mercredi 31 décembre 2014

631 La magie des gros mots (Un texte et des clips)

J'en connais une qui va aguicher le martinet avec son cul nu !

Petite phrase avec un non-dit bien chargé. Le tout pour me dire de rendre accessible pour une cinglante correction mon derrière par mes propres soins. Suprême honte après avoir enfreint encore le règlement de la maison de devoir participer activement au bon déroulement de ma punition. Et, détail non négligeable, d'afficher ainsi mon consentement pour ce qui va m'arriver. Quand je suis habillée en jeans (les seuls pantalons que je porte), je vois les yeux brillants de mon chéri qui ne perds pas une miette de mes efforts acharnés pour me défaire de ma deuxième peau (une talle trop petite). C'est vraiment un burlesque spectacle qui l'attend et qui va durer un bon moment avant que mon jeans ne se trouve baissé autour de mes chevilles. Évidement le top de sa curiosité voyeuriste pour lui consiste quand je porte bas et porte-jarretelles en dessous qui rendent encore plus complexe le processus de déculotage. Je vois mon chéri adoré en grand seigneur confortablement installé dans son fauteuil, le martinet dans une main, les lanières repliées, pour le claquer dans la paume de l'autre. Sans aucun doute les mains lui démangent déjà pour s'appliquer sur mes fesses.

Tu peux garder tes bas, isabelle !

Trop généreux. Par contre mon string est censé de suivre le même chemin que mon jeans. Une fois mon derrière bien à l'air, je cerne au mieux le pouvoir de séduction qu'exerce de cette partie de mon corps sur mon homme. J'ai presque l'impression que l'insolite vue l'enivre au point de perdre (un peu) sa bonne éducation. Car bien que les gros mots me soient strictement interdits, mon chéri prend recours à son droit de chef à la maison pour en glisser un ou deux savoureux synonymes pour postérieur dans son discours.

Und jetzt den nackten Arsch frech herausgestreckt, isabelle !

(Et maintenant tu tends ton cul nu de manière bien aguichante, isabelle)

Malgré la mauvaise posture dans laquelle je me trouve, je suis doublement enchantée. D'un côté pour entendre dans un contexte disciplinaire ma langue maternelle et de l'autre de constater ce laisser aller de mon homme. Comme beaucoup de dames allemandes, avant de connaître mon chéri, j'avais trop pris l'habitude de me servir du mot Arsch (cul) sans le moindre scrupule à tout genre d'occasion. (Notons que l'on le trouve autant chez Goethe que chez Mozart.) Mauvaise habitude selon mon chéri et qui j'ai du abandonner sur le champs. Seulement, j'ai eu beaucoup de rechutes et inadvertances. Du pain béni pour mon chéri qui pour combattre ce qui ne sied pas à un dame, n'a pas hésité de sortir le martinet pour me rappeler à 'ordre. J'ai réussi au bout de quelque temps par ce fort coup de main à bannir le mot Arsch de mon vocabulaire. Ce qui était le but et je ne suis pas peu fière du résultat.

Toutefois j'ai pu alors me rendre compte d'un effet pervers de mon éducation anglaise.

Il m'arrive souvent de rougir spontanément quand j’entends ce mot. Non pas parce que je suis plus pudique qu'avant, mais parce que cela me rappelle de sacres fessées, suivies de longues séances au coin où j'ai dû écarter mes jambes et me pencher en avant pour exposer dans le moindre détail la partie que j'avais osé désigner si grossièrement. Hélas, parfois je ne puis me contenter que de rougir. C'est plus fort que moi. Je commence à ricaner aussi bêtement comme je le faisais dans mon coin pour mieux cacher ma gêne due à ma position. Voila qui m'a fait une belle réputation de la niaise du service. Mais il y a encore un autre effet secondaire. Je trouve terriblement viril quand mon homme se sert de ce gros mot dans un contexte punitif. Et aussi pour ouvrir certaines festivités entre amoureux. Je ne fais pas un dessin. Mais quand il me demande de tendre de manière particulièrement éhontée mon cul tout nu, c'est pour me montrer qui décide des choses vraiment importantes à la maison. C'est décidé, je ferais quelques textes indécents sur ce sujet l'année prochaine... qui s'annonce pour bien de raisons déjà pas sage du tout !

En attendant une rétrospective de quelques clips, déjà passés sur mon blog ci et là qui se perdent dans les profondeurs de mes archives !

Je vous souhaite à tous et toutes une bonne et heureuse année 2015

Les fleurs du mal (angoissant et sexy à la fois)

Discipline militaire (un petit film de 55minutes)


Éducation anglaise (Un grand classique)

L'enthousiasme pour la fessée (Trop crédible le monsieur)

Isabelle parle de la fessée (non, ce n'est pas moi!)

Fessée en tailleur (même si le monsieur se prend comme un manche)

Une de mes pubs préférées (en début du clip)

Une fessée pas comme les autres (question de point de vue)

Sur scène (un anniversaire particulier)

Expérience hystérique (sous les jupes des filles)

Se fesser toute seule sur scène (voilà qui fait la différence)

Pour le plaisir (une fessée orgasmique)

mardi 30 décembre 2014

630 Du sérieux dans les études

Donner une réalité à ses fantasmes peut s’avérer utile

J'aime beaucoup l'idée de faire mes études sous stricte surveillance. Je ne vois pas la fessée comme punition pour mauvais résultats. Cette pratique ne rend pas intelligente, mais elle m'a permis à apprendre, angoissée comme je suis, à mieux travailler. Tout simplement parce qu'elle apporte une réponse ou devrais-je dire une satisfaction à mes traits névrotiques. A force de vouloir bien faire, il m'arrivait souvent d'en faire trop. Sans parler du fait que je me mettais dans tous mes états en devenant « infréquentablement » pénible. Heureusement mon chéri m'a vite cernée. Hyper organisé et par conséquence hyper efficace dans son travail, il a su m'impressionner dès nos débuts. Voila selon moi un solide pilier qui donne envie à la dame de se lancer dans une relation de DD...

...savoir l'impressionner par de réels capacités !

