vendredi 27 janvier 2017

979 Liens de discipline domestique (255 ème édition)

Au menu cette semaine : La fessée embellit la vie


Il est vrai que mon chéri n'est plus tout jeune. A presque 60 ans sa vigueur n'est plus la même que dans le temps. Voila qui pourrait poser problème vu notre différence d'âge. Évidement il existe des petites pilules qui produisent un effet remarquable et heureusement il ne fait pas partie de ces hommes imbus de leur virilité qui lâchent un méprisant...

...j'en ai pas besoin moi !

Loin de la culture méditerranéenne, il est en phase avec la mentalité du nord qui affiche une approche plutôt décontractée envers ce genre de stimulants en parlant de médicaments de confort.

Confort pour le monsieur et la dame !

Toutefois l'abus de ces médicaments (hors un coût prohibitif!) peut nuire la santé et il y a aussi des moyens naturels remédier à certaines défaillances. Voyons cela d'un peu plus près. Étant une femme (plutôt) moderne, je suis assez décomplexée envers mes petits titillements et émoustillements. Loin de moi de me sentir gênée de prendre l’initiative. Veut dire qu'au lieu d'avoir recours à un vibromasseur ou autre agrément pour le boudoir, je préfère provoquer mon chéri.

Et pour que cela soit une réussite en toute circonstance (!) j'ai un truc infaillible.

Un jeu de provocation à thème dans lequel je choisis mon rôle. Que ce soit la soubrette délurée, la secrétaire du cliché, l'infirmière impliquée et ainsi de suite, je me trouve dans mon élément en satisfaisant déjà mon tempérament théâtral. Plutôt dévouée que soumise, je connais les désirs secrets de mon chéri.

C'est ici que j'aimerais faire l'éloge de la fessée !

Naturellement mon homme n'est pas une machine pour pouvoir accomplir tout les jours son devoir conjugal. A vrai dire ce n'est pas forcement non plus ce que recherche.

Il me plaît autant qu'il se montre outré par mes tenues de débauche en me rappelant à l'ordre par une discipline corporelle stricte.

Très proche de la poésie victorienne qui se sert de la fessée pour calmer les ardeurs coquines chez les jeunes filles. Voila une mise en scène tout benef. Quand Monsieur se sent en forme, il fera la fête à sa domestique qui est ô combien consentante. Quand la nature est moins bienveillante ce jour-là avec lui, il se montre ardu défenseur de la morale pour faire marcher au pas le personnel. Sans oublier que bien souvent appliquer la fessée s'avère pour lui un formidable stimulateur de sa libido. Je le sens en direct étant au première loge sur ses genoux. J'adore cette communication non verbale. Sinon, il arrive aussi que la fessée appliquée s'empare au fil de la journée de son imaginaire et j'ai une agréable surprise le soir au lit...

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !












Jolie sonorité (petit clip)














Ne manque pas de vice (petite série)

mercredi 25 janvier 2017

978 La fessée au quotidien

Journée de mer...e d'hiver

Il y a des jours où tout me va de travers. Cela commence par un café renversé par un geste maladroit. Heureusement nous ne buvons notre café jamais très chaud, ce qui ne m’empêche pas de me tacher mon joli chemisier. Puis, vanité punie, je me mêle mes hauts talons à cause d'une jupe droite moulante à souhait. Heureusement (encore) connaissant trop bien ma fâcheuse tendance de me mêler les pieds, mon homme m'a créé une cuisine sur mesure qui me permet de trouver toujours une possibilité pour me rattraper. Si cela n'est pas l'amour, je ne m'y connais pas.

Pendant que je nettoie dans la salle de bain les dégâts, le talons d'un de mes escarpins, peut-être dû à mon déséquilibre dans la cuisine, se détache. Excédée je laisse de côté mes bonnes manières pour exprimer à haute voix ma colère. Dans ce cas je ne fais pas dans la dentelle. Non seulement on m'entend de loin et en plus m’échappent des grossièretés :

Bordel de merd...

Non pas sans me procurer une étrange volupté charnelle. Sur ce arrive mon homme qui avec un grand sourire prononce son diagnostique :

Tu serais pas en manque de fessée, isabelle ?

Petite phrase qui m’énerve beaucoup parce qu'elle contient pour moi un fond de vérité que je n'aime pas voir. Mes maladresses vont en augmentant quand je n'ai pas reçue une fessée depuis quelque temps. Ce qui est en parfait accord avec la psychanalyse.

Il semblerait que mon inconscient me pousse à exhiber (ou comme ici à raconter) mes maladresses !

