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mercredi 26 octobre 2016

953 Un faible pour le sexy de bon goût

Ça crains, tes goûts musicaux, isabelle !

Dit-il mon chéri, mais accepte sagement d'écouter ce que je souhaite lui faire découvrir. Je suis futile, mais ne pas au point de lui imposer ce qui ne lui convient pas. Pourtant j'ai droit au grand garçon qui rouspète pour la forme.

J'aime pas Karen Chéryl, j'aime pas Dorothée, j'aime pas Jane Birkin!

Regarde avant de parler.

Ses yeux s'illuminent en voyant ces jolies secrétaires en train de danser et chanter. Il a un faible pour les visages expressives, les gestes et mimique surjoués. Même en se disant que l'on se sert de stéréotypes pour créer une illusion d'une féminité qui n'existe pas, la mise en scène lui fait de l'effet.

Pourtant, mon chéri est un pur produit de l'effet post 68. Déjà au niveau de sa tenue vestimentaire, je l'ai trouvé, à notre rencontre, conformiste comme pas permis... par moi. J'avais l'impression avec lui d'un retour dans la préhistoire (la mienne ; je suis née au début des années 70) et que la révolution culturelle et sexuelle venait juste de se passer. Quelle originalité : Jeans, chemise et baskets. Au moins sa chemise était impeccablement repassée et correctement boutonnée comme indiquait mon scanner isabellien.

Puis, un intellectualisme qui se manifeste - je dirais presque sous forme de rejet - envers une certaine culture, de la musique variété notamment. Une aversion marquée contre la techno aussi... que moi j'adore. Pas de risque, je ne l'aurais pas rencontré dans une boite de nuit !

Vous allez en boite, isabelle ? Ben oui ! Pourquoi faire ? Pour danser !

J'avais l'impression d'un vrai « Loup de steppes », échappé de l'attachant livre du même nom qui décrit un monsieur d'un certain âge qui prends des leçons de savoir vivre auprès d'une jeunette. Enfin, il a su s'y prendre avec moi. Sachant aussi bien communiquer avec ses yeux qu'avec ses mots, en moins d'une demi heure j'étais embobinée, ma main dans la sienne.

Gonflé le gars...

Voila qui m'a plu ! Un homme qui ose avec une conversation égalant celle de mon papa. Il n'avait rien de ces « libertins » d'un autre âge avec leur discours soûlant sur les femmes libérées qui devraient faire ceci ou cela. Il m'a fait clairement comprendre qu'il me trouvait sexy, mais a pris le temps pour me découvrir d'abord. Attitude qu'il n'a jamais changée. Bref, lui aussi a adoré ce petit clip et il attend que je lui fasse un jour la chorégraphie pendant sa pause du matin...

(Un grand merci la personne qui m'a envoyé ce lien !)

mercredi 19 octobre 2016

950 Discipline domestique en toute discrétion

DD inversée ou pas,...

...pour ceux est celles qui pratiquent les punitions corporelles en couple il existe un problème majeur ! Rester discrets quand il y a des enfants à la maison. Je me souviens d'avoir lu dans un « best of années 70 » de courrier conseil la demande d'une dame qui souhaitait recevoir la fessée de la part de son mari, mais qui se souciait comment les sonorités seraient appréciées par ses enfants. Le conseiller psychologique de l'époque ne s'est pas trop embêté :

Il ne regarde pas vos enfants ce qui se passe dans la chambre de leurs parents !

Sur le principe je ne donne pas tort à ce monsieur. Mais ce n'est pas ma façon d'agir. La fessée chez nous se passe quand la petite n'est pas à la maison. Mon homme travaillant chez nous et moi étant mère au foyer, il est facile de trouver un moment dans la journée, ni vu ni connu. Par contre parfois les choses ne sont pas aussi simples, notamment quand monsieur et madame travaillent hors maison. Mais aussi quand le partenaire qui applique les sanctions souhaite punir sur le champs.

Que faire ?

I faut être imaginatif pour trouver une bonne solution.

Regardons l’ingéniosité de monsieur Arthur :

...nous avons finalement résolu notre problème de bruit grâce à l'usage d'un loopy johnny qui se révèle effectivement beaucoup plus silencieux que la strap. Après avoir reçu l'aval de Madame et envisager d'en commander un sur le net, je me suis finalement lancé dans la confection. Madame n'envisageant pas de me punir avec un bout de caoutchouc, il a fallu trouver une corde de cuir.

J'ai finalement trouvé ce qu'il fallait chez un cordonnier spécialisé dans... la réfection de vielles machines à coudre à pédale sur lesquelles il y a des courroies de cuir rondes de diamètre variable en fonction des modèles. Madame souhaitant disposer d'instruments efficaces, j'ai opté pour un diamètre relativement épais de 6 mm et acheter un mètre de longueur (ce qui a beaucoup surpris le vendeur qui m'a demandé 3 fois : "êtes-vous sur que la courroie de la machine à coudre de votre tante est si courte ?" ;-) Pour le manche en bois il s'est agi de faire le tour des brocantes et de le récupérer sur un ancien instrument de cuisine. Madame a fait plusieurs essais pour déterminer la longueur idéale de la corde (au final, une boucle de 80 cm avec la partie qui s'insère dans le manche). Le résultat s'est avéré à son goût, autant l'instrument que les marques aux contours arrondis qu'il laisse sur le peau. 

Pour ma part, il fut évident dès la première utilisation, qu'il valait mieux éviter que Madame ne soit contrainte de sortir cet instrument, plus redoutable que notre strap (qu'il n'est malheureusement plus envisageable d'utiliser lorsque nous ne sommes pas seuls à la maison). Outre la confection de ce loopy johnny, nous avons aussi prévu de faire un point hebdomadaire sur mon comportement chaque mercredi matin, une fois les enfants à l'école. Il s'agira pour Madame de me gronder ou de me récompenser en fonction de mon attitude des 7 jours précédents et de me donner des axes de travail. Il ne s'agit pas de repousser au mercredi d'éventuelles sanctions (qui tombent au coup par coup) mais de réserver une petite demi-heure par semaine pour parler discipline. C'est une idée qui m'enchante et qui j'espère sera à la source de nombreux progrès...

jeudi 28 juillet 2016

914 Le « journal » de Christine 2

Cours d'effeuillage burlesques


...je pense être devenue incollable pour le « shimmy and shake », le « bump and grind », le « glove peel » et aussi le « tassel twirling », du moins en théorie car il ne me semble pas avoir encore atteint le niveau d’une véritable professionnelle. Mais je m’engraine, y compris chez moi lorsque j’ai un peu de temps, car tant qu’à faire quelque chose, autant le faire bien, mon mari m’y encourage et me le rappelle fréquemment.

Ce stage n’est pas encore terminé car une majorité a demandé et obtenu qu’il n’y ait pas cours pendant les congés scolaires, ce qui me semble-t-il arrangeait aussi la prof. Le stage est prévu de se clôturer par une « représentation » privée fin mai ou début juin, à laquelle pourront assister nos conjoints, et ceux qu’éventuellement il nous plairait d’inviter avec l’accord des autres : mon mari m’a déjà dit qu’il souhaitait que nos amis (ceux qui ont le club privé) en soient.

J’ai beaucoup de plaisir à suivre ce stage, car en plus de celui d’apprendre quelque chose de nouveau, de faire ce qui est véritablement un sport, il y a également une très bonne ambiance entre nous six et nous aimons nous retrouver. J’y trouve une sorte de camaraderie et même d’amitié telle qu’on peut l’imaginer dans un pensionnat de filles, avec sa joie, ses plaisanteries et ses taquineries.


Je peux parfaitement dater quand cela a débuté : après deux premières séances où nous avions appris à ôter notre soutien-gorge selon les règles du burlesque, avec un deuxième soutien-gorge pour ne pas finir topless ( !), la quatrième fut consacrée à découvrir l’usage, et d’abord la pose des nippies (que les américaines nomment plutôt pasties). Nous avons toutes réalisé alors (pour moi, c’était déjà le cas avant !) qu’il n’y avait pas lieu d’être pudiques entre nous six et qu’il était ridicule de jouer les timides effarouchées lorsque dans le vestiaire nous nous changeons avant et après le cours. De se voir dans le plus simple appareil a favorisé la liberté de parole, la possibilité de poser des questions et échanger idées et confidences sans paraître indiscrètes, et de devenir plutôt complices.

Inévitablement, elles ont par exemple voulu savoir pourquoi dans la vie normale, je ne porte pas de culotte ! plus encore où et combien avait coûté mon épilation définitive : si les deux jeunes s’offrent l’institut, les autres en sont encore à l’usage du rasoir, deux avaient d’ailleurs une touffe assez abondante que la prof leur a de suite enjoint d’éliminer car par trop apparente sous un shorty ou une culotte un tantinet sexy.


Nous ne devrions pas tarder à commencer les répétitions des « numéros » que nous présenterons pour notre « représentation » ! Il y en aura deux : l’un sera celui des deux jeunes que nous avons surnommées « les gamines », pour lequel elles se sont offertes de belles tenues burlesques typiques avec corsets et jupes froufroutantes et pleines de falbalas. L’autre sera pour les quatre « vieilles » ( !), mais bien sûr nous préférons nous nommer les « cougars »… Nous serons toutes les quatre dans les tons de rouge (sauf les bas nylon) nuisette longue, soutien-gorge push-up, nippies, porte-jarretelles avec des broderies, shorty-string en dentelle que la prof voudrait que nous remplacions par un string en dentelle pour mieux mettre nos fesses en valeur, et escarpins avec talons de 12cm … Le secret sera d’être parfaitement synchronisées pour que ce soit réussi !

Nous voilà donc avec un beau programme !



...out d’abord, maintenant, je « connais » bien Dita von Teese ( !): notre prof de notre stage de burlesque, à chaque cours, nous montre au moins une vidéo de danse New Burlesque pour que « nous en prenions de la graine » ( !). Pour elle, Dita von Teese en est la meilleure spécialiste, et elle nous incite à bien étudier tous ses gestes et mouvements.

Si nous avons vu plusieurs vidéo de Dita, il y en a eu d’autres danseuses telle Christina Aguilera, d’autres dont j’ai oublié le nom, et aussi d’Arielle Dombasle citée en exemple car star et épouse d’un philosophe people afin de nous ôter tout complexe de nous montrer en tenue et actions sexy, mais au contraire d’être fière d’être bien « dans notre enveloppe charnelle ». Nous avons eu aussi quelques vidéos de groupe, puisque c’est ce que nous aurons à faire pour notre représentation

Bien évidemment, tout cela se passe dans ce contexte de show burlesque, et tout comme vous, je ne peux imaginer cela dans la vie courante, que ce soit au travail ( !) ou en vaquant à mes occupations à la maison ou au dehors. Néanmoins, et si j’en crois mon mari car je ne pense pas qu’il dise cela pour me flatter ou m’encourager, il prétend que mes attitudes et ma démarche deviennent naturellement plus gracieuses ….


En ce qui concerne ma coiffure, pas question que je me risque à vous imiter ! Cela m’est strictement défendu …, mais néanmoins, en gardant des cheveux longs sans excès, il ne me semble pas passer beaucoup de temps pour me coiffer le matin, certainement moins de cinq minutes. Pour notre représentation burlesque, je me ferais coiffer chez un professionnel pour arborer une vraie coiffure vintage !



...notre « spectacle » a eu lieu, et qu’il s’est fort bien passé, devant les conjoints des « cougars », auxquels s‘étaient joints notamment nos amis (du club), et quelques autres amis (et amies surtout) des cougars et des gamines. Mon trac a pu s’envoler assez vite une fois sur scène, et mes craintes pour le cocktail d’après le show (de nous avoir vues en tenues légères !) n’ont pas été justifiées.

Notre prof de danse a aussi fait un numéro, en véritable professionnelle. Est ce cela qui en a donné l’idée à nos amis avec la complicité de mon mari, mais ils ont proposé (et décidé !) qu’en septembre ou octobre, je ferai un numéro au club : pour cela, mon mari m’offre une série de cours individuels, ainsi qu’une vraie tenue de danse burlesque. Il me reste à entretenir ma forme physique ….

Quant aux deux « gamines », elles sont très contentes d’avoir un premier vrai contrat de « skin burlesque ».


...au club de nos amis, il n’y a pas de scène : les numéros se produisent sur la piste de danse libérée à cet effet. Sur trois cotés de cette piste se trouvent les tables des (comment faut-il les nommer ?...) clients (Non, ce n’est pas bon !) plutôt des clubbeurs, ou mieux des membres puisque c’est un club privé avec une cotisation et un parrainage, et où on se connaît presque tous. Le quatrième côté n’est qu’une grande ouverture pour l’accès au bar, au bout duquel se trouve le couloir menant au vestiaire où on peut se changer et se préparer. 

Du fait de cette absence de scène, il n’y a pas de « distance » entre les artistes et les spectateurs. C’est plus intime, sans chiqué, mais en même temps, j’ai peur que ce soit plus intimidant pour moi, d’autant plus que je n’aurai pas l’anonymat de la plupart des filles qui viennent y faire leur show. C’est pourquoi je compterai beaucoup sur l’aide et le soutien de notre ami du club car je ne voudrais pas décevoir mon mari. Quand ? en septembre, ou plutôt en octobre je crois.

jeudi 7 juillet 2016

904 Le « journal » de Christine 1

Cours d'effeuillage burlesque

(Voici un sujet qui me passionne particulièrement. J'ai suivi avec grand intérêt les commentaires de Christine et voilà le compte rendu complet du stage.)

...quant au dessin qui orne l’article du journal, il m’incite à vous dévoiler mon cadeau de mon mari à l’occasion de Noël, cadeau qui vous envierez peut être car je me souviens que vous aviez évoqué dans un de vos textes avoir, étant jeune fille, rêvé de devenir danseuse au Crazy Horse : il s’agit de 20 heures de cours de burlesque, renouvelables le cas échéant !

Je vais prochainement aller pour un stage d’initiation de 2 heures, afin de savoir si cela me plaît et si je passe à sa réalisation : je l’espère, car j’ai le sentiment que mon mari le souhaite...



...je m’attends effectivement à transpirer, mais c’est un des buts recherchés. Car il y a deux mois environ, j’avais dit à mon mari qu’il serait sans doute souhaitable que je m’inscrive à une salle de sport et je lui avais donc demandé son avis.

Sa réponse est venue avec ce cadeau de Noël, et son commentaire « pourquoi ne pas allier l’utile à l’agréable » ….

J’ai reçu la liste des vêtements à apporter pour le stage de découverte : le plus drôle, avoir deux soutiens-gorges pour ne pas être topless !


