mercredi 30 août 2017

1040 La fessée, c'est maintenant !

Non, on attendra pas le retour à la maison !

Il y a des jours que Monsieur se réveille avec une virilité en pleine expansion. Cette superbe érection je la sens bien, car il se colle derrière moi, entre mes fesses toutes nues, pour me faire mon bisou du petit matin dans mon coup. C'est le frisson assuré. Non, pas de galipettes au réveil, nous y reviendrons plus tard. J'ai l'impression que ce phénomène naturel le rend nerveux. Comme il devient tatillon.

T'as intérêt à te tenir au carreau aujourd'hui, isabelle !

Tu as la main qui te démange mon chéri... ou autre chose ?

Une isabelle prévenue en vaut deux. Quand Monsieur est nerveux j'ai des sérieux soucis à me faire pour mon fessier. Habituellement cela se finit toujours mal pour moi. Avec comme résultat de me trouver dans un coin, mes fesses à l'air et douloureusement sensibles. Je me pose souvent la question si l’émoustillement sous-jacent aiguise le sixième sens de mon homme pour trouver infailliblement mon écart du droit chemin. Ou encore si sa « nervosité » se révèle contagieuse me poussant la faute.

Ce matin au programme les grandes courses de la semaine. Donc un déplacement conséquent, car nous habitons à la campagne. Avec un temps tristement gris, j'opte pour un jeans qui semble énerver encore plus mon homme.

Tu peux pas choisir quelque chose de moins voyant, isabelle ?

Quoi ? C'est un simple jeans...

Deux tailles trop petit avec tes jarretelles qui se dessines au travers du tissu.

Ce n'est pas ma faute. C'est toi qui me dit toujours de préférer les bas aux collants...

Tu me cherches ou quoi...

Tout compte fait, il a raison. Je crois que mon inconscient (...qui a bon dos, isabelle!) s'est mis au service de son érection matinale. Je me dépêche pour enlever mes porte-jarretelles. Manœuvre qui prend un certain temps. Il n'est pas facile de se débarrasser d'un jeans moulant, de retirer sa belle lingerie et de remettre le jeans.

Dépêche-toi, isabelle...


Tu veux que je sorte toute nue...

Pas de réponse. Connaissant mon chéri, il doit être en train de bouillir. Non, je ne ferrais pas un détour au rayon maquillage aujourd'hui. Sinon il risque l'infarctus si je lui remplis « son chariot bien rangé » avec un bras plein de produits auxquels il n'y comprends rien. Au contraire, je veille sur sa santé.

Pas de charcuterie, mon chéri. Nous allons faire une semaine de légumes.

Mais, isabelle, j'ai un excès de bon cholestérol...

Alors nous prenons un peu plus de munster et de chaumes...

Pour avoir cette odeur de fromagerie le matin dans la cuisine.

Mauvaise langue, c'est grâce au fromage que tu t'es levé ce matin en si bonne forme.

Là, il bout encore plus. En gros, lui c'est plutôt charcuterie et moi c'est plutôt fromage. Toutefois depuis plus de 18 ans je lui colle une tartine au fromage tous les matins dans son assiette. Il est bien connu que le fromage fort entretient la libido et je veille scrupuleusement qu'il mange sa tartine.

Pour l'égayer un peu je lui propose en chuchotant quelques gâteries. Une bonne sucette ou encore un long massage à la vaseline dont il raffole habituellement en prélude d'un plaisir de plus indécent. Mes paroles tombant sur un terrain particulièrement favorable ne manquent pas d'effet. Je ne peux m’empêcher de glousser joyeusement en voyant la déformation qui commence à se dessiner sous le pantalon de Monsieur.

J'ai horreur que tu me provoques en public, isabelle...

Je n'y peux rien, si tu ne sais pas te tenir...

Tu te souviens du petit chemin au retour qui mène dans les bois...

Calme toi mon chéri, sinon tu vas bander encore plus...

Évoquer la fessée ne laisse pas mon homme indifférent. Idem pour moi quand il me menace de me corriger. Je me sens toute frétillante dans ma petite culotte. Et bien que nous soyons très traditionnels concernant mes punitions en passant hypocritement sur les effets secondaires, je prend beaucoup de plaisir d'être allongée sur les genoux de mon chéri en savourant en dessous de moi ce qui fait la différence entre un homme et une femme.

Promenons-nous dans le bois !

Ma punition pour propositions aguichantes en public n'attendra pas le retour à la maison. Monsieur a une façon inimitable - après s'avoir arrêté dans un endroit discret - pour me baisser mon jeans et mon string. Avec lui ce n'est jamais la fessée gratuite si j'ose dire. La sanction est tombée pour un vrai motif, extrait d'une petite liste que nous avons établie au fil du temps. J'ai pris très vite habitude et goût à la fessée en plein air, surtout quand Monsieur joue sur sa force pour me soulever et m'installer sur ses genoux. Devant un mâle aussi puissant je n'ai aucun mal pour me sentir frissonnante comme une ado qui ne connaît pas encore les finesses de la chair.

