile dans un tel moment de dire à son prince :

J'aimerais que ce soit toi qui me baisses mon jeans et ma culotte. Que tu me renverses sur tes genoux et que tu me donnes une bonne fessée, sur mon cucul tout nu. Une fessée qui fait vraiment mal... et une fois que j'aurais le derrière en feu, tu pourra faire avec moi ce que tu voudras.

Dans cette (malhabile) proposition, on reconnaît facilement ce qui ne va pas tout. En fait, bien de princes aimeraient entendre :

je te ferai, ce que tu voudras...

Enfin non, je n'ai pas encore tout bon là ! Voila ce qu'ils veulent entendre.

je te montrerai ce que je sais faire...

On revient donc à la mistress, sorte de superwoman qui elle maîtriser toutes les registres. Contrairement à notre séductrice débutante, qui ne connaît encore rien en travaux pratiques. Notons qu'il ne suffit pas de savoir manger un cornet de glace ou une banane pour faire monter au septième ciel un homme. Sans parler de l'art suprême de manier un fouet.

Tu connais rien toi sur le rôle d'une mistress, isabelle !

Euh... non, rien du tout ! Mais peut-être quelqu'un pourrait m'expliquer...

Mon chéri, au même âge que le jeune homme de ce film, était encore en train de chercher sa vocation. Ses rêveries grouillaient de dames sévères qui savaient mettre de l'ordre dans son chaos de pulsions contradictoires. Dompter la bête en soi, veut dire toutes ses vilaines fantaisies, censées à faire rougir une fille sérieuse. Comme si le filles sérieuses n'avaient pas d'envies sexuelles.... passons.

Et voilà, nous y arrivons ! Se dévoile ce qui m'excite particulièrement dans la thématique qui soulève ce film. Ce que je n'ai vécu quand j'étais ado, entendre un prince charmant avouer ses fantasmes les plus fous à la fille de son cœur. Je parle là essentiellement pour les constructions intermédiaires, les vraies fantasmes quoi, impossibles à réaliser pour de vrai, au mieux sous forme de jeu. Ce que retiens de cette bande d'annonce :

A croire que certains hommes, peu importe leur âge, parlent seulement sous la menace du fouet !

Ps : J'adore le coup de colère d'Emmanuelle Béart sur son escalier en faisant claquer le fouet. Je peux m'identifier à des tels états d'âmes, aussi , sans le moindre mal...

calme toi, isabelle, sinon c'est la fessée !

vendredi 15 août 2014

559 Liens de discipline domestique (127 ème édition)

Au menu cette semaine : Quand la culotte descend !


La première fois c'est bien émoustillant de se trouver dans cette position d'attente. Çà y est ! Je suis arrivée au bout de me rêves ! Je n'avais même pas à la réclamer. Elle que j'avais désirée depuis tant de temps. Il a pris initiative. Il m'a menacée d'une bonne fessée si je continuais à l'agacer. Évidement je n'ai pas pu résister pour tester ses limites et paf, tombe le verdict. Waoh, il se comporte enfin un « vrai homme », sorti tout droit de mes romantiques rêveries d'adolescente.

Prépare toi pour ta correction, isabelle !

Le courant passe directement … dans ma culotte. Cela fait drôle d'entendre enfin ces mots qui jusqu'alors n'existaient que dans ma fantaisie. Le calme de sa voix m'impressionne. Son attitude aussi. Rien d'un « vieux lubrique » qui cherche un prétexte pour tripoter, puis pour se faire une jeunette. Non, non, il me fait comprendre que c'est bel et bien une vraie correction qui m'attend et qu'il n'y aura pas d’extra comme ma vilaine main qui accompagnait toujours ce genre de fantaisies. Ce sera la fessée pure et simple, authentique et douloureuse pour...

...te faire réfléchir deux fois avant de recommencer, isabelle !