...comme prévu, j’ai donc participé à ce stage de découverte, et voici quelques unes de mes premières impressions !

- Nous nous sommes retrouvées à 7 filles : une espèce de grande pimbêche « je sais tout » qui après n’a même pas daigné venir prendre un café avec nous, et que, je pense, nous ne reverrons pas ; deux copines (« amies intimes » ?) jeunes (20 et 21 ans), vraiment mignonnes, qui ont le projet de devenir des professionnelles du spectacle et qui ont déjà occasionnellement fait un peu de strip-tease (amateur ?) ; et trois femmes entre 30 et 50 ans, très sympathiques, mariées (ou tout comme !), venant tant par curiosité personnelle qu’avec l’accord ou le soutien de leurs compagnons, et qui m’ont permise (chut, c’est un secret !) d’éliminer l’appréhension que j’avais pour mon physique face aux autres ….


- La prof a une quarantaine d’années. C’est une vraie professionnelle du spectacle, qui a longtemps travaillé avec des compagnies ainsi qu’en solo, et qui intervient encore en free lance. Après nous avoir fait un petit topo sur l’histoire du burlesque depuis la fin du XIXème siècle et le Moulin Rouge jusqu’à sa renaissance dans les années 90 sous le nom de « new burlesque », elle nous a expliqué combien l’effeuillage burlesque doit être compris comme l’art de se déshabiller d’une manière plaisante et sensuelle, mais sans vulgarité et en imitant les pin-up. La prof a insisté que l’effeuillage burlesque n’est pas un strip-tease et qu’on ne finit jamais entièrement nues, mais je pense qu’il y a là quand même un peu d’hypocrisie en pensant aux seins « habillés » de cache-tétons qui attirent les regards ! Que si tout va bien, nous apprendrons un numéro d’ensemble pour clôturer le cycle de cours que nous pourrions alors présenter à nos familles et amis ! Enfin, elle a énuméré tout ce que nous aurons à apprendre, y compris marcher avec des talons et se maquiller, et qu’avec tout cela, nous deviendrons encore plus féminines, bien dans nos corps et avec plus d’assurance dans nos rapports avec les autres, un programme plus que tentant !

- Puis, pendant un peu plus d’une heure, on est passées aux « travaux pratiques ». Après un peu d’échauffement, nous avons essayé de reproduire les mouvements et gestes de base (certains avec des noms anglais que je n’ai pas retenu) de l’effeuillage burlesque que la prof exécutait : face à un mur et son immense miroir, je n’ai pu, nous n’avons pu, que nous rendre compte combien nous étions gauches et combien nous aurions des progrès à faire… Je pense avoir quand même assimilé comment ôter son soutien-gorge en dissimulant ses seins avant de les montrer pour leur mise en valeur : mon mari le soir même m’a semblé apprécier ! Par contre, je me suis faite rabrouer pour mon attitude les épaules en avant, que je vais devoir corriger par des exercices de maintien et m’astreindre à penser épaules en arrière à mettre ma poitrine en avant.


Conclusion de ce stage ? C’est évident, tant pour mon mari que pour moi : me voilà partie pour une série de dix cours collectifs (20 heures), un par semaine. On verra ce qu’il en adviendra, ce que j’en retirerai ….


...je sais que je vais transpirer durant les cours (nous commençons la semaine prochaine) ! Mais je n’avais pas imaginé qu’à la suite de la critique qui m’avait été faite durant le stage de découverte, j’allais me retrouver avec l’obligation de devoir commencer chaque journée, samedi et dimanche compris, par une vingtaine de minutes d’exercices physiques, à savoir « pompes, relevé du buste, développé couché, planche », exercices selon un programme qui m’a été donné par la prof. Ma consolation, si je peux dire, est que je ne suis pas seule mais que nous sommes deux dans ce cas : cela fait quand même un drôle d’effet que d’avoir été sermonnées devant les autres (y compris devant les 2 jeunes !) au motif qu’à nos âges (39 et 37 ans), on se doit de pouvoir être fières de montrer une poitrine ferme et arrogante, et que nous nous devons de faire le nécessaire pour cela.

Je n’avais pas eu l’impression de me laisser aller, mais à la réflexion, il me semble que mon mari est très satisfait (l’espérait-il ?) de ce « coup de semonce » par une professionnelle évidemment compétente en terme d’apparence physique.

Conséquence, je n’avais pas imaginé non plus qu’un laisser-aller de ce programme pourrait être sanctionné, qu’un « oubli » un matin il y a quatre jours allait me valoir une note « 3 », note qui en cas de récidive sera doublée !

A suivre

jeudi 12 mai 2016

875 Les confidences intimes d'Anne-Sophie 3


Et comme dans la semaine dernière je poste mon commentaire... dans les commentaires. Voici la suite :

10. J'aime la soumission mais ne suis en aucun cas une masochiste.

Savoir que la moindre bêtise sera sanctionnée d'une fessée ça me rassure. La fessée permet de me rendre plus sage, elle me permet de comprendre que je dois bien me comporter. Si je ne me soumets pas aux règles et bien je reçois la fessée.

J'ai appris grâce à la fessée que c'est très confortable de se soumettre à l'autorité. J'ai réalisé que c'est apaisant et rassurant de savoir que quelqu'un d'autoritaire et strict me fasse évoluer dans le bon sens.
Jean Philibert me donne la fessée dès que j'agis mal et il me félicite si je progresse.

Il me demande de faire certaines choses pour mon bien. Par exemple lorsqu'il constate que je suis fatiguée il exige que je ne veille pas après 22 heures. Et si je désobéis c'est la fessée. Jean Philibert n'admet pas que je fasse des caprices alimentaires. Je veux systématiquement laisser de la nourriture dans mon assiette. Jean Philibert me dit alors: "Tu finis ton assiette ou c'est la fessée!".

J'aime me soumettre aux exigences de mon loulou. De plus ce ne sont que des exigences sensées. J'aime devoir obéir et je déplorerais même le fait de ne pas avoir assez souvent de contraintes, je souhaiterais avoir à obéir davantage encore. J'éprouve de plus en plus de plaisir dans la soumission. Je me sens protégée dans la soumission. Je me sens aimée dans la soumission.

En revanche je n'aime pas la douleur physique que me provoque la fessée. C'est la soumission qui excite mes sens. C'est la "fessée mentale" qui me plaît. L'idée d'être punie m'excite.

L'idée de recevoir la fessée me plaît. Mais recevoir la fessée me déplaît. C'est en ce sens que je ne me définis pas comme une masochiste. (Une personne masochiste prend du plaisir à recevoir une fessée;ce qui n'est pas mon cas).

11. L'importance des mots.

Dans la fessée ce sont tout particulièrement les mots que j'aime et ce sont les maux que je n'aime pas.

Je vais vous énumérer les nombreuses phrases qui déclenchent chez moi une forte excitation. Et sans cette excitation, la crainte et le respect de mon "Maître"ne peuvent être ressentis.

Ainsi, comme j'intellectualise la fessée, voici les mots que j'aime lire ou entendre:

-Tu vas recevoir une sacrée bonne fessée.
-Tu as mérité la fessée.
-Tu dois être punie et c'est donc une bonne déculottée que tu vas recevoir.
-Tu n'as pas été sage?Tu vas avoir la fessée.
-Tu ne vas pas échapper à la fessée.
-Tu peux être sûre que tu vas recevoir une bonne fessée déculottée.
-Je vais baisser ta culotte et te flanquer une sacrée bonne dérouillée.
-Je vais descendre ta culotte et te donner la fessée.
-Ce soir tu auras la fessée.
-Tu dois être punie et tu vas donc recevoir la fessée et tu iras au coin 6 minutes.
-Tu ne comprends que par la fessée.
etc

Comme vous pouvez le constater le mot "fessée" est récurant dans toutes ces phrases qui me sont indispensables. Ce mot "fessée"déclenche en moi une vive émotion.
 
Plus que les maux ce sont les mots que j'aime dans la fessée !
  
Merci Anne-Sophie  pour ces belles réflexions !

jeudi 5 mai 2016

871 Les confidences intimes d'Anne-Sophie 2


Et comme dans la semaine dernière je poste mon commentaire... dans les commentaires. Voici la suite :

7. Pourquoi la fessée réussit elle à corriger mon comportement?

Dans le sens où la fessée me fait mal physiquement et que je n'en éprouve aucun plaisir, je ne souhaite pas la recevoir. Je crains beaucoup les fessées.

Mon comportement compulsif envers le sucre a été maîtrisé grâce aux nombreuses déculottées que j'ai reçues. A chaque fois que je mange du sucre je reçois la fessée. Dès que j'ai une envie de sucre je pense à la fessée qui va s'ensuivre et mon envie disparaît comme par magie!
Jean Philibert est intransigeant. Un seul petit bonbon ou un petit biscuit et c'est la fessée qui tombe.

J'ai dû recevoir de nombreuses fessées pour comprendre que je ne devais plus succomber à la tentation du plaisir que m'octroie le sucre. Le déplaisir de la fessée a pris dorénavant le dessus sur le plaisir du sucre!

8. S'améliorer grâce à la fessée.

La fessée m'a permis de ne plus avoir un comportement compulsif face au sucre. Alors oui il m'arrive quelquefois d'en reprendre(c'est comme une drogue cette addiction au sucre!)et là... la fessée tombe et mon envie de récidiver disparaît. Je crains tellement les grosses déculottées que je m'efforce au quotidien de bien me tenir. Et ce n'est pas chose aisée car je suis une femme très chipie, très "difficile"!

Maintenant que le travail de coaching au sujet du sucre est terminé, Jean Philibert s’attelle à corriger mon comportement capricieux et coléreux! Et il y a du boulot!!! La fessée a donné de tellement bons résultats pour me faire arrêter de manger des sucreries que nous avons décidé de pratiquer la fessée conjugale. Ainsi toutes mes bêtises quelles qu'elles soient, mes écarts de comportement, sont sanctionnés par la fessée. A chaque caprice c'est la fessée. Chaque colère est punie par une bonne fessée magistrale.

9. La fessée annoncée.

Lorsque je fais une bêtise je l'avoue par texto ou par téléphone aussitôt à Jean Philibert. Je suis alors immédiatement prévenue que je vais recevoir une fessée. Cette annonce de la fessée provoque en moi une grande émotion. Savoir que ma bêtise mérite la fessée me permet de prendre conscience que ce que j'ai fait est mal. J'aurais tendance à banaliser mes fautes.

Je suis d'une nature très capricieuse, je n'en fais qu'à ma tête, j'ai des difficultés à me soumettre à l'autorité et mon côté enfant fort développé chez moi m'incite à faire de nombreuses bêtises! Lorsque je fais une bêtise je l'avoue par texto à Jean Philibert et il réactive ma mémoire en me disant: "Je vais baisser ta culotte en arrivant ce soir, te pencher sous mon bras et te flanquer une sacrée bonne fessée. "

Cette annonce de la fessée provoque en moi une grande crainte. Cette crainte de la fessée se joint au respect que j'éprouve envers Jean Philibert. L'annonce de la fessée déculottée me fait vibrer de l'intérieur, tous mes sens sont en émoi et j'éprouve du plaisir mental qui rejaillit sur le plaisir physique. Plus mon Jean Philibert me menace de la fessée, plus il formule sa détermination à me corriger et plus je ressens le besoin de me soumettre à son autorité.

J'aime craindre Jean Philibert et cette crainte ne peut être ressentie que si je sais qu'une fessée va m'être administrée. L'annonce de la fessée a donc toute son importance pour que j'évolue positivement. J'aime me sentir cadrée, tenue, serrée.

A suivre...

jeudi 28 avril 2016

867 Les confidences intimes d'Anne-Sophie 1

Un très joli texte dans ma boite aux lettre !

(Il m'arrive de recevoir du courrier fort intéressant. Toutefois je suis discrète et je n'en parle jamais sauf si la personne me donne expressément son autorisation. Pour ne pas rendre la lecture trop complexe par mes "annotations" je placerai mon commentaire... dans les commentaires. Voici après un rappel des faits de jolies réflexions à méditer.)

Je m'appelle Anne Sophie et j'ai découvert la fessée il y a 8 mois. J'ai rencontré Jean Philibert fin août et lui ai fait part de mes problèmes de comportement. D'un commun accord, nous avons décidé d'essayer de corriger mes caprices, colères et autres défauts qui me nuisaient. Attirés l'un et l'autre par le monde de la fessée nous avons tenté de pratiquer la fessée conjugale.
 
1. Addiction au sucre.
 
J'ai fait part à Jean Philibert de mon addiction au sucre. Je lui ai demandé de bien vouloir m'aider à résoudre ce problème. Jean Philibert a alors établi les règles: chaque écart sera puni par la fessée. Je devrai noter dans un cahier (le cahier des bêtises)toutes mes bêtises. A chaque fois que je mange un bonbon, un biscuit etc je dois l'écrire dans le cahier. Tous les mercredis et tous les vendredis Jean Philibert consulte le cahier des bêtises et m'annonce les fessées qui s'ensuivront.

2. L'annonce de la fessée.
 
Jean Philibert ouvre le cahier et constate que j'ai mangé des sucreries. Il me dit alors que chaque écart sera sanctionné par une fessée magistrale. Jean Philibert me regarde droit dans les yeux, prend son air sévère et me dit: " Tu as mangé un gâteau ? Tu sais que tu n'as plus droit au sucre? Tu vas alors recevoir une bonne fessée magistrale. "
 
3. La fessée tombe.
 
Jean Philibert me couche alors en travers de ses genoux, remonte ma robe et baisse ma culotte. Il me flanque une sévère fessée à main durant 2 minutes. Puis il me demande de mettre mes genoux au sol et mon torse sur ses cuisses. Il me ceinture alors la taille avec son bras et me donne une fessée avec le paddle durant 2 minutes. Jean Philibert alterne la fessée au paddle et à la main.
Il donne 3 fessées à la main et 3 fessées au paddle. La correction ne s'arrête pas là! Elle se poursuit par une fessée au martinet (environs 30 coups) donnée avec une force modérée.

4. Le coin.

Après la fessée Jean Philibert m'envoie au coin. Je dois me tenir droite, baisser ma culotte et la placer sous mes fesses, mettre mes mains dans le dos, serrer mes pieds, ne pas bouger et ne pas parler.

5. Comment je vis le coin?

Lorsque je suis au coin je suis envahie par un sentiment de honte. Ce sentiment grandit au fur et à mesure que les minutes défilent. Je ne reste cependant jamais plus de 6 minutes au coin. Ce temps a été défini ensemble.

Je suis honteuse au coin car j'ai la culotte baissée et je sais que je suis punie. Ce n'est pas la nudité qui me provoque un sentiment de honte. Si j'étais entièrement nue et vaquant à mes occupations je me sentirais très à l'aise.

