mardi 29 avril 2014

507 La discipline domestique vue par une autre dame

Trois témoignages de Christine

J'ai déjà donné mon avis sur ces jolis textes dans mes commentaires. Alors je me tais et je laisse la parole à Christine qui écrit dans un Français particulièrement riche et élégant.

Après trop de mois (à mon goût !) d’étreintes furtives et de moments volés si ce n’est 15 jours paradisiaques sur la Côte d’Azur, celui qui n’était encore que mon amant décida non pas de vraiment « officialiser » notre liaison, mais du moins la rendre peut être moins discrète en décidant que dorénavant, je vivrais chez lui. Bien que « majeure et vaccinée » ( !) et donc libre d’agir à ma guise, il eut la courtoisie d’inviter mes parents un soir à dîner pour le leur en faire part.

Ce fut environ deux mois plus tard que survint l’incident qui me valut ma première correction punitive : j’ai commis par manque d’attention et de professionnalisme une bourde qui aurait pu coûter très cher tant sur le plan professionnel que privé, bourde pour laquelle il passa une bonne partie de la journée à en limiter au mieux les conséquences. Sur le moment, si ce n’est un « Christine » prononcé sur ce ton qui dès mes premiers jours comme secrétaire m’avait toujours, lors d’une faute, impressionné et parfois craindre le pire, il ne m’a rien dit. Au déjeuner, ce fut le même mutisme. Et au dîner à la maison, ce fut pareil. Je devinais qu’il allait se passer quelque chose, cela ne pouvait pas durer éternellement, j’avais hâte que ce moment arrive tout en le craignant. 

Vers 10 heures du soir, enfin, après avoir lu son courrier personnel et les journaux, il m’ordonna d’aller dans notre chambre, de m’y déshabiller et de l’y attendre nue. Encore une bonne dizaine de minutes angoissantes, et il fut là, il s’assit dans le fauteuil, il me fit me mettre à genoux devant lui mains derrière le dos, et il commença un long sermon au cours duquel alterna reproches et admonestations avec mes promesses de m’amender entrecoupées par mes premiers pleurs. En conclusion, il m’annonça qu’il se devait de me châtier tel que durant des siècles, on avait su remettre dans le droit chemin ceux pour qui cela s’avérait utile. Je compris ce qu’il avait voulu dire quand s’étant éclipsé un instant, il revint avec le martinet qui était rangé sur une étagère d’une bibliothèque de son bureau.


Allais-je accepter d’être corrigée comme une gamine ? Devais-je accepter un châtiment corporel ? Était-ce une première manifestation de « violence conjugale » ? Tout défila incroyablement vite dans ma tête. Il m’apparut alors évident que dès le premier jour en tant que mon patron, il avait été strict mais juste, exigeant sans excès, corrigeant mes erreurs chaque fois que nécessaire mais sans brutalité, et que depuis que je m’étais donnée à lui, que j’avais accepté qu’il soit mon Seigneur, il avait démontré les mêmes qualités pour notre vie privée, qu’en définitive, j’avais besoin de m’en remettre à sa volonté.

C’est pourquoi, je me suis laissée docilement relever et mener jusqu’au bord du lit pour y être mise à plat ventre, cuisses pendantes et postérieur exposé de la façon la plus indécente que l’on puisse imaginer. Quatre ou cinq (je n’ai pas compté !) coups du martinet me firent saisir combien cet instrument peut être cinglant. ! Puis me relevant en larmes, il « m’invita » à me tenir dans un coin de la chambre pour méditer et prendre de bonnes résolutions, tandis que la « chaleur » de mes fesses commençait à décroître.

Ce soir là, il n’y eut qu’un rapport oral unilatéral 



Puis un texte qui donne quelques précisions sur la provenance du martinet:

Lorsque j’ai « emménagé » chez celui qui n’était encore que mon « ami » (quel mauvais terme pour désigner celui qui était déjà tellement plus !),
je ne connaissais de la maison que le salon et la chambre. Ce ne fut que quelques jours après, le rejoignant dans son bureau, je vis le martinet sur une étagère d’une des bibliothèques.

Alors que je constatais son aspect rustique d’une autre époque, il m’a juste dit l’avoir acquis dans le but de ramener à la raison l’ainée de ses deux filles devenue incontrôlable. Il ne m’en a pas dit plus, et je ne sais si ce martinet ne fut qu’une menace ou s’il a effectivement cinglé les rondeurs postérieures de ces demoiselles ! Je dois dire que j’évite d’évoquer le sujet de l’éducation de ses filles, car je sais que ce fut une période difficile entre la maladie de leur mère, puis son décès, et les contraintes de sa vie professionnelle. Pas suffisamment encadrées, leurs préadolescences, à ce que j’ai cru comprendre, a été l’occasion de bêtises, certaines plus grosses les unes que les autres, et que de plus l’aînée commençait à se croire déjà une jeune fille affranchie ! Le problème (discipline comme études) fut résolu lorsqu’elles sont parties vivre chez leurs grands-parents maternels. Et c’est leurs départs de la maison paternelle qui favorisa (permit ?) mon emménagement …

En soi, la possibilité qu’il ait pu être amené à donner des châtiments corporels à ses filles ne m’a pas choquée si, et j’en étais persuadée le connaissant, il ne l’aurait fait qu’à bon escient. Moi-même, tout comme ma sœur d’ailleurs, il nous est arrivé, à l’une comme à l’autre, d’être fessées tant par notre mère mais plus souvent par notre père. C’était certes à main nue, le martinet n’étant jamais apparu chez nous quoiqu’il y fut fait parfois allusion comme souhaitable ! Je vais ajouter un point qui peut être en surprendra certains, mais gamine, lorsque fessée par mon père, je préférais qu’il baisse ma culotte, la douleur sur les fesses étant moins vive que sur le haut des cuisses …


Quoi qu’il en soit, je ne me doutais pas alors que ce martinet deviendrait peu après l’outil de mes punitions ! Il était de bonne qualité, il continue à servir, je souhaite le moins possible. Entre temps, il reprend sa place sur l’étagère : aucune de ses filles n’y fait jamais allusion lorsqu’elles viennent chez nous pour quelques jours.


Puis une autre précision sur ce martinet :


Petit commentaire :Le martinet qui parfois (rarement heureusement) prend connaissance de mes rondeurs postérieures fut acheté par mon mari dans une vraie quincaillerie, il y a quelques 25 ans, alors que l’aînée de ses filles devenait incontrôlable ! Le manche, vraiment pas beau à l’origine, ne s’est pas amélioré avec le temps, mais je garantis que l’engin continue à pouvoir parfaitement remplir le rôle pour lequel il a été conçu !

dimanche 27 avril 2014

506 Une double punition 1

Une fille bien éduquée range l'instrument...


Mise en évidence très tôt le matin pour mauvais comportement, j'avais rendez-vous dans le étude de monsieur pour faire le tour de la question. Formulation quelque peu moyenâgeuse qui implique mon mea culpa en costume d'Eve sous un regard attentif. Cette nudité me semble adapté à la situation. Cela me met en condition pour ce qui m'attend. Cartes sur table ou comme on dit en allemand pour laisser parler...

