vendredi 31 janvier 2014

465 Liens de discipline domestique (99 ème édition)

Comment faire plaisir à son chéri...


Une quoi en fait ? Hein ben, une fessée bien sur. Mise en scène (faut pas croire que cela arrive accidentellement !) dont raffole mon homme. Une dame qui se sert de sa nudité pour provoquer une réaction chez le monsieur. De la nudité éloignée de toute innocence, mais aussi de celle qui est naturelle et se pratique par les gens qui aiment se sentir « eux-mêmes » de temps en temps sans la contrainte du vêtement. Moi, faire de la gym toute nue comme ces dames ? Jamais ! Je garde toujours un soutien-gorge de sport. Et mon homme au début de notre couple aimait bien se rincer l’œil. Bon, inutile de faire un dessin pour comprendre son intérêt. Selon les différents exercices tout se dévoile à un moment ou un autre. Mais ce qui me semble encore plus stimulant pour certains messieurs, c'est l'élément de la répétition. De prendre habitude au plaisir de regarder tel ou tel autre mouvement et de voir passer en revue, 5, 10, 20 ou 50 fois de suite son angle favori.

T'as déjà fini cet exercice, isabelle ?

Ne sois pas triste, mon chéri. Je le referai demain !

Ah, cette fameuse compulsion à la répétition qui me semble si typique pour l'être humain. Ceci dit, je comprends mieux l’intérêt de regarder du sport chez certains messieurs. Cela les rend de si bone humeur et leur donne accessoirement une forme d'enfer au lit. Notons que quand mon homme avait compris que j'avais été vraiment majorette dans le temps (ben oui, au début il a cru à une farce), malgré un certain dédain envers ce sport (c'est bête de parader au pas cadencé, isabelle ), il a vite changé d'avis. Et quel plaisir pour lui de me faire défiler, enfin de me faire exercer d'une manière digne d'un cours de caserne. Excellent pour ma forme et pour me faire de belles jambes d'ailleurs et des plus, après une petite demi heure mon chéri, était plus en nage que moi.

Bas les pattes. Interdiction de toucher les fesses des recrues féminins !

Voila qui montre combien de petits plaisirs au quotidien s'offrent à un couple inspiré. Sans parler du vélo d'appartement qui semble intriguer pas mal de messieurs (encore!) et qui imaginent (notons qu'il s'agit de la gym à nu chez nous) de sensations pas possibles à cause de certains frottements. Pas à tort pour ma part, ceci dit. Bon effectivement, il serait mesquin après s'avoir copieusement rincé l’œil de lancer hypocritement à la dame : Tu mériterait une bonne pour attitude provocante.


On peut bien évidement se poser des questions sur le politiquement correct de tels spectacles. Ce que je retiens de ce défilé, ce sont les cris de joies des dames et l'enthousiasme écrit sur le visage de certaines. Je n'ai plus l'âge, mais dans le temps je me serais bien vue autant comme spectatrice qu'actrice.

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !
















mercredi 29 janvier 2014

464 A la recherche de la discipline domestique perdue 2


Faut-il battre sa maîtresse ? (Question de droit galant)

Manquant de temps en ce moment pour écrire, je signale tout simplement que ce texte fut à ma compréhension  transformé et mis au goût du jour en 1841. Voila qui montre que la discipline domestique était déjà un sujet de plus délicat à cette époque. Il est même possible de remonter cette « délicatesse » jusqu'en 1756, date à laquelle le texte d'origine fut établi. Cela s'appelait d'ailleurs :

« Dissertation sur Usage de battre sa maîtresse »

« Les femmes sont comme les côtelettes:
plus on les bat, plus elles sont tendres. »
, (Carlo Bertinazzi.)

Dissertation sur l’usage de battre sa maîtresse », in Mémoires de l’académie des sciences, inscriptions, belles-lettres, beaux arts, &c., nouvellement établie à Troyes en Champagne, vol. II, 1756

Ceci dit j'avais la version originale pendant longtemps dans mes archives, mais disons que son caractère trop "brut" m'a empêchée d'oser une publication. Bon, je vais alors continuer la version remédiée.


Le règne de François I apporte en France le premier exemple d'un soufflet appliqué par un amant à sa maîtresse, aussi l'a-t-on appelé le siècle de la Renaissance. Cent ans plus tard on en était revenu à toute la civilisation du temps d'Auguste. En Angleterre on voit aussi les mœurs se polir. Le célèbre jurisconsulte Francis Bracton publie un excellent livre dans lequel on distingue le chapitre ayant pour titre : « il y a certaines personnes sous la baguette (under the tod); telles sont les femmes. » A ce propos je me rappelle un fait curieux cité par un historien Anglais, Bracton ayant été consulté sur les proportions de la baguette, répondit gravement : qu'elle pouvait être de la grosseur de son pouce. De là chez le beau sexe de Londres une curiosité bien naturelle de connaître au juste la dimension du pouce de sir Bracton. En conséquence une députation de ces dames se présenta un beau matin chez lui; mais peu satisfaites sans doute du résultat de leur examen, elles saisirent l'illustre jurisconsulte, l'entraînèrent jusqu'à un étang voisin et l'y plongèrent à plusieurs reprises. Quoiqu'il en soit, le droit de la baguette, c'est-à-dire le droit de battre la femme aimée, ne commença à être contesté que sous le règne peu poli de Charles II.

Si nous repassons le détroit, nous voyons les Longueville et autres seigneurs de la cour du grand roi, ne pas se faire faute des galants procédés recommandés par Ovide et Catulle. Tant il est vrai que cet usage seul est capable de prouver le grand amour et de l'imprimer dans un cœur où l'on veut régner sans réserve. Et les coups que l'amour procure sont si délicieux à recevoir que quand la personne qu'on aime est élevée en dignité, elle ne permet pas qu'on l'en prive. On lit dans les mémoires du Cardinal de Retz: « Le duc de Buckingham, lors de son ambassade en France, disait à Mme de Chevreuse qu'il avait aimé trois reines et qu'il avait été obligé de les gourmer toutes trois».

Sous l'empire, le maréchal Ney a donné, dit-on, plus d'un coup de pied au derrière de la Contemporaine. Aujourd'hui, beaucoup d'élégants dandys, membres de Jockey-Clubs, qui portent cravache et n'ont point de chevaux, se servent de leurs cravaches sur les femmes qu'ils aiment. La Gazette des Tribunaux nous révélait, il y a quelque temps, une de ces scènes de la vie intime du dandy. Et les hommes ont tout à gagner à cela, car c'est encore une observation physiologique de toute vérité que les femmes sont ordinairement folles de ceux qui les battent.

...c'est d'après toutes ces autorités respectables que nous avons cru pouvoir traiter la question : Faut-il battre sa maîtresse? — Oui, dirons-nous, car l'usage d'accord ici avec le raisonnement doit faire loi. Il ne nous eut pas plus coûté de traiter en même temps de l'usage de battre son amant, et de réunir les deux questions de droit en une seule. Mais comme l'ingénieux Grosley, nous avons pensé qu'il était de la belle galanterie de céder en toutes choses aux dames le partage le plus avantageux.

