lundi 30 avril 2012

55 Rituel de discipline punitive (susceptible de plaire aux femmes)


Car ayant fait largement ses preuves dans le temps !

Cela date du milieu du 16ème siecle. J’avais déjà parlé ici du Frère Cornelius et de son ordre de discipline pour femmes. Il y a tous les ingrédients d’une « bonne punition » et mon imagination trouve dans cette étrange histoire une excellente nourriture.

Frère Cornelius me semble un « vicieux plutôt gentillet » (et encore, mérite-t-il vraiment cette appellation un peu péjorative ?), doté d’un sens de mise en scène et de belles paroles. Qui offre l’occasion pour satisfaire son besoin de punition de manière discrète et sans risque.  Largement de quoi pour faire rêver plus d’une.

Dupe ? Avez-vous dit dupe cher Monsieur ?

Allons, allons. Ne soyez pas naïf  en sous-estiment les dames à ce point ! Mais si vous étés bien gentil, je vous raconterai un de ces jours cette histoire d’un point de vue féminin.

…Cornelius donna rendez-vous à ses ouailles dans sa chambre de discipline qu'il avait mis en place chez une amie de confiance. Une fois la pénitente arrivée, l'hôtesse – avant de l’accompagner à la chambre de la discipline - lui donna une baguette en bois avec la consigne pour la prochaine fois, d’acheter un balai, de fabriquer des verges avec et de les apporter à chaque fois.

Corneille dit maintenant à la novice avec un air solennel:

Ma fille, pour recevoir au mieux cette sainte discipline et secret pénitence il faut d’abord dénuder votre corps. Par conséquent, je vous ordonne, d’enlever vos vêtements!

Les femmes obéirent presque immédiatement, et une fois toutes nues, elles furent obligées de lui tendre elle-même la baguette et lui demander humblement de châtier leur corps de pécheresse.

Puis Cornelius leur appliqua lentement un petit nombre de légers coups sans grande douleur, accompagné par des proverbes sur la flagellation en déclamant que le Dieu préfère l'humilité de celles qui se dénudent elles-mêmes, plutôt que la douleur de nombreux coups durs.

Source: Die Körperstrafen bei allen Völkern von der ältesten Zeit bis auf die Gegenwart; Dr Richard Wrede; 1898

(Punitions corporelles chez tous les peuple de l’époque la plus ancienne jusqu’au présent)

Texte  d'origine :

Wenn all das geschehen, bestellte Cornelius seine Beicht-
kinder in seine Disciplinkammer, die er bei einer vertrauten
Freundin eingerichtet hatte. Sobald die reuigen Frauen nun
dorthin kamen, gab ihnen die Wirtin eine Rute, mit der
Weisung, sie mit in die Disciplinkammer zu nehmen, zum
nächsten Mal aber selbst einen Besen zu kaufen, Ruten davon
zu machen und jedesmal eine mitzubringen.

Cornelius sagte nun in der Disciplinkammer zu der
Novize mit feierlicher Miene: Wohlan, meine Tochter, um
diese heilige Disciplin und geheime Poenitenz bequem zu
empfangen, müfst Ihr Euren Körper entblöfsen. Darum be-
fehle ich Euch, die Kleider auszuziehen! Die Frauen ge-
horchten meist sofort, und wenn sie nun nackt dastanden,
mufsten sie ihm die Rute selbst darreichen und ihn demütig-
lich bitten, ihren sündigen Körper zu züchtigen.

Cornelius gab ihnen nun langsam eine kleine Anzahl leichter Schläge,
die nicht sehr wehe thun sollten und führte dabei allerlei
Citate über das Geifseln an, insbesondere, dafs Gott die
Demut derjenigen, die sich selbst entblöfsen würden, lieber
habe, als die Schmerzen vieler harter Schläge. 

dimanche 29 avril 2012

54 La ceinture de ma belle mère 4



Je n’ai pas pu résister à la tentation de copier sur ma belle mère et de suspendre la ceinture à la garde-robe. Manière de tester quel effet cela fait de l’avoir devant mes yeux à chaque fois que je passe à côte. Ce fut un frisson instantané comme si la ceinture me disait :

Désormais dans cette maison règne une discipline de fer !

Et j’ai compris mieux les vieux conseils de garder un instruments bien en vu de celui ou de celle qui est sensé de le recevoir en cas de mauvais comportement. Un rêve de mon adolescence qui se réalise : la discipline qui prend sa place au quotidien.

Mon homme en rentrant à la maison, surpris et amusé à la fois, ne put s’empêcher d’un petit commentaire :

Ah voila des excellents pénates !

La discipline domestique n’est ni la fessée sous un prétexte ou à n’importe quel prix. C’est ainsi que la ceinture prit l’air pendant quelques jours en attendant l’occasion pour servir. Non pas sans me rendre particulièrement nerveuse.

Expression qu’affectionne ma belle mère en décrivant ainsi un comportement caractéristique de mon homme étant jeune ado qui semble exprimer un fort besoin de discipline corporelle. De son  côté mon homme m’a confirmé cet irrésistible et inexplicable désir qui se calmait uniquement après un bon usage de la ceinture sur ses fesses.

Je pense que l’un des secrets majeurs de l’attirance pour la discipline domestique se trouve dans cette ladite « nervosité » qui nous éloigne bien du conformisme actuel qui préconise la fessée pur plaisir entre adultes.

Bref, j’affichai un comportement de plus en plus affligeant, ce qui n’échappait pas à la vigilance de mon chéri.

Je te trouve bien nerveuse, isabelle. Arrête de chercher les limites. Sinon je décroche la ceinture.

Soyons clair, il est très patient mon chéri. Il préfère me mettre en garde plutôt deux fois que l’une. Mais quand il y a un trop, il n’hésite pas de réagir. Et c’est justement ce que j’attend de lui et ce que j’aime en lui. Son sens d’initiative, de prendre une décision, son agir avec fermeté.

J’ai eu droit à la ceinture façon maison, c'est-à-dire toute nue, allongée sur ses cuises. Pour faciliter l’emploi, monsieur l’avait plié en deux en faisant surtout attention de tenir fermement la boucle dans sa main pour éviter tout débordement non désiré de ma punition.

Comme j’avais entendu de sa bouche, la ceinture causa une douleur soutenu, mais sans exagération. Par sa texture rugueuse, elle dégageait même une certaine sensualité qui s’accompagnait d’un « boucan d’enfer » dû à sa largeur. Voila donc une fessée qui ne passe pas inaperçu aux oreilles indiscrètes au cas où il s’en trouve dans les parages.  

Quand j’ai rejoint un peu plus tard mon coin pour ma méditation post-punitive, je sentais une brûlure uniforme dans mes fesses. Aussi uniforme que la couleur que je découvrît encore un peu plus tard dans la glace avant de me rhabiller. Et – louée soit cette ceinture- pas la moindre trace disgracieuse.

Effectivement un instrument judicieusement choisi.

Ce jour là je me suis couchée avec une fierté certaine d’avoir été « honorée » par le même instrument qui avait servi jadis sur mon homme. Cela crée des liens intenses.

La ceinture de ma belle mère n’a servi que d’une très courte durée chez nous. Toutefois elle a eu un destin assez singulier qui mériterait un de ces jours un post à part.

samedi 28 avril 2012

53 Liens de DD


...d’un samedi matin de grande tempête


Il fait gris, il pleut et en plus il y a la tempête dehors. Voila un samedi qui s’annonce mal.

Mes petites émotions de la semaine en images et vidéos :



Bas couture spécial fessée (mériterait un post à part)

Magnifique prestation (petit film)

Dites le avec… (petit film)

Au coin (m’évoque un souvenir perso bien précis)


Fessée créative :

Red Charls (Œuvre exceptionnelle de photos autour de la fessée)


Monsieur éduque Madame





Madame éduque Monsieur


vendredi 27 avril 2012

52 La ceinture de ma belle mère 3


Voici un fantasme qui comble mon voyeurisme et mon sadisme ! Inspiré par la présence de la ceinture de ma belle mère à la maison

J’ai pris mon temps pour inspecter cette ceinture marron foncé sous toutes ses coutures. D’une largeur de 5 cm environ, elle correspondait à la mode de l’époque.  Faite en épais cuir rugueux d’excellente qualité, elle est agréable à toucher et son impacte sur la peau dévoile une belle souplesse.

Il ne faisait aucun doute que son usure n’était pas causée en retenant les pantalons, mais par les conséquences de les baisser.

Comme m’a dit mon homme, cette ceinture est plus dissuasive par le bruit qui accompagne son usage sur les fesses que par la douleur qu’elle cause.

Ma foi, là je suis un peu sceptique, car le :

Même pas mal

c’est bien un truc des garçons.

Sachant la ceinture de ma belle mère à la maison, une multitude de rêveries mes passaient par la tête. J’imaginais d’assister à une punition de mon homme, le voir baisser son jean puis son caleçon en dévoilant ce qui m’attire particulièrement chez lui :

Son derrière qui ne craint aucune comparaison avec certains acteurs !

Puis je commençais à évoquer dans ma fantaisie une superbe fessée par ma belle-mère, moi à côté en me moquant à haute voix de mon homme.

Voila, cela t’apprendra à courir les filles !

En lui tirant ma langue.

Mon plaisir augmente dans la même mesure que rougissent les fesses de Monsieur et quand il doit aller au coin, bien gêné dans sa démarche par le jeans et le caleçon aux chevilles je suis aux anges que pour une fois il y a inversion des rôles (Même si je ne le souhaite pas du tout dans la réalité).

On m’imagine souvent bien sage à cause de mon discours en faveur de la fidélité en couple. Hein oui je n’ai rien d’une libertine, mais pour moi fidélité ne rime nullement avec absence de séduction et de désir.

Alors dans ma rêverie je me sens très ado, en guettant l’homme au pantalon baissé dans le coin. Au contraire de ce qu’on pourrait imaginer je ne guette pas ses fesses. Je pense qu’il faut être un homme pour s’extasier principalement sur cette partie de l’anatomie (d’une femme). Moi, j’ai bien envie de voir ce qui se passe par devant, comment l’augmentation sanguine dans le postérieur commence à faire effet sur les parties limitrophes. Et bingo, il a de quoi à observer. Monsieur au garde à vous. Pour le moins qu’on puisse dire, elle est salutaire cette fessée.

Mon fantasme ne s’arrête pas à la pure observation. Il inclut également le droit de balader mes mains sans que mon homme ait le droit de bouger dans son coin. Bien que cela parle de « verges », nous avons déjà quitté le terrain de la fessée…alors rideau et je retourne à mon histoire.

jeudi 26 avril 2012

51 La ceinture de ma belle mère 2


J’ai beaucoup apprécié que mon homme me fasse des telles confidences sans langue de bois ni fausse pudeur. Avec quelques effets intéressant sur mon psychisme.    

- Dotant ainsi Monsieur à mes yeux d’une vraie crédibilité pour exercer sur mes fessées le dur labeur d’un éducateur « très spécialisé » en bonnes manières. J’ai l’impression de m’avoir confiée à une personne sérieuse, connaissant les ficelles du métier de font en comble car acquises par une longue formation personnelle qui n’avait pas manqué de pratique sous forme de fessée appliquée.

- Son histoire s’est emparée de mon imaginaire, vide de souvenirs réels datant de mon enfance ou adolescence et par ce fait assoiffé de connaître ceux des autres. Seulement, mon voyeurisme par procuration déforme le vécu qui n’est pas le mien et dans mes rêveries mon homme joue son rôle…à l’âge adulte, tel que je le vois tous les jours devant moi…sauf qu’il a le pantalon aux chevilles !

- La ceinture a enflammé ma fantaisie dans laquelle je suis convoquée soit par mon homme, soit par ma belle mère au salon, pour baisser ma culotte et me pencher sur le dossier du canapé pour un rappel de discipline avec la ceinture familiale.

- Un superbe coup de fouet sur nos libidos respectives le soir des confidences…

J’ai pu aussi me familiariser avec l’autre versant de l’histoire, par ma belle mère qui me ravissait et me ravit encore avec des anecdotes croustillantes dans lesquels Monsieur ne fait pas bonne posture.

Ses petits malheurs me font rire de bon cœur, car recevant moi-même une éducation stricte à l’ancienne je n’ai aucun mal pour me mettre au cœur de la situation décrite et de toutes les péripéties qui accompagnent ce style de vie. Ce n’est politiquement pas correct, mais cela m’amuse énormément et je n’hésite pas de relancer ma belle mère pour d’autres détails.

Un jour, fortement agacé par mes moqueries incessantes, mon homme demanda à sa mère s’il ne pouvait pas emporter ce qui était appelé chez eux :

La réglementation de la maison.

En précisant :

Elle n’arrête pas de se passionner pour cette ceinture, isabelle. Je crois cela lui ferait plaisir de l’avoir chez nous.

Et voila comment est arrivé la ceinture de ma belle mère dans notre ménage.

mercredi 25 avril 2012

50 La ceinture de ma belle mère 1


J’aime beaucoup ma belle mère et la relation entre elle et moi est pour le moins qu’on puisse dire excellente. Petite femme pétillante, réfléchie comme son/ses fils, elle est d’une énergie étonnante pour son âge (80ans). Ce qui laisse supposer un dynamise hors pair quand elle était jeune.

En rentrant pour la première fois chez elle, mon regard s’est posé sur une large et épaisse ceinture en cuir, suspendu bien visiblement à la garde-robe. N’ayant plus d’utilité depuis très longtemps, elle est restée en place par habitude ou peut-être par nostalgie.

Cela m’a fait un drôle d’impression de me trouver en face de la source du goût prononcé pour la discipline domestique de mon homme.

D’après ce qu’il m’a racontée, la vielle dame n’a pas été commode comme mère. Jusque tard dans l’adolescence il a dû baisser son pantalon environ une fois par mois pour recevoir une correction « auf den Blanken » (cul nu) avec ladite ceinture ou avec le tonton jaune (canne en rotin) pour fautes très graves. Mon homme garde avec le recul un souvenir positif de cette éducation sévère même pour l’époque (début des années 70), la considérant comme un détail folklorique faisant partie d’un contexte historique et non comme un indispensable pour élever les enfants qui pourrait encore se justifier de nos jours.

Il m’a également racontée  que ce rituel de punition lui faisait du bien (avec le recul encore) en lui soulageant efficacement sa mauvaise conscience, car bien que douloureux et humiliant il estimait parfaitement justifié ce qui lui arrivait.