...die nackten Fakten (« les faits tout nus »)

En gros, je baisse virtuellement une deuxième fois ma petite culotte, celle qui couvre ma vraie pudeur. Ainsi j'expose non pas que mon derrière, mais tout mon être à un rude épreuve psychologique. Toutefois, il y a quelque chose de libératoire dans le fait de devoir parler de ces choses qui se confondent avec mon besoin de punition. Surtout devant une personne qui sait représenter à la merveille une bonne écoute, qui pose de bonnes questions quand il le faut et qui guide mon introspection vers l'essentiel. Conclusions  et surtout verdict :

Je n'ai pas volé celle qui allait suivre !

Reste donc pour expier dignement mon faux pas une solide application de la méthode allemande qui se résume à une sagesse quelque peu cynique :

Klaren Kopf durch roten Po (Un fessier rouge clarifie les idées).

J'ai horreur d'entendre cette phrase, déjà parce que mon visage rougit quasi simultanément. Et aussi parce que mon homme dans une agréable soirée entre amis ou en famille aime bien sortir des allusions en version modifiée:

Elle a des idées bien en place ,isabelle !

Ce qui entraîne l'inévitable question :

Comment tu fais, isabelle ?

Là aussi je rougis fortement sans que personne ne se doute de la raison !
Bref en intimité cette maudite phrase s'accompagne d'un usage de notre Rohrstock (la badine), censée de me rougir les fesses et par extension de clarifier mes idées. Et cela... marche parfaitement !

Voila qui est le plus dur à admettre.

Non pas une éventuelle jouissance sexuelle par cette voie, de pousser des soupirs de volupté entre doigts indiscrets et l'action d'une main sévère. Non, le fait de se sentir remise sur les rails pour de bon après une correction qui n'a rien d'értique.

La badine est entretenu avec amour par mon homme  pour qu'elle conserve son sifflement si caractéristique et cette sensation d'une brise d'air qui touche mon derrière juste avant l'impacte principal. Vu que chaque fessier féminin est joliment enrobé à sa manière, le son de la badine provoque sur moi une sorte de musique personnalisée qu'aime tant entendre mon homme. Et pendant qu'il se régale par la belle acoustique, mon fessier tendu prend bonne note de la manière si spécifique que chez nous se « règlent mes dettes ». Après chaque impacte (5, 6 ou 10, parfois 12 selon mes méfaits) ma voix devient plus aiguë, car sous l'emprise de la brûlure, la modulation m'échappe de plus en plus. Voila qui souligne encore plus la notion d'un concert privé à l'attention de mon chéri. Cri, gémissements et soupirs, la palette est large et à vrai dire il n'y a aucun système dans ce qui sort de ma bouche. C'est du non-réfléchi, guidé seulement par l'expérience qu'articuler (enfin on se comprend) à haute voix soulage sacrément un postérieur en détresse. La fessée, méthode infaillible selon mon homme pour entendre du vrai de la bouche d'une fille sans s'exposer au risque d'une simulation. Puis j’entends enfin... enfin sa voix:

Allez, frotte toi bien ton derrière, isabelle, il en a grand besoin !

A suivre...

vendredi 25 avril 2014

505 Liens de discipline domestique (111 ème édition)

Enfin la paix au bureau !


Dans une situation avec un monsieur je me vois toujours à la place de celle qui se prend un sacre réchauffement de la région fessière. Le plus souvent quand je me sens fautive, mais parfois aussi quand je me sens particulièrement coquine. Enfin, si je ne considère que l'aspect coquin, je ne tiendrai pas un blog. Je dirais presque que mon faible pour la place sur les genoux du monsieur rentre dans une catégorie qui s'appelle significativement du masochisme féminin dans lequel on voyait dans le temps « l'expression de l'être de la femme ». Notons que de nos jours encore certains messieurs (et dames aussi) voient tout court dans le fait que la dame se mette à la disposition du monsieur, même dans la vanille, un acte de soumission « naturelle ». Je ne saurais trancher sur la question par une argumentation, mais disons que le féminisme moderne essaye tout de même de débarrasser les rapports sexuelles entre homme et femme des étiquettes de la domination et soumission. Un but qui me semble personnellement très louable. Mais je ne suis pas dérangée par les personnes qui conçoivent leurs fantasmes sur un mode de soumission/domination. Par contre je pars de l'idée que chacun puisse décider librement des dénominations et qualificatifs qui « mettent du feu » dans ses fantasmes sans que l'on essaye de le récupérer pour une étiquette ou une autre.

Passons à la constellation entre filles. Là, il n'y a pas de rôle fixe pour moi. Tout dépend de l'autre dame. Je peux autant me montrer comme la terrible chef du bureau qui règne sur son petit monde, le martinet en matin (je parle de fantasmes, hein!), autant puis-je savourer un climat de travail très strict, imposé avec une main de fer qui surveille la qualité de mes prestations. En m'imaginant à la place de la dame qui a appliqué la punition, puis envoyé l'autre dame au coin, je me pose tout de même une question. Comment fait-elle pour retrouver la concentration pour son travail ? Je me pose d'ailleurs la même question quand je dois faire du coin dans le bureau de mon homme. Donc, vu que j'ai mon homme sous la main, manière parler, je profite de la situation et de son expérience. Sa réponse :

Je trouve tes fesses rouges très inspirantes, isabelle. Ça me donne de bonnes idées pour mon taf !

Décidément, si on ajoute que je profite souvent de mon passage au coin pour concevoir mes posts, il y a indéniablement dû bon dans ces méthodes à l'ancienne. Sans oublier les fulgurants retrouvailles plus tard. Et pour que cette mécanique marche à la merveille, je pense que c'est le consentement, le libre choix d'opter pour une éducation stricte qui crée le sentiment si positif envers la discipline...


Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !


















mercredi 23 avril 2014

504 Les hauts talons ou l'ingratitude féminine 2


Ce qui part d’une bonne intention - faire plaisir- se transforme en scène de ménage.

D’abord je refusai systématiquement de faire les vitrines. Pourtant c’est un truc que j’adore habituellement. J’essayai de gagner du temps en rentrant dans une boutiques de bibelots, en faisant monter rapidement la tension de monsieur. Je voyais bien qu’il commençait sérieusement à s’énerver. Comme rien y n’était, j'en rajoutais tant que je pouvais.

Il y avait aussi autre chose qui me trottait dans la tête depuis la veille. Monsieur m’avait parlé de sa conception du couple se déclarant fervent amateur de la discipline d’antan. L’idée me plaisait énormément, car elle correspondait bien à mes fantasmes. Je n’aurais jamais cru jusque ce jour-là que les hommes de ce genre existent réellement et je m’étais faite à l’idée de garder et cultiver ces fantasmes dans mon jardin secret. A cette époque (1998) la fessée érotique s’entourait encore par le seau de l’inavouable et je n’avais pas encore entendu la dénomination discipline domestique. Bref j’étais bien émoustillée sans faire le rapport avec les hauts talons.

Puis mon nouveau compagnon avait un geste du moins que l’on puisse dire très surprenant envers moi sa nouvelle compagne toute fraîche. Il m’a prise par le bras en levant sa voix qui porte dans le magasin :

Tu m’agace isabelle et tu le fais exprès. Je vais t'acheter ce plateau de petit déjeuner que tu tournes entre tes mains depuis 20 minutes. Il nous embellira la vie tous les matins. Mais on a pas que ça à faire.

Sa voix m’a fait instamment de l’effet. J’ai senti que cet homme ne plaisantait pas et je me suis rangée sans le contredire. Prise fermement en main, il m’a dirigée vers les boutiques de chaussures. Nous étions à Toulouse, ville que je ne connaissais pas encore. Comme dans mon pays de naissance, il n’était point évident de trouver des « échasses » à hauts talons. La mode féminine ne tanguait pas encore dans cette direction. Mais monsieur savait où aller et m’a fait découvrir une petite boutique spécialisée, très cosy.

Je dois avouer bien que je trouve ce genre de chaussures ultra féminines, je me suis comportée de manière odieuse dans le magasin. Mon homme a interrompu mes essayages en disant au vendeur :

On revient tout à l’heure. J’ai besoin de mettre quelques points au clair avec la jeune dame.

Puis il m’amena dans un bistro en face.

Tu es insupportable, ma belle. Trop mal habituée, je pense. Avec moi ça marche pas. Soit tu te ranges, soit on laisse tomber.

J’ai bien compris ce que « laisser tomber » voulait dire. Je l’ai regardé avec des grands yeux en essayant de faire du charme pour faire passer mon embarras. Il a tranquillement poursuivi :

Cette nuit, t’étais bien d’accord sur la discipline dans le couple. C’était seulement un bobard pour m’allumer ?

J’ai rougi, chose qui ne m’arrive quasiment jamais en face d’un homme.
Mon nouveau compagnon arrivait parfaitement à me déstabiliser. Cette aisance de mettre ses fantasmes en application m’impressionnait.

Maintenant tu vas être bien sage pour choisir tes pompes. Et en rentrant à la maison, tu vas t’en prendre une belle déculottée pour que ce genre de choses se reproduise plus. Tu m’as bien compris ?

Mon cœur battait très fort quand on est retournés au magasin. Le vendeur se doutait sûrement de ce qui c’était passé car j’étais d’une amabilité à toute épreuve. Nous avons choisi une paire de sandalettes magnifiques que je possède encore et que je porte toujours de temps en temps par attachement sentimental.

Sur le chemin de retour je me posais des questions si monsieur allait mettre sa menace à l’exécution. Il a tenu parole. C’était une expérience douloureuse, pas un brin érotique. Mon papa avait une manière bien à lui pour me faire sauter sur ces genoux quand j’étais petite. Mon homme avait une façon bien différente. J’ai reçu une solide fessée à la main, super claquante et si intense que j’ai failli me faire pipi dessus.

Ma fierté s’effondra en quelques minutes et malgré mes 24 ans je pédalais dans l’air comme si je participais à une course cyclique (dixit mon homme) en poussant des gémissement et cris à haute voix. Cette discipline sans ménagement m’a été hautement bénéfique. D’abord j’avais la confirmation que mon nouveau compagnon était sérieux en matière de promesse. Si différent du « papa freudien » j'ai reçu de ses mains le cadeau dont je me languissait depuis si longtemps. Et j'ai compris aussi qu’il n’allait pas passer sur mes caprices de diva comme tant d’autres avant lui.

J’ai un peu de mal à comprendre les femmes qui arrivent à jouir sous la vraie fessée. Pour moi le « plaisir » est cérébral. Crier fortement sous les claques est libératoire et me détend merveilleusement bien. Je me suis sentie si apaisée et comblée que j’ai pleuré de bien-être.

Depuis je ne peux plus compter les cadeaux que monsieur me fait. J’en ai presque toutes les semaines et souvent plus qu’un. Il me gâte tellement que parfois je le mets en garde de ne pas me trop pourrir. Mais comme il dit :

Ca risque pas. Tu sais bien que saurais te montrer les limites quand il le faut, isabelle !

Il a tenu promesse et en plus de quinze ans aucun de mes caprices n’est resté sans suite punitive. Si j’en fais encore, c’est que je cherche forcement la fermeté de sa main. Sur ce point mon homme me considère comme indomptable et rien ne le désolerait plus que de me retrouver avec une attitude soumise.


lundi 21 avril 2014

503 Lexique isabellien de la fessée

Nouvelle rubrique sur mon blog !

Prévu depuis le début, mais resté à l'état de projet, j'ai envie de mettre enfin au point mon lexique isabellien. Il y aura au programme des définitions provenant de la psychanalyse pour mieux comprendre ce qui se cache derrière certaines expressions « techniques ». Également de tout petits textes traitant un sujet précis. Avec nom de l'auteur et source, cela va de soi. Parfois assez complexes qu'il faut du temps de méditation pour se familiariser avec. Ensuite certaines définitions plutôt personnelles, donc proprement isabelliennes Puis de jolies citations plus ou moins littéraires concernant notre sujet.

Je commence par un petit texte pour rompre avec les idées reçues sur la psychanalyse. Non, l'analyste n'est pas un chirurgien de l'âme qui projette d'amputer les vilains fantasmes de son client. Croire cela, c'est tomber au bon milieu d'un œdipe freudien qui exprime ses peurs/désirs d'un père castrateur. Non, l'analyse n'est pas non plus un rendez-vous régulier où l'on disséqué plus où moins honteusement pendant des années ses petites fantaisies masturbatoires. Mais surtout l'analyse a une utilité, un but.

Psychanalyse : Le but de la psychanalyse est de faire naître le fantasme, c'est-à-dire une élaboration du Moi exprimant son besoin inconscient et par là de le rendre maniable dans une organisation mentale consciente et préconsciente. Un tel fantasme naît dans un transfert par rapport à un objet significatif. Celui-ci est reconnu comme but de la pulsion qui se fonde dans le fantasme en déchargeant partiellement les tensions, ou en se préparant à les décharger.... On peut dire qu'une fois que le fantasme est apparu dans la conscience avec ou sans l'aide de l'interprétation, une difficulté essentielle est franchie et une nouvelle position du Moi s'instaure avec des possibilités d'investissement et de désinvestissement des fonctions liées au fantasme. Il peut s'agir d'un fantasme refoulé, anciennement conscient où d'un fantasme nouveau, jamais expérimenté par absence d'évolution du Moi...

Extrait de : Pierre Luquet ; Art et fantasmes ; 1964


dimanche 20 avril 2014

502 Les hauts talons ou l'ingratitude féminine 1

Un souvenir brûlant du tout début de mon couple.

J’ai l’habitude de me lancer dans une aventure en partant du principe que l’on apprend le mieux « en agissant » qu’en réfléchissant. « L’autre » avec un grand A ne s’aborde pas au travers de la pensée, mais seulement par l’échange interhumain. Mon aventure la plus importante, fondée sur ce principe, est mon couple. Pourtant je ne me suis pas doutée que j’allais rester avec lui quand il m’a invitée pour notre premier week-end à deux. Et puis le lundi, j’ai reçu ma première fessée disciplinaire par monsieur mon nouveau compagnon qui m’a ainsi montré clairement par ce geste comment il concevait notre future vie commune. Ce jour-là, il avait décidé de m’offrir une magnifique paire d’escarpins à très hauts talons. J’ai toujours aimé porter des escarpins me contentant d’une hauteur de 7. Ce n’est pas le fait de passer au 10 ou 12 qui m’a mise de mauvaise humeur, mais un petit truc bête bien connu des filles :

Accepter un cadeau au début d’une relation et par-dessus du marché un vêtement.

Il y a beaucoup de filles qui n’arrivent jamais à passer ce cap. Malgré des longues années de vie commune. La raison concerne le fait de « se faire acheter », la « peur d’être redevable », « passer pour une femme vénale » ou encore de « perdre son autonomie » . Quoiqu’il en soit la question du « pourquoi », cette pire de toutes les questions pourrit un instant magique. Au lieu de se mettre pour une seconde à la place du monsieur, l’égoïsme féminin s’emporte pour introduire avec force le nombrilisme dans la relation naissante. C’est en fait à mes yeux le premier rapport de force, le premier jeu de pouvoir. Avec le recul je dirais que ce comportement est horriblement malsain. Le monsieur n’est pas forcement de mauvaise fois. D’accord, je ne nie pas qu’il essaye de se faire plaisir à lui sous prétexte de me faire plaisir à moi.

Mais qu’y a-t-il de mal là-dedans ?

A bien y réfléchir :

Rien ! Pourquoi alors le fait que monsieur me désire (sexuellement) attirante au travers d’un vêtement m’irrite autant ?

Nous arrivons donc à une deuxième catégorie du « pourquoi », la notion de ne pas « suffire » ou de « plaire » telle que l’on est. De manquer quelque chose pour combler monsieur. L’idée que l’autre veuille nous apposer sa griffe, marquer son territoire, nous transformer à sa guise ou de devenir une appartenance…

Penchons nous pendant un instant sur la signification analytique du cadeau. Rare sont les petites filles qui n’expriment pas à un instant ou autre leur désir de se marier avec leur papa une fois devenues adultes. Il y a donc une notion très égoïste qui ne laisse plus de place pour leur propre maman. Être maman à la place de maman. Et maintenant la signification du cadeau devient compréhensible : avoir un enfant de son papa. Il est évident que ce rêve de petite fille rencontre une cruelle déception : le papa ne tient pas à lâcher maman et nous relègue à la deuxième place. Si la constellation œdipienne se passe bien, la petite fille observe attentivement sa maman et la copie pour apprendre comment faire pour trouver pour sa part « un papa ».

Mais l’inconscient enregistre le premier rejet amoureux, cette grande blessure narcissique et surtout le fait de ne pas avoir reçu son cadeau. Il se forme donc l’idée inconsciente que les hommes sont des menteurs que les hommes jouent avec les femmes que les hommes sont des briseurs de cœur etc.

Appliquons cela sur les hauts talons. Il y a une dimension de plus qui s’ajoute : quand la petite fille découvre la différence physique entre les sexes, il y a au premier abord une sensation de manque (ou un avoir trop chez les garçons). Dans l’imagination de bien de petites filles ce manque s’arrangerait avec la croissance ou encore que ce soit le papa qui offre ce qui manque en cadeau. Pour bien cerner ce qui se passe à ce moment dans notre petite tête de filles, il faut abandonner notre raisonnement d’adulte et essayer de retrouver notre âme d’enfant.

Bref certaines femmes adultes considèrent les hauts talons inconsciemment comme un faute de mieux ou pire encore comme un rappel à un vécu douloureux. Dans le meilleur des cas, on retient un lot de consolation. Bien entendu je n’oblige personne à accepter ces explications qui peuvent paraître fantaisistes ou tirées par les cheveux. Mais le malaise d’accepter un cadeau de la part d’un monsieur chez beaucoup de filles est un fait et s’accompagne souvent d’irritabilité.

Ce qui part d’une bonne intention - faire plaisir- se transforme en scène de ménage.

vendredi 18 avril 2014

501 Liens de discipline domestique (110 ème édition)

Pour les fêtes pas mal de fantasmes à connotation religieuse !


Le fantasme de la punition collective que suggère la photo me plaît beaucoup. Et ce n’est pas un hasard. Je vais essayer d’élucider un peu ce penchant. D’abord, comme d’habitude c’est seulement une situation vraisemblable qui me titille. Avec un motif crédible. Or, de nos jours le châtiment corporel, disons pour incivisme, n’existe plus. Et loin de moi de souhaiter le retour de la légitimation de telles pratiques. Je vois l’histoire humaine comme une évolution permanente et non avec des œillères de « bonnes méthodes d’antan » que me miroitent mes irrationalités comme le paradis perdu. D’ailleurs, les « bonnes méthodes » n’étaient peut-être pas aussi efficaces que certains ne l'imaginent. Sinon pourquoi auraient-elles été abandonnées ?

Je ne fais pas partie des personnes qui éprouvent l’envie de vivre ce genre d’expérience dans une belle mise en scène. C’est justement la mise en scène qui brise pour moi toute magie. J’aime rester au plus proche de mes fantasmes. Et quand ils sont irréalisables, je préfère les vivre dans mon imagination. Si on croit l’analyste Théodor Reik :

« ... les fantasmes de punition se basent sur la présence d’un spectateur imaginaire . Cette personne seconde ne peut être éliminée dans la fantaisie, car elle est pour ainsi dire le véhicule de l’action créatrice de plaisir. »

Personnellement ce mécanisme me convient bien. Il m’arrive d’être partagée entre le rôle de la personne qui reçoit la punition et celle qui l’observe. Et ainsi, mon attirance pour la fessée collective devient plus claire. Elle me permet « techniquement » de m’approcher un peu plus près de la vraie nature de ce qui est mon fantasme de punition. Je peux être actrice et spectatrice à la fois.

Petite note à part : J'ai décidé de fermer petit à petit mon autre blog qui se trouve dans mes liens permanents . L'hébergeur impose plusieurs publicités pour rencontres douteuses, alors je décroche. Par conséquence je vais regrouper sur ce blog-ci bon nombre de mes récits sous forme de réédition. Enfin, cela ne me pose pas vraiment un grand chamboulement émotionnel. J'aime blogueur, mais je ne me sens pas non plus « accro » à un blog en particulier et quand j'ai envie de passer à autre choses, je sais fermer sans le moindre regret pour recommencer ailleurs et/ou autrement.

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end de Pâques !




















mardi 15 avril 2014

500 Recevoir la fessée à l'âge adulte

500 messages, alors parlons un peu de...


J'aime autant dans ma vie de tous les jours comme dans mes textes un langage bien châtié. J'aime lire et écouter de jolis sous-entendus, soigneusement formulés qui me font rêver et m'apportent le petit truc qui se transmet aussitôt le long de ma colonne vertébrale direction entrejambe. Quand je parle par exemple à ma manière comment je m'y prends en matière de sucettes gourmandes avec recours aux aliments les plus insolites (il n'y a pas que le nutella, la confiture ou la chantilly dans la vie) cela fait bien rire mon entourage. Idem quand j'aborde mes idées sur la contraception à l'ancienne en ayant recours à l'autre ouverture de mon entrejambe et du travail de son érotisation. Ou encore comment relaxer cet endroit si particulier juste avant les festivités pour que le monsieur comprenne une fois pour toutes qu'entre le fantasme d'une offrande (veut dire une proie passive) et la peur d'un dangereux abîme « mordant » se trouver tout un monde. J'aime que l'expérience soit de plus « tonique » pour le monsieur.

Pas toujours sage dans une discussion, il m'arrive aussi de m'emporter, de m'échauffer en levant ma voix, de gesticuler et de cracher du feu avec mes yeux. Sans oublier de me laisser aller à ma demi grossièreté favorite (parce que après tout cela fait tellement de bien) en montrant en direction de mon derrière :

Tu sais ce qu'il te dis celui là !

Puis intervient mon homme. De manière différente selon notre entourage. Et devant certains personnes il ne se gêne pas de me montrer sa main en me disant :

Tu sais ce qu'elle va dire celle-là à ton derrière, isabelle ?

Non pas, qu'il ne partage pas mon point de vue, mais il ne tolère pas un dérapage sur la forme et son petit geste qui fait tant rire les invités sera suivi plus tard dans l'intimité par une action censée me rappeler les bonnes manières. Enfin, malgré mon vocabulaire soigné, personne n'est pas dupe. Je n'ai rien d'une sainte ni-touche. Par conséquence, je sais que les activités correctives permettent une superbe gamme d'aperçues des parties les plus intimes de la dame. Je ne suis pas gênée par les supports visuels très explicites comme des photos et clips. Je trouve seulement que de tels liens n’apportent pas un surplus à mon blog. D’où l’absence d'images crues chez moi. Petite exception aujourd’hui pour ce fabuleux dessin. Le monsieur qui s'applique prend visiblement un sacre plaisir et n’essaye même pas de le cacher.

Il est loin de ces altruistes qui fessent pour rendre service à la dame.

Je trouve une telle réaction chez un homme tout à fait normal. Et je trouve aussi tout à fait normal quand son pantalon commence à serrer par une réaction de plus virile. Cela promet « durement » pour de festivités futures. J'aime sentir l'excitation de mon homme quand je suis allongée sur les genoux et j'adore particulièrement quand en sautant, gigotant, implorant et surtout en dévoilant ce qui se trouve entre mes jambes qu'une petite mésaventure lui arrive sous forme d'une bonne tache sur son jeans. Ceci dit, cela arrive vraiment très, très rarement. Mieux vaut pour ce résultat dans un contexte plutôt classique recourir la stratégie « pole danse » en ondulant, frottant et surtout en prenant des poses les plus suggestives. Toutefois j'évite de céder à la tentation d'allumer ainsi mon homme quand nous nous trouvons - lors d'une soirée entre amis ou chez mes parents - isolées pendant quelques minutes. Car dans ce cas, mon homme manque vraiment de l'humour et il en va de soi que je paye cher ces moyens déloyaux de séduction en rentrant à la maison.

Voila pour dire que je serai terriblement vexée avec un homme qui tire une « gueule » de corvée de punition. Car d’abord...

.je suis convaincue que la fessée corrective sert à diminuer les tensions inconscientes qui risquent de pourrir la vie de mon couple à la longue.

Puis c’est aussi un acte bien ludique... du moins pour le monsieur. Petit garçon ou homme mature, les fesses féminines exercent une attirance magique sur pas mal d’hommes. Ce qui est interdit pendant l’enfance ne l’est plus une fois adulte. Alors pourquoi ne pas se rattraper pour du bon. Et il n'est certainement pas un hasard que je suis toujours corrigée les fesses en l'air. Mon homme apprécie la belle vue et la meilleure sonorité et moi, après tout, je peu enfin (j'allais dire « en toute impunité ») m'adonner au plaisir de montrer mon derrière tout nu. Gamine, j'ai eu beaucoup de mal pour apprendre à me tenir sagement. Je me souviens encore à quel point j'étais vexée parce que personne ne voulais regarder mon cucul. Alors maintenant je peux m'adonner à cet exercice que je trouve fort troublant devant mon prince charmant. Malgré plus de quinze ans de vie commune, ma culotte descend encore environ deux fois par semaine pour de vraies punitions, car mon homme trouver que...

...c'est le stricte minimum pour que je reste sur le bon chemin.

Et qui suis-je pour le contredire ? Notamment que ses méthodes éducative me font beaucoup de bien.

Je suis convaincue également que pour un homme chérissant ce fantasme, mettre régulièrement sa dame sur ses genoux lui apporte beaucoup de bien.

Évidement je parle d’un cadre par consentement et - pour notre part – sans tomber dans une pratique extrême. En évitant « les séance » qui dure éternellement. Ce qui me rappelle certains messieurs qui essayent d’une manière analogue dans la vanille d’impressionner la dame. Cela peut être bien. Mais cela peut être aussi ennuyeux. Très ennuyeux... Quoiqu’il en soit Monsieur est toujours radieux quand il s’agit de me fesser. Peu importe mes bêtises.

Payer pour une faute en procurant du plaisir à son partenaire me parait une excellente chose pour équilibrer un couple.


Il en va de soi que je ne me retrouve peu dans les clips et images qui montrent un monsieur, style prof grincheux ou d’un air constipé. L’enthousiasme, synonyme pour moi de joie de vivre, que ce soit en domaine de fessée ou autre m’importe beaucoup. Et j'adore le découvrir dans les yeux de mon partenaire et le sentir dans sa façon d’être.

dimanche 13 avril 2014

499 Cache pudeur et honte au coin

Se tenir correctement au coin fait partie de la punition, isabelle !

So let it be written, so let it be done. (Que cela soit écrit et accompli !) En bon « fayot » (effet pervers d'une éducation très stricte) j'approuve pleinement les méthodes disciplinaires de mon chéri. Par conséquence je trouve autant l'attitude que la posture de cette jeune dame inadmissible. In... ad... mis... sible ! Que cela soit dit. Ce joli mot qu'affectionne autant mon homme. J'ai presque envie de faire la petite peste (ce qui correspond assez bien à mon naturel) qui tire discrètement la langue à cette fille en lui disant :

Tu te crois tout permis, toi ! Tu devrais me voir au coin moi. Moi j'affiche une posture impeccable.

Enfin, je me donne beaucoup de mal. Notamment après une sévère correction quand il y a beaucoup de mouvements involontaires à cause de la brûlure dans mes fesses. Alors j'essaye d'afficher une rigueur irréprochable, mais hélas ces maudits tics me donnent air parfaitement grotesque. Ce qui amuse mon homme et ce qui me met en rogne. Mon ambition se réveille et j'essaye de me mieux concentrer. Parfois avec, parfois sans succès.

Il n'y a pas de honte de se retrouver au coin pour méditer sur ses mauvais comportement, mais il est honteux d'afficher un laisser aller, isabelle !

Nous avons compris, mon homme veille que mon passage au coin ne se transforme pas dans un grand n'importe quoi. Certes, il n'est pas exigeant au point de m'imposer les mains sur la tête, ni non nez collé contre le mur. Il est également très rare que je fasse ma pénitence sur mes genoux et au cas où cela se passe confortablement installée sur un gros coussin moelleux. Mon passage au coin sert à la réflexion et non pour m'infliger un désagrément physique supplémentaire. Au début chez nous le coin était systématiquement lié à la fessée. Au fil du temps, il a commencé à s'émanciper et dans pas mal de situations de la vie courante qui ne méritent pas de punition corporelle, mon homme n’hésite pas de m'envoyer au coin. Sachant pour ma part, ô combien notre discipline maison m'est bénéfique, je m’exécute rapidement. Il m'arrive de chipoter, de continuer à argumenter, mais tournée vers mon coin. Avec souvent l'impression de parler au mur. Car Monsieur ne répond plus. Il se contente de regarder le spectacle, car...

...le coin se fait toujours les fesses en l'air, ma culotte aux chevilles.

Et en cas de string qui m'évoque à ce moment toujours le frisson de la vilaine fille qui malgré ses allures de parfaite séductrice, continue à bénéficier d'un régime éducatif le plus strict, hein bien, il doit être enlevé avant de me mettre en position. Pour le dire tout de suite, j'adore cette exhibition forcée devant mon homme. Mais parfois ma pudeur est mise à très rude épreuve. Par exemple quand je me suis rendue coupable d'insolences verbales qui vont vraiment trop loin, ma punition consiste à devoir me pencher en avant, les mains autour de mes chevilles et les jambes écartées. Inutile de faire un dessin. C'est une position de plus indécente et je suis invitée de méditer sur l'importante question pourquoi j'ai confondu ma bouche avec cet endroit nettement moins noble, habituellement à l'abri des regards indiscrets et qui saute maintenant aux yeux de celui qui me voit dans mon coin.

L'effet est autre que quand il s'agit d'adopter cette position pour accueillir la canne. Dans ce dernier cas, je m'en tape pas mal de ce que l'on voit et de ce que l'on ne voit pas, car mes pensées sont concentrées sur l'intense et cuisant châtiment qui m'attend. Par contre quand je suis au coin, la peau de mes fesses saine et sauf en quelque sorte, il m'arrive encore de vouloir marchander une punition aussi clémente. Même si selon mon propre estime ce qui m'arrive n'est vraiment pas à la hauteur de mon méfait. Alors j'ai émis dans le temps, par imprudence, mon avis sur l'indécence pour une fille bien élevée de devoir montrer aussi ostensiblement cet endroit si peu glamour.

Mon homme, après longue réflexion et à mon grand étonnement, a trouvé mon argument foncièrement justifiée et donc recevable. Seulement, moi étant au coin, je n'ai pas pu voir ce sourire du grand méchant loup qui couvre parfois son visage quand il trouve une petite idée... vicieuse pour se rendre la vie plus agréable. J'ai compris une semaine plus tard. Avant de m'envoyer une fois de plus au coin, il a sorti de son tiroir de bureau le tube de vaseline qui sert entre autres pour préparer le thermomètre pour mes prises de température.

Puis un objet qu'il s'appelle désormais un cache pudeur.

Une très belle chose conique, idéalement conçue pour combler la cavité rectale, laissant dépasser seulement une sorte de bijoux rond et brillant, façon pierre précieuse. Concernant la partie bouchon, restant plutôt dans un gamme ne dépassant pas le diamètre de la partie du monsieur qui fonde sa virilité, autant l'insertion que le port s'avère de plus agréable.

La faute m’incombant entièrement, mon homme a estimé que je devrais procéder moi-même comme une grande à la mise en place de ce... maudit cache pudeur. Et ceci une fois au coin et déjà en la position décrite plus haut. L’exercice plutôt obscène au premier abord, m'a vite échauffé le sang provocant ainsi un effet qu'apprécie particulièrement mon homme : cette petite moiteur qui rend luisant mon entrejambe dépourvu du moindre poil.

D'habitude, il n'est pas coutume chez nous de mélanger punition et galipettes, mais pour le dire une fois de plus, pour nous la discipline domestique est au service de l'être humain et non l'inverse. Alors ce jour-là, ma séance méditative a pris une autre tournure. Monsieur n'as pas su se retenir non plus et j'ai fini ma punition (enfin ce qui était censée au départ être une punition) à quatre pattes en faisant plus de bruits que lors de mes corrections sur mes fesses. Inutile de dire que mon « cache pudeur » occupe désormais une place de choix dans notre vie.

Veux-tu que je mette mon cache pudeur pour aller au coin, chéri ?

Pas de sarcasme isabelle, sinon...

...et là gare à moi,si je continue à le chamailler. Mieux vaut de me tenir au carreau en respectant une posture irréprochable.

vendredi 11 avril 2014

498 Liens de discipline domestique (109 ème édition)

Punie comme....


Il est rare que j'aie un coup de foudre pour un dessin. Je n'aime pas trop le moderne qui me semble très souvent froid et distant sur un mode : Les extraterrestres aussi aiment les activités claquantes. Enfin il s'agit de personnages de BD ou de jeux comme jouent encore mes frères (ainés!) à l'ordinateur ou sur leurs « machines ». Pour ma part, je me souviens bien d'avoir décroché déjà au super mario en trouvant cela tellement d*bile (surveille ton langage isabelle, sinon...) en me penchant plutôt sur le monde de princes charmants. Et heureusement mon homme préfère jouer avec mes jarretelles qu'avec une manette censée de « manipuler, contrôler et diriger» une dame virtuelle. Ouf. Alors oui, pour moi c'est l'être humain avant tout. Dans ce mignon dessin, je m'imagine à la place de la dame dans un monde où la fessée aurait encore cours. Pour que ma punition puisse me profiter pleinement, Monsieur décide de me corriger la fenêtre ouverte. En même temps cela fait aussi profiter les voisins du spectacle !

Tiens, isabelle a dû encore faire ch*er son homme! Mais il se laisse pas faire.

Non, mon homme ne se laisse pas faire et voila pourquoi je l'adore. Et quand il insiste devant moi et même devant notre entourage proche que c'est lui porte qui le pantalon, cela se traduit aussitôt par une sensation de plus plaisante dans mon entrejambe. Habile dans son discours, sur un ton léger et agréable, il sait s'y prendre pour avoir le public de son côté. Manquerait plus que ma maman s'en mêle en l'encourageant sur sa bonne initiative :

Vergiss nicht ihr von Zeit zu Zeit die Hosen stramm zu ziehen !

(N'oublie pas de lui donner une bonne fessée de temps en temps !)

En parlant de moi sans être dupe sur les préférences de sa fille. Notons que la petite insolente du dessin ne porte pas de culotte (en fait ce vêtement date de quand exactement) et que le jeune monsieur, malgré ses traits angéliques sait très bien se faire respecter.Notons aussi la coiffure de la petite dame qui part dans tous les sens. Ayant eu pendant très longtemps (pour faire plaisir à mon chéri) les cheveux très longs, le moins que l'on puisse dire sur les bonnes corrections c'est que cela décoiffe... Mieux vaut un joli court façon garçonne qui s'arrange en trente secondes quand on a pas encore dépassé l'âge du martinet.


Un très intéressant roman en téléchargement gratuit  qui apporte de nouvelles perspectives sur le fantasme de la fessée : « Williams Kern, ancien orphelin d’origine allemande, à présent riche oisif de cinquante-huit ans menant par goût une vie solitaire dans un pays austral, est un homme hanté d’un intense désir de parents, fasciné les châtiments corporels.
Dans l’espoir qu’une réalité parallèle fabriquée sous le prisme de ses obsessions puisse lui tenir lieu de morphine, il entreprend d’écrire la vie d’un imaginaire collégien anglo-saxon qu’il nomme Will Harts, et tente ainsi de se donner l’enfance – à ses yeux – heureuse et idéale qu’il n’a pas connue autrefois. »

Tenue qui mériterait une fessée


C'était un jeu imaginé par mon homme quand il était ado. Faute de ne pas pouvoir vivre son fantasme, il passait son temps à regarder les jeunes filles et aussi (et surtout) les dames en imaginant d'appliquer une fessée à celles qui allaient trop loin dans leur provocation vestimentaire. Constat un peu désolant, malgré le mythe autour des années 70, les tenues dans les rues étaient … plutôt sages. Pas de quoi à fouetter un insolent derrière ! Ou plutôt un « arroganten arsch » (cul arrogant) comme on dit en allemand pour designer un postérieur particulièrement tentant qui met instantanément le sang d'un jeune homme en ébullition. Bref, des tenues comme celle dans ce lien existaient surtout dans les revues pour hommes en ces temps là. Évidement, en écoutant bien mon chéri qui en parlait de sa jeunesse avec ses camardes de la fac, j'ai vite cerné le désir cache derrière ses anecdotes. Même si la fessée ne se montrait que timidement sous forme de menace ou de petite tape. Alors moi, un beau jour, munie de ciseaux et d'un vieux jeans je me suis fabriquée un short vraiment très court. Toutefois rien à voir tout de même avec l'astucieuse création sur l'illustration. Puis je me suis présentée ainsi vêtue un samedi matin à l'aube devant mon chéri pour une promenade en montagne. Souligné par ses gros yeux, j'ai compris de suite son envie de libérer enfin un fantasme gardé pendant si longtemps à l'état de pure fiction.

Avec moi, tu peux !

J'aurais dû me méfier. Il n'est pas allé de main morte, témoignant ainsi de la pression de ces rêveries sur sa libido. Bref, j'ai eu mal au fesses pendant tout le week-end en regrettant beaucoup mes punitions habituelles et qui me paraissaient de tout repos à côté de celle que je venais de recevoir. Conclusion : C'est quand on m'annonce une fessée érotique que je commence vraiment à m’inquiéter  pour mon derrière.

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !














lundi 7 avril 2014

497 La fessée, un fantasme typiquement féminin ?

A croire certains auteurs ce fantasme ferait même « partie du développement régulier de la femme »

Ma passion pour notre sujet est double. J'adore l'aspect littéraire pour donner une forme verbale aux émotions y liées. J'aime également fouiller les publications de recherche à ce sujet pour découvrir de nouvelles facettes de ce fantasme. J'avais déjà parlé de Marie Bonaparte. Cette grande dame va plus loin que Freud qui voit dans la fessée un fantasme fondamental. Ce qui n'est déjà pas rien comme conclusion. Madame Bonaparte y voit carrément un passage obligatoire chez les dames. Avec d'autres mots, selon elle, toutes les dames passent à un moment ou un autre de leur vie par ce fantasme. Inutile, surtout pour les messieurs avec ce penchant, de se réjouir trop tôt. Car comme enseigne l'expérience de la vie, la plupart de dames se montrent plutôt indifférentes à ce genre d'activité.

Se pose alors la question comment ce fantasme peut se perdre sur la route !

La réponse se trouve dans un résumé d'une conférence de 1934 qui examine les théories de Madame Bonaparte. Et c'est cette dernière qui formule la question de la manière suivante:

« Ces phantasmes masochistes (de flagellation ; note isabelle183) font partie du développement régulier de la femme , mais on ne les retrouve pas dans toute analyse. Pourquoi ?»

Question qui renvoie au « destin » de ce fantasme. Il peuvent se présenter plusieurs constellations. Voici un petit « pense bête » pour se repérer un peu.

Destin I. Conservation. Si ces phantasmes sont conservés, la femme aime à être réellement battue. Le phantasme subsiste avec la pulsion...

Destin II. Si le masochisme a été entraîné dans le refoulement, la femme sera très inhibée. Le refoulement a alors porté à la fois sur la pulsion et sur les phantasmes.

Destin III. Si les phantasmes sont refoulés et les pulsions sublimées, l'on aura une femme dévouée à l'humanité, prête à tous les sacrifices pour autrui.

Destin IV. Les phantasmes étant refoulés, les pulsions sont reportées ailleurs, intégrées dans la fonction génitale adulte : l'on aura le cas idéal de la femme qui a appris à distinguer le pénis d'un fouet ou d'un couteau.

Ce qui en ressort de ses réflexions me semble fort intéressant pour mieux comprendre le fonctionnement de différents fantasmes de fessée. Voyons un peu ce que l'on pourrait y voir.

Prenons le destin IV : Une dame qui refoule son fantasme et qui vie une vie d'adulte de plus classique. Puis pour une raison ou une autre, ce qui est profondément enfoui en elle refait subitement surface. Il suffit de lire maintes témoignages (enfin le plus souvent ce sont les messieurs) qui décrivent un « événement déclencheur » à l'âge adulte qui est présenté comme source de notre passion. Selon Bonaparte, il s'agit tout simplement d'une réactivation de quelque chose de beaucoup plus ancien. Explication qui me semble plus probable qu'un « retournement miraculeux de veste ».

Prenons le destin I : On peut se poser la question ce qui empêche chez certaines dames en quelque sorte un développement du moins partiel vers le destin IV. En gros, de passer d'une pratique de surface à une pratique « de profondeur ». Selon mon propre vécu se faire à l'idée de la pénétration n'est pas une évidence. Et des évaluations entre la peur du fouet et la peur du couteau, toutefois de manière moins caricaturale, m'ont bien traversées l'esprit à un moment de la puberté. Notons la réponse « fort poétique » des spécialistes :

Ces différents types de femmes correspondent donc à des phases différentes de l'évolution de leur libido. L'évolution totale, c'est l'engloutissement, pour ainsi dire dans le vagin, des pulsions masochistes. Quand une femme a conservé les deux formes de fonction, clitoridienne et vaginale, c'est qu'elle est demeurée en partie au stade clitoridien passif. En résumé, les notions de femelle et de mâle reposent sur les notions d'attaquée et d'attaquant. Le péril vital de l'attaquée doit être accepté par elle, grâce à l'érotisation.

Tout ce qui est femelle est destiné à l'effraction. Il est possible que la femelle craigne sa fonction. Pour que l'effraction soit acceptée, il faut que la région destinée à l'effraction soit érotisée.

Prenons le destin III : Supposons que le fantasme n'est pas intégralement refoulé, mais que la pulsion a subi une importante sublimation. On peut y voir une dame dévouée à son maître, prête à tout sacrifice pour lui. Et il ne me semble pas un hasard que dans le « langage des maîtres » on parle d'une sublimation de la soumise.

Bon, on peut toujours dire que soi-disant cela ne concerne que les dames, mais parfois les choses s'avèrent aussi vraies pour certains messieurs. Voila donc un domaine dans lequel l'idée du genre (« l'idée » pour éviter toute confusion avec un sujet d'actualité) à montré pleinement son utilité, il y a déjà très longtemps....


Citations: Marie Bonaparte dans une conférence de la société psychanalytique de Paris; 1934   

dimanche 6 avril 2014

496 Le ridicule

Si tu pouvais te voir, isabelle !

Justement, je ne peux pas voir mon allure et encore moins l'état de mes fesses, fraîchement châtiées pour faute grave. Monsieur n'a pas fait dans la dentelle pour manier notre canne conjugale. Par conséquence la peau de mon postérieur devrait afficher un aspect strié qui remplace la texture habituellement toute lisse par de longues boursouflures rouges qui se sentent parfaitement une par une quand je frotte mon derrière. Effet montagnes russes garanti. Entre mes étirements pour mieux gérer la douleur, mes sursauts les plus fantasques et mouvements involontaires, j'ai l'impression non pas de frôler le ridicule, mais de l'incarner à la merveille. Punie à mon âgé, comme on faisait d'antan avec les jeunes filles insolentes. Alors je pense que...

... heureusement je ne puis me voir dans cette pénible marche de la honte qui m’amènera droit au coin.

Par contre, même sans avoir des yeux dans mon dos, je n'ai aucun mal à imaginer le sourire satisfait de mon homme. Cette troublante image, tout droit sortie de mes rêveries de jeune fille, qu'il livre : La manche de sa chemise retroussée et la canne, encore toute chaude en main. C'est vexant et c'est le but. Ma libido est très sensible aux punitions qui mêlent une cuisante expérience pour mon derrière avec une non moins cuisante expérience pour mon narcissisme qui lui aussi est habituellement doté comme la peau de mes fesses d'une solidité à toute épreuve. Et comme mes fesses, il a besoin de temps en temps de bonnes remises en place. Notons que vexation n'a rien à voir avec insulte et grossièreté. Car à ce niveau là, ma sensibilité converge vers zéro.

On comprend alors que savoir correctement punir est incontestablement un art.

La partie préparatrice je la souhaite théâtrale, mettant à rude épreuve ma pudeur au point de me « faire pipi dans ma culotte » rien qu'en y pensant. La partie cuisante je la veux sonore au point que cela s'entende de loin. Que quelqu'un passant devant notre porte puisse identifier, sans que le moindre doute ne soit possible, ce qui se passe chez nous. Enfin plutôt dans ma fantaisie que dans la réalité. Le tout en restant dans un registre de punition de surface qui ne concerne que la peau du cucul, en laissant de côté tout attouchement des organes proprement sxuels. C'est l'aspect bon enfant que j'aime tant dans mes punition et qui me semble indispensable pour la pérennité d'une relation de discipline domestique. Notons aussi qu'il m'importe beaucoup que l'appréhension de la honte et du ridule emportent sur les notions douloureuses. Je pense que rien n'est plus néfaste à un couple que de mêler la souffrance à un travail éducatif. De la douleur pour faire réfléchir oh ouiiii... sans qu'elle ne devienne un sujet d'angoisse permanent.

Si tu pouvais te voir, isabelle !

Petite pique qui reflète parfait mon sentiment d'impuissance. Être incapable de voir ce qui est accessible à la vue de n'importe qui. Sauf à soi-même. C'est un peu comme la honte du poisson d'avril dont on ne s’aperçoit pas et qui nous colle au dos. Tout le monde est pliée de rire pendant que nous, nous passons un grand moment de solitude.

Mais depuis quelques temps s'ajoute à ma marche de la honte post punitive une autre pensée fort gênante. En faisant des recherches sur la sensation du ridicule, je suis tombée sur une association verbale insolite. Une personne, s’interrogeant à ce sujet interprète cet état si particulièrement éprouvant en décomposant le mot ridule en « ride » et « cul ». Avec d'autres mots, exposer à la vue de tout le monde le plie de ses fesses. Ma première pensée à cette lecture fut :

C'est complètement ridicule !

Puis j'ai oublié ma lecture. Seulement, une fois à nouveau dans la situation de punition, l'association m'est revenue en force. Me confrontant aux questions métaphysiques de plus sérieuses (d'où un sacré surplus de honte!) si le plie de mes fesses après une savoureuse correction faisait bon ménage avec mes marques rouges. Bref, voilà qui montre concrètement comment naissent certains sentiments du ridicule les plus absurdes à partir d'un simple contexte verbal. Et surtout qu'il n'y a pas d'âge pour en découvrir d'autres. Et depuis quand par exemple ma maman me dit :

Ne sois pas ridicule, isabelle,

j'ai aussitôt l'impression qu'elle fait allusion à mon derrière strié et tout rouge quand je suis envoyée au coin...

vendredi 4 avril 2014

495 Liens de discipline domestique (108 ème édition)

Les doubles châtiments d'antan


Cette magnifique illustration est extraite du roman « Sous la tutelle » de Réné-Michel Desergy. Elle pointe vers une forme d’értisme que j’aurais tendance à appeler les jeux de docteur. Bien que plus poussés que ceux qui se passent en cachette entre petits enfants qui explorent leurs corps, les émotions puisent dans ce même registre. Et pour ma part j’aime beaucoup les réactiver de temps en temps. Version adulte où tout est permis ce qui plaît aux protagonistes.

Il fut un temps où le lavement était l’emblème de la médecine douce et dans certains milieux très « nature » en Allemagne, il se réjouit toujours d'une excellent réputation. Soignant certains petits et grands bobos, comme la fessée était censée de soigner les récalcitrants. Mais je pense qu’il n’est pas anodin de nos jours que la fessée se fraye un chemin dans le monde des adultes.

Le non-dit entre le martinet et la seringue de lavement me parait assez facile à comprendre : Le rapport avec propre/sale. Purger et purifier le corps par le lavement et effacer la faute par la fessée. Sorte de renouveau physique et spirituel. Ceci dit, pour ma part je n’attribue guère une connotation érotique au lavement, mais je trouve cette pratique extrêmement agréable. Et le fait que certaines esthéticiennes vantent son emploi, m’étonne peu.

C’est le diable en personne qui se charge d’appliquer autant la fessée que le lavement. Je ne suis pas calée en notions religieuses et j’y vois plutôt une allusion à la nature dite animale de l’être humain. Conception qui m’échappe un peu. Ayant grandi proche de la campagne j’ai pu observer très tôt ce qui se passe entre animaux. Ma foi, pas de quoi à fouetter un chat. Alors quand j’entends des personnes qui associent les êtres humains pendant leurs ébats aux animaux, j’ai plutôt l’idée d’un truc qui se règle en moins de 30 secondes… Bref vivement le côté humain de l’être humain avec tout le vice que cela comporte… Au moins on ne s’ennuie pas.


Le masochiste souhaite expérimenter de plus fortes sensations et désire les subir par amour. Le sadique souhaite infliger de plus fortes sensations et les désire ressenties comme un acte d'amour.

Très peu pour moi : souffrir par amour ou prouver mon amour par la souffrance. De toute façon je ne me retrouve pas dans les fantasmes d'escalade. Je tiens à mes fessées, mais je tiens aussi à mes fesses. Je souhaite mes punitions raisonnablement douloureuses pour me faire réfléchir, mais certainement pas pour chercher les vertiges de l'extrême l'amour. Il me semble propre au sadique de vouloir imposer son mode de jouissance et peut-être propre au masochisme de vouloir faire sien le mode de jouissance de l'autre. Peut-être forment-ils pour cette raison un si beau couple. Et là, bien entendu aucune critique de ma part.


Il y a au bas mot au moins un millier de clips sur ce site. Il me manque le temps de les visionner et puis je ne suis pas vraiment une spécialiste du genre. Je vous laisse alors le plaisir de la découverte.


Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !






Pour mon chéri (par la même occasion j'adore les escarpins de la dame)