vendredi 31 juillet 2015

745 Liens de discipline domestique (176 ème édition)

Au menu cette semaine : Mériterait bien une !


Non, je ne fais pas du net de cette manière ! Style de situation que mon chéri aime appeler :

Mériterait bien une

C'est la fausse connexion par excellence qui caractérise notre sujet. Faire une allusion à la fessée, là où l'homme plutôt classique verrait une tentation de tremper son biscuit. Alors celui doté d'une âme de fesseur passe par un claquant détour avant de se pencher sur ses pénates comme tout le monde. Notons que dans la discipline domestique reste encore « l’auto-flagellation », la dame tout nue au coin en trémoussant ces fesses toutes rouges, tandis que le monsieur la sermonne en se rinçant l’œil. Puis enfin, plus tard au lit, ben là enfin il se décide. C'est vraiment très vanille au fond, chaque chose en son temps.

Mériterait bien une

Avec un petit regret dans la voix de ne pas pouvoir me surprendre dans une telle posture.

Mais il suffit de me le dire mon chou !

Seul hic, où trouver un vibro, de plus de cette taille, car je suis plus « clavier ordinateur » que gadgets. Et j'aime surtout me masturber... intellectuellement. Quelle triste vie pour ma fille qui découvriras plus tard, à l'adolescence, en fouillant dans les affaire de sa maman seulement des martinets et d'autres trucs de discipline. J'étais mieux habituée par les trouvailles dans le tiroir du lit de ma maman à moi...


Appréciation bien évidement de plus personnelle. La barbe et les cheveux longs chez les messieurs me rappelle le conformisme masculin de mon enfance. Pour dénoter il fallait aller chez le coiffeur et une longueur d'allumette suffisait bien souvent pour établir un lien avec un état d'esprit jugé « non-conforme » aux aspirations dans le vent. Toutefois ne nous fions pas aux apparences.

Une attitude « cool » n'exclue pas certaines ambitions … autoritaires.

Il peut en résulter une situation de réel conflit entre deux tendances contradictoires qui n'était pas facile à assimiler pour certains d'ados de l'époque. Comme pour mon chéri par exemple. Et bien qu'étant un Papa de plus patient pour notre fille, cela ne l'empêche pas de garder une grande tendresse pour le Rohrstock (la badine) appliquée... sur le derrière de la maman. Ô tempora, ô mores ! Enfin, pas de cheveux longs et de la barbe pour l'homme de ma vie. Là je suis catégorique.

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !




Vidéo amateur (petit clip)









Inspirer le monsieur (petit clip)












mercredi 29 juillet 2015

744 Les joues toutes rouges

T'as les joues toutes rouges, isabelle !

Dit-elle, ma copine qui m'a annoncé sa visite au téléphone, il y a dix minutes et qui se trouve maintenant devant moi. Elle parle des joues de mon visage, car je ne me promène pas les fesses à l'air quand je la reçois. Surtout quand j'ai les joues de mon fessier toutes rouges aussi. Mon chéri a eu la main lourde après une terrible scène le matin même aux courses.

T'es une emmerdeuse, isabelle, mais je me laisserais pas faire !

Il a su tenir sa parole. Toutefois il n'est pas bien méchant. Il a un grand cœur et je n'aurais pas pu imaginer de trouver meilleur père pour notre enfant. Et surtout, il est d'une patience à toute épreuve.

Mais comment fais-tu ?

Ben, je me défoule sur tes fesses, isabelle !

Avec d'autres mots la fessée pour calmer une personne exaspérée devant une personnes exaspérante. Pendant que j'échange quelques mots avec ma copine, je me sens quelque peu incommodée par la brûlure de mon postérieur.

Un vrai rappel à l'ordre qui perdure !

J'aime beaucoup être tenue pour responsable de mes mauvais comportements de cette manière. Et je suis assez satisfaite du résultat. Depuis que mon homme me corrige par exemple pour ma mauvaise langue envers ma mère, ma belle mère, certaines tantes, et d'autres dames qui méritent du respect, mes progrès sont visibles aux yeux de tout le monde. Et quand j'entends quelque part :

On te reconnais plus, isabelle !

j'ai un sentiment de satisfaction, de honte de de volupté qui se propage en moi. Maintenant, devant ma copine mes joues rouges... du visage relèvent plus de la chaleur (ben oui, une solide fessée cela réchauffe de partout) que de la honte. Elle n'est pas au courant de notre petit ménage conjugal. Aujourd'hui je suis particulièrement distraite et cela se remarque :

Tu as eu une nuit agitée, isabelle ?

Plutôt la matinée...

J'essaye de prétexter un truc à dormir debout. Mais il y a aussi, comme bien souvent dans pareille situation, la tentation de sortir du placard. De raconter à ma copine quand j'agace mon chéri avec mes bêtises, sa main le démange facilement. Et dans ce cas, c'est....

...le pan-pan cucul pour la grande.

Raconter que derrière cette mignonne expression se cachent de solides corrections fort claquantes. Comme on les imagine au bon vieux temps pour une grande fille sous une tutelle sévère. Chacun a pris ses marques et notre petit ménage est bien rodée. Il y aura beaucoup à raconter finalement.

Mais quoiqu'il en soit, j'aime la façon de mon chéri de se faire respecter. Par moi et... aussi par mes copines. Certaines n'osent pas vraiment lui répondre quand il sort une petite phrase bien vue. Et dès qu'il est partie dans son bureau, cela commence à glousser timidement. On se croirait à l'école. Et justement, cette copine devant moi qui s’intéresse avec insistance à mes joues rouges et mes nuits et matinées agitées a sorti une fois une très belle concernant mon chéri.

Tu sais quoi, isabelle, j'ai cru pendant un instant que ton homme allait me donner une fessée !

Ma réponse fut (peut-être trop) immédiate :

Aucun risque...

En pensant : Aucun risque... sinon je lui arracherais les yeux. Bref, parfois il me semble que ma copine essaye de préparer le terrain pour que je lui fasse de plus amples confidences...

dimanche 26 juillet 2015

743 La fessée entre filles (Lundi cinéma)

Quelques détails à ne pas perdre de vue !

Un truc de cul entre filles, c'est plutôt pour les récits, pourquoi pas écrits par des filles, pour faire plaisir aux messieurs. Pour les faire rêver. Idem pour la fessée entre filles. Je ne dis pas que cela n'existe pas comme pratique dans certaines chambres, mais dans ce cas souvent loin de toute envie de partager ces moments d'intimité. Un peu comme la DD classique qui reste avant tout un ingrédient de couple.

Je dirais même que ce qui se dit entre filles à ce niveau-là, j'entends par là en tête à tête sans vouloir impressionner ou aguicher un éventuel témoin, peut être d'un mortel pas possible pour un homme. Je dirais aussi que quand deux filles parlent vraiment cul fessée, il y a des trucs qui sortent que je n'ai jamais, mais vraiment jamais trouvé sur un blog de fessée (ou de cul). Déjà par respect et correction pour ce qui m'est confiée, moi non plus je ne vais pas faire exception à la règle. Je me contenterai de raconter ici ma vision de la « fessée entre copines », un fantasme qui me plaît beaucoup. Notons à ce sujet un sage propos de Simone de Beauvoir :

« C'est une erreur de chercher dans des fantasmes la clef de conduites concrètes ; car les fantasmes sont créés et caressés en tant que fantasmes. »

Voila qui me semble fort réaliste et aucun jovial « Carpe diem » de la part d'un monsieur me donnerai envie de réaliser mon cinéma perso qui explore parfois des pistes les plus surprenantes. Il me semble également absurde de prêter à toutes les dames avec un penchant pour la fessée des tendances soumises. C'est encore la grande Simone qui pointe sur le fait que les passions ardentes, cuisantes, ne font que bon ménage avec la soumission en présence d'associations autour des situations de servitude ou du moins à vouloir « lui appartenir ». Retenons donc qu'il existe d'autres motivations qu'être la chose d'un monsieur dominant pour désirer de recevoir une bonne fessée.

Pensons tout bêtement au narcissisme de bien de dames qui demande parfois un ferme rééquilibrage !

Par une main servile, dirais-je. Bien que nécessitant un certain seuil de douleur pour que l'alchimie se produise, mieux vaut se contenter - quand on « s'attaque » au narcissisme – d'éviter de le blesser. Il en va de soi que pour certaines dames une situation entre filles ne correspond pas à leur façon d'être. Ce qui me paraît parfaitement compréhensible, surtout quand la fessée est associée à un acte amoureux. Commence alors la recherche d'un partenaire, cette perle rare, censé de combler un désir quelque peu surprenant. Enfin, là je m'égare du sujet. Pour mieux comprendre l'apparition d'une autre dame dans un fantasme féminin, il me semble utile de se pencher pour un instant sur le concept de « économie libidinale ».

Comprenons par là dans notre cas de créer une situation masturbatoire avec un minimum de prise de tête, un chemin du moindre effort.

Et pour ceci rien de mieux qu'éliminer les messieurs de la petite histoire sous la couette. Pas parce que l'on préfère au bout du compte les dames, mais pour être comprise, même dans une rêverie. Avec une autre dame pas besoin d'expliquer les modalités du plaisir féminin, pas besoin de créer des méandres inutiles pour rendre le fantasme accessible à un monsieur ou du moins pour qu'il y occupe une place crédible. Le narcissisme n'est pas un vain mot entre filles, plutôt une façon d'être, mais un autre mot me semble encore plus important  pour qualifier la situation rêvée :

C'est l'orgueil de certaines dames qui a besoin de prendre une bonne fessée !

Il suffit de bien saisir la nuance qui le distingue d'un désir d'humiliation ou encore d'un désir d'humilité. Et subitement devant sa copine fantasmatique on ne fait plus la fière. Une vraie remise en place sans prise de tête justement. Car même sur un niveau fantasmatique, être remise à sa place, n'offre pas les mêmes associations en face d'un homme ou d'une dame... et par conséquence le petit scénario entre filles offre un piquant inimitable !

vendredi 24 juillet 2015

742 Liens de discipline domestique (175 ème édition)

Au menu cette semaine : Ces belles légendes urbaines !


Il n'y a pas mieux pour lancer des légendes urbaines. Observons alors ce que l'on essaye de nous faire croire. Je traduis :

Qui aime bien châtie bien, c'est la divise dans cette maison !

Ou comment éviter les divorces en allant à la source du mal.

Peut-être un moyen pour en finir avec les vilaines divorces dans ce pays. Voila ce qu'écrit un de nos lecteurs :

A Delft en Hollande, lieu de ma naissance, une ceinture en cuir, long de 45 centimètres et large de 4 centimètres se trouve suspendu dans chaque cuisine à côté du lavabo. A chaque fois qu'une épouse se rend coupable de mensonge ou autres duperies, le mari consulte le maire de la ville. Ce dernier décide - selon la gravité de l'infraction- d'un certain nombre de coups, applicables pendant un certain nombre de jours. Si l'infraction est moindre, on se contente de l'emploi de la main. Résultat de ce système :

Plus un seul divorce depuis 12 ans.

Dites nous les gars, les hollandais ont-ils 100 d'avance sur nous ou sont ils désespérément arrières.

Dites nous les gars, c'est vrai votre histoire ?


Enfin, si c'était vrai, c'est la loi qui s'en chargera du moins chez nous en pointant - à juste titre d'ailleurs - sur un sexisme flagrant. Passons alors dans un registre fantasmatique qui se laisse difficilement dompter, même pas chez les messieurs les plus évolués.

Et le grand art de l' honnêteté masculine consiste à mon avis dans un aveu que malgré toute bonne volonté, l'appel de chair se montre parfois plus forte que la raison.

Voila qui évite à la dame de découvrir par la suite, notamment si la relation devient sérieuse, le petit « cochon » sous les apparences de gentleman. En fait, ce n'est pas le petit « cochon » qui me gêne, mais le fait de m'avoir flairée en truffe.

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !



























lundi 20 juillet 2015

741 Le fesseur métronome

Non, il n'est pas une légende urbaine, il existe vraiment !

En voici la preuve sous forme de clip. Non pas sans manquer d'humour quant à la mise en scène qui culmine par un regard sur une horloge comtoise qui impose visiblement la cadence du monsieur. Puis un intérieur très soigné avec canapé et fauteuil chesterfield, bibliothèques, bureau avec livres anciens et une porte capitonnée. Ben oui, le genre d'endroit qui conviendrait à mon chéri ou à mon papa. Mais bien évidement je préfère leurs bureaux respectif. Et toujours de ma part ce frisson qui me traverse le corps quand mon chéri, martinet à l'appui ou non, me convoque.

Dans mon bureau, isabelle !

Parfois il sait prendre un air pesant, d'autres fois il n'hésite pas de se moquer ouvertement de mon égarement.

Il fallait y réfléchir avant jeune dame !

Ben oui, c'est parfois plus facile à dire que de le faire. En fait ce qui est demandé c'est une bonne gestion de mes pulsions. Non, je ne suis pas une inconsidérée de la carte bleue. Il est rare aussi que j'oublie ce que je souhaite faire. J'entends par-là par exemple que aime accomplir ma participation au ménage, que je fasse ma gym à l'heure prévue et que je me consacre à mon blog dans mes heures perdues. En gros je suis plutôt une fille sage de nature. Ce qui me fait défaut souvent, c'est la perte de mon calme. Vive et spontanée, je me manifeste quand quelque chose me dérange. Et ceci en m'emportant vite.

Calme-toi, isabelle et te donne pas en spectacle devant tout le monde !

On n'a compris, ce n'est pas le fait que je ne me laisse pas faire qui dérange mon chéri , mais ma manière de m'y prendre. Parfois très caricaturale et par conséquence source d'amusement pour un public parfois involontaire. Et notons que cela me fait bien bien fou de faire ma petite scène.

Une fois au retour dans la voiture, je vois mon chéri radieux. Comblé, car à la maison il peut sortir le martinet en se tenant strictement à notre discipline domestique convenue. Pas d’entre-loupe de sa part, pas de construction vicieuse pour me piéger. Oh, non ce n'est pas dans ses habitudes. Avec le temps je n'essaye plus de me trouver des excuses. A vrai dire, je ne suis pas fière de moi et ce n'est pas une vaine expression.
De plus savoir ce qui m'attend n'est pas vraiment réjouissant, malgré que j'aie la peau des fesses dure. Je me sens comme une ado, prise en flagrant délit. Et peu importe ma tenue, tailleur ou décontractée...

quelque part en moi rigole la vilaine fille.

Je veux dire celle qui se moque éperdument de mes malheurs et qui trouve que je mérite mes corrections à juste titre. Celle qui sait très bien que sous mes allures quelque peu repenties et malgré mes sincères regrets pour ce qui s'est passé, il y a ce titillement dans mon string. Cette étrange excitation, mi-sexuelle, mi-névrotique que le séduisant monsieur à mes côtés, mon chéri quoi, m'invite à m’installer sur ses genoux, mon fessier préalablement dénudée pour mettre les pendules à l'heure. Hélas mon chéri ne badine pas avec la discipline et comme il lisait dans mes pensées il n'hésite pas de me prévenir.

Pas de fessée à la papa, isabelle, les grandes filles comme toi ont besoin d'un solide martinet pour expier leur mauvaises habitudes...

Certes, je suis un peu déçue de ne pas récolter ma claquante fessée super sexy. Mais je préfère encore le martinet à un fesseur métronome à l'esprit aussi rigide que le mouvement de son bras...

vendredi 17 juillet 2015

740 Liens de discipline domestique (174 ème édition)

Au menu cette semaine : En voyage


Je trouve que c'est pendant les vacances que nos routes de campagne se prêtent le moins aux sonores corrections qui ne peuvent attendre le retour à la maison. Il fait chaud, très chaud et j'ai prodigieusement agacé mon chéri. Bref, il n'en peut plus.

Tais toi, isabelle !

Pauvre chou, comme si cela suffisait pour que je la boucle. Décidément aujourd'hui il ne se passionne pars pour mon maquillage permanent qui demande un rafraîchissement. Il n'a pas envie de me conseiller sur une nouvelle coiffure, car il trouve qu'il ne me reste pas assez sur la tête pour couper encore. Et hors de question de me distraire en me changeant mon vernis à ongles. L'odeur de mon dissolvant incommode Monsieur. Bref il m'agace aussi et par conséquence la tension monte.

Habituellement nous avons le bon remède !

Un petite aire de repos en retrait qui permet de voir sans être vu et c'est parti. Mon chéri me trousse, se réjouit de mes fesses toutes nues, partagées par un string ou encore voilées par une petite culotte. Bref de quoi pour l’occuper. Puis il se met à l’œuvre. Il tape fort et s'il n'y avait pas la douleur, ce serait un plaisir d’entendre les sonorité qui se dégagent de mon fessier. Mais malheureusement nous sommes en période de vacances et même si notre petite n'est pas avec nous, impossible de profiter de notre rituel de correction en plein air. Enfin, il existe un moyen. Par exemple proche de « notre autre chez nous » à la montagne, il suffit de s'éloigner d'environs 500 mètres, direction forets, des endroits les plus fréquentés par le tourisme. Et subitement... plus personne. Quel étrange plaisir de déguster ma déculotté en plein air en me disant qu'il y a des bus plein de touristes qui arrivent pour faire le tour de ce coin.

Morale : Il semblerait que personne ne quitte plus de nos jours les entiers battus...


Un avis vraiment intéressant sur le sujet et de plus émis par une dame. Associer la fessée à l'humour me semble dans la nature de cette pratique. Notre raison essaye de s'imposer à notre irrationalité et parce qu'elle a vraiment du mal, alors elle joue la carte de l'humour. Comme disait le psychanalyste Maurice Bénassy :

« L'humour c'est chercher le plaisir là où (en principe) il n'y en a pas.»

Voila qui semble à mon avis bien s'appliquer à la fessée.  Mais retenons surtout cette magnifique formulation sur l'intensité des tapes appliquées :

« Un bonne fessée fait mal...jusqu'à un certain point. »

Toutefois je doute, comme entend la savante dame que l'on puisse réduire cette pratique à un fétichisme pur.

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !


Fessée de bonne nuit (petit clip)



Une qui se réjouit (petite série)







Fessée vicieuse (petit clip)












mercredi 15 juillet 2015

739 Souriez quand vous fessez votre épouse

Petit conseil juridique, bien utile...

...concernant la discipline domestique à la fin des années 60 aux États-Unis. L’affaire semble authentique. Quant au sérieux de l'avis du juriste je ne saurais trancher. Peut-être le tout relève seulement de la légende urbaine. Alors oui, il paraît que si vous souriez en fessant votre femme, personne ne peut vous accuser de méchanceté.

Manifestement Cary Grant fessait avec sa 4ème femme : Dyan Cannon. Elle a demandé par la suite le divorce. Avant de raconter l’anecdote, je rappelle que je ne cautionne nullement la fessée, même pas « joviale » quand il n’y pas consentement entre les partenaires. Étant femme, il me semblerait insensé qu'un monsieur s'accorde des droits sur mon corps contre ma volonté.

Voici donc une traduction partielle d'un authentique article de journal qui date du 30 mai 1968. Le journal c’est le Free Lance Star et  l'auteur c'est Art Buchwald :

Dans quelles conditions fessez-vous votre femme ?

Je m’intéresse rarement aux histoires de divorce. Pourtant la semaine dernière j’étais intrigué par le divorce de l’actrice Dyan Cannon et de l’acteur Cary Grant. Pendant la procédure elle accusait son mari de la fesser. L’avocat de Monsieur Grant fit valoir que son client fessait sa femme uniquement pour des causes justifiées et appropriées.

Frappez par cette expression, je me suis donc adressé à mon avocat pour lui demander ce que c’est légalement une cause justifiée et appropriée pour fesser sa femme. Mon avocat, un de meilleurs de ce pays, répondit : C’est le 70ème appel que je reçois aujourd’hui à ce sujet. Je ne savais pas que Cary Grant avait autant de fans…

D’abord il faut prouver qu’il y avait provocations sans ombre d’un doute. Par exemple si votre femme vous interrompt pendant que vous racontez une blague au cours d’une soirée conviviale, bien sur vous avez le droit de la fesser.

La façon comment accomplir l’acte est important. Cary Grant le faisait en souriant. Une sage décision. Si vous souriez en fessant votre femme on ne peut vous accuser de méchanceté.

Mon avocat disait qu’il y avait des circonstances atténuantes quand vous essayez de dormir et elle continue à vous parler.

D’autres raisons :

La plus important et aucun juge dira le contraire : oublier de faire le plein de la voiture.

La fessée doit être brève, pas trop rude et ne jamais laisser des traces. Et par-dessus tout, il faut que vous soyez souriant pendant que vous le faites.

Petit bonus :

Voici la voix originale de Cary Grant (How would you like a spanking ? ; Comment veux-tu ta fessée?)

CharSpanking.wav (extrait du film Charade)

dimanche 12 juillet 2015

738 Même pas peur, même pas mal (Lundi cinéma)

Quand la fessée provoque un fou-rire !

Pour ce long week-end un vrai film, orientation fessée P de presque une heure. Ben oui, je tiens un blog pour adultes et même si j'ai un faible pour la fessée disciplinaire, cela n'exclue pas que je ne garde pas mon esprit ouvert. La fessée P ne me dérange nullement et à vrai dire, je la préfère aux massacres industriels. Il s'agit du vintage, visiblement des années 80 qui a vu arriver ces superbes mini-jupes en cuir si cher à mon chéri. Bien entendu ces jupes ne faisaient pas partie du quotidien, mais plutôt de la vie intime des couples, mais aussi pour les sorties dans certaines boites de nuit. Pour ma part, trop jeune à l'époque, je n'ai pas connu ni l'un, ni l'autre. Époque des poils partout aussi, toutefois pas non plus une coutume immuable comme me firent comprendre très tôt certaines habitudes raz-motte de ma maman. Passons !

Ce qui rend ce petit film unique à mes yeux, c'est une petite dame blonde qui semble déjà depuis le début du film se battre avec ses envie de rire et elle tire même la langue à monsieur le fesseur (16m02s). Mais ce n'est rien à côté de...

...son long et héroïque combat contre le fou-rire en voyant une de ses collègue recevoir le martinet (à partir de de 40min 45 sec environ) !

Voila qui me semble du inédit dans ce genre de film. Tandis qu'au premier plan le martinet sévit (manière de parler dans ce contexte plutôt soft) sur un fessier féminin, au deuxième plan la petite dame nous offre une riche panoplie de mimique qui montre clairement le plaisir hilarant qu'elle retient de cette séance. Je pense qu'il y a interaction par échange de regards avec la dame qui reçoit et dont on ne voit pas le visage.

Puis son comportement « inadmissible » commence à agacer le monsieur qui applique. (44m06s)

Chanceuse, elle s'en tire d'abord à bon compte sans toutefois cesser ses grimaces. Elle commence même à échanger des moqueries sur l'infortunée avec l'autre dame en deuxième plan. Les choses se gâtent encore plus quand son tour à elle arrive (vers 45m40s). Comme on peut constater par de très courtes aperçues par la suite, elle ne perds pas sa bonne humeur jusqu'à la fin de ce film qui offre d'ailleurs une finale avec trois dames nues qui se font rappeler à l'ordre. Bref de l'humour involontaire dans une scénario qui rappelle du « slapstick » (bâton claqueur en français significativement). De l'humour contagieux et d'où ce petit post quelque peu atypique pour mon blog, car j'ai toujours mal au ventre de ma crise de fou-rire en regardant ce chef-d’œuvre du comique avec mon chéri. D'où mon conseil à moi :

A voir en couple absolument !

Enfin pour ceux et celles qui partagent la passion de la fessée avec leur partenaire. Notons que le vieux monsieur qui arrive à la fin pour féliciter le vaillant fesseur de sa prestation est un célèbre producteur de films de fessée avec une (petite) histoire et l'inventeur des spanking parties. A son actif aussi le vilain fantasme de bien de messieurs de se venger d'une contractuelle d'une manière bien particulière pour son pv.

vendredi 10 juillet 2015

737 Liens de discipline domestique (173 ème édition)

Au menu cette semaine : Disciplinée toute nue


Un air rétro, difficile à dater et une dame dans une tenue austère qui discipline une autre dame qui elle est toute nue.

La fessée, avait- elle encore cours à cette époque là ? Se passait-elle aussi de l'adulte en adulte ?

Le rapport de force consenti intrigue et le prétexte de stricts mœurs en vigueur ne livre pas une explication plausible pourquoi une dame adulte se livrerait à un châtiment indigne de son âge. Par contre les bonnes mœurs fournissent un alibi infaillible pour faire taire autrui qui se montre trop curieux de choses qui ne le regardent pas. On punit parce qu'il y a raison de punir, parce qu'un interdit vient d'être dépassé (elle passe trop de temps à courir les messieurs), parce qu'un comportement laisse à désirer (elle a raté sa licence) et non pas parce cette constellation est réclamée autant par l’irrationalité de l'une comme de l'autre et procure une satisfaction (névrotique ou ouvertement sexuelle) à celle qui applique et à celle qui reçoit. Il en va de soi que la nudité totale se justifie moins bien de manière (pseudo)rationnelle. Par contre comme elle sait intensifier les émotions qui se lient à la fessée. Comme j'ai la chair de poule quand mon chéri m'annonce :

Ce soir je te pencherai toute nue sur mon bureau, isabelle !

Vu le contexte, pas besoin d'explication supplémentaire pour comprendre ce qui m'attend malgré l’ambiguïté de l'expression. Malgré l'allusion quelque peu obscène, préparant habituellement un autre acte entre adultes. Il m'arrive parfois même de m'imaginer avec le martinet dans mon derrière, situation qui me fait rire de bon cœur.

Et en plus ça t'amuse, isabelle !

Bref la nudité, c'est la petite note délicieusement perverse qui dépassait déjà à l'époque le cadre de châtiments corporels pour enfants. Elle donne à la fessée une orientation exclusivement réservée aux adultes et c'est très bien...


Dans le temps je lisais rarement les blogs des filles sur notre sujet. J'avais l'impression d'y trouver exactement la même chose que sur les blogs des messieurs. A croire que soit j'étais une extraterrestre, soit les filles s'adaptaient à un dogme « masculinement correct » pour faire plaisir ou encore pour augmenter leurs chances auprès de ces messieurs.

Puis sont arrivées les dames nouvelle génération.

Certes il y a souvent une différence avec mes propres pratique, mais enfin, enfin je trouve de jolis points de vue de filles. Un petit chef-d’œuvre ce texte rien que pour ce petit bouchon qui part dans un éclat de rire et qui cause tant de problèmes. A croire que de telles pratiques s'appliquaient dans le temps aux filles constipées qui ne rigolaient jamais. Mais bon, cela c'était heureusement avant !

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !




















Monsieur se régale (petit clip)



jeudi 9 juillet 2015

736 Docteur Jekyll et Mister Hyde

La crainte que le gentil éducateur se transforme en adepte du BDSM

Ayant à la maison un grand garçon avec un penchant pour l'éducation à l'ancienne, je ne risque pas grande chose outre que pour mes fesses. Et encore ! Prenant sa vocation d'éducateur pour une fille adulte en manque de discipline très aux sérieux, l'acte pédagogique prévaut au discours de la jouissance féminine. Ce qui veut dire qu'il m'inculque les bonnes manières de façon ferme certes, mais sans que ma punition dépasse ce que la loi allemande considérait dans le temps comme correction appliquée en bon père de famille. Bref, pas de risque de me trouver attachée, saucissonnée, suspendue, accrochée, enfermée et bien pire encore. Chez nous, c'est la fessée « sans lendemain », celle qui brûle sur le coup, mais dont l'effet cuisant s'évanouit au fil de quelques heures.

L'attirail du BDSM n'est pas pour nous,  à moins à toute petite dose et dévié - si j'ose dire - des jeux entre Maître et soumise. Je pense faire parti de ces personnes qui aiment la vanille épicée et qui ne se retrouvent pas dans les pratiques poussées. Le ciment de la relation chez nous n'est pas la complicité jouissive ou la recherche du raffinement sensationnel ou autre, mais très banalement l'amour et l'envie de passer notre vie ensemble, d’élever notre enfant et toutes « ces perversions de la vie familiale» dont on ne lit rien sur les sites BDSM.

Ne nous voilons pas la face. Le plus grand mérite des livres des 50 nuances consiste à montrer la conception du BDSM de Madame tout le monde.

Certes, elle souhaite quelques frissons, sans tomber dans des pratiques qui risquent de lui abîmer la coiffure.

Frissons oui, mais que cela reste tout de même bien sage. Sans oublier que madame souhaite rester Maître de la situation en tentant accessoirement de guérir le monsieur de ses penchants qu'elle estime trop vilains. Le BDSM concerne une minorité de personnes et il en existe des adeptes de telles pratiques qui déclament que les 50 nuances et des jeux en ce sens n'ont rien à voir avec le « vrai » BDSM.

Ouf, me voilà rassurée ! Rien ne me ravit plus que je sois exclue de ces cercles élitistes.

Et mes copines aussi par la même occasion. Enfin, petite confession, moi aussi je trouve craquantes leurs menottes en peluche rose. Et quand au bandeau, cela me fait dormir.

Voila qui semble montrer qu'il ne faut pas s'engager dans le « sadomaso » avec une personne de confiance sous peine de perdre le trouble lié à ces jeux.

Autrement dit, il faut être maso pour se mettre dans les mains de n'importe qui. Mais même étant méfiante, il est possible de se tromper sur le monsieur. Je n'ai pas eu ce désagrément « dans la vraie vie » comme disent les branchés de la rencontre du net, mais indirectement en apprenant un jour la double nature d'un de mes dessinateurs favoris. Un vrai Docteur Jekyll et Mister Hyde.

Je parle de Bill Ward.

A côté des ses merveilleuses créatures de l'âge d'or du pin-up et accessoirement de la « discipline domestique », il a su créer « tout un univers d'horreurs » qui représente pour moi tous les clichés que m'évoque subjectivement le BDSM. Toutefois et c'est ce qui me réconcilie avec Monsieur Ward, il a su transformer les méandres de son intérieur en créations artistiques. Cela me paraît sain (ben oui, c'est de la sublimation!) et moins dangereux que de s'acharner sur une soumise pour la transformer, elle, en chef-d’œuvre. Voila pour dire que le lien établi par certains dominants concernant BDSM et création artistique ne semble pas manquer de fondement. Enfin, je suis encore en train de démêler le vrai du faux lors de mes séances au ...coin. J'y reviendrai un autre jour. Pour aujourd'hui, voici deux liens....

.pour découvrir une très large et sublime palette de la discipline domestique selon Bill Ward.


mercredi 8 juillet 2015

735 Divorce pour raison de fessée (Fait divers des années 1930)

Un fait divers qui incite à réfléchir

Le matériel en langue allemande concernant les faits divers sur la fessée est extrêmement riche et à ma connaissance ni traduit en français, ni en anglais. Ce travail est pour moi une bonne épreuve de discipline. J’ai horreur de faire des traductions. Je trouve ces textes fort instructifs, car ils brisent le clichés d'une éventuelle « discipline domestique » d’antan. On se rend compte que déjà dans les années 1930 il fallait l'accord de la dame pour la pencher sur son genoux. Et si le monsieur agissait contre son gré et selon sa propre initiative, la dame trouvait recours auprès des tribunaux.

Voila qui est rassurant !

L'exemple donné montre un fantasme de fessée dont la réalisation tourne à l'obsession. La petite fessée éducative (je ne parle pas des séances de « maltraitance fessière ») qui peut être vécue par certaines dame avec de jolis frissons, se transforme subitement en une réalité terrifiante. Ce texte pointe clairement vers les dangers qui guettent les personnes voulant instaurer sur accord commun une discipline domestique dans leur couple. Il ne faut pas avoir peur ni de scrupules de se poser la question si notre gentil partenaire, passionné par la fessée, et dont on est si amoureuses, ne se transformerait pas au fil des semaines, mois , voire années en suivant les traces du monsieur du récit.

Faisons donc attention au moindre signe d'escalade.

La fessée a petite dose peut pimenter une relation conjugale, mais quand elle devient une obsession elle risque de détruire un couple. Mieux vaut rester, surtout au début, dans les limites d'un jeu. Notons qu'une vraie DD nécessite beaucoup de patiente et une... très logue mise en route pour qu'elle soit perçue comme constructive et source de joie vivre.

Et voici le récit de la dame en question :

Mon mari dont je fit connaissance à mon cours de danse, connaissait déjà avant nos fiançailles, par une remarque indélicate de la part d’une de mes amies, le fait que ma mère m’appliquait encore à cette époque la fessée. Aujourd’hui, je sais bien que ce fait m’a valu son intérêt particulier et qui a abouti à nos fiançailles.

Pendant ce temps il vint une fois me rendre visite, sans que j’aie entendu la sonnerie de la porte. Ni que la bonne ne l’avait laissé enter. Il resta silencieusement dans le salon pendant que ma mère me punissait dans la pièce avoisinante. J’ai été fortement choquée quand je me suis rendue compte qu’il avait tout entendu.

Au moment de notre mariage je n’étais pas encore majeure. J’étais inexpérimentée et je lui cru sur parole quand il me fit part que désormais le droit de m’éduquer lui incombait. Il avait intention d’appliquer le système de ma mère. Il commença par une fessée aux verges pendant notre nuit de noces. Parce que j’avais essayé de me refuser à ses assauts. Au cours de notre mariage, il prit l’habitude de me fesser chaque matin et chaque soir. Le matin pour que je me tienne au carreau. Pendant la journée comme acompte pour ce qui m’attendait le soir.Il m’était impossible de ne pas commettre de faute dans la journée. Le soir il me demandait compte sur chaque pas et mot prononcé. J’ai dû même lui raconter combien de fois j’avais utilisé les toilettes. Ce qui pouvait devenir un motif de punition.

Il me posait de nombreuses fois sur deux jours consécutifs la même question. Si j’avais papoté avec la voisine par exemple. Si ma réponse était oui, j’avais droit à une fessée pour bavardage. Il se servait de verges, de la canne et du martinet. Si ma réponse était non, il me punissait pour arrogance.

J’ai vécu cette épreuve pendant 2 ans. J’ai pris conscience qu’il ne changera jamais. Et que je ne pourrais échapper à ce traitement qu’il appelait « éducation » si je voulais continuer notre vie de couple.

Source : Archives publiques de l’Institut pour la Recherche Sexuelle, Vienne

lundi 6 juillet 2015

734 Le frisson devant la prof sévère (Lundi cinéma)

Fessée scolaire quand tu nous tiens

Je connais peu de dames chérissant le fantasme de la fessée scolaire. Ce qui n'est nullement une preuve de la rareté d'une telle rêverie. Je vais donc aborder dans ce post la fessée scolaire entre dames, imaginée par et pour la distraction de ces messieurs comme il me semble. Je parlerai de mes propres association autour de l'école fantasmatique la semaine prochaine.

J'ai trouvé un joli clip (de plus de 15 minutes), d'authentique vintage avec de superbes clichés dont madame le professeur avec des lunettes et un chignon dans une tenue à exploser la bra**guette de mon chéri

(Oups , pas envie de risquer la peau de mes fesses...)

...qui ne laisse pas indiffèrent certains messieurs à tendance fétichiste. Notons que le côté théâtral emporte sur l’aspect de vraie fessée qui fait mal. Voila qui rend intéressant ce clip pour mieux cerner un potentiel partenaire.

N'oublions pas que la vérité fantasmatique se dévoile plus dans les associations que dans le bonnes paroles inspirées par la raison.

Voyons-nous apparaître des associations autour d'un contexte éducatif, y compris des anecdotes perso dans lesquels le monsieur se vante en quelque sorte (celui d'un certain âge du moins) de ses propres expériences avec le sujet en question. De toute façon, ne nous voilons pas la face, les châtiments corporels ont existé à une certaine époque. Par conséquence il n'y a rien de déshonorant dans de telles révélations.

Apparaît-il un contexte de soumission sur un modèle sadien ? Une fille dans une institution sévère avec structure hiérarchique et pression aussi sur le corps enseignant. Avec des châtiments dépassant de loin le cadre du simple pan-pan cucul ? Des escalades de toute sorte culminant dans des orgies au réfectoire. Ou encore une constellation de fille au pair qui après avoir reçu sa punition se fait consoler par son couple d'hôtes.

Ben oui, il ne faut pas perdre de vue que les blogs de fessée sont bien souvent - à l'image du fantasme - très sages à ce niveau. Il suffit de penser au riche matériel de la fessée plus ou moins P des années 70 et 80 dont il faut se rendre sur des sites spécialisées pour le consulter.

Voyons nous apparaître un discours qui ne dévoile rien, neutre et stéréotypé sur le plaisir mutuel ? Style claques et pelotage vicieux. Ou un discours moraliste, style comment peut-on regarder de tels films sur l'école en nous faisant croire que le fantasme de la fessée est apparu comme par magie à l'age d'adulte.

Un discours sur les tenues (coucou mon chéri!) ou une furieuse envie de vouloir fesser cette trop caricaturale maîtresse d'école pour ses allures précieuses (re-coucou mon chéri !) et surtout pour lui apprendre ce que c'est une vraie fessée ? Bref, il y a pas mal de grands garçons qui ont profité de retourner le scénario scolaire à leur avantage si j'ose dire. Ce qui implique que...

...si, si il y a plus de vaillants fesseurs comme on ne l'imagine qui ont commencé leur carrière sous leur couette en prenant d'abord des cours auprès d'une stricte cavalière fantasmatique.

Je passe sur la poésie d'assister à la punition d'une grande écolière. Fantasme qui révèle selon moi surtout les reliques d'un caractère timide du monsieur envers les files de son âge pendant son adolescence. Donc rien de bien méchant. Évidement ma liste n'est pas exhaustive, car des frissons il en existe autant qu'il en existe des êtres humains...