Seulement, après la puberté il fut confronté à un effet secondaire qu’il trouvait de plus plaisant et qu’il soulageait le soir dans son lit. C’est en imaginant des petites histoires autour d’une activité frénétique que son besoin de punition changeait d’orientation  pour se transformer en un goût pour corriger des filles pas sages. Se voyant dans ses rêves les plus poussés en éducateur « spécialisé » pour filles difficiles ou instructeur d’un bataillon de parade d’une composition exclusivement féminin.

Voila comment j’ai pris connaissance de jolis fantasmes dont la plupart des grands garçons ont peur de les dévoiler devant une femme. Et en discutant avec les amis de mon chéri, les hommes nostalgiques, je n’en finissais pas d’aller de découverte en découverte dont je parlerai petit à petit au fil de mes posts.


A suivre

mardi 24 avril 2012

49 Différence entre forums de fessée et de discipline domestique


Ne rêvons pas, il n’existe aucun forum francophone consacré à la discipline domestique.

L’idée me plairait beaucoup de découvrir un joli îlot sur le net où se discute ce mode de vie dans son intégralité. Les expériences et méthodes de discipline, des rubriques de petits trucs de séduction pour rendre fou son homme, des recettes de cuisine et des échanges et conseils comment élever ses enfants.

Mais aussi des astuces et pièges à éviter pour rencontrer un partenaire pour la vie….

…car la discipline domestique c’est réaliser ses fantasmes au sein de son couple.

Voila la distinction principale que je vois avec un forum de fessée qui semble plutôt servir à mes yeux pour…

…faire des rencontres spécifiques pour réaliser un fantasme.

Voila deux mondes bien distincts qui pourraient tout de même se rejoindre par le biais d’une discussion fructueuse autour de leur ingrédient de base :

La fessée !

Seulement cela ne marche pas et j’ignore les raisons. 

lundi 23 avril 2012

48 Saint Dominique et ses 18 000 000 de coups de discipline


Il s’agit de Saint Dominique qui est surnommé L’Encuirassé car  « il portait une cuirasse de manies de fer qu'il ne quittait que pour se flageller. »

Voici un peu d’histoire :

Le mot discipline, dans l’acception où il nous reste à en parler, c.-à-d. dans le sens de flagellation désignait autrefois un genre de supplice commun dans les cloîtres. L’instrument qui servait à l’infliger portait le même nom. C’était un fouet fait avec des cordelettes garnies de nœuds, des crins ou des bandes de parchemins tortillées…

…on avait alors établi une sorte de proportion entre les grâces d’en haut et le nombre de coups de discipline. Vingt psautiers récités pendant la flagellation, ou 3 000 psaumes à 150 le psautier, acquittaient 100 ans de pénitence imposées par le canon au péchés, car, 3 000 coups valaient un an, et l’on comptait 1000 coups pour 10 psaumes. C’était réglé comme un tarif de douanes. Il fallait donc 300 000 coups pour racheter 100ans. C’était une dette dont Saint Dominique se libérait aisément en six jours, et il pouvait ainsi sauver 60 âmes pendant un an, à raison de 18 000 000 de coups de discipline.

dimanche 22 avril 2012

47 « Disciplina gynophygia » ou comment expier ses péchés par la fessée

Je ne sais pas comment traduire gynophygia. Il semble s’agir d’un jeu de mot de chroniques hollandaises du 16ème siècle.  Je serais tentée d’y voir une construction à partir de « phagie (glouton)» et « pygie (fesse)».  

Compte tenu que mon extrait parle …de la fessée, je trouve édifiant de constater que chez pas mal de personnes l’intérêt pour cette pratique s’accompagne de jeux de mots.

La traduction allemande de Discipline gynophygia se résume à Tôchter der Zucht (Filles de la discipline)

Voici le texte traduit par moi et en version originale !

Cornelius Hadrien, né à Dortrecht, dans le sud de la Hollande, vers 1520, était admis après le noviciat habituel dans l'Ordre Franciscain. Puis envoyé comme professeur de théologie dans un couvent de cet ordre à Bruges, vers 1548. Doté d'une grande éloquence il devint rapidement célèbre, en particulier parmi les belles et pieuses dames de cette ville. N’étant pas insensible à la beauté, il prit beaucoup de plaisir à contempler les fidèles visiteuses de son confessionnal. Un écrivain contemporain le décrit ainsi :

"Déterminé, pour faire plaisir à ses ouailles et à lui-même, il établit  un ordre de dévotion tout à fait unique dans son genre.»

Les objectifs et le caractère de cette institution particulière apparaîtront par suite. 

Dans ses sermons, le frère Cornelius s’attardait volontairement sur le péché de la convoitise mondaine et ses conséquences, en réveillant par ses insinuations craintes et scrupules dans les esprits de ses auditrices, jusqu'à ce qu'elles recoururent tout naturellement à son confessionnal pour conseil et secours.