Ensuite mon chéri s'est intéresse de près à mon travail. Là je me suis dit :

« Décidément celui-là s'y connaît en femmes... »

Puis une fois le tour du sujet fait, il a su évaluer avec exactitude combien de temps il me fallait pour boucler un dossier.

Et gare à mes fesses pour dépassement inutile.

Sa méthode pour me faire travailler a été efficace. Au lieu de passer le week-end mon nez plongé entier sur mes dossiers, j'avais enfin du temps libre pour la vie en amoureux. Pour ce qui est vraiment essentiel quoi.

Une fois devenue maman au foyer, j'ai gardé mes bonnes habitudes. On ne change pas une équipe qui gagne. Alors j’emploie la même technique pour tenir mon blog à jour. Inspiration ou pas, envie ou pas envie, bonne ou mauvaise humeur, les fesses en feu et toutes rouges, je consacre tous les jours un moment à l'écriture. Je n'ai pas l'angoisse de la page blanche, je n'ai pas de but précis, j'écris ce qui me passe par la tête. Ou, le plus souvent, je note ce qui m'a émue pendant que je faisais du coin.

Et du coin j'en fait souvent...

Puis je me fixe comme objectif de traiter un sujet de réflexion dans la disponibilité de mon temps. Quand je sens que je vais dépasser ma limite, je finis ma pensée et j'ajoute un … « à suivre ». Sans forcement savoir la suite que je vais y mettre. Et surtout sans me soucier quelle sera la suite. Puis mon post sortira de ma tête jusqu’à la prochaine séance d'écriture. Souvent c'est mon inconscient qui travaille à ma place et quand je rejoins mon ordinateur, tout est déjà en place dans ma tête. Comme par enchantement. Dans d'autres circonstances, je finis mon sujet du jour au mieux que je peux. Je sais que j'y reviendrai un autre jour pour le traiter autrement. Voila qui m'évite toute prise de tête et aussi de mesures éducatives de mon chéri...

Impossible sinon d'être régulière dans mes publications.

lundi 29 décembre 2014

629 Une fessée qui m'évoque le sucre d'orge (Lundi cinéma)

Se sentir redevenir adolescente...


Je craque pour la jolie culotte de la petite dame et ses superbes guêtres. Si, si j'ai parfois des goûts surprenants. Inutile de dire que j'aime aussi les fessées rien que pour le plaisir du monsieur de taper sur le derrière de la dame. Surtout quand je me retrouve en fin de séance assise sur les genoux de mon chéri pour qu'il me murmure de mots tendres dans mon oreille.

Il y a deux semaines, pendant que notre petite était à l'école, j'ai surpris mon chéri en train de faire des essayages. La panoplie complète du parfait père Noël. Fausse barbe y compris. J'étais tout de suite sous le charme, me rappelant d'abord les pères Noëls de centres commerciaux quand j' étais toute petite. Joyeux souvenirs d'une enfance dans une région qui bichonne ses traditions. Puis mes pensées furent orientées vers l'important changement qui s'était produit quelques années plus tard, tournant autour de la même phrase que venait prononcer mon chéri :

Tu as été sage cette année, isabelle ?

Il a su adopter une grave voix de circonstances, très crédible. Une voix qui m'a procuré aussitôt des frissons et qui m'a fait...

...retourner en adolescence.

Expression bien évocatrice, mais qui reste tout de même vague. Voyons un peu son non-dit. Pour moi, elle se rapporte à un moment quand les plaisirs liés à la différence biologique entre hommes et femmes relèvent encore d'un futur qui commence à se dessiner avec insistance dans les rêveries diurnes et nocturnes. En ignorant comment les choses se passent vraiment entre adultes, se dresse devant bien de filles l'appréhension « d'accueillir correctement » le prince charmant. C'est un âge de la niaiserie entre copines par excellence et des fou-rires qui semblent sans queue ni tête pour notre entourage. Bref, que ne ferait-on pas pour gérer une situation imaginée plus ou moins stressante ?

Et une fois devant l'ultime épreuve, il est ô combien plus simple et surtout déstressant de recourir aux sucettes au goût fruité, grâce à un vaste gamme de préservatifs. Certes, en ce domaine aussi une bonne technique doit s'apprendre. Enfin, il faut surtout comprendre que chaque prince charmant a sa propre conception de la « gâterie» et il s'agit en fait d'adopter une belle interactivité selon ses réactions . Pour cela il faut de l’entraînement et ne pas avoir peur de rater sa prestation. Mais bon, c'est tout de même une expérience édifiant de tenir la « source de la vie » d'une charmant jeune homme entre ses lèvres et dents. Disons que l'idée de cette pratique mes faisait beaucoup rire, de manière assez hystérique à chaque fois que j'entendais un mot ou une expression se rapportant de loin ou de près à la sucette. Et les choses ne se sont pas arrangées en connaissant la matière de l'expérience personnelle. Je crois que j'aurais apprécié à l'époque non seulement d'être grondée pour un tel acte, mais aussi de me retrouver déculottée pour recevoir...

.une solide fessée, censée de me ramener sur le bon chemin.
Encore un non-dit, dans le sens non pas parce que je le trouve la sucette moralement répréhensible, mais parce qu'elle exprime pour moi une certaine lâcheté d'aller plus loin qui m'est propre et qui a une manière particulière de se manifester. Pas uniquement sur le terrain de coquinerie humaine.

T'es lente isabelle, mais lente...

Bon, pour ma part je dirais que je suis réfléchie, prudente, choisissant le bon moment. Stratégie fort payante d'ailleurs qui m'a épargné pas mal de déceptions je pense. Bref j'ai rarement regretté ma lenteur. Et je pars du principe qu'un monsieur ne me laissant pas le temps de me décider, n'est pas une perte. Enfin, il y a des limites, surtout quand on vit en couple ( style : Tu te décides isabelle, on a encore d'autres choses à faire...) Alors fidèle à mon habitude, j'ai hésité de répondre à la question si j'avais été sage cette année. Mais je crois que mon chéri n'attendait pas de réponse.

Pour essayer dignement son costume de père Noël, il m'a troussée et allongée sur ses genoux.