Le tout dans un but de satisfaction sexuelle. Je sais très bien que mon chéri me console tendrement quand j'ai été trop maladroite. Situation qui finit souvent de manière coquine avec moi penchée sur la table de la cuisine, sur le dossier d'un fauteuil, sur le capot de la voiture etc. Parfois sans fessée, parfois avec fessée quand ma maladresse procure un grand surplus de travail à mon homme. Qu'il accomplit d'ailleurs pendant que moi j'expose mes fesses fraîchement châtiées au coin. Toutefois peu importe mon maladresse, il ne passe pas sur mes comportements inadmissibles, les gros mots par exemple.

Il en va de soi, vu de l’extérieur, que nos comportements semblent incompréhensibles pour une personne en dehors de notre thématique fantasmatique. Autant le fait que mon homme me fesse, autant que j’accepte en apparence docilement ma punition. Mais gare à une personne bien intentionnée qui essayerait de me défendre. Elle s'attirera toute ma colère. Avec mes griffes dehors, car pour rien au monde je souhaite être privée de ma satisfaction. Pour faire simple disons que...

...la fessée est une relation sexuelle particulière qui met en rapport punition et orgasme !

Bien évidement à chaque personne ses modalités spécifiques. Notons que ces modalités ont un intérêt analytique moindre, mais sont un inépuisable sujet pour ...un blog !

vendredi 20 janvier 2017

977 Liens de discipline domestique (254 ème édition)

Au menu cette semaine : Fascination pour le derrière !


Bien sur, il suffit de me demander gentiment.

Évidement par montrer mes fesses mon homme entend de lui les montrer toutes nues. C'est un joli enjeu de séduction entre nous dont nous ne nous lassons pas depuis plus de 18 ans. Il en existe d'infiniment de variantes concernant les situations et aussi concernant ma présentation. A chaque fois que je me dévoile, il est aussi enthousiaste qu'au premier rendez-vous. Pour ma part je ne nie pas le voluptueux frisson qui me prend à chaque fois de me voir sollicitée pour un éhonté d'acte d'exhibition. Si la situation le permet, je me laisse volontairement tripoter et me faire complimenter pour ma peau si lisse sans le moindre poil. A nos débuts l'épilation intégrale présentait encore une touche de petite perversité et il n'était pas facile à la campagne de trouver une esthéticienne consentante pour de tels soins. Maintenant on vit un peu la même chose concernant la fessée, une démocratisme, concernant la fessée douce surtout. Fabuleux monde d'adultes. Ce qui est interdit ou mal vu chez les enfants devient source de plaisir explicitement souhaité. Outre de recevoir une savoureuse claque à pareille occasion...

... il lui arrive - surtout hors de maison - de me demander ma culotte ou mon string pour le confisquer soigneusement.

L'enjeu le titille beaucoup. Car il insiste souvent sans que cela ne soit systématique. Ouf heureusement ! D'ailleurs expérience faite, je sais que rien que le fait de lui dévoiler d'avoir oublié ma culotte suffit pour le mettre au garde à vous. Signe infaillible qui commande vraiment à la maison !

Bref, pendant que je commande au supermarché notre fromage ou notre charcuterie, en emmer...dant la vendeuse par mes exigences, personne ne se doute que sous mes airs quelque peu austères je me promène avec mes fesses à l'air sous ma jupe droite. De toute façon préconisant une « longueur décente », aucun risque que quelqu'un ne le remarque. Au fil des années nous avons varié les plaisirs. Il arrive alors que je porte un joli bijou dans mon derrière, placé avant notre sortie par mon chéri et... ô temps modernes... il en existent même à télécommande pour me faire faire des bonds quand je m'entends la moins. Petite expérience que j'ai trouve particulièrement émoustillante, mais j'ai toutefois refusé de me tripoter « jusqu'à la jouissance » au retours à côté de mon chéri dans la voiture.
Non, non, loin de moi d'être trop pudique pour un tel jeu, mais je trouve que cela risque de trop déconcentrer le conducteur. Et au cas que Monsieur se sente gêné dans son jeans, il y a des endroits discrets pour le détendre comme il le faut... jusqu'à la jouissance.

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !






















vendredi 13 janvier 2017

976 Liens de discipline domestique (253 ème édition)

Au menu cette semaine : Un fantasme de gouvernante


Je crois que discipline stricte et moqueries forment un joli couple. Par le rire se crée un instant déstressant, juste avant la tempête. Je sais de quoi je parle. Combien de fois j'ai choppé un fou-rire nerveux devant mon chéri avec déjà le martinet en main. Lui il reste calme pour me sortir un :

Rira bien qui rira le dernier !

Argument qui ne manque pas de véracité. Cette photo de joyeuses dames me rappelle un texte sur un forum allemand qui parlait d'une cohabitation entre 4 dames. Faisant partie d'une génération ayant connus les châtiments corporels, leur vécu avait visiblement laissé des traces. Par ce fait elles reproduisaient une structure de discipline domestique dans leur cohabitation et une entre elles se chargeait de manier le Rohrstock (la canne) quand besoin y était. Je me suis sentie fortement inspirée par ma lecture au point d'en parler à mon chéri. Me connaissant, il ne montra aucun mal pour deviner quel rôle je m'étais réservée.

Tu seras sévère, mais juste isabelle...

Effectivement, je me vois en celle qui tient la canne. C'est un instrument qui me fascine et qui m'impressionne par son sifflement. Un emploi très modéré laisse néanmoins une sacrée brûlure et de caractéristiques marques sous forme de doubles stries qui disparaissent en quelques heures. Voila ma philosophie punitive :

Je resterai dans un registre plutôt psychologique, en utilisant le coté « sensationnel » à petite dose.

Ni de fessée qui s'éternise avec moi, ni des popotins qui ont besoin des jours pour se remettre de leurs émotions. Par contre je ferai fréquemment appel au coin, au ménage punitif, à la tenue imposée, aux punitions devant témoin. Il me manquerait l'ambition de m'imposer par un régime de la terreur et je me verrais surtout dans un registre de bonne humeur. Bonne humeur pour qui, ce qui reste à déterminer, mais je retrouverais le plus dans une ambiance comme sur la photo du départ.

Tu devrais en parler à tes copines, isabelle !

Celui, là alors, il n'en loupe jamais une.

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !





Toute nue pour la fessée (Petite série gif)



Fessée en plein air (petit clip)





















mercredi 11 janvier 2017

975 Sur le genou de Monsieur

La poésie de la vraie fessée

Sauf que mon homme se montre bien plus dynamique que celui de ce joli clip. Enfin selon ses dires, ce n'est pas l'intensité qui généré le bon comportement, mais la régularité de la punition. Le fait de lier une action interdite à un châtiment qui arrive infailliblement. Je sais par exemple que le moindre gros mot prononcé en présence de notre petite, s'avère néfaste pour mon fessier. Et hautement bénéfique pour notre fille qui comme son père n'est pas du tout adepte de gros mots. Au contraire elle nous rapporte soigneusement le moindre écart du langage de notre entourage. Il en va de soi qu'en cas de faux pas de ma part, elle rapportera le comportement de sa maman fidèlement à son papa. Ce dernier ne manquera pas plus tard dans notre intimité de me sermonner.

Que dois-je apprendre, isabelle ?

Moi dans cette situation j'ai vraiment honte de moi et la punition qui me pend au nez me semble pour le moins que l'on puisse dire justifiée. Ceci dit, mon éducation montre un réel progrès. Car même quand une éventuelle colère me saisit subitement, à cause d'une de mes innombrables maladresses, je peux compter sur la mémoire de mon fessier qui n'est pas en « mode plaisir ». Alors il se méfie tout bêtement d'une brûlure bien connue et désagréable jusqu'au moment que l'alchimie de mon corps la transforme en plaisante sensation. Au pire je m’arrête donc à la première syllabe pas peu fière de mes progrès sur la voie de la fille modèle. Enfin, je ne suis pas et je ne serai jamais parfaite. Bref un écart de langage me vaut un :

Dois-je passer sur ce comportement inadmissible, isabelle ?

Surtout pas, mon chéri !

Une fois installée sur le genoux de monsieur m'envahit la poésie de la vilaine fille qui tend effrontément et en y éprouvant un sacré émoustillement son fessier tout nu aux yeux et surtout aux mains de son homme. Situation certainement datant de ma tendre enfance à un moment où les affaires des grands m'étaient encore entourées par un voile obscure.

Elle m'évoque une sorte de doigt d'honneur... envers les adultes !

Suivie d'une grande satisfaction. Petit jeu, nullement innocent que je paye sur le coup bien chèrement...

...comme il se doit, isabelle !

Par conséquence, bien plus bruyante que la petite dame du clip, moi aussi je pédale de toutes mes forces, car ce geste permet de gérer au mieux la brûlure vu la situation.

J'éprouve un grand regret envers notre martinet dans le tiroir du bureau de mon homme.

Ce dernier, passionnément manuel dans ses heures perdues, se réjouit de trouver toujours la force, malgré ses presque 60 ans, de me ramener dans le bon chemin. Notons que Monsieur recourt parfois (un de ses nombreux vices) à une punition supplémentaire, de nature plutôt symbolique en m'interdisant mes strings bien-aimés pour une journée, voire une semaine pour les remplacer par des culottes blanches qui expriment selon lui...

...la bonne volonté et la rigueur.

vendredi 6 janvier 2017

974 Liens de discipline domestique (252 ème édition)

Au menu cette semaine : Naïveté masculine


« Au fond de chaque femme se trouve une petite fille. Certaines de ces petites filles sont vilaines et aiment recevoir la fessée. »

Voila qui me rappelle un courrier de lecteur d'un homme qui découvre quelque temps après le début de la relation avec sa dame cette dernière sous un tout autre jour. Cumulant des petites maladresses et comportements agaçants, Monsieur, un peu étonné, relâche sa incompréhension par un cri de cœur :

Tu te comportes comme une gamine !

Sur ce la dame lui avoue en rougissant qu'elle souhaiterait sentir de temps en temps une main ferme sur son popotin tout nu.

Une fois la surprise surmontée, notre homme passe hardiment à l'acte au grand plaisir de sa dame qui par la suite se révèle fort chevronnée dans l'art de procurer du plaisir à un monsieur. Depuis tout va au mieux dans le meilleurs de mondes. Madame provoque régulièrement son compagnon en modifiant astucieusement ses vêtements, coiffures et maquillages ou en excellant dans dans la science de l'agacement par comportement capricieux. Seulement et cela inquiète fortement le monsieur, il commence à prendre plaisir... charnel à l'idée de corriger sa grande fille, ne pouvant cacher l'émotion qui l'envahit en la déculottant. Il pousse loin dans la métaphysique en se posant des questions sur ses tendances sadiques.

Le psychologue spécialisé dans la sexualité humaine ne voit à priori pas d’inconvénient concernant l'emploi de la « fessée conjugale » instaurée dans ce couple. Il rassure le monsieur sur ses tendances sadiques, car visiblement son élan de fesseur ne se montre pas nocif à la santé de madame. Par contre il pointe sur le fait que notre brave homme considère visiblement sa dame comme une gamine au lieu de se réjouir de ses manœuvres de séduction qui indiquent...

...un comportement construit, de plus adulte en vue d'un épanouissement sexuel pour les deux partenaires.

Ce courrier date des années... 70. Quarante années ont passées. Visiblement la poésie fantasmatique attribue toujours un rôle à la dame qui ne coïncide pas avec la réalité féminine quotidienne. Je n'y vois aucun inconvénient. Je trouve très amusant de voir un homme dans un contexte intime se perdre sur des fausses pistes comme dans les fils d'Ariane. Seulement j'aime aussi que le monsieur une fois ses pulsions apaisées soit conscient de la supercherie...

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !

Agréablement sonore (petit clip)


























Un fessier bonne mine

Fessée coquine (petit clip en deux parties ; environs 15 min))

mercredi 4 janvier 2017

973 Émotions réelles (Mercredi cinéma)

Visiblement un fessier rouge n'attire pas que les hommes !

Pour ma part j'aime beaucoup regarder les fessées que reçoivent d'autres dames, de préférence par un monsieur. Le contraste entre nudité partielle ou intégrale de la dame et un monsieur de préférence dans une tenue élégante nourrit mon envie de petite touche sexy. J'aime surtout les fessées qui racontent une histoire de punition. Et parce que je ne suis pas dans leur couple, il m’importe peu s'il s'agit d'une punition prétexte ou pas.

Voila qui doit combler mes aspirations sadiques dont me soupçonne fortement mon chéri.

Contrairement à ce que l'on pourrait imaginer, je ne cherche pas une identification avec la dame. Étant simple spectatrice me convient amplement. Spectatrice sur une mode « fille sage » qui devient témoin de ce qui arrive aux filles pas sages. Car bien évidement pour moi une « fille sage » n'est pas synonyme d’absence de vilaines tentations. Seulement la peur de la punition emporte sur les envies. Et quand on voit la vilaine copine réussir ses coups en douce, il y a tout de même une belle frustration qui s'empare de la fille modèle. Alors justice est faite quand la vilaine se fait prendre sur le coup qui se cristallise dans une phrase hautement jouissive :

Regardez ce qui arrive aux vilaines filles !

D'abord un superbe sermon, un déculottage dans la règle de l'art, puis un acte plaisamment sonore. Que ce soit à la main ou avec un instrument m'importe peu, pourvu qu'il n'y ait pas abus et que l'acte censé éducatif
ne se transforme pas en un séance de torture. 

Selon la devise « tout le mal aux fesses que je souhaite à la punie », je ne désire toutefois pas une correction qui dépasse mon propre « seuil de tolérance ».

Ben oui, personnellement je crois uniquement dans le bienfait de la composante psychologique d'une punition et non pas dans l'utilité d'une douleur exagérée. Mieux vaut un rituel qui met la pudeur à rude épreuve. Comme cette fessée de la « vilaine fille » devant celle qui est sage. Il m'arrive parfois d'inclure mon chéri dans mes rêveries qui ne se prive pas de lâcher un :

Elle est trop bien éduquée, isabelle pour commettre de tels faux pas !

Et moi pendant la dame devant mes yeux passe un mauvais moment, je bois du petit lait...