Frère Corneille avait déjà préparé la médicine nécessaire. Il conseilla à celles qui n'étaient ni jeunes ni particulièrement belles, de confesser leurs tentations avec diligence auprès de leur anciens confesseur, en vue d'obtenir l'absolution ; mais à celles qu'il souhait admettre dans son ordre, il dit:

«Etant donné que vous ne pouvez pas rester avec un tel poids de péchés et désirs à l’intérieur de vous, il faut les sanctionner par une punition venant de l’extérieur suivie d’une repentance. »

Elles s’engagèrent à faire tout ce qu'il leur imposât. D’abord il leur demanda un serment de garder le silence sur la nature de la pénitence à subir, parce que - selon lui – tout le monde ne pouvait pas comprendre ou apprécier ce genre de chose sans ternir la réputation de l’ordre.

Puis il établit comme règle principale que chaque membre de l’ordre était tenu de comparaître devant lui dans son confessionnal une fois par mois.

Une fois sur place, les dames devraient notamment lui avouer toutes leurs pensées, mots et actions impudiques, et ceci,  expliqua-t-il, ne pouvait être expié autrement que par un cours de discipline et pénitence secrète, appliquée et surveillée par lui-même. 

Pour recevoir correctement la discipline, il était indispensable pour les dames de se débarrasser d'une partie de leurs vêtements. Cela fait, elles lui remirent humblement une verge, pour qu’il châtiât leur chair de pécheresse. Comme convenu, il s’appliqua, très lentement et très doucement, en enchaînant sur l’efficacité de recevoir une fessée  dans son plus simple appareil.

L'ordre se réjouit d’une grande popularité auprès des jeunes filles, femmes mariées et veuves, et cette secte secrète gynophygia, comme les écrivains hollandais la nommèrent, dura pendant dix ans sans que jamais aucune  des fidèles n’émette le moindre soupçon de son inconvenance. 

Comblées, elles gardèrent le silence, croyant fermement à la piété de Cornelius, jusqu'à ce qu'un concours de circonstance portât ce style particulier de discipline aux yeux du grand public, ce qui conduit à la dissolution de l'ordre.

Cornelius Hadrien was born at Dortrecht, in South Holland, about the year 1520, and, after the usual novitiate, was admitted into the Franciscan order. He was settled as professor of theology in a convent of that order at Bruges towards the year 1548. He was possessed of great eloquence, and soon became famous, especially among the fair and pious ladies of that city. Cornelius being no stranger to the sense of beauty, had cast his eyes with pleasure upon the many devout visitors of his confessional.  

As a writer who was his contemporary expresses, "he determined, in order to enjoy them and himself, to establish an entirely unique devotional order among them." The objects and character of this peculiar institution will appear from the sequel. In his sermons, Brother Cornelius touched freely on the sin of worldly lusts and their consequences, and by his insinuations awakened fears and scruples in the breasts of his fair hearers, till they naturally resorted to the confessional for counsel and instruction. Brother Cornelius was prepared with the necessary medicine.

To those who were neither young nor particularly handsome, he prescribed that they should diligently confess their temptations to their former clergymen, in order to obtain from them absolution; but to those whom he wished to admit into his order he said, "In consideration that you cannot withstand such inward sins and desires, these must be chastened with an outward punishment and penance." They vowed to do all that he should impose upon them.  After binding them by an oath to keep secret the penance to be suffered, because mere men of the world could not understand or appreciate such matters, and would assuredly try to bring disgrace and contempt upon the order, he appointed them a rule, in conformity with which they were required to appear before him in the confessional every month.

Here they were to be particular in confessing to him all their unchaste thoughts, words, and actions, and these, he explained, could only be expiated by a course of private discipline and secret penance, applied and superintended by himself receive the discipline properly, it was necessary for them to divest themselves of a portion of their clothes.

This done, they humbly handed to him the rod, with which to chastise their sinful bodies. He accordingly did so, very slowly and very gently, enlarging at the same time on the efficacy of whipping, and the great benefit of receiving it in a primitive condition.

The order embraced maidens, married women, and widows, and this secret gynopigic sect, as the Dutch writers named it, lasted for ten years without any of the devotees ever entertaining the least suspicion of its impropriety. They remained quite tranquil and happy, firmly believing in the piety of Cornelius, until a circumstance brought his peculiar style of discipline before the public, and led to the dissolution of the order.

vendredi 20 avril 2012

45 Logique inhérente à la discipline domestique 3

Je pense que pour faire bon ménage en discipline domestique il est important que l’un des partenaires  reconnaisse son besoin de punition et que l’autre reconnaisse son besoin de punir. Cartes sur table sans langue de bois. Mon homme ne se prive pas de me communiquer le plaisir qu’il éprouve de se consacrer à mon éducation. Bien qu’il prenne cette « noble tache » très au sérieux, il ne cache pas sa joie à chaque fois que s’offre une bonne raison pour réviser ma discipline. Mais - éthique d’éducateur oblige – il n’en profite pas pour établir des réglés impossibles à respecter ou de donner une exégèse au mots  pour me rendre fautive quand cela l’arrange. Au contraire, il reste au plus proche de mes fantasmes initiaux on y ajoutant son grain de sel, c'est-à-dire une belle dose de sadisme (faut pas avoir peur des mots) pour me combler.  

Met toi à l’aise pendant que je cherche le martinet, isabelle !

Ah comme il adore cette expression avec son sous-entendu lourd de conséquences. Traduction :

Tu vas recevoir ta correction toute nue, justement pour qu’il ne persiste aucun doute qu’il s’agisse d’une punition.

Mais oui, il aime beaucoup que je me présente toute nue à la porte de son étude pour le rappeler qu’il est grand temps de s’occuper de moi. Voila qui fait le charme d’une telle discipline domestique. Chaque faute est expiée dans un cadre d’une « excitante aventure humaine ». Evidement l’acte punitif lui-même sera douloureusement désagréable, cela va de soi, mais pour faire monter la tension il y a mieux à mon avis que les claques d’échauffement.

J’ai dû prendre l’habitude de me « mettre à l’aise » avant de négocier ma peine. Ce n’est pas évident au début d’argumenter avec brio en se trouvant en mauvaise posture soulignée par sa nudité intégrale. Cela expose au risque de quelques vexations supplémentaires :

Bon assez de blabla, isabelle. Passons aux choses sérieuses !  

Vexations éducatives, accompagnées parfois d’une très sonore claque sur une de mes fesses et avec des mots encourageants :

Allez en route pour ton rendez-vous avec le martinet, isabelle. Tu verra ça soulage mieux qu’un long discours. En avant…Marche…un, deux, un deux…

Ce soir-là j’ai beau à parlementer sur le bien-fondé de ma réaction envers la dame agressive. Monsieur m’écoute attentivement, ne me contredit pas, m’approuve avec les mouvements de sa tête. Je me crois déjà gracié de ma séance de fessée nocturne quand il me sort sa logique implacable que les bonnes manières d’une dame devraient passer devant les considérations d’avoir raison ou tort.

Je tente de présenter mes excuses pour ma piètre performance en public. En vain.

Trop tard pour tes excuses isabelle. Il aurait fallu les faire aux personnes offensées, notamment à nos hôtes.

Et avec ces mots, il me plie sous son bras gauche pour m’appliquer une bonne raclée au martinet. Pas vraiment très longue, mais terriblement efficace. C’est ainsi qu’après que mon homme m’a relâchée et avant de me coucher que je clôture cette mémorable journée avec une danse de plus rythmique, une main sur chaque fesse pour soulager mon fessier en feu. Sous les yeux émerveillés de mon homme qui ne m’épargne pas de ses commentaires moqueurs sur ma façon d’accomplir avec tant d’élégance une danse de Saint Guy.

J’ai revu la dame, source de mes malheurs, à plusieurs reprises. J’ai compris pourquoi je me suis tant emportée devant ses provocations. Il y a un rapport direct avec mes fantasmes  initiaux de punition. M’a-t-elle vraiment autant provoquée que ma mémoire essaye de me faire croire ? 

D’autre détail. Il m’est arrivé plus d’une fois que je me suis emportée devant d’autres personnes. Quand cela se passe en public, veut dire hors cadre familial ou amical mon homme me félicite de défendre aussi bien ma/notre croûte. Dans l’autre cas c’est la danse de Saint Guy assurée.

Mystère dû à sa compréhension personnelle de l’expression « bonnes manières » ou connaissance intime de mon mode de fonctionnement ?

De toute façon à tête reposée ou échauffée, je suis ravie de la qualité de l’éducation dont je bénéficie !

jeudi 19 avril 2012

44 Logique inhérente à la discipline domestique 2

Puis arrive mon homme, chevalier galant des temps modernes qui sépare les dames avec un sourire et un mot gentil et bien choisi pour chacune, installant ainsi de nouveau la joyeuse l’atmosphère de la soirée en faisant oublier aussitôt le fâcheux événement.

Voila comment  il arrive à m’impressionner !

Me prenant à la main avec une fermeté qui passe inaperçue en m’éloignant du lieux de la dispute. Cette attitude je la connais trop bien. Variante publique qui correspond au geste quand il me chope à l’oreille à la maison pour une sévère mise en garde. Parce que franchement il en a marre que je cherche mes limites avec une insolence qui peut se justifier chez une adolescente (et encore), mais en aucun cas chez une « dame ».

Geste – quand le mal est déjà fait comme ce soir - qui signifie :

Une fois de retour à la maison tu vas voir tes fesses isabelle !

Et il tient toujours parole en me corrigeant sans me ménager, mais sans exagération et sans abus en installant un cadre disciplinaire à l’ancienne bien paternel ou - pour ceux qui choque ce terme - de plus bienveillant.

La certitude de devoir payer inévitablement rubis sur ongle pour mes erreurs me sécurise dans le sens que celui qui dispose du pouvoir de me châtier à la hauteur de mes méfaits, dispose aussi du pouvoir de me protéger en cas conséquences de mes méfaits.

Je ne me retrouve pas tremblante de peur, mais redoutant par expérience une punition bien douloureuse et qui met ma pudeur à rude épreuve, le sentiment de respect  devant l’autorité que représente mon homme à cet instant-là pour moi embrase mon monder intérieur.

Voila comment mon homme arrive à me faire frissonner !

Quand on rentre à la maison et il est question pour moi de recevoir en arrivant une punition, je suis l’amabilité même. C’est peine perdue, car Monsieur ne renoncera pas pour autant à me convoquer dans son étude pour me faire la morale de manière cuisante. Il en est de même pour toute tentative de corruption sous forme de petite gâterie sur la route. Du moins pour gagner un peu de sursis. 

Résultat : La tête encore plus reposée que d’habitude dans ce cas-la, mon homme prend plus de temps pour le rituel de ma correction la rendant ainsi particulièrement mémorable.

Ici se dévoile une autre logique inhérente à la discipline domestique. Le caractère exemplaire d’un châtiment peut susciter une nouvelle demande de la même intensité. En bref, Monsieur ne me/se refuse rien au retour, notamment quand je me montre d’une ardeur insolente. Quoi qu’il en soit, à la maison  je n’échapperai pas à ma bonne vielle éducation anglaise.

Voila comment il m’impressionne par la suite dans ses idées !

mercredi 18 avril 2012

43 Logique inhérente à la discipline domestique 1

Vous étés superbe, isabelle !

(N’est-ce pas ! Enfin quelqu’un qui le remarque et le dit à haute voix. Ah vanité quel vilain défaut.)

Heureusement mon homme n’a rien entendu. Curieux mélange entre fierté et jalousie méfiante, il n’aime pas trop ce genre d’incidents. De là en déduire que cela me vaudrait une séance de discipline cul nu pour provocation, serait de passer à côté de notre discipline domestique. Il n’est pas aussi basique Monsieur …de s’exciter sur un rien.

Mode intellectuelle off, je suis plongée dans l’agréable ambiance d’une soirée, organisée par un couple d’amis de mon homme. Je ne regrette pas le long moment passé préalablement à la maison pour soigner mes apparences. De plus, milieu ancien « 68tards et/ou hippies » oblige, je suis une des rares jeunettes sur place.

Alors donc, le charmant Monsieur en face de moi qui vient me lancer le joli  compliment qui me réjouit tant a réussi un coup de maître. Vexer terriblement sa femme (qui est bien mignonne à mes yeux ceci dit) et de me mettre une ennemie féroce sur le dos. Et elle ne se prive pas de me le faire savoir par des petites piques.

C’est agaçant !

Je ne suis pour rien dans cette histoire et n’ayant pas ma langue dans la poche la situation s’envenime. Puis l’inévitable arrive sous forme d’une vilaine dispute qui amuse beaucoup les convives. Nostalgiques d’un autre âge, de « l’ère cool », bien évidement les finesses de la rivalité féminine leur échappent. Par contre ils ne sont pas avares en moqueries.

Voici donc une des raisons pourquoi plus tard je me plierai volontairement (m’enfin pas sans ronchonner et marchander) à une correction de la part de mon homme. Prise en flagrant délit de me faire complice d’un comportement de plus caricatural (qui me correspond malheureusement à la merveille), je m’en veux terriblement que mon sang chaud emporte sur ma raison. 

Mériterait bien une fessée celle-la !

Je parle naturellement de la dame insolente qui n’arrête pas de m’embêter. Pensée révélatrice, ô combien freudienne, « phase préliminaire du fantasme de la fustigation ultérieure » et qui se résume selon le cher Docteur de la manière suivante :

Le père bat un enfant haï par moi.

J’adapte librement :

J’aimerais bien que son mec lui donne une déculottée devant tout le monde. Cela lui apprendra de me gâcher ma soirée.

Décidément je vois la fessée partout. Non, ce genre de dénouement arrive seulement dans mes rêveries. Une fessée, toute petite, petite, pour moi et elle devant les convives ? Tais toi isabelle, ne t’éloigne pas du sujet.

Justement je suis au cœur du sujet :

J’essaye de retracer la logique inhérente à la discipline domestique !

mardi 17 avril 2012

42 Quelques remarques sur le besoin de punition par la fessée

D’abord, si je parle d’un besoin de punition, c’est parce que je ressens un appétit indéniable pour recevoir des « vrais châtiments corporels ». Et je me sens bien mieux dans ma peau rien qu’en sachant que non seulement il y a un martinet à la maison, mais en plus qu’il ne fait pas partie de la déco ou des petites mises en scènes ludiques.  Non pas que je « dénigre » la fessée dite érotique, mais elle me parait trop fade comparé à l’idée de payer pour des « fautes ou mauvais comportements réels ».

Comme le titre de ce post indique pour moi la fessée n’est qu’un moyen parmi tant d’autres pour calmer un besoin de punition. Il suffit de penser par exemple à la vaste gamme que propose le BDSM à une personne en quête d’une « bonne remise en place ».  Et il est facile à comprendre que selon la nature individuelle du fantasme une séance de fessée peut se parer de plus ou moins éléments provenant du BDSM. Il est même tout à fait concevable de considérer la fessée faisant partie du BDSM.

Ceci dit, je retiens personnellement les idées suivantes sur le besoin de punition par la fessée. :

-Je pense qu’il est impossible de comprendre pourquoi telle personne développe un besoin de punition et telle autre non.

-Il n’est pas nécessaire de connaître l’origine d’un besoin de punition pour comprendre son fonctionnement. Il suffit d’identifier et d’accepter son existence.

-Il y a des signes dans le comportement qui peuvent trahir un besoin de punition.

-On peut intégrer un besoin de punition dans sa vie d’adulte. Ce n’est pas facile vu notre société actuelle, mais tout de même réalisable.

N’oublions pas : La question comment faire concrètement pour vivre son fantasme au quotidien sera un des principaux sujets de mon blog.

lundi 16 avril 2012

41 Le besoin de punition dans la littérature

Je suis en voyage avec ma petite famille. Alors je n’ai pas le temps d’écrire moi-même et je me repose un peu sur grande dame de la littérature féminine Charlotte Brontë. Voici donc un joli texte troublant qui montre sous quels aspects un besoin de punition peut se montrer.


"Elle me parlait français et je la grondais bien fort; j'essayais de la punir; mais il fallait que le, châtiment ne fût pas très judicieux, car, loin de réprimer la faute, il semblait, au contraire, la pousser à la récidive.

Nos soirées nous appartenaient complètement; nous en avions besoin pour retremper nos forces et rafraîchir notre esprit. Nous les passions quelquefois à causer; et, maintenant que ma jeune Suissesse aimait trop son professeur d'anglais pour le craindre, il lui suffisait de penser tout haut et d'épancher son cœur pour que la conversation fût aussi animée qu'intarissable. Heureux alors comme deux oiseaux sous la feuillée, elle me montrait les trésors de verve joyeuse et d'originalité que renfermait sa nature. Parfois, laissant jaillir la malice que recouvrait l'enthousiasme, elle raillait, la méchante, et me reprochait ce qu'elle appelait mes bizarreries anglaises, du ton incisif et piquant d'un démon qui badine en ses heures de gaieté. Toutefois ces accès de lutinerie étaient rares; et si, entraîné moi-même à cette guerre de paroles où elle maniait si bien la finesse et l'ironie de la langue française, je me retournais vivement pour prendre corps à corps l'ennemi qui m'attaquait, vaine entreprise ! je n'avais pas saisi le bras du lutin qu'il avait disparu ; l'éclair provocateur avait fait place à un regard plein de tendresse qui rayonnait doucement sous des paupières demi-closes; j'avais cru m'emparer d'une fée maligne, et je trouvais dans mes bras une petite femme soumise et suppliante."

Extrait du roman « Le professeur » de Charlotte Brontë (page 282).

dimanche 15 avril 2012

40 Besoin de punition et choix de la fessée

J’entends par besoin de punition dans le cadre de mon blog un désir irrésistible de recevoir des châtiments corporels (et plus précisément la fessée) à l’âge adulte.

Personnellement je considère le besoin de punition comme le noyau central d’un fantasme de discipline domestique.

Notons bien que l’emploi de la fessée à l’âge adulte n’est pas un choix de la raison, mais  quelque chose qui s’est imposé à certaines personnes dont moi « tout naturellement » comme mode vie par le biais de fantasmes récurrents.

La fessée comme moyen de châtiment pour apaiser un besoin de punition corporelle me parait bien judicieux à tête reposée. Nous restons dans la solution « du moindre mal » étant donné que le fessier se prête bien par son rembourrage naturel à ce genre d’attention.

A priori loin des pratiques extrêmes, le fantasme de la fessée montre une flexibilité étonnante, allant de quelques claques « bienveillantes » à la sévère correction qui laisse des marques pendant des jours. De la fessée appliquée à la main, grand classique éducatif d’un autre âge jusqu’à l’emploi des instruments les plus divers. Comblant ainsi les nostalgiques du martinet, de la canne, de la ceinture…

Du petit rituel à  la grande mise en scène sophistiquée et réglementé dans le moindre détail. Du simple rappel à l’ordre sur les genoux du partenaire jusqu’à l’expiation publique de la faute devant la personne offensée. De la fessée sur un vêtement à la déculottée, voir nudité complète du pénitent.

Folklorique à souhait avec l’obligation de chercher l’instrument qui va servir, de demander sa punition, de remercie l’éducateur pour les services rendus, la jupe épinglée, le coin…comme en tout, c’est  l’imagination humaine qui repousse les limites.

Sujet très vaste alors comme montre ce petit aperçu. Raison de lui consacrer un label à part. 

samedi 14 avril 2012

39 Liens de DD

Samedi relax et consacré à une belle sortie en famille. J'essaye donc la publication planifiée. Voyons si cela marche! J'ajouterai mes nouveaux liens ce soir ou demain.

Pour voir des images "chez moi", il faut suivre les liens !




Du nouveau dans mon blogroll

Monsieur éduque Madame

En français




En anglais




Pour nostalgiques du bas nylon



Vintage