Puis il dégage l'autorité nécessaire pour que ma fessée me semble de plus légitime.

Détail qui ne manque pas d'importance pour déclencher le mécanisme jouissif d'une punition traditionnelle bien mérité. Puis, ayant ainsi reçu au fil du temps une éducation de plus stricte, j'ai su faire mienne la devise de mon chéri :

On baisse sa culotte d'abord et on discutera après, isabelle.

Certes, cela me fait toujours aussi drôle de devoir exprimer mon mea culpa avec mon jeans et mon string autour de mes chevilles, mais je sais que le traitement à venir me réussira à la merveille. Non seulement il booste ma libido, mais il dégage également un fort effet apaisant qui me met en harmonie avec moi même. C'est un effet à accoutumance qui a besoin de fessées régulières pour être maintenu. Je suis préparée pour mon rappel à l'ordre. Le prestation débute avec beaucoup de souplesse dans l'application, aboutissant à une fessée voluptueusement sonore.

Pour qu'on entende le loin ce qui arrive aux grandes filles pas sages !

Il y a toujours ce désir qu'il y ait un témoin de ma punition. Détail qui semble coller au fantasme de la fessée punitive. Expier ses fautes devant un public qui n'attend pas moins pour m'accorder un retour dans le droit chemin. Mais faute de témoin bienveillant, la douleur dans mon derrière se charge de consommer ma culpabilité sous-jacente. Cette culpabilité qui se manifeste par mon enthousiasme pour telle ou telle autre punition. Je reconnais d'avoir mis mon chéri dans l’embarras dans le magasin et ma correction me semble de plus méritée. En claquant fort, Monsieur se détend ses nerf et cela lui fait beaucoup de bien. Ceci dit cela ne s'arrange pas au niveau de la bosse sous son pantalon. Qu'importe, je m'en chargerai une fois revenue chez nous...

mercredi 23 août 2017

1038 Convocation au bureau de monsieur (Petite fiction)

Dans mon bureau, jeune dame. Tout de suite !

Hou-là ! Monsieur a des choses à lui dire et le fait bruyamment savoir. Il arrive toujours à étonner sa dame par la portée de sa voix. Mieux encore, il sait lui procurer l'impression oubliée depuis son enfance de risquer de « se faire pipi dans sa culotte ». Certes, Madame ne perds pas le contrôle de soi, mais il ne s'agit pas d'une vaine formulation. Plutôt d'un phénomène bien réel, bien physique. Une stimulation des voies urétrales comme quand ses petites et grandes angoisses s’accompagnaient encore d'un état terriblement tendu dans sa petite culotte. Par cet effet elle se sent étrangement gamine grondée et baisse ses yeux.

Ah, l'univers enfantin quand tu nous rappelles à l'âge adulte notre ressenti de jadis.

Madame pense avec nostalgie à l'époque quand elle se coinçait sa serviette de toilette entre ses jambes pour retarder le plus longtemps possible le moment d'aller au coin pour les petites pisseuses. En surveillant soigneusement que personne ne soit dans les parages pour observer son petit ménage.

A croire que depuis toujours le plaisir par sa simple existence lui donne mauvaise conscience.

Ce jour-là, des années plus tard Madame se sent coupable à nouveau. Coupable d'un plaisir gourmand pris en cachette et qu'elle a cru orgueilleusement impossible à découvrir. S'exposant ainsi au risque de compromettre son régime dont elle a confié la surveillance à son mari. Celui-ci prend très au sérieux cette mission. La supercherie de sa dame l'a fait sortir des ses gonds. Colère bien visible, créatrice d'angoisse.
L'atmosphère devient envoûtante. La magie opère, car du comportement de Monsieur émane un mélange d'autorité et de virilité qui fait craquer Madame sur le champs. Terrain propice pour que l'étincelle passe de l'urètre sur le petit bouton qui amplifie la tension sous la dentelle.

Avant de passer dans son bureau, il y a l'inévitable halte aux toilettes. Monsieur y tient. Il faut évacuer d'abord la pression de la vessie pour que Madame puisse se concentrer pleinement sur son mea culpa. Il n'aime pas quand elle sautille devant lui d'un pied à l'autre en se serrant les cuisses. Malheureusement pour Madame, l'intimité aux toilettes est un privilège des grandes et perdue pour l'instant par un comportement indigne d'une adulte. Sous le regard amusé de son homme, elle trousse sa jupe et baisse sa culotte. Madame est intégralement épilée. Monsieur tient à un entrejambe lisse qui est indispensable selon lui pour une hygiène rigoureuse chez les filles. Madame a fait sienne les maximes éducatives de son mari. Et bien que dans une séance de bonne vanille elle reconnaît l'avantage de l’absence des poils, elle n'est pas vraiment à l'aise maintenant de se savoir sans le moindre rempart de pudeur. Elle est honteuse en rougissant tout naturellement. Mais habituée à cet exercice, elle s'applique vite.

Pourquoi remonter ma jupe et ma culotte ?,

pense-t-elle. Il est convenu depuis longtemps qu'elle se dirige dans le bureau de son mari vers un fauteuil pour visiteurs pour se débarrasser de sa culotte ou de mon string selon l'occasion. Pour ce il faut d'abord trousser les robes ou jupes amples. Quand aux jupes droites -comme aujourd'hui- il convient de les enlever et de les plier soigneusement. Au cas où elle se trouve en jeans, l’exercice est le plus difficile. Le baisser ainsi que son string et d'avancer avec cet attirail autour de ses chevilles vers le bureau de travail de son chéri qui se trouve derrière et qui ne la quitte pas les yeux. Il savoure le spectacle qu'elle lui présente. Son déculottage sur ses talons hauts spécial « maison » est toujours un exercice difficile qui offre une multitude d’aperçues indiscrets pour une âme de voyeur.

Nous allons avoir une discussion sérieuse jeune dame !

Il n'est pas évident d'envisager une discussion sérieuse quand on se trouve partielle dénudée devant une autre personne. Mais comme son homme se passionne pour le voyeurisme, pour sa part elle n'est pas insensible aux charmes de l'exhibitionnisme. C'est un élément essentiel de leurs rituels punitives.

Est-ce que tu poursuis toujours ton régime ?

Bien entendu mon chéri !

Madame a l'audace de lui rappeler la pesée du matin, instaurée sur son initiative pour que Monsieur surveille son régime. Tout était en ordre. Elle se montre triomphante malgré ses fesses à l'air. Monsieur reste silencieux.Un silence qui pèse. Puis il ouvre son tiroir de bureau et sort le martinet en le posant délicatement bien en vu de Madame.

Tu n'a rien oublié ?

Euh...non...

J'ai fait un tour dans la réserve. Tu as osé remplacer au frigo...

Madame se dépêche pour confirmer les faits. Mieux vaut avouer tout de suite sous peine de voir sa sentence alourdie. Elle n'oublie pas non plus de mentionner son lavement très matinal pour intervenir favorablement au niveau de la balance. Monsieur se réjouit de cette coopération dans laquelle Madame sur sa lancée confesse deux autres erreurs non découverts et survenus dans les derniers jours.

Puis derrière une porte ferme une vilaine fille expie son péché. Le martinet claque plus fort que d'habitude sur ses fesses et elle ne sera pas congédié avant que tout son fessiers ne sera striée en long et en large. Monsieur laisse libre cours a son besoin de punition en jouissant de sa toute puissance. Maintenant c'est lui qui se sent tendu... au niveau de son pantalon. En fait, il prépare soigneusement le terrain pour le devoir conjugal, plus tard, le soir. Il est friand du popotin rouge et brûlant de son épouse. Toutefois pour se récompenser de sa vaillance pour déjouer las mauvais tours, une fois la martinet posé, il enverra Madame dans un coin de son bureau. C'est là qu'elle méditera sur ses méfaits en exposant son fessier fraîchement châtie au regard de son mari. Enfin, nous n'en sommes pas encore là. Pour l'instant Madame implore le pardon de son mari en promettant de ne plus jamais mentir. Le tout en bougeant - malgré elle -obscènement son derrière au rythme des lanières faites dans un solide cuir. Monsieur sourit en éducateur comblé !

vendredi 18 août 2017

1037 Liens de discipline domestique (284 ème édition)

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !



















Entre copines (petite série)


Étrange position (petit clip)




1036 Matinée sauna entre filles

Elle a tenu parole.

Elle est venue dans une petite robe légère sous son manteau bien chaud. Moi aussi je suis en petite robe. J'ai l'habitude d'en porter en hiver... à la maison exclusivement. C'est mon rayon de soleil. Voila qui fait du bien de se retrouver entre copines, parées d'un air estival.

C'est drôlement bien chauffé chez toi, isabelle !

N'est-ce pas ! Mon chéri est un spécialiste de l'isolation.

Je ne me prive pas de lui raconter l'envers du décor. Monsieur, friand de me voir en tenue glamour d'un autre âge, j'ai posé mes conditions. Un environnement favorable aux bas et les porte-jarretelles. Pari tenu. Je peux me promener à poil dans la maison sans craindre le moindre rhume.

