lundi 31 octobre 2016

955 Petite robe moulante (Lundi cinéma)

Voila qui réveille la convoitise de bien de messieurs !

Chacun selon son fantasme, car ce genre de vêtement transforme l'essentiel, le déculottage de la dame en un jeu d'enfant. De plus la robe reste sans bouger dans la position dans laquelle elle est mise et le monsieur peu se vouer en toute tranquillité à l’étape suivante. Fait qui arrange le désir de commodité de certains grands garçons, notamment ceux habitués par leur maman à un mode de vie de futur Pacha. Phénomène loin d'être rare qui semble exister dans toutes les tranches d'âges et concerner un peu tous les milieux. Et même le fait que la maman ne manque en rien le profil d'une femme moderne n'exclue pas une orientation du fils en ce sens.

J'ai presque l'impression qu'il s'agit d'une sorte de dominateurs qui s'ignorent.

Le mien n'en fait pas vraiment exception pour céder à la commodité et aux raccourcis « intellectuels ». Je sais pertinemment en me mettant un tel vêtement que je lui procure un effet du style :

Tu l'as cherches, isabelle ?

Notamment quand je porte en dessous bas et porte-jarretelles qui se dessinent copieusement au travers du tissu.

Ben oui, je cherche à attirer la curiosité sexuelle de mon chéri.

Donc pour ma part le choix d'une telle robe n'est pas innocente. Ceci dit, je n'en met pas souvent, déjà par le fait que ce vêtement ne pardonne rien, tandis que moi je n'ai plus un corps de « jeunette », veut dire que je m'y connais en kilos en trop. De l'autre côté je sais que cela ne dérange nullement mon homme. J'ai compris au fil du temps qu'il m'aime telle que je suis avec mes kilos en trop. Bref il me trouve craquante avec mes rondeurs.

Il n'est pas un monomaniaque de la fessée. Il se peut aussi que ma petite robe moulante lui inspire autre chose, de plus banal, plus vanille, voire... de la tendresse tout simplement pour me dire à quel point il me trouve... sexy. Dans de telles conditions je porte ma robe moulante facilement de manière décomplexée, autant pour sortir en couple et aussi pour les soirées chez des amis. Seulement, me voyant au fil de longues heures évoluer devant son nez, Monsieur 183 aime beaucoup conclure la soirée par une claquante fessée. Je n'y ai bien entendu rien contre et l'idée surtout en saison froide de me coucher avec un fessier tout chaud me ravit hautement.

vendredi 28 octobre 2016

954 Liens de discipline domestique (242 ème édition)

Au menu cette semaine :Troublante discipline


Il ne connaissait pas ce genre de choses osées qui se mettent dans le derrière, mon chéri. Normal il a reçu une stricte éducation qui l'a tenu – comme Rousseau - mis à part certaines heures pales de la nuit, sur le chemin de la vertu...

...tu te payes encore ma tronche, isabelle ?

J'admets que j'adore taquiner mon homme. Toutefois il est rare que je me sers d'un comportement de « chipie » qui se mérite une bonne fessée par ses audaces et joutes verbales. Moi, c'est plutôt des gestes, pince sans rire qui semblent trahir une maladresse de ma part. Justement au moment où mon homme débarque, je suis en train de baisser ma jupe ou ma culotte pour me dévoiler dans une seyante impudeur. L'effet est foudroyant. Il s’arrête net et se laisse envahir par sa « vision » pour lâcher un très rustique...

alors là !

S'il est en forme j'ai droit qu'il me fasse la morale. Avec un sérieux et une imagination sans pareil.

Je vais t'apprendre à te mettre des choses dans ton... cul, isabelle !

Oh oui, oh oui apprend moi !

Mais au fond il apprécie fortement le spectacle et il a pris goût que je porte ce genre de bijoux discrets...

...rien que pour ses yeux.

Il adore particulièrement que l'emploi de tels gadgets me donne une certaine raideur, un air de plus guindé pendant une sortie. Il ne cesse de louer mon élégance par exemple pour ma façon de marcher. Et si je veux lui faire particulièrement plaisir, je sors garnie chez des amis ou dans les réunions de famille. Notre petit « rien du tout » crée une incroyable complicité et je sais que mon homme ne me lâchera pas une seconde des yeux. Parfois le matin quand je me présente devant lui, presque entièrement habillée, mis à part mes fesses pour lui demander de me conseiller entre un string et une culotte, il lui arrive de me claquer bruyamment le derrière avant de se prononcer :

Et si tu mettais seulement un petit bijoux intime isabelle...