Il est parti doucement, une fessée toute en tendresse pour augmenter petit à petit en volume. J'ai bien senti - au travers de son pantalon - à quel point ce travail était en train de l'inspirer. Je pense que pour bien de messieurs bichonnant ce fantasme, rien de plus déstressant que de s'adonner à cœur joie à cette passion qui comble autant le nerveux que entreprenant qui a besoin d'occuper ses mains.

Et moi je trouve un comble de virilité quand mon homme me fait danser sur ses genoux, surtout quand il s'agit de me … punir !

Notons également la joie de nos messieurs quand nous, nous extasions devant le résultat de notre présence. Quand nous salivons de prendre leur virilité dans notre bouche. Quand nous nous prosternons sagement pour que le monsieur nous montre qu'aucun de nos orifices résiste à son pouvoir de pénétration. Ô comme les chose ont changées depuis mon adolescence.

L'appréhension a fait place à une attente joyeuse.

Comme celle du père Noël quand j'étais gamine. Et une fois relâchée, mes fesses bien rouges, j'ai remercié dignement – à genou entre ses jambes- le papa Noël pour sa dévotion tout au long de l'année pour cette noble cause qui est mon éducation. Toutefois, il y avait une autre différence de taille avec mes premières expériences de jadis :

Pas besoin de préservatif !

vendredi 26 décembre 2014

628 Liens de discipline domestique (146 ème édition)

Au menu cette semaine : Naughty édition (Édition dédicacée aux vilaines)

Le mauvais trou (petit clip)

Je suis pliée de rire. Cela parle exactement de ce que l'on imagine. Mais bon, il faut vraiment rien connaître à ces messieurs pour croire le gars qui essaye de faire passer « en douce » le coup du mauvais orifice. C'est un peu comme faire croire à la dame de chasser la cellulite à coup de claques sur les fesses. Enfin, tout l'art consiste à savoir ce que souhaite croire la dame. Ce que je retiens de ce clip :

Parfois une expérience a besoin de recul pour s'érotiser.

Par ce fait, je dirais qu'il me semble peu inquiétant quand une dame ne trouve pas concluante une première expérience de fessée. Les nostalgiques de leurs fessées d'enfance n'ont pas non plus trouvés rigolote l'expérience à chaud, si j'ose dire. Par contre - et c'est là que les choses se compliquent - personne ne peut prédire combien de temps va mettre le processus de l'érotisation. Et rien ne dit non plus si ce processus va se mettre en route.


Je trouve édifiant l'effet d'une dame à quatre pattes sur un monsieur. Pas besoin de passer des heures en cuisine pour mijoter un repas aphrodisiaque. Pas besoin non plus de se munir d'un collier et d'une laisse pour lui donner l'impression de dompter une féroce féline. Il me paraît beaucoup plus intéressant de sortir cette petite ruse de séduction étant entièrement habillée. Par exemple en tailleur jupe. En avançant doucement, non pas parce que je souhaite évoquer un comble de sensualité, mais pour ne pas abîmer mes bas. Mais surtout je me laisse guider par les coutures de ma jupe... pour ne pas les exploser. Les petits kilos en trop, cela ne pardonne pas. Quand je me trouve à porté de sa main, je le regarde droit dans ses yeux, puis j’enlève... mes lunettes pour le faire craquer complètement. Ben oui et je pense que mon chéri n'est pas un cas unique !


Il arrive que mon pauvre chéri croule sous le travail. Il est stressé et essaye au mieux de le cacher. A l'image de l'un de ses grand idoles, Laurence d'Arabie, qui considère que ses peurs ne regardent que lui et en aucun cas son entourage. Alors j'ai envie de le détendre à ma manière. Son moment de pause me semble idéal pour lui servir son café en tenue légère. Et pourquoi ne pas ne ajouter un joli bijou tant qu'on y est. Je me donne de plus naturelle, comme rien n'y était et lui il s'émerveille et oublie ses soucis. Non, non il n'est pas dit qu'il va se jeter sur moi. Parfois nous discutons tout simplement pendant que je fais le service. Pendant que je lui cherche un livre. Pendant que je profite pour faire un peu la poussière avec un plumeau.

Il prend le temps et le plaisir de me regarder, de booster mon narcissisme par son regard.

De me complimenter, de me dire des mots tendres, gentils, doux. Bref une ambiance qui me donne envie de lui faire plaisir. Et voilà mon chéri détendu, ses pensées avec moi et loin de ses contraintes. Toutefois, hors de question pour lui de prolonger le temps de sa pause. Il est consciencieux dans son travail et moi je trouve cela d'un comble de... sexy !


Pour amateurs de (jolies) filles agaçantes et niaises à souhait. Je pense que ce n'est même pas joué. Je sais de quoi je parle. Je ne ferai pas meilleure posture si je faisais apparition dans ce genre de clip. En plus trop nul le scénario. Puis arrive, comme on imagine facilement, dans cette comédie de boulevard la patronne de la maison. Certes, elle n'est pas crédible non plus, mais quelle technique et quelle rapidité de main.

Cette énergique dame fesse plus vite que son ombre.


Avec pas mal de succès. Ce qui me ravit particulièrement. J'adore ce jeu qui me fait sentir très concrètement qu'il existe une différence entre les sexes et aussi que cette différence peut être source de plaisir et de bonheur. C'est un grand standard à la maison qui nous met de bonne humeur. Par contre quand on part chez mes parents ou chez des amis, mon chéri se méfie si je met une jupe ample qui permet de telles fantaisies. Il lui arrive même de me demander, si j'ai mis au moins un string ! Je crois qu'il me pose cette question parce qu'il aime entendre mon rire, si insouciant et communiquant ma joie de vivre. Puis, il redoute l'effet de tonnerre de mes fesses toutes sur sa libido. Certes, hors maison je me frotte en toute discrétion, mais mon tendre chéri à parfois du mal avec les manifestations de sa virilité qui ne s'effacent pas aussi vite que moi quand quelqu'un arrive.

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !
























mercredi 24 décembre 2014

627 Joyeux Noël en clips et images

Il est facile de m'émerveiller ou...


Le père Noël ne me semble pas une invention des années 1930 d'une grande marque de soda, car il se trouve déjà mentionné dans la poésie allemande vers 1835. On dirait plutôt que l'enseigne s'est inspiré de ce dessin datant de 1847. Le père Noël, par sa capuche ou alternativement par son bonnet rouge et blancs, ne se confond pas avec le Saint Nicolas qui - en digne homme d'église - porte un bonnet d'archevêque.

Toutefois les deux ont une passion en commun : La fessée !

Mais tandis que le Saint Nicolas préfère laisser cette noble tache à son subordonné, le père-fouettard, le père Noël lui, n'hésite pas s'en charger lui-même. Mon chéri, fortement intéressé par les traditions, notamment par celle de remettre une fille pas sage sur le bon chemin, a commencé à rêver à l'adolescence de se glisser autant dans le rôle du père-fouettard que du père Noël. Alors l'année de notre rencontre, j'ai eu la surprise le soir du 6 décembre, non seulement de me trouver devant un joli paquet de cadeau, mais aussi de voir à côté de celui-ci notre martinet. Puis mon homme m'a posé la question rituelle du saint Nicolas:

Tu as été sage cette année, isabelle ?

A vrai dire, je n'ai pas pensé de mériter ce qualificatif. Certes, je suis une fille sans histoires y compris les incivismes et petite négligences de la vie courante. Je ne bois pas, je ne dépasse pas les vitesses, je traverse la route au passage de piétons etc. Mais un besoin de punition semble toujours chercher la petite bête. Comme trop de grasses mâtinés, comme les séances de gym oubliés, comme les petits faux pas pendant mes régimes. Et très vite je me suis trouvée en train de me confesser auprès de mon Saint Nicolas, très attentif à mes explications et me posant maintes questions. A la fin, il m'a félicitée pour mon honnêteté, jugeant le martinet trop sévère pour une jeune femme avec autant de bonne foi et bonne volonté que moi. Ce qui ne l'a pas empêché de me baisser la jupe et la culotte avant de m'allonger sur ses genoux. J'ai eu droit à une bonne fessée sans excès et je dois dire que ce nettoyage de ma mauvaise conscience m'a permis de passer une excellente soirée en toute insouciance.

Voila comment est né mon penchant pour les confessions.

En allant vers Noël, je me suis posée la question - avec grand frisson- si le père Noël allait me confesser, lui aussi. Ce fut une attente impatiente, égalant celles de mon enfance. Bref, comme a dit mon chéri :

Il n'y a pas d'âge pour s'émerveiller !

Je vous souhaite à tous et toutes un joyeux Noël avec une pensée toute particulière pour les personnes malades ou qui passent les fêtes seules...








50 shades of Santa (petit clip)





mardi 23 décembre 2014

626 Comprendre l'âme de la D/s

Être oblatif : S’offrir à satisfaire les besoins d’autrui au détriment des siens propres

La D/s me semble une pratique voisine de la discipline domestique. Et pour une personne extérieure, se pencher sur les genoux de son chéri pour recevoir une correction comme cela se fait dans la DD, peut très bien interprété comme une situation de D/s. Seulement de telles appréciations ne prennent pas en compte l'état d'esprit de la personne qui va recevoir les claques sur les fesses. Il me semble une grande différence de se faire punir parce que l'on se sent subjectivement fautive, mal dans sa peau, stressée, en quête de pardon etc ou parce que l'on souhaite s'offrir à son partenaire, faire don de soi, pour le plus grand plaisir de celui-ci. En gros en lui attribuant une position de « Seigneur et Maître ». J'avais abordé ce sujet il y a quelque temps dans mes liens de discipline domestique. Sujet qui a fait réagir Christine. J'aimerais consacrer ce post à son commentaire qui jette un autre regard sur la thématique « Seigneur et Maître » pour qu'il ne se perdre pas dans les profondeurs de mes archives :

Bonjour Isabelle,

Je suis persuadée que vous ne serez pas étonnée de me voir réagir à votre billet ! Car j’ai eu plus d’une fois l’occasion de dire ici que mon mari aime à proclamer qu’il est « mon Seigneur et Maître », et quant à moi, je revendique de pouvoir dire que, pucelle, je me suis donnée à lui définitivement corps et âme, il y a déjà pas mal d’années.

Mais quand je vois cette association avec la définition du mot « oblatif » : « », je suis tentée de crier Stop !

Déjà, le mot autrui me gêne pas son caractère indéfini, comme s’il pourrait y avoir pluralité, alors que je ne me suis donnée qu’à lui seul, que j’aime tant, que j’admire et que je respecte. Nous formons un couple que je crois, que je veux et que j’espère indissociable. Le fait que nous soyons mariés légalement signifie beaucoup pour moi, mais pour lui aussi j’en suis sure. 

Je ne suis pas d’un naturel jaloux, mais de plus, entre nos vies familiale et professionnelle, il ne pourrait guère batifoler sans que je le sache ! Je crois aussi qu’il n’en a pas le besoin. Certes, je ne saurais jurer qu’il n’y a jamais eu de coup de canif dans le contrat lors de certains déplacements professionnels longs et lointains, mais ils n’ont pu alors être que péchés véniels. Quant à moi, il est évident que je ne peux imaginer ne serait-ce qu’un flirt avec un autre homme, même si, comme je vous l’ai dit un jour, j’accepterais sans réticence de me prostituer pour lui sauver la vie.

Mais ce que j’accepte encore moins dans cette définition d’oblatif, c’est la deuxième partie ! Il n’y a nullement de « détriment de mes besoins », qu’ils soient d’amour, de plaisir, de confort, de joie, mais aussi de protection et de guidance. Je vis ma relation de couple comme un perpétuel échange, dans toutes nos activités, qu’elles soit conjugales, professionnelles et « érotiques », échange pour lequel je cherche à toujours lui apporter ce qu’il peut vouloir, mais en constatant qu’il sait fort bien me deviner pour en faire autant à mon égard. Ce n’est donc pas une « relation en sens unique » !