Mais au coin je suis punie et Jean Philibert sait me le rappeler en me disant: "Tu es au coin parce que tu as fait des bêtises, tu es punie!". Cette phrase résonne dans ma tête(et je raisonne alors!)pendant que je regarde le coin et que je prends conscience de ma soumission.

Culotte baissée, les mains au dos et sentir le regard de mon Jean Philibert sur mes fesses rougies par la fessée provoquent en moi un sentiment de honte.

Il m'arrive alors de ne plus pouvoir assumer cette honte et je tente de cacher mes fesses en mettant mes mains dessus. Jean Philibert me demande de les enlever. Il me le demande 3 ou 4 fois avant que je finisse par obéir et me soumettre à son autorité.

Très souvent je continue de geindre ou laisser mes mains sur mes fesses. Jean Philibert me redonne alors 1 ou 2 coups de martinet. Mais à sa grande surprise les coups n'atteignent pas ma volonté de me soumettre.

Alors il me donne une fessée à la main penchée sous son bras. Cette fessée me fait me soumettre illico presto car c'est une fessée régressive. Cette fessée atteint ma fierté, mon orgueil.

6. Qu'est-ce que je ressens pendant la fessée?

La fessée à la main me fait mal aux fesses mais aussi à l'esprit. La fessée me fait mal à l'orgueil. La fessée me fait comprendre que ce n'est pas moi qui maîtrise la situation. La fessée fait me soumettre à l'autorité. La fessée me fait très mal physiquement et je n'éprouve aucun plaisir à la recevoir. Lorsque je reçois une "bonne fessée" il m'arrive fréquemment de pleurer car j'ai très mal. Je n'aime pas du tout recevoir la fessée.

A suivre...

jeudi 28 janvier 2016

828 Arthur et Léonie 3/3 (Un récit d'Arthur)

(Suite de : 824 Arthur et Léonie 2/3 ;

Début de l'histoire: 820 Arthur et Léonie 1/3)

Pour amateurs de la DD Inversée

Arthur et Léonie (3/3)

Pour commencer, Léonie qui se documenta beaucoup sur le sujet, apprit à Arthur à dissocier fessée et vanille. Comme elle lui disait parfois quant elle lui expliquait ses méthodes éducatives : « il est fondamental de ne pas confondre le bâton et la carotte ». Lorsque que comme ce soir, Léonie convoquait Arthur dans le salon, il y avait deux possibilités. Ou bien Léonie était vraiment fâchée : dans ce cas, la fessée serait sévère et Monsieur pouvait être certain que la soirée était finie (pour lui du moins). Ou bien Léonie estimait simplement qu’il fallait rappeler à Monsieur les règles du foyer : dans ce cas, Léonie usait de la tawse comme symbole de son autorité. Il ne s’agissait pas véritablement de punir Monsieur mais plutôt de lui inculquer vigoureusement quelques bons principes. En fonction de son humeur et de l’enthousiasme dont faisait preuve Arthur durant la leçon, Léonie pouvait ensuite l’inviter à lui témoigner virilement sa reconnaissance. Au moment où Léonie entra dans le salon, Arthur espérait encore que ce serait la seconde solution. Debout, les mains dans le dos et le regard baissé, il attendait qu’elle prenne la parole.

Comme toujours, Léonie prenait son temps, tournant autour de lui comme une lionne autour de sa proie.

Enfin elle se plaça devant Arthur et lui demanda « Pourrais-tu me dire combien de films a réalisé Agnès Jaoui ? » Arthur ne s’attendait pas à cette question. Léonie vit la surprise sur son visage ce qui l’amusa beaucoup et l’incita, chose exceptionnelle, à reposer la question une seconde fois. Bien sûr Arthur ne savait pas répondre et il dut le dire. Ensuite il dut avouer que non seulement il ne savait pas combien elle avait réalisé de films mais qu’en plus qu’il n’en avait vu qu’un seul. « Un seul ? » fit semblant de s’étonner Léonie avant de se lamenter « moi qui croyais que tu étais si cultivé, je suis un peu déçue… » Elle qui pensait également qu’il n’était pas possible d’avoir un avis sur des choses qu’on connaissait mal, elle s’interrogea sur ce qui avait poussé Arthur à émettre un jugement aussi définitif sur une œuvre qui lui était presque inconnue. Face à son embarras, évidemment, elle insista « C’est bien toi qui tout à l’heure parlait de cinéma vulgaire ? » Oui, c’était lui et effectivement, Léonie avait raison de remarquer que s’il y avait quelque chose de vulgaire, c’était plutôt de parler pour parler et de couper la parole aux autres « Ce qui est vulgaire c’est aussi de se trouver de fausses excuses » asséna également Léonie. « Tu ne t’es pas laissé emporter par ta passion du cinéma comme tu l’as dit aux invités, tu t’es laissé emporter par ton insolence » conclut-elle avant d’ajouter ces quelques mots, quasi rituels, qu’Arthur avait entendus si souvent et qui marquaient le début de la punition :

« Maintenant mets toi à quatre pattes et baisse ton caleçon »

Léonie administra cinq coups de tawse à Arthur qui firent de longues marques rouges sur ses fesses puis elle contempla son œuvre : du beau travail. Arthur attendait dans cette posture ridicule, ignorant si la punition était terminée ou non. Léonie lui fit alors cette proposition : « Pour ce soir, je vais m’arrêter là. Demain, puisque c’est samedi, tu iras dans cette boutique où il y a tant de cinéphiles. Tu n’oublieras pas de mettre ton plug. Cela t’aidera à avoir les idées bien en place et à choisir un DVD, un seul qui sera un film d’Agnès Jaoui. On le regardera ensemble et ensuite tu m’en feras la critique. Si tu sais te montrer bienveillant et mesuré, si tu parviens à insister sur ce qu’il y a de positif et d’intéressant dans ce film, je me montrerai indulgente avec toi. Mais si tu es injuste, pédant et sûr de toi comme tout à l’heure, soit certain que je me montrerai particulièrement sévère avec toi. Maintenant embrasse mes mains, raccroche la strap et file au lit »Arthur s’empressa et alla se cacher sous la couette. Lorsque Léonie vint le rejoindre, il lui fit des massages puis elle ferma la lampe. C’était l’heure de dormir.

Arthur n’était pas en mesure de cacher son enthousiasme vis-à-vis des méthodes éducatives de sa chère et tendre.

Léonie le savait et par malice elle vint se coller contre lui. Il n’y avait aucun doute : son compagnon était dans de particulièrement bonnes dispositions à son égard. Demain, il ferait beaucoup d’effort et tenterait d’avoir un comportement exemplaire. Léonie aimait bien Agnès Jaoui et s’amusait par avance de la bonne soirée qu’ils allaient passer ensemble : Agnès, Arthur et elle. Elle se régalait aussi de leur prochain dîné entre amis, lorsqu’elle raconterait « On a vu Comme une image et Arthur a adoré ! N’est-ce pas Arthur ? »

mercredi 4 novembre 2015

790 Fessée à l'amiable 2 (Un récit de Bertrand)


Pas de doute possible, se dit-elle, c’est LA position « On the knees », qu’elle a plusieurs fois imaginée, dans ses scénarios avec petit fouets et martinets délicats.

Mais là c’est réel, et pas prévu au programme. Pas question de subir. Elle veut être maîtresse de son petit film intérieur et diriger les opérations. Aussi commence-t-elle, une fois la stupeur passée, à gigoter des jambes. Voyant qu’elle risque de s’échapper, Denis la maintient encore plus fermement et accélère la cadence. Églantine refuse de se laisser faire. Denis desserre un peu l’étreinte en bougeant un peu sur le canapé voulant relever sa jupe pour faire de la fessée une vraie déculottée. Églantine profite de cette liberté retrouvée pour s’échapper. Elle pique un sprint mais Denis la rattrape.

« Cette fois ça va être la fessée, la vraie : cul nu ! »

Elle reste longtemps allongée les fesses à l’air, sur les genoux de Denis lui même épuisé après une bonne trentaine de volée sur la croupe.

Tiens ? Églantine ne sent-elle pas quelque chose se raidir, comme une dureté dans le pantalon de son homme.

Non, il se lève très raide et demande à Églantine d’aller au coin.

« Je peux remettre ma culotte ? »

« Non »

« Mais ça me gêne pour marcher quand j’ai la culotte qui est tombée à mes pieds. »

« Interdiction de la remettre ni de l’enlever »

Boudeuse, pleurnicheuse, elle va d’une démarche gênée aux chevilles et disons, le, assez ridicule vers le coin désigné par Denis.

Tout d’un coup l’émotion d’une fessée subite se révèle à contre-temps, et Églantine se met à pleurer abondamment.

Denis passe derrière et relève un peu la jupe pour qu’elle tienne.

Églantine est en bas, culotte à ses pieds, les fesses bien rouges.

Denis reste à la regarder en consultant négligemment le programme télé, prenant la voix la plus dégagée possible, mais un léger tremblement montre une certaine émotion, de ce qu’il a fait quelques minutes avant et du spectacle sous ses yeux à cet instant.

« Bon qu’est ce qu’il y a à la télé, « Die hard », ils l’ont passé déjà 36 milles fois ! »

Après 10 minutes assez pesante on entend Églantine dire d’une toute petite voix :

« Denis… »

« Oui » Répond Denis d’un ton particulièrement rogue

« Tu me pardonnes ? »

« Tu n’y a pas été de main morte avec la voiture, l’arrière est complètement embouti »

« Toi aussi tu n’y as pas été de main morte »

« Mh, ouais. »

Silence

« Et mon arrière est tout cabossé » dit Églantine

« Je ne trouve pas, il a une belle couleur ». Malgré la volonté de rester de marbre, on entend le petit sourire de Denis dans sa voix.

Églantine essaye une nouvelle fois de rompre le silence et l’indifférence un peu blessante de Denis.

« Quoi encore ? tu es punie, je te rappelle. »

« Non rien. »

Après une petite demi heure la sanction est levée et Églantine peut de nouveau vaquer à ces occupations, toujours un peu émue de ce qui s’était passé.

Un peu plus tard, ils sont assis tous les deux sur le canapé en train de voir des idioties, Églantine avoue que cette fessée lui a fait beaucoup de bien. Sa tête posée sur la poitrine de Denis qui lui caresse les fesses. Elle les lui montre d’ailleurs, ses fesses encore rouges à Denis qui caresse ces zones encore douloureuses.

« Bon, maintenant tu me promets de ne pas utiliser la voiture sans mon accord ? »

« Oui Monsieur, je ne le ferai plus »

« Et à la prochaine incartade… »

« C’est pan pan cucul ? »

« Tout à fait. Tiens ! À propos de voiture, pour moi tu es comme une Ferrari.»

« C’est à dire ? 

« Tu es belle, racée, bondissante, tu démarres au quart de tour, mais mon Dieu que tu es difficile à conduire. »

« Ce n’est pas vrai. Je suis une allemande solide et fiable sans problème.
Avec moi ça roule tout seul. »

« Parce que je suis un très bon pilote et que je maîtrise tes incartades. »

« C’est vrai… et un bon mécano aussi. »

« Et oui, il faut parfois mettre les mains dans le moteur. »

(Églantine pense : et si j’achetais un martinet la semaine prochaine ?)

mercredi 28 octobre 2015

787 Fessée à l'amiable 1 (Un récit de Bertrand)

Une femme capricieuse

(J'ai eu un coup de foudre pour cette belle histoire écrite par Bertrand. Une impression d'être mise à nue en découvrant bon nombre de mes petites manies. Puis, sentiment que j'ignore habituellement : une sincère compassion pour le monsieur de l'histoire et par extension pour le mien! )

Églantine ne passe pas inaperçue avec son tailleur serré moulant et ses talons de 10 cm, talons qui peuvent s’élever à 12 cm pour les grandes occasions.

Mais là elle est en ville pour faire quelques courses dans les grands magasins situés entre l’Opéra et la gare Saint-Lazare, une vraie parisienne !

« Je n’ai plus rien à me mettre » se disait – elle ce matin. En effet, mis à part cet ensemble tailleur jupe digne de Lauren Bacall et quelques autres tout aussi élégant, plusieurs pantalons bien coupés, de jolies robes de printemps et d’été, quelques dizaines de chemisiers, une impressionnante collection d’escarpin et une collection de dessous chic, bas, corset et j’en passe, la malheureuse Églantine n’a effectivement « plus rien à se mettre ».

Après avoir acheté un ensemble pour un prix presque modique (à ces yeux) et quelques autres babioles elle rejoint son coquet pavillon de la banlieue sud-ouest en voiture. Celle-ci est d’un nouveau modèle que Denis a acheté pour elle et elle n’est pas habituée à ces nouveaux tableaux de bords avec écran tactile et toutes ces innovations un peu déconcertantes. Comme elle regrette sa petite Fiat antique et cahotante !À la sortie du parking, dans ces quartiers régulièrement bouchés, elle hésite un peu. Est-elle en 2e ou en 3e  ? La montée est abrupte, elle cale. Églantine essaye de manœuvrer tant bien que mal. Où est la marche arrière ? Églantine commence à paniquer légèrement. Pourtant sur le schéma dessiné sur le levier de vitesse c’est normalement vers l’avant à gauche. Mais non c’est la première ! Il y a une autre chose à faire pour aller en marche arrière, mais elle ne trouve pas la solution.

Et plus le temps passe, plus le taxi derrière s’énerve.

Et plus elle panique, moins elle a de sang – froid pour trouver cette f… marche arrière !

Finalement elle recule trop brusquement et …paf ! Il lui rentre dedans. Ça va, il y a plus de peur que de mal mais l’arrière de la voiture est un peu amoché.

Que va dire Denis ? La voiture est toute neuve !

De retour à la maison Églantine voit avec soulagement que Denis n’est pas rentré. Soulagement de courte durée car, à un moment ou à un autre, il faudra bien lui expliquer.

Églantine commence à réfléchir à la manière dont elle doit s’y prendre pour présenter la chose.

La pire solution : ne rien dire et le laisser découvrir le désastre. Meilleur moyen pour le foutre en rogne.

Une autre méthode consiste à jouer le rôle de la fautive plein de remords : Tête baissée, elle avouera son crime, ensuite, tendre le petit fouet accroché dans le placard, utilisé rarement et seulement pour faute grave… dans l’espoir qu’il ne ne serve pas ! À moins que le simple martinet ?

« Mais non voyons ! tu délire ma petite Églantine ! Nous n’avons pas ces instruments à la maison qui m’ émeuvent tant, et jamais tu n’oseras l’avouer à Denis. »

Troisième solution : Le mettre dans de bonnes dispositions : « Hum, hum, j’ai fait une grôôôôsse bêtise » tout en lui faisant les yeux doux, montrer les haut des bas ou décolleté « pigeonnant », le grand jeu quoi !
Mais rien de tout cela n’arrive car, comme d’habitude, rien ne se passe comme prévu.

Églantine était plongée dans ses réflexions quand Denis arrive furieux, tel une trombe. Vu sa tête il a sans doute vu l’état de la voiture. Et en effet, il est déjà passé dans le garage et a vu les dégâts !

« Bon dieu mais qu’est ce qui s’est passé ? »

Elle bredouille : « Ben, heu, j’ai eu un petit problème. Mais c’est pas de ma faute !! »

« Tu as fait un constat ? »

« Oui bien sur… enfin… »

« Enfin quoi ? Je peux le lire ? »

Une fois le constat trouvé, Denis se mit à le lire. Le document en question n’était pas tout à fait en défaveur d’Églantine : elle avait reculé inopinément en démarrant en côte, le taxi avait eu la malheureuse idée d’avancer soudainement à ce moment là. Mais là n’était pas le problème : Elle avait promis à Denis qu’elle ne devait pas utiliser cette voiture avant un peu de conduite accompagnée. C’est un nouveau modèle et Églantine est depuis longtemps habituée aux petits accidents, certes sans gravité mais qui abîme la carrosserie.

« Tu ne devais te servir de la voiture qu’en cas d’absolue nécessitée, ou bien accompagnée par moi.» lui dit Denis.

« Mais justement, je devais absolument et nécessairement aller sur Paris ! »

« Et pourquoi donc ? »

Églantine est pris au piège : faire du shopping est quand même un impératif un peu léger !

Elle pense à la vitesse de l’éclair : pris en faute, il lui reste les cris ou bien le bombarder d’arguments de plus ou moins bonne foi. Oui, Il pliera sous mes flots de paroles !

Elle commence sa logorrhée ininterrompue qui en a fait craquer plus d’un avant Denis : « D’abord cette voiture est nulle ! Ensuite je t’ai demandé plusieurs fois de m’expliquer comment on fait marcher le GPS, le frein à main on appuie sur un bouton, je ne suis pas habituée, ensuite tu as eu autant d’accident que moi et plus grave et d’autre part j’avais vraiment besoin de m’acheter des vêtements, à chaque fois que je veux aller sur Paris pour m’en acheter, tu n’as jamais le temps ! »

Églantine déroulait ainsi un chapelet de reproches et d’excuses plus ou moins bien trouvés quand soudainement…

Denis est resté jusque là complètement indifférent à ce flot de parole en apparence jusqu’à ce qu’il la prenne par la taille, s’assoit et la tient fermement sous son emprise, allongée en travers de ses genoux.
Surprise, elle ne réagit pas immédiatement, mais elle ne tarde pas à gesticuler des jambes puis d’essayer de se dégager de l’étau dans lequel son mari l’insère.

Pas de doute possible, se dit-elle, c’est LA position « On the knees », qu’elle a plusieurs fois imaginée, dans ses scénarios avec petit fouets et martinets délicats.

A suivre

mardi 13 octobre 2015

779 De l'utilité du martinet

Petite précision sur l'effet pédagogique induit par cet instrument !

Un très joli écho de Kristofer sur une de mes réflexions « à chaud » concernant le martinet. Perdu dans les méandres des commentaires de mon blog je le ressort, car le sujet qui me préoccupe en ce moment ce sont justement les phénomènes d'ambivalence. En attendant d'en dire plus, je me repose pour aujourd'hui et je cite Monsieur Kristofer :

Décidément, après plusieurs lectures c’est certain : j’adore cet article sur le martinet et votre façon de le voir – ou de le regarder !

Tout le passage sur les ambivalences et les contradictions témoigne de la complexité de vos rapports, de cette alchimie à trois ("mon homme, le martinet et moi") parfaitement au point pour transformer un "besoin de correction" en des pratiques intensément satisfaisantes pour tous les deux (on exclut le martinet…). Quant au casse-tête de la raison, pourrait-on tenter de paraphraser Pascal en proposant : le cul a ses raisons que la raison ne connaît pas ? Et la raison recule devant le plaisir et l’humiliation jouissifs d’une paire de fesses bien rougies et cuisantes pendant une plus ou moins longue séance au piquet… Chaque chose en son temps et surtout ne mélangeons pas les genres. Dans beaucoup de domaines, plaisir et raison ne font pas bon ménage. (Exemple les sucreries si bonnes au palais, mais moins bonnes pour… les dents, le foie, le diabète, la ligne !)

Alors foin de la raison qui n’y comprend rien, vivent les pulsions. Et puisque ça vous convient si bien (c’est évident à la lecture de tous ces articles) offrez vos fesses à votre homme, profitez de chaque instant, bref, carpe diem… Et comme disait en substance Mirabeau dans une de ses nouvelles érotiques, "jouissons et moquons-nous du reste"!


...le martinet qui "sert régulièrement", quel merveilleux aveu et programme ! Et quelle efficacité, puisque, au coin les fesses rougies, vous partez en pensant à lui dans des réflexions si agréables à lire. Ce qui est extrêmement vrai et intéressant dans ces lignes c’est la phrase "je vois une pratique qui me convient, qui convient à mon homme et qui n’est nuisible pour aucune autre personne". Voilà, tout est dit concernant la marginalité des pratiques entre adultes, SM, DD, etc. Tout est permis lorsqu’il y a consentement et recherche/atteinte du plaisir, de la satisfaction des partenaires.

J’ai une petite contradiction à apporter sur la suite, mais je pense qu’il s’agit, vu l’intelligence de tout ce blog, d’un problème de vocabulaire, d’expression, bref, de phrase écrite trop rapidement. "Je doute de son effet pédagogique dans le sens de transmettre du savoir".

Le martinet, de quelque manière qu’il puisse être utilisé, n’a aucune chance de transmettre quelque savoir que ce soit. Il est là pour punir, donc modifier un comportement ou en induire un différent. (ça a marché pour Isabelle et les gros mots…). Alors, pour apprendre à un garnement à modifier son comportement, à travailler au lieu de s’amuser, à montrer du respect, etc, il est un bon auxiliaire. Je sais que notre société européenne tend à en interdire l’usage, ainsi que de la fessée (j’entends sur les enfants), et ça peut se comprendre quand on voit le nombre de sadiques qui se déchaînent et défoulent leurs instincts morbides en martyrisant leur progéniture sans raisons. Mais ce n’est pas le sujet.

C’est la même chose me semble-t-il entre adultes.

Il ne s’agit pas de transmettre du savoir. Je suis sûr que ce n’est pas le martinet, ni la fessée, ni le Rohrstock qui vous a si bien appris le français. Tous ces attirails variés de punition, et j’en passe, sont là pour améliorer un comportement qui a pu nuire à l’apprentissage d’un savoir, d’un savoir-vivre, etc. Et c’est le même enchaînement, quand, adulte, se fait sentir le besoin de punition, l’envie d’une correction sévère : on trouve un motif, si léger et futile soit-il, qui justifie la punition. (Je sais : parfois la fessée administrée sans motif est délicieuse aussi. Et le(s) plaisir(s) ensuite….).

Aucun doute sur le "bien-être général", mon vécu me l’a de nombreuses fois confirmé, les acteurs y trouvent leur bonheur…

mardi 6 octobre 2015

775 La blogueuse obsédée par (le sexe) la fessée

Un monsieur soucieux du bon comportement de sa dame !

