vendredi 27 février 2015

662 Liens de discipline domestique (155 ème édition)

Au menu cette semaine : Les rêveries de nos grands garçons


Blogger fait marche-arrière ! Ouf ! N'étant pas directement concernée par la nouvelle politique, j'étais tout de même à deux doigts de m'acheter un nom de domaine. Passons. Cela tombe bien, car j'ai envie justement de faire quelques textes plus explicites. On se comprends, je veux dire par là, façon isabelle.

Pour amateurs de discipline scolaire

Il n'y a pas que mon chéri qui aime de telles images (Merci Ellie !). De grandes filles qui jouent à l'écolière pour narguer Monsieur le Professeur. Alors fortement inspirés et sous prétexte de l'art, mon homme et ses copains aiment se laisser aller pour raconter des anecdotes que les moins de … 40 ans ne peuvent pas connaître. Il n'est pas le but de mon blog à raconter ce qui se passait quand ces messieurs furent enfants ou ados, mais je retiens toutefois un certain enthousiasme pour la fessée.

Comme un châtiment pas bien méchant et plus souvent promis que réellement appliqué.

Je pense que si certaines filles se plaisent dans la nostalgie de la grande écolière qui fera maintenant bien différent les choses qu'à l'époque, il est tout autant compréhensible que certains messieurs aiment se projeter à la place d'un professeur. Et quel bonheur pour nos grands garçons de disposer d'un joker suprême...

.le droit de déculotter les désobéissantes files pour leur appliquer une bonne fessée.

Notons que comme beaucoup de dames, j'ai rencontré pas mal de princes charmants qui devraient prendre leur courage en main quand la dame émet désespérément des signes pour que le monsieur passe à l'acte. Je ne dis pas cela uniquement pour la fessée...

Une solide fessée (petit clip)

Mon chéri adoré se trimbale depuis son adolescence un rapport quelque peu ambivalent avec les filles en jeans. Certes, il adore admirer mon derrière dans un jean bien coupé et qui moule mes formes. Enfin admirer ce n'est pas le terme exact, le jeans le titille autant dans sa grande que dans sa petite tête. Il suffit de voir sa joie quand je me rend coupable dans pareille tenue....

.d'une bêtise de taille qui est habituellement sanctionnée chez nous par la fessée.

Comme il devient sérieux, comme il réfléchit sur la meilleure manière de me déculotter, comme il passe du temps à commenter ce que je porte sous mon jeans. Tout un cérémoniel qu'il sait bien faire durer. Quant à ma correction elle-même, elle restera moins longue que ce clip. Toutefois concernant ce dernier, reste ouverte une question :

Pourquoi le monsieur ne déculotte pas la dame ?

De peur de se faire sucrer son blog ? Je sais, ne jamais embêter ses visiteurs avec de problèmes techniques concernant son blog.


Genre hyper créatif. Un pur plaisir d'ajouter ces dames prometteuses dans mes liens permanents.

Pas vraiment mon monde...(petit clip)

….mais je préfère cela aux productions P. A vrai dire, je devrais être la cible idéale pour les 50 nuances, ainsi que toutes les histoires dérivées en ce sens. Déjà je trouve rien à redire contre le film, le vrai, qui vient de sortir. De plus c'est du féminisme pur, une dame qui parle des tendances sadiques du monsieur qu'elle aime et qui de plus, elle, se révèle encore plus sadique que lui. Au bout de 1500 page, quick, elle arrive à lui couper... ses élan le plus pervers. Mais bon, faut pas dire cela aux garçons qui croient que la vraie soumise (celle qui fait cela par plaisir!) existe.

(Toujours malade, j'espère retrouver mon mordant ma vitesse de croisière la semaine prochaine!)

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !





















mercredi 25 février 2015

661 Mon blog a trois ans

Même si mon hébergeur m'annonçait que mon blog devait disparaître demain, je posterai un article aujourd'hui encore.

Jolie phrase (quelque peu déformée par mes soins) attribuée au grand réformateur allemand Martin Luther. « Copain » de Calvin qui pour sa part a lancé la mode du puritanisme. Voila pour dire que blogger à partir du 23 mars 2015 va rendre « infréquentable » ….

... les blogs où sont  publiées des images ou des vidéos montrant de la nudité ou à caractère sexuel explicite.

C'est le jour de mon anniversaire de blog que je reçois ce message, envoyé à toutes les personnes ayant un blog étiqueté adultes. Une journée où je me tape une fièvre carabinée. Sans parler de la tempête de neige dehors et d'une connexion 2G.

A priori cette modification ne me concerne pas.

Car sur mon blog ne se trouvent ni d'images, ni de vidéos ! Mais qu'en est-il pour les blogs comme le mien qui se servent des liens vers un tel matériel ?

Ma motivation de bloguese !

Pouvoir éditer moi-même mes textes et les rendre accessibles à un grand public. Sans prise de tête. Donc pas d’intérêt du tout pour moi d'un blog privé. Puis - et ceci est bien inspiré de la grande littérature allemande - toujours construire un article autour d'une information utile. Normalement cela concerne mes recherche sur la construction du fantasme de la fessée. Par contre aujourd'hui je pense à toutes les personnes qui mettent beaucoup de leur temps pour construire un joli blog et qui risquent de se le faire sucrer par notre hébergeur.

Alors comment faire pour aller ailleurs ?

Aller dans l'administration, paramètres, puis « autres » et cliquer sur « exporter le blog ». Opération sans risque que j'effectue depuis des années régulièrement et qui me donne un fichier xml qui contient vraiment tout !

Quel hébergeur choisir ?

Il n'y en a que deux qui me paraissent intéressants. Wordpress et Overblog. La raison : La qualité de référencement. J'aime du monde sur mon blog. Notons qu'autant wordpress que overblog sont beaucoup plus performants à ce niveau que blogger.

Pourquoi je ne suis pas déjà chez overblog ou wordpress ?

J'y suis. J'ai mes anciens blogs en copie chez wordpress en mode privé, car wordpress garantit un hébergement à vie. Idem ce blog-ci. Hélas, en version gratuite il est impossible de mettre un « disclaimer » pour signaler un contenu pour adultes. Acheter un domaine dépasse les 100 euros, mais bon, niveau visiteurs pas de comparaison avec blogger. Puis on est lu par des « gens influents». J'ai eu pas mal de contacts via wordpress dans le temps et même une invitation à Paris par Elle/Wikio. J'étais sélectionnée avec 14 autres blogueuses (dont Agnes Girard et Maja Mazaurette) pour l'élection de la blogueuse la plus influente de France dans la catégorie sex/love. (Flattée la petite isabelle)

Chez overblog, un bon hébergeur français, en version gratuite les blogs pour adultes sont envahis de publicité immonde. Voila pour donner une idée. Pour une somme assez modique (bien en dessous de 100euros), il n'y aura plus de problèmes. J'y pense. Avant d'acheter mon domaine, je vais faire un tour chez tumblr, plate-forme à haut risque pour le non-respect du copyright ; ils virent sans préavis; domaine qui ne me concerne pas. Pas inintéressant pour pas mal de blogs sur notre sujet, tenus par des personnes qui créent leur propre contenu.

Pour finir...ne jamais oublier les visiteurs qui passent sans laisser un mot.

Mériterait bien une ! (Petit clip)

Bon, loin de moi de participer à des événements lurkers. Je n'ai pas un tempérament non plus à inciter qui que ce soit à commenter. Donc comme bonus pour aujourd'hui un petit clip que j'aime bien, dédicacé à toutes les dames qui aiment voir le grand garçon émerveillé dans le yeux de leur compagnon et qui vont parfois loin dans leur jeu de séduction.


lundi 23 février 2015

660 La fessée entre copines (Lundi cinéma)

Se défouler sur le derrière de sa meilleure copine...


Je pense outre de la découverte que la fantaisie est capable de procurer une forte excitation au corps, il reste également comme étape importante dans une vie le passage à l'acte. Et bien que les situations punitives ont toujours hantées mon imaginaire, mieux vaut se lancer dans « la fessée pour de vrai » après avoir expérimenté la sensation de fortes claques.

Parfois le décalage entre fantaisie et réalité s'avère frappant !

Non, ce n'est pas typiquement allemand de faire des jeux entre ados pour se taper sur les fesses. Et il n'est pas typiquement allemand non plus de se claquer les derrières entre copines avec des verges de boulot dans le sauna de ses parents. En absence de ces derniers bien sûr. Donc quand je parle de certains de mes souvenirs il s'agit plutôt d'un concours de circonstances. Loin de moi de sortir ici le genre d'histoire, censée d'expliquer les méandres de ma libido de A à Z par un événement survenu à un moment de ma vie. Pour ma part je n'y crois pas dans de telles histoires. Leur but me semble avant tout que la personne qui la raconte essaye de se rassurer soi-même.

Se rassurer sur quoi d'ailleurs ? Que cette vilaine fantaisie vienne de l’extérieur !

Que autrui nous ait initié au vice, entraîné dans la perversion ? On comprend mieux pourquoi les analystes de la première heure se sont penchés sur la théorie de la séduction. Parce que cette théorie est en fait comme son nom indique bien séduisante. Prenons comme exemple mes rêveries de jeune ado dans lesquelles je m'enfermai dans une passivité sécurisante. En attendant mon tour. Concernant la fessée, je me suis vue séduite par tant de personnes de mon entourage. Chacune d'elle avait une bonne raison dans ma fantaisie pour m'apprendre les bonnes manières. Pour me remettre dans le droit chemin. Il y avait certes une mise en scène de séduction, mais sans un terrain favorable de ma part, jamais j'aurais abordé de telles constructions jouissives.

Alors si on veut mieux comprendre son fantasme de fessée, mieux vaut se pencher sur un soigneux examen de son terrain favorable !

Puis sont arrivés les jours froides dans mon pays. Quelqu'un a eu l'heureuse idée de faire du sauna entre copines. Une fois sur place, il a vite germé l'idée d'utiliser le fouet du sauna. Voila qui montre que le fantasme de la fessée ou disons dans un sens plus large de la flagellation hante bien l'imaginaire collectif et peut-être en particulier celui des filles.

Bref subitement on ose, car c'est pour la bonne cause, stimuler la circulation sanguine.

Certes cela n'a rien à voir avec une vraie fessée. Mais cela suffit pour se rendre compte que la sensation provoque un sacré remue-ménage dans l'entre-jambe. Qui reste imperceptible, car tout le monde transpire fortement … à cet endroit aussi. Phénomène purement physique à la base qui donne l'impression par l'aspect luisant que tout le monde se trouve dans un état secondaire. Et il se peut que l'excitation envahit vraiment certains esprits quand on se fie à l'intensité de l'application du fouet de sauna.

A vrai dire j'aurais préféré une situation plus intimiste comme montre le clip, se chauffer mutuellement les fesses entre filles. Avec ma meilleure copine et pour de bon. Se claquer mutuellement et surtout fortement sur les fesses pour voir si cela fait mal. Si cela se révèle aussi excitant que la fantaisie punitive. Un peu à l'image de ce magnifique extrait de Venus Erotica d'Anaïs Nin :

Leila saisit sa cravache et la laissa retomber, pas trop fort, sur Bijou.
Bijou dit :Ça donne encore plus chaud.

-C'est ce que je veux ; je veux que tu sois brûlante, si brûlante que tu ne puisses plus le supporter.

Bijou ne bougeait pas. Leila se servit de la cravache une nouvelle fois, et laissa une marque rouge. Bijou dit : C'est si chaud, Leila.

- Je veux que tu brûles à cet endroit - que tu brûles jusqu'à ne plus pouvoir le supporter.

On s'imagine quand j'ai rencontré mon homme, je voulais à tout pris faire du sauna avec lui. Lui, assez pudique avait peur que mes parents arrivent à l'improviste. Mais quand je lui ai parlé de me donner une très vigoureuse fessée, il a changé d'avis. Ce fut un moment plaisant. Tous les deux nus, il n'a pas ménagé mon derrière. Plaisir de sueur qui fait glisser. Plaisir de sentir réagir le corps de mon homme. Sentir que le fait de me fesser lui provoque une belle érection. Se sentir sur la même longueur d'onde. Il en va de soi que nous avons profité de l'instant et de nos corps si glissants pour enchaîner sur autre chose...

vendredi 20 février 2015

659 Liens de discipline domestique (154 ème édition)

Au menu cette semaine : Mise au coin....

.... après une de corsée

Ce n'est pas un instant de glamour et loin de moi de faire la fière. Il n'y a pas de sensation de « jeu », mais l'impression d'un véritable rapport d'autorité. Malgré tout le politiquement correct de nos jours, je serais tentée de dire que ma vérité humaine, celle qui décide ce qui est jouissif ou pas pour moi, s'épanouit parce que mon homme sait se montrer autoritaire. Parce qu'il sait prendre les choses en main. Parce qu'il sait s'imposer d'une manière qui me comble.

Toutefois il y a une différence de taille avec la condition féminine d'un autre âge.

J'ai pu faire un libre choix pour vivre ce que j'ai envie vivre. Ce sont les conséquence de ce libre choix qui me donnent un sentiment délicieux pervers, d'être vilaine et de mériter mes corrections, d'avoir besoin d'une main ferme, d'avoir besoin d'être tenue sur le bon chemin, d'avoir besoin d'être corrigée pour ce qui me semble un mauvais comportement ou une faute.

Pour bien me comprendre, ce qui me donne les émotions fortes, c'est le fait d'être punie.. .

Sonore et solide (petit clip)

Voila qui me semble bien réaliste comme punition, notamment concernant les plaintes de la dame. Pour ma part j'en fait de même, mais hors de question de me sauver des genoux de mon homme. Il y a un grand besoin de sentir sa main ferme, un besoin aussi de sentir s’accroître la brûlure dans mes fesses. Parfois j'ai besoin de me défouler verbalement, parfois je saute dans tous les sens et parfois les deux à la fois. Puis vient l'instant du laisser aller, un glissement de mes cris de colère vers les larmes. Certes, cela ne m'épargne pas le coin et je pense avoir pris tellement habitude de cette pratique qu'elle me semble indispensable pour retrouver la tête haute... enfin beaucoup plus tard.


Ne cherchons pas toujours du côté de la grosse fessée pour faire plaisir. Ce sont parfois les gestes les plus tendres qui me font le plus de l'effet. La douceur d'une main qui remonte mes jambes pour se glisser sous ma robe ou jupe. Le contact de mon derrière tout nu avec le pantalon de mon homme pour sentir une virilité en plein essor. Tenir un blog de fessée fausse facilement la réalité. N'oublions donc pas les câlins.


Je reste brève cette semaine, car je me trouve en vacances dans une magnifique région (...avec un internet 2G !). Je ne saurais dire s'il y aura mon lundi cinéma à cause le l'incertitude de pouvoir visionner des clips. J'hésite pour l'instant de commenter un clip dont j'ai le lien, mais que j'avais vu il y a quelques semaines...

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !





















jeudi 19 février 2015

658 Mémoires d'une éducation sévère 2.2


2.2 Graine de fessée et clair de lune


La solution de l’énigme se trouvait auprès de Nadège.

Poussée par une curiosité incandescente Lucie, se mit alors à espionner la maison de la voisine la nuit venue quand sa tutrice la croyait sagement dans sa chambre. Ses efforts manquèrent rarement de récompense. Bien que les volets fussent fermés, elles ne firent pas obstacle aux bruits compromettants et quelques bribes de conversation. Protégée par l’ambiance nocturne, Lucie savoura à maintes reprises les concerts fessières qui la mirent infailliblement dans un drôle d’état auquel elle prit de plus en plus goût. Elle se plaisait énormément dans son rôle de « voyeuse auditive ».

Habituellement elle se glissait après un beau concert toute émoustillée dans son lit pour se consacrer à la découverte de son corps en imaginant ce que les volets ne permettaient point d’observer. Mais un beau soir d’été avec (et après !) un magnifique clair de lune, en restant un peu plus longtemps pour respirer la proximité de ses complices involontaires ,un nouvel rebondissement accéléra son imagination vers un point de non retour. La fessée finie elle s’attendait que la lumière allât s’allumer dans la chambre de la malheureuse élève. Or rien ne fut. D’abord elle entendit des voix de la chambre de Nadège, puis de tendres bruissements qui se transformèrent vite en petits cris voluptueux. Bientôt elle assista à de véritables manifestations de plaisir venant de la part de la punie qu’elle avait imaginé jusque là en innocente proie d’une austère gouvernante.

Elle se souvint de suite des paroles de la fille :

mais tu ne peux pas comprendre… 

Oh que si ! Lucie avait enfin une piste pour comprendre l’enthousiasme pour les méthodes de Nadège. La dernière ne savait apparemment pas uniquement châtier quand il le fallait, mais elle appliquait également un système de récompense de plus intriguant quand il eut mérite. Plus tard dans son lit, pour la première fois de sa vie, Lucie s’imagina à la place de la fille sous la tutelle de Nadège. Ses activités solitaires lui procurèrent des sensations qu’elle n’eut jamais soupçonnée. Mais une fois l’ivresse apaisée, elle resta seule avec une honte qui semblait terriblement étouffante et elle se jura de ne plus jamais espionner le ménage de la troublante voisine.

Désormais Lucie se sentit prisonnière d’une cruelle tenaille qui semblait l’écraser entre son envie de rébellion contre le monde des éducatrices et son désir inavoué de subir un traitement intense, appliqué avec fermeté par la main de Nadège. Elle eut bon de tourner la question dans tous les sens, elle ne trouva aucune solution contre les élans brûlants que son corps lui imposait. Impuissante de résister à cette marré déferlante sa colère se détourna de Nadège pour se diriger contre d’autres cibles. Elle commit de nombreux actes de désobéissance envers sa tutrice ou envers les réglés de bonne conduite au village, ce qui lui valut vite la réputation d’une fille difficile et peu fréquentable. Ses copines par contre la vénéraient pour ses audaces et tentèrent d’imiter son comportement.

Inquiétée de son changement, Lucie - de plus en plus malheureuse – pensait souvent à ce que l’élève de Nadège lui avait avoué en toute confiance :

je ne me suis jamais sentie aussi bien dans ma peau que depuis elle s’occupe de moi … malgré les marques sur mes fesses…

Lucie était une fille douce, curieuse envers la vie et désespérément romantique, mais aussi dotée d’une énergie débordante et d’un sens pragmatique. Son nouveau rôle ne lui convenait pas. Elle n’avait aucune envie de s’abandonner à la dérive et quand elle apprit le départ de sa tutrice pour le début des vacances d’été, elle étudia avec attention la liste des places proposées chez les autres éducatrices. Son cœur se mit à trembler quand elle découvrit le nom de Nadège parmi eux. Après une rude nuit sans sommeil sa décision était prise. Elle n’avait pas à inquiéter sur le succès de sa candidature. Personne ne voulait une telle place. Nadège faisait trop peur aux autres filles. C’est ainsi que Lucie entamait un apprentissage singulier qui mérite d’être raconté en détail.

A suivre

mardi 17 février 2015

657 Épater le monsieur

Un peu de distraction pour les vacances !

Petite touche sexy (mini clip)

Quand j'étais célibataire la flemme de me mettre en tenue de gym pour ma séance quotidienne me prenait souvent. Alors je m'appliquai seulement vêtue d'un soutien-gorge en transpirant à grosses gouttes. L’admet que ce n'est pas très glamour, mais il s'agit d'entretenir efficacement son corps en vue de mettre de son côté tous les atouts pour faire un jour ou un autre la plus belle rencontre de sa vie. Certes cela ne se dit plus de nos jours de faire des efforts pour attirer par son physique. Mais entre une transformation complète en aguicheuse et une dame plaisante à regarder il y a tout un monde. Enfin, on a compris ma motivation pour être régulière dans mes exercices. La carotte en tête (admirons ce superbe symbolisme) j'avais la hargne qu'il faut pour travailler sur mon corps.

Après l'effort la récompense !

Une fois ma séance finie, j'allais me délasser sous la douche ou le week-end dans ma baignoire. Et pour que ma détente soit parfaite, je me laissais aller aux jeux de la vilaine main. Parfois même sans rien imaginer, seulement en prenant... plaisir. C'est en commençant la vie en commune avec mon chéri que s'est posée la question de se créer une intimité à deux, veut dire...

.adapter ses habitudes secrètes à la présence d'une autre personne.

Au début je faisais ma gym en string et soutien-gorge jusqu'à ce que mon chéri me dise un jour...

...pour ce qu'un string couvre, pas la peine d'en mettre un, isabelle !

Effectivement, non pas sans plaisir, j'ai pris bonne note, en dévoilant sans la moindre gêne mes parties les plus intimes au fil des exercices devant mon chéri qui s'était découvert subitement une passion pour la gym féminine. Toutefois, n'étant pas encore définitivement épilée à cette époque, je me suis trouvée un matin devant une petite et gentillette moquerie de mon chéri :

Un jour sans bic c'est la barbe !


Alors j'ai décidé désormais, outre de me brosser les dents et de me laver les parties intimes, aussi de procéder en même temps au soigneux rasage de mon entrejambe dès ma sortie du lit. Une fois le coup de main pris cela prend à peine trois minutes. Sans oublier de me passer - recto et verso- une huile hydratante pour éviter les rougeurs. Ce matin-là, j'ai vu le tilt dans les yeux de mon chéri, me découvrant si lisse et si luisante. Il ne savais pas - littéralement- par où s'y prendre. Et il en va de soi que ma séance de gym à pris une tournure particulière...

lundi 16 février 2015

656 L'envie de corriger la contractuelle (Lundi cinéma)

Une réaction trop humaine ?


En matière de discipline domestique des anecdotes sur une contravention, prise par Madame pour une énième inadvertance, ne manquent pas. Comme on s'attend, le monsieur ne tolérant nullement ce flagrant non respect du code de la route, se sent obligé de rappeler sa dame à l'ordre et cela se fait sous forme d'une claquante fessée.

Dans mon bureau, isabelle....

Personnellement cette situation-là, je ne la connais pas. Quand j'ai un rendez-vous important, je fais bien souvent appel à mon chauffeur mon homme et je lui laisse le soin de s’occuper des problèmes de parking. Sinon, je suis vraiment très pointilleuse dans une voiture. Cela commence par un scrupuleux respect de la vitesse au point de m'attirer les foudres de ceux qui se trouvent derrière moi.

...mériteriez vraiment une bonne fessée la petite dame...

Puis grande adepte de parkings payants, je ne m'engage pas dans une mission impossible dans les ruelles à droite ou à gauche. Bref à ce niveau mon fessier ne craint strictement rien. Mais j'avoue que j'aime beaucoup une DD qui prends parfois des formes caricaturales. Alors loin de moi de critiquer qui-que ce soit.

Tournons-nous maintenant un peu vers ce petit bijou des années 70.

Il semble être fait pour amateurs d'élégantes dames en tailleur jupe façon uniforme. Donc par la même occasion pour curieux de tout genre qui se posent la question ce que portent ces charmantes dames sous leurs jupes.

Mais isabelle, tu sais pas ce que c'est un pv ?

Ce petit bout de papier qui met les messieurs en colère ?

Enfin oui, à ce sujet j'en garde pas mal de souvenirs. Comme de certains princes en voulant m'impressionner qui se crurent tout permit. Puis, subitement arrive une dame, pas l'air commode du tout et qui sort un petit carnet. Sorte de mère fouettarde qui sait changer radicalement le comportement d'un monsieur. D'abord certains devient doux comme un agneau et essayent de discuter. Cela ne marche pas. Alors certains se mettent en colère. Enfin, une fois le pv en poche et la dame partie. C'est à ce moment là que j'ai tout entendu.

Pas joli d'utiliser de gros mot quand on est énervé !

Rien de cela dans ce clip, étonnement moderne, car le monsieur -bien qu'il s'agisse de la mise en scène d'une fantaisie - ne se laisse pas aller un acte inconsidéré qui relève... des compétences d’un tribunal. Il sait éveiller la curiosité de la dame pour lui montrer son commerce :

Hein bien, il vends des magazines de fessée !

De fil en aiguille, il sait même miroiter les avantages pécuniaires de telles poses. Et notre dame tout guillerette se prête au jeu. Nous découvrons ainsi sous une apparence de plus austère un joli coordonné de sous-vêtements. La belle dame sait se mettre en valeur en montrant une parfaite technique de déhanchement. Les images de la fessée autant à la main qu'avec la canne parlent pour soi. Sans abus, je dirais en donnant envie de recevoir la même.

Notons qu'il s'agit du premier clip de fessée que j'aie vu dans ma vie et imaginons ma déception en découvrant les productions de notre époque qui non seulement manque souvent de l'histoire, mais ont surtout la fâcheuse tendance d'effrayer par leur intensité bien de petites dames comme moi.

vendredi 13 février 2015

655 Liens de discipline domestique (153 ème édition)

Au menu cette semaine : Ces élégantes dames qui aiment une discipline stricte


Il ne faut pas se voiler la face. L'élégance et la discipline vont de paire. Certes, il est un plaisir de se faire belle, mais travailler son élégance en tenant la distance, n'est pas donné à tout le monde. Pensons aux gestes fluides, une démarche harmonieuse sur hauts talons et aussi adopter les bon mouvements ou postures quand on se pare de bas et porte-jarretelles. Hein ben, c'est le fruit d'exercices, d'un entraînement, de la gym pure... et dure. Alors oui, quand on reçoit et on me trouve d'une élégance naturelle, je me sens en quelque sorte extrêmement flattée. Parce que le but du manœuvre c'est justement de faire oublier les efforts pour donner cette impression du naturel. Ajoutons à ceci qu'au temps de mes cheveux très longs, il m'a fallu au bas mot une heure le matin pour me préparer. Et je ne parle pas de traîner pour faire bisquer mon homme. Je ne compte pas mon avantage « conseil habits », donc gain de temps considérable, domaine dans lequel mon homme est redoutable. Au point que mes copines s'adressent à lui. Bon, il ne cache pas son faible pour les escarpins à haut talon, ni pour les bas couture, mais quand il conseille, il sait s'adapter à la personne en face de lui, à sa morphologie, sa façon d'être. Voila qui donne littéralement de joli résultats. Pour lui aussi, l'élégance rime avec discipline. Il est arrivé à maintes reprises que je me suis prise une fessée à la main avant une sortie que mon chéri estime importante.

Déjà pour calmer ma nervosité qui me rendait insupportable.

Dans ce cas mon chéri ne « dose » pas de manière punitive, juste ce qu'il faut pour calmer les esprits et pour que j'affiche un comportement irréprochable. A vrai dire, cela marche à la merveille. Car comme avait déjà remarqué Monsieur Freud, la fessée est une satisfaction pulsionnelle. Par ce fait elle efface les tensions nerveuses de toute sorte …

...pour me laisser dans un état parfaitement détendue, là où d'ordinaire je serais à prendre avec des pinces.


Une constellation fantasmatique particulièrement riche qui permet d'éviter les scénarios de la sévère tante qui commençaient à me lasser à une certaine époque. J'étais déjà passée à l’étape supérieure avec mes princes charmants, mais au lieu de calmer mon besoin de punition, cette activité semblait au contraire le stimuler. Et manquant une personne, m'attendant toute la nuit avec le martinet prêt à l'emploi, pour me montrer de main ferme mes limites, j'ai dû me bricoler ma discipline toute seule dans mes rêveries. L'élégante dame très à cheval sur les bonnes manières c'était moi. Et sa domestique... c'était moi aussi, enfin moi avec mes vilaines côtés mises en vedette. Rêveries d'un époque lointaine, de mon adolescence pour apprivoiser certains trucs qui me donnaient tant envie. Par exemple la vilaine domestique qui profite de l’absence de madame pour essaye tout genre de petits et grands appareils censés de procurer l'extase. Et cela s'entend. Malheureusement madame rentre et se rend compte de ce qui se passe dans sa maison. Visiblement sa domestique s'est servie dans sa vaste collection de jouets pour se donner un air de grand dame. Ma fantaisie était aussi riche concernant les expériences imaginées de la domestique que le raffinement de madame pour la punir. Sans sortir toutefois du cadre des punitions « bon enfant ».


…. et surtout à haut risques. Il n'est pas un secret que les blogs tumblr ferment plus vite que leur ombre. Et ceci semble autant plus vrai pour ceux parmi eux qui publient du matériel sur la fessée industrielle. Certes il y a problème avec le copyright. Mais il faut tout de même qu'un ayant droit se manifeste pour demander la fermeture d'un blog. Et comme il me semble les « fesseurs industriels » sont plus féroces... que les photographes d'art par exemple. Peut-être une question de pure vénalité. Bref, j'avais préparé ce matin un joli clip pour ce soir et la page à été effacé cet après-midi. Il suffit d'attendre. Ce clip apparaîtra un jour ou un autre ailleurs. Donc pour aujourd'hui que des images! Désolée.

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end et une merveilleuse Saint Valentin aux amoureux !























jeudi 12 février 2015

654 Mémoires d'une éducation sévère 2.1


2.1 Graine de fessée et clair de lune

Au début Lucie ne se rendit pas compte de l’impacte du fameux incident sur sa vie intime.

Confortablement installé au plus profond de Lucie sur un sol fertile et propice la graine ne mit pas longtemps à germer. La chaleur indispensable à ce processus fut fournie par le souvenir de la joie maligne qu’elle eut éprouvée en observant la malheureuse élève devenir la cible d’une cuisante correction sous les yeux d’un public ébahi et enthousiaste. Surprise d’elle-même, Lucie ne comprit pas son absence de compassion pour la victime. En jugeant le bruit des claques et les cris qui ensuivirent, le martinet appliqué avec fermeté eut causé sans le moindre doute une douleur considérable. Elle regretta amèrement de ne pas avoir eu l’occasion de contempler les dégâts causés par ce traitement sur le postérieur en question.

Lucie avait toujours eu un grand sens de franchise et rien ne la révoltait plus que l’injustice. Elle en faisait sa fierté de se mettre du côté des opprimés et avait défendu à maintes reprises ses convictions avec ardeur quand la cause lui paraissait justifiée. Mais là, à aucun moment l’idée d’intervenir pour secourir la fille avait effleuré son esprit. Plongée dans un état quasi hypnotique qui l’empêcha du moindre mouvement, elle éprouva l’étrange volupté qui procure la vue du « juste châtiment » sur certaines personnes susceptibles. Pourtant elle ne savait même pas sur quoi reposait exactement le début de l’altercation entre Nadège et son élève.

En y réfléchissant avec recul Lucie n’approuvait pas son propre comportement. Elle aurait dû intervenir. La fierté de Lucie Zorro avait reçu une sacrée gifle. Elle en voulait particulièrement à Nadège, ce qui se manifestait dans un premier temps sous forme d’une haine non dissimulée envers cette dernière. Pour se libérer de ses émotions, Lucie ne manqua pas de noircir Nadège quand l’occasion se présentait. Bientôt ses amies, Camille y compris, gagnèrent le sentiment que Lucie menait une guerre privée contre ladite Anglaise, sans trop comprendre le pourquoi.

Pour bien pousser, une graine, outre de la chaleur qui favorise la germination, a besoin de lumière pour se développer. Cette lumière se créa spontanément à chaque fois que Lucie éteignit sa lampe de chevet le soir en se couchant. Une multitude d’images illuminèrent ces moments de solitude et protégée par la pénombre de la chambre, elle cultivait dans son jardin privé une fleur obscure qui lui rendait bien ses soins.

Désormais quand elle fit le courses aux supermarché, le rayon d’instruments de discipline ne la laissait plus indifférente comme avant. Quand elle ne se savait pas observée (et elle prit soin de bien vérifier avant), elle y fit un tour, le cœur battant, toujours sur ses gardes de peur qu’on la surprenne. Parfois, d’un geste langoureux, sa main glissa sur un des objets convoités et elle essaya d’imaginer l’impacte sur sa peau pour se procurer ce frisson qui descendait comme une foudre le long de sa colonne vertébrale pour se rependre en agréable sensation de chaleur dans son bassin. Elle eut l’impression comme si ces instruments dégageaient une décharge électrique de plus jouissive au moindre contact.

Honteuse de son comportement elle se sauva aussitôt de toute vitesse, les joues échauffées et le visage rouge de mauvaise conscience. Elle n’arrivait pas encore à établir sur quoi se basait cette mauvaise conscience. Elle savait instinctivement qu’elle frôlait un interdit, mais lequel?

A suivre

mardi 10 février 2015

653 Du bien fait de l'éducation anglaise 3


J'aurais préférée de me faire pincer avec un doigt dans le ... derrière.

Mon chéri, loin de désapprouver le spectacle inespéré devant ses yeux, a - bien au contraire - fortement apprécié ma confusion et surtout le rougissement spontané de mon visage. Comme il m'a avouée ultérieurement, lui aussi avait eu à une certaine époque recours à la ceinture de ma belle mère pour se frotter les partie intimes. Notamment que dans le début des années 70, le matériel visuel inspirant, concernant la « fessée purement éducative » se faisait plutôt rare. Il fallait donc faire appel à la fantaisie. Avec le recul je pense que mon travail de contorsionniste, en me glissant notre strap entre mes jambes a été un écho à certaines rêveries de mon homme pendant son adolescence. J'ai parfois l'impression que le voyeurisme imaginaire (ou sur support glacé) constitue une étape préparatoire pour bien de messieurs avant de s'activer devant de vraies filles. Notons que le fait d'être « correctement en forme » pour le grand moment, peut être vécu comme assez stressant. On se doute peu comment les jeunes princes charmants peuvent angoisser de ne pas pouvoir se montrer homme quand il le faut. Comme inversement pour une fille, il peut arriver de se sentir fautive pour une éventuelle défaillance du monsieur. A cause de notre physique , à cause de nos attitude ou gestes, à cause de notre façon de s'y prendre. Petits soucis qui se sont manifestés chez moi sous une forme de fantasmes d'exhibition devant le prince de mes rêves. Bref, j'étais aussi troublée par la situation que mon homme.

Ce dernier, un sacré coquin pour sa part, m'a fait vite comprendre qu'il souhaitait que je continue mes élans de la manière la plus éhontée.

Pour bien roder notre nouvelle acquisition, tu devrais aller au bout de tes idées, isabelle !

A vrai dire, je ne suis pas gênée par le fait de me masturber devant la personne que j'aime car dans ce cas mon plaisir alimente le sien.

Et pourquoi un strap serait moins convenable qu'un des habituels objets vibrants ?

J'ai lâché donc mon conformisme et encouragée par mon chéri, j'ai vite ajouté cette bande sonore, fort bruyante qu'il apprécie tant avec moi. A conditions qu'il n'y ait pas de témoins involontaires à proximité. Le tout me procurant une sensation de très vilaine fille, contournant l'interdit exprimé par le fantasme analytique :

Séduis ton père, mais pas avec ton sexe !

Certes mon homme n'est pas mon père, mais mon petit ménage qui montre la métaphysique de la vilaine fille qui entre ses audaces de se faire plaisir et faire plaisir au monsieur met en scène....

..le désir secret d'avoir quelque chose entre les jambes.

Voila donc une bienvenue de plus digne à notre nouveau instrument. Et depuis, je ne compte plus les blagues de mon chéri autour de la thématique. Il m'a même suggéré que je portais des strings parce que cela me donne la sensation d'une lanière de martinet entre mes fesses. Ceci dit, une fois notre strap à la maison...

.mon homme a su parfaitement mettre en place cette fameuse « éducation anglaise de très grande qualité » réclamée par moi auparavant.

J’ai dû me plier littéralement à une discipline non permissive et de plus stricte tel que l’avais imaginé dans mes rêves de jeune célibataire. Horaires imposés pour me lever et me coucher, couvre feu pour rentrer à la maison quand je sortais le soir avec mes copines et j’en passe sur d’autres absurdités venant des profondeurs de mon âme et non de ma raison.

Le strap était bien mis en évidence à la maison et servait régulièrement.

Conformément à mon souhait de départ, je recevais de sévères corrections quand besoin y était. Raisonnablement douloureuses et incitant par ce fait à la réflexion, sans se transformer en séances de torture. Ce petit « jeu » a duré quelques semaines et mon homme a mit terme à cette pratique quand - selon ses mots - j’avais appris ma leçon. En ce sens je trouve l’efficacité du strap redoutable, car mon éducation anglaise m'a apporté un réel bénéfice :
Être moins exigeante envers moi-même.

Depuis notre strap est rangé parfois dans le tiroir du bureau de mon homme, parfois dans un des tiroirs consacrés à ma lingerie. A chaque fois que je vois cet instrument, j’ai des frissons qui sont de plus voluptueux. J’aime glisser mes doigts sur ce morceau de cuir luisant, imbibé de mes transpirations lors de mes mes punitions et lors de mes vilains jeux.
Il m’arrive parfois quand - pour je ne sais pas quelle raison - je me sens mal dans ma peau que j'ai envie de le sortir et de me présenter devant mon chéri pour réclamer un retour au bon vieux temps de ma « deuxième adolescence ». Mais sachant les conséquences que cela entraînerait, j’opte pour la prudence. Le connaissant, il saurait me faire passer mes envies de strap par le strap.

lundi 9 février 2015

652 La sexy attitude pour la fessée (Lundi cinéma)

Je pense que tout le monde a un joli coté sexy !

Il suffit de le cultiver comme prouvent ces quatre intrépides dames. Inutile d'ajouter que je suis une grande fan du burlesque et ayant un « physique de madame tout le monde » je pourrais rejoindre ce petit groupe en me sentant à l'aise tout de suite. De plus je me défend toujours très bien en danse... aguichante au plus grand plaisir de mon homme. Ah si seulement il savait danser du tango ! Venons au sujet :

Une sexy attitude dans la fessée ?

Alors dans le clips industriels, souvent il faut chercher pour se rendre compte qu'elle ne fait pas partie du scénario. A moins de considérer cette attitude de manière de plus primaire, basée sur des mensurations de la dame. De plus, les dames en question impressionnent rarement par de charmantes expressions de leur visage, ainsi que de geste suggestives.

N'empêche cela se comprend !

Quand on voit ce qu'elles vont se prendre sur le popotin, moi non plus je n'aurais pas l'air joyeuse. Je m'imagine d'une mine de plus constipée quand je dois passer devant mon chéri, direction de son bureau, en portant moi-même l'instrument qui scellera sous peu mon déshonneur. Étant pourtant habituellement si friande de miroirs, j'évite soigneusement le moindre regard, en passant à côté de celui de notre couloir. Enfin peut-être me trouverais-je devant mon alter égo vicieux (je crois que le mot convient bien) qui me signale...

... que j'aie besoin d'une bonne correction qui ne plaisante pas !

Mais les autres fois, toutes les autres fois quand mon chéri souhaite rétablir l'autorité à la maison ? Quand il n'est pas bien méchant ce qui attend mon derrière. Quand j'ai le sourire aux lèvres, quand mes yeux brillent en regardant mon chéri qui essaye de se donner un air sérieux. Quand j'ai envie de le narguer qu'il se montre ferme avec moi.

Je crois que pour percer le mystère de la sexy attitude, il faudrait trouver un consensus sur ce qui est une vilaine fille.

Pour les uns c'est une femme style ado attardée qui rentre trop tard à la maison et s'attire par ce fait la colère des ses faux parents. Pour d'autres c'est la fameuse chipie des forums qui émerveille avec ses jeux de mots et provocations plus ou moins habiles. Loin de moi de jeter une pierre parce que pour ma part aussi quand j'éteins mon mode intellectuelle de la fessée...

...il m'arrive d'agacer prodigieusement « mon  petit vieux » par pur plaisir !

Tu sais ce que tu mérites pour tes insolence, isabelle ?

Oh non, pitié, pas de fessée déculottée. J'ai trop honte...

Pour le dire tout de suite, ce mode là, ne marcherais pas avec mon chéri. Il a horreur que je fasse la cruche. Enfin non, il aime beaucoup, mais quand c'est involontaire. Mais bon, il y a aussi la femme en moi. Celle qui maîtrise à la perfection le jeu de séduction, notamment après plus de seize ans de vie en commune. Je connais les moindres mots et gestes qui enchantent mon chéri. Je sais comment m'habiller, comment lui donner l'impression de m'espionner dans une intimité compromettante. Pour lui faire de l'effet. Et quel effet. Rien qu'en regardant ces joyeuses dames je connais la réaction de mon chéri. Il sera ravi d'un tel spectacle. Ce rapport quasi érotique avec les instruments qui atteint son comble...

...quand je me mets notre martinet entre mes dents. Façon féline, le regard provocateur.

Puis cette infinitude des jeux autour de la petite culotte qui baisse, qui glisse, qui est oubliée, qui est baissée, que l'on baisse, que l'on doit baisser. La sonorité de mes hauts talons sur un carrelage, sur un parquet, rehausse pas le claquement d'un bel instrument en cuir , fraîchement ciré, de préférence le matin au petit déjeuner sous les yeux attentifs de mon homme. Sans parler de mon grand classique, mon derrière dans un string, en m'appliquant moi-même une très sonore claque et en disant :

Comment trouves-tu mes fesses ?

La sexy attitude, je n'en parle que rarement. Mais il serait erroné d'imaginer bien de dames avec un besoin de punition se borner sur un scénario exclusivement... éducatif. Tout dépend des jours. Parfois un petit apport de discipline ludique peut faire des miracles. D'autres jours... enfin des texte à ce sujet ne manquent pas sur mon blog...

vendredi 6 février 2015

651 Liens de discipline domestique (152 ème édition)

Au menu cette semaine : Quand les copines rigolent de nos malheurs


Enfin si j'étais à la place de la punie et j'attendais pouffer les copines dans mon dos, je penserais surtout :

Ces garces !

pour résumer l'attitude de celles qui ne me veulent aucun bien. Aurais-je tort ? Voyons cela d'un petit peu plus près. J'aimais bien me mettre dans mes rêveries de jeune fille au deuxième plan pour occuper la belle place de l'observatrice. Sans trop me fouler, je choisissais habituellement pour peupler mes histoires des copines et leurs mamans, parfois aussi leurs papas (avec un voluptueux sentiments de très vilaine fille). Poussant parfois mes audaces plus loin, en imaginant ce sévère papa me donnant plus tard une leçon particulière. Étant jeune célibataire au travail, je choisissais de préférence certaines de mes collègues. Le résultat est assez bien résumé dans la petite animation en haut de ce texte. Ne nous leurrons pas, notre inconscientse moque éperdument du politiquement correct.

Pourtant mon bureau fantasmatique fonctionne selon des critères très moralistes.

D'un côté se trouvent les filles sages, de l'autre les vilaines. Et à première vue, un peu comme dans un conte de fée, les filles sages vont avoir une récompense et les pas sages un châtiment. Pas bien méchant ceci dit, car cela se passera sous forme de fessée. Mais en fait, nos méchantes ne sont pas de vraies méchantes non plus.

Ce sont des filles plutôt audacieuses, se rendant coupable de petites digressions de la vie quotidienne que les filles sages n'osent pas franchir.

Pas forcement par une conscience morale hors norme, mais... par peur de dénoter par leur comportement. Alors (je sais de quoi je parle) elles râlent secrètement quand l'audacieuse ne se fait pas pincer, quand elle échappe à ce que l'on souhaite qu'elle mérité. Et nous nous réjouissons quand leur digression est révélée au grand jour et punition ensuive. Lisons «réjouir dans le sens de jouir. Dans mes rêveries ce fut déjà une belle volupté au moment du châtiment de la vilaine. Alors en plus après avoir payé pour sa faute, de la voir exposée dans un coin en devant afficher publiquement sondéshonneur, me trouble encore plus profondément. Et ce trouble trouve son terrain libérateur dans le rire qui exprime la satisfaction de mon sentiment de vengeance, de mon impression d'une justice supérieure, de mon triomphe fantasmatique de tous le mal que je lui souhaite, mais qui inclut aussi sous forme déformée une sacrée dose d'excitation sexuelle.

Bref parfois le rire communique directement avec la petite culotte !


Encore un des ces instruments pour impressionner les vilaines filles. Une de mes fantaisies favorites concerne d'imaginer un instrument accroché au mur du salon chez une bonne copine.

Voir ce qui lui pend au nez !

Puis, peut-être pourrions- nous papoter « discipline domestique » en toute tranquillité. Pour pouvoir comparer nos listes d'interdits, celles qui sont dictées par la petite voix en nous et repris par notre chéri pour notre plus grand émerveillement. Mais aussi les maximes auquel tient notre homme et qui parlent en long et large de ses petites incohérences. Car n'oublions pas...

...la discipline domestique rassure aussi celui qui l'applique.

Enfin, je dis bien d'imaginer cet instrument « chez une bonne copine », car le fait de tomber sur une telle déco chez une personne qui ne m'est pas forcement sympathique, n'ouvrirait pas pour autant ma bouché . Et l'idée de découvrir dans la personne en face de moi une adepte de pratiques communicatives...

et si on se faisait une petite soirée à quatre, isabelle ?

Pas ma tasse de thé non plus. Enfin cela peut-être intéressant d'échanger … sur le sujet.

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !