vendredi 30 août 2013

392 Liens de discipline domestique (77 ème édition)


Vaisselle cassée, c'est...


J'aime beaucoup les vraies punitions qui interviennent sur une faute ou une bêtise. Cela réveille l'ado en moi que j'ai été et qui est pour parler avec Nietzsche plus âgée que le femme que je suis. N'en parlons pas de la petite fille en moi qui est ainsi l'ancêtre de l'ado et de la femme. Bref, non, la vaisselle cassée (pourtant je casse beaucoup par maladresse), n'est pas raison chez nous pour une correction. Parfois mon homme sait se montrer – à mon plus grand plaisir - très caricatural, mais pas à ce point. A moins que je casserais intentionnellement un des vases de ma belle-mère devant ses yeux. Style: Je vais te montrer ce que je pense de ta mère. Mais là, ce n'est pas moi. J'adore ma belle-mère et aussi ses vases. Nous avons des goûts assez semblables. Alors la vaisselle cassée restera au mieux chez moi le sujet pour un récit fantaisie. Un peu dommage en fait quand je vois cette jolie photo. Pour ma part, j'ai dû déjà cirer le parquet à mainte reprises dans une posture pareille. Mes fesses rouges ostensiblement pointées aux regards indiscrets … de mon homme qui se délecte (le terme est faible) de me vois accomplir une punition utile. Enfin avec la culotte baissée et en cirant à fond, il faut se résoudre de coincer la jupe dans le porte-jarretelles sinon elle ne tient pas en position comme suggère l'illustration. A moins de recourir à la fameuse épingle, parce que la dame s'était fait épingler.

Il est édifiant de constater à quel point le feu dans le derrière se transforme en frottement acharné .. du sol. Ce qui rend crédible à mes yeux la poésie de la névrose de conversion qui trouve les chemins les plus étonnants pour des satisfactions de substitution. Sur tout point de vue. Par exemple à cause du grand nombre de remarques enthousiastes que je récolte en honneur de la brillance de notre parquet. Mais oui cela surprend de nos jours, une femmes qui sait cirer un parquet. Je veux dire positivement dans le sens... en plus de tes études, de ton boulot etc tu sais faire ça ? Bon je ne travaille plus depuis quelques années, mais tout de même. Et quand je raconte que je frotte mon parquet à quatre pattes pour un tel résultat, personne ne s'étonne. Enfin s'il y au monsieur dans les parages, je vois son regard s'illuminer. Pourtant je ne rentre pas dans les détails croustillants. Je pense qu'une une personne avertie devrait se douter un peu de quelque chose, vu ma façon de rougir quand je récolte des compliments. (J'ai été frappé par le fait que les auteurs qui parlent de la honte... omettent de rendre compte du fait que la honte fait rougir – ce qui indique la présence d'un fantasme sexuel... Jeanine Chasseguet-Smirgel 1973 ; en parlant de l'érythrophobie, la crainte de rougir en public ; je reviendrais sur cette grande dame et ses forts intéressants interprétations de la lune rousse un autre jour).

Alors, est-il un terrible machiste, Monsieur 183 pour demander à la pauvre isabelle de telles choses ?

Non, pas vraiment. Je rappelle qu'il s'occupe des lavabos bouchées par exemple. Et pour les déboucher, il est facile d'imaginer le ridicule de ses postures. Bon, il n'accomplit pas ce genre de travail le caleçon baissée, mais il lui arrive de se mettre torse nu, surtout quand il commence à avoir chaud parce qu’il a du mal avec les grosses boules de cheveux de moi et de la petite. Je crois que dans ces instants-là, il doit regretter mes cheveux courts à la garçonne de nos débuts. Enfin de le voir transpirer, dans des postures les plus étonnantes, me plaît beaucoup. Je me rince l’œil, en buvant mon café et en racontant quelques futilités sur les derniers nouveautés de maquillage à mon homme... qui m'écoute. Alors beaucoup de personnes se plaisent pour critiquer la discipline domestique pour son sens unilatéral qui resserve le beau rôle au monsieur. Peut-être parce que les dames parlent rarement de toutes taches ingrates que les messieurs se réservent en exclusivité pour eux et sous peine de sanctions sévères pour la dame si elle met ses mains ...

Cette semaine c'est la rentrée. Étant très occupée, je modifie encore ma cadence de poster avec notamment un raccourcissement des mes articles.
Je croule sous les fichiers d'idées et au lieu de baisser, j'ai l'impression que mes listes se prolongent de jour en jour. Sans parler du matériel que je reçois...

Je vous souhaite à tous et toutes une excellent week-end et une bonne rentrée !
















mercredi 28 août 2013

391 Discipline domestique ou prise en main ?


Disciplinary spankings ou leadership ?

Je ne sais pas si vous connaissez l’excellent site : Taken in Hand (Prise en Main). D'abord (outre de maîtriser un minimum l'anglais) il faut aimer (et se contenter aussi) des échanges sur des structures très particulières en couple, la bonne réflexion, les conceptions atypiques et les théories plus que personnelles. Car c'est un site sans images et clips. Donc peu utile pour les occupations qui se font d'une main. Et il n'y a pas de rencontres à faire comme carotte pour stimuler l’activité... cérébrale en vue de contribuer, attirer l'attention ou séduire avec des beaux posts. Pour ma part je regrette parfois de ne pas disposer ni du temps nécessaire, ni d’un meilleur anglais pour participer aux discussions. C’est toujours bien argumenté et ne tombe pas dans un registre de tchat pour adultes en manque de distraction. Pas de combat de coq pour ravir le narcissisme des dames, ni de petites pestes qui aiment provoquer les messieurs pour se mériter une bonne fessée. Bref cela reste entre gens concernés ou intéressés par un mode de vie différent, dans l'ensemble très monogames avec le couple comme valeur suprême. Et je pense rien qu'en regardant la manière comment se passent des tels échanges, que nous sommes loin d'un registre de « spanking for fun ». Enfin depuis quelques temps, on trouve aussi chez nous de plus en plus de publications, notamment féminines qui tournent autour de la poésie d'une vraie punition. Peut-être parce que ces dames ont dépassé l'âge de jouer et souhaitent du sérieux.

Ce site parle en quelque sorte d’un courant qui essaye de se distinguer de la discipline domestique. Je pense que les auteurs n’ont pas foncièrement tort d'insister sur quelques nuances. On zappe sur un certain aspect récréatif plus ou moins conscient sans le nier. Et parce qu'il s'agit avant tout d'un consensus entre deux personnes liées par l'amour , il est peu étonnant de trouver beaucoup de réflexions qui concernent les sentiments. Voyons maintenant cette fameuse distinction :

Les amateurs de la DD semblent manifester un faible (penchant irrationnel) pour la discipline, veut dire l'application d'un ensemble de règles dans le couple. Le fin plaisir de marcher à la baguette en quelque sorte qui ressort à chaque fois que l'on s’écarte du bon chemin.

Apprends-moi à être une fille sage !

Le courant « Prise en Main » de son côté se base plutôt sur une recherche de sécurité affective par le biais d'un monsieur qui s'occupe de tout en prenant la dame par la main. L'accent se trouve sur un monsieur qui décide pour le bien du couple.

Apprend-moi à être une épouse dévouée !

Donc à mon sens deux fantasmes assez distincts à la base. A ma compréhension le premier courant trouve ses origines plutôt dans le développement de la libido et et le deuxième plutôt dans le développement de la personnalité. Mais ils peuvent aussi se confondre en une seule personne. Notamment au fil du temps, car le but du couple c'est de durer. Parfois c’est bien complexe à démêler. Voila qui donne :

Pour ma part mon penchant va vers la discipline domestique, d'où le titre de mon blog. J'y vois une sorte d’encadrement de la vie - je dirais - plus quotidienne que conjugale. Personnellement je suis - à priori - extrêmement indépendante. Socialement et affectivement parlant. Je ne vis pas avec mon homme pour échapper à la solitude, par contrainte matérielle ou par recherche d'un soutien. Je n’ai pas besoin d’une personne qui me rassure sur ce que je fais ou projette de faire. Qui m'encourage dans mon travail. A ce niveau je suis auto-motivée. Je ne souhaite pas un couple fusionnel, l'un collé sur l'autre à longueur de journée. Par contre je peux montrer par exemple une approche à la vie quotidienne assez anarchique qui est notamment très nocive pour ma sante qui est comme donnée personnelle bien fragile. Alors j'aime beaucoup un encadrement strict. Une journée structurée et imposée avec une main de fer. Mais au fil du temps étant trop bien bichonnée par mon chéri, je lui fais tellement confiance pour ce qui concerne une juste appréciation de la plupart des situations de la vie que je me fie à ses décisions. Et si sa décision ne me convient pas pour une fois ? D'abord cela arrive. Non, il ne se fâche pas. Non, il ne lui viendrait pas à l'idée de faire appel à la DD pour me convaincre. Nous font comme tout le monde. Chacun expose ses arguments et nous réfléchissons ensembles pour trouver la meilleure solution avec un intérêt familial qui prime sur une intérêt personnel. On peut en déduire une certaine leadership de mon homme dans notre couple, mais cela s'est imposé par la qualité de ses décisions et non parce qu'il est le monsieur qui porte le pantalon et impose donc d'office...


dimanche 25 août 2013

390 Un fouet en cadeau de mariage


Et en plus c'est le beau-père qui l'offre !

Petite curiosité de mes archives qui sont dédiés à la recherche sur la discipline conjugale au fil des siècles. (Avec d'autres mots j'adore le travail de documentaliste). Une éloquente anecdote, trouvée dans un vieux livre qui contient bien d'autres trésors autour de notre sujet. Est-ce que bien du sérieux ou bien utilisait-on déjà un peu plus de 160 ans en arrière l'humour pour s'approcher de la fessée en couple ? Notamment quand on regarde l'en-tête du livre qui ne semble pas manquer du piquant. Enfin, je vous laisse juger par vous-même. Après tout nous sommes entre adultes !

Mesdames les femmes et messieurs les hommes

Parallèle entre le beau sexe et le sexe laid

PRECEDE ET SUIVI

du Récit exact de ce qui s'est passé le jour de la Sainte-Catherine à la séance solennelle de la Société académique des Observateurs de la femme.

QUATRIÈME ÉDITION

PUBLIÉE ET CONSIDÉRABLEMENT AUGMENTÉE
PAR G. S. ADOLPHE RICARD

Gendre et successeur du secrétaire archiviste de ladite Société.

Paris 1859


...nous ajoutons l'anecdote suivante, qu'un célèbre aventurier, le hongrois Beniowski, rapporte dans ses Mémoires:

« Un jour que je traversais la petite ville de Latnopojskaia, dans la Russie septentrionale, j'eus la curiosité d'assister à un mariage dont les préparatifs extérieurs avaient frappé mes yeux. Les futurs, tous deux de fort bonne mine, appartenaient à la petite bourgeoisie. Dès que la jeune fille eut prononcé le oui décisif qui l'unissait à son époux, son père sortit de sa poche un petit fouet qu'il avait acheté pour la circonstance, lui en donna trois coups sur les épaules, et lui dit avec une certaine solennité : — Voici, ma chère fille, les derniers coups que vous recevrez de moi; vous avez été jusqu'ici sous ma discipline; à dater de ce jour votre mari me remplacera, et c'est lui qui vous châtiera désormais, si vous ne lui êtes point humblement soumise en toutes choses.
» Après cette courte allocution, ce brave homme offrit son fouet au mari; mais celui-ci ne voulut pas le recevoir, objectant avec une politesse souriante que c'était un instrument dont il n'aurait jamais besoin dans son ménage.
» — Vous avez tort de refuser ce fouet, monsieur mon gendre, reprit le père de la jeune mariée ; vous ne connaissez pas le caractère des femmes, et l'expérience ne vous a point encore appris que le meilleur moyen de les soumettre est de les châtier. Croyez-moi donc, ne faites pas sottement le galantin, acceptez ce fouet, et servez vous-en sans aucun scrupule si l'occasion se présente. — Comme le jeune homme faisait encore mine de refuser, le beau-père renouvela son offre; il le fit de telle sorte, que son gendre, se rendant enfin à ses instances, promit publiquement à sa jeune épouse de se servir vigoureusement de ce petit meuble toutes les fois qu'elle serait assez peu sage pour lui en donner l'occasion. La jeune mariée s'inclina respectueusement:
» — Votre volonté sera la mienne, mon cher mari, répondit-elle; et quoi qu'il arrive, ce que vous ferez sera bien fait. Un mari qui bat sa femme avec un bâton, un nerf de bœuf ou des verges, lui témoigne, en la corrigeant aussi sévèrement, combien il l'aime; et loin de troubler par de semblables corrections la bonne harmonie de son ménage, il en assure au contraire le repos et le bonheur.
» Ainsi parla la jeune femme. Ce petit discours me fit faire bien des réflexions... »
Lesquelles? L'auteur ne le dit pas. Pour suppléer à son silence, et résumer en quelques mots celles que ce récit nous inspire, nous nous bornerons à répéter un adage dont l'énergique concision rend parfaitement notre pensée : « Comme ce sont les poltrons qui font les braves," ce sont les esclaves qui font les tyrans. » G. S.

vendredi 23 août 2013

389 Liens de discipline domestique (76 ème édition)


Une fois le derrière en feu, comment...


Pour moi une vraie correction vie d'émotions spontanées. Je parle le plus souvent de celles de la dame. Normal le sujet me concerne directement, mais aussi parce que je n'ai pas la prétention de pouvoir me mettre à la place d'un homme. Et justement j'ai un peu impression que l'on pense rarement aux émotions du monsieur qui applique. Il s'agit de regarder plus loin que de l'imaginer dans un état de transe, hypnotisé par le derrière féminin. Ou tout simplement excité à ne plus en pouvoir. Pas besoin de la fameuse intuition féminine, on sent quand même certaines choses quand on est allongée sur les genoux d'un homme. Puis s'ajoute son respiration haletante. Ou encore comme ceux qui en font un métier sans y investir corps et âme. N'oublions pas non plus tout ces braves « fesseurs » qui font cela pour faire plaisir à la dame, les hypocrites timides quoi, et ceux qui méditent sur la difficile équation comment partager le plaisir et qui contiendra à jamais une variable inconnue : l'autre ! Et enfin, notamment dans des récits, souvent il y a confusion entre sensation et émotion.

Les émotions spontanées s'improvisent difficilement. Elles trempent leurs racines dans la vie quotidienne et apparaissent sans prévenir. Et subitement mon chéri se fâche. Sans ambiguïté. J'ai encore réussi de lui faire perdre son calme habituel, de le faire démordre de sa patience sans fin et lui provoquer une authentique colère. Bien entendu le manuel du parfait éducateur prévoit un chapitre à ce propos et déconseille fortement de punir sous l'emprise d'émotions intenses. Et quant aux personnes qui jouent un jeu de rôle, à moins que l'inconscient ait un compte à régler avec maman, et encore, hein bien, il ne sauraient malheureusement pas procurer à la dame un authentique homme en colère.

Je ne crois pas trop dans l'argument que la colère fasse perdre la raison au point de maltraiter une dame. Comme il me parait erronée de lier le fantasme de la fessée systématiquement à un désir de taper de plus en plus fort. Je pense que cela dépend des personnes. Alors mon chéri quand il est vraiment en colère, il est bref et expéditif. Le plus souvent cela dure moins d'une minutes. Quelque grosses claques sur mon derrière avec sa main. Il est trop énervé pour chercher le martinet. Toutefois il lève ma jupe ou robe et baisse ma petite culotte quand j'en porte une, mais rarement un string. Et rien que dans ce petit geste se montre déjà une sorte de recul, malgré la colère. La touche humaine.

Je vais lui faire sa fête, mais pas sa peau !

Un vacarme d'enfer, un orage d'été et j'ai vraiment très mal aux fesses. L'action est trop brève pour une contrition ou des larmes. Nous sommes dans un registre d'avertissement (ne recommence plus), registre de soupape pour évacuer une tension trop forte( y en a marre de tes caprices, isabelle), registre de « sexe fort et sexe faible » (tu vas voir qui porte les culottes ; oh oui mon chéri montre moi !), registre de rapport d'autorité (avec moi tu fileras droite), registre récréatif aussi (c*l nu sur mes genoux). Bref je suis ravie, vraiment ravie. Non seulement parce que je trouve à mon homme une réaction très humaine et compréhensible. Non seulement parce qu'il ose me punir d'une manière - soyons clairs - qui est inconciliable avec nos conventions sociales. Ce qui lui donne un aura « mon héros à moi » qui se moque du politiquement correct. Quel frisson ! De l'autre côté je vois l'expression d'un grand gamin qui extériorise une émotion négative dont fait partie la colère et qui a pour cause en fin de compte une non-satisfaction d'un désir. Alors il faut en trouver une de substitutive. Mais tout au contraire de mes punitions ritualisées, mon pauvre chéri regrette souvent son geste. Et pour se faire pardonner il me passe... de la pommade … sur mon postérieur brûlant. Ce n'est pas mignon tout plein ? En tout cas moi je craque. Et je ne crie pas non plus au secours quand ses mains commencent à s'égarer. Je le laisse se consoler pour son geste brusque.


Il fut un temps quand la fessée était encore une aventure. Il fallait un homme qui ait peur de rien, ni même de braver le ciel pour se frayer un chemin au travers des jupes, jupons, bas et porte-jarretelles pour arriver devant le dernier rempart de la pudeur, la petite culotte de la dame.
Ah comme j'aime le glamour à l'ancienne et j'ai quelque jolies jupons dans ma penderie. Un peu dommage que mon homme malgré son grand amour pour le rock and roll version Rolling Stones ne sache danser, style rock acrobatique avec entrain et rythme qui fait monter les jupes des filles. Bon j'ai essayé de lui donner quelques cours de danse et j'ai pu constater que le pauvre, tout au contraire de moi et de notre petite, manque le moindre sens de rythme. Dur, dur pour lui la vie avec deux femmes qui commencent à bouger dès qu'une musique atteint leurs oreilles. Alors, on l'imagine, dans les activités claquantes aussi, il a du mal à tenir un rythme. Même un truc, gros comme une montagne, la marche de Radetzky, lui pose pas mal de problèmes de justesse. Comme il dit, en se réfugiant derrière Einstein : ...celui qui défile joyeusement au pas cadencé a déjà gagné mon mépris. C'est par erreur qu'on lui a donne un grand cerveau puisque la moelle épinière lui suffirait amplement. Je le laisse parler en pensant que son compagnon dans son caleçon est moins tranché dans ses jugements. Il suffisait que je mette ma tenue de majorette (j'ai quelques problèmes pour y rentrer depuis quelques années!) et que je me mette à bouger pour que non seulement ses yeux lui sortent de la tête. Mais le plus mignon c'est qu'il a honte à admettre devant ses copains d'antan qu'il aime les petites jupettes et d'autres futilités en ce genre. Je me souviens d'un timide rougissement de sa part quand j'avais dit en toute innocence devant ses copains de fac qu'il adorait à l'occasion du carnaval de Düsseldorf ou de Cologne regarder défiler les Funkenmariechen (majorettes) au pas.

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !














jeudi 22 août 2013

388 Le monde de la nuit


Se sentir vraiment nu !

Petit post supplémentaire qui voit le jour grâce à Christine et ses jolies contributions sur la discipline domestique et d'autres réflexions de ma part. Je trouve un peu dommage que des tels textes se perdent dans les commentaires, comme également ceux de quelques autres lecteurs. A la base nous étions partis sur le monde de la nuit, les endroits branchés et les clubs. J'avais alors exprimé mon ignorance et mon manque d'expérience à ce sujet. Concernant la France … je précise, mais quant à l’Allemagne mes connaissances sont de nature essentiellement théoriques et se basent sur une multitude de récits très détaillés de la part d'amis de mon homme. Alors j'ai suivi avec grand intérêt et plaisir les expériences de Christine, déjà parce qu'il est très rare de trouver une dame qui a envie d'en parler et surtout sans que cela dégénéré dans un oeuvre grossier d'histoires de fesses. Ce qui me plaît, c'est sa façon pudique de raconter qui rentre parfaitement dans le ton de mon blog. Ses anecdotes amènent sur une belle réflexion concernant la nudité publique. Évidement c'est une question de sensibilité personnelle, mais on retient que la nudité selon les circonstances peut se parer de maintes visages. 

Voici les impressions de Christine que je remercie ici pour son aimable autorisation de publication :

Mon expérience du monde de la nuit se limite à la fréquentation d’un club privé tenu par des amis de longue date de mon mari. Lorsque nous passons en couple une soirée à Paris, ce qui n’arrive pas souvent je dois dire, il est rare que nous n’allions pas au club, que ce soit pour y boire un verre, ou pour y passer toute une soirée puisqu’on peut même y dîner.

En principe, n’y sont admis que les membres et leurs amis, ce qui leur permet de « sélectionner » la clientèle, ou plus exactement d’en éliminer les éléments indésirables parce que fauteurs de troubles, tels notamment, ainsi que je l’ai constaté, des ivrognes invétérés qui une fois alcoolisés perdent toute notion de savoir-vivre. La gent masculine qu’on y voit est assez homogène, essentiellement constituée d’hommes murs, ayant des situations « assises », donc assez aisés, et qui viennent pour se sentir loin de leurs préoccupations journalières.

Du côté féminin, c’est beaucoup plus diversifié ! Je ne citerai que pour mémoire les 4 ou 5 strip-teaseuses qui viennent dans le courant de la nuit faire leur numéro sur la piste de danse libérée pour l’occasion, encaissent le prix de leur prestation, puis s’empressent de rejoindre un autre club ou cabaret, leur but étant de se produire plusieurs fois dans la nuit pour gagner suffisamment. Si on veut classifier les femmes par « groupes », je dirais qu’il y a :

  • les épouses (dont je fais partie !) ainsi que les « concubines » qui accompagnent leur homme, ce qui ne représente généralement guère plus de 10% en semaine des représentantes du sexe féminin, mais couramment plus de 50% le vendredi soir (le club est fermé les samedi et dimanche)
  • les femmes célibataires (ou considérées comme telles), qu’elles soient veuves, divorcées, ou ayant bien que mariées une vie indépendante, telle l’épouse d’un avocat connu, ce qui m’étonne toujours. La plupart ont au moins la quarantaine. Elles viennent pour s’amuser, bavarder, se divertir, et le cas échéant si elles en ont l’envie ce soir là, repartir au bras d’un cavalier qui leur a plu afin de finir la nuit dans le lit de l’un ou de l’autre ;
  • et aussi quelles que jeunes femmes, qui dans leurs vies quotidiennes sont étudiantes, vendeuses, employées, etc., qui ont su convaincre nos amis qu’elles sauront se comporter au club avec discrétion et savoir-vivre, et qui, en plus de se divertir comme les autres célibataires, ont l’espoir (caché qu’en apparence !), d’y trouver l’amant d’une nuit, ou de plus longtemps, et qui les entretiendra.
Je pourrais raconter bien des anecdotes. Je dirai juste maintenant que la provinciale naïve que j’ai pu être a été étonnée de voir comme tous et toutes s’y côtoient aisément, sans barrière, en toute simplicité et même réelle camaraderie …

... je pense que pour mieux vous éclairer sur une des règles de base quoique non écrite de ce que j’y avais appelé le savoir-vivre, il me faut vous conter un incident auquel je n’ai pas assisté, mais qui me fut largement rapporté et commenté par quelques unes des « célibataires » et confirmé par nos amis.

Il s’est passé que lors d’une nuit telle qu’il y en a classiquement en semaine, un couple a été surpris dans les toilettes en pleine copulation. Il mit en scène, si je puis dire, une jeune fille qui avait alors 25 ans, et un habitué du club. J’avais quelques fois bavardé avec cette fille qui avait fait un cursus scolaire identique au mien. Plutôt mignonne et souriante, un joli corps qu’elle savait mettre en valeur, elle m’avait confié que son souhait pas si secret que cela était de se trouver un « protecteur ».

Dès que notre ami sut la chose, il se précipita aux toilettes, provoqua un « coitus interruptus » non programmé ( !), et suivit la fille qui traversa honteuse la piste de danse avec ses vêtement roulés en boule jusqu’au vestiaire où il attendit qu’elle ait terminé de s’habiller pour la reconduire à la porte du club et la mettre dehors. En guise d’adieu , il lui intima de ne plus jamais pointer ne serait-ce que le bout de son nez au club. Qu’est-elle devenue ? Je n’en ai pas la moindre idée.

Quant à son partenaire, notre ami lui fit gentiment comprendre qu’il ne serait plus le bienvenu au club. Bien qu’étant un habitué de longue date, il se le tint pour dit et n’est plus jamais venu.


Puisque vous semblez « fantasmer » sur le French-cancan, je pense que je ne vous apprendrai pas la raison qui en déclencha son fulgurant succès, à savoir les culottes fendues de ces dames à la belle-époque. Il semble que l’on soit devenu plus pudique de nos jours … Je me demande si déjà, certaines ne faisaient pas disparaître leur toison, car j’ai le souvenir d’un tableau de Toulouse-Lautrec où la fille montre une « fente » sans poil.

A propos du monde de la nuit, et de l’envers de son décor, un début d’après-midi où nous passions devant le club, en voyant la porte ouverte, nous nous sommes arrêtés pour saluer les amis de mon mari. Ma première remarque fut olfactive , celle du tabac froid et des odeurs sui generis stagnant encore à l’intérieur du club en dépit d’un excellent système de ventilation, tandis que leurs employés procédaient aux activités ménagères.

La deuxième, qui fut une découverte pour la provinciale naïve que j’étais, fut d’assister discrètement à « l’embauche » d’une des strip-teaseuses qui pourront peut être venir se produire au cours de la nuit. Si dans la pénombre de la piste de danse, entourée par les spectateurs assis tout autour, il y a une certaine aura, là, en pleine après-midi, et tandis que les employés vaquaient à leur travail sans faire trop attention à elle, la fille eut à exécuter en pleine lumière son numéro sous les regards attentifs de nos amis voulant juger si le style conviendrait à leur club. Et c’est encore nue, sans même avoir pu se rhabiller, qu’elle connut le jugement sur sa prestation et les conditions offertes.

Je crois que c’est ce jour là que j’ai réalisé ce que c’est qu’être vraiment toute nue en public, infiniment plus que sur une plage nudiste, devant des personnes classiquement vêtues qui vous scrutent intimement pour évaluer sans concession aussi bien votre physique que la façon dont vous saurez l’offrir aux regards plus ou moins émoustillés de spectateurs anonymes.


mercredi 21 août 2013

387 Affronter l'ingratitude de la dame


...ou comment préparer le terrain pour une vraie fessée punitive !

Je me suis rendue compte assez tôt dans ma vie de ne pas être la seule personne attirée par ce type de fantasme. Le sujet faisait régulièrement apparition dans les journaux et magazines allemands, y compris dans ceux qui étaient destinés aux ados. Le plus souvent sous forme de courrier de lecteurs. En abordant deux aspects principaux : Informer la jeunesse comment se défendre et qui prévenir en cas de parents à tendance « retro », puis en déculpabilisant l'aspect récréatif dans l'intimité avec son petit ami. Mais parfois on y trouvait aussi des vraies perles qui s'emparaient vite de mon imaginaire. Je me suis peu intéressée à la question de la véracité de tels récits. Par contre j'ai vite compris que mon fantasme n'avait rien de particulièrement « original » et ne représentait qu'un infime échantillon du monde d'un célèbre Marquis. Je pense que s'il n'y avait que l'aspect récréatif, je n'aurai jamais fait de blog sur le sujet. D'ailleurs je ne connais aucun blog français qui se limite à la forme récréative de la chose. Il y a toujours un souterrain plus ou moins riche à découvrir. Alors quand j'étais jeune adulte, j'avais bien envie de mettre une réalité sur ma fantaisie. Avec certaines craintes bien concrètes envers les messieurs.

La métaphysique de la honte pour passer sur les genoux d’un homme et de s’en prendre une bonne n’était pas un argument majeur pour m’empêcher de réaliser mon fantasme. Au contraire c’est un fort stimulus que je gère bien et qui constitue justement un élément qui pousse dans la direction de savoir comment c'est en vrai. A ce stade je crois qu'il y a des dames qui fantasment plutôt sur le fait que cela se passe avec un (quasi) inconnu (d'où l'utilité des forums dans ce cas) et d'autres qui souhaitent inclure cette pratique dans une relation existante. Peu importe et chacune selon ses goûts, mais il me semble que les craintes avant de passer à l'acte sont assez semblables. Je vois deux principaux raisons qui entrent en compte pour moi :

-Le souci que le monsieur déduise une certaine tendance à d’autres désirs de ma part. Ouvrant la voie à des pratiques plus poussées. Notamment quand il s’agit d’un adepte de l’histoire d’O qui comme bien connu est écrite par une femme et qui tourne autour d'une poésie « prête à tout pour son amour » : soumission, don de soi, abandon etc. De là en conclure que ce livre révèle certains non-dits de la psychologie féminine me parait un peu gros. Le fantasme de la fessée peut très bien se suffire à lui tout seul et toutes les pratiques annexes évoquent pour certaines dames ... rien du tout. Alors vivement le pan-pan cucul que ce soit comme un acte d’amour physique sur un mode un peu particulier ou comme un puissant générateur d’émotions troubles qui vise souvent plus une répartition de rôles dans le sens actif/passif qu’autre chose. Bref je me méfie du fait que le monsieur dispose d'une fantaisie trop débordante (ce qui n'est pas un problème en soi) et qui se déchaîne subitement dans l'intimité à deux (voilà un très gros problème). En voulant m’entraîner vers des pratiques que je ne désire pas. En ce sens, je suis particulièrement prudente quand apparaissent dans les préliminaires... verbaux des mots comme maîtrise et contrôle qui expliquent de manière très éloquente les préoccupations fantasmatiques et surtout la vision personnelle du monde des pulsions. Ce qui ne veux pas dire qu'un tel monsieur ne se comporterait pas de manière irréprochable avec la dame.Toutefois je serai plus tentée par un discours éducatif, bonnes manières, fille modèle, comportement irréprochable etc.

Pour le dire clairement, certes, il y a une sorte de transfert qui établit une autorité. Et cette petite mise en route évoque chez certains hommes un sentiment que la dame cherche une personne d'autorité sur un mode père /fille en déduisant ainsi une certaine immaturité de la dame. Seulement cette immaturité est très rarement réelle, mais un effet du … contre-transfert dans lequel le monsieur projette ses propres fantasmes. Et peu d'hommes pensent au fait que la dame puisse prendre plaisir à observer le monsieur agir sous l'emprise d'illusion de se trouver en face d'une dame immature en la traitant comme il imagine selon ses fantasmes qu'il convient de traiter une « odieuse peste ».

-Puis d'autre crainte que le monsieur ne se rende pas compte de sa force (je reste prudente dans ma formulation) et que la bonne correction tant désirée se transforme subjectivement pour la dame en une séance de torture… mentale. Ce n’est pas vraiment la douleur en soi qui est craint les plus – les fesses féminines possèdent un rembourrage naturel ! - mais à mon avis l’idée de découvrir un comportement trop brusque ou inattendu, notamment chez une personne que l’on aime. Contrecarré par une certaine peur que le monsieur y aille trop doucement. Ce qui expose ce dernier à l’ingratitude de certaines femmes pour ses efforts. Ce qui peut être très pénible. Tout cela ne facilite pas la tache d’un monsieur de bonne volonté.

Un conseil ?

Je pense qu’à choisir il vaut mieux affronter l’ingratitude de la dame. En jouant la carte de la prudence. Au lieu de se lâcher pour de bon. Puis, si l’ingratitude se manifeste lourdement, là, il y a bonne raison de recommencer sur des bases plus fermes. C’est comme faire de la soupe. Trop de sel la rend définitivement inconsommable. Un trop peu se corrige toujours en y ajoutant un surplus par petites doses. C’est selon les goûts et la patience paye à la longue. Comme dit Monsieur parfois: 

Je vais te donner ta juste dose, isabelle.

Et me voilà émue comme il faut, loin d'un état « même pas peur, même pas mal », mais sans crainte...


dimanche 18 août 2013

386 Piqué par la petite bête


Oh les vilains fantasmes !

Il y a des personnes qui considèrent leur monde fantasmatique comme leurs petits ou grands démons. Notamment pendant l'adolescence qui structure nos pulsions et désirs, en érigeant en haut de la pyramide la génitalité. Alors nos fantasmes précédents subissent d'importantes modifications. Et subitement, un innocent penchant pour la discipline stricte, nécessite quelques apaisement supplémentaires de nature particulière selon la personne. Ces changements, imposées par la nature, malgré nous, malgré notre volonté peuvent causer un réel malaise et des difficultés d'adaptation. Au point de vouloir être débarrassé une fois pour de bon de ces petits univers d'un autre âgé. On trouve peu de matériel sur le net qui parle des différentes étapes comment un fantasme s’accommode.

Je donne un petit exemple pour mieux comprendre ce que j'entends par là. Mon homme très jeune se berçait littéralement le soir avec des rêveries de dames sévères. Commerçantes de son entourage, voisines etc qui s’occupaient de ses bonnes manières. Sur ce s'ajouta à la puberté quelques aménagements concernant les tenues des dames. Il affectionnait et affectionne encore les jupes droites noires, longueur mi-cuisse, les chemisiers blanc très moulants, puis des bas assortis de hauts talons, qui se dévoilent quand la dame se penche un peu trop en avant. Seulement au fil du temps, ses rêveries devenaient de plus en plus audacieuses et un jour, une de ces éducatrices pour jeunes hommes, fut déculottée et reçut pour sa part une mémorable correction. Et depuis mon homme se consacre à la noble tache d'éduquer des dames en manque de main ferme. Avec une spécialisation et exclusivité depuis 15 ans dans « l'isabelle ». Pour lui faire plaisir, il m'arrive souvent de m'habiller selon son mode de tenue fétiche, car ce classicisme me convient à la merveille. Voila qui me donne une allure quelque peu austère et stricte et quand j'achetais un martinet dans le temps, on ne se doutais pas qu'il était destiné à un emploi sur mon auguste postérieur.

Il est clair que certains fantasmes ne sont pas aussi adaptables à la réalité et peuvent même se révéler nocifs pour autrui. Pour ma part je ne suis pas du tout adepte d’une philosophie qui prône l’idée de « goûter à tout ». Je suis méfiante envers les personnes qui tentent de pousser à la consommation sous prétexte d’être libérées. Le mot « libéré » contient pour moi une autre signification :

Prendre ses décisions sans tomber sous l’influence de qui que ce soit. Décider soi-même de ce que l’on a envie de faire ou pas. Sans tenir compte d’éventuelles modes ou beaux parleurs.

Par exemple, je suis une adepte de longue date de l’épilation intégrale. Je la pratiquais déjà quand il fallait très bien connaître une esthéticienne pour accéder à ce genre de soin. Puis la mode est arrivée et on peut se faire épiler intégralement de nos jours à chaque coin de rue. Avec la tendance tout de même qui tangue vers un tout petit rectangle de poils bien entretenus. Je ne prétexte pas un éventuel esthétisme, ni des arguments d’hygiène pour justifier mon faible. Chez moi c’est purement irrationnel et je le mets sur le compte de mes « envies » et celles de mon homme. Envies entre guillemets, car les envies prennent source dans l'oralité et se satisfont le mieux dans leur construction primaire par la ... bouche.

En ce qui concerne la fessée entre adultes consentants, malgré une publicité massive dans la presse féminine et le succès phénoménal d'un livre dont je ne nomme plus, je ne pense pas que cette pratique correspondra un jour aux goûts d’une large majorité. Et loin de moi de vouloir faire de la pub pour cette pratique. Je me contente de décrire mes propres émotions et réflexions parce que c’est mon truc, ma petite bête à moi qui m'a piquée très tôt dans l'enfance. Je pense qu’il existe beaucoup de personnes curieuses qui aimeraient savoir plus sur des telles lubies sans pour autant éprouver le désir de les tenter par eux-mêmes. Et plus particulièrement en ce qui concerne la discipline domestique. Curieuses de savoir qu’il existe d’autres personnes qui ne voient pas uniquement dans les châtiments pan-pan cucul un passe-temps récréatif, mais un goût prononcé pour la discipline d’antan.

J’essaye d’en parler avec de l’humour, du recul et… de la passion aussi. En évitant toute vulgarité et les mots crus pour donner un aperçu réaliste de cette pratique. Un univers intimiste qui met l’accent sur la relation humaine qui passe avant l’apaisement des sens. « Parler fessée sans (trop) parler cul »… sans oublier l’impact culturel de cette pratique au fil des siècles.

Un peu trop sage la petite isabelle ?

Pas faux, mais peut-être s’agit-il de l’effet de la discipline stricte…

vendredi 16 août 2013

385 Liens de discipline domestique (75 ème édition)


Pour le plaisir des yeux !


Pour finir ma semaine super 8 en beauté, voilà les derniers clips qui me restent. Celui-ci me rappelle les devinettes soi-disant bêtasses. Soi-disant parce que je ne trouve presque jamais la bonne réponse. Voila qui donnerait : dans ce petit film se cache une incohérence. Sauriez-vous la trouver ? Des dames avec comme seul habit des bottes, c'est un truc vieux comme les... bottes pour distraire bon nombre d'hommes. Et, bien évidement, cela plaît beaucoup au mien. Jamais contrariant, c'est un vrai adepte de la demi-nudité, rehaussée par tel ou tel autre vêtement. Ce qui est fort pratique, car je ne risque pas de tomber en panne d'inspiration pour le surprendre. Il semblerait alors que la dame qui reçoit la correction était tenue de mettre une culotte, justement pour que l'on puisse la baisser pour un effet culotte aux genoux. Inutile de dire que cela aussi ravit mon chéri. Superbe contraste donc avec la dame qui applique. Parfois je me dit qu'à l'époque les gens avaient un drôle de trip dans la tête... littéralement peut-être pour nous surprendre avec des mises en scène qui semblent tellement démodées de nos jours. Même quand il n'y a pas de poils à perte de vue. Joli travail de jambes qui décollent à chaque tape et également joli travail de main pour empêcher celle qui encaisse de se protéger. Détail très réaliste qui s'est perdu de nos jours. Nous sommes loin du fameux crédo du plaisir partagé. Par contre je me pose la question comment la production industrialisée de maintenant sera perçue dans une quarantaine d'années.


J'ai horreur du vocabulaire branché concernant notre sujet. Je ne suis plus une ado qui essaye d'impressionner son entourage par des trouvailles sms et l'esprit de la cours de la récréation me fait fuir à grande vitesse. L'expression otk me semble dépourvue de romantisme et j'aurais une très mauvaise impression d'un monsieur qui me parlerait dans des tels termes. Mais je ne m'estime pas représentative, car le otk revient très souvent en rapport avec notre sujet. On dirait que les personnes qui l'utilisent sont même pressées dans leur vie intime, impatientes, à la recherche de la satisfaction instantanée. Étant très lente, il faut d'abord s'adapter à mon rythme pour me séduire. Et dans un hypothétique jeu du « qui domine qui » je ferais avec grande probabilité une très mauvaise soumise. Trop exigeante dans mon choix, trop pointilleuse. La tête dans les étoiles, mais avec des pieds bien sur terre. Car depuis mon enfance, je sais que mon homme sur mesure existe. D'abord ce fut mon papa. Avec le recul pour ses qualités humaines sans jamais se décourager devant mes pourquoi de petite fille en essayant toujours de me répondre au mieux de ses connaissances. Seul b-mol un peu trop laxiste avec sa fifille. Il a su m'apprendre plein de petites astuces sur les messieurs pour faire un choix judicieux. Comme par exemple les écouter attentivement. De faire attention à leur choix de mots, de leur façon de me regarder en parlant. A détecter celui qui essaye de m'amener par son habilité sur des chemins qui ne sont pas les miens etc. Bon, je ne dirais pas que le moindre otk entraînerait une désapprobation immédiate d'un monsieur pour moi. Mais ma méfiance réveillée, il sera dur pour lui de remonter la pente. Parler aux dames, c'est tout un art. Et quelle belle place pour moi qui se contente d'écouter en affichant de temps en temps un sourire digne d'une pub de dentifrice pour récompenser une conversation qui réussit à me ravir. Ah oui, j'aime beaucoup ce petit clip. De la lingerie super rétro et une action bien tonique. Dommage qu'il n'y ait pas le son.


Voila ma première impression en visionnant ce film. Toutefois je me garde le droit à l'erreur. Je me souviens d'un passage chez Hermann Hesse qui émet l'hypothèse qu'une très grand souffrance provoquerait la même expression du visage qu'un très grand plaisir charnel. Donc impossible dans certaines pratiques comme celle qui nous intéresse de savoir ce qui se passe réellement dans la tête de la dame. Dangereuse source de fausses interprétations et pour ma part, je préfère un monsieur
plutôt prudent que l'un trop entreprenant. De toute façon loin de moi de mettre la pression ou un esprit compétition. Je n'ai jamais cherché un compagnon qui a des choses à prouver aux femmes. Je m'en tape pas mal qu'il soit le meilleur, pourvu qu'il soit attentionné avec moi. Mais revenons au côté aphrodisiaque de la chose. Dans ce cas je me retrouve bien. Pendant l'acte (dans le punitif) c'est la douleur qui prime pour moi et il serait complètement erronée de me prêter une volupté quelconque à ce moment. Par contre une fois ma punition finie voilà que se déclenche
une lente monté vers des envies charnels. Ne confondons pas alors aphrodisiaque avec jouissif. D'ailleurs en parlant de jouissance, est-elle vraiment le but des pratiques dites prégénitales. Ou Nietzsche aurait-il eu raison en clamant haut et fort :

Tout plaisir veut l'éternité
dans le sens que le plaisir d'un état d'excitation prolongée à l'infini est plus recherché que la jouissance culminant dans un orgasme ?


Puis un nouveau blog de fille :



Je vous souhaite à tous et toutes une excellent week-end !

















mercredi 14 août 2013

384 Du punch dans nos chambres


Décidément tout semble possible avec un grand fabricant suédois de meubles !


Je ne saurais dire s'il s'agit d'un gag ou pas. Mais je crois que c'est du sérieux. Et à vrai dire pourquoi ne pas vendre des telles choses sans fausse pudeur ? Serais-je donc cliente pour pimenter ma vie de couple ? Non, pas du tout. J'aime dans ma chambre une allure de plus classique. A commencer par un joli lit de plus banal, mais avant tout très confortable. Donc pas de séances torrides chez isabelle pour fêter dignement la réconciliation sur l'oreiller après des mémorables corrections conjugales au fil de l'après-midi ? Je ne vois pas le rapport. Pourtant j'ai assez souvent des réflexions étranges de la part de mes copines. Par exemple en parlant de toys spécialisés, on me regarde comme si je vivais derrière la lune parce que je n'ai pas des petits trucs qui servent à masser. Tout de suite, on imagine ma vie intime de plus ennuyeuse. Mais enfin! J'ai un homme à la maison. Dans le sens qu'il travaille à la maison. Disponible très souvent pour mes caprices. Cela explique pas mal de choses, non ? Peu importe ce que l'on puisse imaginer de moi et sans recourir à un achat comme vante cette pub, j'aime la variété dans les positions. Voici ce que ce sujet me rappelle.

Il y a très longtemps quand j'étais encore célibataire, un prince charmant à l'essai, pour me faire plaisir était venu me voir avec une petite vidéo pour animer la soirée. Quand j'ai vu de quel genre de film il s'agissait, je n'étais pas vraiment contente, mais bon j'ai eu une très agréable surprise. D'abord cela commençait par une petite fessée, joliment menée par un prof envers une élève adulte et sans rappeler à aucun moment une production pour public sadique avec un excès d'intensité. Puis j'ai vite compris qu'il s'agissait d'une adaptation très libre de l'Ange Bleu, film et livre que j'adore. En résumé, le monsieur avait marqué un très bon point avec moi pour avoir écouté attentivement mes préférences. Malheureusement il n'y avait pas d'autre correction, ni dans le film, ni dans la suite de notre soirée. C'était un film sans prétention qui se laisse regarder même quand on n'aime pas du tout le genre. Et le seul que j'ai vu en entier au cours de ma vie. Il y avait des positions assez acrobatiques pour un public non-sportif et j'ai vu l'enthousiasme dans les yeux de mon prince charmant de l'époque devant des telles prouesses. Je n'oublierais pas non plus un avertissement avant et après le film, précisant que les acteurs étaient des professionnels en déconseillant au « néophytes » d'imiter les positions. Ceci dit, j'avais bien capté comment étaient construites les émotions fortes chez mon charmant compagnon.

A cette époque j'étais encore « majorette » dans mon club de carnaval du Bas-Rhin allemand avec un entraînement très régulier et un corps de plus souple. Et même un grand écart n'avait aucun secret pour moi. Quand aux positions de ce petit film, c'était de loin moins dur et complexe de ce que je faisais en spectacle. Alors après avoir éteint la vidéo, j'ai posé mes lunette et me suis laissée aller. Erreur fatale. J'ai fait très peur au monsieur qui ne s'attendait pas de moi avec mon allure très intellectuelle, très garçonne à une telle nuit. Je crois même qu'il a dû me soupçonner d'un certain « professionnalisme ». Alors oui, je vois les avantage de ce lit à positions, notamment quand on ne dispose pas de compagnon doué pour certaines « portés ». Mais personnellement ce truc m'évoque plutôt les jeux de docteur...

mardi 13 août 2013

383 Encore du spanking au (home)cinéma (#24)


Vu chez ma belle mère !


Amis de la brosse, voila comment on présentait le fantasme dans le temps. Encore un derrière qui swingue et un souvenir de plus perso. Ma belle mère a accroché au mur dans son entrée une brosse pour vêtements. C'est révélateur dans le sens que chez elle c'est un vrai havre de la propreté. Un peu moins de nos jours, car elle est trop âgée pour frotter dans le moindre coin. J'ai pris à maintes reprises ce bel objet en main, déjà pour sa taille impressionnante et aussi pour le joli cuir qui gaine le bois. Pour les gros clous brillants qui rappellent des magasins spécialisés de nos jours et « last not least » pour sa couleur noire qui lui donne un aspect d'objet très classe. Évidement je me suis posée au début la question, si ma belle mère s'en servait pour rappeler mon homme à l'ordre. Non, à ce niveau elle était plutôt classique et loin de moi de la critiquer pour avoir cru dans des méthodes éducatives courantes pour l'époque. Bien évidement aussi, vu l'aspect paddle, mon homme a cru bon un jour en absence de sa mère de me corriger pour du bon dans le salon familial pour quelque effronteries et moqueries de ma part autour de son éducation sévère. Voila un grand garçon, de plus de 40 ans à ce moment-là, qui profite que sa maman lui tourne le dos pour chercher des misérérés aux filles. J'étais pliée de rire de le voir espionner dernière le rideaux que sa maman disparaisse au bout de la rue pour qu'il puisse enfin se consacrer à moi. Évidement je n'ai pu m’empêcher de l'imaginer ado en sortant des magazines osés de leur planque pour les feuilleter à sa guise. Toutefois, c'est quand même plus passionnant une fille en chair et en os...

Cette superbe brosse (ma seule expérience avec cet instrument d'ailleurs) m'a donné impression d'un coussin d'air de plus agréable, accompagné d'un son digne de rappeller Dark Vador. Bref je n'ai pu m’empêcher de continuer à rire aux larmes et mon homme le sens fort pratique a posé la brosse pour se servir de sa main. Le soir même, ma belle mère me connaissant très turbulente, m'a trouvée fort assagie avec des belles joues rouges. Elle ne parlait pas de celles de mon derrière, bien sur.

Voila donc ce souvenir qui m'est cher. Alors que fut grande ma surprise un jour, en cherchant des illustrations sur le net pour un de mes anciens blogs quand je suis tombée sur une photo de fessée des années 70 dans laquelle cette brosse tenait la vedette. Malheureusement, contrairement à ce clip, il n'y avait pas de « flou «  pour cacher l'entrejambe de la fille qui reçoit la correction. Alors j'ai gardée la photo quelque part dans mes archives par attachement sentimental...

lundi 12 août 2013

382 Spanking au cinéma (#23)


Séance nostalgique


Waoh, une femme à lunettes ! Rien que pour cela ce clip mérite attention. Étant myope et portant des lunettes moi-même, je trouve que les productions à enflammer les sens, font croire que ce genre de « défaut » n'existe pas chez une femme. Normal les dames présentées sont censées être parfaites et justement quand on est pas parfaite, on ne se voit qu'attribuée des rôles dans des petits films pour public pervers. Comme celui-ci quoi. En visionnant cette œuvre j'ai eu l'impression d’assister à une sorte de rodéo entre femmes. Pour le moins que l'on puisse dire c'est mouvementé et renversant. Épreuve de force peut-être, suite -en guise de scénario - à une simple consigne aux filles : débrouillez-vous ! Superbe côté de production sans prise de tête avec une personne qui passe en arrière plan vers les 34 secondes. Enfin je peux me tromper. Hein oui, les fameuses lunettes ! Je suis très, très myope et en plus assez coquette pour ne les mettre que très rarement. D'où mon fameux regard de « chambre à coucher » (regard torride) comme on dit en allemand et qui plaît tant à mon chéri. Parfois pour me taquiner il dit même :

Tu arrives à me reconnaître sans lunette, isabelle ?

Évidement mon chéri, je reconnais parfaitement ton odeur !

Le côté kitsch et l'air d'antan sont accentues par des pubis plein de poils, à faire fuir sur le champs mon homme. Pour ma part, pas forcement. Bien que je ne jure que sur le lisse de partout me concernant, je trouve un petit charme à un pubis bien garni dans mes rêveries autour d'une copine éducatrice. J'ai l'impression que cela impose un rapport d'hiérarchie, si nécessaire pour qu'aucune saveur de mon fantasme ne m'échappe. Et ado j'ai souvent imaginé d'être rasée intimement avant de recevoir ma correction pour mes insolences. Ceci dit quand j'étais enfant et même ado, un pubis fourni ne rentrait pas dans les critères de censure de mon pays qui bannissait seulement l’absence des poils. D'où peut-être cette petite saveur d'interdit qui rendait à l'époque le rasage si attirant à mes yeux. Notons, que j'ai pris conscience du véritable bien-être de l'épilation intégrale, bien plus tard, après mon premier essai avec de la cire qui livre un résultat vraiment impeccable. Bref, je résumerais ce clip de manière suivante :

Deux dames qui se querellent font la joie du voyeur.

Notamment, au bon milieu de ce clip, quand « un des fessiers » se met à danser au rythme des tapes. Je suppose que pour un homme l'effet doit être le même que pour une dame qui regarde pendant le tour de France monter un coureur un col de première catégorie en danseuse. Le tout habillé seulement d'un justaucorps qui montre plus qu'il ne cache. Un sport très passionnant à mes yeux donc et qui me procure facilement des sueurs. Et j'ai pu admirer dans le temps dans ma belle montage quelques fessiers masculins de plus célèbres. Enfin en revenant au sujet, c'est fou comme c'est instructif de découvrir ce qui est habituellement et exclusivement réservé aux yeux de mon homme. Même moi, je ne me doutais pas parce que je suis trop absorbée par ce qui m'arrive. Alors oui, je comprends mieux aussi l'idée du papa Freud de qualifier notre passion comme un acte d'amour dans le sens charnel. Inutile de préciser que ce film me plaît beaucoup. Je me verrais bien de le regarder avec mon homme et un de ses bons amis dans une soirée « découvertes d'antan » ou plutôt « échange de trouvailles rares ». J'aime beaucoup écouter, allongée sur un canapé, quand les grands garçons commentent des tels sujets. Parfois quand je me sens vraiment à l'aise, il m'arrive même de leur servir le café ou le digestif en tenue de soubrette. Le tout sans que la situation dégénère. Rien que pour le plaisir des yeux. Enfin, c'est une histoire de revanche aussi... Sur ce, je vous souhaite à tous et toutes une belle journée et à demain pour une autre production que cachaient les parents dans le temps au fond de leur placards.

dimanche 11 août 2013

381 Au cinéma (#22)


Au programme cette semaine : Du super 8 oublié !


Je m'éloigne de mon sujet de base, le noble septième art, pour me plonger dans les bas fonds d'un autre âge. Exceptionnellement il y aura plus que trois posts cette semaine. De la distraction à l'état pur et moi toute ravie de vous présenter une par une ces belles trouvailles (en bas de l'écran du clip). Enfin à mon goût.

Il semble s'agir de productions à bon marché qui auraient pu ou qui ont plutôt ravies des personnes de la génération de mes parents disposant d'un projecteur super 8. Ma première impression : Vivement ce kitsch touchant, loin des excès du claquage robotisé de notre époque. L'action est brève, ce qui me convient à la merveille. J'ai beaucoup de mal à regarder plus que deux minutes affilées ce que font d'autres gens en la matière. Surtout quand c'est « l'histoire d'une main ou d'un instrument qui rencontre un derrière dénudé ». La mauvaise blague sans imagination quoi. A moins de me trouver devant quelque chose de joliment raconté comme justement par le cinéma. Mes petits clips dénotent de ce qui se faisait à l'époque. Niveau british, il y avait surtout l'inévitable écolière, ce qui peut avoir son charme, mais lasse à la longue. Puis autrement, il existait pas mal d'histoires plus ou moins glauques selon le mode « comment rendre docile une dame à coup de fortes tapes pour qu'elle se prête à tout genre de pratiques ». Et là, nous sortons du registre qui me donne des frissons. Enfin chacun son imaginaire. Passons.

Mon premier clip n'essaye pas de cacher son aspect bricolage. Pourtant il ne s'agit pas d'amateurs, mais d'actrices. On dirait que la dame qui va mener l'action, s'est fait piquer par une vilaine mouche qui donne des envies étranges. Alors au lieu de se brosser sagement ses cheveux, elle va se transformer en furie pour régler un compte avec l'autre dame. Voila une situation qui vire vite vers l'humour involontaire comme on en voyait pas mal à l'époque. Soutenue par une superbe musique d'ambiance, la fesseuse improvisée prend visiblement son pied et va même être obligée aussi de s'occuper de celui de sa copine qui essaye maladroitement de se faufiler. Un petit air fort crédible d'une d'authentique réaction quand on se fait botter le postérieur pour du vrai.

Tu restes sur mes genoux, isabelle, compris!

Constatons donc qu'à cette époque lointaine, personne ne parle encore du concept révolutionnaire du plaisir partagé qui légitime et déculpabilise de nos jours les fantasmes avec un non-dit socialement inacceptable. Hein oui, la liberté que donnent les mœurs d'un côté est souvent repris d'un autre. Bref pas d'actrice inerte de l'ère post-moderne qui « ferme ses yeux et pense à son porte-feuille ». Expression librement adaptée (de la maman) de la reine Victoria (ferme les yeux et pense à l’Angleterre ; Close your eyes and think of England) qui a su donner son nom à toute une époque qui faisait apologie des châtiments corporels. Puis quel progrès, libération de la femme oblige, le droit de remuer semble acquis. Je me pose d'ailleurs la question comment il a pu se perdre de nos jours concernant les clips sur notre sujet. Peut-être pour rassurer les messieurs qui fantasment sur l'existence de la poupée très sage qui dit toujours :

Oui, oh ouiiii ! Encore ! Plus fort mon chou !

Simone qu'en penses-tu ? :

« ...les pratiques sadico-masochistes sont une anticipation de l’expérience sexuelle et une révolte contre elle... destinée à être une proie passive... » (S. de Beauvoir).

Voila c'est justement là que le bât blesse. On présente souvent des dames qui « se laissent faire » en rapport avec notre sujet comme des soumises, mais visiblement toutes ne sont pas des « proies passives ». Notons la différence avec une proie facile. Certaines prennent au mot l'idée de la fessée comme un acte d'amour et ne cessent pas de remuer sur les genoux du monsieur. Provocant ainsi un joli spectacle pour les yeux. Pour finir, un regard sur la belle garde-robe rétro et ce superbe porte-jarretelles spécialement conçu pour des soirées entre adultes et parfaitement inutile pour sa vocation primaire, tenir des bas bien en place. Vendu sous la dénomination poétique « ceinture de danse » dans les années 80, j'ai du me contenter d'un tel modèle quand j'étais ado, car on ne trouvait rien de mieux dans mon pays.

Je dois m’arrêter pour aujourd'hui, car mon homme et ma petite m'attendent pour sortir. Je file, car sinon je risque une fessée pour de bon. Je reviendrais demain avec un autre super 8 nostalgique.

vendredi 9 août 2013

380 Liens de discipline domestique (74 ème édition)


Confidences entre filles


J'ai aucun mal pour m'imaginer avec une bonne copine dans cette posture peu glorieuse. J'ai même l'impression d'entendre la voix de mon chéri qui demande aux dames de laisser les jupes au vestiaire avant de se mettre en position. Sans toutefois pousser le vice, comme quand on est seuls, d'insister aussi de laisser par la même occasion le string soigneusement plié sur la jupe. Présence d'une copine en manque de discipline oblige, la pudeur sera scrupuleusement respectée. Connaissant mon chéri, il saurait rester « maître » d'une telle situation. Avec son calme habituel et son sérieux pour s'occuper de l'éducation de grandes filles. Non, cela ne tournera pas vers une partie à trois et les seules caresses se feront par le biais d'une badine bien souple et qui siffle en coupant l'air. Ayant habitude de ce châtiment, le plus souvent à l'allemande, veut dire une ration de cinq, parfois quand c'est justifié de dix coups. Avec une petite pause entre chaque impacte qui permet de bien réfléchir et surtout qui favorise les bonnes résolutions de se comporter désormais de manière impeccable. L'effet est garanti sur moi. Dans le pire cas, pendant des longues journées mon comportement ne laisse en rien à désirer. Toutefois malgré une douleur considérable, ma punition reste loin des industrielles et leurs affreuses marques. Nous sommes dans la vie de couple et non pas dans une fiction pour nourrir des rêveries sadiques. J'ai un faible pour ce châtiment très ritualisé quand il s'agit de soigner mes pires habitudes comme les gros mots, l'irrespect envers ma mère ou ma belle mère, insolence ou entêtement envers mon homme, mauvaise langue en public. Et je suis très satisfaite de l'éducation que j'ai reçue et notamment des résultats durables. Grâce à mon homme, après quelques mois de vie en commune déjà, il y avait un réel mieux. De nos, il est très difficile d'aborder ce genre de sujet avec ses copines. L'aveu de bénéficier d'une éducation à l'ancien n'est pas bien du vu du tout. C'est en quelque sorte de sortir du registre récréatif et d'admettre un échec personnel pour s'imposer ses propres limites. Comme la fâcheuse tendance de se remettre dans la situation d'une impertinente adolescente trop gâtée qui fait tout pour emmer.. son monde. Alors il vaut mieux garder ce secret pour soi.

Mais parfois la vie joue des tours étranges. Comme être considérée en personne digne de confiance à laquelle justement on ose confier des choses plutôt gênants. Et me voilà confrontée à des aveux par autrui d'un ardent désir de déculottée pour telle ou telle autre raison. Avec point en commun avec moi, un mécontentement notoire de soi-même. Que ce soit au niveau professionnel, social ou sentimental. Que dire ? Ouvrir le sac et vanter les méthodes de mon chéri ? Impensable. Je serais trop jalouse en cas de demande pour voir un peu. Alors plutôt garder le silence sur soi-même et continuer à se comporter en excellente écoute. Par contre, rien ne m’empêche de continuer à broder mon fil dans l'imagination. Voilà que j'aurais à dire à une hypothétique copine qui se penche sur le même canapé que moi en attendant que mon homme vienne pour nous faire chanter à haute voix. Enfin, chantera-t-elle comme ma moi cette copine ? Aurait-elle comme moi si peu de fierté pour fondre en larmes en implorant pardon et en manifestant l'intention de mieux se comporter sur le champs ? Peut-être gardera-t-elle le silence et se frottera seulement son derrière en poussant quelques gros soupirs après avoir reçu le feu aux fesses ? Peut-être se moquera-t-elle de moi et de ma lâcheté, en disant : A la place de ton homme je serais nettement mon cool avec toi, isabelle...


Jolie photo qui ressemble parfaitement au paysage dans lequel je me trouve pour passer mes vacances. Mon homme et moi, nous adorons la montagne et notre petite aussi est de plus enchantée. Évidement avec un enfant, fini le temps quand mon homme louait un chalet dans un petit coin de paradis, loin des routes touristiques. Reste alors la photo pour donner nouvelle vie à mes souvenirs. Bon, je n'aime pas trop la lingerie rouge, mais il faut savoir que dans les petits chalet en altitude, le soir et tôt le matin, il fait assez frais pour bien supporter des jolis sous-vêtements en plein été. Donc aucune raison de se priver du romantisme du porte-jarretelles. Sans parler des punitions, sur un petit banc dehors, pour exposer son fessier nu sous la lumière des étoiles. J'adore la sonorité d'une belle correction en plein air et même mon homme, habituellement peu romantique quand ils 'agit de me sanctionner, se laisse parfois aller à des claquements qui correspondent … à un prélude pour autre chose. Puis quel plaisir aussi de pouvoir se promener en exposant son fessier tout rouge pour afficher clairement que la discipline chez nous n'est pas un vain mot et occupe une place de choix dans notre couple. Notons aussi que j'aime beaucoup, même hors endroits discrets, laisser traîner mes bas et autre lingerie sur les fils à linge bien en vu du premier visiteur venu. Quant à mes copines, cela ne leur pose pas le moindre problème. Mais disons que mon homme a quelques couples d'amis de longue date dont les dames ayant renoncées jadis au port même du soutien-gorge, se sentent obligées de me faire la morale. Comment peux-tu porter des tels trucs, isabelle ? Enfin je m'en tape, de leur opinion et de leur expression quelque peu outrée, mais j'adore voir le petit rougissement sur le visage de mon chéri qui n'est pas vraiment à l'aise que ses amis découvrent ainsi certains de ses fantasmes d'une nature indéniablement frivole. Enfin, mon homme n'ose pas (trop) me corriger pour ce genre d'oubli, même s'il aimerait bien sévir un peu plus pour outrage aux bonnes mœurs. Sujet qui est sa grande passion. Alors dans ce cas, voyant la tension dans son jeans, il m'arrive de faire ce que je ne fais habituellement jamais. Lui donner volontairement une bonne raison pour passer à l'action. Faut que je me calme un peu. Je suis vacances, mais tout de même...


Il m'arrive de donner un coup de main à mon homme pour son travail quand il est débordé. Et pour lui prouver à quel point je suis sérieuse, je sors même mon uniforme d'antan, c'est-à-dire un de mes petits tailleurs (à condition que j'y rentre encore!) quand je travaillais encore. Hein oui, tirée à quatre épingles pour lui servir son petit déjeuner, il se réjouit d'avance de se retrouver avec une secrétaire particulière. Enfin pas vraiment, car il trouve que j'aurais tendance à trop le distraire par ma bonne volonté. J’admets que parfois c'est plus fort que moi de jouer au jeu, comment déconcentrer un homme qui est occupé. Toutefois je lui fais la documentation au mieux de mes capacités et quand je me met à travailler, je travaille vraiment. Arrivent malheureusement les coups de fils et ayant consigne de m'en occuper pour filtrer de manière agréable, j'ai vite tendance à m'installer confortablement comme sur la photo. Ce que mon homme qualifié d'harcellement. J'ai beau à lui dire que je ne suis pas une varie secrétaire, mais sa compagne pour le calmer les rares fois quand il s’énerve pour de bon. Argumentation de plus nulle qui soit, car il me rétorque que par les mêmes motifs il ne se privera pas de me botter le fessier pour se détendre un peu les nerfs. Et à vrai dire une telle pause, bien que très courte et fort bruyante, nous fait du grand bien à tous les deux. Le travail avance à pas de géants, dans la joie et dans la bonne humeur, ce qui était le but du départ. Seulement j'ai un peu tendance de bouger sur ma chaise à cause d'un sacré mal dans mon séant..

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !