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mercredi 8 novembre 2017

1060 Petite soubrette, les fesses à l'air

Un fessier rouge instaure tout naturellement un rapport d'autorité, Mademoiselle !

Dit-il mon homme d'un air jovial après avoir remis sa petite soubrette sur ses pieds. Par rouge il attend une coloration outrageusement rouge, produite par une solide fessée à la main. Cette teinte de peau s'affichera tout naturellement pendant des longues heures sur le derrière de la dame et fera le délice des yeux de Monsieur. Content de son travail, il respire profondément avant de conférer une autre sagesse.

mercredi 6 septembre 2017

1042 Canicule (Petite fiction ou non)

Un peu de discipline nous ferra du plus grand bien !

Dit-il mon homme lors d'une longue promenade en amoureux sous une chaleur torride. J'aime cette attitude qui fait de lui et de moi « un nous » où il se permet de parler à ma place, de décider pour moi par dessus de ma tête. Non, je ne me sens pas dévalorisée, ni vois-je dans son comportement une attitude machiste. Je ne serais pas gênée non plus, s'il tenait un discours « nous » devant public. Mais en vrai gentleman il est trop discret pour cela. Peut-être se manifeste-t-il dans sa façon de parler un lien qui nous unit, car moi aussi j'ai tendance de faire pareil. Seulement en véritable pipelette je ne sais pas...

...fermer le clapet quand il le faut !

vendredi 21 juillet 2017

1024 Une fessée pour la pervenche

Il y a pas que le noir et le gris dans la vie, isabelle !

Là il est mauvaise langue. Je n'ai pas que des tailleurs en noir et en gris. Il le sait très bien, car c'est lui qui me les offre. Seulement j’avais évité jusque-là le bleu marine. Je trouve que l'association d'une veste et d'une jupe de cette couleur crée infailliblement un effet uniforme, policière ou encore pervenche. En voyant mon « Ken » devant moi, les yeux brillants comme un gamin qui voit la tenue de ses rêves pour sa Barbie, je commençais à considérer un tel achat autrement. Contrairement à mes habitudes vestimentaires la jupe était un peu ample sans manquer d'une longueur suffisante pour pouvoir la porter avec bas et porte-jarretelles. Je précise bien, car un jour il m'a tenu très sérieusement un long discours se résumant à ce qu'une grande fille bien éduquée ne met pas un collant sous son tailleur.

Une élégante dame non plus mon chéri ! Et toc.

Bref, il m'a fait beaucoup rire et dans le principe je n'ai pas été contre le fait de m’adapter à ses goûts vestimentaires. Tellement il m'avait surprise par sa brillance d'orateur. J'ai négocié tout de même le « droit » d'un collant ouvert pour les occasions quand Monsieur n'est pas avec moi. Pour ce il suffit de comprendre que certains grands garçons éprouvent un fort plaisir, même en leur absence de savoir leur dame sexy dans le moindre détail. Alors quand je n'ai pas envie de courir le risque de me faire remarquer par mes jarretelles qui se dessinent au moindre mouvement sous une jupe droite moulante je mets désormais un collant ouvert. A la grande joie de mon homme qui aime contrôler avant que je ne sorte ou juste quand je rentre à la maison. Enfin le contrôle se passe de manière rapide. Il ne tient pas non plus à un rôle de conjoint « collant » qui ne lâche pas la grappe à sa dame.

Pendant que j'ai essayé cet ensemble, la vendeuse avait bien remarqué que je portais des bas, des vrais. Par conséquence elle m'a vanté la jupe comme très agréable à porter. Effectivement, coupée dans un tissu lourd, il n'y a aucun risque d'un coup de vent indiscret. Nous avons donc fait l'acquisition.

Puis un jour, d'humeur ludique, enfin plutôt connaissant mon homme, ,j'ai associé cet ensemble avec un chemisier blanc qui met l’accent sur mon décolleté. Sans oublier une petite cravates de mes tenues d'étudiante. L'effet était seyant. Avec mes lunettes j'avais l'air d'une authentique pervenche qui m'en a rappelé une autre (petit clip). Partant de l'idée que le Monsieur du clip n'est pas le seul vicieux sur terre j'ai eu envie de tester l'effet de cet uniforme sur mon homme. Je suis allée le voir sur le champs avec un petit calepin en main pour le verbaliser. Je crois qu'il a dû mal digérer la seule contravention de sa vie, car il a démarré au quart du tour.

J'ai toujours rêvé de voir ce qui se trouve sous les jupes de ces dames !

Sans pouvoir finir ma verbalisation, j'ai déjà été installée sur son bureau, ma jupe retournée et des mains en train de me baisser ma culotte. J'ai reçu quelques très fermes claques sur mes fesses, puis j'ai senti une main vicieuse s'introduire entre mes jambes pour vérifier ma réaction. Le contact étant extrêmement agréable, je n'ai pas mis longtemps pour commencer à respirer lourdement et en poussant de petits cris. Puis j'ai encore reçu quelques claques avec une remarquable sonorité. Je suis docilement restée en place, présentant mes fesses nues au bon plaisir de mon homme. Je me suis trouvée au centre d'un petit jeu qui a continué par alternance jusqu'à ce que la petite pervenche fortement échauffée et toute glissante dans l'entrejambe fut vigoureusement prise par derrière, façon vanille. Ma position se prêtant parfaitement à cet assaut, je me suis sentie envahie en profondeur. Monsieur a pris son temps pour que je cale le rythme de mes soupirs sur ses va et viens. J'ai béni la vendeuse de m'avoir conseillé cette jupe qui par sa ampleur laissa libre accès à la main de monsieur pour se promener à sa guise. Je me suis laisser faire, conquise, comblée et sans la moindre retenue jusqu'à ce une intense sensation m'a emportée.

C'est seulement que plus tard, en me remettant debout que j'ai pris connaissance de l'impacte de la fessée sur mon derrière. Cela brûlait terriblement. En servant le café à mon chéri, j'ai senti encore sa main se glisser sous ma jupe ample, très agréable à porter, car elle calmait aussi la brûlure.

Maintenant je sais ce qui se cache sous les jupes des fausses pervenches, des fesses toutes rouges !

Puis il a ajoute.

Prends ton calepin, isabelle et met en mot ce qui arrive aux fausses pervenches trop curieuses...

Ce que j'ai aussitôt fait, encore à chaud...

vendredi 7 juillet 2017

1018 Laisse-toi faire...

Oh, il est encore tout petit ce kiki !

Monsieur m'a offert un jour un bâillon qui affiche coquinement un attribut mâle à mi chemin entre repos et envol vers toute sa splendeur. Il m'a rappelé tout de suite la pause café de mon chéri quand il ne s'est pas encore décidé s'il va rapidement se remettre sur sa lancée ou si une récréation pour se changer des idées s'impose. J'aime l'aider pour résoudre cette question existentialiste, non pas en apportant mon avis, mais en apportant une solution. Hors de question qu'il soit obligé de se « tâter » en cachette.

C'est mon domaine... exclusif.

Voila qui est dit sans prétention. Car si je lui pose sur l'oreiller la question, s'il lui arrive de recourir à la vilaine main, sa réponse est invariablement la même depuis de nombreux années.

Comment veux-tu qu'avec tes exigences que je trouve encore l’énergie. Je n'ai plus 20 ans depuis longtemps.

Au début de notre relation il était un peu gêné de se présenter « mollement » devant moi quand je ne faisais que suivre une subite envie de ma part. J'ai su vite le mettre à l'aise :

Laisse-toi faire...

En lui expliquant que ce « laisse-toi faire » se nourrit de sa passivité qui me laisse toute initiative. Une petite gâterie clef en main, menée de moi de A à Z et dont le Monsieur s'en sort aussi mollement qu'au début de l'aventure.

C'est ici qu'intervient mon fantasme de fessée.

Déjà ado je nourrissait une émoustillante culpabilité de mon acte, imaginant par la suite d'être rappelée à l'ordre pour mon audace*. J'en ai parlé à mon homme qui - après une détente complète – et par conséquence « détendu » sous son caleçon avec la tête libre pour se consacrer entièrement à mes fesses, s'est fait depuis un plaisir de me passer sur ses genoux. Souvent toute nue, parfois avec le bas de mon corps dénudé en gardant seulement mes bas et porte-jarretelles.

Je trouve que mon homme fraîchement débarrassé de toute tension, s'en prend autrement à mes fesses.

Plus exigeant, plus demandant je peux compter sur un fessier rouge uniforme qui brûlera encore le soir. Absence de bleus et la jolie teinte rouge m'incitent à maintes reprises dans la journée de passer devant la glace pour admirer le superbe travail de mon chéri. Inutile de dire que je suis fière de lui.

(* Une piste pour l'interprétation de ce fantasme. Ne cherchons pas tout de suite du côté de l’œdipe, mais dans les identifications primaires avec le père qui se passent bien avant. Une identification par... dévoration intégrale à sa base qui devient partielle plus tard ! Bref il y a quoi de se mériter une bonne fessée avec de telles intention inconscientes!)

vendredi 30 juin 2017

1015 Entre insolence et provocation

L'ange bleu version 2.0

On reprend un sujet vieux comme le monde, Eve qui tente Adam avec la pomme. Évidement on n'en parle pas du fait que la jolie dame cherche à partager une réelle connaissance qui est vite transformée en connaissance au sens biblique, celle des plaisirs de la chair. Cette même chair qui sera désormais associée au péché. Loin de moi de vouloir briser ce lien magique, car la morale qui donne de la saveur aux jeux de la fessée se nourrit pour bien de personnes de la même thématique :

Le contournement d'un interdit qui cherche sa punition.

Prévenu par sa maman de se méfier des filles aux mœurs légères mon chéri a fait de ces éléments tout un amalgame érotique dont la quintessence se manifeste dans la figure de l'ange bleu.

Femme sure d'elle, séductrice chevronnée qui n'en fait qu'une bouche du Professeur Unrath.

Homme de plus respectable qui dans ces heures perdues se bat vaillamment contre les tentations de la chair. Je ne suis pas une danseuse de cabaret, bien que le fantasme me plaît beaucoup et loin de moi de vouloir humilier mon homme (ou un autre) aux yeux du monde. Mais nos bases fantasmatiques sont proches ce qui permet une belle entente.

Il y a un non-dit qui nous unit. Pour ma part je peux réaliser mes tendances exhibitionnistes et mon homme s'efforce de me ramener dans le droit chemin. De manière fort traditionnelle qui est soulignée par la présence d'un martinet à la maison. Avant la naissance de notre fille il a été accroché à côté du bureau de mon homme, me rappelant à tout moment que...

...dans cette maison règne l'ordre et la discipline !

Et combien de fois je me suis faite sermonner, déjà déculottée avec vu sur le martinet. Effectivement chez les vilaines filles cela ne se passe pas sans laisser des « traces ».

Il est fort gênant de prononcer avec conviction son mea culpa avec un entrejambe luisant qui n'a rien compris à la situation et qui se prépare par étourdissement à une jouissance charnelle version vanille.

Il est plus gênant encore quand l'insolente provocatrice se surprend à argumenter sérieusement en raison de son âge d'être trop grande pour le martinet. Malheureusement monsieur reste inflexible rappelant à la dame qu'elle continuera à faire des courbettes devant le martinet à chaque fois qu'il le jugera nécessaire.

Non l'ange bleu ne causera pas la perte d'un monsieur qui sait affirmer son autorité...

mercredi 28 juin 2017

1014 Mener son homme par le bout...

...de la cravate !

Des cravates, il en porte régulièrement mon chéri. Pour nos sorties en amoureux. Pour une visite chez la belle-mère qui trouve que j'aie une excellent influence sur son fils. Ou tout simplement à la maison pendant ses heures de travail. Pour me faire plaisir.

Emmerdeuse la petite isabelle ?

Oh que non. Quand je m’agrafe le matin mes bas pour un glamour d'un autre âge, je le fais avant tout pour faire plaisir à mon chéri. Seulement je demande aussi un retour de glamour. La discipline domestique va dans les deux sens pour moi pour satisfaire les exigences de l'un et de l'autre. Pour éviter toute confusion avec une structure purement patriarcale dans laquelle la dame n'a pas son mot à dire. D'ailleurs je doute que la discipline domestique puisse marcher sans une excellente entente sexuelle.

Monsieur aime se prendre des libertés pour une attitude décontractée dès que je lui tourne le dos. Il arrive souvent que je le trouve au moment de sa pause avec les manches retournées de sa chemise et le nœud desserré de la cravate. Non, loin de moi de le critiquer. Même si l'envie ne me manque pas. En fait, un jour je lui avait bêtement demandé à quoi lui servaient ses manches retournées.

Tu va voir tout de suite, isabelle !

Il m'a chopée pour me déculotter sur le champs, suivi d'un longue et solide fessée à la main. Je me suis sentie un peu comme le petit chaperon rouge et j'ai décidé d'être plus prudente dans mes questions par la suite.
Par contre j'ai trouvé sa façon d'agir d'une virilité torride qui fut soulignée par une présentation de plus adapté à la situation. Il a vite compris que mes petits cris exprimaient une monté d’excitation et il a profité pour me montrer qui porte les pantalons à la maison. Il aime beaucoup me prendre en levrette quand j'ai les fesses rouges et il aime profiter pendant nos ébats pour les rougir encore plus. Mon seuil de douleur quasi inexistant à ce moment, cette « fessée érotique appuyé» me met dans un état second qui culmine dans un fulgurant orgasme. J'avais à l'époque les cheveux longs et je suis sortie de son bureau en affichant clairement ce qui m'étais arrivée. Satisfaite certes...

...mais sensible des fesses comme aime dire mon homme.

mercredi 5 avril 2017

996 Fessée voluptueuse (Mercredi cinéma)

Cet érotisme qui fait boum !

Selon mon homme la différence entre une fessée punitive et une fessée érotique se trouve dans la sonorité. D'une part celle produite sur les fesses de la dame, de l'autre côté dans le bruitage produit par la dame. Il en va de soi que les deux registres peuvent se chevaucher , voire se mêler... sur ma peau et dans ma tête. Mais rien n'échappe à Monsieur 183. Il a vraiment l'oreille.

T'as pas honte isabelle ? C'est pas le moment de te frotter sur mes genoux.

Bon, j'admets. Certaines de mes punitions me procurent des effets secondaires qui laissent parfois des traces humides sur le pantalon de mon homme. Il n'a qu'à me punir correctement s'il veut éviter de tels incidents fâcheux. Puis on ne le répète jamais assez souvent. Les poils pubiens accomplissent une action protectrice. L'herbe mouillée ne tache pas autant que les étendues glabres à perte de langue vue auxquelles il tient particulièrement.

Mais isabelle, tu es en train de jouir. Dois-je sortir le martinet pour te rappeler à la raison.

Tais-toi et continue avec ta main ! Montre-moi qui porte le pantalon !

Petite pique de ma part parce qu'il a choisi de me corriger toute nue. Situation que j’apprécie particulièrement. Je n'ai aucune inhibition pour me laisser aller et mes « prestations » varient selon mes humeurs. Bien souvent ce sont d'authentique larmes de repentir qui évacuent comme par magie mes situations de stress. D'autres fois quand je me sens insolente, mes fesses résistent et Monsieur doit affronter toute une gamme de verbalisations de ma part. Ce mot exprime de manière polie ce que je ne souhaite pas reproduire ici par convenance. En gros, mon chéri prend pour son garde. C'est notre forme de communiquer sur certains sujets. Comme il dit :

D'abord tu te déculottes isabelle, nous discuterons ensuite !

Évidement je n'ai pas l'air maligne avec mes fesses à l'air et mon string autour de mes chevilles pour soutenir une position... souvent insoutenable. Je prend conscience du ridicule auquel je m'expose. Mais la peau de mes fesses est solide et des années d'éducation anglaise font le reste.

En ce sens mes fesses supportent un sacré spectacle sonore.

Les fortes claques se transforment en cocktail émoustillant. Mes cris, râles et soupirs ne manquent jamais d'effet sur mon homme. Je trouve que lui aussi a le droit de se laisser aller et je ne manque pas de l'encourager en ce sens. N'étant pas une gamine, je ne suis pas à la recherche du mythe d'un mâle imperturbable. Au contraire j'adore ses petites faiblesse. Ainsi peut-il sortir en toute impunité - si j'ose dire - son côté d'éducateur pervers qui - sous prétexte de vouloir du bien pour son élevé – prend un vilain plaisir charnel à me corriger. Je le sens sous moi et je sais pourquoi il se méfie languit de mes gigotements. Étant une « véritable reine de la tache » - titre que je n'évoque pas sans fierté - il m'arrive de consoler mon chéri après une fin de fessée prématurée.

Ne t'en fais pas. Je ferai une machine à laver plus tard.

Passons sur ma satisfaction de voir mon grand garçon se déculotter devant moi. Ben oui, le caleçon aussi va à la machine...

mercredi 28 septembre 2016

941 L'éloge de la levrette

Ne cherchons pas la soumission partout...

...même si cette position y est souvent associée. Pour ma part je l'associe à un plaisir inouïe de vanille qui me permet de garder ma mobilité intacte et de prendre des initiatives, car je ne me sens pas aplatie comme dans le missionnaire. Alors s'il y avait soumission à chercher je la situerait plutôt dans cette dernière position qui permet facilement d'immobiliser la dame. La levrette permet également une inversion des rôles habituelles dans le sens que madame propose et laisse disposer le monsieur dans quelle voie il souhaiterait s'engager. Je garde aussi la mobilité de mes bras et mains pour m'adonner si l'envie me chante à la vilaine main qui accompagne les efforts de mon homme.

Non, non il ne se sent pas diminué dans sa virilité !

Au contraire, il adore ma petite touche du vice. Puis la levrette se prête aussi à des jeux de main de sa part. L'honneur à mes seins par exemple. Même si je n'en parle jamais sur ce blog, je suis très sensible aux douces caresses à cet endroit. Il en va de soi que je ne suis pas opposée à la langue vicieuse de mon chéri. Virtuose à ce niveau, il s'occupe de ma jouissance sans le moindre tabou.

L'honneur à mes fesses aussi. Ben voyons !

J'aime beaucoup, une fois mise en place quelques encourageantes et énergiques claquer sur mon popotin. Ma sensation de douleur vraiment coupée à cet instant, je veux du très fort. A la main bien sur, car pour moi la vraie intimité ne laisse pas de place aux objets. C'est une affaire entre corps qui se procurent mutuellement du plaisir. J'aime quand la chaleur des claques se propage de partout dans mon entrejambe. Quand je ne sais plus faire la distinction lequel de mes orifice se languit de plus d'une pénétration en douceur. J'adore les ébats langoureux sans hâte, des va et viens d'une sensualité torride. J'adore entendre dans mon dos la respiration de mon homme qui s’accélère au fil de l'action. J'adore quand il se fige dans le mouvement et me laisser dicter le rythme. Quand je lui pousse au comble du désir par mes ondulations fessières devant son nez. Nous ne sommes ni l'un , ni l'autre verbeux en ces instants. La communication se fait par les soupirs et je sais pertinemment qu'un laisser aller éhonté de ma part avec de fortes cris trouvera son écho dans les assauts de mon « mâle »...

mercredi 17 août 2016

923 Comportement obscène 2 (Petite fiction ou non)


Et si tu me portais la cravache dans mon bureau... entre tes belles dents... à quatre pattes ?

Il me semble inutile de supposer un penchant pour la domination pour prendre plaisir à une telle situation. La montée de sang chaud est programmée dans les gênes de bien de mâles quand ils voient ainsi avancer la femelle. Le chemin étant assez long, il a dû cogiter de quoi faire avec moi. Le connaissant, j'ai imaginé une punition pour comportement obscène. Il m'importe beaucoup de le savoir si attaché à ma bonne moralité. Car quand je fais ce qu'il appelle des obscénités, je me sens souvent harcelée par mon besoin de punition qui réclame une bonne fessée pour remettre la vilaine fille en moi sur le bon chemin de la vertu...

(Et le mensonge, isabelle ?)

Enfin, j'ai embelli un peu mon histoire. La fessée ne me remet pas exactement dans le droit chemin. Quand je sors du coin je continue à faire mes obscénités, seulement je me sens débarrassée de mon besoin de punition. Tant que j'aie le feu au cul le cul en feu (isabelle, isabelle !), j'en profite. Alors je me suis amusée sur le chemin du bureau de mon chéri de me montrer en fille obstinée qui refuse de renoncer à ses provocations. Je me suis mise à onduler mon popotin. Action que je sais radicale pour mettre hors de lui mon chéri. Non pas dans le sens d'une terrible colère, mais dans le sens d'une extase qui communique directement avec son caleçon.

Donne-moi la cravache, isabelle !

Quand il s'est baissé pour m'enlever le joujou de ma bouche, je lui ai montré mes dents. Je me suis attendue à continuer ma marche à quatre pattes avec un feu d'artifice de coups de cravache sur mon derrière. Or rien de tel fut. J'ai senti quelque chose de doux, mais rigide faire le tour de mon petit orifice. Puis s’enfoncer avec grande facilité, car je n'avais pas été avare avec l'huile, ni pour le manche de la cravache ni pour le moindre recoin de mon corps. La sensation de continuer ma « démarche » vers le bureau de mon chéri, tout en sentant cette chose en moi faisant de petits va et viens était fort agréable. J'ai bien compris que mon homme manipulait la cravache pour doser mon plaisir. J'adore quand il me surprend par une perversité ingénieuse. Au début de notre relation en me massant la petite porte pour faire plus ample connaissance, il m’avait tendrement prévenue :

Nous allons érotiser cette partie comme il le faut, jeune dame.
J'ai profondément rougi. Non pas parce que j'ai été choquée par sa proposition. Il me semble dans la nature d'un grand garçon de vouloir explorer toutes les voies du plaisir. C'est la curiosité sexuelle transposée à un âge adulte. Seulement il n'avait pas pensé que la curiosité se trouve également dans la nature des filles. Je me suis gardée de lui dire que parfois quand j'étais amoureuse je me suis abstenue de me masturber de manière classique pendant la semaine pour me préserver pour mon prince charmant. En ayant recours à une satisfaction substitutive, étrangement jouissive celle-ci aussi. Voila pourquoi j'ai rougi et voilà pourquoi je me suis sentie entre de bonnes mains.

Hélas, une fois dans sa pièce de travail, il retiré le manche.

Ooooh déjà !

Heureusement il m'invite de me pencher sur son bureau. J'ai eu droit à quelques savoureuses claques avec notre cravache. Après tout je l'avais bien suggéré. S'ensuivit une longue séance de vanille. D'abord de manière classique, puis de manière audacieuse. J'aime beaucoup dans ces instants-là que ce soit lui qui décide comment vont se passer des choses. Je ne me sens nullement soumise, mais réceptive. En fait il est très doué pour la contraception naturelle. Allant toujours en douceur il a su pousser l'érotisation de cette partie de mon corps à son comble et je reçois régulièrement des rappels pour garder - comme il aime dire – la petite porte souple et accueillante...

mercredi 10 août 2016

920 Comportement obscène 1 (Petite fiction ou non)

Tu pourras pas me réchauffer les idées après mon travail, isabelle ?

Tiens, tiens. Quelle jolie invitation déguisée à la débauche de la part de mon homme. Aussitôt dit, d'humeur taquine, je me suis retournée, je me suis penchée en avant et j'ai soulevé ma jupe pour lui montrer mon auguste derrière. Sans toutefois baisser mon string et sans oublier d'ajouter avant de quitter sa pièce de travail :

Mais oui je peux ! A tout à l'heure mon chéri.

J'ai vite oublié sa proposition, car il en avait encore pour quelques heures. Mais l'idée a dû se coller quelque part dans ma petite tête, car en faisant le ménage, je suis tombée – quelle étrange coïncidence ! - sur notre cravache. La pauvre, elle avait pris une sacrée poussière sur le haut d'une étagère. Je ne sais pas comment elle a pu y atterrir, mais je suis la reine du rangement hâtif. Notre cravache ne vient ni d'un magasin d'équitation, ni d'un sex-shop. Nous n'aimons pas l'ambiance trop explicite. Non, elle vient d'un magasin de farces et attrapes. Un achat fait à nous tout débuts qui constitue surtout un joli souvenir. Veut dire qu'elle ne sert plus depuis longtemps. C'est peut-être la connotation avec les jeux de dominatrice qui nous a fait l'oublier. Lui trouvant triste mine, je me suis dépêchée de la dépoussiérer avant de chercher dans mon boudoir de l'huile pour bébé qui me sert à entretenir le cuir de nos instruments destinés à mes punitions. Je tiens à leur aspect impeccable. De plus cela adoucit le cuir et je fais du bien à ma peau lors de mes futures corrections.

C'est en passant le l'huile sur le manche que je me suis aperçue d'une drôle de sensation.

Je me suis amusée de constater mes association spontanées sur le sujet « d'astiquer le manche » et tout naturellement j'ai pensé à mon homme. Non pas à d'éventuelles aventures de sa part en cavalier seul, mais plutôt quand c'est moi en train de lui faire des choses dont il raffole :

Quand il y a la carotte au bout, subitement tu sais faire avec tes mains autre chose que taper sur un clavier, isabelle.

Je crois qu'il imagine parfois que ma habituelle maladresse manuelle
n'est rien d'autre qu'un prétexte pour me défausser sur lui de tout ce que je n'aime pas faire. Bref en badigeonnant copieusement le manche avec l'huile, expérience hautement inspirante, ma pensée fut de plus en plus absorbée par la différence entre garçons et filles. Je me suis dit alors :

Si tu faisais une surprise à monsieur ?

En essayant la souplesse de notre cravache et en m’enivrant de son odeur, mélange de cuir et d'huile, je me suis sentie subitement très féline.
Je me suis mise la cravache entre mes dents et j'ai avancé –juste pour voir, enfin pour me voir !- à quatre pattes vers la grande glace dans notre chambre à coucher. Me trouvant d'une sensualité certaine, j'ai donc décidée d’émerveiller mon chéri après son travail par ma nudité intégrale avec seulement la cravache portée de manière aguichante.

L'heure presque venue et déjà toute nue, j'ai encore cherché à perfectionner mon attrait de séduction.

L'idée fut vite trouvée. Je sais que mon chéri adore quand il me voit l'huilée de partout. Partout veux dire dans le moindre recoin. J'ai donc passée huile dans mon entrejambe. Le tout à quatre pattes sans démordre si j'ose dire. En effectuant ce geste stimulant, j'avoue que j'ai oublié vite le but de ma mission au profit d'un plaisir en solitaire. Je suis revenue à moi quand j'ai entendu derrière moi une voix bien familière :

Que vous êtes jolie ! que vous me semblez belle !

J'ai aperçu dans la glace le visage de mon chéri, souriant et visiblement très amusé. Pour ne pas apprendre « que tout flatteur vit aux dépens de celui qui l'écoute », j'ai préféré me taire. J'ai eu droit à un joli discours sur la luxure et du bienfait du châtiment corporel pour y remédier.

Et si tu me portais la cravache dans mon bureau... entre tes belles dents... à quatre pattes ?

A suivre

mercredi 18 mai 2016

878 Une fessée punitive... ratée (petite fiction ou non)

Il ne se vantera pas de celle-là !

Je fais partie de ces dames qui ont plutôt une conception de fantasmeuse envers la fessée. Regrettant parfois amèrement au moment de la vérité cette lubie de ma sexualité.

C'est surtout l'idée de me faire botter le derrière qui stimule fortement mes émotions et mon émoustillement.

Et plus précisément encore le fait de devoir exhiber mes rondeurs toutes nues pour une danse qui se fait dans une impudeur totale. Car le rythme et l'intensité des claques donne très vite lieu à des mouvement involontaires. Impossible à partir d'un certain degré de cuisson de pouvoir feinter les sensations comme cela est possible dans la vanille classique. Je suis le mouvement et voilà pour un éventuel témoin une fessée de plus crédible avec moi pédalant dans l'air avec mes jambes.

C'est cet aspect de vrai qui fait exploser la braguette de mon chéri !

Ce qui revient à dire que fesser sa dame rassure un grand garçon sur sa vision de jadis, imaginant ce rituel punitif suffisant pour envoyer une femme au septième ciel. Certes, il y a un rapport avec la lune, mais c'est avant tout le « conjoint sous le caleçon » qu'y croit encore dur comme du fer. Il ne se laisse pas convaincre par la rationalité d'adulte.

Connerie ces théories psychanalytiques !

Pendant que les claques pleuvent, j'ai vite tendance à évacuer la brûlure par mes petits cris qui deviennent au cours de l'action... ardents. Là, mon chéri, ayant un penchant pour les dames bruyantes, a de plus en plus de mal à cacher son plaisir que je sens au top de sa forme en dessous de moi.
Il m'impose fermement sa cadence et moi... je prend plaisir à m'y plier.

Loin de me sentir soumise, je me sens... femme, réactive au va et viens de la main de mon homme.

Mon homme est très sensible à la belle rougeur de mes fesses, fruit de son acharnement sur mon épiderme. Il en va de soi que mon fessier ne manque pas de fermeté et par conséquence chaque « nuance de rouge » se mérite durement. Je comprend donc parfaitement qu'il aime m’envoyer par la suite au coin pour admirer son œuvre. Un instant hautement érotique qui vie du trouble d'un regard dans mon dos. Du fait que je crois sentir son regard parcourir mon corps, ma nudité pour se glisser entre mes jambes.

Le coin, serait-il une sorte de jeu de bandeau pour intellectuelles ?

Je ne sais pas ce que pense mon homme pendant qu'il me fesse. Étant une femme, à vrai dire, je m'en tape un peu de sa métaphysique. Ce sont les garçons qui veulent tout savoir. Les filles, elles, savent quand le mot n'apporte plus rien au plaisir. Comme en cet instant magique quand je sens la vigueur de mon mâle sous mon bassin. Stimulée par mes gigotements, il doit prendre du bon temps. La preuve : Il y a déjà eu des « accidents domestiques » et j'avoue que pour moi c'est un comble extase quand mon chéri me relâche avec une double tache sur son beau jeans. La mienne et la sienne. La vision est encore plus seyante quand il porte une cravate. Le mâle autoritaire (notons la belle confusion fantasmatique avec... viril), arroseur arrosé si j'ose dire, qui me dévoile la vraie signification de sa morale punitive.

Regarde ton beau pantalon ! Tu n'aurais pas pu attendre que je te fasse une petite sucette, chéri. !

Zut, il m'a punie pour insolence et visiblement cette fessée un peu trop
sensuelle qui vient juste de se finir n'a pas su corriger mes mauvais comportements.

Il aurait du prendre le martinet comme d'habitude !

mercredi 4 mai 2016

870 Punie pour un doigt d'honneur (petite fiction ou non)


Allez hop, file au coin, isabelle. Ça te feras du bien. On dirait que ta tête fume autant que ton fessier.

(Tu sais ce qu'il te dit dit mon fessier qui fume...)

Non, il ne le saurait pas. Fraîchement châtiée, je n'ai pas envie de me rendre coupable d'insolence supplémentaire. Il n'est jamais glorieux d'aller au coin. C'est une fessée supplémentaire, cette fois-ci pour l'ego. Je maudit mon satanas de fantasme qui me miroite de jouissances extatiques à chaque fois que je l'évoque et qui me dupe si effrontément quand il s'agit de passer à l'acte. Étant adulte je sais tout de même que mon émoustillent trouve sa source par devant et non pas sur mon popotin. Mais impossible d'expliquer cela à mon irrationalité qui elle se délecte de la fessée. De quoi se sentir impuissante devant ce monde souterrain qui décide de mes plaisirs. Bref, j'ai l’impression d'être doublement ridicule avec mes fesses rouges. Puis il y a des mouvements involontaires, car un postérieur qui fait très mal incite à se frotter machinalement pour soulager la peau éprouvée.

C'est du grand spectacle quand tu va au coin, isabelle !

Effectivement, il n'est pas évident d'avancer avec un jeans autour des chevilles. De plus, je fais doucement parce que n'ai pas envie de tomber avec mes hauts talons. Seule possibilité pour éviter le faux pas, c'est d'écarter au maximum les pieds et genoux pour maintenir le jeans en place. Le ridicule ne tue pas. Mais devoir continuer à me donner en spectacle devant mon chéri qui joue au voyeur joyeux est une grande épreuve de modestie. Je trouve donc que je paye le prix fort pour mes insolences et cela me fait réfléchir. Voila qui est justement le but de ma punition d'ailleurs.

J'avance vers mon coin avec de vilains désirs de revanche.

Cette dernière intention, peu louable, dévie mes pensées vers un terrain à priori sans risque, car mon homme n'applique pas une double sanction cuisante dans une même journée. Je dis à priori, car il m'est arrivé ce jour-là de tester ses limites dans mon coin. Et visiblement j'ai dû en abuser.

Je commence par me déhancher plus sensuellement que demande l'état de mon derrière fraîchement châtié pour le soulager. Je savoure particulièrement cette phase quand la douleur commence à baisser et l'alchimie hormonale et psychologique oriente mes désirs vers les petits trucs entre un homme et une femme. De plus mon besoin de punition apaisé, je me sens d'attaque pour montrer sans retenue ce que savent faire les filles pour éveiller l'attention d'un homme. Pour cette raison mon homme adore quand je fasse du coin et lui, confortablement installé dans son fauteuil, il ne se lasse pas du programme que lui propose mon derrière tout rouge, uniforme après l'emploi du paddle, strié quand il vient de rencontrer le martinet et plutôt fantaisiste après traitement manuel. En général je reste bon enfant dans mes provocations au coin, mais ce jour-là, je ne sais pas ce qui m'est arrivée

Je me suis laissée aller de montrer à mon chéri ce l'on appelle en français un doigt d'honneur.

Un digitus impudicus (doigt impudique) en latin et en allemand un Stinkefinger (doigt qui pu ). Soigneusement questionnée par mon homme j'ai du expliquer de A à Z d'où me venait ce geste et mes motivation de le produire devant lui. Passent en revue alors d’éventuelles mauvaises fréquentations. Monsieur se régale en me questionnant.
En fait, j'ai voulu jouer la fière après coup, non pas dans le sens « même pas mal », mais plutôt:

Tu va voir mon coco, maintenant c'est à moi de chauffer l'ambiance et tu verras comme ce sera long d'attendre notre réconciliation le soir au lit.

Je me suis vraiment prise très maladroitement et j'ai du méditer l’étymologie de l'expression allemande de mon geste en insérant l'objet de ma hardiesse dans un endroit bien étroit qui ne permet point de faire de gestes indécentes.

Voila qui te permettra de mieux méditer de ton rapport à l'autorité, isabelle !

Habituellement j'aime beaucoup conférer l'autorité quelque peu parentale à mon homme et lui donner ainsi la légitimation de me corriger et de m'éduquer pour mon bien et dans mon intérêt. Ce qui implique quand il veut me botter le derrière par pur plaisir (si, si cela nous arrive) qu'il est tenu en principe de me demander mon accord.

C'est le monde à l'envers chez nous !

Il est hors de question de procéder par un prétexte fallacieux qui met en marche la structure DD. Enfin au fil du temps, plus besoin de communication explicite. Nous sommes une équipe qui sait passer les message sans qu'autrui ne s'en aperçoive !

Vu sous un aspect d'insolence mon geste n'avait pas d'excuse et je me suis vraiment comportée comme une fille mal éduquée.

Avec le recul, en passant un très long moment au coin avec mon doigt dans mon c... , ce qui implique une position fort inconfortable, j'ai payé chèrement mon geste. Mais je dois avouer que ma punition me semblait sans le moindre doute... méritée. Puis, petit effet secondaire quand le sujet du doigt honneur apparaît dans une discussion, il m'arrive de rougir pudiquement.

Non, elle fait pas ça, isabelle. Elle est trop bien éduquée...

mercredi 23 mars 2016

851 Envie urgente de fesser sa dame 2 (Petite fiction ou non)


Alors mon chéri tu ne va pas me faire tout un plat parce que ton string te chatouille entre tes fesses.

Bon, là j'avais vraiment dépassé les bornes. Quelque peu intentionnellement. J'aime bien en fait sur un long voyage la pause fessée. Voila qui détend mon fessier un peu engourdi par la longue position assise. Puis, plus tard en continuant, j'adore la sensation de chaleur qui envahit mon bassin et qui mêlée à l'effet berçant d'une voiture, me rend toute frétillante en attendant le câlin du soir.

Avec son instinct de scout, mon homme il a su vite détecter une petit endroit romantique, invisible depuis la route. Il y a avait même un tronc d'arbre pour s'asseoir. Contrairement à ce qu'il dit, il aime beaucoup me voir en string. La coupe de ce vêtement le fascine (ben autant que moi!) et il s'amuse souvent en me tirant la ficelle. Contrairement aussi à ses paroles, il ne m'a jamais arraché la peau de mes fesses. Mais en plein air il peut s’avérer redoutable.

Pour lui c'est une rencontre marquante de la vie, une rencontre entre une main et un fessier de femme tout nu.

Il tient à la nudité et par conséquence il se délecte d'abord de défaire les agrafes de mes porte-jarretelles. Parfois que 4, parfois tous les six. Cela dépend de ses humeurs et inutile de dire qu'il prend son temps. Quand à mon string, il me laisse le soin de le retirer complètement avant de passer sur ses genoux. C'est son sens de voyeur qui trouve son compte en m'observant d'accomplir un acte d'équilibriste sur mes hauts talons, notamment en pleine nature. Il le confisque avec un sourire jovial sans oublier de sentir mes odeurs intimes.

Puis il n'oublie pas de me rappeler que le geste pipi s'impose pour les filles avant une copieuse fessée.

Il n'a pas tort, prenant beaucoup de plaisir de me regarder soulever délicatement ma belle robe avant de m'appliquer. Je ne me sens nullement gênée devant lui et une fois fini, j’attends sagement qu'il me tende un petit mouchoir en papier. Dernier instant de calme avant la tempête. Je regrette beaucoup de ne pas pouvoir observer l'expression de son visage pendant cette caresse fort ardente qui est la fessée. Par ses mot que dis-je par ses emportements délirants je sais qu'il cherche une sorte d'harmonie cosmique et il lui importe beaucoup que le son des claques sur mon popotin s’entende de loin. Comme s'il souhaitait réveiller les divinités de la pleine nature. Grâce à lui j'ai mieux compris les anciens rites de la fertilité. Le principe est simple. La fessée le met dans une superforme plus tard au lit.

Il n'y a pas plus pratique pour la fessée qu'une petite robe légère. Ce minuscule voile qui sépare le popotin de la main qui le convoité. Mais quelle différence de sensation quand on ne l'enlève pas. Mon chéri ne commet pas ce faux pas de taille, car il sait bien qu'une fessée bien sentie a besoin d'un cul nu. Il s'engage vite dans une interaction stimulante. Sa main stimule mes fesses, mes fesses stimulent sa main. Mes gigotements sur ses genoux stimulent ce qui est sous … le string de monsieur. Et cette chose qui durcit stimule mon imagination et par extension mon entrejambe. Nous ne sommes pas vraiment dans un registre de punition et dans ce cas monsieur ose ce qui est strictement interdit à tout bon éducateur qui se respecte.

Me passer la main entre mes fesses pour vérifier les réactions de mon corps ! Me masser pour me provoquer d'autres types de soupirs que ceux initiés par les claques.

Le connaissant un changement de position s'annonce. Un tronc d’arbre permet beaucoup de fantaisies. Comme par exemple de pencher la dame pour admirer son popotin rouge. Puis standing ovation sous son pantalon pour la belle couleur. Monsieur se lance sur une voie agréablement glissante. J'avais vu juste pour le rite de la fertilité.

Envie urgente de fessée ? Mon œil !
Et parce que je suis une fille très sage qui tient à garder sa petite robe dans un état impeccable, je finis devant mon chéri entre ses jambes. J'avais raison en lui montrant mon petit geste à mon rouge à lèvres. Il ne peut y résister.

Ce jour-là, de retour dans la voiture, moi aussi je tiens un string confisqué. Tout un poème son odeur qui retrace fidèlement quelques centaines de kilomètre de séduction acharnée.

Tu avais raison chéri, les strings en cuir sentent vite le fauve...

mercredi 9 mars 2016

845 Fessée et prise de température... rectale 2 (petite fiction ou non)


Jeune dame, si ce thermomètre indique rien d’anormal, ton exécrable comportement de n'aura pas d'excuse et nous allons te traiter de la manière habituelle.

Pour souligner ses paroles, il a sorti le martinet du tiroir le mettant devant mon nez. Je me suis sentie comme sortie du paradis. L'idée que mon chéri me penche sous son bras, pour me corriger comme dans ce que nous appelons le bon vieux temps, m'inspire surtout dans ma fantaisie. Prise sur le fait, je me sens pas fière du tout. Et je pense de me distinguer en rien à ce moments de ces filles de bonne familles de mon imagination qui recevaient à un âge avancé encore des corrections au martinet. J'essaye -vainement- tout pour échapper à ma punition, mais avec le recul, mes fesses encore brûlantes, je ne puis jamais m’empêcher de remémorer la scène. Je me vois avec mes fesses impudiquement exposées. Je sens encore les lanières du martinet danser sur la peau de mon derrière et je m'entend encore de promettre de travailler sur moi. Le tout avec un profond émoi dans me strings. Mon homme le sait. Il se fait un plaisir quand je sors du coin de jeter un coup d’œil amusé sur la brillance de mon entrejambe.

Voila ce que j'appelle une attitude positive envers la discipline !

Car contrairement aux vieux manuels d'éducation pour grandes filles, il ne fait pas semblant d'ignorer les effets secondaires de la fessée. Après tout nous sommes entre adultes. J'ai d'ailleurs une drôle d'approche à mon éducation à l'âge d'adulte. Quand une copine se moque de mes bonnes manières et de mon langage châtié, il m'arrive souvent de penser :

Ma pauvre, si tu recevais le martinet comme moi, tu rigolera moins et tu surveillera ton vocabulaire comme moi.

L'attente avec le thermomètre dans mon derrière m'a parue fort longue, rendant finalement par des sonores bip bip un verdict en ma défaveur.
Je crois que de me voir avec le thermomètre bipant dans mon derrière a dû troubler mon homme.

Maintenant nous allons te reconduire dans le droit chemin, isabelle !

Après m'avoir retiré la chose, il m'a allongée sur ses genoux pour m'appliquer une fessée à la main. Ce qui est fort rare et en aucun cas une faveur à rapport du martinet. Au contraire, il est prudent avec les instruments, mais suit ses inspiration manuelles sans trop de retenue. Il n'est donc pas un vain mot quand il me dit parfois le soir :

On t'a entendu chanter cet après-midi, isabelle !

Effectivement, avec l'effet:

Libérée, délivrée (je ne mentirai plus jamais)...

...temporairement de mon besoin de punition. Bref, j'avais reçu ce jour-là une magistrale fessée, me mettant mes idées en place avec un fort besoin de câlins plus tard, assise sur les genoux de mon homme. Je lui ai avoué le plaisir que j'avais pris lors de ma prise de température. Plaisir bien évidement partagé. Depuis nous avons gardé cette façon de procéder et au fil du temps mon chéri a vu le se retourner thermomètre contre lui.

Ben quoi ? C'est cela l'égalité !

mercredi 2 mars 2016

842 Prise de température... rectale 1 (petite fiction ou non)

Petite pratique pour le plaisir du déculottage ?

Quand j'ai rencontré mon homme, je ne connaissais la prise de température... rectale que par les on-dit. Puis un jour, après une terrible colère de ma part, prétextant un état fiévreux, il a juge utile de sortir de son tiroir non pas le martinet, mais notre tube de vaseline et un...thermomètre.

Nous allons examiner la source de ce mal !

Je fus donc invitée de trousser ma jupe et de baisser mon string autour de mes chevilles. Et comme si cela ne suffisait pas, il a fallut en plus que j'écarte et fléchisse mes genoux, me penchant largement en avant en bombant mon fessier. Position particulièrement adaptée pour que mes fesses ne présentent plus aucun secret de mon anatomie intime. Je me suis sentie subitement très gênée, ce qui m'arrive rarement. Mon homme s'en est rendu compte, en m'expliquant jovialement de ne pas faire la pudique, car les présentations de ce côté étaient déjà faites depuis un moment. C'est indéniable, ce qui me paraît excitant dans une situation vanille quand mon homme me montre qu'il sait se servir de sa virilité avec détermination et sans tabou, peut se révéler gênant dans une autre. Toujours le mot qui tue sur ses lèvres, il a essayé de me détendre.

Allez arrête de froncer, isabelle et fais moi un clin d’œil amoureux!

En bonus j'ai reçu comme encouragement une fort sonore claque sur mon fessier. Toutefois j'ai commencé à éprouver du plaisir, beaucoup de plaisir à ce qui m'arrivait. J'ai eu droit à un long massage avec de la vaseline pour préparer mon examen médical. D'abord par des mouvements rotatoires pour me décontracter, puis en lubrifiant les parois intérieur. Mon homme a un excellent coup de doigt et je n'ai pas pu me retenir de pousser des gémissements de volupté. Surtout quand il a commencé à m'appliquer des langoureux et rythmiques va et viens. J'ai très vite calé mes soupirs sur les va et on nous aurait cru en pleine séance câline. Seulement toutes les bonnes choses prennent une fin et il n'était pas le but des efforts de mon chéri de vérifier mon érotisation rectale, mais ma température, soupçonne d'être à l'origine de ma violente colère de tout à l'heure. Colère pour un rien d'ailleurs. Car si je me sens tant attirée par une féminité ostensible, ce n'est que pour mieux cacher le garçon manqué en moi. Qui d'ailleurs est vraiment manqué dans les sens d'un flagrant manque de débrouillardise. Bref sans mon homme, je suis vite perdue, mais gare à celui qui me le fait entendre au mauvais moment. J'explose aussitôt.

Voici venu le moment de la vérité !

Avec ces mots j'ai senti le thermomètre mis en place.

Jeune dame, si ce thermomètre indique rien d’anormal, ton exécrable comportement n'aura pas d'excuse et nous allons le traiter de la manière habituelle.

A suivre...

mercredi 20 janvier 2016

823 Petite dame indécente (Petite fiction... ou non)

Le doigt dans le c...

J'ai eu un jour la glorieuse idée de raconter à mon homme que rien que la pensée de me mettre un doigt dans le derrière, me donne une sentiment de très vilaine fille. Notamment quand je suis habillée en élégante dame : veut dire joli tailleur jupe droite, chemisier à petits boutons, ainsi qu'un attirail de lingerie adéquate. Le tout, moi quoi, perchée sur de hauts talons. Mes confidences l'ont fait beaucoup cogiter, ce qui était le but. Un jour, étant déjà préparée en belle dame pour sortir, il m'a demandé gentiment de me trousser ma jupe, de baisser mon string, puis de me titiller l'endroit que je lui avait auparavant indiqué. Étant un peu surprise, il a insisté :

C'est le moment de voir ce qu'il vaut, ton superbe vernis à ongles, isabelle !

Voila qui m'a fait rire de bon cœur. Je ne sais pas ce qui m'est arrivée, peut-être le fait de me sentir prise au dépourvu pour lui faire plaisir, mais j'ai vite pris un intense agrément à la situation en poussant bientôt ces soupirs obscènes qu'aime tant mon chéri.

Voila la preuve que le voies de la jouissance sont .. . pénétrables et communicatives.

Puis, nous avons passé une excellente soirée avec des amis et en rentrant à la maison mon chéri s'est montré dans une forme hors de commun. Dévoilant ainsi, malgré ses principes de discipline stricte, son faible pour les vilaines filles qui se cachent habituellement sous des apparences de plus sages.

Depuis, pour certaines petites insolence de rien du tout, mon chéri aime beaucoup, mais vraiment beaucoup alors, m'envoyer au coin, non pas pour méditer, mais pour...

...une séance de masturbation mode très vilaine fille. Pour te calmer, isabelle !

Et pendant que mon index fait le tour de ma petite porte pour « passer la pommade vaseline » et se prépare à se plonger doucement dans les profondeurs, je me sens encore plus émerveillée par le monde des adultes. En découvrant une gamme de... hmm disons de punitions ludiques pour très vilaines filles que je n'aurais jamais imaginé étant petite...

mercredi 16 décembre 2015

806 Mes madeleines de Proust

Ah ces arrières pensées sur les plaisirs de l'arrière porte

C'est en regardant ce joli clip que je viens de penser à une discussion récente dans un repas entre couples amis. Un des messieurs avait émis la ferme conviction que les rapports de l'arrière porte révélaient un penchant de la dame pour la soumission. Que cela se tienne ! J'ai déjà entendu dans un contexte semblable que la sexualité en couple est au fond un don de soi de la dame qui se soumet ainsi aux assauts du monsieur.

Il en va de soi que de telles affirmations risquent de chauffer les convives... dans le bon sens... en créant un sujet hot qui fait sortir tout genre de point de vu fort personnel. Et moi j'adore apprendre de nouvelles choses sur les fesses. Enfin,concernant la question de la soumission c'est un peu perdu d'avance. A chacun son son de cloche. A la personne qui vie quelque chose et aussi à la personne qui à partir de ce que vie la première émet un jugement.

Pour voir un peu plus clair s'il y a soumission ou pas, voici une argumentation qui me paraît intéressante.

La psychanalyse, notamment celle qui se dit existentialiste, s’intéresse à notre l'individualité . Elle ne souhaite pas nous coller une étiquette (comme ceux qui décident d’emblée si nous sommes soumises ou pas!) en insistant lourdement d'avoir raison. Elle tient compte de nos association personnelles envers le mot « soumission ». Et là, découverte intéressante, il semblerait que la soumission n'est pas une question de fessée, de contexte BDSM ou encore de pénétration, mais une notion purement personnelle qui peut apparaître même dans un contexte de pure vanille. Par exemple quand une dame, pourtant pleinement consentante, se sent subir en quelque sorte ce qui lui arrive.

Donc, soumis est qui se sent soumis qui s'y plaît de se sentir soumis et/ou qui commence à frétiller rien qu'en entendant rien ce mot !

Voila qui nous permet de trancher plus facilement concernant les plaisirs de l'arrière porte. Je n'ai jamais pensé de subir les lubies de mon homme. Au contraire, j'aime beaucoup l'étrange sensation que ce genre de rapport procure. De toute façon j'étais prédestinée pour cette pratique. Par mon goût pour les jolis choses qui se mettent dans cet endroit pour s'agrémenter la journée. Par mon faible pour la cure X*antis qui consiste à nettoyer l'organisme une ou deux fois par an par une série de lavements. Un jour à nous tout débuts, quand je suis revenue à la table du petit déjeuner après application de ma cure X*antis, je me suis trouvée face à face avec mon homme. Il avait les yeux qui pétillaient en me disant qu'il serait franchement dommage de ne pas profiter d'un terrais si soigneusement préparée. J'ai compris aussitôt l'allusion quand j'ai vu le tube de vaseline sur la table et ravie de cette jolie idée je me suis dépêchée pour me mettre en position.

Soumise ? Non ! - Pragmatique ? Oui!

Alors mon nez coincé entre café, confiture, beurre et fromage, penchée sur ma belle table de petit déjeuner s'est formée un ensemble associatif, ma version personnelle des madeleines de Proust, comment bien démarrer sa journée. Et parfois quant j'ai l'air rêveuse le matin en buvant mon café, il en va de soi que je ne vais pas détailler devant n'importe qui une réponse à la question :

Tu penses à quoi, isabelle ?

mercredi 11 novembre 2015

793 Une fessée mémorable 2


Tu vas t'en prendre une que ton fessier s'en souviendra pendant longtemps, isabelle !

Jolie menace qui rencontre désormais sur un terrain favorable, savamment préparé et prêt à être fertilisé par la moindre petite allusions.
Alors quand un jour ou l'autre, je reçois à nouveau cette mise en garde de surveiller mon comportement, il y a tout un souterrain qui remonte à la surface et dont j'aimerais parler un peu ici. Nous sommes loin de vrais ou faux souvenirs d'enfance, génératrices de fantasmes de toute sorte. Nous sommes dans le concret et récent; un souvenir clair et non pas déformée par le recul des décennies. Certes, il n'y a avait pas mort d'homme de femme, mais cette fessée mémorable a laissé des traces qui reprennent vie aussitôt à l'évocation de mon châtiment à venir. En ce cas mes associations sont nettement moins coquines que dans les autres situations qui ne présentent pas autant de risque pour la peau de mon postérieur.

On pourrait parler d'un effet psychologique hautement éducatif, car je n'ai pas forcement envie de revivre la même situation.

Toutefois ce n'est pas exactement une peur qui me hante. Je pense, si c'était le cas, j'aurais laissé vite tomber depuis longtemps mes fantasmes de discipline. A vrai dire, le gentil avertissement de mon chéri me provoque - à mon grand enchantement - un état de palpitante angoisse qui se manifeste partout dans mon corps et me crée surtout une frissonnante tension au niveau de mon entrejambe. Effectivement, on pourrait parler tout court d'un trouble en quelque sorte voluptueux qui s'empare de moi, mais cette expression reste trop vague pour bien résumer mes émotions. Pour cerner correctement la nature d'un trouble, il suffit de comprendre qu'il se compose de tendances contradictoires, tendances chacune liée à de fortes émotions qui s'affrontent.

D'un côté nous trouvons...

...mon souvenir de cette mémorable fessée comme si c'était hier.

Souvenir d'un gants de toilette imbibé d'eau froide avec lequel je me suis massée le derrière avant de me coucher. Une sensibilité à « fleur de peau » quand mon homme a commencé à me caresser la zone concernée pour les câlins de bonne nuit. Sensations suprêmes certes, mais cher payées.

Bref je sais ce qui m’attend et que cela ne s'apparente en rien à ce que l'on décrit habituellement comme les délices érotiques de la fessée.

Non, non, c'est du punitif à l'état pur qui s'annonce. Ces quelques courtes minutes où je ne fait plus mon âge, où je braye à haute voix en promettant de ne plus jamais refaire ce qui a cause ma sanction. Du punitif bref et intense, un tourbillon sans cohérence dans ma tête, une situation qui me dépasse et qui me laisse avec un derrière cramé par la main de mon homme.

Un entrejambe de plus luisant aussi qui n'a pas encore compris ce que lui arrive, qui n'a pas encore transmis une info de plaisir à mon cerveau.

Par contre mon chéri saisit très vite le comique de la situation. Pendant que je suis en train - sous un flot de larmes de sincère repentir - d’évacuer pleinement le stress accumulé, il a déjà la l'humour facile :

Je viens tout juste de finir ta correction et c'est déjà la fête dans ta petite culotte isabelle ! Tu te moques de qui là.

Voila qui me met dans un sérieux embrasas, car l'autorité de mon homme qui vient de s'abattre sur mon derrière n'est pas un sujet qui me fait rire.

Maudite fessée mémorable tu m'auras pas une deuxième fois.

Par conséquence de l'autre côté...

… bien que consciente que mon besoin de punition nécessite une bonne dose de douleur pour s'apaiser, c'est mon manque de courage qui se fait sentir. J'ai envie de m'enfuir sur le champs, de me cacher de mon intraitable éducateur qui se languit de me mettre au pas.

Le jeans déjà autour de mes chevilles, mon string également, j'envisage encore ma fuite !

Tu m'écoutes, isabelle ?

J'ai intérêt à écouter attentivement mon homme qui est en train de me sermonner. J'ai l'impression de me trouver dans une attente interminable, j'oublie même pour des fraction de seconde ce qui m’attend pour comprendre aussitôt que tout mon futur semble se concentrer sur cette fessée qui me pend au nez. Il n'y a pas la moindre notion de jeu et mes pensées tournent en rond. Situation sans issu, car c'est la dure loi fantasmatique qui s'agite dans ma tête.

On n'est jamais aussi bien servi que par les punition que l'on souhaite à sois-même.

Voila l'effet sécurisant avec mon chéri qu'il sait agir dans mon intérêt. Il connaît mes besoin et mon ambivalence devant les grandes punitions. Il sait rester doux dans ses attitudes, rassurant, mais sans que la fermeté se perde sur la route. Je souffle, je m'encourage moi-même. Je me sens encouragée aussi. Étant adulte et les pieds bien sur terre (avant de basculer sur les genoux de mon chéri!) mes craintes concernent la sensation. Si on peut appeler cela de cette manière. Sensation nécessaire pour accomplir l’alchimie. Transformer mon besoin de punition en sentiment de plénitude, à l’abri des regards du monde, seulement sous le regard de mon homme. Transformation qui se passera dans mon coin.Que dire de la fessée qui me sépare de cet état de grâce. Elle sera douloureuse, loin d'être émoustillante comme mes rêveries me font miroiter. Et surtout...

...ce qui rend mémorable une fessée mémorable est un effet de mes souvenirs. Jamais une fessée réelle sera à sa hauteur !

mercredi 16 septembre 2015

766 Quand les yeux lui sortent de la tête ! (Petite fiction ou pas)

L'histoire d'une bien vilaine fille

J'aime bien surprendre mon homme. Peut-être parce qu'il ne me donne pas de directive pour notre vie amoureuse. Je me verrais mal d'ailleurs de devoir suivre un mode d'emploi pour l'exciter.

Alors, petite idée folle, toute nue, prosternée au sol, je pointe mon auguste derrière vers la porte de son bureau. Les jambes légèrement écartées, j'offre une vue intégrale et impudique sur mon entrejambe, mettant surtout à l'honneur ce petit orifice par lequel dit-on passe la discipline. Évidement j'ai procédé préalablement à un soigneux lavement, parce que mon chéri aime beaucoup, non seulement une rosette dépourvue du moindre poil, mais aussi le respect d'une hygiène irréprochable.

Pas besoin de posséder un don de la voyance pour pouvoir affirmer avec quasi certitude que...

...monsieur sera impressionné par mon petit ménage.

Peut-être sera-t-il un peu « outré pour la forme ». Il est tout de même peu commun de saluer une personne en lui exposant son trou du c...l. Ou peut-être, comme il me plaît d'imaginer, manifestera-t-il bruyamment son mécontente à cause de la dépravation des mœurs de sa petite dame et lui demandera sur le champs de se mettre en position pour une correction de taille :

Mais je suis déjà en position, chéri !

Visiblement cette coquine posture le travaille déjà. Signe que le petit vélo est correctement installé dans sa tête pour se mettre désormais à pédaler au moment où il s'y attendra le moins. Ce qui ne l’empêchera pas de me punir à la hauteur de mon audace par quelques fortes claques sur mon postérieur tout nu et tout tendu.

Avant de me montrer les conséquences de mon acte sur un homme en bonne santé.

Il me fera d'abord saliver sa virilité pendant un petit moment. Acte que j'accomplis avec soin car la suite du programme nécessite une bonne lubrification. Puis il changera de côté pour se glisser à l'endroit même qui lui a sauté aux yeux en sortant de son bureau. En douceur, comme il sait si bien faire. Un plaisir intense sera vite au rendez-vous et qui prouve que la jouissance connaît parfois des chemins peu orthodoxes.

Peut-être aussi, me voyant ainsi, il réagira avec son taquin humour habituel :

Tu t’apprêtais de jouer à vilaine fille, isabelle ! Fais comme si je n'était pas là.

Me voilà, en arroser arrosé obligée de me sucer mon indexe pendant que monsieur me fixe avec un large sourire. Préparation indispensable pour favoriser l'introduction dans l'endroit si effrontément suggéré. Et pendant que mon homme dans son fauteuil ne cache pas son intérêt pour le spectacle, je me livre à un exercice de plus rythmique et nettement moins facile à réussir que la conquête du clitoris. La jouissance par la petite porte se mérite par une laborieuse préparation.

Tiens, je me suis toujours demandé s'il y avait des filles résolument rectales, isabelle !

Je me sens un peu bête avec mon doigt dans mon derrière comme si je n'avais pas encore compris comment les choses se passent « correctement ». Mais... petit doigt, grand effet et à force de me stimuler au mieux possible, je commence à respirer de plus en plus rapidement. Je me passe de recourir au petit bouton qui facilite tant les choses. Je sais à quel point mon chéri est fasciné par ma capacité de jouir par la petite porte et à quel point il tient à ce que je fasse régulièrement mes exercices de gym rectale. Ben oui, cela ne tombe pas du ciel , mais se mérite par un entraînement sérieux. Un finale sonore - mon chéri aime le spectacle – et me voila détendue et surtout bien sage à nouveau. Un peu honteuse aussi, je ne le cache pas...