Subitement, le fait de baisser ma culotte, de devoir la baisser sur commande, de lui donner un emplacement que l'on me désigne, prend une autre signification. Je comprends ce que veut dire être remise à sa place. Il y a un rapport d'autorité qui s'installe tout naturellement. J'ai perdu mes privilèges de séductrice chevronnée et est mis en évidence mes comportements de capricieuse ado qui croit le monde masculin à l'image de son Papa qui a toujours se laisser faire.

Tu vas voir de quelle direction soufflera désormais le vent, isabelle !

Quand je suis sortie du bureau de mon homme plus rien n'était pareil. Je me suis même demandée comment j'ai pu autant affectionner de tels fantasmes.... stupides. Puis un peu plus tard, j'ai commencé à sentir le bienfait d'une vraie punition. Mon homme avait raison :

T'en as besoin, isabelle qu'on s’occupe de toi !

Discussion sérieuse (petit clip)

Non, baisser la culotte n'est pas toujours un élément à connotation coquin. Il peut aussi s'agir d'une sorte de punition supplémentaire qui met à nu la pudeur. J'aime bien l'ambiance de ce clip qui expose une manière assez astucieuse pour satisfaire le besoin de punition de certaines grandes filles comme moi. Un cadre intimiste entre celui qui punit et celle qui reçoit sa punition. Un déroulement sans hâte pour bien faire passer la leçon. Qu'elle soit fructueuse et pour éviter de retomber dans le mêmes erreurs à l'avenir. Un contact corporel qui passe à l'inconscient clairement le message qui commande et qui s'applique. Notons à ce propos que toute notre morale à sa base est issue d'une désexualisation de nos tendances charnelles dont certaines se transforment en stricts interdits. Alors le contexte est plus que propice que la morale se résexualise. Et malgré une sacrée douleur dans mon derrière après mes corrections, il arrive bien souvent que mon inconscient s'exprime de manière bien édifiante par la moiteur de mon entrejambe. Situation hautement dérangeante, car la surface de ma perception ne ressent que l'effet cuisant et se trouve à mille lieux d'émotions titillantes. De plus, je risque de me faire traiter par mon homme de...

...petite vicieuse qu'il faut envoyer au coin pour qu'elle se calme !

De quoi à me faire trépigner avant de m'appliquer sagement.


Amateurs de fessée ou pas, vanille pure ou fantasme de plus farfelu, voilà qui met beaucoup de monde sur la même longueur d'onde. Ces messieurs retiennent leur souffle quand enfin descend la culotte de la dame, instant tant rêvé quand il étaient encore ados et s’entraînaient avec leur vilaine main aux joies de la future vie d'adulte. Et pour bien de filles, cette joie enfin de se trouver devant quelqu'un qui - bien au contraire de mon Papa - m'encourage même que je baisse ma culotte pour présenter mon intimité dans une nudité paradisiaque.


… que je monte, dans un endroit à haut risque d'être surprise, ma jupe ou ma robe pour satisfaire sa compulsion de vérifier avec sérieux, enchantement, passion etc si j'ai mis une culotte ou pas. Petite gronderie quand je suis toute nue sous ma jupe que j'accompagne donc par un ingénu :

Fallait pas ?

Ou dans le cas de l'autre constellation :

Tu veux que je l'enlève ?

Bref, pas besoin de plus pour rester le centre unique de l'attention de mon chouchou !


...une telle tenue, sur moi, surtout sans culotte, titillerait la libido de mon homme sans qu'il sache vraiment pourquoi. Peut-être serait-il même un peu gêné par sa banalité fantasmatique qui frôle non pas vraiment le vulgaire, mais au moins le très indécent. Évidement il est hors de question pour nous deux que je me promène ainsi vêtue dans un lieu public ou même dans un club. Nous sommes à ce niveau plutôt : Rien que pour ses yeux. Et évidement j'ai eu un jour comme cadeau une magnifique paire cuissardes outrancières que je sais utiliser à la maison à petite dose pour garder les émotions procurées sur mon homme à leur comble.

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !




















mercredi 13 août 2014

558 Punition pour comportement éhonté


Quand les vilaines fantaisies se mettent à me harceler !

Ce n'était pas tout-à-fait le célèbre calendrier des dieux du stade (qui n'existait pas d'ailleurs à l'époque), mais un truc dans ce genre qui, un jour au tout début de ce millénaire, m'a donné de très vilaines idées. Déjà, j'ai toujours eu un faible (sexuel!) pour les messieurs avec les cheveux ultracourts. Sorte de révolte pubertaire contre les allures plutôt... décontractées de mon papa et de ses amis, véritables survivants de l'ère « cool ». Toutefois jusqu'alors je n'avais pas encore fait le lien entre deux belles sensations. Une de mes mains en train de glisser sur une « piquante » coupe hérisson et l'autre explorant un terrain de peau satiné sans rien d'autre. Ma curiosité aiguisée, j'avais tellement envie de tester cela de plus près. J'ai commencé par imaginer mon homme sous son caleçon glabre comme une statue grecque. Tenace évocation qui me prenait un peu partout. Sans prévenir ! Au travail, pendant les courses, en discutant avec ma maman et même en faisant l'amour avec mon chéri. Mais surtout, pour des raisons bien compréhensibles, en parcourant avec ma petite langue rappeuse en long et en large, de haut en bas et de bas en haut sur ce qui fait la différence entre filles et garçons. Cela devenait un véritable cri de cœur :

Mort aux poils. Vive la chair toute lisse !

Et – coïncidence fâcheuse ! - cette petite rêverie ne me mettait pas seulement dans des états pas possibles, non, elle réveilla aussi par la même occasion mon besoin de punition. Alors, harcelée par mes fantasmes, j'aurais tant voulu que mon homme me surprenne en m’adonnant aux jeux de la vilaine main. Ma tête rouge de mauvaise conscience, aussi rouge que cette partie de mon corps cible de mes caresses. Et idem mon homme, lui aussi rouge... de colère tiens (c'est mon fantasme et je me laisse aller !), en me chopant par les oreilles, toute nue comme je suis et en m'annonçant...

...une sérieuse discussion pour faire le tour de mes comportements éhontés.

Me sentant de plus en plus petite devant lui au fur et à mesure qu'il perce le secret de mon activité manuelle. L'entendre de le désapprouver fermement et faisant avec moi une inspection approfondie de mes cachotteries jusqu'à ce que je formule un mea culpa pour flagrant manque de respect envers son autorité.

Jeune dame, tu vas payer le prix fort de telles audaces !

Et pour que justice soit faite, ne manque plus que je passe sur ses genoux pour une correction grand format de plus claquante pour me ramener dans le droit chemin. Ou alternativement que je me penche sur son bureau, mon buste et ma tête sur mon coussin de punition, tandis que...

...notre martinet vas faire une belle danse sur tes fesses, isabelle.

J'insiste sur le fait que je décris là le cours de mes fantaisies sans vouloir les embellir pour me donner une allure moins cruche ou moins coincée. J'ajoute également que mon chéri n'est pas aussi caricatural que son sosie dans ma rêverie. Puis j'avoue que j'ai encore dévié de l'anecdote que je voulais initialement raconter. Ce sera donc pour une autre fois. Petits égarement qui se soignent très bien selon mon homme qui me trouve beaucoup plus concentrée quand ...

t'as reçu ton quota de fessée pour la semaine, isabelle !

N’empêche, je ne puis lui donner tort.

lundi 11 août 2014

557 Épilation intégrale pour messieurs

(Petite fiction... ou non!)

Ah ces maudits dieux du stade

Parfois il a besoin de laisser libre cours à ces émotions mon chéri. Lui qui est d'habitude si calme et réfléchi. Cela lui arrive par exemple quand - lors d'un repas avec de nouvelles connaissances - quelqu'un aborde la mode de l'épilation intégrale. Ô comme il n'aime pas ce sujet. D'abord, il essaye de changer délicatement le sujet. Mais c'est peine perdue. Rare sont les personnes en manque de intérêt pour cette matière. Alors il tente de se faire invisible pour que surtout personne ne lui demande son avis. Et quand on lui demande son avis, il reste très vague et se retranche pour attirer encore plus la curiosité... avant de pousser un cri de cœur :

C'est à cause d'isabelle....

Stupeur, puis fou-rire général. Piégé, le pauvre ! Celui apprendra de lâcher de telles sornettes. Tout le monde a compris, sous son caleçon Monsieur tout est lisse et ceci sur l'initiative et l'insistance de sa petite dame. Qui par la même occasion passe pour une sacré coquine. Sans oublier de faire valoir que chez nous il n'existe pas de problème avec les petits poils aux toilettes qui trahissent le passage du mâle de la maison. L'ambiance devient de plus joyeuse et je ne me prive pas parler de mon âme d’esthéticienne qui avec des mains bien adroites applique une fois par mois sur la peau préalablement talquée de son chéri une bonne couche cire qui - une fois retirée - laisse la peau dépourvue de toute mauvaise herbe. Non, non, ce n'est pas douloureux, enfin la première fois oui.

Te souviens tu, Chéri ?

Bien sûr qu'il se souvient. Et sans s'en vanter, ils se souvient aussi que c'est le premier samedi du mois que je m'occupe de lui. Que je vienne le chercher dans son bureau quand c'est l'heure du rendez-vous. Et que je prenne un malin plaisir de l'avoir bientôt tout nu devant moi, tandis que moi j'opère dans une très courte blouse blanche qui découvre le bas de mes fesses à chaque fois que je me penche en avant. A ce propos, j'ai placé judicieusement le récipient de cire chaude à une hauteur adéquate pour permettre à mon « patient » de pouvoir se rincer l’œil à sa guise. Stratagème de plus pratique, car un solide garde-à-vous facilité la délicate tache. Nous sommes entre nous, à la maison, pas besoin de priver le corps de ses naturelles réactions.

Il en va de soi que je tiens aussi à un entrejambe net. Il faut donc adopter une position adéquate pour présenter convenablement le sillon du cucul. Voila qui fait certainement comprendre à mon chéri ce que j'éprouve quand je purge ma pénitence en aérant bien a sa vue mes parties humides. Bref il ne fait pas le fier et reste digne. Digne aussi quand pour clore l'opération, je lui applique un petit lavement pour donner à son soin de beauté la petite touche de bien-être. Comme bien entendu, je me sers dans notre jolie panoplie d'embouts, initialement créés par ses soin pour...

...ton confort isabelle !

Et c'est vrai, j'adore aligner cette série de « rectal dilators percés et préparés » pour pouvoir les munir facilement d'un tuyau qui rejoint notre magnifique broc émaillé aux motifs fleuris. Notons que ce genre d'habitudes était assez fréquent dans un certain milieu allemand avec un penchant « retours vers la nature » en pratiquant mono-diète, voire jeune et lavement pour un ventre de plus plat (Et cela marche à le merveille ceci dit). Voila tout un sous-entendu qui restent évidement entre nous. Je ne vais pas aussi loin dans mes confidence devant un public à la maison. De plus … nous sommes à table !

Mais même en restant à la surface des événements, je réussie à libérer agréablement mon sadisme, habituellement refoulé. Il s'accumule régulièrement a force d'une discipline très stricte à laquelle mon homme tient beaucoup, à force de marcher sagement au pas comme il aime ajouter et à force de tendre mon fessier pour chercher absolution et amélioration de mes mauvais comportements.

Je pense que ces tensions supplémentaires sont inévitable dans une relation de discipline domestique. Et malgré mon besoin de punition qui réclame son dû, il ne faut pas sous-estimer les effets secondaires de son traitement. Alors mon homme me laisse faire devant les invités et au cas où il me trouverait abusive, il peut compter sur le martinet dans le tiroir de son bureau pour m'aider à rafraîchir les limites à ne pas franchir en public. Mais, disons-le, mon éducation stricte porte ses fruits et en bien de domaines...

...t'affiches un comportement exemplaire,isabelle !


vendredi 8 août 2014

556 Liens de discipline domestique (126 ème édition)

Au menu cette semaine : donner réalité à ses fantasme !

Un choix crucial (petit clip)

Ah la belle blague. Je m'imagine à la place de la petite dame. En voyant cet attirail, je me trouve un peu hors de mes rêveries. Ma première pensée :

Ai-je fait erreur dans le choix de mon cavalier ?

Non, non je ne fantasme pas sur l'idée de me trouver attachée, ni littéralement, ni dans le sens transposée. Que l'on veuille me poser un bâillon pour que je me taise un peu, me semble de bonne guerre. Que l'on veuille me voir en bunny plus vraie que nature avec une queue qui tient parce qu'elle sait se loger comme il faut, m'amuse. A la limite vouloir me promener en laisse, pourquoi pas. Ce n'est pas bien méchant... sur une très épaisse moquette.

Mais là, me fiant à la suggestion de ce que je vois, c'est un peu trop à mon goût perso. J'avais déjà entendu que certains messieurs sont de véritables collectionneurs en matière d'instruments, mais personnellement je n'ai jamais fait un telle connaissance. Chez mon homme à ce niveau c'était le néant. Ce qui ne l'a pas empêché de me montrer son esprit pratique en ramenant rapidement, au beau milieu d'un sac de courses, un martinet de … supermarché. Et bien que je sois de manière générale assez exigeante, il a su faire le bon choix. J'ajoute pour ceux qui n'ont jamais fait leur shopping dans un supermarché, qu'il existait dans le temps au rayon « martinet » un sacré choix concernant la qualité des lanières. Pour ma part, j'adore le cuir qui filoche vite et s'adoucit à l'usage. Ce qui n’empêche pas « la chose » de procurer l'effet d'une authentique correction...

Ce qu'il aime particulièrement en moi, mon chéri ?


Il y a ceux qui aiment changer de partenaire pour donner un coup de fouet à leur libido et ceux qui aiment dans le même but essayer du nouveau avec leur partenaire selon la devise : On ne change pas une équipe qui gagne. Pour ma part, j'adore me changer de tête, puis sortir un grand jeu de séduction pour mon homme. Ayant un visage très symétrique, je suis sure de pouvoir porter tous les styles et que ma métamorphose ne prends pas d'allures d'un cauchemar. A moins de bien me connaître, il n'est pas toujours évident de me reconnaître après un relooking total. Heureusement mon chéri aime les surprises, bien qu'il ait marqué parfois devant mes audaces un temps d’arrêt net. Heureusement aussi qu'il aime principalement les dames aux allures sages qui portent des lunettes...


Il n'y a logiquement qu'une seule place pour cacher un bouchon pour le cucul pendant la visite de ses parents !

Enfin, inutile de cacher les miens, sachant ma mère grande adepte de ce genre de sensations aussi. Voila qui m'a évité les suppos quand j'étais enfant. Et toujours ce souvenir comme fut grande ma surprise quand ado j'ai découvert ses petits jouets. Mais mieux encore, j'ai pu aborder les sujet avec elle en toute sérénité. Complicité mère et fille ? Mais oui, bien sur et comment !


Une fois n'est pas habitude. Voila le genre de (jolies) images que je censure habituellement. Quelle idée aussi de ligoter les mains de la fille !Pour qu'elle se constitue offrande ou proie immobile ? Je ne saurais le dire. Passons ! Pour le reste, j'adore cette belle mise en scène d'un fantasme de plus basique. D'où la profondeur du trouble. Et si je me souviens bien de mon enfance, la tentation de montrer mon derrière tout nu à quelqu'un a vite changée de visage par mon adaptation aux normes sociales. Alors devenue plus grande, j'ai commencé à fantasmer d'une manière politiquement plus correcte, veut dire de devoir montrer mon derrière tout nu. Sous forme de punition. Voila qui souligne une belle hypocrisie déjà à l’intérieur de nous. Puis intervient l'astuce suprême de la fessée, par son double effet. Elle punit ces vilaines pensées et permet en même temps de les réaliser. En plus, la tierce personne ne reste pas au stade d'un spectateur et intervient là où on le souhaite le plus. Il y a réellement de quoi a avoir honte de soi. Enfin, il faut être adulte pour bien le comprendre.

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !