Au
menu cette semaine :
Dans
l'intimité des filles
Quand la belle-mère veille aux bonnes manières (petit
clip)
Je ne saurais dire si Simone de
Beauvoir quand elle parle de l'adolescence retrace son propre
ressenti ou si elle pointe sur un phénomène plus généralisée
chez les filles. Bref, pou ma part je m'y retrouve assez bien. Ce
besoin d'une bonne copine, d'une meilleure amie. Et même si ce n'est
pas pour explorer ensemble les sensations de nos corps respectifs, il
s'agit tout de même d'échanger sur les changements du corps et les
sensations y liées. Mais ma meilleure amie a été aussi présente
dans mes rêveries. Côte fantasme, sous la couette, pendant mes
évocations d'une composition sur mesure. Il y avait un foyer en
commun, avec une « belle mère » chez laquelle je me
trouvais avec ma meilleure copine. Cadre entre filles qui sécurise
par ce fait. La belle mère étais de plus stricte avec nous. Calquée
en quelque sorte sur une belle mère des contes de fée qui fait
transpirer les gentilles jeunes filles par ses exigences. Ce clip
correspond bien au caractère quelque peu grotesque de ces fantasmes
destinées à ne jamais voir le jour dans la réalité. Il y a
l'effet « l'une devant l'autre », le partage du coin, le
ridicule de la grande fille encore traitée en petite, puis des
vêtements ringards qui sont déjà en soi une punition. En gros, de
quoi a papoter entre filles, le soir au lit avec les fesses toutes
rouges. Avec timides évocation des effets secondaires de ce
traitement disciplinaire. Puis, pour rétablir une justice supérieure
(il y a une morale dans les vraies contes de fée) la belle mère
aussi n'échappera pas au juste châtiment sur ses fesses.
Il ne faut pas avoir fait de grandes
études de la psychologie humaine pour trouver ce qui cloche dans cette photo.
Bien sûr ! Jamais une dame en panne de voiture serait obligée
de faire de la main d’œuvre elle-même. Autant plus quand elle se
promène habillée rien que de jolis sous-vêtements, de bas noirs et
d’escarpins vernis à hauts talons. Bon, trêve de plaisanterie. Appartement cette mise en
scène retrace ce qui est censée être un fantasme entre filles (?).
Mais quand on commence à lire sur le visage de ces deux dames qui
tournent leur tête vers les spectateur, il y a une autre
interprétation qui se dégage. Par exemple un monsieur, excédée
par le fait que lui doit changer tout seul une éventuelle roue
crevée de sa voiture...
….et
qui image un scénario hautement sadique.
Deux jolies blondes, obligées de faire
le travail elles-mêmes. Loin de moi de dire du mal des blondes. J'en
ai été une assez souvent dans ma vie et il est vrai - du moins pour
moi – qu'un joli blond et un beau sourire facilitent énormément
la vie. Ceci dit, pas la peine de se déguiser en vamp de route pour
faire de l'effet. J'ai su séduire mon chéri dans un rien de temps,
habillée pour faire une (très petite) randonnée. Donc loin de tout
glamour avec des chaussures de marche et en pull et jeans. Une taille
trop petite ce dernier, j'admets. Non, non. Pas de fessée, ni même
d'allusion à ce moment-là. Une belle histoire qui commence, se
tenir la main, petit bisous et mots doux à l'oreille, promenade en
amoureux...
Hors sujet,
isabelle. Je préfère que tu racontes les fessées pendant nos randonnées.
Je
prends bonne note de ta remarque, mon chéri !
La face cachée des filles fait rêver
pas mal d'hommes sans que ce soit une question d'âge. Adolescente,
au premier rayons du soleil printanier, je m'étais rendue dans un
Biergarten (sorte de Bistro allemand en plein air), vêtue de longues
cuissardes noires et d'une jupe assez courte... pour faire de
l'effet. Ben oui, je ne vais pas forcement mettre des cuissardes
parce que je trouve la sensation tellement sublime. Disons que le
soleil est si rare dans la région de mon enfance qu'il vaut mieux
mettre le paquet quand il fait bon et on est à la recherche d'un
prince charmant.
Alors oui, ma stratégie a fonctionné
au quart de tour. Me voyant déjà au début d'une superbe aventure,
je fus vite refroidie par une phrase pour le moins que l'on puisse
dire … maladroite du jeune prince
Tu gardes tes
cuissardes au lit ?
Résumé : On
ne s'improvise pas séductrice. Cela s'apprend !
Mon pauvre chéri avait sous-estimé,
si je porterais un uniforme scolaire, les effets secondaire sur lui.
Un peu perturbé par mes apparences inhabituelles, il n'a pas pu
s’empêcher de me passer sa main sous ma jupe, puis dans ma
culotte.
Ah
ce vilain garçon !
La sensation du coton se mélangeant à
une chair douce et dépourvue du moindre poils lui fit perdre le
reste de son calme. Bien que ce soit le comportement le plus logique
de la part de beaucoup d'hommes, j'étais tout de même un peu
étonnée. Alors j'ai fait de grands yeux avant de changer le rythme
de ma respiration. J'adore de tels manifestations spontanées de la
virilité...
Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !
Méfiez-vous de la pantoufle (petit clip)