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !






















mercredi 26 octobre 2016

953 Un faible pour le sexy de bon goût

Ça crains, tes goûts musicaux, isabelle !

Dit-il mon chéri, mais accepte sagement d'écouter ce que je souhaite lui faire découvrir. Je suis futile, mais ne pas au point de lui imposer ce qui ne lui convient pas. Pourtant j'ai droit au grand garçon qui rouspète pour la forme.

J'aime pas Karen Chéryl, j'aime pas Dorothée, j'aime pas Jane Birkin!

Regarde avant de parler.

Ses yeux s'illuminent en voyant ces jolies secrétaires en train de danser et chanter. Il a un faible pour les visages expressives, les gestes et mimique surjoués. Même en se disant que l'on se sert de stéréotypes pour créer une illusion d'une féminité qui n'existe pas, la mise en scène lui fait de l'effet.

Pourtant, mon chéri est un pur produit de l'effet post 68. Déjà au niveau de sa tenue vestimentaire, je l'ai trouvé, à notre rencontre, conformiste comme pas permis... par moi. J'avais l'impression avec lui d'un retour dans la préhistoire (la mienne ; je suis née au début des années 70) et que la révolution culturelle et sexuelle venait juste de se passer. Quelle originalité : Jeans, chemise et baskets. Au moins sa chemise était impeccablement repassée et correctement boutonnée comme indiquait mon scanner isabellien.

Puis, un intellectualisme qui se manifeste - je dirais presque sous forme de rejet - envers une certaine culture, de la musique variété notamment. Une aversion marquée contre la techno aussi... que moi j'adore. Pas de risque, je ne l'aurais pas rencontré dans une boite de nuit !

Vous allez en boite, isabelle ? Ben oui ! Pourquoi faire ? Pour danser !

J'avais l'impression d'un vrai « Loup de steppes », échappé de l'attachant livre du même nom qui décrit un monsieur d'un certain âge qui prends des leçons de savoir vivre auprès d'une jeunette. Enfin, il a su s'y prendre avec moi. Sachant aussi bien communiquer avec ses yeux qu'avec ses mots, en moins d'une demi heure j'étais embobinée, ma main dans la sienne.

Gonflé le gars...

Voila qui m'a plu ! Un homme qui ose avec une conversation égalant celle de mon papa. Il n'avait rien de ces « libertins » d'un autre âge avec leur discours soûlant sur les femmes libérées qui devraient faire ceci ou cela. Il m'a fait clairement comprendre qu'il me trouvait sexy, mais a pris le temps pour me découvrir d'abord. Attitude qu'il n'a jamais changée. Bref, lui aussi a adoré ce petit clip et il attend que je lui fasse un jour la chorégraphie pendant sa pause du matin...

(Un grand merci la personne qui m'a envoyé ce lien !)

lundi 24 octobre 2016

952 Compter les tapes (Lundi cinéma)

Sans oublier d'ajouter « Monsieur » à chaque fois !

Nous n'avons habituellement pas de formalisme concernant nos pratiques de fessée. Mais il m'est arrivé de vouvoyer mon chéri et de l’appeler Monsieur lors des jeux de soubrette. Cela donne un air plus authentique à la situation, même si « Monsieur » reste méfiant envers mes bonnes intentions.

T'es en train de te payer ma tête, isabelle ?

Selon lui quand je joue à la soumise c'est pour mieux dominer. Qui suis-je pour le contredire ? Alors quand je compte les claques, il s'agit d'une initiative de ma part. Mon chéri n'est pas un fan de mises en scène avec dialogues pré-écrits. Il préfère le naturel, veut dire mes réactions spontanées, surtout hystériques qui se lient à l'action qui se passe sur mon derrière. Et quand je deviens grossière son amusement atteint son comble, car c'est tellement rare que j’abandonne mes petites manières.

Bref il adore les effets secondaires de la cuisson !

Puis pour compter -selon moi - il faut une application comparable à un métronome. Voila qui conviendrait à l'emploi de la baguette où le nombre d'impacts sont définis par avance, 5 ou 10 selon mes écarts de comportement. Exercice qui demande concentration car la baguette n'est pas un instrument facile pour infliger une douleur qui incite à réfléchir sans laisser des traces qui persistent et qui se transforment en hématomes. Toutefois mon chéri aime trop se charger soi-même du comptage pendant l'acte punitif. Sans oublier sa façon inimitable de meubler l'espace temporaire entre les impacts en me sermonnant.

Créant ainsi une atmosphère chargée dans laquelle le coup devient une sorte de délivrance.

J'ai l'impression que la séance devient interminable avant qu'il ne prononce enfin ma délivrance :

Frotte-toi tes fesses isabelle. Elles en ont besoin !

Et bien que je ne sois pas censée de compter à haute voix, je ne saurais dire combien de fois je compte en silence dans un espace temporel qui se déforme selon l'intensité du vécu.

vendredi 21 octobre 2016

951 Liens de discipline domestique (241 ème édition)

Au menu cette semaine :Mauvais souvenirs


Non, il n'est pas branché exclusivement « derrière » mon chéri. Fort heureusement ! Je ne supporterais pas un fétichiste monomaniaque. Il s’intéresse, même si j'en parle rarement, passionnément à l'autre côté avec une curiosité sexuelle qui alla loin pour une époque où cela ne se faisait pas couramment comme de nos jours. Il m'a vite avoué qu'il préférerait que je me rase tous les poils de mon l’entrejambe.

Oh ! Tu veux que je rase tout ?

Sa prestation au lit étant plus que convaincante, à priori je n'y ai pas vu d'obstacle de donner satisfaction à sa demande. Toutefois je me suis aussitôt souvenue d'une très désagréable expérience à ce sujet. Le rasage intégral ne m'était pas étrange. Déjà par « tradition familiale ». De plus j'avais lu dans la partie « conseils pour filles" de mon magazine favori pour ados (si, si...) que ce geste rendait fou certains garçons.

Alors un week-end, mes parents en voyage, munie d'un vieux rasoir électrique de mon Papa, je me suis mise à l’œuvre. J'ai appliqué d'abord la tondeuse, puis j'ai commencé à me passer cet appareil sur la peau. Erreur fatale. C'était long et laborieux, puis à forcer d'insister, j'ai réussi à me brûler partout dans mon entrejambe.

Pour un résultat « poule mal plumée ».

Bref ce n'était pas beau à regarder. Sans parler de la douleur. Même l'emploi d'une bonne crème apaisante ne me procura pas le moindre soulagement. Il en va de soi que j'ai mis pas mal de temps avant de recommencer. Cette fois-ci en utilisant une crème épilatoire qui elle aussi m'a procuré des brûlures, mais moins intenses. Pour un joli mais très court effet de lisse.

Quand j'ai fini de raconter mes mésaventures à mon chéri tout nouveau, tout beau, il m'a expliqué que pour se raser rien ne valait le bon vieux rasoir mécanique. Je n'étais pas vraiment enthousiaste pour essayer à cet endroit-là. Mais en prenant le temps et en allant doucement, le bon résultat était au rendez-vous.

Toutefois je n'ai pas hésité de dire crier oui, ouiii, ouiiiiii....

...quand monsieur à pris les choses en main pour jouer de temps en temps le barbier inspiré pour moi.

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !




Sonorité franche (petit clip)


Dames à lunettes (petite série)














mercredi 19 octobre 2016

950 Discipline domestique en toute discrétion

DD inversée ou pas,...

...pour ceux est celles qui pratiquent les punitions corporelles en couple il existe un problème majeur ! Rester discrets quand il y a des enfants à la maison. Je me souviens d'avoir lu dans un « best of années 70 » de courrier conseil la demande d'une dame qui souhaitait recevoir la fessée de la part de son mari, mais qui se souciait comment les sonorités seraient appréciées par ses enfants. Le conseiller psychologique de l'époque ne s'est pas trop embêté :

Il ne regarde pas vos enfants ce qui se passe dans la chambre de leurs parents !

Sur le principe je ne donne pas tort à ce monsieur. Mais ce n'est pas ma façon d'agir. La fessée chez nous se passe quand la petite n'est pas à la maison. Mon homme travaillant chez nous et moi étant mère au foyer, il est facile de trouver un moment dans la journée, ni vu ni connu. Par contre parfois les choses ne sont pas aussi simples, notamment quand monsieur et madame travaillent hors maison. Mais aussi quand le partenaire qui applique les sanctions souhaite punir sur le champs.

Que faire ?

I faut être imaginatif pour trouver une bonne solution.

Regardons l’ingéniosité de monsieur Arthur :

...nous avons finalement résolu notre problème de bruit grâce à l'usage d'un loopy johnny qui se révèle effectivement beaucoup plus silencieux que la strap. Après avoir reçu l'aval de Madame et envisager d'en commander un sur le net, je me suis finalement lancé dans la confection. Madame n'envisageant pas de me punir avec un bout de caoutchouc, il a fallu trouver une corde de cuir.

J'ai finalement trouvé ce qu'il fallait chez un cordonnier spécialisé dans... la réfection de vielles machines à coudre à pédale sur lesquelles il y a des courroies de cuir rondes de diamètre variable en fonction des modèles. Madame souhaitant disposer d'instruments efficaces, j'ai opté pour un diamètre relativement épais de 6 mm et acheter un mètre de longueur (ce qui a beaucoup surpris le vendeur qui m'a demandé 3 fois : "êtes-vous sur que la courroie de la machine à coudre de votre tante est si courte ?" ;-) Pour le manche en bois il s'est agi de faire le tour des brocantes et de le récupérer sur un ancien instrument de cuisine. Madame a fait plusieurs essais pour déterminer la longueur idéale de la corde (au final, une boucle de 80 cm avec la partie qui s'insère dans le manche). Le résultat s'est avéré à son goût, autant l'instrument que les marques aux contours arrondis qu'il laisse sur le peau. 

Pour ma part, il fut évident dès la première utilisation, qu'il valait mieux éviter que Madame ne soit contrainte de sortir cet instrument, plus redoutable que notre strap (qu'il n'est malheureusement plus envisageable d'utiliser lorsque nous ne sommes pas seuls à la maison). Outre la confection de ce loopy johnny, nous avons aussi prévu de faire un point hebdomadaire sur mon comportement chaque mercredi matin, une fois les enfants à l'école. Il s'agira pour Madame de me gronder ou de me récompenser en fonction de mon attitude des 7 jours précédents et de me donner des axes de travail. Il ne s'agit pas de repousser au mercredi d'éventuelles sanctions (qui tombent au coup par coup) mais de réserver une petite demi-heure par semaine pour parler discipline. C'est une idée qui m'enchante et qui j'espère sera à la source de nombreux progrès...

lundi 17 octobre 2016

949 La fessée plaisir (Lundi cinéma)

Pour que chacun y trouve son compte !

Parmi les plaisirs partagés, mon homme et moi, nous avons un faible pour la sonorité d'une bonne fessée. Ce penchant comble mon narcissisme, car je sais mon derrière hautement apprécié et il comble le narcissisme de mon homme comme celui qui sait s'appliquer avec un bon sens de musicalité. Enfin, s'il avait un sens de rythme tout sera vraiment parfait.

Quelle mauvaise langue cette isabelle !

Tu t’ennuierais vite sans ma mauvaise langue.

Bref se taquiner fait également partie de nos plaisir partagés. Puis aussi ce côté délirant concernant mes tenues. Parfois monsieur à des idées bien précises et assez classiques et je me fais une joie de m'habiller selon ses désirs. Mais le plus souvent je lui fais des surprises et déjà en effectuant mon shopping je me perds dans de joyeuses anticipations.

Comme il me tarde le moment de la vérité !

Quand ma tenue est trop osée, elle sera pour un dîner à la maison, en tête à tête. Quand elle est décente sans manquer de suggestion, c'est pour une sortie le soir. Ou encore pour une soirée chez des amis, car mon homme aime me voir attirante dans de telles occasions. Évidement l'effet de mes tenues sur mon chéri ne m'échappe pas et mieux encore, me donne une sorte de gentille insolence qui fait vite bouillir son sang.

Alors un prétexte est vite trouvé pour me passer sur ses genoux.

Loin du registre de la discipline domestique, ma fessée restera hautement ludique et mes petits rires et le sérieux de mon chéri créeront une belle ambiance. Induite par mon déculottage, considéré par mon homme comme le vrai dessert. Pour mieux le taquiner, je renonce souvent à mes inévitables strings et le « toute nue » sous mes jupes le ravit autant que des culottes blanches, très sages d'un autre âge. J'adore le moment quand mes fesses se trouvent vraiment à l'air. Il y une impression de frais qui se languit d'un coup de chaud. Sans oublier mes sursauts quand la main de monsieur s'égare dans mon entrejambe.

Oh ! Et moi qui te croyais un éducateur incorruptible !

Il prend le temps de me préchauffer l'épiderme avant de s'élancer avec plus de fermeté. En restant dans une gamme de claques d'une intensité bien précise, il sait que la chaleur de mon derrière va vite envahir l’intégralité de mon entrejambe pour me mettre dans un de mes fameux états dépourvus de toute retenue...

vendredi 14 octobre 2016

948 Liens de discipline domestique (240 ème édition)

Au menu cette semaine : Fessée initiatique !


A l'adolescence on essaye de faire son entrée dans la cour des grands. On ne joue plus pour faire semblant comme font les petits, car subitement cette notion perd son intérêt et on souhaiterait faire pour du vrai. Il ne s'agit plus de petits bisous factices pour imiter Papa et Maman, on mets maintenant la langue. Et contrairement à ce qu'imaginent les tout petits ce n'est plus considéré comme « dégoûtant » (pour citer ma fille), mais la nature s'impose avec une telle force que l'on y trouve excitation et plaisir.

Pénétrer et se faire pénétrer comme bases de la vie sexuelle.

Certaines filles comme moi ne rêvaient pas seulement de galipettes tendres avec leur prince charmant, mais se languissaient aussi de passer sur ses genoux pour une claquante fessée. De préférence dans un joli cadre avec de jolis habits, autant pour le garçon que pour la fille. On ne parle pas pour rien d'un âge romantique !

Je pense justement qu'une fessée bien menée ne manque pas de romantisme !

Il y a un dévoilement, le fameux déculottage qui met à nu les charmes charnelles de la jeune dame. Et ne manquent pas de princes susceptibles à ce genre de spectacle. Au lieu de foncer « droit au but », nous restons dans un registre plutôt timide qui se contente de la surface, de la peau des fesses de la dame qui va expérimenter une forme de stimulation particulière, cuisante, rougissante. Pas besoin de claquer des toutes ses forces. Une application modérée et subtilement dosée fait l'affaire. L'oreille du jeune prince, attentif au moindre soupir de sa bien-aimée, lui sera un précieux guide dans cette forme d'érotisme si particulier. Pas besoin de hâte non plus, car les parents sont sortis et les circonstances propices pour un laisser aller. Puis la jeune dame étant plus que proche de l'épicentre du plaisir du jeune homme, sent se réveiller la vigueur du mâle et durcir sous son pantalon. C'est une situation que j'apprécie particulièrement pendant une fessée, surtout punitive. Cette confusion des sens qui rapproche l'érotisme et morale. Qui trahit leur origines communes. Cette résexualisisation de la morale qui fait que la punition se voile d'un aura de plus jouissif...

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !





















mercredi 12 octobre 2016

947 La jouissance dans la fessée punitive

Regarde-moi quand je te parle, isabelle !

Contrairement à la vanille dans la fessée punitive nous ne cherchons pas forcement un dénouement orgasmique, mais de provoquer et maintenir un état d'intense tension qui se nourrit d'éléments aussi hétéroclites que l'appréhension de la douleur et une rude mise à épreuve de la pudeur. Ce qui est dans la vanille la condition sine quoi non pour rendre possible la pénétration, le dévoilement des parties intimes, devient ici un acte d'exhibition imposé sous prétexte de rétablir les bonnes manières. Contradiction manifeste, car montrer ses fesses nues à autrui est considéré par l’éducation comme le prototype d'un mauvais et irrespectueux comportement. Par conséquence je suis partagée entre mon plaisir jouissif de mettre devant le nez de mon chéri mes fesses nues et la petite voix en moi qui me rappelle strictement les règles élémentaires de la bonne conduite pour les filles.

Tu n'as pas honte, isabelle ?

Mais bien heureusement j'ai honte ! Sinon je me sentirais volée de ce qui rend la fessée punitive si particulière. Honte de devoir aguicher si effrontément par ma nudité partielle ou intégrale avec la grande satisfaction que cela marche à tous les coups. Voir ou mieux encore ressentir dans une correction sur les genoux de mon homme que la défense de la morale façon maison n'est pas un acte innocent. Au contraire, l'acte est chargé d'une sexualité torride qui lui fait un effet monstre sous son pantalon.

C'est ainsi que se dévoile pour moi le non-dit de la vraie punition !

Mon homme, attaché à mes bonnes manières, renonce héroïquement - malgré la tentation devant ses yeux, à porté de sa main si j'ose dire - à la l'impulsion de me faire ma fête sur le champs. Montrant lui-même le b.a.-b.a. d'une bonne éducation, savoir différer ses désirs. Voila qui est rassurant, un homme qui sait poser des priorités. Ce qui ne l'empêche pas d’exprimer bruyamment sa déception en se prenant à mon fessier.

Je vais t'apprendre..., isabelle !

Il reste obscure, ce qu'il souhaite vraiment m'apprendre, mais il y a de l'émotion qui se transmet par sa main. Un agacement qui s'exprime et concerne les petits trucs non-dits de notre vie quotidienne qui mettent à l'épreuve ses nerfs. Nous sommes dans le langage des corps qui connaît une infinitude de nuances qui échappent au langage verbal. Ce dialogue fort intime m'aide à prendre conscience de ma part de responsabilité dans le mécontentement de mon chéri. La fessée se détache de sa fonction érotique, elle devient ce qu'elle est censée être à sa base, un acte qui invite à réfléchir sur le dépassement d'un règlement inhérent à une structure et qui demande réparation. Le côté névrotique de cette pratique
s'impose avec force me poussant à un comportement hystérique sous les claques qui pleuvent. UN psychodrame à son sommet qui va vers une décharge... émotionnelle.

Je ne le referai plus...

Reste au font très vague aussi ce que je ne referai plus. Toutefois j’apprends à chaque fois que la douleur ne devient pas une habitude, que les bonnes manières se méritent durement.

Tu as besoin de sentir une main ferme de temps en temps, isabelle !

Comme c'est bien dit. En fait, en matière de ce qui est charnel, le ciment du couple en quelque sorte, outre un réel besoin de faire l'amour quand je me sens coquine, j'ai besoin aussi que mon homme me claque régulièrement les fesses quand je me sens vilaine. J'attends de lui une double satisfaction, chacune en son temps, sans confondre l'une avec l'autre.

lundi 10 octobre 2016

946 Une jolie fessée punitive (Lundi cinéma)

mais quelle pipelette cette dame !

Il y a tout pour me plaire : Une fessée agréablement sonore sur le fessier nu d'une dame qui n'a rien d'une soumise. Elle montre des émotions, s'exprime, elle papote, elle contrarie le monsieur, elle bouge. Tandis que le monsieur reste d'un calme imperturbable, impossible à corrompre. Il sait fesser avec fermeté sans toutefois tomber dans un abus physique et sans s’avérer nocif pour le popotin de sa dame. Comme dit mon chéri :

Une fessée pour te ramener à la raison, isabelle !

J'approuve parfaitement cette expression. Il n'est pas coutume que je me perde dans le irraisonnable, mais parfois c'est plus fort que moi. Subitement je ne sens plus mes limites et je m'engage dans une voie dont je ne suis pas fière. Surtout quand cela m'arrive devant témoins, chez des amis par exemple qui subitement se demandent où sont restées mes bonnes manières. On a beau à vouloir m'aider pour retrouver pied :

Il doit pas rigoler tout les jours avec toi, ton homme, isabelle !

Rien n'y fait. Je reste hargneuse et le moindre truc m'agace. Voilà qui dénote tellement avec ma habituelle bonne humeur et parce que l'événement est vraiment rare tout le monde se dit que ce n'est pas mon jour.

Mon homme dans une telle situation reste serein. Certes c'est pénible pour lui ce qui m'arrive, mais il sait pertinemment que se dérapage trouera une issue toute naturelle par le biais de notre discipline domestique.

Alors, on insiste pour une fin de soirée fessée isabelle ?

Il n'a pas besoin de le dire, je sais qu'il le pense. Et je sais aussi qu'il ne va pas se priver de faire usage de sa place de celui qui commande à la maison :

Il aurait fallut y penser avant isabelle !

L'enjeu est de taille et il lui faut du doigté pour bien mener sa barque. Étant très énervée je n'ai pas forcement envie de me faire claquer les fesses comme une sale gamine. Mais si mon chéri n'arrive pas à me convaincre du bien fait d'une séance corrective, je vais me sentir terriblement frustrée.

Voilà la complexité préparatrice qui peut se poser dans la discipline domestique.

Et la partie est loin d'être gagnée, une fois mon fessier déculotté et me voilà allongée sur les genoux de mon chéri. Là, il faut prendre le temps avec moi, me laisser des moments de répit pour exprimer mes émotions. Être attentif à ce que je ressens. Mon homme a une grande capacité d'écoute pour mes énervements et il lui arrive de me donner raison.

Seulement il reste intraitable sur ma façon de m'avoir comportée.

Ce qu'il souhaite - et c'est là surtout que je me sens soutenue - c'est que j'arrive à mieux gérer mes colères. Depuis que je l'ai rencontré j'ai fait des progrès spectaculaires.

Effet de la fessée ? Qui sait !

vendredi 7 octobre 2016

945 Liens de discipline domestique (239 ème édition)

Au menu cette semaine: Délirant non-dit de nos fantasmes !


Ma mère va rappliquer d'un moment à l'autre et tu n'as pas encore mis ta jupe isabelle !

Et alors ? Crois-tu qu'elle va me donner une fessée si elle me verrait en culotte ?

Sujet très sensible. Parfois je me dis que mon chéri craint que sa maman ne découvre ma facette de « créature de débauche » sous mes airs de sainte ni-touche. Outrée par le fait de lui avoir caché cette vérité, à elle, sa mère, elle se sentirait obligée de lui infliger une bonne fessée comme jadis pour le remettre dans le droit chemin. Rien qu'en imaginant cette constellation je suis pliée de rire et j'avoue que je serais un excellent public. J'aime le côté délirant des fantasmes. D'abord pour les tenues vestimentaires comme dans certains fétichismes par exemple, puis surtout pour les constellations qui impliquent des personnes que je connais réellement. Certes, je n'ai aucune envie que cela se réalise, mais mes rêveries me mettent aussitôt d'humeur exubérante et me donnent parfois aussi des idées. Ajoutons que monsieur dans ce cas s'étonne à juste titre d’ailleurs de mes élans subites:

Mais qu'est-ce qui t'arrive, isabelle ?

Préférerais-tu que je me masturbe mon chéri ?

Encore un de ces non-dits qui nous démange. L'idée de me donner une bonne fessée pour comportement éhonté lui plaît autant qu'à moi. On parle souvent de la masturbation décomplexée, mais n'oublions pas qu'une petite touche de transgression ajoute un piment non négligeable.

Il en va de soi que transgression et punition forment un joli couple.

Dans la temps on y voyait « un comportement pervers », de nos jours on commence à évaluer l'idée d'une orientation sexuelle à part entière. En principe avec un tel état d'esprit tout devrait aller au mieux dans le meilleur des mondes. Notamment en prenant en compte que les « éléments atypiques » permettent d'intensifier le sentiment subjectif d’émoustillement.

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !









Solide cadence (petit clip)



Les joies du otk (plusieurs images)








mercredi 5 octobre 2016

944 Fausse soumise


Vanité quand tu nous tiens. Chacun voit midi à sa porte. Moi ce que je vois, c'est un jeu qui sert à alimenter mon narcissisme en me donnant une allure qui laisse peu de messieurs indifférents dont surtout le mien. Grand amateur de la texture et de l'odeur du cuir, il aime également les petits lacets et surtout cette intrigante mini-ceinture qui se perds dans l'entrejambe de la dame. Bref de quoi pour réveiller sa curiosité et son sens d'exploration. Puis cela change agréablement des culottes push up
qui elles aussi existent en version fesses nues.

Pour ma part j'imagine mon essayage comme suggère la photo !

Dans un cadre coquin entre filles, version préparation pour une soirée costumée. Même si je n'ai pas d'affinité avec le monde du BDSM, j'adore toutefois certaines tenues y associés. Pour moi ces vêtements sont liés à un fort potentiel de séduction, à une forte emprise sur la libido du monsieur surtout. Ce qui me met en position de force. Me donnant pendant les taquineries préliminaires un enivrant sentiment de toute-puissance. Et pour déguster cette grisante sensation (que je préfère nettement à l'alcool par exemple) mes limites sont très souples. Je me verrai même mettre un collier, en cuir bien entendu, autour de mon cou, façon maître et soumise. Seulement je resterais insensible à la poésie de l'appartenance. Je ne me sentirais pas en âme dévouée, ni à une personne, ni à une cause et encore moins prête à un sacrifice. Voila qui tombe bien, car Monsieur 183, malgré de fortes tendances fétichistes, n'a rien dans son comportement qui va dans le sens d'une scène domination/soumission. Style frimer avec sa soumise devant les autres convives. Montrer ce qu'elle sait faire. Certes, il aime récolter des compliments sur mon élégance, mais là nous sommes dans un registre plutôt banal.

Alors en cherchant mes aspirations de soumission je me suis documentée auprès de spécialistes en la matière. Héla je manque de patience pour remplir la (très longue) checkliste de la soumise qui contient ceci dit pas mal de trucs que je considère faisant partie de la simple... vanille. La plupart des pratiques ne me conviennent pas, mais j'ai déjà pu échanger avec des adeptes du BDSM dans la bonne humeur. Étant curieuse, j'aime découvrir. On s'en doute, avec moi cela reste bien intellectuel.

Puis il y a les fameux 9 dégrées de la soumission. Je me retrouve dans la « masochiste ou fétichiste non soumise » et aussi dans la « pseudo soumise ». J'adore dans la deuxième catégorie les jeux de soubrette, la vicieuse secrétaire ou étudiante qui harcèle son patron/professeur. J'aime aussi le jeux de l'infirmière. Le tout avec beaucoup de théâtralité et dans la bonne humeur. Toutefois comme dit fort justement le « classement »:

C'est elle (MOI !!!) qui provoque et dirige le scénario.

lundi 3 octobre 2016

943 Quand la fessée commence à faire de l'effet (Lundi cinéma)

Verbaliser la brûlure

Celles qui n'ont pas la chance de ressentir la fessée comme un agrément sensuel, mais plutôt comme une indispensable étape pour se libérer d'un ardent besoin de punition, se retrouveront peut-être comme moi dans une expression du style :

J'en connais une qui va passer un mauvais moment !

Par conséquence il ne s'agit pas uniquement de mériter une bonne fessée, mais également de mériter durement un état de bien-être. L'attrait de cette carotte est si fort que l'on se plie sagement à une discipline jugée indigne d'un adulte. Il faut un certain courage pour baisser sa petite culotte devant son partenaire. Moins à cause d'une réelle peur de ce qui va arriver, mais par le fait de se mettre au travers de nos conventions sociales. L'idée qu'autrui puisse savoir ce qui m'arrive quand « je ne suis pas sage » me déplaît autant qu'elle m'attire dans pas mal de mes fantaisies. Toutefois je m'abstiens de jouer avec le feu et je préfère la discrétion.

Une fois sur le genoux de mon chéri commence une laborieuse séance d'expiation.

Souvent il suffit d'une seule minute pour que la fessée commence à faire son effet. J'ai très mal aux fesses et je le fais bruyamment savoir. Je peux crier, produire des vocalismes de plus étranges, injurier mon homme, me montrer grossière sans parler de sauter sur ses genoux comme dans un rodéo en développant une forte activité avec mes jambes.

Je saurais te dompter, isabelle !

Comme il a raison mon chéri. Je ne mets à aucun moment en doute le bien-fondée de ce qui m'arrive. J'aime sentir de cette façon l'autorité de mon mâle et je sais pertinemment que sa façon d'agir montre des effets fulgurants sur ma libido. Pas forcement quand je me trouve sur ses genoux, mais dans maintes situations du quotidien quand je me remémoré la scène. N'en parlons pas de ses menaces de me rappeler à l'ordre que mon cerveau transmet directement à ma petite culotte.

Heureusement mon chéri ne tient pas compte du contenu de mes verbalisations. Ouf !

Il cherche un résultat, une rédemption... et moi aussi. J'ai les larmes faciles et la plupart de mes fesses punitives se finissent par une jolie séance de chant. Rien à voir avec la douleur, plutôt avec un débordement émotionnel qui fait tant de bien...