J'ai invité ma copine pour faire du sauna avec moi. Inutile de dire qu'il s'agit également d'un travail de mon homme. Mais avant de nous détendre, nous buvons une petite tisane. Monsieur traverse le salon pour se chercher un truc dans la cuisine.

...c'est la sortie plage aujourd'hui ?

Mais non... on va transpirer un bon coup !

Pfff...y en a qui ont de la chance. Amusez-vous bien les filles...

J'ai l'impression de voir son cerveau assimiler l'information pas à pas. Deux filles dans un sauna égal deux filles toutes nues ! Pas besoin de plus pour mettre son sang en ébullition. Heureusement il n'est pas collant, style : Je peux me joindre à vous ». Je ne supporterais pas de partager ma vie avec un libertin. Par contre je m'en tape royalement de ce qu'il a envie d'imaginer, tant qu'il ne fait pas des yeux doux à ma copine. Fausse blonde comme moi. Coquette comme moi. Exubérante comme moi. Décomplexée comme moi.

Une fois au sauna pas de tripotage vicieux entre blondes. Nous n'allons pas aussi loin dans les clichés de la culture P. Pas de fouet de sauna non plus. Je n'ose pas encore. Que du blabla. Nous parlons beauté. L'épilation plus exactement. Ma copine affiche un ticket de métro. Vingt poils courts qui se battent en duel, comme dirait mon homme. Il ne comprends pas pourquoi les filles n'enlèvent pas tout dans ce cas-là.

Ma copine est curieuse. Elle me pose pas mal de questions. Non, je n'ai pas été à l'aise après mon premier intégral à la cire. C'était à la fin du siècle dernier quand la mode ne penchait pas encore en ce sens. Je me suis réveillée le lendemain matin avec une étrange sensation de douceur, me donnant envie de toucher cela d'un peu plus près. Essai fortement concluant par sa volupté. Puis au fil des jours je me suis habituée à mes nouvelles apparences. Seulement, quelques semaines plus tard cela a commencé à repousser et il faillait attendre une certaine longueur pour pourvoir « cirer » à nouveau. Non, je n'ai pas adopté le définitif pour moi. Je l'ai adopté pour mon homme. Me savoir sans poils le rassure... Nous rigolons ! Puis qu'est-ce que cela stimule sa libido.

Il est prêt à éclater, le chéri quand il me glisse la main dans ma culotte...

Tu crois que si j’enlevais mon ticket...

Tu n'as qu'à essayer...

Je viens de me faire épiler il y a deux jours. Allez revoir mon esthéticienne rien que pour ça, ça me fait suer...

Fais le toi-même. C'est facile. Il y a pour 2 minutes avec une bonne cire !

Tu crois...

Ben oui. J'épile une fois par mois mon homme. Il n'oserait jamais voir une esthéticienne. Il est pudique comme pas permis.

La curiosité de ma copine réveillée, je lui apprend que je veille sur ce qui se trouve sous son caleçon. Il y a bien sur ce que l'on imagine avant tout, mais non pas caché dans une jungle envahie de broussaille. Oh que non. Monsieur est aussi lisse qu'un popotin de dame. Cela lui va très bien. Puis surtout... pas d'ambiance de fauve, pas de poils sur la cuvette des toilettes...

Ah oui, je vois...

C'est un argument qui fait mouche. En papotant, il est convenu que je donne un coup de main à ma copine. Pendant que la cire chauffe au micro-onde je sors le talque pour une épilation sans douleur. Nous faisons un compte à rebours à haute voix. Façon nouvel an !

Trois, deux, un...

Un instant plus tard elle est aussi lisse que moi. Voila qui crée un lien fort. Le clan des pubis toutes glabres. Nous sommes toutes guillerettes. On dirait des ados. Rires insouciantes. De quoi intriguer mon homme qui passe à ce moment a côté de la salle de bain. Puis dans la cuisine persiste l'odeur caractéristique de la cire qui parfume encore le micro-onde pendant qu'ils se sert un café.

Comme j'apprends plus tard Monsieur s'est posé la question de ce qui se passe dans notre salle de bain.

Une douche à deux ?

Ben oui, cela aussi. Mais surtout j'ai épilé le ticket de métro de ma copine.

Vous auriez bien mérité...

Au moins il ne se cache pas. Le fantasme de fesser une de mes copines le turlupine régulièrement. Moi aussi je pars du principe que cela ne leur ferait pas de mal. Mais j'ai du mal à gérer ma jalousie. Alors à défaut de corriger deux filles pour comportement éhonté, il me fait parvenir généreusement une double ration. Ma peau mise en condition par une longue séance de sauna ne manque pas de sensibilité et ma libido, également stimulée par le sauna répond favorablement à la main vicieuse qui s'extasie sur mon épilation définitive.

PS : Notre petit coup de cire a engendré des miracles. Il paraît que le mari de ma copine ait raté plus d'une fois son jogging matinal parce que sa langue le démange...

mercredi 16 août 2017

1035 Journal d'une soubrette

Elle est au courant de tout la petite dame !

Non seulement elle connaît le planning de la journée de Monsieur, ses habitudes à l’extérieur, ses habitudes à la maison et ses plats favoris. Ses fréquentations professionnelles, ses amis, son charmante épouse, actuellement en voyage. Elle sait beaucoup plus que cela. Comme les grands et petits détails croustillants qui font frémir cet homme. Elle est là pour cultiver un jardin secret en toute discrétion en maîtrisant le comment. Savoir acquis petit à petit lors de délicates missions dont Monsieur raffole. Non pas de plan à trois, l'ambiance reste plutôt sobre.

Mademoiselle, je me sens très tendu aujourd'hui. Vous me porteriez pour mon quatre heure un café et le martinet !

Monsieur est toujours tendu quand il fait appel à sa soubrette. Notamment en automne quand la grisaille s'incruste et le monde se prépare au froid. Il en va de soi que le service s'effectue en tenue appropriée. Courte robe noire avec tablier blanc en dentelle. Sans oublier une coiffe dans les cheveux. Le tout cachant un inspirant univers de lingerie dont des bas coutures impeccablement tirés annoncent la couleur. Notre soubrette ne manque pas d'équilibre pour marcher sur de très hauts talons.

Monsieur n'aimerait pas une soubrette docile, voire soumise. Plutôt sure d'elle n'ayant pas la langue dans sa poche. Notre soubrette occupe son emploi à des rares occasions. Quand ses désirs coïncident avec ceux de Monsieur. Elle non plus n'aime pas la grisaille d'automne. Et elle aussi, comme Monsieur se sens tendue. Son inhabituelle tenue, une épilation intégrale à la cire pour l'occasion, puis l'allusion au martinet ont fait leur effet. Alors en préparant le café, elle ne détache pas son regard de cet objet de punition d'un autre âge, négligemment posé sur la table de la cuisine. C'est un martinet simple comme il en existaient des milliers à une certaine époque avec un manche jaune et des lanières d'un cuir assez solide, mais qui se dégradent vite quand l'usage est trop fréquent. Celui-ci est tout neuf. Les lanières n'ont pas encore filochées, ni sont-elles imbibées par la sueur d'un fessier qui subit régulièrement de sévères corrections. Notre soubrette se sent à l'aise dans sa tenue ou plus exactement dans son rôle. Cachée derrière son uniforme elle se trouve loin de son quotidien. Prête à se laisser aller dans un monde parallèle.

La fessée a croise tôt sa route. Non pas comme une pratique éducative de son enfance, mais comme un pays imaginaire dans lequel les vilaines filles payent les écarts de leur comportement sur la peau de leurs fesses. Elle avait habitude d'évoquer ses « belles histoires » sous sa couette en coinçant une peluche entre ses jambes. Et personne n'a compris quand devenue jeune adulte elle n'a pas voulu se séparer de son doudou fétiche.

Puis un jour après avoir croisé la route de Monsieur, ce doudou bien méritant est tombé lentement dans l'oubli. Car Monsieur avait présenté à notre soubrette un ami en commun, un martinet comme celui sur la table qui semble lui parler. Ne manque qu'à préparer la dînette pour aller au bureau de Monsieur. L'horloge à pendule ne va pas tarder à sonner les quatre coups. La ponctualité est primordiale dans le vie d'une soubrette. Cela fait quelques jours qu'elle se prépare à sa fessée. Monsieur est un puriste qui ne se permet pas le moindre geste de travers. Aucun attouchement indécent. Elle sortira de son bureau avec les fesses en feu et un entrejambe luisant d'émoustillement, encore insatisfait. Mais le monde à ce moment ne sera plus le même. Elle a besoin de se sentir punie. Littéralement ! Sentir une intense douleur dans ses fesses. Sentir la brûlure comme condition d'un plaisir à venir, comme condition de jouissance. État initié par la fessée et qui va perdurer de longues semaines. Son mari va s'étonner de son ardeur retrouvée, se réjouir de son entrejambe tout lisse et savourer les câlins les plus osés.


Et pendant qu'elle pousse sa dînette pour se jeter dans la gueule du loup à quatre heures pile, elle se pose la question comment Monsieur vivra de son côté le retour à la réalité. Quand il rangera le martinet, une fois sa soubrette partie...

vendredi 11 août 2017

1034 Liens de discipline domestique (283 ème édition)

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !


La main souple (petit clip)









Culotte d'antan (petite série)










Pan-pan cucul tout nu (petit clip)



1033 La dame sur l'escabeau

Un autre souvenir d'adolescence de Monsieur 183

La fascination de mon homme pour les escabeaux ou plus précisément pour les dames sur les escabeaux date de son adolescence. Le « souvenir déclencheur » me semble une réactivation d'un aperçu antérieur, quand il a été un tout petit garçon et lié à ses investigations sur la différence entre garçon et filles. Une entrevue sous les jupes de sa maman ou toute autre dame à porté... de ses yeux. Bref il a gardé l'habitude de se tordre le cou à chaque fois que se présente la possibilité de me regarder sous mes jupes.

J'y pense donc forcement quand je fais en sa présence la poussière dans son bureau. Il y a des étagères chargées de livres jusqu'au plafond. Pour passer mon plumeau (ben non pas de plumeau, mais un truc hyper-moderne qui laisse aucune chance à la poussière!,) moi aussi je me sers d'un escabeau. Il en va de soi que j'essaye de surpasser son souvenir d'adolescence. Alors niveau froufrous je mets le paquet. Le tout sous une jupe ample, assez courte.

A mes risques et périls !

Gare à mes fesses, car Monsieur pousse loin le moralisme. L'exhibitionnisme éhonté est puni chez nous de manière fort claquante.
Parce qu'il paraît que de me voir ainsi accomplir mon travail, le déconcentre dans le sien. Il est vrai, dès que je commence à agiter mon attrape poussière, son regard se colle sur moi et me suit. Notamment quand je montre sur l'escabeau. Puis en me penchant en avant, mes strings donnent un effet fesses nues.

J'ai à peu près tout vu avec mon chéri, y compris sa tête sous ma jupe, son nez coincé entre mes fesses.

Fabuleux un escabeau ! Outre que fesser, mon chéri sait également se servir -à la merveille- de sa langue. En faisant attention toutefois que le plaisir ne me procure pas des vertiges. Heureusement il ne manque pas de force et sait me rattraper dans ses bras. Dans ces cas j'ai l'impression que la chasse a été bonne. Il me porte vers son fauteuil, puis suit ses inspirations. Dernièrement il aime bien que je lui fasse une sorte de lapdance, style vas-y que je me frotte. De préférence ma jupe relevée. Je m'applique sagement, car comme il dit à juste titre :

Tu l'as cherché, isabelle !

Ben oui, sa pause dans la matinée tardive, c'est notre moment à nous. La petite à l'école tout est permis. Et cet interlude contribue fortement à la bonne humeur de mon chéri et lui donne de l'élan pour poursuivre son travail.Seulement, avec l'âge il devient plus vicieux.

Il a pris goût au lapdanse avec mes fessée préalablement chauffées de façon traditionnelle.

C'est-à-dire une bonne fessée. L'effet est vraiment intéressant. La fessée rend mon derrière ultrasensible et me frotter sur une virilité en pleine forme, de préférence libérée du pantalon et du caleçon, me procure de fortes sensations. Un joli jeu sans pénétration dans lequel j'arrive facilement au bout de la résistance de mon homme.

mercredi 9 août 2017

1032 Satisfactions indécentes...

...ou le pragmatisme oral de certaines filles !

Pour ma part, mon intérêt pour regarder dans un film un homme pénétrer une femme converge (ah comme la langue française est poétique !) vers zéro. Il n'en est pas de même pour mon homme. Les garçons me semblent plus curieux que les filles envers le matériel visuel. Certes, on essaye ci et là d'imposer une égalité en pointant sur le fait que les filles aussi aiment regarder l'explicité et n'osent pas l'avouer.

Perso je n'y crois pas trop à cause du pragmatisme féminin qui sait trouver du plaisir concret un peu partout.

Si on considère un plaisir sexuel féminin comme réceptif, commençant par un émoustillement à l'idée d'être pénétrée, on voit facilement un avantage du côté féminin. Je donne un exemple concret. Souvenons nous du film « American pie » avec la fameuse scène du gâteau aux pommes. Nous y voyons un jeune homme pénétrer un gâteau pour trouver soulagement d'une pulsion urgente. Les choses sont ô combien plus simples et surtout discrètes pour une dame. Personne ne va se poser des questions si une dame s'enfile un bon gâteau en poussant des soupirs voluptueux.

Ce phénomène, pudiquement appelé par Freud une sexualité polymorphe perverse, fascine beaucoup mon homme.

Il peut s'extasier sur ma façon de manger une glace par exemple. Acte sans le moindre doute hautement sensuel pour moi. J'ajoute que ma fantaisie correspond bien au cliché que l'on y associe. Puis, la curiosité de Monsieur avait comme effet sur moi que...

... je me suis mise dans notre intimité à accentuer … l’obscénité de mes mouvements et gestes.

Au grand plaisir de mon homme qui ne manque pas d'ailleurs de m'acheter régulièrement des cornets de glace. Seulement les mauvaises l’habitues prennent vite une vie propre pour devenir un automatisme. Jusqu'au jours où lors d'un repas entre amis tous les regards se sont posés sur moi. J'ai profondément rougi et j'ai su que je m'étais rendue coupable d'une faute majeure : un comportement obscène en public. Je n'avais aucune excuse et une des dames présentes n'a pas hésité de souligner mon attitude par un amusé :

Tu fais pas semblant, isabelle.

Tout le monde a rigolé. Nous étions entre adultes et la fellation fait intégrante partie de la vie amoureuse de nos amis aussi. Il n'y a pas de quoi fouetter un chat. Ce n'est pas non plus mon penchant pour une sucette soigneusement appliquée qui m'a fait rougir, mais mon fantasme sadique, profondément enfui sous une surface d'adaptation sociale... de mordre. Toutefois cette fantaisie devient réalisable quand Monsieur me met un bâillon qui récrée la virilité masculine. Quand nous sommes chez mes parents notamment, car j'ai tendance à me laisser complètement aller quand Monsieur me fait l'amour. Alors au lieu de verbaliser mon plaisir ou du moins de lui donner une forme fort sonore, je transmet mon émoustillement à mon bâillon et en voyant les empreintes de mes dents dans le joli objet en cuir, j'ai dû impressionner mon homme.

Quel mordant ! Sacre isabelle.

Sans manquer un regard quelque peu inquiet vers son jeans...

Du calme mon chéri... tu ne risque rien avec moi !

vendredi 4 août 2017

1031 Liens de discipline domestique (282 ème édition)

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !















Ne plaisante pas (petit clip)



Monsieur prend plaisir (petite série)


1030 Manque de perversité (petite fiction ou non)

Tu t'es mise à la guêpière, isabelle ?

Dit-elle, ma bonne copine sur un ton moqueur bon enfant en me voyant avancer à petit pas. Tout est dans son regard amusé. Elle sait très bien que je me bats (comme elle d'ailleurs) durement contre mes kilos en trop et me soupçonne maintenant de faire appel à la méthode forte pour me mettre à mon avantage. Effectivement, une solide guêpière crée par sa coupe de plantureuses formes caractéristiques qui se remarquent. Et qui plaisent ceci dit ! Mon chéri n'est pas le seul homme à en être friand. Il n'est pas pour rien d'ailleurs que « je me suis mise » à ce vêtement, car je lui ai manqué ce matin même du respect.

Faute grave qui a été sévèrement sanctionnée par une fessée au martinet.

Penchée sous son bras, j'ai transpiré pendant de longues minutes en promettant une prompte amélioration de mon comportement. Monsieur prend beaucoup de plaisir à écouter mes bonnes résolutions dans de telles circonstances en cultivant une perversité certaine. Vu ma position et vu l'ardeur de mes gigotements, je dévoile malgré moi les aperçus de plus indiscrètes de mon entrejambe. Informations directement transmises dans le caleçon de Monsieur pour une réaction de plus virile. En homme « sérieux « qui se respecte, il n'abuse pas de la situation pour un intermezzo coquin. Toutefois estimant que j'aie la peau dure et que je ne sois pas été assez convaincante dans mon mea culpa, j'ai écopé d'une punition supplémentaire : Une semaine de port de guêpière. Décision prise donc ... à cause d'une « lubie» sous le caleçon et qui ne se justifie pas par une morale disciplinaire quelconque. Monsieur étant très inspiré m'a même donné un coup de main … supplémentaire pour fermer avec passion une par une les petites agrafes dans mon dos. Pendant cette procédure j'avais l’impression de sentir doubler le volume de mes seins et surtout de mes fesses, déjà sensibilisées par l'action du martinet. Subjugué par la vision de mon derrière ainsi mis en valeur, il n'a pas jugé utile que je m'habille entièrement. Ainsi, j'ai dû parader avec mes fesses bombées à souhait sous ses yeux dans la cuisine en préparant notre petit déjeuner en amoureux. Une séance de discipline le bon matin me réussit toujours à la merveille. Je déborde d'énergie et je ne manque jamais d'initiative coquine.


De plus je trouve terriblement sexy un homme qui tient un martinet en main pendant qu'il me parle.