Un joli texte de Monsieur Bertrand, qui vient en réponse d'unlien fort osé dont j'ai parlé ici.

(J’ai imaginé le petit dialogue suivant entre la blogueuse accroupie et son homme rentrant à la maison et la découvrant dans cette position :)

« Mais enfin, que faites vous Émilie ? »

« Ben quoi ? » (accent un peu traînant dénotant un caractère paresseux et de mauvaise volonté) « J’fais rien d’mal. Je chat. » (prononcé « chatte »)

« On prononce « tchat ». Je veux dire : « que faites vous nue et dans cette position ? »

« Qu’est ce qu’elle a ma position ? » (Mauvaise foi évidente)

Elle bouge un peu ses genoux ce qui la fait remuer du popotin qu’elle tend encore plus haut. Grande inspiration de l’homme qui souffle pour calmer son ardeur et son irritation mêlées.

« Votre position me semble fort inconvenante, je me demande si je ne vais pas songer à prendre les dispositions qui s’imposent » (on notera la prudence de la formule)

« Arrête de me vouvoyer, ça m’excite. Je ne peux pas me concentrer pour répondre à ma copine. » Nouvelle simagrée du popotin

« Et que dis votre « copine » ? » (Il est presque à point)

« Que je ne devrais pas me faire remettre à ma place par un tocard de ton espèce, à cause de la discussion de l’aut’jour au restau. »

« Ah c’est donc cette chipie d’Aurélie ! Il est a une très mauvaise influence sur vous. »

« Tu sais ce qu’elle m’a dit ? Quand tu la regardé l’autre jour, elle avais l’impression que tu allais lui donner une fessée !! »

« C’est en effet ce que j’avais envie de faire » 

« Oh la la ! dans le restaurant, Aurélie fessée devant tout le monde ! Tiens je vais lui écrire ça. »

À chaque fois, elle semble montrer son popotin avec toujours plus d’indécence

« En attendant j’ai encore une fessée au creux de la main qui me démange ! »

« Ben oui mais Aurélie n’est plus là pour recevoir sa f.. MAIS QU’EST CE QUE TU.. AÏE !! OUILLE !! »

« TIENS ! ET TIENS !! JE – NE – DOIS – PAS – BLO – GUER – TOUTE – NUE – ME – TE- NIR DE – FA – ÇON – IN – CON – VE – NANTE - ET – RÉ – PON – DRE – DE – FA – ÇON – DÉ – SIN – VOLTE »

Une fessée bien méritée!!

lundi 2 février 2015

648 Une bien douloureuse leçon de gym (Lundi cinéma)

Une petite merveille qui doit avoir une quarantaine d'années !

Je ne savais pas ce clip sur le net (et qui provient d'ailleurs d'un fort intéressant blog). L'action et le décors s'apparentent à du kitsch à l'état pur et l'omniprésent humour me semble quelque peu involontaire. Le tout sur fond de cinéma muet. Il faut un peu de patience pour arriver aux scènes de fessées, mais vers la fin cela claque dans tous les sens si j'ose dire. Il y a aura plein de choses à raconter sur les filles sages qui en prennent parfois pour celles qui sont vilaines ou qui imaginent parfois dans leurs rêveries une certaine justice inhérente à la vie qui récompense les bons et punit les méchants. Bref le côté indémodable de l'univers de la comtesse de Segur. Cette dame aux allures austères qui faisait croire aux petites filles que la beauté était la récompense pour les bonnes manières et que la méchanceté rendait laide. Bref l'espoir fait vivre.

Il y a aura également beaucoup de choses à dire concernant le matériel sur la fessée disponible au milieu des années 70 quand mon chéri était ado. De l'un côté des « œuvres » ouvertement P tendance S/m, de l'autre, ben voilà, notre petit clip. Ceci dit au prix de 50 livres trop cher pour la bourse d'un ado. Sans oublier qu'il fallait avoir 18 ans pour pouvoir en acheter. Passons !

Ce sera aujourd'hui un post quelque peu atypique pour mon blog, car par un hasard de la vie, j'ai eu, il y a quelques années, une correspondance avec un monsieur qui a pu me livrer de première main pas mal de détails croustillants sur George Harrison Marks, le metteur en scène de ce clip. Célèbre photographe glamour britannique qui se lance dans les années 70 dans la fessée. Il produit pas mal de « chef-œuvres » qui restent incontestablement parmi mes préférés. Comme « Leçon d’équitation » ou « Leçon à l'école», non disponible sur le net à ma connaissance. Il y a toujours une petite histoire qui emporte sur un simple d’étalage de tape cul. Ce monsieur était le fondateur du magazine Kane qui existe toujours. Et je pense aussi l'inventeur des...Spanking Partys de la culture anglo-saxonne. Mais écoutons plutôt mon correspondant qui passe du simple client des publications Kane de l’autre côté de la camera en devenant pour sa part acteur dans des clips de fessée. Puis un peu d'indulgence pour ma très mauvaise traduction de l'anglais en français.

George Harrison-Marks était une personne formidable et un ami... un homme qui appréciait la compagnie des dames à poitrines plutôt opulentes. Il était également actif dans l’industrie du cinéma P soft, par exemple comme directeur du film « Comme play with me » avec Mary Millington. J’ai eu une copie et je m’en veux de n’avoir jamais demandé à George de la signer pour moi. Cela doit valoir une petite fortune de nos jours…

Le bureau de Kane était une maison de plus banale dans une rue de plus banale. Finalement, j’ai pris mon courage en main et j’ai sonné. George répondit et me demanda comment il pourrait aider. Après lui avoir dit que j’étais venu pour acheter une vidéo, il m’a invité de renter. Il a tout fait pour que je me sente chez moi. Comme si nous étions des amis de longue date. Il me fit asseoir dans la salle à manger et c'est une fois assis que j’ai réalisé que c’était la pièce qui a été utilisé comme décor pour quelques-uns de ses vidéos. Il m’a proposé un verre, alcool ou thé, j’ai choisi le thé, et avant de le préparer, il m’a remis un dossier relié en cuir. Ce dossier contenait toutes les photos de tous les films Kane jusqu’à cette date. Je me suis assis pour ce qui me semblait une éternité et je ne pouvais pas me décider lequel acheter. Je les voulais tous!

...George commença à organiser les Kane Partys, qui à cette époque, suivaient un scénario pour produire un spectacle qui donnait l’impression d’assister à un clip de fessée en direct. Toutes les personnes impliquées dans ces spectacles passèrent la veille chez George pour se familiariser avec leur rôle. Vous avez probablement déjà vu certaines de ces vidéos, Isabelle, car il a enregistré quelques-uns. Ces parties ont eu lieu dans un restaurant italien à Paddington, où la nourriture était incroyablement bonne, digne d’un 4 étoile et qui était servie pendant l’entracte. Nous avions pris l’habitude de prendre un pot au bar et de discuter avec les dames qui se produisaient. Mon plus beau souvenir c’était un soir où j’ai accompagné TheresaMay et Vida Garman la gare de Paddington. J’étais au pays des merveilles...

Bref, ce qui m'a touchée avec ce monsieur c'est sa capacité d’émerveillement. Ayant à la maison un spécimen de grand garçon qui s'émerveille facilement, je 'ai pu résister de poster cet extrait de correspondance. Avec l'accord de l'auteur, cela va de soi...