J’ai trouvé l’amour, et plus encore. Peut être avais je de par ma nature besoin dans la vie d’être aussi guidée et protégée ? Peut être notre différence d’âge y a aidé ? Quoiqu’il en soit je n’accepte pas seulement, mais je suis heureuse qu’il soit mon Seigneur et Maître, et pouvoir dire que je lui appartiens totalement. C’est pourquoi non seulement j’accepte, mais je revendique pour lui son droit de me corriger (dans les deux sens du terme !) lorsque je ne suis pas celle que je devrais être. Droit qui sans doute surprendrait bien des copines qui m’ont connue adolescente, tout comme pour ma sœur qui le subodore et à qui cela ferait le plus grand bien !

lundi 22 décembre 2014

625 Une fessée bien sonore (Lundi cinéma)

...qui met les pendules à l'heure !

Depuis toute petite mes fantasmes de discipline stricte étaient liés à une forte sonorité. A une résonance de claques parfaitement identifiables, indiquant à qui que ce soit dans le périmètre ce qui se passe... sur le derrière de la dame. Construction que l'on appelle une conception sadique du coït. Elle peut provenir de souvenirs de la toute petite enfance quand l'enfant devient involontairement témoin auditif des ébats des parents. Ensuite, c'est la fantaisie qui fait le reste, en ajoutant au bruitage une représentation.

Et voilà qui naît une belle théorie sexuelle infantile qui peut attribuer une place de choix à la fessée.

Pour d'autres raisons que purement œdipiennes, je n'ai pas pu imaginer mon papa me rappeler à l'ordre. Le pauvre, il a toujours fondu trop facilement devant les charmes de sa fifille. Et peu importe mes bêtises pendant l'adolescence, il est resté calme en essayant de chercher la meilleure solution, adaptée à la situation. Alors moi, le soir dans mon lit avec un intense trouble et un beau sentiment de honte de mes désirs de discipline, j'ai fait dans ma tête le tour de mon entourage en quête d'un strict monsieur sachant aider une jeune dame à retrouver le bon chemin. Seulement, dans mes fantaisies les modèle masculin resta défaillant. Les messieurs se ressemblèrent tous, en baissant à un moment un autre pour leur part aussi... le froc devant mes fesses plus ou moins rouges.

Quel dommage, car cela gâche tous le charme de la frustration d'une vraie punition.

Style, on remet son jeans, on a du mal à asseoir pendant un bon moment, mais la vie continue. Contente au fond de soi d'avoir reçue celle dont on avait vraiment besoin. Fière aussi de ne pas avoir braillé comme une gamine, d'avoir imposé jusqu'au bout un...

même pas mal !

Pour satisfaire ce fantasme s'est créé dans mon imagination, petit à petit, l'image d'un homme, d'un vrai qui sait faire la part des choses. Et à vrai dire, je trouve que l'homme de ma vie correspond parfaitement à cet idéal.

Quand il s'agit de me punir, il est intraitable. Ses corrections n'ont rien à envier à une discipline paternelle d'un autre âge. Il reste concentré sur le sujet et hors de question que sa main commence à se balader. Il se contente d'un fort bruyant spectacle, car il souhaite...

...qu'on entende de loin que nous croyons dans les vertus de la fessée !

Certes quand il me corrige à la main et je me trouve allongée sur ces genoux, je peux sentir facilement l'effet que cela lui procure. Réaction que je trouve de plus normale chez un homme et je serais plutôt inquiète du contraire.

La virilité agit à la vue et au contact de la nudité féminine sans se laisser commander.

Ce qui m’impressionne c'est que malgré une érection de taille, mon chéri ne se déconcentre pas. Hélas, contrairement à mes fantasmes de jeune fille...

...je ne fais pas partie de ces dames qui arrivent à chanter la tête haute : Même pas mal !

Je fond vite en larmes et ne manque pas de tentatives de corruption pour alléger mon sort. Et quand mon homme me relâche, j'ai mes cheveux en bataille et le maquillage coulé. Mes yeux et mes joues aussi rouges que mon derrière. Et contrairement, encore, à rapport de mes fantasmes d'adolescente, hors de question de remonter mon jeans pour continuer mon chemin. Le pantalon reste autour de mes chevilles et je suis régulièrement envoyée au coin. La première fois, j'ai fait une terrible crise à cause de cette punition supplémentaire, en trépignant aussi bien que permet un jeans autour des chevilles, en insultant à vive voix mon homme et en criant :

Hors de question que j'aille au coin, je ne suis pas une gamine !

Mon homme est resté calme et souriant en sortant la phrase qui tue :

Tu devrait te voir isabelle, le ridicule ne tue pas !

Quelque minutes plus tard, je m'étais installée au coin, mon jeans et mon string toujours autour de mes chevilles et en présentant mes fesses rouges en direction de mon homme. Le tout en continuant à exprimer bruyamment ma colère.

La leçon fut dure.

Je suis restée longtemps au coin pour me calmer. Car pour pouvoir sortir de cette embarrassante situation, il a fallu que je présente mes sincères excuses et que j'explique mon emportement dans le moindre détail. Introspection très laborieuse certes, mais hautement bénéfique et qui a renforcé l'indispensable rapport d'autorité entre mon homme et moi que demande la discipline domestique. Depuis je ne discute plus les modalités mes punitions. Il m'arrive de pester, certes, mais en m'appliquant...  

vendredi 19 décembre 2014

624 Liens de discipline domestique (145 ème édition)

Au menu cette semaine : Fantasmes disciplinaires


Mon chéri qui a encore connu le temps de la discipline parentale a été un jour témoin auditif d'une grosse fessée dans le voisinage. Événement marquant selon lui qui a changé son regard sur la fille qui s'est fait ainsi rappeler à l'ordre. Mais surtout qui a changé profondément son regard sur la maman de cette fille. Elle est vite devenue un élément de ses rêveries, l'accompagnant dans une bonne partie de son adolescence. D'abord c'était lui qui passa sur les genoux de cette énergique dame, puis en prenant courage sous effet de sa virilité naissante, il a commencé à imaginer le retournement de la situation. Fait est quand il croisa réellement cette dame dans les escaliers, il ne put s’empêcher de la suivre discrètement de son regard en espérant de pourvoir le glisser sous sa jupe. Puis un jour, en rentrant de l'école il a eu satisfaction. La dame, en train de nettoyer les escaliers, se trouva parfaitement exposée pour un bref aperçu indiscret. Comble de bonheur, elle n'était pas encore passée aux collants et afficha par conséquences des bas bien tenus par des jarretelles. Bon, pas besoin de faire un dessin que mon hommes se tient à proximité de moi quand je monte sur une échelle pour faire la poussière des livres dans son bureau. D'ailleurs il y tient beaucoup et gare à moi, vilaine des vilaines, quand j'ai mis un collant sous ma (courte... parfois très courte) jupe.