Ici se présente à l'esprit de tous les penseurs, une autre grave question : A quoi tient ce vif sentiment des femmes pour les hommes qui les battent? Quelles mystérieuses causes peut-on assigner à ces paroxysmes de l'amour?

Pour des amants d'une certaine pruderie, neufs, timides, inexpérimentés, pour d'honnêtes bourgeois au cœur simple, sans excentricité, je conçois qu'il y ait là de quoi renverser toutes les idées qu'ils se sont faites sur l'amour; car le cœur de la femme, comme on l'a dit, est souvent une indéchiffrable énigme et l'amour aussi. Platon a merveilleusement deviné ces deux énigmes-là. Quand ce philosophe voyait un homme amoureux, il disait: « cet homme-là est mort à lui-même, c'est l’âme de sa maîtresse qui l'anime. Cela posé, dit avec beaucoup de sens le petit livre dont je vous ai parlé, « il n'y a plus à s'étonner de ce qu'une femme fait si aisément la paix avec l'amant qui vient de la battre, puisqu'en quelque sorte c'est elle-même qui s'est battue. Il est vrai qu'elle oublie cela dans l'instant qu'on la bat ; mais dès qu'elle a repris ses sens, elle s'en souvient et alors elle est attendrie et elle ressent un nouvel amour, plus vif encore, en voyant combien elle a de pouvoir sur son amant. »

Le célèbre Alibert, dans son beau livre de la Physiologie des passions, n'a certainement rien dit d'aussi profond. Voilà donc le grand mystère expliqué. Maintenant vous auriez beau vous révolter contre la doctrine active, ses preuves et ses bases sont là inébranlables, comme la nature même d'où elles dérivent. En effet, qu'est-ce que l'amour? c'est un sentiment de trouble, d'inquiétude, de fureur et d'exaltation qui s'empare de l'âme, la domine et la façonne à son gré. Or, quels sont les signes les plus certains de l'exaltation et de la fureur, sinon les coups? Plus un amant extravague plus il a l'esprit de son métier. Aimer et battre ne font qu'une chose, selon le mot profond d'Aristophane.

Et que faisait notre roi français, le plus galant des rois Henri IV ? La chanson nous le dit:

Ce diable à quatre 

A le triple talent 
De boire et de battre 
Et d'être un vert galant.


Battre qui ? je vous le demande, quand on est un vert galant!
Les grandes vérités sont populaires. Traversez le Pont Neuf, à Paris, vous êtes sûr de rencontrer, au pied de la statue du roi vert-galant, un marchand de joncs, qui, en vous offrant sa marchandise, vous criera:

Battez vos chapeaux, vos habits, vos canapés, 

Vos maîtresses, vos femmes, si vous en avez».


Un jour, ce distique frappa l'oreille d'un membre de l'Académie des Sciences morales, avec qui je cheminais sur le Pont-Neuf; je recueillis de lui ces notables paroles: « Si, comme les anciens l'ont établi, les amants ne sauraient se dispenser de battre leurs maîtresses, je ne crois pas que les maris soient tenus à la même conduite vis-à-vis de leurs femmes. »
Cet honorable membre de l'Académie des Sciences morales fondait son opinion sur le mot d'Aristophane, déjà cité, « qu'aimer et battre sont la même chose. »

CONCLUSION DERNIÈRE.

La conclusion dernière de tout ceci, Mesdames, c'est que l'esprit des poètes, des prosateurs, des penseurs, n'est souvent qu'un audacieux paradoxe, et que l'auteur de cet article ne croit pas un mot de ce qu'il vient d'écrire.

Source : Revue du Lyonnais ; 1841 ; J.Beliard

dimanche 26 janvier 2014

463 Discipline de maintenance

Pour que les bonnes résolutions perdurent

Nous ne pratiquons pas dans notre discipline domestique la « maintenance ». Je ne traduit pas cette expression venant de la DD anglophone par discipline préventive, car justement cette dernière existe à part et a fait objet d'instructifs articles pour la distinguer de la maintenance. Alors, sous ce terme très peu poétique de maintenance et qui me rappelle un peu les révisions pour voitures, se cache une sorte de rappel à l'ordre qui est appliqué sur le fessier de la dame dans des intervalles réguliers. Sans raison apparente, mais convenu par les deux partenaires, cette séance se passera tel jour à tel heure. Le grand moment venu, le monsieur se munit du signe de son autorité, le martinet, le paddle, le strape... ou tout basiquement de sa main. Tandis que la dame commence à baisser son jeans, remonter sa robe ou trousser sa jupe avant de baisser sa culotte. Notons bien le fait que dans presque tous les cas, la discipline domestique s'applique « cul nu ». Ne cherchons pas d'argument logique, même s'il en existe de très romantiques, comme l'élément pédagogique pour approfondir le bénéfice éducatif, souligner le rapport d'autorité par une nudité unilatérale, rendre la dame plus vulnérable et par conséquence plus susceptible à ce qui va lui arriver, réactiver les flux entre énergies féminines et masculines etc. On peut aussi y voir (très primairement) une expression du désir du monsieur d'avoir la dame toute nue sur ses genoux et pour la dame le désir de se trouver toute nue devant le monsieur. De retrouver ainsi une sorte de paradis perdu quand la nudité ne connaissait pas encore la contrainte de la pudeur. Bien qu'il reste encore un prix cuisant à payer pour que s'ouvre le chemin du bien-être et de la paix intérieure... avec soi-même. Il me semble dans la nature même de telles pratiques de puiser leur source et leur satisfaction dans les irrationalités humaines. Ou pour parler encore plus clair, dans la psychosexualité qui lie des pulsions à des représentations, à des fantasmes qui procurent excitation et plaisir. Les fantasmes pour leur part, en grande partie étant de constructions verbales érotisées (les petits mots qui font tilt!), l'importance de bien choisir les mots qui entourent l'acte saute aux yeux. A mon sens pour qu'une relation psychosexuelle fonctionne bien, il faut surtout que le discours du monsieur crée un écho positif et « stimulant » chez la dame. Que cette dernière souhaite ardemment sa punition, se sente à l'abri de tout abus et éprouve une gratitude de se faire rappeler les bonnes manières de cette manière si particulière.

Alternativement la maintenance peut aussi se concevoir comme un moyen commode de fesser et de se faire fesser régulièrement. Que l'on soit branché DD ou autre, rien n’empêche que les besoins soient asses similaires et se satisfassent de façons analogues. Et vu que les modalités sont clairement définies, chacun des partenaires dispose d'un temps nécessaire pour se mettre en condition. En quelque sorte c'est le rendez-vous cuisant de la semaine. Pour ma part, j'aime beaucoup les applications raisonnables, bon enfant qui jouent avec la douleur sans tomber dans des pratiques extrêmes. Il est édifiant d'ailleurs de lire certains blogs anglo-saxons à ce sujet où malgré les « terribles corrections » qui attendent la dame selon ses dire, on y trouve nulle part une notion de crainte ou de peur devant l'acte. Et si on s'attarde sur la discussion, il semble s'agir d'un besoin de confession publique, d'une acceptation du châtiment et d'un réconfort de l'ordre moral. Hein oui, le monde de la discipline domestique a parfois un fonctionnement bien différent de celui des spanker et spankées.

La maintenance a pour but, comme son nom indique, de maintenir la dame sur la bonne voie et de mettre en avant l'esprit régnant à la maison. A la base je ne trouve cette idée pas si bête que cela. Le besoin de punition puisant dans des sources les plus obscures, ne se nourrit pas forcement d'une tête en l'air chronique (que suis-je bête chéri) et de stupides fautes fraîches (zut, j'ai encore oublié que le mardi je dois mettre une culotte avec un nounours). J'ai plutôt l'impression en analogie avec la sexualité classique qu'il y a compulsion à la répétition dont l'intensité augment avec le temps passé entre deux corrections. Alors parfois sans que l'on ne s'aperçoive, le compte est bon. Le vase a commencé à déborder et une petite broutille peu prendre des allures d'un écart de taille que l'on souhaite à tout prix puni. Cette notion me paraît primordiale, la DD comme expression d'un besoin de punition de la dame auquel le monsieur s'adapte en fournissant un « coup de main » efficace. Car malheureusement l'effet du « trop plein » peut se passer sans devenir conscient, ce qui le rend redoutable et il arrive qu'il génère des dégâts et dérapages considérables. Comme une irritabilité, une mauvais humeur...

Tu la cherche là, isabelle !


Je pense que la maintenance peut concrètement aider à éviter ces phases à risque pour les personnes qui vivent avec un besoin de punition. Un peu comme un traitement de fond qui rétablit la bonne humeur dans le couple. Voila pourquoi mon chéri estime que cette pratique empiète sur un terrain plutôt thérapeutique qu'éducatif. On soigne un symptôme sans remédier à la cause. Et inversement on peut avec la maintenance, côté monsieur, garder le besoin de punir à un niveau raisonnable. Phénomène de vase communicantes, car grosso modo le rôle du monsieur dans la discipline domestique, est presque toujours présenté comme une expression de la raison pure sur un esprit féminin quelque peu juvénile et insoucieux. Oui, cela me reprend, j'ai envie de réviser un peu les idées reçues sur la discipline domestique, façon isabelle. Je vais même m'attaquer un de ces jours à la métaphysique du rôti brûlé !

vendredi 24 janvier 2014

462 Liens de discipline domestique (98 ème édition)

Le plus beau métier du monde


Un petit clip rigolo qui m’évoque... les souvenirs de certains garçons pendant mon enfance. Il y avait ceux qui restaient entre eux, en bande. D’autres qui se barraient du peloton à la moindre vue de filles pour les espionner. Dans les vestiaires par exemple. Il y en avait aussi quelques rares garçons qui avaient déjà tout compris à mon avis et qui jouaient ensembles avec les filles. Partageaient leurs activités en montrant ainsi de l’intérêt pour le monde féminin. Ils étaient attentionnés, galants et débordants d’initiative. Ils avaient même envie de jouer papa, maman et bébé. Bon, il est peu étonnant que c'est parmi ce genre de caractère que je choisissais mes fiancés. Il me semble que je faisais copie du modelé paternel, en m’intéressant aux garçons solides et sécurisants avec les pieds bien sur terre. Et tout me semblait possible avec eux, même les jeux de docteur. Se pose la question si transposé sur un niveau adulte ces critères de présélection changent ? Personnellement je pense que mes critères de choix sont restés strictement les mêmes que pendant son enfance. Un homme qui s’intéresse à moi en tant qu’être humain et non comme bon plan pour passer un moment agréable. Un homme qui me fait passer avant ses copains et tant qu’à faire me place au centre de son univers. Un homme avec qui tout est possible... même les jeux de docteur à caractère éducatif. Enfin, j’expliquerai une autre fois pourquoi je ne considère pas la discipline domestique comme une jeu. Aujourd'hui c'est le week-end, pas de prise de tête complexe!

Les mains trop sensibles ? (avec clip explicatif de Dana Kane)

Il m'est déjà arrivé de claquer fortement un fessier féminin. Masculin aussi. Bien évidement ! Je vis en couple depuis plus de 15 ans, alors les familiarités vont de bon train. Par exemple quand je chope mon homme tout nu dans la salle de bain en sortant de sa douche. Alors la tentation est grande car niveau fesses, il n'a rien à envier à Mad Max. Et moi je succombe au charme de lancer ma main. Seulement ce que je retiens du plaisir de la compagne qui chamaille son chéri et encore plus de me retrouver dans un rôle d'éducatrice improvisée (il y a bien, bien longtemps...), c'est le désagrément pour mes mains trop sensibles. Trois, maximum quatre claques et je décroche. Sans trop comprendre où se trouve le plaisir de fesser à la main. D'où peut-être mon attirance pour les instruments. J'adore cette publicité (en suivant le lien dans mon lien!) de Dana Kane. Déjà parce qu'elle présente ce produit pour protéger la précieuse paume (voilà un langage qui me parle!) comme s'il s'agissait d'une éponge de ménage particulièrement efficace. Enfin le truc ressemble étrangement à un outil de mon homme pour lisser le plâtre (je crois). Dont bonjour la poésie. Et pour ma part j'ai une chose assez semblable pour stimuler la circulation sanguine dans mes fesses justement. Voila les balises sont mises, nous sommes dans un registre entre outil (pour traiter le derrière du monsieur) et sensualité (pour les petites vibrations persistantes dans la main de la dame).


Petit clip humoristique et hors sujet qui montre bien la fragilité de certains préjugés. Certes les discours n'est pas le même, mais au bout du compte le puritanisme n'est pas forcement synonyme d'une activité charnelle réduite. Idem pour les dames qui comme moi se trouvent bien en couple monogame. Je crois que c'est encore Monsieur Freud qui a dit qu'il existe deux façons majeurs de prendre du bon temps de manière charnelle. Changer régulièrement le partenaire ou changer régulièrement la façon de s'y prendre...

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !






Manière surprenante de se déculotter (censurée, mais pourquoi?)











jeudi 23 janvier 2014

461 Quand la dame oublie sa petite culotte

Oh la jolie réflexion ...

...qui vient d'un commentaire de Main Leste :

Fessée : correction administrée sur les fesses. En lisant cette définition du dictionnaire, nous tous qui partageons le fantasme de la fessée, nous vibrons. Mais il y a ceux et celles, comme vous, Isabelle, qui vibrent surtout au mot " correction", et ceux et celles, dont je fais partie, qui vibrent plus au mot " fesses". Même si pour les premiers, la correction est d'autant plus belle qu'elle elle est appliquée sur le postérieur, et que pour les seconds le cul n'est jamais autant en valeur, ou stimulé, que quand il est claqué ou fouetté.

Un jour, poussée par je ne sais pas quelle audace, j'ai décidé de me préparer pour sortir comme au temps quand j’étais encore célibataire. En m'installant devant ma coiffeuse sans mettre ma culotte, ma jupe ou mon jeans. Car dans le temps, sans qu'il y ait eut considération de séduction ou de provocation de ma part quelconque, j'ai suivi tout simplement mon pragmatisme. Et tout compte fait, comme je le sais par certaines copines, je ne suis pas la seule dame avec de tels habitudes pour s'habiller. Je sais très vite me décider pour un haut, mais pour le bas j'hésite jusque la dernière minute. Alors devient plus claire aussi l’absence de culotte ou de string, car ce choix crucial dépend tout simplement de ce qui va passer par dessus. Bon, effectivement quand quelqu'un sonna à ma porte, je n'allais pas me présenter ainsi pour ouvrir et perpétuer le mythe de la dame seule qui n'attend que cela... la visite d'un vaillant jeune ou pas jeune monsieur pour faire de choses inavouables. Avec comme le plus bel exemple, la légende du père fouettard qui frappe à la porte de grandes filles pas sages pour les punir avec des verges ou avec un martinet pour leurs pêchés accumulés au fil de l'année.

Alors ce mémorable jour, étant en couple avec mon chéri « père fouettard », mon acte de garder mon derrière tout nu jusque la dernière minute, prenait bien entendu une toute autre connotation que le pragmatisme féminin. Et effectivement comme le dit si bien Main Leste, il y avait sous-entendu le désir de me prendre une bonne correction pour déconcentrer mon homme dans ses propres préparations. La première fois, Monsieur en me découvrant ainsi, assise devant ma coiffeuse en train de me maquiller, s'est montré fort impressionné. Je l'ai su tout de suite au changement de sa voix et de respiration, reflétant parfaitement son trouble. Puis, une coiffeuse offre par son miroir la merveilleuse possibilité de voir ce qui se passe dans mon dos. Hein oui, mon chéri était sous le charme de mon fessier. Amusé, surpris, excité et pensif aussi en évaluant au mieux l'étendu des possibilités qu'offre une popotin tout nu de la dame. Avec accent sur popotin quand il s'agit de caresses et sur cul nu quand il s'agit de le faire résonner pour raisonner la dame, moi en occurrence. Comme le décrit si bien Main Leste, mon chéri aussi ne put s’empêcher pour faire ressortir un beau rouge de mes globes. Punition pour motif d'harcellement, évidement dans un registre ludique, il ne s'est pas privé de l'aubaine. Pour ma part, Dieu sait pour quelle raison, j'avais envie de faire notre sortie avec une belle brûlure persistante qui me fait gigoter à table comme une ado. Et de plus qui me monte à la tête, me donnant un rire facile qui se remarque et qui s'avère communicatif :

T'es particulièrement en forme ce soir, isabelle !

Bref une soirée réussie de A à Z quand on prend en compte que je suis restée bien sage sans me faire remarquer autrement que pour ma bonne humeur exubérante.

La fessée avant de sortir te réussit bien, isabelle ! T'avais une bonne idée
d'oublier ta culotte.

Oubliée, oubliée ? Ah ces hommes, de grands enfants qu'imaginent qu'une dame puisse oublier sa culotte...

mardi 21 janvier 2014

460 A la recherche de la discipline domestique perdue 1

Faut-il battre sa maîtresse ? (Question de droit galant)

C'est le résume étonnant fait en 1841 d'un texte datant de 1758. Résume qui souhaite montrer clairement par son sous-titre hautement significatif qu'il ne s'agit pas de débattre ou légiférer sérieusement sur la question, mais de l'évaluer comme composante de l'intimité entre un monsieur et une dame. Voila le terrain proprement dit de la discipline domestique. Le mot battre évoque de nos jours des allusions le plus négatives qui pointe dans un sens qui n'a plus rien à voir avec un rapport consensuel entre deux adultes. Pourtant il me semble que le texte fait allusions en grande partie surtout à la fessée amoureuse ou à celle dite punitive (qui par la complexité de certains esprits humains se transforme en formidable moyen de booster la libido). A la façon dont est tourné ce texte, cette petite curiosité montre que la discipline domestique déjà au milieu du 19 ème siècle en France ne semble être rien d'autre qu'une bonne boutade. Je vais alors partiellement reproduire cet article de la Revue du Lyonnais. Toutefois le sujet est fort délicat et a demandé déjà à l'époque bon nombre de précautions comme en témoigne cette petite annotation  de l'éditeur :

Sous la légèreté de ce titre, pour lequel nous demandons grâce à la moitié la plus intéressante du genre humain, M. J. Beliard, rédacteur en chef du Journal de Saint-Étienne, a fait preuve d'un assez grande connaissance de nos auteurs anciens pour que, grâce à cette érudition, nous ayons cru pouvoir admettre dans notre recueil un badinage qui pourrait, à de certains yeux, nous faire trouver fort condamnable. Nous prions seulement notre juge, avant de prononcer son verdict, de vouloir bien aller jusqu'à la dernière ligne, si ce n'est pas trop lui demander. Peut-être les détails sauveront-ils le fond de cet article; peut-être la conclusion sauvera-t-elle l'auteur...


...ami lecteur, comment vous conduisez-vous envers votre maîtresse? Sans doute, vous l'adorez, vous avez pour elle et ses mille et une fantaisies de femme, mille et une prévenances. Eh! bien, mon pauvre amoureux, laissez-vous le dire : vous n'êtes qu'un grand imbécile. Vous avez beau lever au ciel des yeux pleins d'amour, battre l'air d'éternels roucoulements, vous n'arriverez jamais à rien; vous en serez éternellement et pour votre amour et pour ses démonstrations platoniques. Bien mieux, vous croyez aimer et vous ne vous doutiez pas de ce que c'est qu'aimer. Il vient de me tomber entre les mains, un vieux petit bouquin de Grosley (Pierre-Jean 1718-1785 ; note d'isabelle), philosophe conteur, à l'esprit Rabelaisien et narquois, homme érudit, qui en savait plus long sur cette matière que vous n'en imaginerez jamais. En deux mots, voici sa doctrine:

1° Voulez-vous savoir si vous aimez votre maîtresse? Examinez si vous êtes dans l'habitude de la battre ou de ne pas la battre. Si, par malheur, vous vous trouvez dans le dernier cas, vous n'en êtes pas encore à l'amour.

2° Voulez-vous être aimé de votre maîtresse ? Battez-la.

Sans doute ici l'on va se récrier à l'impertinence. Tous les soupireurs d'élégies, jansénistes de la romance, vont fulminer des anathèmes contre mon Champenois. C'est très moral de la part de ces messieurs, mais mon livre est très logique. Faites-moi le plaisir de le suivre dans son raisonnement, et puis vous jugerez après.

1° Il est, dit Grosley, membre de l'Académie,—car Grosley était académicien, et, qui pis est, Champenois,—il est, dit-il, de toute bienséance et de toute nécessité de battre ce qu'on aime.

2° Les Grecs et les Romains battaient leurs maîtresses. Et certes on a assez invoqué l'exemple de ces gens-là pour que nous les regardions comme des modèles.

3° L'histoire prouve à ne pas laisser de réplique que, chez les peuples les plus civilisés, les amoureux battaient et battaient joliment leurs maîtresses.

4° Étant établi qu'on a battu sa maîtresse seulement dans les siècles polis, et notre siècle étant un siècle poli, la conclusion va sans dire.

...il ne serait pas difficile de prouver que cette coutume de battre sa maîtresse fut toujours le privilège des époques de haute civilisation. Il est à croire que, dans les siècles qui suivirent la chute de Rome et qui précédèrent la Renaissance, cet usage fut enseveli sous les ruines de l'empire romain, avec la politesse, les sciences et les arts.
Telle est l'opinion de notre académicien Grosley, lequel à ce sujet divise tous les siècles possibles en trois classes:

SIÈCLES BARBARES
SIÈCLES MITOYENS
SIÈCLES POLIS

Dans les siècles barbares on n'aimait point quoiqu'on battît.
Dans les siècles mitoyens, on aimait, mais on ne battait plus.
Ce n'est donc que dans les siècles polis qu'on a pu battre sa maîtresse.
Du temps des décemvirs à Rome et de Cécrops en Attique les hommes ne s'occupaient pas assez de leurs maîtresses pour les battre; ce perfectionnement de l'amour était réservé aux siècles de Périclès et d'Auguste, c'est-dire au temps où la civilisation fleurissait le plus. En effet, les époques de décadence ne donnent aucun exemple de cette pratique. Ausone est le seul poète dans toute la latinité du second ordre qui atteste par quelques lignes que l'on n'avait pas encore tout-à-fait perdu le souvenir de cette touchante coutume. Le moyen âge nous montre partout les hommes aux pieds des femmes. Alors l'esprit commençait à se développer; on ressentit l'amour, mais on ne le connut pas. On ne savait que se battre pour sa maîtresse, on ne savait pas encore la battre. Lorsqu'on a le bonheur d'être né dans un siècle poli, et que, instruit sans efforts par l'exemple de ses contemporains, on bat tout naturellement la personne qu'on aime, on s'imagine que dans tous les temps le cœur seul a dû dicter un procédé si tendre. On ne se douterait pas qu'il eut fallu tant d'expériences pour parvenir à cette découverte, et que réservée aux siècles les plus éclairés, elle eut exigé les plus grands efforts de l'esprit humain.

Source : Revue du Lyonnais ; 1841 ; J.Beliard

A suivre...

dimanche 19 janvier 2014

459 Une correction dans le bureau de mon papa 2


Jeune dame, dès que possible nous allons avoir une sérieuse discussion !

Ah mon chéri quand il parle avec ses yeux. C'est tout un poème comme il sait se montrer expressif. Pas besoin d'un manuel pour bien le comprendre. En ce début de vacances il n'était pas vraiment en colère contre moi, mais disons très agacé de me voir sans cesser mettre sa pudicité à une rude épreuve. A croire que sa main le démangeait pour me pencher sur ses genoux pour une très claquante fessée... devant mes parents.

Tu as vu Maman, ce qu'il me fait ?

Tu l'as cherchée, ma fille.

Enfin non, là ce sont plutôt mes propres rêveries hollywoodiennes qui s'expriment. Ma notion très particulière du romantisme à l'ancienne. Notre couple étant bien jeune, nous avions pas encore pu accorder nos habitudes respectives. Tandis que mes parents me trouvèrent dans mon élément, fidèle à moi-même, mon chéri se demanda ce qui était en train de lui arriver. Bref, il était gêné de la façon dont je me comportait et le fait d'être gêné l’énervait rudement. Il a dû prendre son mal en patience. Hors de question de me corriger dans notre chambre, car le bruit des claques ne pouvait échapper à mes parents. Se créa ainsi une superbe ambiance d'un orage qui se prépare. J'avais l'impression de sentir en permanence le regard de monsieur sur mon derrière. Et par conséquence, émoustillée par tant d'attention, j'ai commencé à me montrer encore plus provocante que d'habitude. De me baisser, en aidant ma maman dans la cuisine, de façon de bien faire remonter ma jupe. En prenant des poses et expressions du visage qui ne laissent aucun doute que leur but vise de stimuler la virilité du monsieur. Visiblement les petits trucs de mon jeu de séduction ne le laissaient pas de marbre. Par conséquence mon chéri se trouva bientôt sacrément tendu du pantalon. Et là, où dans notre intimité il peut se jeter en toute tranquillité sur moi, sans qu'il ait question de me corriger, il s'est senti maintenant empêché dans ses élans par ses bonnes manières envers mes parents. Voila ce qu'il appelle depuis du harcèlement malhonnête de ma part ! Je trouve que ce le terme convient bien et nous sommes d'accord tous les deux sur les modalités de payer pour mon audace. En fait, j'ai toujours aimé m'imaginer punie pour mes initiatives trop poussées envers un monsieur. La carotte de la punition c'est le petit surplus qui fait déborder le vase, qui me désinhibe et je peux me montrer redoutable. Bon, il en va de soi que sur ce point notre discipline domestique se veut plutôt récréative. Car je me verrais mal avec un authentique coincé de la braguette qui trouve indécent un tel comportement de la part d'une femme. Mais retenons quand même que la position de mon chéri n'est pas toujours facile. Notamment quand je m'emporte dans un contexte de proches, de ma famille. Et ne sous-estimons pas le côté d'agacement qui me semble nécessaire pour que ma punition devienne réellement épicée. Alors une fois mes parents partis en vacances, mon chéri pu enfin laisser libérer ses émotions :

Prépare tes fesses, isabelle ! Nous avons du retard à rattraper.

C'est ainsi que nous nous sommes glissés dans le bureau de mon papa. Pour une séance éducative concernant mes insolences et provocations. Comme par hasard, je portais ce jour-là un jeans de plus serré ! J'avais trop envie - sachant mes parents partir – de me remettre dans le contexte de mon adolescence pour enfin réaliser un de mes veux rêves disciplinaires. De plus je connais très bien l'effet d'une insolente garçonne sur mon homme. Notamment quand je frotte mon derrière contre lui. Il a horreur de cela... car je sais m'y prendre en public dans un moment discret pour le laisser, le pauvre, avec une sacré bosse dans son pantalon. Enfin pas chez mes parents. Pas envie de le fâcher vraiment pour de bon.

Quand il m'a demandé de baisser mon jeans, j'étais surprise de découvrir à quel point ce geste m'était déjà devenu naturel. En fait il m'avait suffit de quelques mois de discipline domestique pour prendre de bons réflexes. J'ai très vite pris un réel plaisir d'être mise au pas, car au fond mes punitions coïncident grosso modo avec mes irrationalités. Certes mon homme a ajouté quelques touches du chef, pas bien méchantes, mais ayant une constitution psychique plutôt polymorphe, j'ai su vite m'y adapter. Par exemple il considère les collants ouverts presque comme une insulte personnelle. Si je veux une correction à coup sur, il suffit que j'en mette un. Pourtant j'adore ce vêtement qui combine les avantage du collant et des bas. Et j'en portai souvent au travail pour éviter les marque de jarretelles sous une jupe ou robe.

Une fois mon jeans aux chevilles, j'ai offert à mon homme une vue imprenable sur une belle culotte imprimée en coton à dominante blanche. Une de celles qui donnent un effet tirelire sur une dame intégralement épilée. Mon homme quelque peu impressionné par l'environnement, celui de mon enfance, du lieu d'études de mon papa, par mon jeans baissé, par moi penchée en avant en attendant sa décision de me déculotter ou de me demander d'accomplir cet acte par moi-même a pris son temps. Il a savouré un instant tellement précieux qui mettait en relief toute une panoplie de rêveries de mon adolescence. Et de la sienne aussi. Je voyais bien qu'il a dû rêver à cette époque de corriger une de ces insolentes filles qui savent si bien lui faire tourner sa tête de jeune homme sans toutefois répondre à ses avances.

A suivre...

vendredi 17 janvier 2014

458 Liens de discipline domestique (97 ème édition)

Il n'y a pas d'âge pour une bonne éducation !


Une vision un peu caricaturale certes. Mais qui dit qu'un penchant pour la fessée révèle forcement une proximité avec l’univers de l’histoire d’O par exemple qui puise ses sources plutôt du côté de Thanatos que d’Éros. Faisant partie des personnes qui sourient à longueur de journée et étant assez insensible aux côtés sombres de la vie, je me souviens à propos de ce livre essentiellement d’un univers qui n’avait rien à voir avec le mien. Je pense que la plupart de fantasmes autour de notre sujet se situent loin du monde de pratiques extrêmes. Seulement peut-être les adeptes de pratiques poussées s’expriment en plus grand nombre sur le net, ce qui fausse un peu les proportions de préférences. Déjà le vocabulaire employé me convient rarement. Je ne suis pas une soumise. Mais une femme consciente de ses irrationalités. Je ne souhaite pas vivre avec un homme qui essaye de me dominer, mais avec un qui tient compte de la réalité mon désir : donc justement de mes irrationalités.

Venons au vieux fantasme de l’écolière corrigée. A mon avis c'est une quasi exclusivité masculine. Je n’ai jamais rencontré une femme dont les rêveries tournent autour d’une telle tenue. Par contre j’en connais qui en mettent pour faire plaisir au monsieur. Ou parce qu'elles savent que cela chauffe certains messieurs à fond.Jusque là, rien à critiquer. Ce qui me dérange par contre ce sont certaines personnes qui déduisent à partir d’une telle constellation un désir d’infantilisation de la part de la dame. Ou pire encore une immaturité de sa part. Pourtant rien ne dit qu’une libido dite régressive, s’accompagne d’une régression de la personnalité. Ce sont deux registres différents qui ne se confondent pas systématiquement. Et une dame qui se déguise en écolière exprime plutôt par ce fait un comportement de plus adulte : Tenir compte du désir d’autrui, de son partenaire.

Je pense personnellement que toute conclusion hâtive sur l’état psychologique d’une femme attirée par la fessée exprime … un penchant pour la pensée simple qui essaye de contrôler et de maîtriser le réel en lui collant des étiquettes. Façon d’aborder autrui pour le moins que l’on puisse dire maladroite. Et ne pas flatteur du tout pour une dame.

Mieux vaut une approche du style : J’aime te voir en tenu d’écolière parce cela m’émoustille, de la part du monsieur. Cela me parait plus simple et plus sain. Ce n’est pas le fait de me vêtir de temps en temps en écolière qui me gêne et je le fais de bon cœur. Nous sommes entre adultes et pas besoin de chercher de prétextes absurdes pour s’amuser à sa façon. Mais de là à me confondre avec une gamine d’un âge mental « particulièrement jeune » … je le prendrais très mal. Et une chose est sure, je n’aurais plus envie de remettre une tenue d’écolière...

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !












On s'amuse sur scène (petit clip)






mercredi 15 janvier 2014

457 Coquetterie punie

Les petites histoires cuisantes qui me font rêver sont nombreuses !

Parmi tant d’autres j’adore la fessée pour abus de coquetterie. En jolie tenue d’antan avec un provocant air de pin-up. Fantasme qui semble inspiré par le féminisme ambiant de mon enfance. Comme son contre coup. Cela dû se greffer sur les rêveries de ma petite enfance au moment de mon adolescence. Quand j’étais à la recherche comment vivre ma féminité. Être une femme (ostensiblement) féminine était à cette époque entourée d’un air malfamé. Et il y avait une partie « raisonnable » en moi qui voulait s’adapter à tout prix aux conventions sociales. Au détriment de mon désir.

Le goût du temps prônait la femme libérée. En s’attardant sur l'aspect caricatural de cette notion. Selon ma compréhension personnelle dans le sens d’une femme qui se met à la disposition des messieurs pour prouver l'ouverture de son esprit. Et celle qui n’accepte pas ce jeu, hein bien, elle n’ést pas libérée. Comme moi qui ne rêvait pas d’aventures libertines, mais de l’arrivé du prince charmant en vu de former un couple.

Toutefois c’est le féminisme, le vrai, qui m’a sortie de cette impasse. En me fournissant des réponses satisfaisantes à mes questions concernant le rôle social de la femme. Intervenir sur le monde avec les mêmes droits qu’un homme, n’est pas synonyme d’adapter ce principe dans sa vie intime. C’est un espace privé qui ne concerne les deux partenaires.

Et être libérée en ce domaine veut dire pour moi, qu’une femme puisse parler librement de ses désirs à son/un homme et se donner des moyens de les réaliser sans qu'elle se sente en proie d’un jugement moral.

Puis c’est la psychanalyse qui m’a fourni les réponses en matière de réalisation de mon désir. Elle m’a d’abord permis de le cerner en détail. J’ai découvert un mode de pensée qui permet de distinguer entre mes éléments subjectifs et objectifs. Entre opinion et fait. Qui permet de regarder ses propres fantasmes avec bienveillance, détachés de la notion de la normalité qui s’oppose à l’individualité. Comme une sorte de création personnelle qu'il ne faut ni surestimer, ni sous-estimer. Tout est dans le bon compromis.

Alors oui, j’ai un faible pour que ma coquetterie devienne motif de ma punition. J’aime qu’elle intervienne pour mes audace vestimentaires. Par exemple quand j’essaie de la jolie lingerie ou de costumes inspirants et que je sorte de la cabine d’essayage pour faire justement la coquette. Monsieur veille que je ne dépasse pas les bornes en semi public. Et si cela arrive, c’est la fête à la maison. Je suis particulièrement émue quand je reçois une correction pour cette raison.

De me retrouver toute nue sans artifices sur ses genoux avec vue sur mes jolis habits soigneusement pliés avant l’acte.

Ou encore quand il me passe sur ses genoux dans la tenue qui a causé ma punition. Une heure avant je me trouvais encore en train de faire la coquette et maintenant j’apprends que je n’ai pas encore dépassé l’âge de la déculottée. Bon tout ceci n’est certainement pas bien raisonnable, mais cela fait tellement de bien de pouvoir vivre ses petites irrationalités dans un cadre amoureux. La bonne humeur générale du couple en profite et pour nous c’est l’essentiel.

Dans de telles situations je fonds facilement en larmes. L’émotion est tellement forte. Monsieur comprend trop bien mes incohérences. Il en tient compte avec fermeté. Larmes libératrice, un fessier bien rouge qui ne va pas tarder par sa chaleur de me procurer d’effets secondaires et l’impression de sentir le désir de mon homme dans mon dos pendant que je fais du coin. Avec la perspective de corvées de ménage à faire comme punition supplémentaire. Et ceci en tenue provocante, mais les fesses en l'air. Puis à l’horizon une réconciliation de rêve plus tard au moment de se coucher. Oui mon couple correspond bien à mes attentes d’adolescence. Il me donne de l’énergie et la joie de vivre…

lundi 13 janvier 2014

456 Sous les jupes des filles (#16)

Cette fois-ci cela se passe littéralement sous les jupes de filles !

Voici un petit texte qui prouve que la jouissance dans la joie et de la bonne humeur existe. Et bien évidement je vais établir le rapport avec celle de la fessée en faisant appel à l’ingéniosité de mon homme et à un grand écrivain et prix Nobel suisse. Voyons donc un peu !

Chéri viens voir ce petit clip !

J'ai du travail isabelle. Tu me le montrera plus tard.

Pour lui faire changer l'avis je monte vite le son de mon ordinateur et j'avance le clip sur 6 minutes avant que mon chéri ne disparaisse dans sa pièce de travail. Et là - comme je le connais bien - il arrive en faisant des grands yeux.

C'est quoi ce truc, isabelle ?

Hein bien, c'est une petite dame qui lit une histoire tandis que sous la table quelqu'un lui passe un vibrateur dans l'entrejambe.

Alors là, il marque un temps d’arrêt. Visiblement il est sous le charme de ce petit clip. Car effectivement il permet de voir ce que mon chéri ne peut pas voir en faisant pareil. Quand on s'occupe de sa dame à cet endroit précis, il est difficile de voir les réactions sur son visage. Reste le son que mon homme apprécie beaucoup, ma façon particulièrement éhontée d'exprimer les nuances de mon plaisir. Sorte de guide pour grands garçons pour leur indiquer comment mieux s'y prendre. Quand le son va en augmentant nous sommes sur la bonne voie. Comportement plutôt « autrement intéresse » que celui de la dame qui fait uniquement semblant. Notons aussi que certains messieurs sont particulièrement sensibles aux bruitages de la dame ce qui augmente considérablement leur vaillance.

En regardant le visage de mon chéri et j'ai l'impression de lire ses pensées. Il est en train d'évaluer la chose sous un aspect technique. Bon, hors de question qu'un autre monsieur s'occupe de moi. Ce n'est pas notre truc du tout. Et hors de question aussi de faire appel à une bonne copine. J'ai dépassé l'âge.

Parfois je ferais mieux de réfléchir avant de lui donner des idées !

Car il est très bon bricoleur mon chéri et il me semble inutile d'expliciter ce que l'on peut faire à partir d'un tabouret typiquement allemands avec une découpe cœur. Bref faute d'un comparse sous la table, on peut aussi se contenter d'un objet vibrant ou deux (pour ne pas oublier le siège de la discipline) pour intensifier l'effet. Il en existe même à télécommande avec variations d'intensité. Et voili, voila la lecture peut commencer.

Les dames qui font cette expérience de littérature hystérique ont des métiers de contact avec un public (actrices, danseuses, modèles...) et on peut se poser la question du vrai et du faux. Enfin, cette question concerne surtout les personnes avec un penchant pour le doute. Pour ma part, étant très insoucieuse et bon public, je prend tout simplement plaisir à regarder, puis une fois compris le principe (ce qui n'est pas bien compliquée) d'essayer d'en faire autant pour ma part. Tenue libre, je choisi du sage, petite jupe ample et pour la sensualité un pull en angora. Et comme livre Narcisse et Goldmund qui développe entre autre l’intéressante théorie que les expression du visage dans des moments du plus grand plaisir et de la plus grande souffrance se ressemblent. Ce qui donne pour notre sujet :

Est-ce que l'expression du visage d'une dame qui reçoit une forte fessée ressemble à celle quand elle est en train de jouir dans un contexte plus classique ?

A moins qu'elle ne sache pas vraiment jouir hors ou sans contexte de fessée. Enfin passons. Hein non, je ne passe pas mon temps à intellectualiser quand je suis en train de faire des « choses ». Je me laisser aller. Et quand je reçois une correction je suis trop occupée par mes fesses pour penser quoique ce soit. Les réflexions je le fais au coin. La meilleure pratique qui soit selon moi pour une femme moderne de s'imposer (ou plutôt de se faire imposer) un temps d’arrêt dans une vie trop active. Alors, pour ma part selon mon homme la réponse à la question est non et selon mes aperçues de ces clips j'opte également pour le non. J'aime cet air joyeux de la dame et je m'y retrouve. Inutile de dire que le célèbre : Omne animal post coitum triste (après le coït les animaux sont tristes) ne me correspond pas. Après... c'est la joie de vivre, le bonheur à l'état pur, la détente physique et j'en passe. Mais bon sur ce point c'est assez semblable à l'effet d'une bonne correction...


vendredi 10 janvier 2014

455 Liens de discipline domestique (96 ème édition)

Étrange question !


Selon cet article de magazine, datant de 1949 la réponse est de l'ordre géographique. Interdit à Pittsburgh, cette punition maritale est autorisée en Canada et à Chicago. Je le dit d'entrée, je doute du sérieux de cette publication. J'opterais personnellement pour de la distraction pure sur un mode : « Le désir est le père de la pensée » comme disait Nietzsche. Alors, c’est l’histoire d’un mari de Pittsburgh qui surprend sa femme en train de faire de yeux doux à un admirateur. D’abord le mari s’en prend au monsieur, puis une fois rentré à la maison « il donne à sa femme ce qu’elle mérite ». Considérant ainsi de défendre son ménage, son mariage et les maris en général. Décision du juge :

Le mariage ne donne aucun droit au mari de fesser sa femme. Aucun homme ou aucune femme mariée n’a le droit de prendre la justice en main en appliquant un châtiment corporel à son partenaire. Ni la loi divine, ni la loi humaine autorise un homme de se transformer en « homme de caverne » pour prendre sa femme pour un « pounching ball ».

Par conséquence, le mari est condamné à une amende de 1000 dollars et relâché à condition de quitter le domicile conjugal et de laisser des futures réprimandées à la justice. Par la suite cet article parle d’autres juridictions qui approuvent la « punition maritale » ou qui conseillent même de l’appliquer.

Mon avis perso : S’il n’y a pas consentement de la dame, je ne peux qu’approuver l’interdiction de lever la main sur son postérieur et je me distancie de ce genre de pratiques. Le droit de dire « non « de la part de la dame me parait un pilier essentiel de notre société moderne. Je ne confonds pas mes fantasmes et pratiques avec un droit légitime sur autrui.


Un peu trop burlesque à mon goût ce que fait cette dame sur scène. Puis moi et les tatouages... enfin je ne vais pas être mauvais langue car le maquillage permanent c'est aussi du tatouage. Alors oui, j'adore faire des spectacles danse en petit cercle famille et/ou amis avec la Harley Davidson de Brigitte comme spécialité. Puis je sais aussi faire à la merveille tout genre de parades de majorette. Par contre me fesser moi-même pour le plaisir des spectateurs, je me vois mal. Et devant mon chéri tout seul, vautré dans son canapé... s'il insiste vraiment... oui ! Femme soumise ? Façon de voir les choses ! Plutôt couple animé du désir de se faire plaisir mutuellement. Car il m'arrive aussi de demander des trucs à mon chéri pour me rincer l’œil. Comme poser un carrelage de cuisine en plein été, seulement vêtu de gants de travail et d'un minuscule string en cuir. Et pendant deux magnifiques heures je me suis sentie l’incontestable reine à la maison avec devant mes yeux mon homme suer et pester. Car il peste beaucoup pour la forme quand il bricole. Cela doit être un geste d'auto-motivation pour lui. Puis quand il a bossé dur physiquement, il aime bien se détendre après son travail. Par exemple en me mettant sur ses genoux. Que ce soit pour me taper les fesses ou me faire de guili guili. Bon, je retiens dans ce spectacle ce type de paddle particulièrement sonore. Sans être collectionneuse, je serais quand même assez curieuse pour l'essayer !


Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !













mercredi 8 janvier 2014

454 Corriger la belle au bois dormant (suite et fin)


Tu aimerais me découvrir au milieu d'une rivière dans une telle tenue, chouchou ?

Mon chéri pointe les oreilles. Il me connaît bien, très bien et il sait que je suis facilement chiche pour mille et une petites folies. Le déguisement c'est ma deuxième nature et comble mon sens de la fête, veut dire sortir de sa peau habituelle.

Tu veux dire en bottes de caoutchouc et tes fesses en l'air, isabelle ?

Non, il n'est pas un fanatique de la chasse et de la pèche mon chéri. Plutôt champignons, myrtilles et fraises de bois. Enfin il connaît à peu tout ce qui se mange en foret. Car il aime la nature. Surtout au petit matin. Contempler la brume, les levés de soleil romantiques et tant d'autres merveilles, réservées à ceux et celles qui se lèvent tôt. Alors oui, je n'avais aucun mal à l'imaginer étant ado, imbibé de la fantaisie de rencontrer la belle dame (de l'autre post) sur son chemin. Toutefois la probabilité (à moins de tomber sur une mise en scène pour faire des photos) me semble plus que minime. Et j'étais plutôt amusée de découvrir ce qui faisait (et fait encore ; je n'en doute point) frémir le contenu du caleçon de mon homme.

Pour ma part avant de rencontrer mon chéri pour rien au monde j'aurais eu l'idée me me promener à l'aube dans la nature. Et encore moins de me mettre en cuissardes de pécheur et veste en tweed en attendant qu'un monsieur veuille bien passer par ce chemin. Déjà parce toute seule je suis trouillarde. Je manque aussi, une évidence pour une petite poupée de ville, du sens d'orientation. Alors n'en parlons pas du risque de me perdre sur mon chemin comme les filles dans les contes de fée. En plus quand j'étais encore célibataire, j'aimais surtout le matin... rester dans mon lit douillet. Puis je suis tombée sur mon homme qui – avec une main de fer - a su changer mes mauvaises habitudes :

Une fille bien éduquée passe pas sa journée au lit, isabelle !

Contrairement à ce que l'on pourrait imaginer, j'ai pris beaucoup de plaisir à cet aspect de mon éducation. Et depuis je suis pomponnée déjà très tôt le matin. En trichant un peu avec l'aide d'un maquillage permanent et une épilation intégrale définitive. C'est fou le temps que cela fait gagner. N'en parlons pas des cheveux courts qui se coiffent en trente secondes.

Une fille bien éduquée montre pas non plus ses fesses de manière si provocante !

Sous peine de se choper une bonne... Enfin déculottée n'est pas le bon mot, car de culotte il n'y en a pas. Comme je connais bien mon chéri qui aime tant me corriger pour mes attentats à la pudeur. Et je ne puis lui donner que raison. J'adore son côté d'inépuisable défenseurs de bonnes mœurs.

On ne plaisante pas avec la morale, isabelle !

Quelle idée aussi, si tout le monde se mettait à montrer ses fesses en pleine nature. Je précise que cette tenue procure une sensation assez étrange. Car bien évidement un jour je lui ai fait le plaisir de poser ainsi vêtue pour lui. Remarquons que je ne suis pas vraiment sensible à la sensation du caoutchouc, mais j'adore la chaleur douillette d'une veste en tweed. Et croire mes fesses exposées au risque de la fraîcheur matinale, c'est mal connaître mon homme. Son sens aigu de la morale lui interdit, d'envoyer sa dame si dénudée au milieu des eaux.

Il faut sauver la pudeur à tout prix.

Et quoi de mieux qu'une jolie teinte rouge pour donner une allure habillée à un popotin d'ordinaire assez blanc ? Me voilà donc , ce mémorable jour, en bottes de caoutchouc et veste en tweed, allongée sur les genoux de mon homme. Lui même confortablement installée sur un tronc d'arbre (jamais en maque de romantisme celui-là !) en train de fêter dignement l'arrivée du nouveau jour par une activité de plus claquante. Quoiqu'il en soit traitement de plus efficace, car j'ai mis très peu de temps pour ne plus sentir la température ambiante. Il a pris son temps pour faire concurrencer la teinte de mon postérieur avec celle du soleil levant. Quand on aime on ne compte pas et je me suis levée de ses genoux avec l'impression de passer le reste de la journée sans pouvoir m’asseoir. Alors avec un très considérable mal aux fesses je me suis mise à faire des pas de grue dans une petite rivière de montagne en faisant bien attention de ne pas glisser.


Non, je ne suis pas vraiment pudique. Et à vrai dire je suis nullement gênée par l'idée que l'on me découvre toute nue en pleine nature. Je ne manque pas d'humour non plus. Mais je me suis quand même posée la question du ridicule aux yeux d'un éventuel pécheur ou promeneur apprécient le même endroit que nous ce jour-là. A cause de ma tenue quelque peu... inhabituelle. A cause de la couleur de mon derrière annonçant de loin que je n'ai pas encore dépassé l'âge de la fessée. Ou à cause de ma démarche si hésitante. Trois éléments formant ainsi un tout, ne manquant pas de grotesque pour une personne étrange à notre passion. Or cette matinée est restée entre mon chéri et moi. Ajoutons que j'ai profité sous les yeux amusées de mon mon homme pour un très bref bain de siège dans une eau glaciale avec l’horrible sensation de l'eau qui rentre dans mes bottes parfaitement étanches...