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mercredi 9 août 2017

1032 Satisfactions indécentes...

...ou le pragmatisme oral de certaines filles !

Pour ma part, mon intérêt pour regarder dans un film un homme pénétrer une femme converge (ah comme la langue française est poétique !) vers zéro. Il n'en est pas de même pour mon homme. Les garçons me semblent plus curieux que les filles envers le matériel visuel. Certes, on essaye ci et là d'imposer une égalité en pointant sur le fait que les filles aussi aiment regarder l'explicité et n'osent pas l'avouer.

Perso je n'y crois pas trop à cause du pragmatisme féminin qui sait trouver du plaisir concret un peu partout.

Si on considère un plaisir sexuel féminin comme réceptif, commençant par un émoustillement à l'idée d'être pénétrée, on voit facilement un avantage du côté féminin. Je donne un exemple concret. Souvenons nous du film « American pie » avec la fameuse scène du gâteau aux pommes. Nous y voyons un jeune homme pénétrer un gâteau pour trouver soulagement d'une pulsion urgente. Les choses sont ô combien plus simples et surtout discrètes pour une dame. Personne ne va se poser des questions si une dame s'enfile un bon gâteau en poussant des soupirs voluptueux.

Ce phénomène, pudiquement appelé par Freud une sexualité polymorphe perverse, fascine beaucoup mon homme.

Il peut s'extasier sur ma façon de manger une glace par exemple. Acte sans le moindre doute hautement sensuel pour moi. J'ajoute que ma fantaisie correspond bien au cliché que l'on y associe. Puis, la curiosité de Monsieur avait comme effet sur moi que...

... je me suis mise dans notre intimité à accentuer … l’obscénité de mes mouvements et gestes.

Au grand plaisir de mon homme qui ne manque pas d'ailleurs de m'acheter régulièrement des cornets de glace. Seulement les mauvaises l’habitues prennent vite une vie propre pour devenir un automatisme. Jusqu'au jours où lors d'un repas entre amis tous les regards se sont posés sur moi. J'ai profondément rougi et j'ai su que je m'étais rendue coupable d'une faute majeure : un comportement obscène en public. Je n'avais aucune excuse et une des dames présentes n'a pas hésité de souligner mon attitude par un amusé :

Tu fais pas semblant, isabelle.

Tout le monde a rigolé. Nous étions entre adultes et la fellation fait intégrante partie de la vie amoureuse de nos amis aussi. Il n'y a pas de quoi fouetter un chat. Ce n'est pas non plus mon penchant pour une sucette soigneusement appliquée qui m'a fait rougir, mais mon fantasme sadique, profondément enfui sous une surface d'adaptation sociale... de mordre. Toutefois cette fantaisie devient réalisable quand Monsieur me met un bâillon qui récrée la virilité masculine. Quand nous sommes chez mes parents notamment, car j'ai tendance à me laisser complètement aller quand Monsieur me fait l'amour. Alors au lieu de verbaliser mon plaisir ou du moins de lui donner une forme fort sonore, je transmet mon émoustillement à mon bâillon et en voyant les empreintes de mes dents dans le joli objet en cuir, j'ai dû impressionner mon homme.

Quel mordant ! Sacre isabelle.

Sans manquer un regard quelque peu inquiet vers son jeans...

Du calme mon chéri... tu ne risque rien avec moi !

mercredi 2 août 2017

1029 Mériterait bien une... fessée !

Mais qui la mériterait en fait ?

Mon homme aime se souvenir de petits incidents de voyeurisme involontaire qui ont pris un goût particulier pendant son adolescence. Ses amis, camarades d'école aussi ! Il semblerait que ma présence (allongée sur mon canapés en train de me vernir mes ongles) délie les langues. Peut-être parce que tout le monde sait que je suis une nostalgique de la glamour attitude et que je ne me prive pas d'accorder mes sous-vêtements à ma passion. Je ne me livre pas à des séances d'exhibitionnisme ostensible devant un public bon enfant, mais ce sont les sous-entendus comme les plis de mes bas, mes hauts talons ou ma façon de m'installer sur un fauteuil ou canapé qui chargent l'atmosphère.

J'adore ce jeu car je récolte bon nombre de compliments pour... mon élégance.

Sortent alors de jolies anecdotes concernant les aperçus indiscrets, veut dire l'histoire où un ado pour une raison ou une autre aperçoit une partie de l'intimité d'une dame. Rien de compromettant. Au mieux un haut de cuisse. Ce qui me fascine dans ces histoires c'est la façon comme...

...un banal acte de voyeurisme involontaire devient subitement un trophée de chasse qui émeut un homme même 40 ans plus tard.

C'est en rentrant de l'école que mon chéri, ado au début des années 70 passe à côté de la voisine de ses parents. La dame s'étant pour une raison ou une autre penchée très en avant, il réussit à glisser son regard sous sa jupe. Certes ce n'étaient pas des porte-jarretelles version super sexy, seulement les jarretelles d'une gaine qui tenaient une paire de bas couleur chair. Vécu qui a vite échauffé son jeune esprit et dans sa fantaisie la voisine est devenue héroïne de bien de rêveries indécents. Il a imagine d'abord de recevoir une magistrale fessée pour son audace par les mains de cette dame. Il a aussi imaginé d'être invité par elle dans son appartement, puis à être incité de lui glisser les mains sous sa jupe. Sans oublier une fantaisie beaucoup plus tardive de trouver la voisine et de lui appliquer une bonne fessée pour comportement éhonté. La « dame impliquée », si j'ose dire, passe dans la rêverie d'un rôle de « cible de voyeurisme » à une position de séduction active, bien intentionnelle avec but d’inciter notre jeune homme aux plaisirs de la chair. Notons les mille et un souvenirs de messieurs qui ont été initiés par une dame plus qu'âgée qu'eux. Ces anecdotes existent aussi au niveau de la fessée. Forme de séduction à part entière, bien que sévère et ardente. Avec un effet fulgurant sur ce qui se trouve sous le caleçon du grand garçon. Il est toujours émouvant d'écouter les confessions d'un grand gaillard qui s'imaginait au cours de son adolescence allongé sur les genoux d'une stricte dame. C'est tellement mignon de contempler comment les intentions non chastes envers une dame se transforment par une culpabilité sous-jacente en désir de punition sous forme de fessée.

Quelle idée aussi d'espionner une dame en toute impunité !

Étant d'excellent public je ne serais pas contre le fait d'assister à une séance de discipline domestique inversée. De préférence chez une bonne copine dont le monsieur s'est rendu coupable « d'insistance » envers ma personne. C'est un fantasme vengeur en quelque sorte, pour les insistances masculines réelles de la vie courante et qui trouve un dénouement ludique...

mercredi 5 octobre 2016

944 Fausse soumise


Vanité quand tu nous tiens. Chacun voit midi à sa porte. Moi ce que je vois, c'est un jeu qui sert à alimenter mon narcissisme en me donnant une allure qui laisse peu de messieurs indifférents dont surtout le mien. Grand amateur de la texture et de l'odeur du cuir, il aime également les petits lacets et surtout cette intrigante mini-ceinture qui se perds dans l'entrejambe de la dame. Bref de quoi pour réveiller sa curiosité et son sens d'exploration. Puis cela change agréablement des culottes push up
qui elles aussi existent en version fesses nues.

Pour ma part j'imagine mon essayage comme suggère la photo !

Dans un cadre coquin entre filles, version préparation pour une soirée costumée. Même si je n'ai pas d'affinité avec le monde du BDSM, j'adore toutefois certaines tenues y associés. Pour moi ces vêtements sont liés à un fort potentiel de séduction, à une forte emprise sur la libido du monsieur surtout. Ce qui me met en position de force. Me donnant pendant les taquineries préliminaires un enivrant sentiment de toute-puissance. Et pour déguster cette grisante sensation (que je préfère nettement à l'alcool par exemple) mes limites sont très souples. Je me verrai même mettre un collier, en cuir bien entendu, autour de mon cou, façon maître et soumise. Seulement je resterais insensible à la poésie de l'appartenance. Je ne me sentirais pas en âme dévouée, ni à une personne, ni à une cause et encore moins prête à un sacrifice. Voila qui tombe bien, car Monsieur 183, malgré de fortes tendances fétichistes, n'a rien dans son comportement qui va dans le sens d'une scène domination/soumission. Style frimer avec sa soumise devant les autres convives. Montrer ce qu'elle sait faire. Certes, il aime récolter des compliments sur mon élégance, mais là nous sommes dans un registre plutôt banal.

Alors en cherchant mes aspirations de soumission je me suis documentée auprès de spécialistes en la matière. Héla je manque de patience pour remplir la (très longue) checkliste de la soumise qui contient ceci dit pas mal de trucs que je considère faisant partie de la simple... vanille. La plupart des pratiques ne me conviennent pas, mais j'ai déjà pu échanger avec des adeptes du BDSM dans la bonne humeur. Étant curieuse, j'aime découvrir. On s'en doute, avec moi cela reste bien intellectuel.

Puis il y a les fameux 9 dégrées de la soumission. Je me retrouve dans la « masochiste ou fétichiste non soumise » et aussi dans la « pseudo soumise ». J'adore dans la deuxième catégorie les jeux de soubrette, la vicieuse secrétaire ou étudiante qui harcèle son patron/professeur. J'aime aussi le jeux de l'infirmière. Le tout avec beaucoup de théâtralité et dans la bonne humeur. Toutefois comme dit fort justement le « classement »:

C'est elle (MOI !!!) qui provoque et dirige le scénario.

mercredi 28 septembre 2016

941 L'éloge de la levrette

Ne cherchons pas la soumission partout...

...même si cette position y est souvent associée. Pour ma part je l'associe à un plaisir inouïe de vanille qui me permet de garder ma mobilité intacte et de prendre des initiatives, car je ne me sens pas aplatie comme dans le missionnaire. Alors s'il y avait soumission à chercher je la situerait plutôt dans cette dernière position qui permet facilement d'immobiliser la dame. La levrette permet également une inversion des rôles habituelles dans le sens que madame propose et laisse disposer le monsieur dans quelle voie il souhaiterait s'engager. Je garde aussi la mobilité de mes bras et mains pour m'adonner si l'envie me chante à la vilaine main qui accompagne les efforts de mon homme.

Non, non il ne se sent pas diminué dans sa virilité !

Au contraire, il adore ma petite touche du vice. Puis la levrette se prête aussi à des jeux de main de sa part. L'honneur à mes seins par exemple. Même si je n'en parle jamais sur ce blog, je suis très sensible aux douces caresses à cet endroit. Il en va de soi que je ne suis pas opposée à la langue vicieuse de mon chéri. Virtuose à ce niveau, il s'occupe de ma jouissance sans le moindre tabou.

L'honneur à mes fesses aussi. Ben voyons !

J'aime beaucoup, une fois mise en place quelques encourageantes et énergiques claquer sur mon popotin. Ma sensation de douleur vraiment coupée à cet instant, je veux du très fort. A la main bien sur, car pour moi la vraie intimité ne laisse pas de place aux objets. C'est une affaire entre corps qui se procurent mutuellement du plaisir. J'aime quand la chaleur des claques se propage de partout dans mon entrejambe. Quand je ne sais plus faire la distinction lequel de mes orifice se languit de plus d'une pénétration en douceur. J'adore les ébats langoureux sans hâte, des va et viens d'une sensualité torride. J'adore entendre dans mon dos la respiration de mon homme qui s’accélère au fil de l'action. J'adore quand il se fige dans le mouvement et me laisser dicter le rythme. Quand je lui pousse au comble du désir par mes ondulations fessières devant son nez. Nous ne sommes ni l'un , ni l'autre verbeux en ces instants. La communication se fait par les soupirs et je sais pertinemment qu'un laisser aller éhonté de ma part avec de fortes cris trouvera son écho dans les assauts de mon « mâle »...

mercredi 3 août 2016

917 Fessée pour nudité provocante 3


Vers la puberté j'ai commencé à élaborer honteusement de différentes fantaisies tournant autour du fait de devoir me mettre toute nue dans le sens de la nudité troublante.

Il y avait déjà une prise de conscience que ce que l'on m'imposait, coïncidait avec mon désir de vouloir me monter nue de manière provocante . D'ailleurs la honte y associée sert infailliblement comme indicateur d'un contenu préalable sexualisé. C'était la perte de l’illusion d'innocence, l'expulsion du paradis de l'enfance par le regard d'autrui qui percé la source de notre secret du plaisir.

Mon fantasme de fessée aussi a changé de perspective. Il perdait son aura d'un fâcheux aléas de la vie, bien que fort jouissant à l'évocation, imposée par les adultes et devenait le résultat d'un comportement de ma part comme témoigne la charge émotionnelle de certaines phrases qui se mettaient à résonner en moi :

Tu la cherches ? Tu veux une fessée ?

Je devenais timidement actrice dans mes fantasmes ! Autant dans ceux qui étaient émoustillants que dans ceux qui servaient à exalter mes ambitions. Je m'imaginais avec volupté en faisant partie d'un groupe de filles exposant leur nudité dans un but artistique. Un groupe rassure par le fait de partager un idéal qu'il soit pulsionnel ou relevant des ambitions. « L'originalité » pulsionnelle étant partagée sous forme de sublimation (n'est pas danseuse qualifiée qui veut) perds son caractère singulier par un processus égalisant à l’intérieur d'un groupe, surtout quand il y a présence d'uniformes. Je me projetais sérieusement en danseuse du Crazy Horse Saloon et les costumes des danseuses me faisaient rêver. Et si je n'ai pas pris cette voie dans ma vie, c'est exclusivement pour des questions de physique et de talent. Ceci dit, je garde mes prestations pour mon chéri et pour les fêtes familiales ou entre amis très proche.

Vers cette époque j'ai pris bien conscience du lien entre mes désirs de nudité aguichante et mes désirs de recevoir une punition pour ce comportement comme s'il s'agissait
d'une forme de séduction interdite.

J'étais passée en espace de quelques années de la position d'observatrice ou de victime, d'une position purement passive donc, à une position de plus entreprenante, active. Et loin de moi maintenant de me voir sagement accomplir des exercices d’obéissance sous la tutelle d'un sévère metteur en scène. J'aime mieux que mon comportement suit son libre cours et soit considéré comme source valable de punition.

Dans mes fantasmes comme dans mon couple c'est moi qui cherche le bâton pour me faire battre.

Objectivement, il en va de soi qu'il n'y ait aucun mal pour aguicher entre adultes. Cela fait partie de la séduction tout court.

Notons toutefois qu'un « certain féminisme » a conservé et même fait sien les moralités d'un autre âge.

Par exemple il partage l'idée qu'il soit dégradant pour une femme de provoquer une excitation sexuelle du monsieur par les atouts de son corps. N'en parlons pas quand en plus la dame recourt aux artifices comme l'épilation intégrale, vêtements affriolants ou applique certaines techniques pour un « mieux jouir » de son compagnon.

Je pense qu'ici se trouve une majeure source de bien d'inhibitions féminines de nos jours !

Et aussi la raison que bien de dames acceptent de tels jeux uniquement sous prétexte de soumission...

lundi 18 juillet 2016

909 Le coup de la clepsydre (Lundi cinéma)

Monsieur fesse, Madame soupire...

...de volupté ou pour mieux gérer la brûlure, peu importe ! J'avoue que ce monsieur fait fort dans le raffinement de la fessée, ce qui semble expliquer son succès. Deux filles à la fois avec une superbe mise en scène. Une fille au premier plan qui se frotte les fesses et en jugeant par la couleur elle a toutes ses raisons pour essayer d'apaiser sa peau. Puis la fessée de l'autre qui se passe en arrière plan. Bouquet de fleurs blanches, épaisse moquette, moelleux canapé d'angle en cuir, jolies tenues et de chaussures impeccables. Puis cette clepsydre qu'il convient à la dame de retourner en début de séance et qui restera devant ses yeux. Voila un détail qui tue et par lequel ce monsieur sort pour moi tout naturellement du lot des fesseurs anonymes.

J'adore l'originalité chez un homme !

Elle contribue autant à mon émoustillement que le cadre, puis... le savoir faire du monsieur. Il ne s'agit ni de fessée punitive, ni de pelotage vicieux. Pas de geste déplacé, mais une solide séance qui marque autant l'esprit que les fesses.

Ma vision personnelle d'un BDSM noble et attirant !

L'idée de vivre cela avec une bonne copine me plaît beaucoup, mais s’avère impossible à réaliser à cause de ma jalousie. Hors de question de céder mon droit exclusif aux fessées de la part de mon chéri. D'ailleurs, même si j’insistais, il n'acceptera pas. Sachant trop bien qu'avec le recul ce sera source de vilaines disputes et loin de lui pour une petite lubie fantasmatique de mettre notre couple en jeu. Il faut savoir accepter ses limites. Ceci dit, je prend plaisir à regarder cette situation, mais je ne me sens pas hantée par elle.

Le monsieur ne fait pas semblant et je constate avec un réel amusement avec quelle vitesse la dame se précipité pour la clepsydre pour lui montrer que la séance est terminée. Plutôt que de me projeter à sa place, je préféré imaginer certaines connaissances de mon entourage de s'en prendre une pareille. Mon côté sadique épanoui ne me pose pas de problème métaphysique.

Bref, je retiens la clepsydre. Nous avons une à la maison que ma fille a surnomme le « deux minute ». En fait quand elle harcèle son papa, il lui dit souvent :

Deux minutes et j'arrive...

Pour que la petite puisse mieux comprendre qu'il ne s'agit pas d'une vaine expression, il lui laisse tourner la clepsydre. Bien entendu il tient promesse. De même quand il s'agit de me punir. Là aussi il dit parfois:

Prépare-toi, isabelle, j'arrive dans deux minutes...

Je passe sur l'aspect très vexant de devoir me déculotter toute seule et devoir me tenir prête les fesses à l'air pour un très claquant rappel à l'ordre...

lundi 29 février 2016

841 La fessée de la voisine bis (Lundi cinéma)

Un joli fantasme charnière !

J'aime quand on me raconte des rêveries érotiques. En voici une de mon homme qui date de son adolescence. A cette époque dans l’immeuble où il habitait avec ses parents, vivait une fille de son âge avec un air fort imbue de sa petite personne. Évidement il fut attirée par les charmes de la demoiselle, mais hélas elle resta distante. Alors sous la couette, il l'imagina s'en prendre de bonnes fessées de la part de sa mère, une dame aux allures fort austères. En l'écoutant j'ai failli éclater de rire tellement son histoire ressemblait à une sorte de conte de fée. Il n'aurait que manqué l'élan héroïque de mon chéri pour libérer une jolie princesses de griffes d'une terrible marâtre. Car en fait - tant qu'on y est - cette dernière avait strictement interdit à la jeune princesse de parler au princes. C'était donc bien un fantasme charnière entre l'enfance et adolescence.

Situons un peu plus le contexte. La rêverie de mon homme date d'une époque où la fessée avait encore cours dans bien de familles. Elle avait déjà perdu son innocence pour un ado qui savait très bien comprendre que ce châtiment comportait une autre dimension que purement disciplinaire.

La fessée car appliquée « cul nu » ne manque pas d'émoustiller la curiosité sexuelle et le sens voyeuriste.

Puis la nudité n'était pas encore omniprésente comme de nos jours. Dénuder un fessier était un événement exceptionnel. Puis quand un adulte faisait une allusion à la fessée ou la promettait ouvertement, il ne s'agissait rarement d'une plaisanterie. A ce propos mon homme, quelques années avant, avait été témoin d'une menacé de fessée envers la jolie demoiselle par sa mère. Ce qui n'a pas manqué de marquer son imaginaire. Notons aussi que mon homme savait très bien par l'expérience sur ses propres fesses de quoi il s’agissait.

Les fantasmes de l'adolescence sont intéressantes sur bien de points de vue, notamment parce qu'ils ils subissent un processus d’adaptation à la réalité. Voyons cela d'un peu plus près. Les enfant sont peu soucieux du côté réalisable de leurs rêveries. Cela ne veut pas dire qu'il manquent un sens de réalité. Ils sont bien conscients qu'il s'agit d'une rêverie et rien d'autre et ce qui compte c'est le plaisir qu'ils en tirent. L'ado par contre se trouve devant les impératifs de la nature qui lui impose (ou du moins lui suggère avec ténacité) de satisfaire ses pulsions pour de vrai. Voila qui implique d'adapter l'imaginaire excitant aux conventions du monde qui nous entoure. C'est la question du réalisable qui se pose. La rêverie est vu et revu pour lui donner une forme fantasmatiquement correct. Ce dernier n'est pas une vérité ou valeur immuable (d'où l'absurdité de la question de la normalité), mais rien d'autre qu'une convention sociale qui dépend de l'air du temps. Pour cette raison quand on écoute un adulte parler des ses fantasmes, nous sommes généralement en face d'un produit trafiqué qui se tient loin de ses premières formulations bien plus osées.

jeudi 31 décembre 2015

813 Punition en groupe

Petit fantaisie « perverse » qui ne cesse de m'émerveiller !

J'imagine une jolie scène entre filles et une fessée qui se passe de manière de plus naturelle : Entre la main de celle qui applique et la peau des fesses de celle qui reçoit.

Claquante, avez-vous dit claquante ? Et en cadence s'il vous plaît.

J'imagine une dame qui supervise. Avec une baguette entre ses mains qui sert plus à impressionner qu'à corriger. Insigne d’autorité. Ce qui rend la mise en scène plus propice à l’imagination féminine (à mon sens), la dame n’est pas déguisée en dominatrice improvisée qui affiche un mélange de chair et de cuir. Elle reste agréablement élégante sans manquer une bonne touche de sexy. Dans cette petite histoire chacune peut trouver son compte, son modèle d’identification. Pas de surcharge en sous-vêtements non plus. Juste un petit échantillon autour de la nudité revalorisée de certaines parties du corps féminin.

Une des fessées se passe sur une culotte. Pourquoi les autres filles attendent-elles les fesses dénudées ? Y a-t-il une hiérarchie entre les punies ? Panoplie complète d’éléments de rêveries de jeunes filles/femmes qui se découvrent avec un fantasme de fessée. Dans des variantes qui excluent (encore!) les hommes.

Puis pensée audacieuse et honteuse à la fois. Et si cela se passait devant le fiancé ou devant le monsieur qu’on aime secrètement. Qu’il regarde par le trou de la serrure, par la fenêtre, qu’il soit dans la pièce pour une raison ou une autre. Peu importe. Subitement, il est là et regarde. C’est lui qui pimente la situation. Frisson de l’impudeur imposée devant autrui. Devoir montrer ce qui ne doit pas être montré devant tout le monde.

Déplaisir de la fessée qui fait sacrement mal. Ne pas fondre en larmes pour garder la face. Garder sa fierté dans un contexte qui n’a rien pour être fière de soi.

Et l'acceptation ?
Acceptation de quoi ? De sa punition, de son fantasme, de ce que l’anatomie féminine implique tout simplement.

Subitement une petite peur. Que vise-t-elle ? La douleur dans les fesses, la canne dans la main de celle qui commande, les instruments étranges qui attendent ?

Comme si la peur féminine se résumait au folklore, aux détails. Il n’y a pas plus concret qu’une femme. La peur se localise, elle peut se personnifier, elle peut se rapporter à une situation spécifique, elle peut ce déplacer sur ce qui semble anodin pour autrui.

Mais aussi, elle est convertible en libido quand les circonstances sont propices.

La thématique du groupe permet l’expression des fantasmes les plus divers. Il y a toujours un autre fil à broder...

...pour finir en beauté cette année qui va se terminer en quelques heures, voici une autre rétrospective du "Lundi cinéma"!


Devant témoins moqueurs (environ 8min)

De chaudes larmes (environ 1min30)



La prof sévère (environ 15min)

Un vrai film vintage de fessée (environ 56 minutes)

Le fesseur métronome (environ 2min 30)



Du très claquant et solide (environ 2min 20)

mercredi 9 décembre 2015

803 Madame et son chauffeur

Les petits fantasmes qui enchantent le quotidien !

Je suis toujours émerveillée par la créativité masculine pour mettre artistiquement en scène de jolies rêveries. Enfin, bien souvent dans les grands magazines il s'agit d'un travail de Suze Randall , pétillante vielle dame qui va vraiment loin dans ce qu'elle montre. (Je pense d'ailleurs que son monde de fessée est trop osé pour en trouver sur les blogs du genre.) On a compris, c’est du matériel P à l'état pur.

Pour ma part je n'ai rien contre des telles productions, mais pour un effet dans ma petite culotte je préfère la suggestion qui permet à ma fantaisie de prendre l'envol. Comme dans ce vieux clip très sexy autour de la thématique de la belle et de sonchauffeur. J'aime les fantasmes à tendance fétichiste, car leur essence même consiste à ajouter de petits trucs à la dame pour la rendre plus attirante. Je trouve qu'il y a une vraie revalorisation narcissique de sa petite personne qui vit autant d'une mise en scène plus ou moins somptueuse que de l'admiration, voire adulation que le monsieur porte par la suite envers elle.

Puis, une bonne partie de l'univers fétichiste s'exporte avec une facilité déconcertante au quotidien sans que cela ne dérange notre entourage.

Un univers qui comble mon sens de théâtralité et en même temps les aspirations ludiques de mon chéri qui est passionné de jouer à la poupée vivante qui se laisse habiller et déshabiller. Chacun trouve son compte et il en va de soi que nous passons beaucoup de temps à faire des boutiques au service de ma présentation. C'est toujours mon homme qui conduit et j'ai tellement pris l'habitude qu'il m'arrive de parler en plaisantant de mon chauffeur. Certes, il ne se met pas en tenu pour m'amener au shopping, mais il est à mes petits soins. Hors de question pour lui que j'ouvre une porte de voiture. Toutefois ce paradis connaît ses limites. Le droit de telles prestations se mérite... durement. Par conséquence j'ai intérêt...

...à afficher un comportement irréprochable !

Sinon la chute sera rude. L'élégante dame se voit retirer ses privilèges de star adulée. Elle se fait trousser sa jupe et baisser sa culotte, puis basculer pour recevoir...

...une solide fessée de plus claquante... de la part de son chauffeur.

Il est intéressant à noter que la psychanalyse parle d'un renversement de la situation qui effectivement se produit littéralement. Notre apprentie star, déchue de sa gloire (phallique) de féminité triomphante, se trouve subitement dans une situation beaucoup moins enviable. Allongée sur les genoux de son homme, les fesses en l'air, nous apprenons ce que le fantasme a soigneusement caché jusqu'alors :

Une irrésistible envie de montrer ses fesses toutes nues... peu importe le prix à payer...

lundi 7 décembre 2015

802 Étrange entretien d'embauche (Lundi cinéma)

Ambiance dépaysante garantie !

Nous partons en voyage aujourd’hui. Dans un bureau, suggéré dans un pays asiatique, où la bonne éducation se vérifie d'une manière bien particulière. De plus les choses se passent entre dames. Ce qui m'enchante surtout ce sont les larges et omniprésentes sourires. Je me sens tout de suite moins seule. Il faut bien le dire, les personnes comme moi (ou ma fille) semblent être suspectes pour pas mal de contemporains qui ont visiblement du mal à comprendre comment on peut se parer d'une sourire radieux dès le bon matin. Bref j'ai eu à cause de cette particularité maintes réflexions négatives. Puis j'adore les tenues de ces dames. Je suis une adepte inconditionnelle du grand classique: tailleur jupe, chemisier et escarpins. Notons que je parle de jupes de longueur décentes. Ce clip reste dans un registre de plus esthétique.

Et malgré les large sourires cette fessée d'embauche ne manque pas de sévérité.

La fascination pour les bureaux date de mon enfance. La secrétaire s'y est greffée beaucoup plus tard. Et - inconscient tes chemins sont impénétrables, enfin sans une bonne méthode – arriva le jour où j'ai libéré mes aspirations de parfaite secrétaire sans me rendre compte sur le coup. Le bureau pour moi c'est le lieu par excellence lié à mon papa qu'y passait une bonne partie de sa journée.

C'est dans ce cadre là que j'ai pris conscience de l'interdit .

Je me sentais irrésistiblement attirée par les tiroirs de mon papa et je me battais entre l'envie de les espionner et l'envie de résister à ma tentation.
Une constellation classique de compulsion... obsessionnelle en gros. Ma retenu avait deux raisons. Mon papa a toujours respecté mon intimité et il ne m'a jamais interdit explicitement de regarder sans ses tiroirs. Et comme j'ai pu m'en apercevoir en cédant enfin à ma tentation à part des notes sur du savoir de toute sorte... il n'y avait rien d’intérêt pour une gamine. A ce niveau-là c'étaient plutôt les planques de ma maman qui faisaient mon bonheur. Je pense que la curiosité enfantine, outre le désir de savoir d'où viennent les enfants, se nourrit aussi de ces « étranges sensations » que nous procure notre corps dans certaines circonstances. L'enfant se sent seul dans sa découverte et souhaite en même temps se rassurer en apprenant que les grands fonctionnement pareil.

Pensons tout simplement au fait combien d'ados ou jeunes adultes se croient seuls avec leur fantasme de fessée.

Pensons aussi que cet obscur concept de normalité n'est rien d'autre au fond que de pourvoir s’identifier au fonctionnement en matière de sexualité prêté à nos parents. Bref bien que je n'aie rien trouvé d'émouvant dans le bureau de mon papa, je n'ai pu m’empêcher d'y projeter des découvertes les plus troublantes. J'ai du attendre l'âge adulte pour pour satisfaire ce genre de fantaisies.

Vivement le tiroir du bureau de mon chéri !

On y trouve un bon martinet modèle supermarché, archi usé, un paddle en cuir, fait sur mesure chez un coordonner... mais aussi de la vaseline.
Cette dernière pour combler le faible de mon homme de me pencher sur son bureau pour se réjouir de sa vilaine grande fille !

Par conséquence il est difficile de décrire mon trouble quand mon homme ouvre le tiroir. Peu importe la raison !

Égarée une fois de plus ? Pas vraiment. Un de mes fantasmes favoris concerne la punition de la curieuse secrétaire, prise en flagrant délit de fouiller un tiroir défendu...

lundi 7 septembre 2015

762 Fessée et ménage punitif (Lundi cinéma)

Non, elle n'est pas de tout repos, la discipline domestique !

C'est la première fois que je tombe sur un clip qui met en scène aussi explicitement le fantasme du ménage punitif. Mon chéri aime beaucoup cette forme de punition. Toutefois nous allons pas aussi loin. Hors de question que mon homme reste dans mon dos pour surveiller mes efforts ménagères ou pour m'imposer une cadence de travail à coup de martinet. Cela ne rentre pas dans notre vision de la discipline domestique.

Pour que ce mode de vie fonctionne, il vaux mieux rester dans une juste mesure !

Mais pourquoi pas dans un jeu de rôle alors. Je me retrouve plutôt dans la présentation et les allures de femme moderne et dynamique de celle qui applique. Mais les apparences sont trompeuses. A vrai dire, dotée de peu de patience, il vaudrait mieux que je reste à ma place de celle qui se fait éduquer. Au cours de ma vie, je n'ai pas reçu d'une initiation à l'art de la parfaite ménagère. Quand j'étais petite, il n'existait plus à l'école les cours de cuisine ou autres travaux ménagères pour les filles. Ni du bricolage pour les garçons d'ailleurs. C'était tricot pour tout le monde. Personnellement je considère la cuisine comme une connaissance utile au quotidien. Le bricolage aussi. Que l'un soit associé aux dames est l'autre aux messieurs est discutable à juste titre. Mais j'ai du mal à comprendre pourquoi on a remplacé dans les années 70 ce qui est utile par ce qui est plutôt secondaire. Enfin, les hivers sont rudes en Allemagne...

Ma maman n'a jamais était une reine du ménage. J'ai du donc tout apprendre toute seule quand j'ai pris mon premier appartement. Je ne trouve pas cette activité dévalorisante et à vrai dire j'aime bien m'occuper de mon foyer.

Sur un niveau fantasmatique, j'adore l'ambiance dans le clip et l'idée d'apprendre de cette manière exerce un certain charme sur moi.

Significativement je ne manque ni des petits tabliers, ni des chaussures à haut talon, ni de la bonne volonté pour faire briller ma maison. Elle brille d'ailleurs trop pour pouvoir cacher mon rapport névrotique pour lustrer meubles, parquets, carrelage ou vitres. Voila qui réveille les soupçons de mes copines que je trouve ma jouissance plutôt dansle ménage coquin version Bree van de Camp que dans les provocations « vinyle et cravache en main » de madame Solis.

Malgré mon faible pour la discipline domestique je ne suis pas dupe quant à la nature du ménage punitif. Quand mon homme me demande de passer l’aspirateur, de faire briller les carreaux ou autre taches ménagères, le tout habillée uniquement d'un petit tablier et des escarpins de 10cm (10,5 précisément), il ne s'agit pas d'un but purement éducatif. Je l'ai agacé. J'ai pris une copieuse fessée. Et maintenant nous sommes dans un registre de le dorloter par un spectacle sexy qui de plus est hautement utile pour toute la famille.

Lui même considère son attirance pour le ménage coquin, les fesses à l'air comme la réalisation d'un rêve de petit garçon qui observait sa maman faisant le ménage et se demandait ce qui se trouve sous ses jupes.
Déjà vicieux à cette époque, il dut se contenter au mieux d'un bref aperçu d'un haut de bas et les attaches du portes-jarretelles. Vivement l'âge adulte ! Mon chéri, arrivé au bout de ses désirs œdipiens, roi à la place du roi, se délecte de se rincer l’œil pendant que moi je transpire sous l'effort.

Comme chaque année à cette époque je suis en train de mettre notre maison au top. Qui s'étonne alors que j'avais déjà consacré pour la rentrée, il y a deux ans un post sur les joies du ménage et la poésie de la vase cassée...

qui se paye comme bien connu par la fessée !

lundi 29 juin 2015

730 Retour aux sources du fantasme (Lundi cinéma)

A la recherche du souvenir manquant

Je suis tombée sur ce clip qui reproduit assez fidèlement mes premières rêveries autourde la fessée. Je précise bien qu'il s'agit de rêveries et aucunement de souvenirs inspirés de ma propre enfance. Étant enfant, dans le contexte socioculturel dans lequel j'ai grandi, la fessée n’existait plus. Elle apparaissait ci et là comme une menace prononcée par des personnes d'un certain âge et s'entourait d'un aura de quelque chose d'interdit et surtout de quelque chose de mystérieux. Me découvrant très tôt sensible à cette thématique, à chaque fois qu'elle fut abordé, le plus souvent pour plaisanter entre adultes, je pointais attentivement mes oreilles. Apprenant ainsi que...

...les garçons ont un plus grand besoin de discipline que les filles

ou encore...

...qu'une bonne fessée se donne sur le cul nu !

Cul nu se dit « nackter Arsch » en allemand et depuis ce temps l'association de ces deux mots ne me laisse pas indifférente. Notamment quand mon chéri les inclut dans ses petites piques me demandant de tendre effrontément mon cul nu pour recevoir le martinet.

Und jetzt den nackten Arsch frech herausgesteckt, isabelle !

Bref, la fessée (ou plus exactement le mot fessée et l’imagination s'y rapportant) fit irruption dans mon développement au moment de la mise en place de la pudeur, se liant ainsi à un étrange frisson (voluptueux n'était pas encore le bon mot) d'une punition qui va de paire avec nudité. Toutefois, loin de moi de me projeter dans un tel contexte. Petite fille très sage (sans jeux de mot!), j'avais tout de même une certaine admiration pour les enfants pas sages. Et pour compenser ma frustration de ne pas oser certaines aventures, je fis intervenir la fessée. Notamment envers les garçons, mais aussi envers quelque copines du voisinage ou de la maternelle. Connaissant leurs parents mon scénario se plaçait parfaitement dans la réalité. De plus la raison/le prétexte de la fessée était tout trouvé aussi : 

Un comportement me procurant un déplaisir ou du moins mon désapprobation !

Pour faciliter mes élan voyeuristes, je m'imaginai dotée de la capacité de me rendre invisible pour me glisser dans les foyers en question. Enfin, tout au début j'étais témoin de la scène sans explication. A cet âge-là se mettait aussi en place mon sens moral qui se confondait bien souvent avec les interdictions des adultes.

J’avais donc à ma disposition un riche arsenal de tout genre de comportement débouchant sur une punition.

Notons que mon imagination n'allait pas aussi loin que ce clip. Il manquait encore les détails de la ritualisation comme l'implication d'un instrument punitif, voire de le chercher. Ce qui me préoccupait le plus, c'était la honteuse situation de la mise à nu des fesses. Puis à un moment ou un autre, la situation devenait quelque peu « trop perturbante » pour moi et je m'évadais dans d'autres rêveries, plutôt chevaleresques et mettant en scène des intrigues de princesses et de princes charmants. Quand - plus grande - j'ai voulu comprendre mes fantasmes, j'ai découvert avec étonnement la justesse des descriptions de la famille Freud. C'est papa Freud qui pointe sur le fait que nous souhaitons la punition à un enfant que l'on déteste. Ce qui laisse apparaître à mon sens le fantasme de la fessée comme un défoulement. Mais c'est sa fille Anna qui livre enfin maintes clefs sur les fantaisies punitives chez les filles. Je reviendrai lundi prochain sur ma recherche des parties manquantes en livrant ma version sur les fantasmes de punitions scolaires.

jeudi 21 mai 2015

708 Mémoires d'une éducation sévère 14


Désir ardent de fessée 7.2


Je n’aurais pas cru que tes méthodes permettent une telle niaiserie à tes élèves.

Nadège était proche de perdre son calme habituel. Elle se sentait profondément humiliée devant sa copine qui mettait la réussite de ses méthodes en doute. Mais elle ne pouvait pas lui donner tort.

Lucie, viens ici que je te déshabille. Tu as un important rendez-vous avec le martinet.

Lucie se laissa faire sans broncher. Elle se sentait bien supérieure à Bérénice qu’elle venait d’insulter et qui cachait sous ses allures austères un secret d’un ridicule hilarant qui lui enlevait tout sérieux aux yeux de la fille. Avec une démarche hautaine digne d’une reine, Lucie décrocha le martinet pour le présenter à genoux dans une posture irréprochable à sa tutrice en demandant pardon et punition.

Je te trouve bien orgueilleuse, Lucie. Je saurais te faire passer ces grands air, crois moi. Tu vas regretter amèrement ton comportement.

Quelques minutes plus tard, une Lucie repentie, implorait le pardon de sa tutrice et de son amie offensée avec une sincérité qui ne laissait aucun doute sur la sévérité de la sanction. Elle réalisa que le ridicule la concernait plus que l’invite qui regardait avec ravissement un derrière brûlant qui témoignait d’un faux pas de taille. Très embarrassée Lucie prit sa place au coin.

Elle n’arrête pas de faire des bêtises. Elle présente encore trop de problèmes de discipline,

s’excusa Nadège.

Pourtant jugeant la couleur de ses fesses elle reçoit des déculottées mémorables chez toi.

Tout à fait. Je ne la prive jamais du martinet quand elle le réclame. 

Puis Bérénice devint à nouveau professionnelle.

Ton élève possède une forte pilosité. Ce n’est pas très esthétique je trouve. Surtout sur une aussi jolie fille.

Pourtant ses poils sont très soyeux. On dirait de la soie.

Et s’adressant à Lucie, elle rajouta :

Approche-toi, qu’on te regarde un peu. Je suis sure que Bérénice pourrait nous donner de précieux conseils pour ta beauté.

Lucie pâlit aussitôt. Le martinet lui faisait depuis quelque temps un effet bien particulier qui risquait maintenant se dévoiler au grand jour. Bérénice examina soigneusement la toison de Lucie. Elle devrait se rendre compte de l’humidité sur le champ. Lucie trembla en attendant le verdict.

Elle est toute humide,

dit la femme d'un air très professionnel.

Je crois qu’elle transpire fortement en cet endroit à cause de sa jungle. Et une sévère fessée n’arrange rien. Bien au contraire. Ce n’est pas très hygiénique. Elle risque des infections.

Justement ! J’allais t’en parler. Je dois lui passer deux fois par jour de la crème. Elle est irritée en permanence. J’aimerais que tu l’examines. Lucie adopte la posture du suppositoire.

Çà m’a l’air bien grave,

dit Bérénice après une étude approfondie.

Je crois que pour bien faire, il faudrait tout enlever et la garder lisse.

C’est bien mon avis aussi. J’avais déjà envisagée de lui faire la totale, mais esthétiquement il me plaît guerre de voir Lucie avec une barbe de trois jours dans l’entrejambe. Puis ça pique et risque d’empirer les chose.

Pourquoi tu ne la fait pas épiler intégralement à la cire. Il n’y a pas plus pratique pour une hygiène intime impeccable. Cela fait propre et lui donnera un air de jeune fille très sage.

Cela s’épile intégralement ce genre d’endroit ?

Bien sur comme je viens te raconter.

J’avais mal compris,

dit Nadège stupéfaite.

Le ticket de métro, ce n’est vraiment qu’un petit rectangle ? Et les lèvres alors ?

A zéro, comme les petites. Tu n’as qu’à me confier Lucie. Elle sera toute lisse comme si elle n’avait jamais eu des poils avant. Si tu veux je pourrais la prendre un matin et je te la rendrez glabre à souhait une heure plus tard.

L’idée me séduit beaucoup. Mais cela t’arrive de pratiquer ce genre de choses dans ton cabinet ? 

Pas encore, mais j’y compte bien. D’où mon stage. Ce sera un travail de longue haleine. Tu connais des femmes à la campagne qui voudraient ressembler à une adolescente ?Mais j’aimerais bien leur faire une démonstration de la technique et de différentes formes. Il me manque justement un modèle. Lucie n’aurait pas envie de gagner un peu d’argent de poche ?

La proposition enchanta Nadège.

Lucie sera volontaire. Il est temps qu’elle apprenne à se débrouiller dans la vie. Mais cela ne résout pas le problème de sa région anale.

Justement. Intégral, c’est intégral. Son anus aussi sera débarrassé de tout poils. Elle sera nettement plus gracieuse et accessible quand tu lui pendras la température ou tu lui donneras un suppositoire. Mais fais gaffe, il y a quand même un inconvénient. Il parait que les filles épilées se touchent plus que les autres vu la sensibilité de l’endroit.

Nadège coupa court :

Lucie ne mange pas de ce pain-là. Nous avons un petit secret Lucie et moi, n’est-ce pas ? Va chercher ta ceinture.

Bérénice ne fut pas convaincue :

Oui, il me semble qu’elle protège bien la partie frontale. Mais le derrière reste accessible par la découpe pour aller aux toilettes. C’est la porte grande ouverte aux mauvaises habitudes.

lundi 11 mai 2015

702 Fantaisies sévères chez les filles

Ces rêveries aux yeux ouverts

Je vois une belle dame de jadis, paisiblement installée dans son fauteuil, le dos tourné aux choses qui vont se passer, en train de donner des instructions punitives à sa gouvernante. Cette dernière s'apprête à appliquer un châtiment de taille aux domestiques et filles de la maison. Et si elle met des gants pour manier la cravache, c'est peut-être pour éviter les traces de sueur sur le manche de ce bel instrument. Je sais de quoi je parle. Chez nous les instruments montrent des traces d'usure des deux côtés. Celui du poignet, côté de mon homme que le fait de me corriger fait sacrément suer et le mien qui a fait filocher le cuir, surtout du martinet, car j'ai les fesses dures. Ma jolie illustration est extraite d'un livre de Léon Pierre de 1932 qui s'intitule :


Il contient 16 magnifiques héliogravures dont on en trouve 10 en suivant mon lien en cliquant en haut de l'image « next image ». Il y a pas mal d'instruments qui passent comme le martinet, les verges, le fouet ou la main de monsieur.

Je suis une personne peu attirée par l’explicite. Les détails physiques m’importent moins que l'ambiance qui se dégage d’un support visuel. A peu d’exceptions près, je préfère les dessins aux photos. L’improbable passe mieux, ne nécessitant pas la moindre explication pour inviter la fantaisie à prendre son envol. Mon chéri regarde le dessin et sourit :

C’est tout toi, isabelle, la femme dans le fauteuil qui commande.

Il me connaît bien et il a raison. C’est la place qui me conviendrait le plus. Dans ma fantaisie. Enfin, au lieu d’un fauteuil, je préférerais un canapé. Et je ne suis pas trop tentée par les demeures avec cheminée. Je suis plus attirée par un décor moderne. Style maison ensoleillée. Je ne conçois pas le monde de mes fantasmes sous un aspect sombre. J’aime y mettre de la lumière. Regarder dans le moindre recoin. Examiner avec soin les détails. Avec un air amusé sur mes propres incohérences. Je ne connais pas le sentiment des rêves qui me hantent.

Comment avoir une vraie ouverture d’esprit, si on retourne déjà le regard de ce qui sommeille en nous ?

Ai-je pour autant envie de réaliser une telle mise en scène ?

Non, pas du tout. Et ceci sans regret. Peut-être parce que je suis satisfaite de ma vie. Être ménagère de moins de 50 ans, en élevant un enfant ne me parait pas déshonorant et n’exclut pas une ouverture au monde dans le sens du féminisme.

Sans confondre l’ouverture au monde avec les aventures. Sans confondre féminisme avec libertinage.

Certes je ne fais rien de reluisant qui avancera l’humanité. Je n’ai pas les capacités. Mais j’essaye d’apporter un peu distraction sans prétention à ceux qui viennent sur mon blog. Un petit rayon de soleil à ma manière. Une approche plutôt détendue envers un fantasme qui est souvent présenté en se passant des mots.

Je ne crois pas qu’une libéralisation de la fessée, je parle de la vraie, dans son sens primaire, peut se passer des mots.

Je suis peu étonnée que l’approche verbale et émotive de cette pratique se fait par les dames… dont l’idéal du couple inclut aussi à attribuer une place à la fessée.

La différence avec le dessin montré : Il concerne le monde de rêveries éveillées que la dame ne confond pas avec ses désirs réels. Je pense que la plupart de femmes ne sont pas compliquées. Il suffit de les écouter attentivement et penser au fait qu’une vie harmonieuse de couple les intéresse plus qu’une réalisation débridée de leurs fantasmes… Question de priorités qui relègue le critère de « l’émoustillement » plus bas dans l’échelle du choix d'un partenaire.

jeudi 12 mars 2015

669 Situer la honte qui accompagne le fantasme de la fessée


Être le sujet de ses fantasmes

Difficile, à moins de connaître la littérature allemande sur le bout des doigts, de voir mon allusion au célèbre écrivain allemand Heinrich Mann  et son non moins célèbre roman : Le sujet de son empereur. Mais il est encore plus difficile, à moins de lire l'allemand dans le texte de savoir où je veux en venir...

...et ceci par une liberté de la traduction française pour le moins que l'on puisse dire étonnante.

Car dans l'original, lors que Mann raconte la jeunesse de son personnage, on y trouve un petite phrase qui tue et qui a su me poser d'importantes problèmes métaphysiques. En enlevant ainsi l'innocence si j'ose dire de mes petits rêveries de punition pour les placer dans un tout autre contexte, celui de la subordination envers une hiérarchie dont je ne partage pas les valeurs. Mieux encore, pour décrire l'âme d'un loyal futur sujet de son empereur, il établit un lien entre les froides puissances qui gouvernent l’Allemagne à l’époque wilhelmienne et une certaine volupté de leur obéir. Cette volupté peut sembler à ce stade du livre une pure et subjective interprétation de ma part, mais s'avère confirmée plus tard dans par les préférences de la vie sexuelle de notre « sujet ». Nous trouvons ainsi ce passage :

...cette froide puissance dans laquelle il se trouvait douloureusement engrené, faisait son orgueil. Le jour d'anniversaire du directeur on pavoisait la chaire et le tableau noir. Didier fit plus, il enguirlanda le tuyau du poêle.

Dans l'original nous trouvons à la place de « tuyau de poêle » le mot Rohrstock (la canne) !

Je me pose presque la question, si le traducteur de ce livre n'avait pas eu - comme moi - le choc de sa vie pour changer le contenu de l'original à ce point. A moins qu'il y ait une subtilité de la langue française qui m'échappe...

Étant ado, en lisant ce paragraphe j'ai marqué un net temps d’arrêt. Me rendant compte d'une grande gêne s'emparant de moi. Ce n'est pas le fait en relisant ces phrases de me « mouiller la culotte », de me sentir perverse en cachette, qui me mettait mal à l'aise, mais l'idée de me trouver un important point en commun avec un personnage (bien qu'inventée) jusque là, antipathique à souhait pour moi. De plus à cette époque j'étais encore peu familière avec le concept du masochisme social qui - jumelé avec un masochisme érogène - peut provoquer de forts émois. En gros...

... de s'enivrer de fantaisies jouissives qui tournent autour du fait de se faire corriger par un personne qui représente une autorité pour nous et d’apprécier voluptueusement ce traitement.

Notons la délicatesse de la situation qui a valu en quelque sorte toute ma compassion pour ce pauvre Didier que je voyais poussé dans un rôle de sujet par un souterrain fantasmatique défavorable. Notons aussi à quel point cette constellation semble bien expliquer la psychologie de certaines personnes, farouchement opposées à toute forme d'autorité. Il serait ô combien intéressant d'être petite souris pour mieux connaître leurs fantasmes punitives. Évidement pour faire la part des choses, il suffit de comprendre que notre libido, notre moi et nos rapports affectifs aux autres existent indépendamment des uns des autres. Ce qui veut dire avec d'autres mots que toutes les constellations imaginables puissent exister.

Pour ma part ma honte associée à ce fantasme se porte moins sur l'originalité libidinale, mais sur les conséquence sociales, imaginées ou réelles.

Si j'avais un fantasme purement érotique de la fessée, en m'imaginant de me m'allonger sur les genoux d'un monsieur vicieux (ou d'une dame vicieuse!), me claquant fortement mes fesses en laissant balader ses mains dans mon entrejambe, je n'aurais jamais écrit un blog. Ceci dit, j'aime aussi cette forme de fessée. A petite dose, comme un extra, comme préliminaire ou but en soi. C'est donc grâce à Heinrich Mann (entre autres) que j'ai commencé à m’intéresser de plus près au constructions fantasmatiques. Ce qui tombait bien car nous avions eu à la même époque Freud au programme de philosophie. Et le prof de philo...était craquant. Alors, en l'écoutant, à défaut de pas pouvoir le séduire, je m'imaginais appelée par lui devant toute classe pour devoir me pencher sur son bureau pour recevoir quelque coups de canne pour inattention permanente. Déculottée, cela va de soi. Difficile à dire ce qui m'émoustillait le plus dans cette fantaisie. Le fait de me voir corrigée par un homme fort attirant ou le fait de devoir montrer mon fessier tout nu au reste de classe. Donc par conséquence à quelques princes charmants déjà séduits ou en cours de séduction. Dans les deux constellations ma honte jouait un rôle important, mais cette fois-ci elle ne s'opposait pas à ma raison et mes considérations éthiques...

lundi 2 mars 2015

663 Un fantasme bon enfant (Lundi cinéma)

Quand la jolie infirmière donne un...


J'avais déjà parlé de ce sujet ici, matériel visuel à l'appui,mais je ne puis résister pour vous montrer cette trouvaille. Je trouvé ce petit clip tellement adorable que j'aie envie une de ces mâtinées quand mon chéri a envie de se plaindre de sa santé (cela lui arrive assez rarement !) pour me présenter devant lui dans ma tenue d'infirmière. Achetée dans un magasin de farces et attrapes et qui a servie une année pour le carnaval. Sans oublier le petit chichi pour les cheveux qui va avec. Pour faire plus crédible. D'ailleurs mon homme connaît bien son infirmière privé et il se méfie généralement quand il la voit rappliquer avec les gants en latex, le tube de vaseline et le thermomètre entre les mains. Avec d'autres mots, il aime beaucoup me déculotter , de mettre me fesses à l'air, mais pour sa part il n'aime pas trop se trouver dans le cas contraire. Pour ma part par contre, je prends mon pied pour lui rendre la pareille. Ne me méprenons pas. Je me verrais mal le fesser. Mais je suis facilement partante pour tout genre de jeux ambigus qui jouent sur le flou qui existe entre un acte purement médical d'un côté et la nudité imposée et les attouchement aux endroits sensibles de l'autre côté.

Puis c'est tellement agréable de voir un homme baisser sur commande son pantalon devant une dame !

A ce niveau, rien à dire, mon chéri se laisse faire. D'abord son éternel 501, puis un son caleçon. Bref, il connaît la musique. Par contre je suis sure qu'il ne s'attendra pas pour le moins du monde que je débute ma prestation par un :

N'ayez pas peur, jeune homme, je vais vous montrer d'abord exactement ce qui va se passer...

« Chorégraphie » d'une simplicité déconcertante dans un but purement médical. Sans trop rentrer dans les détails, il s'avère que le passage de « Nurse isabelle » lui procure à chaque fois un coup de fouet pour le remettre sur ses pieds. Oublié le bobo. Et je ne parle pas de la libido.

Notons l'effet frappant sur bon nombre de messieurs quand la fille devant leurs yeux se met quelque chose dans son... enfin, vous m'avez comprise.

Par contre moi, je n'ai su percer à ce jour le mystère de cette fascination de nos grands garçons.

A moins que ce clip réactive certains souvenirs du fameux catalogue « La redoute », bien connu par les hommes d'un certain âge comme une publication qui permet en toute tranquillité de regarder les filles en sous-vêtements. N'oublions pas l'appareil de massage qu'y apparaît , si évocateur par sa forme et semblant quelque peu inadapté pour les joues d'une dame.

Peut-être ce clip joue sur la découverte de la différence entre filles et garçons et qui apparaît comme sujet d’arrière plan.

Pour finir une association perso. Ben oui ! Mon blog est truffé d'associations persos et je suis toujours contente de découvrir celles de mes lecteurs.

C'est beaucoup plus intéressant, je trouve que le histoires de c..l.

Alors je m'imagine, en jouant à la vilaine infirmière isabelle, celle qui incite le monsieur à explorer ou du moins à contempler les chemins de traverse, rappelée à l'ordre par une dame qui défend les mœurs par les « bonnes, veilles méthodes ». Pas la peine de me déculotter. Il suffit de retirer le thermomètre pour m'appliquer une très claquante fessée. Et mon homme dans tout cela ?

Il sera ravi du spectacle et le terme est faible !