Après de petits bisous et un « small talk maison » de plus indécent, c'est-à-dire une sucette gourmande qui laisse le lieu du crime dans un état impeccable, j'ai dû me dépêcher pour me brosser les dents et surtout pour ne pas rater mon rendez-vous avec ma copine. Il en va de soi que mon fessier brûlait encore. C'est une chaleur fort agréable, à accumulation, faisant part des énergies renouvelables, proportionnelle à l'intensité de ma fessée et qui peut se propager pendant des heures, surtout en mettant une jupe coupée près de mon corps. Chaleur accompagnée d'une sensibilité accrue quand je m'assois. D'où une certaine prudence dans mes gestes qui me donnent un air exigeant et précieux. Hélas, mes inévitables gigotements n'ont pas échappé à la vigilance de ma copine qui - très cash comme à son habitude - a toutefois mal interprété les apparences :

Mais qu'est-ce qu'il t'arrive. Tu t'es faite sodomiser en beauté ce matin, isabelle ?

Ayant avec ma copine une relation de plus franche, elle est au courant de pas mal de détails de ma vie intime. Comme par exemple notre prédilection pour les ébats le matin. Sur le coup je n'ai pas pu résister de faire sortir la vilaine fille en moi, mettant ainsi les cartes sur la table.

J'ai reçu une bonne fessée parce que je n'ai pas été sage.

Sortie du placard en toute douceur, pris comme une évidence, faisant parti d'une sexualité épanouie.

Waoh ! Il ne manque pas de perversité lui... ton homme.

J'ai bien compris qu'il s'agissait d'un compliment et aussi qu'il y avait matière à creuser...

mercredi 2 août 2017

1029 Mériterait bien une... fessée !

Mais qui la mériterait en fait ?

Mon homme aime se souvenir de petits incidents de voyeurisme involontaire qui ont pris un goût particulier pendant son adolescence. Ses amis, camarades d'école aussi ! Il semblerait que ma présence (allongée sur mon canapés en train de me vernir mes ongles) délie les langues. Peut-être parce que tout le monde sait que je suis une nostalgique de la glamour attitude et que je ne me prive pas d'accorder mes sous-vêtements à ma passion. Je ne me livre pas à des séances d'exhibitionnisme ostensible devant un public bon enfant, mais ce sont les sous-entendus comme les plis de mes bas, mes hauts talons ou ma façon de m'installer sur un fauteuil ou canapé qui chargent l'atmosphère.

J'adore ce jeu car je récolte bon nombre de compliments pour... mon élégance.

Sortent alors de jolies anecdotes concernant les aperçus indiscrets, veut dire l'histoire où un ado pour une raison ou une autre aperçoit une partie de l'intimité d'une dame. Rien de compromettant. Au mieux un haut de cuisse. Ce qui me fascine dans ces histoires c'est la façon comme...

...un banal acte de voyeurisme involontaire devient subitement un trophée de chasse qui émeut un homme même 40 ans plus tard.

C'est en rentrant de l'école que mon chéri, ado au début des années 70 passe à côté de la voisine de ses parents. La dame s'étant pour une raison ou une autre penchée très en avant, il réussit à glisser son regard sous sa jupe. Certes ce n'étaient pas des porte-jarretelles version super sexy, seulement les jarretelles d'une gaine qui tenaient une paire de bas couleur chair. Vécu qui a vite échauffé son jeune esprit et dans sa fantaisie la voisine est devenue héroïne de bien de rêveries indécents. Il a imagine d'abord de recevoir une magistrale fessée pour son audace par les mains de cette dame. Il a aussi imaginé d'être invité par elle dans son appartement, puis à être incité de lui glisser les mains sous sa jupe. Sans oublier une fantaisie beaucoup plus tardive de trouver la voisine et de lui appliquer une bonne fessée pour comportement éhonté. La « dame impliquée », si j'ose dire, passe dans la rêverie d'un rôle de « cible de voyeurisme » à une position de séduction active, bien intentionnelle avec but d’inciter notre jeune homme aux plaisirs de la chair. Notons les mille et un souvenirs de messieurs qui ont été initiés par une dame plus qu'âgée qu'eux. Ces anecdotes existent aussi au niveau de la fessée. Forme de séduction à part entière, bien que sévère et ardente. Avec un effet fulgurant sur ce qui se trouve sous le caleçon du grand garçon. Il est toujours émouvant d'écouter les confessions d'un grand gaillard qui s'imaginait au cours de son adolescence allongé sur les genoux d'une stricte dame. C'est tellement mignon de contempler comment les intentions non chastes envers une dame se transforment par une culpabilité sous-jacente en désir de punition sous forme de fessée.

Quelle idée aussi d'espionner une dame en toute impunité !

Étant d'excellent public je ne serais pas contre le fait d'assister à une séance de discipline domestique inversée. De préférence chez une bonne copine dont le monsieur s'est rendu coupable « d'insistance » envers ma personne. C'est un fantasme vengeur en quelque sorte, pour les insistances masculines réelles de la vie courante et qui trouve un dénouement ludique...