vendredi 31 août 2012

159 Liens de DD (25 ème édition)


Après ce superbe été je me sens bien d'attaque pour la rentrée. J'ai pas mal de textes en brouillon que j'aimerais finir. Des anecdotes, pensées et découvertes inédites. Je persiste dans ma façon éditoriale qui mélange distraction et intellectualisme. Fidèle à mon idée que le fantasme de la fessée peut se cultiver chez n'importe qui, je me consacre alors à ceux et celles qui aiment les « plaisirs de la tête ».

J'ai un petit public qui revient régulièrement et que je remercie pour leurs visites. Ceci dit pour un blog de pur texte sans la moindre image (mis à part ces liens) je suis plus que contente du nombre de pages consultés par jour. Alors je continue sur ma lancée sans changer de formule.

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !























jeudi 30 août 2012

158 Mon fantasme de fessée publique ...expliqué


Du moins en partie, concernant son fonctionnement. Toutefois accrochez vous. Certains éléments sont complexes !

Je pense qu'extrapoler un côté d'allumeuse dans un fantasme de fessée publique, c'est passer à côté de son essence. Montrer ses fesses devant des inconnus, être chopée sur le fait par son homme et écoper d'une claquante punition cela se tient... dans un récit pour échauffer le sang. En réalité, je ne cherche pas à séduire une salle de conférence entière par ma nudité partielle. Et à vrai dire que je sois avec ou sans jupe me semble un petit détail sans importance primordiale et qui caractérise seulement une modification de ces rêveries parmi tant d'autres.

Ce qui me titille, c’est la situation « d'un juste châtiment » sous forme de « déshonneur » devant un public non initié.

Sinon il serait plus simple de recourir à mise en scène à la maison devant des invités ou dans un club.

Une femme de tête qui se donne un mal fou pour une présentation sérieuse de son sujet, subitement mise en évidence pour une faute grave et qui reçoit à la surprise et au grand plaisir des spectateurs une punition indigne d'une personne adulte.

Voici une interprétation très peu connue, dans laquelle je me retrouve et qui concerne une forme particulière d'inhibition intellectuelle. J'entends par là le sentiment subjectif d'une limitation fonctionnelle de capacités intellectuelles. J'ai le sentiment que je peux mieux faire, mais quelque chose en moi fait obstacle. Je ne suis pas contente du tout de moi-même et ce mécontentement éveille en moi un sacre besoin de punition.

Alors habituellement quand je me sens bouillonner intérieurement, je me confie à mon homme qui m'écoute de manière impartiale (si, si il met son envie de me fesser en arrière plan!) en décidant si je mérité vraiment une punition ou pas. Punition non pas pour faute commise dans ce cas, ne nous trompons pas, mais pour me calmer quand il juge mon ambition démesurée. Et cela marche à la merveille chez nous !

Une inhibition intellectuelle n'est pas à confondre avec un déficient intellectuel. Son caractère purement psychologique se manifeste par une forme de déni plus ou moins volontaire de certaines réalités...et qui me donne un air maladroite ou plutôt mal informée !

Concrètement cela se montre chez moi par des phrases comme :

Oh là là, comme je peux être bête.

...qui ne sont par conséquence pas dépourvues de sens comme peuvent imaginer certains messieurs. J'insiste sur le fait de ne me donner en aucun cas raison sous peine se s'attirer à coup sûr ma haine féroce ! Déjà je me sens « handicapé » dans ma réflexion, alors il vaut mieux éviter d'en rajouter.

Mais non, isabelle, tu n'est pas bête du tout !

Voila qui convient mieux. Bon, je quitte maintenant ce grand classique souvent associé aux jeux de séduction de certaines dames.

Inhibition intellectuelle ne veut nullement dire que autrui s'en rende compte. Au contraire elle peut passer parfaitement inaperçu. La preuve dans mon fantasme c'est moi qui va ouvrir la conférence. Non pas sans avoir mis tous les atouts de mon côté en soignant mon narcissisme (phallique). Je rappelle ma belle jupe crayon et mes escarpins parfaitement cirés. La nature de la conférence aussi est révélateur, la science, domaine humain par excellence qui cherche la vérité objective. Or vérité et narcissisme font rarement bon ménage. Alors moi toute fière autant de ma tenue que de mon discours, subitement je me retrouve sans jupe devant mon public. Expression flagrante de mes craintes depuis toujours que mon inhibition intellectuelle se dévoile devant tout le monde.

... il (en parlant de l'inhibé intellectuel) vit à chaque instant cette scène humiliante. ... La libido s'investit massivement dans une mise en scène d'exposition au pilori, au milieu des lazzi sadiques d'une foule goguenarde. Non seulement il y a représentation par le contraire, c'est le sujet qui est vu insuffisant et non pas lui qui voit une petite fille sans pénis, mais aussi transformation de son angoisse en sadisme goguenard d'une foule qui le conduit au fin fond de l'humiliation. Remarquons la subtile transformation de l'inhibition intellectuelle en châtiment d'un quelconque crime. Notons aussi la sexualisation sous-jacente des liens sociaux qui sous-entend un tel fantasme. Par un tour de passe-passe, la blessure narcissique affirmée s'est transformée en punition d'un forfait de nature imprécise et confuse. Enfin, la société a été régressivement ramenée à une foule sadique dont il est l'objet passif...




La scène qui se profile est visuelle, sensuelle, la fessée publique n'est pas loin... doit-on alors ne voir en l'inhibé qu'un masochiste moral réussissant constamment et silencieusement à provoquer un Surmoi extériorisé, à contraindre ce dernier grâce à d'habiles provocations à des décharges érotiques vers son Moi ?

Pour ceux qui intéresse l'explication analytique en détail, j'indique ma source (page 829ff) :

Intervention de D. Braunschweig et M. Fain au 32ème congrès des psychanalystes des langues romanes ; 1972

L'extrait cité se trouve ici.

Il livre à mes yeux des précieux indices pour des personnes comme moi qui chérissent des fantasmes de fessée publique...pour incompétences. Que ce soit pour fautes d'orthographes dans une salle de classe ou pour une jupe oubliée dans une conférence importe peu...le principe étant le même.

Également - j'insiste particulièrement - une excellente lecture pour "l'éducateur chevronné en discipline domestique"...pour savoir mieux évaluer les situations qui nécessitent une punition !

mercredi 29 août 2012

157 Mercredi de mes lecteurs (4ème édition) : Fessée et fétichisme


Si on considère le fétichisme comme un déplacement de l’intérêt érotique sur une autre partie du corps de la dame que celle prévue par la nature dans un but de reproduction, il existe pas mal d’hommes fétichistes. Et si on le considère comme un déplacement sur un vêtement de la dame (ou comme ajout d’un vêtement à la dame), les prétendants à cette appellation ne manquent pas non plus. Bref entre amateurs de fesses, de seins, de jambes, de cheveux etc d’un côté et amateurs de lingerie fine, de chaussures, de jupes, robes, jeans etc de l’autre, je pense que nous avons une belle panoplie de tendances fétichistes. Et c’est très bien .Toute une industrie en vit et fait vivre des millions de personnes.

J’ai reçu , il y a quelques années déjà, une intéressante remarque à ce sujet de la part d'un de mes lecteurs. Et j'avais demandé à l'époque son accord pour une publication anonyme. Cette réflexion ayant disparu avec un des mes anciens blogs se trouve toujours dans mes archives. Et c'est dommage à mes yeux. Alors je la ré-poste car elle tombe pile poils dans cette rubrique du mercredi.

Je ne me permets pas de commenter ces lignes. Je ne crois pas qu’il soit possible de se mettre à la place de qui que ce soit. Notamment quand une personne parle de son ressentir. Mais il est tout à fait possible de découvrir des liens avec son propre ressentir. Le reste relève de l’échange qui constitue le seul moyen selon moi de s’approcher d’autrui. Bref, je suis ravie de la gentillesse de mon lecteur de partager ses réflexions et émotions avec moi et par extension avec mon public.
La mode fait, à mon humble avis, partie elle aussi de la mise en scène de la fessée, dans les deux sens de la discipline conjugale F/H-H/F. Personnellement, pour un homme, la mode féminine, véhiculée par la mère  et les tantes de celui-ci, marque parfois durablement sa sensibilité qui rejaillira en galante compagnie... Ainsi, s'il a été puni dans sa jeunesse par un entourage maternel et protecteur ultra-féminin, très maniéré, il pourrait par réaction se montrer plus sévère avec sa compagne si elle adoptait la même "panoplie". D'où cette sorte d'équation imaginaire : Mode = féminité = Mère = fessée.
Nous sommes dans le humain qui me touche. Dans une tentative de cerner la vraie nature d’un fantasme (perso) de la fessée. Au lieu de se perdre dans un discours un peu usé, celui de la fessée plaisir, qui essaye de la détacher de tout connotation psychologique.

Je comprends parfaitement que certaines personnes aient envie de pratiquer la fessée sans blabla. C’est leur bon droit et loin de moi de critiquer une telle attitude. Mais il existe aussi des personnes qui aiment savoir un peu plus sur leurs fantasmes ou ceux des autres...

lundi 27 août 2012

155 Mon fantasme de fessée publique 1

J'ai un faible pour le jupes crayon. Au grand plaisir de mon homme qui n'est jamais avare pour m'en offrir une de plus. Il en va de soi que je pourrais mes les acheter moi-même, mais je trouve personnellement que savoir accepter un cadeau de son homme contribue fortement à la réussite d'un couple. Notamment quand ce cadeau lui donne des idées... d'homme.
Quoiqu'il en soit, ces fameuses jupes m'évoquent le charme d'une féminité d'antan qui a fait ses preuves. J’en porte souvent avec des sous-vêtements appropries. Cela va à la merveille avec des hauts talons et des bas-couture. De préférence ceux qui plissent et grésillent. Sans être fétichiste à ce niveau !
Ces jupes sont tellement moulantes que les jarretelles se dessinent parfois au travers du tissu en ajoutant une petite note d’exotisme involontaire. Surtout quand je me penche. Comme disent mes copines:
Tu portes des bas au quotidien, isabelle ?
Hein oui ! C’est ma philosophie de « femme paquet cadeau ». Celle qui cache plus que ce qu’elle ne montre. Qui séduit par ses sous-entendus et par sa discrétion quasi pudique.
Voila pour situer la tenue qui intervient dans mon fantasme.
Alors dans mon petit tailleur avec jupe crayon et mes escarpins parfaitement cirés j'imagine de participer à un séminaire (...scientifique !). Je passe sur le sujet qui est sans importance, mais c'est moi qui est sensée de le présenter. Je me sens à l'aise et je me lance devant une salle comble. Très étonnée que tout le monde semble me regarder de manière particulière. Connaissant mes capacités qui se résument essentiellement à la documentation, je ne vois pas une innovation personnelle dans mes réflexions qui mérite tant d'attention.
Seulement...il ne me vient pas l’idée que j’ai oublié de mettre ma jupe, tellement je suis passionnée par le sujet que j’expose.
Puis, par le plus grand des hasards Monsieur passe. L’expression de son visage est bien claire :
Tu as encore fait une bêtise, isabelle. Ca commence à faire beaucoup pour cette semaine. Tu as besoin de ta médecine. Ici et maintenant.
Il met un terme abrupt à ce séminaire en m’appliquant une fessée claquante devant l’auditoire. Pour bien faire, il est indispensable qu’il baisse ma culotte. Pour cet oublie qui est de taille : la jupe de mon tailleur. Décidément je suis trop tête en l’air.
Mais oui, premier constat, mon homme intervient aussi dans certains de mes fantasmes. Si ce n'est pas l'amour....

vendredi 24 août 2012

154 Liens de DD (24 ème édition)


Enfin, on respire de nouveau. Bientôt la rentrée. Ma petite fera ses premiers pas à la maternelle. Par conséquence mon
homme et moi, nous allons nous retrouver à nouveau en tête à tête.

Il va pouvoir oublier un peu son rôle de Papa (trop) attentionné pour se consacrer pleinement à sa « grande ».
Quelques révisons de ma discipline au programme. J'ai déjà préparé un uniforme d'étudiante pour surprendre mon chéri.

Ah oui, mon blog a 6mois, déjà. Je l'ai débuté un vendredi 24. Au mois de février sans trop savoir comment présenter la discipline domestique au mieux. Entre temps mes idées se sont précisées. Bientôt deux nouvelles rubriques :

Didactique de la punition

et

Règlement de la maison.

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !























jeudi 23 août 2012

153 Petite biochimie de la fessée

Je suis toujours amusée quand je lis des approches de la fessée qui s’apparentent à des prouesses de sport. Les parallèles ne manquent pas. Il est bien connu que la douleur soutenue sur une période assez longue peut provoquer d’effets semblables à l’effort intense. Les endorphines (morphines produites par l’organisme) ainsi libérées, s’apparentent comme leur origine indique à un effet de drogue. En évoquant subjectivement des phénomènes de bien-être.
Loin de moi de vouloir réduire le bienfait de la fessée à la simple biochimie.
Si je faisais une étude scientifique sur ce sujet je me poserais aussi la question sur le taux du cortisol dans l’organisme, puis sur son interaction avec les endorphines. Le cortisol, populairement appelé hormone du stress, a fait objet d’études il y a une dizaine d’années. J’avais lu dans le temps les premières publications à ce sujet qui examinent de près la résistance d’un être humain au stress. Il paraissait même que l'on faisait en France des examens dans ce sens pour recruter des personnes pour des métiers à risque.
Il en va de soi que l’annonce d’une sévère fessée peut provoquer un certain stress qui intensifie « l’épaisseur du vécu ». Un sacré stress même à mon niveau à moi. Je n'ai plus qu'un souhait :
Que mon homme me passe au plus vite sur ses genoux !
Pas la peine de chercher un plaisir sensuel quelconque. Ce que je vois, c'est la vraie punition qui me pend au nez. Et plus que la préparation dure, plus mon stress augmente.
Pour moi une bonne fessée vit alors en grande partie de ses préparatifs.
Dans sa première phase, l’acte de la fessée s’apparente pour moi à un soulagement d’une tension insoutenable qui baisse pour sa part ma sensibilité à la douleur.
Puis dans la deuxième phase se produit un effet que Simone de Beauvoir décrit avec des mots suivants :
La souffrance détruit les limites du moi, l’exquis et le douloureux se touchent.

Pour ma part je dirais que la destruction des limites du moi entraîne une certaine jouissance du fait de « sortir de ma peau », de pouvoir « faire peau neuve ».

Je passe sur mes recherches qui mettent en rapport la culpabilité inconsciente, le besoin de punition et le stress. Mais je pense que la douleur peut provoquer dans certaines conditions un apaisement efficace sur les trois niveaux.

Voila donc pourquoi certaines personnes comme moi qui n'aiment pas l'acte de la fessée en soi peuvent aussi y trouver leur compte.

mercredi 22 août 2012

152 Mercredi de mes lecteurs (3ème édition)


« ... converser avec des personnes qui savent parfaitement ce qui vous arrive de temps à autre quand vous n'êtes pas sage...est peut être plus troublant que d'être fessée devant elles... »

J’ai reçu cette mignonne confidence, il y a pas mal de temps par une de mes lectrices et j'avais demandé à l'époque l'autorisation de publier ce passage. C’est un très beau sujet dans lequel je me retrouve.

Par la suite, je donnerai mon approche personnelle du sujet, car mes échanges restent strictement confidentiels.

Partager un secret comme la fessée punitive et ses alentours avec une bonne copine, en buvant un petit café et en mangeant un bon gâteau fait maison, me plaît beaucoup.

Je pense que la distinction avec un « acte qui montre » n’est pas difficile à comprendre.

Ce dernier vise à ma compréhension une réaction du spectateur à partir du concret.

Qu’il commente la scène. Qu’il donne de bons conseils pour mieux fesser la dame. Qu’il manifeste un désir de participer. Ce qui peut être accepté ou refusé. Qu’il fasse des compliments agréables (j’espère !) sur le physique de la dame etc. En gros cela tourne autour d’un acte réel qui est partagé sous formes différentes.

Pour mieux comprendre la deuxième constellation, celle qui partage seulement un secret, une petite citation :

Le mot n’est pas déconnecté de la réalité, car il évoque des émotions.

Voila le but de ce fantasme :

Partager une émotion qui se crée à l’évocation verbale de la fessée.

Le plaisir tourne autour de l’imagination qui prend librement son envol car elle n’est pas captée par une action. La distinction des deux fantasmes pointe dans la même direction que de préférer regarder un spectacle érotique ou lire un texte érotique. A chacun son univers.

Un petit papotage autour de la fessée entre bonnes copines me rend un peu nostalgique. M’évoque les « petits sujets filles » concernant la sexualité à l’âge ado.

Sur ce blog il m’importe plus de parler des émotions qui entourent la fessée que de montrer littéralement ses côtés spectaculaires. D’ailleurs je pense qu’il ne faut pas beaucoup de détails pour les personnes émotives comme moi pour s’enflammer.

Une petite question de la copine à cause d’un gigotement répété sur la chaise.

As-tu encore reçu…

La remémoration d’un vécu en commun qui parait dans une autre lumière.

Et quand t’étais partie l’autre soir en toute hâte parce qu’il se faisait tard…

Un nouveau regard sur les habitudes.

C’est pour ça que tu ne portes plus de pantalon…

De la curiosité purement humaine

Qu’est-ce qui se passe quand…

De la moquerie :

Ca doit être beau à voir quand il te met sur ses genoux.

Ou du chantage gentillet :

Je vais le dire à ton homme !

Pour que des telles discussions peuvent s’épanouir il y a quelques règles : L’absence de préjugé et absence de tout soupçon de violence conjugale. Et surtout de la confiance...

mardi 21 août 2012

151 Soupçon et imagination 2


Dans ma rêverie à yeux ouverts, la charmante dame se trouve maintenant devant son mari, les fesses à l'air, la culotte autour de ses chevilles, en train de faire son mea culpa. Comme j'aimerais être petite souris pour l'écouter. Elle ne doit pas être indulgente envers ses propres erreurs. Au point de considérer « comme mérité » ce qui va lui arriver.

Je la vois garder son éternelle cigarette pendant que le son d’une vigoureuse fessée se propage entre les murs de leur foyer. Rituel qui s’est forgé au fil des années. Chacun y trouve son compte. Il s’est détaché d’un jeu érotique pour mener une vie autonome. Depuis la fessée est à l’honneur. Elle a sa place fixe pour équilibrer le ménage. Elle chasse les petites tensions à la source. Sans abus. Car elle suit des règles comparables au code de la route.

Quand c’est rouge on s’arrête.

La dame me regarde attentivement. Comme si elle se demandait d'où vient mon petit sourire narquois. Ai-je compris pourquoi sa main a glissé hâtivement autour de son fessier. Peut-être ce n'était pas pour arranger sa jupe. Je sais à quel point ce petit geste peut soulager un fessier après une correction récente.

Ce qui me semble au dessus de tout soupçon, c’est le libre choix de la dame. Elle ne subit pas sa correction. Elle est consentante. Car la fessée fait très mal. Quoiqu’on en dise.

Quel trait de sa personnalité est comblé par cet acte ?

Peut-être son homme recourt-il aux instruments. Un jour il est revenu à la maison en apportant ce qui deviendra par la suite un secret entre époux. Enfoui dans un tiroir peut-être. Ou accroché au mur dans un coin inaccessible pour autrui. Lequel pourrait leur correspondre le mieux ? Tout est envisageable.

Où est-ce que c’était Madame qui poussée par un irrésistible besoin de plus grande discipline, par nostalgie ou pour faire plaisir à son homme a pris l’initiative. En dotant le ménage d’un signe d’autorité visible, conférée à son époux. Je la verrai bien opter pour un instrument classe. Une cravache par exemple.

L’idée m’est venue parce qu’elle me parle souvent de son amour pour équitation. Elle en a fait dans sa jeunesse. Elle regrette de ne plus avoir le temps.

La dame se lève une fois de plus. Elle continue à me parler en faisant des allées retours dans la pièce. Encore un soupçon. Sa démarche donne l’air d’un dynamisme volontaire. C’est fou quand on se reconnaît à ce point dans les gestes d’autrui. Et quand on connaît pour sa propre part les raison plus profondes qui les motivent.

Jeu de soupçon !

Nous sommes dans un registre qui retrace les suppositions des petits enfants sur ce qui se passe entre adultes. Petite différence. Maintenant que je suis adulte, je sais bien ce qui se passe. Mais l’émotion de la découverte est toujours existante. Elle s’est déplacée sur la fessée…

lundi 20 août 2012

150 Soupçon et imagination 1


Comme je dis souvent, un fantasme de fessée ne se lit pas sur le visage. Il n’est pas déductible non plus à partir d’un comportement social quelconque. Il est donc intriguant quand dans un petit papotage de tout et de rien se dessine subitement…l'ombre du doute.

Et si la charmante dame en face de moi était aussi pour sa part troublée par les méthodes éducatives d'un autre âge. Ou mieux encore ...directement concernée...malgré sa cinquantaine bien entamée !

Je parle bien de la vraie, bonne fessée traditionnelle à l'âge adulte. Celle qui punit et non pas de celle qui est sensée d'échauffer l'atmosphère de la chambre à coucher.

J'aime quand l'ombre du doute plane dans ma petite tête. Sans que cela devienne explicite. Sans rentrer dans les détails. Le plaisir du petit soupçon qui se nourrit de sous-entendus. Des observations. Une suite de gigotements sur une chaise par exemple. Si semblables aux miens quand j’ai la peau de mes fesses qui brûle parce que ma correction est encore fraîche.

J'imagine une dispute entre les époux juste avant notre arrivée pour passer la soirée entre amis. Le monsieur n’as pas hésité de rappeler à sa femme les règles en vigueur à la maison.

Règles au contre sens de notre époque. Au contresens même des convictions des personnes concernées.

L’irrationalité humaine réclame sa part. Son dû. Elle se moque du politiquement correct. Et malgré que cette dame ne se laisse pas marcher sur les pieds, je la vois bien se plier pour une séance disciplinaire appliquée par son mari. Peut-être à cause d'une petite bêtise sans grande importance aux yeux d'autrui. Mais si chère à cette merveilleuse palette qui est son inconscient. Et ce dernier ne se soucie pas du tout d'ajouter sa touche de déraisonnable quand l’envie le chante.

Passer sagement sur les genoux de son mari. Elle, une dame ô combien austère et sèche à la première impression. Véritable mère fouettard par ses allures. Parfois son regard me procure des frissons. Quand elle me critique, elle n'est pas tendre avec moi. Sévère, mais juste. Je ne puis m’empêcher à plusieurs reprises de m'imaginer sous sa tutelle. Ce qui a fortement amusé mon homme quand je lui en avais parlé.

Je crois que de temps en temps une fessée de sa part te ferais du grand bien, isabelle. Tu devrais lui en parler...

Pffff ...ces hommes !


vendredi 17 août 2012

149 Liens de DD (23 ème édition)


Ah le superbe temps persiste !

Il y a donc forte probabilité que je continue la semaine prochaine mon « service minimum » avec quelques rééditions qui ne sont plus disponibles sur le net depuis quelque temps.

Pas mal d'images hautement périssables cette semaine (avec une astérisque). Concernant des dessins... du vraiment nouveau pour moi. Ce qui est très rare.

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !























jeudi 16 août 2012

148 Fessée punitive dans un cadre authentique


Je me souviens au début de notre relation de couple d’une visite de quelques jours chez une tante de Monsieur. Cette gentille dame vivait dans un véritable musée de curiosités où le temps s’était arrêté bien avant ma naissance. Un décor authentique qui datait selon mon homme au moins du début des années 60. Tout y était.

Il m’a fait découvrir le lino et son odeur caractéristique, les tapisseries vintage avec des motifs pas possibles et une radio ancienne qui impressionnait par son grésillement. Muni d’un « œil de chat » qui aide à régler la bonne réception. Un dépaysement total. A son (notre!) grand regret, il ne manquait que la poésie d'un instrument de discipline, soigneusement gardée et qui servait autrefois.

J’ai trouvé ce cadre fort inspirant pour recevoir une bonne fessée à l’ancienne. Et nous avons profité d’une absence de la tante un matin pour une « authentique fessée punitive » qui me pendant au nez et à la base prévue après notre retour chez nous.

Allongée sur les genoux de Monsieur, troussée et déculottée, nous avons rendu hommage à notre façon à ce lieu unique.

Pour le moins qu’on puisse dire, j’étais particulièrement émue de me voir corrigée dans un tel cadre. Monsieur n’est pas allé de main morte. Comme il se doit. Me mettant le feu sacré au derrière. Et quand je me suis retrouvée plus tard au coin devant une tapisserie de l’âge de mon  homme, mon corps a exprimé de manière particulièrement édifiante le bien fait de cette fessée.

Pendant toute la journée, il m’a tardé le soir et la réconciliation amoureuse. Il en était de même pour mon homme.

Mon lien personnel entre fessée punitive et sentiment nostalgique qui a amplifié de manière extraordinaire l’intensité de mon vécu est assez facile à comprendre. Mon fantasme s’est formé à un âge très précoce. En pur fantasme. Car je n’ai pas connu une vraie fessée pendant mon enfance ou adolescence. Alors il lui manque des éléments réels et il se base seulement sur mon imagination.
L’entourage presque irréel me servait à la merveille pour m’approcher au plus près du contexte qui génère mes émotions.

C’est en quelque sorte la nostalgie du Paradis perdu et qui se retrouve dans cette petite mise en scène entre deux adultes.

Ceci dit nous sommes justement des adultes. Ce qui change tellement d’un contexte punitif adulte/mineur. Car pour nous il y a possibilité de réconciliation charnelle qui donne au vécu une conclusion agréable et de plus naturelle.

Voila pourquoi je suis pour un label:

Réservée exclusivement aux adultes !

Comme pour les cigarettes et l’alcool. Avec une mention spéciale qui indique certains risques :

Peut gravement nuire à la santé !

mercredi 15 août 2012

147 Mercredi de mes lecteurs (2éme édition)

Voici un autre joli texte de Main leste. Troisième et dernier volet de la trilogie : « DU REEL A L'IMAGINAIRE ». J'aime cette façon originale de s 'approcher du sujet.


DU REEL A L'IMAGINAIRE (Par Main leste)

Trois scènes, liées à la fessée, dont j'ai été réellement le témoin au cours de ma vie (seuls les noms et quelques détails ont été changés, pour préserver l'anonymat des protagonistes). Trois scènes qui m'ont troublé, ont titillé mon imagination, car avant ou après, il s'est sûrement passé quelque chose...

Martinet voyageur.


    De visite chez un couple d'amis, Alain et Véronique, dans leur maison à la mer, je remarquai un martinet, négligemment posé sur un tas de bois près de la cheminée. Un martinet à l'ancienne, au manche non pas jaune mais brun, et avec des lanières d'un cuir qui ne devait avoir rien à voir avec le quasi-velours ou le semi-plastique de beaucoup de leurs homologues modernes (et devenus de toute façon maintenant si difficiles à trouver, hélas...). Sachant que leurs enfants étaient grands (et espérant bien qu'ils n'en auraient pas usé à leurs dépens même s'ils avaient été petits) et qu'ils n'avaient pas de chien, je lançais à mes hôtes un regard interrogateur. "C'est un martinet que nous avons retrouvé dans le grenier de mes grands-parents", me répondit Alain, sans la moindre gêne mais sans plus d'explication. Ce martinet allait longtemps hanter mon esprit...

    Hélas, peu après,  Véronique disparut dans un accident de voiture. Revenant voir Alain dans sa résidence secondaire, il me fit visiter, ainsi qu'à d'autres amis, une petite maison annexe, où sa fille unique, jeune mariée, demeurait avec son mari quand ils venaient lui rendre visite. Et là, sur une table, de nouveau le même martinet.... Et Alain répéta la même explication que la fois précédente. Une explication bien sommaire, et qui laissait la place à bien des interprétations....



    Ils ont enfin fini de vider la maison des grands-parents d'Alain, récemment décédés, et après cette épreuve toujours difficile, vont enfin profiter d'un week-end dans leur villa à la mer. "Sors un peu notre trouvaille", dit-il à Véronique. Celle-ci sort le martinet du sac, et avant de le donner à son mari, le soupèse, empoigne le manche, caresse les lanières. Alain  lui administre régulièrement la fessée, à son grand plaisir, mais elle n'a jamais tâté d'un tel instrument. Là, pas besoin d'être grand clerc pour deviner que cela va être le cas. "Bon, tu me le donnes", redemande Alain d'un ton impatient. Elle le lui tend. "Il n'y a pas à dire, les anciens savaient fabriquer de beaux objets", constate-t-il pensif. "Bon, un petit retour vers le passé de mes ancêtres te fera le plus grand bien. Retourne toi, les mains sur le haut de la cheminée !", lui ordonne-t-il. Véronique s'exécute, Alain se met derrière elle, dégrafe le bouton de son pantalon qui tombe à ses pieds. Il dénude brusquement son postérieur et le gratifie d'une bonne claque, qui lui arrache un "aie !", précurseur de beaucoup d'autres. "Bien cambrée", commande-t-il.
     Alain caresse ses courbes avec les lanières, la faisant frissonner. Puis il lève le martinet, et l'abat sur les deux globes offerts à lui. "Ouille !", crie Véronique, qui sait varier les onomatopées. Mal assuré au départ, Alain comprend vite que ce sont le bout des lanières qui font mal, et qu'il faut savoir varier les coups pour que toute la surface corrigée soit touchée. Il sait aussi, car il l'a lu dans les livres qui traitent de son fantasme préféré, qu'il faut éviter qu'une lanière isolée ne fasse des siennes, ou que des parties sensibles soient touchés. Il est prudent, mais sévère, impitoyable même. Véronique crie et pleure, se trémousse sous le fouet, mais il n'en a cure : tant qu'elle ne dit pas "pouce", il sait combien elle apprécie ce rude traitement.



      "C'est fini". Depuis des semaines, Alain se répète en boucle ce mail qu'il a envoyé à tous ses amis lorsque Véronique est morte. Pour la première fois depuis qu'elle est partie, il revient dans leur résidence secondaire. Son regard tombe sur le martinet, et, lui, d'habitude si fort, s'effondre devant ce témoin de leurs cinglants mais tendres ébats. Il est tenté de le jeter, puis décide de le laisser là où il est. 
       Quelques temps plus tard, Alain, qui reçoit sa fille et son gendre, s'aperçoit que le martinet a disparu de la grande salle où trône la cheminée. Il le cherche partout, puis mû par une impulsion subite, se glisse dans la petite maison pendant que le jeune couple est allé se promener. Et là, il découvre l'instrument. La surprise, la gêne d'être indiscret sont ses premières réactions. Il se demande aussi si sa fille, en apparence décidée ou autoritaire, se trouve du côté du manche ou des lanières... Puis, un sentiment d'allégresse le saisit. Ainsi, donc le gout de la fessée se transmet de génération en génération ! La fessée fait la nique à la mort ! Il quitte la petite chaumière, avec le sentiment, pour la première fois depuis la disparition de Véronique, qu'il pourra retrouver un jour goût à la vie.


Pour contacter l'auteur : vincentflaneur@yahoo.fr


mardi 14 août 2012

146 Refroidir ses fesses brûlantes


Il fait très chaud en ce moment . J'en suis ravie !

Avant d'aller en famille au bord d'un lac enchanté pour nous baigner, un petit sujet de circonstance.

L’effet de la fessée s’apparente à une brûlure. La science est claire sur ce point. La sensation de chaleur se crée par l’augmentation de la vitesse des particules. Pour provoquer ce phénomène il faut d’un apport d’énergie. Comme celle par exemple que fournit le monsieur en fessant la dame. En gros cela « excite » les petites particules qui constituent la peau et qui manifestent leur état joyeux par des agitations intenses se montrant sous forme de douleur.

Pour refroidir le fessier brûlant, il faut analogiquement retirer de l’énergie aux particules. La glace par exemple étant un système de moindre énergie se met en équilibre avec le système de plus grande énergie (le fessier quoi) selon les règles de la thermodynamique. Et le ralentissement des particules se ressent par le rafraîchissement.

Je tiens ce petit cours de physique dans un but bien précis. Je conçois l’effet de la fessée seulement sous forme d’une sensation de forte brûlure. Ce qui est bien différent d’un effet de lésion, provoqué par un déchirement du tissue cutané. En plus clair, je ne suis pas gênée de porter l’empreinte de la main de mon homme pendant un bon moment sur mes fesses. Au contraire je trouve ce petit tatouage bio bien mignon. Une empreinte passagère sous forme de stries, provoqués par le martinet, le strap ou la canne est rarement évitable aussi. J’ai une peau qui marque facilement.

Ce qui me dérange par contre c’est quand une marque vire au bleu pour me créer un fessier multicolore pendant des jours. Même s’il s’agit dans ce cas de petites lésions sans gravité.

De toute façon je préfère les corrections qui marquent mon esprit que celles qui marquent mon corps.

Je ne suis pas « éducable » par la force, mais en saisissant mes subtilités psychologiques. La DD que je désire doit en tenir compte. Aspect non négligeable à mes yeux pour affronter la durée d’une telle relation.


lundi 13 août 2012

145 Discipline domestique en 1961


Malheureusement ce texte d'origine anglaise ou américaine n'est plus sur le net. Du moins pas à ma connaissance. Il date de 1961 et était publié dans un « girly magazine », l’ancêtre des revues de charme. La petite fiction n’est pas un récit de fessée proprement dit. Tout est dans le sous-entendu par un jeu de piste. D'où le titre original : « Jouer avec des symboles ».

Un homme se pose des questions sur son épouse qui semble tomber sous la mauvaise influence de sa meilleure amie. Mais visiblement la dame se rend compte. Pour le jour de son anniversaire elle entraîne son homme dans un magasin de jouets et se fait offrir un set de ping-pong avec deux raquettes. Le monsieur mis sur la piste lui applique une fessée d’anniversaire, coutume bien américaine et le couple trouve un nouveau piment pour leur relation. La dame envoie également un jeu de raquettes au compagnon de son amie qui comprend bien l’allusion.

Ce récit dont j'ai traduit quelques passages me parait bien réaliste concernant les émotions de certaines femmes.

Penny avait bassiné ma femme que sois disant je ne lui procurais pas de la sécurité émotionnelle…

La dame sait très bien ce qu’elle désire. Elle n’en parle pas de manière directe, mais guide le monsieur pas à pas :

Quand on arrivait à la section des jouets elle me dit tout ce qu’elle voulait était un jeu de ping-pong.

Puis les deux fêtent dignement l’anniversaire de la dame. En rentrant à la maison le monsieur a des envies de vanille.

Je l’orientai vers la chambre, mais elle me retenait et nous nous asseyions dans le salon.

Je me souvenais de l’importance de la journée. J’ai pris ma femme et l’allongea sur mes genoux. Il y a une vieille coutume dans notre partie de pays qui s’appelle la fessée d’anniversaire.

Je lui appliquai une petite tape et elle dit sur un ton très blasé : Un.

Pour pimenter la situation le monsieur soulève la robe de sa dame et découvre un slip en résille comme un filet de ping-pong. Il commence à cerner le but de la mise en scène :

J’ai ras le bol que tu te laisses bassiner par ton amie pour pourrir notre mariage. Donc ta fessée d’anniversaire sera un peu… particulière. Elle servira à une noble cause.

Le monsieur applique une fessée bien appuyée. Conclusion du monsieur :

Avais-je bien compris les symboles ? Ta culotte faisait allusion au filet de ping-pong. Le ping-pong réfère à la raquette et veut dire : Débarrasse moi du mauvais influence de ma copine.

Absolument !... La mauvaise influence est brisée …par le rouge.

Cette petite histoire joue habilement sur un tableau bien plus subtil que la fessée ludique. L’enjeu n’est pas une conversion de douleur en plaisir, mais l’envie que le monsieur prenne les choses en main. Qu’il s’impose avec fermeté dans le ménage en procurant à la dame la sensation d’être bien protégée et surveillée.

Cet aspect de la psychologie de certaines femmes est non négligeable à mon avis. Il montre bien les différences entre DD et fessée ludique. J’avoue que cela puisse paraître compliqué à pas mal d’hommes. Surtout quand la dame n’ose pas en parler ouvertement et se sert simplement d’un jeu d’indice. Signe que le :

Intéresse-toi à moi ! Prends le soin de me découvrir !,

lui importe beaucoup.

Je pense que la DD a peu chance de s’établir dans un couple si la motivation est de l'ordre purement « excitante ». Où du moins c’est n’est pas vivable à long terme. Dans la DD le mécanisme du plaisir est d'avantage psychologique que physique. Cela demande au monsieur d’autres qualités que d’être un bon fesseur. Le parallèle avec le bon « coup» saute aux yeux. Cela compte, mais cela ne fait pas une vie à deux. Rendre heureuse une femme c’est avant tout combler sa psychologie. Si elle se sent comprise par le monsieur un pas important vers le bonheur conjugal est fait.

Il me semble une grave erreur de considérer la dame comme immature à cause de son désir de fessée conjugale. Également une grave erreur d’imaginer que son bonheur augmente par l’intensité de la correction.

Mais alors comment s’y prendre avec sa dame ?

Je dirais tout simplement : comprendre qu’elle n’est pas une gamine, mais une adulte bien consciente de ses désirs. Faites lui confiance et laissez vous guider. Tout simplement.