Une bonne partie de mes premières fantasmes disciplinaires se sont passés devant un public féminin. Et quant au châtiment même, il fut appliqué également par une dame. Un tel contexte me paraissait « moins pervers » que de me retrouver sur les genoux d'un monsieur. Entre filles, la discipline, bien que liée a de voluptueuses sensations, resta pour moi rien d'autre que de la discipline, car je n'imaginai pas de suite tendre à ma punition. Il me semble d'ailleurs plus facile d'aborder la « vraie fessée » en toute innocence entre filles qu'avec un monsieur. Comme m'a dit une copine allemande, aussi pragmatique que moi :

Pour moi il y a deux raisons pour montrer mon cul nu à mon homme, pour lui donner des idées ou parce que j'ai été vilaine et j'ai besoin d'une punition.


Un fantasme que j'ai beaucoup aimé avant de rentrer dans la vie active.
Malheureusement je ne suis pas tombée sur un patron qui a trouvé grâce à mes yeux pour m'inspirer. Puis est arrivé dans ma vie mon chéri. Et quand j'ai compris que je pouvais me rendre utile de temps en temps pour son travail, je n'ai pas hésité de lui proposer mes services. Il m'a prévenue dès le début sur un air de grand sous-entendu:

Dans mon bureau c'est moi qui commande ! Je te ferai marcher à la baguette !

Je me suis dépêchée pour me mettre en position de garde-à-vous en claquant mes talons et en poussant un :

Chef, oui chef !

Une minute plus tard je me suis retrouvée déculottée sur les genoux de mon chéri pour une première leçon de bonne conduite sur le lieu du travail :

Ne pas se payer la tête de son patron !


J'avais entendu du « Wöhrenkamp» quand j'étais adolescente dans une discussion entre mes parents et leurs amis. Il s'agit d'un livre publié au début des années 30 en Allemagne ayant pour sujet des recherches sur le flagellantisme éducatif ainsi que ses sujets annexes. Mon papa, grand bibliophile, connaissant ce livre seulement par sa réputation, s'est vu alors devant l'aimable proposition de lui le prête. Depuis ce jour, je faisais régulièrement des « tours d'inspection » dans son bureau pour voir si ce trésor était enfin arrivé. Et en effet, ce fut une découverte pour le moins que l'on puisse dire troublante, car les pages mettaient en scène non seulement beaucoup de matériel bien explicite, mais aussi des textes accompagnants fort stimulants. Malheureusement je n'ai pu que feuilleter ce livre pendant quelques courtes minutes sans jamais pouvoir le revoir. Heureusement il y a le net et voici aujourd’hui dans mes liens bon nombre de ce genre de matériel (de sources différentes)qui a fortement inspiré mes fantasmes disciplinaires...

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !



Mesures éducatives (collection d'images)

Rêve d'un professeur (collection d'images)

Vintage punitif (collection d'images)


















jeudi 18 décembre 2014

623 Débuter avec la discipline domestique (#3)

Comment lui en parler... .

..ou se servir de l'intuition féminine ! Il n'existe pas de méthode infaillible pour mettre notre partenaire sur la bonne piste, censée de comprendre la réalité de nos rêveries et surtout de leur donner suite. Mais disons que bon nombre de messieurs de nos jours sont friands de connaître les fantasmes d'une dame. Une tactique simple pour tester si le terrain s'y prête, me semble de lâcher dans une situation propice à incarner à nos yeux l'esprit de la discipline domestique un grand soupir, suivi de quelque chose du style :

Je mériterais une bonne fessée !

Inutile de faire dans la complexité, de chercher de longues explication, de préparer de longues argumentions. Comme dans la drague où le simple bonjour, accompagné d'un joli sourire suffit pour vérifier si le monsieur est susceptible à nôtre charme, faisons pareil au niveau de notre grand fantasme. Restons dans la simplicité !

Pourquoi ?

Je serais tentée de dire à cause de l'intuition féminine. N'y voyons pas un concept diffus, mais plutôt le fruit de l'admirable travail qu'accompli notre inconscient sans que l'on ne se rende compte. Enfin, certains messieurs s'en rendent compte.

Arrête de faire le scanner, isabelle !

Bref, si on commence à évaluer sérieusement comment introduire la DD dans une relation, c'est que notre inconscient à dû déjà détecter pas mal de signes qui semblent prédestiner notre homme à cette noble tache. Petite phrase alors pour lancer la mission.

Pas de conclusion hâtive si cette tentative ne trouve pas d'écho sur le champs.

Une fois la graine plantée dans la tête du monsieur, il n'est pas impossible qu'elle porte ses fruits un peu plus tard. Style, un élan particulièrement ardent le soir même au lit, peut-être accompagné de quelques petites tapes sur les fesses. Ouf, il n'est pas complètement sourd le chéri. Et pour le maintenir sur le bon chemin, ajouter un...

...plus fort...

…. peut s’avérer judicieux. Selon mes propres expériences quand j'étais encore célibataire, cette petite improvisation - outre de se choper une belle brûlure en position de levrette - remet le sujet sur la table dans la troisième mi-temps.

A moins d'avoir choisi un partenaire peu imaginatif (ou un gars traumatisé qui voit de la violence partout et dans ce cas tant pis pour nous), beaucoup d'hommes, je serais presque tentée d'ajouter l'adjectif « normaux » comprennent aisément qu'il puisse exister un lien entre fessée et excitation sexuelle de leur dame. Et notons aussi que les « esprits ludiques » qui aiment occuper leurs mains en claquant sur les fesses d'une dame ne manquent pas. Parfois se met en place un mécanisme du style « se sentir pleinement homme », un « homme un vrai » qui commande, qui s'impose, qui montre le chemin , qui porte le pantalon.

Toutefois ne nous réjouissons pas trop tôt quant à la compatibilité fantasmatique.

Profitons plutôt de la méthode de l'association libre pour chercher le désir du monsieur derrière les mots qu'il va nous sortir.

On a compris, au lieu de lui blablater dans ses oreilles...

...il faut arriver que lui s'exprime sur notre sujet...

puis l'écouter attentivement. La suite dans un prochain volet.

mercredi 17 décembre 2014

622 Tout savoir sur les fesses

10 choses que vous ignorez sur les fesses...

...même les vôtres ! Un article fort instructif, bien écrit et distrayant à la fois. Pourtant moi qui ne suis pas vraiment une fan des longues listes style « 10 trucs de », pour une fois je fais une exception. Voyons un peu ce que cela donne appliqué sur moi. Notons que certaines de mes illustrations sont vraiment très explicites. Ben oui, ma passion pour la fessée punitive n'exclue pas les joies de la chair... alors âmes pudiques s'abstenir.

-Le grand fessier, c'est notre muscle le plus puissant et aussi, selon mon homme, en parlant du mien, ... le plus résistant. Sa main sait de quoi il parle, car c'est sur mon « grand fessier » que se passe le sujet de mon blog. Pour ma part comme on dit parfois...

j'ai les fesses en béton.

Héritage de ma maman et même avec quelques kilos de trop (hein oui, hélas!), mon fessier n'a rien perdu de sa fermeté. Peut-être parce que habituée depuis plus de 16 ans à des fessées régulières de toute sorte.


Une de mes spécialités, mais pas devant n'importe qui. Ayant un fessier très rebondi, j'ai pu me rendre compte très vite à l'adolescence que cela ne constitue nullement un handicap en matière de séduction. Au contraire, il y a sélection naturelle de prétendants princes charmants avec une attirance consciente ou inconsciente pour cette partie du corps d'une dame. Donc un réel atout pour trouver chaussure à mon pied. Du moins dans le sens que pas mal de messieurs sensible à mes charmes, aiment donner de savoureuses claques sur cette partie de mon corps.

Puis, je ne compte plus combien de personnes m'ont menacée d'une bonne fessée, parfois cul nu.

Hélas souvent des paroles en l'air, trahissant un désir sans le courage de le réaliser. En gros, pas besoin de cambrer, mes fesses sautent aux yeux naturellement.


Cela reste discutable ! Quant à la ratio, également, je ne saurais rien dire sur la véracité, mais je pense que cela ne manque pas de fondement. J'ai pu constater que mon homme s'avère particulièrement ardent quand j'accentue mes formes par une guêpière ou un corset pour lui donner des idées. De plus il m'en offre sans que je dois insister, alors il doit y trouver son compte.


Tout personnellement fente m'évoque une autre partie de mon corps que mon chéri aime lisse comme la peau d'un bébé. Il a même joué au coiffeur inspiré à nos débuts. Enfin, il en va de soi qu'il préfère « la fissa » aussi toute glabre. Merci l'épilation intégrale définitive.


Je trouve un comble de virilité quand mon chéri me prends de cette manière. Quand il me montre clairement qui décide dans le couple par où se passent les rapports amoureux. Évidement cela s'accomplit en toute douceur et rien que de voir quand il sort le tube de vaseline de son tiroir, je suis déjà toute frétillante. Je fais également de la gym relaxante de cet endroit, mais j'en parlerai une autre fois...


Les expériences scientifiques sur la température rectale des dames m'étonne peu. Mon homme aussi est fan et pendant des années pour déterminer mes jours fertiles, il ne s'est pas privé de me prendre la température par l'arrière porte juste avant notre petit déjeuner. J'ai donc acquis un certain réflexe pour me mettre en position...


J'adore la pudeur de Rousseau et l'idée de prendre la place d'une Mademoiselle Lambercier auprès d'un grand garçon qui tente de m'effrayer le soir dans un endroit sombre en exhibant devant moi « l'objet ridicule » me plaît beaucoup.


Au lieu d'un long discours, voici une petite animation très explicite qui montre bien le principe de « vases communicantes ». Selon mes expériences cette partie du corps se prête parfaitement à une érotisation. Mais quelle idée de voir dans la sodomie un acte de soumission. Se faire pénétrer me semble dans la nature d'une dame (enfin si on a encore de droit de le dire), comme pénétrer se lie pour moi comme une évidence à la nature d'un monsieur. Pour ma part je parlerai en plus d'une contraception naturelle de plus agréable que j'accompagne spontanément avec autant de soupirs qu'un acte conventionnel.


Sujet qui dépasse mes compétence. Puis que l'on ne me parle pas de « grosses», mot auquel je suis allergique. Disons que je ne suis pas anorexique, mais j'ai (hélas) une santé très fragile.


Enfin, là je ne vois pas vraiment l’intérêt pour moi. Les gadgets ne sont pas trop mon truc à part les embellissement pour le derrière.

lundi 15 décembre 2014

621 Une fessée pour le plaisir des yeux (Lundi cinéma)

Ambiance sexy entre filles

C'est présenté sous l'étiquette une fessée pour la secrétaire, mais j'ai plutôt l'impression qu'il s'agit d'une ixième variation sur le thème de l'école pour grandes filles. Pour ma part j'aime beaucoup l'uniforme de celle qui reçoit la punition. Je suis une inconditionnelle du chemisier blanc (très près du corps) et je sais l'effet que peut procurer la petite cravate sur une monsieur. Comme il n'est certainement pas un hasard que j'aie un penchant pour le Modigliani qui aborde ce sujet. Passons sur la jupe qui me plaît également et arrêtons-nous sur le porte-jarretelles à rubans larges. Quand j'ai commencé à vouloir mettre des bas au quotidien, je me suis vite vue devant la problématique des bas qui partent dans tous les sens. Un coup de fil à … ma maman qui elle a connu l'époque des bas, pour lui demander conseil. Alors bien renseignée, je suis allée dans une vraie mercerie et non pas dans une boutique de lingerie pour m'acheter un porte-jarretelles à 6 agrafes. Ne manquant pas de charme ceci dit.

Et le miracle fut !

Même mes coutures tenaient impeccablement en place, suspendues à des jarretelles aussi larges que ceux du clip. Sans parler de mon chéri, enchanté de découvrir un vrai « souterrain « rétro sous mes jupes. D'où sa grande question existentialiste:

Dégrafer ou pas avant de m'appliquer la fessée !

Bref, cette trouvaille vestimentaire a su imposer une note particulièrement piquante à mon éducation. Il m'est même arrivée de conjuguer ce charme avec ces grandes culottes que vendait ma mercière.
Et le martinet, déjà un comble de rétro en soi, allait à la merveille avec mon petit ménage.

Voila pour dire que je trouve la tenue de la fille qui se fait rappeler à l'ordre très sexy.

Il suffit d'avancer à « 2 min » pour s'apercevoir à que point de tels habits mettent un fessier féminin en valeur et enfin je comprends pourquoi mon homme passe souvent si longtemps pour défaire ce qui ressemble pour lui à un paquet cadeau avec plein de rubans.

En voyant ce clip je pense que comme pour les productions P, il existe pour la fessée aussi un public qui souhaitent un certain esthétisme de ce qui se passe devant leurs yeux. Enfin, une personne de mauvaise fois pouvait prétendre que ce genre de film s'adresse exclusivement aux messieurs et par conséquence qu'il s'agit de véhiculer une image sexy de la dame. Comme si les filles ne trouvaient pas leur compte de se voir représentées ainsi mises en valeur. Il suffit de regarder la plupart de blogs faites par les filles sur notre sujet (parfois des vraies chefs-d’œuvre) pour se rendre compte que esthétisme est bien présent dans l'imaginaire féminin. Bon, je n'en fais pas un impératif catégorique de ma façon de me vêtir  en adaptant librement Monsieur Kant :

Habille-toi seulement d'après la maxime grâce à laquelle tu peux vouloir en même temps qu'elle devienne une mode universelle de s'habiller...

T’arrêtes d'écrire des bêtises isabelle, on a des cadeaux à acheter pour la petite.

Je me dépêche. Sinon mon chéri va se fâcher. Pour finir en beauté, notons à la fin du clip la belle vue sur ce qui semble être un impressionnant arsenal d'instruments éducatives...

vendredi 12 décembre 2014

620 Liens de discipline domestique (144 ème édition)

Au menu cette semaine : Rassurer ces grands garçons


Quand on aime les savoureuses claques sur le derrière, il n'est pas toujours facile de trouver chaussure à son pied. Surtout quand on souhaite que l'initiative vienne du monsieur. Que la main le démange spontanément. Qu'il s'applique hardiment dans des situations à la limite du compromettant. Des situations qui me procurent une sacrée poussé d'adrénaline. Alors on varie les tenues pour rendre ses fesses attirantes à souhait, jeans serré, jupe crayon, guêpière prête à exploser pour que notre cavalier daigne d'un geste jovial de porter sa main par un mouvement ferme et fluide sur notre popotin. Et comble de bonheur, si cette tentative réussie résonne entre les murs de la pièce. Ceci dit, je ne permettrais pas une telle familiarité à un rencontre passagère. Cela reste réservé au monsieur de mon cœur, celui avec qui je souhaite passer ma vie.

Un peu démodée la petite dame, non !

Comme la fessée, mais toujours d'actualité !


Je veux dire pour le grand garçon, au pardon, pour le monsieur qui s'applique se défoule sur le derrière dénudé de sa dame. Un grand garçon qui souhaite occuper ses mains avec une activité valorisante, éduquer une grande fille qui se laisse faire volontairement. Bien au contraire de la maman qui elle refusait les avances de son fiston et - infidèle jusqu'au bout - donnait la préférence au papa. Ce rejet, il ne l'a pas oublié, le jeune homme et il en a même fait le prototype de la vilaine. Une dame qui ose lui résister. Franchement, de quoi qui mérite une bonne fessée.


Un fantasme qui rentre dans la vaste gamme de vérifications diverses. Et là, nous sommes dans le compulsif. Non, il ne peut pas s’en empêcher. Comme quand il nous glisse pour la ixième fois la main sous la jupe pour vérifier ce notre culotte se trouve à sa place. Par conséquence, lui porter la preuve que les vilaines filles existent, lui fait beaucoup de plaisir. Le superbe cliché quoi.

Une de ces filles qui ne pensent qu'à cela.

Surtout qu'en couple, provoquer sans retenue c'est sans risque, enfin il y a le risque qu'il saute sur nous.

Oh oui, oh ouiii !!!

Alors avec un monsieur disons classique, nous rentrons dans ce qui s'apparente d'entrée à un film p. Par contre avec un amateur de fessée, il y a d'abord son sens moral qui va se réveiller.

Tu as vu comment tu es habillée ! Tu crois que je vais passer là-dessus ?

Justement, surtout qu'il ne passe pas là dessus. Qu'il me fasse entendre sa réprobation par un acte de plus viril. Qu'il me fasse payer cher mes audaces vestimentaires. J’admets que sur mon illustration, c'est limite...


Petit truc tout bête pour vérifier les grandes théories de mon chéri. Le collant porte-jarretelles n'est pas son truc. Soi-disant il en a horreur. Ensuite, il m'avait déjà parlée à maintes reprises de son dédain pour...

...ces filles qui se mettent une plume dans le cul pour se faire remarquer.

Ayant un grand faible pour le burlesque et étant dotée de beaucoup d'humour, j'ai eu l'envie de faire le test. Et vous savez quoi ? Il a été ravi mon chéri. Il a voulu tout de suite savoir comment tient la plume...


Ah le grand classique ! La dame romantique, femme enfant et quelque peu perdue dans ce vaste monde qui n'attend que lui : le monsieur pour lui montrer la bon chemin. Cela existe ? Bien sur, dans les rêveries de tant de messieurs, car il s'agit d'une image rassurante de première ordre.

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !