vendredi 28 juillet 2017

1028 Liens de discipline domestique (281 ème édition)

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !




Très rouge (petite série)












Un métronome ? (petit clip)








1027 Éloge de la petite robe

Un petit sujet qui est de saison !

Il n'en faut pas beaucoup pour faire tourbillonner la tête de mon homme (petit clip). Étant pragmatique et surtout réaliste, j'ai vite compris qu'il ne m'offre pas des petites robes légères parce qu'il aime les fleurs. Selon lui c'est un vêtement qui met particulièrement en valeur une dame. Sa féminité surtout, en comprenant littéralement par ce qualificatif ce qui se cache sous la petite robe. Le sexe biologique, celui qui n'est pas une construction sociale et qui est la cible de sa convoitise et fascination.

Un homme à l'ancienne en quelque sorte ?

Pas vraiment. Chez Freud le féminin désigne une qualité psychique qui se trouve autant chez les hommes que chez les femmes. Dans des proportions variables bien entendu.

Mon homme se considère comme un amateur du féminin chez la femme.

Conscient que sa vision fantasmatique de la féminité chez la femme met en relief d'un rôle traditionnel de genre. Enfin, il n'est pas toujours aussi complexe dans ses dires. Il sait aussi être poétique quand il le faut. Il parle avec enthousiasme du mouvement quand je me promène en petite robe. Des ses émotions au moindre coup de vent. De l'effet des tissus fluides qui épousent mes formes et qui avec mon parfum du jour me donnent une aura envoûtante. Le joie de me glisser sa main sous ma robe pour explorer mes rondeurs à peine voilées par un string de rien du tout.

Quand je l'entend parler se réveille en moi le charme d'antan d'un monde en apparence parfait avec les robes soigneusement repassées comme les miennes. Avec des culottes en coton, plus blanches que blanches.

Désolée mon chéri que je n'en porte pas !

Un ensemble de bien-être où tout va pour le mieux. Seulement dans cette symphonie de kitch, inspirée et revalorisée directement par une connaissance perdue, définitivement perdue dans inconscient, le mien ou celui de mon homme, peu importe, se pointe quelque part une ombre. Un fantasme de fessée qui paraît incompréhensible et incite aux spéculations les plus folles sur sa provenance. Théorie sexuelle enfantine dont on a perdu la trace de sa genèse et aussi sa signification exacte. Elle se manifeste sous forme d'un sévère rappel à l'ordre. Une robe est troussée, parce qu'une insolente a osé se comporter de manière indécente.

En montrant sa culotte a un garçon curieux.

Par conséquence elle sera punie par où elle vient de fauter. Penchée en avant, sa culotte descendue autour de ses chevilles, émerge un fessier, joliment blanc et surtout tout nu. Ce beau popotin a du souci à se faire. Il sera le lieu du châtiment, censé de se tendre à la discipline. Et bien qu'il reste immobile à l'assaut des premières claques, il s’adaptera vit à un rythme imposé d'une danse ardente. Une forte sonorité se fait entendre. Une dame pantelante qui se découvre subitement sans âge. C'est un des mystères de la fessée déculottée. Un autre consiste dans la perte de toute fierté. Notre dame implore le pardon et souligne sa volonté de s'améliorer par ses larmes. Déchaînée par la vive brûlure, elle lance ses jambes pour donner entrevu de ce qui se cache entre ses fesses. Bien qu'expérimentée dans l'art des portes magiques, grande ou petite, elle prétend subitement de vouloir redevenir une fille sage. Éhonté mensonge, car impossible de cacher cette luisance qui émane de son entrejambe. Nous y sommes. A la matrice du fantasme. Au chemin où se croise le plaisir d'adulte et le souvenir de cette pudeur qui se limite encore à une exposition honteuse d'une nudité qui vient de découvrir la volupté.

L'image s'efface. Mon homme me tient une main. L'autre s'est glissée sous ma petite robe et explore un terrain doux et accueillant. Moment d'une confidence.

Quand je te vois dans cette robe, j'ai envie de te fesser, isabelle ! Puis de te...

Il me chuchote la suite dans l'oreille, sachant que je sais rougir avec une facilité déconcertante.

Oh ! Heureusement il n'y a pas ta Maman pour t’entendre. Elle t'aurais mis une sacrée fessée...

mercredi 26 juillet 2017

1026 Mettre les pendules à l'heure !

Quand l'élégante dame devient une insolente gamine

Celle qui est dans sa vie quotidienne une élégante dame, autonome et indépendante, à l'aise dans ses rapports sociaux et conjugaux, à l'aise dans sa sexualité, devient de temps en temps une insolente gamine qui a tendance de dépasser les bornes. Son compagnon, adepte d'une éducation à l’ancienne sait lui mettre les pendules à l'heure. Sans égard pour son âge et sa position sociale, comme au bon vieux temps, elle va recevoir un châtiment corporel de plus honteux.

Une infamante fessée sur son cul tout nu.

Non, son homme ne mâché pas ses mot. Il sait passer à l'action quand il le faut et sur tout de la manière qui convient le mieux pour ramener sa dame à la raison (petit clip). Cette perspective l'émoustille et la révolte à la foi. Elle émoustille une sexualité endormie, prégénitale qui - frustrée de devoir se conformer à la vanille - demande un retour aux bonnes vielles méthodes qui leurrent avec de fortes sensations. La fessée en fait partie.

Mais cette perspective révolte en même temps l'adulte en elle qui perd subitement ses privilèges pour se retrouver « traité comme une gamine ». Pourquoi cela arrive à moi, malgré mon remarquable chemin dans la vie, malgré mon instruction, se demande-t-elle. Pourquoi ce tenace désir m'enlève la tranquillité de mon esprit. Toutefois elle n'est pas dupe. Elle ne croit pas dans les grandes théories de certains « éducateurs pour grandes filles » qui essayent de vanter le désir de fessée comme un jeux autour de plaisantes sensations qu'il convient d'accepter. Non, notre dame ne trouve pas son compte dans le plaisir d'une sensation innocente, elle n'arrive pas à se détacher de la notion de punition qui donne pour elle tout le piment à la situation. Un vrai casse tête qui la fait trépigner. D'où un impression du ridicule, entretenu par des :

Non, pas la fessée cul nu !

Tentative de rébellion en apparence, déjà mêlée a une « proposition de paix » qui essaye seulement de marchander l’élément qui semble le plus honteux. Exposer sa nudité au regard d'un monsieur qui se languit de la faire danser sur ses genoux. Qui s'émoustillera sur les contorsions de notre dame sous ses puissantes claques. Impudique dévoilement qui va plus loin que la simple nudité et lui offrira une large vision des secrets d'un entrejambe féminin devant son nez. Peut-être notre dame a-t-elle oublié sa passion pour ces désirs particuliers quand elle était petite. Quand elle se cachait honteusement pour écouter d'étranges sensations en elle. Quand la vilaine main se mit à découvrir avec frisson d'étranges zones fournissant un écho à ses rêveries. Désir de pousser plus loin dans ses recherches avec la peur de se faire surprendre par un adulte. De se faire punir par un adulte.

A ce moment-là sa punition imaginée était la fessée.

Comme l'ordre des priorités a changé. Maintenant c'est la fessée qui est recherchée, mais qui risque par sa réalisation réactiver tout un souterrain d'une sexualité parallèle. Fessée bienfaisante qui lui apportera une paix d'esprit, mais aussi une audace de se laisser glisser vers la tentation.

Puisque je viens de payer par avance le prix de mon audace, tout m'est permis maintenant.

Mise au coin elle bombe ses fesses si rouges, se trémousse en soupirant pour attirer l'attention du Monsieur qui vient d'achever son œuvre et le regarde avec délectation. Tenté par les ondulation invitantes d'un joli popotin de femme à porté de main, lui aussi s'abandonne à un souterrain envahissant. Difficile mission de résister et déjà sa main se pose sur un fessier brûlant, écarte les globes sans le moindre mal, car Madame est toujours aussi complice. Elle se laisse faire sans pouvoir résister à la tentation du droit chemin...

vendredi 21 juillet 2017

1025 Liens de discipline domestique (280 ème édition)

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !


Solide fessée (petit clip)




















1024 Une fessée pour la pervenche

Il y a pas que le noir et le gris dans la vie, isabelle !

Là il est mauvaise langue. Je n'ai pas que des tailleurs en noir et en gris. Il le sait très bien, car c'est lui qui me les offre. Seulement j’avais évité jusque-là le bleu marine. Je trouve que l'association d'une veste et d'une jupe de cette couleur crée infailliblement un effet uniforme, policière ou encore pervenche. En voyant mon « Ken » devant moi, les yeux brillants comme un gamin qui voit la tenue de ses rêves pour sa Barbie, je commençais à considérer un tel achat autrement. Contrairement à mes habitudes vestimentaires la jupe était un peu ample sans manquer d'une longueur suffisante pour pouvoir la porter avec bas et porte-jarretelles. Je précise bien, car un jour il m'a tenu très sérieusement un long discours se résumant à ce qu'une grande fille bien éduquée ne met pas un collant sous son tailleur.

Une élégante dame non plus mon chéri ! Et toc.

Bref, il m'a fait beaucoup rire et dans le principe je n'ai pas été contre le fait de m’adapter à ses goûts vestimentaires. Tellement il m'avait surprise par sa brillance d'orateur. J'ai négocié tout de même le « droit » d'un collant ouvert pour les occasions quand Monsieur n'est pas avec moi. Pour ce il suffit de comprendre que certains grands garçons éprouvent un fort plaisir, même en leur absence de savoir leur dame sexy dans le moindre détail. Alors quand je n'ai pas envie de courir le risque de me faire remarquer par mes jarretelles qui se dessinent au moindre mouvement sous une jupe droite moulante je mets désormais un collant ouvert. A la grande joie de mon homme qui aime contrôler avant que je ne sorte ou juste quand je rentre à la maison. Enfin le contrôle se passe de manière rapide. Il ne tient pas non plus à un rôle de conjoint « collant » qui ne lâche pas la grappe à sa dame.

Pendant que j'ai essayé cet ensemble, la vendeuse avait bien remarqué que je portais des bas, des vrais. Par conséquence elle m'a vanté la jupe comme très agréable à porter. Effectivement, coupée dans un tissu lourd, il n'y a aucun risque d'un coup de vent indiscret. Nous avons donc fait l'acquisition.

Puis un jour, d'humeur ludique, enfin plutôt connaissant mon homme, ,j'ai associé cet ensemble avec un chemisier blanc qui met l’accent sur mon décolleté. Sans oublier une petite cravates de mes tenues d'étudiante. L'effet était seyant. Avec mes lunettes j'avais l'air d'une authentique pervenche qui m'en a rappelé une autre (petit clip). Partant de l'idée que le Monsieur du clip n'est pas le seul vicieux sur terre j'ai eu envie de tester l'effet de cet uniforme sur mon homme. Je suis allée le voir sur le champs avec un petit calepin en main pour le verbaliser. Je crois qu'il a dû mal digérer la seule contravention de sa vie, car il a démarré au quart du tour.

J'ai toujours rêvé de voir ce qui se trouve sous les jupes de ces dames !

Sans pouvoir finir ma verbalisation, j'ai déjà été installée sur son bureau, ma jupe retournée et des mains en train de me baisser ma culotte. J'ai reçu quelques très fermes claques sur mes fesses, puis j'ai senti une main vicieuse s'introduire entre mes jambes pour vérifier ma réaction. Le contact étant extrêmement agréable, je n'ai pas mis longtemps pour commencer à respirer lourdement et en poussant de petits cris. Puis j'ai encore reçu quelques claques avec une remarquable sonorité. Je suis docilement restée en place, présentant mes fesses nues au bon plaisir de mon homme. Je me suis trouvée au centre d'un petit jeu qui a continué par alternance jusqu'à ce que la petite pervenche fortement échauffée et toute glissante dans l'entrejambe fut vigoureusement prise par derrière, façon vanille. Ma position se prêtant parfaitement à cet assaut, je me suis sentie envahie en profondeur. Monsieur a pris son temps pour que je cale le rythme de mes soupirs sur ses va et viens. J'ai béni la vendeuse de m'avoir conseillé cette jupe qui par sa ampleur laissa libre accès à la main de monsieur pour se promener à sa guise. Je me suis laisser faire, conquise, comblée et sans la moindre retenue jusqu'à ce une intense sensation m'a emportée.

C'est seulement que plus tard, en me remettant debout que j'ai pris connaissance de l'impacte de la fessée sur mon derrière. Cela brûlait terriblement. En servant le café à mon chéri, j'ai senti encore sa main se glisser sous ma jupe ample, très agréable à porter, car elle calmait aussi la brûlure.

Maintenant je sais ce qui se cache sous les jupes des fausses pervenches, des fesses toutes rouges !

Puis il a ajoute.

Prends ton calepin, isabelle et met en mot ce qui arrive aux fausses pervenches trop curieuses...

Ce que j'ai aussitôt fait, encore à chaud...

mercredi 19 juillet 2017

1023 Où sont les hommes ?

Petit agacement de la blogueuse

On cherchant mes liens de la semaine je tombe en majeure partie sur des mises en scène du type F/f. Perso je trouve mignon à voir les clips entre filles en matière de fessée. Voila qui émoustille et entretient mon sadisme naturel. Tant qu'il n'y a pas d'abus de sévérité, donc plutôt jolies rougeurs que vilaines traces, j'éprouve un malin plaisir sur un mode :

Bien fait pour elle !

Pour pimenter le contexte, j'aime substituer la punie en question par certaines de mes copines ou autres dames de mon entourage en imaginant que selon une « justice divine », il leur arrivait aussi, tout comme à moi de s'en prendre une bonne fessée de temps en temps. Fantasme particulièrement intense quand je rejoins mon coin, les fesses brûlantes et une certaine rancune au cœur de m'avoir fait avoir une fois de plus. Surtout si mon homme coupe court à toute discussion par un catégorique :

Fallait y penser avant, isabelle.

D'un humeur vengeresse je me vois alors en impitoyable éducatrice de dames en manque de bonnes manières, me collant à la place adéquate d'une poésie F/f.

Ceci dit, pour venir à mon agacement, je préférais que justice soit faite non pas par moi, mais par un séduisant monsieur qui ne manque pas de subtilité.

Hélas, il me semble illusoire de trouver de la finesse dans les séries photos et clips concernant la fessée. Je parle d'un scénario bien ficelé qui tient compte d'un contexte psychologique interhumain qui crée et entretient l’excitation au cours d'une fessée. Certes, il y a la sensation physique, mais toutes les dames ne se retrouvent pas dans une performance de plus mécanique. Ni même dans un certes bon coup de main ne manquant pas de doigté, mais sans âme. C'est un peu comme dans la vanille. L'inépuisable étalon présente l’intérêt de pouvoir frimer devant les copines, mais une fois au lit avec lui s'impose souvent - hélas - la stratégie « Harry et Sally ». C'est amusant une ou deux fois , mais lassant à la longue.

Alors en excluant les clips du monsieur qui s'éternise et n'arrive pas à conclure et celui qui se comporte par une maltraitance de fesses féminines, il ne reste que très peu de matériel. A vrai dire, il est plus facile de trouver de séduisants messieurs, habillés de manière suggestive (costume, cravate, chaussures bien cirées!) dans des photos Bdsm que dans la fessée.

vendredi 14 juillet 2017

1022 Liens de discipline domestique (279 ème édition)

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end de 14 julliet!

Madame apprécie







La magie de la ceinture (petite série)



Quel bel orage (petit clip)











La fascination scolaire (petite série)

1021 L'orage d'été (Petite fiction ou non)

Ou comment raisonner une pénible dame

Il y a des matins que je me réveille mécontente de moi, mécontente du monde qui m'entoure. Cela m'arrive rarement, mais cela m'arrive. Ces matins-là j'ai un mal être communicable. Comme une harpie je me prend sans prévenir à mon homme. Comme s'il s'agissait de l’asséner à coup de doigts d'honneurs. Je lui trouve mille et une choses à critiquer allant des retards dans ses bricolages à effectuer à sa présentation. Ses cheveux trop longs ou ses joues mal rasées. J'exige subitement une cravate au petit déjeuner, une mâtiné spécial shopping ou qu'il fasse ceci et cela. Notamment des choses qui l'énervent à coup sur. Au début Monsieur reste stoïque.

On dirait qu'il y a un orage dans l'air, isabelle !

Remarque qui me rend encore plus hargneuse, sachant si je continue que je m'exposeà une sanction très traditionnelle. Seulement c'est plus fort que moi. J'ai besoin de voir que le vase déborde. Que mon homme se montre homme avec en moi en me mettant des limites. Je sais que ce chemin demande de le mettre d'abord en colère. Une colère, une vraie, bien visible et clairement affiché. Il en va de soi que je ne suis pas fière de moi à tête reposée. Cette étrange forme de séduction, parce qu'il s'agit bien de cela, me semble indigne d'une femme adulte. Car elle est calquée sur un modèle enfantin, conçue en escalade et qui attend une réponse physique.... sous forme de fessée. Non ce n'est pas une fessée qui cache bien ses ficelles érotiques. C'est la fessée à l'ancienne, la vraie, celle censée de raisonner les vilaines filles et qui trouve sa satisfaction dans une paire de fesses brûlantes que je dois exposer au coin. J'aspire à la fessée de mes premières fantaisies émoustillantes ou l'idée de me faire baisser la culotte me mettait dans un état agréablement tendu. Je me souviens même comme je me coinçais mon doudou entre mes jambes en dégustant une volupté sans trop comprendre ce qui m'arrivait. J'ai compris plus tard que c'étaient mes pulsions qui sans raison apparente commencèrent à me harceler, provocant une tension nerveuse prête à exploser. Comme avant un orage quand la température augmente. Quand l'air devient de plus en plus difficile à respirer et l'odeur de la pluie s'annonce par son odeur caractéristique. Il ne manque que la décharge du tonnerre sous forme d'un authentique sermon. Monsieur a une voix qui porte.

Une fois, isabelle !

Dit-il sur un ton d'exaspération parce qu'il en a marre. Parce qu'il n'en peut plus. Peu étonnant, tellement l'atmosphère est chargée par mes étincelles. Lui qui est d'habitude si réfléchi et calme, montre un redoutable effet de sang chaud. Indispensable qualité selon moi pour livrer une crédible réponse à mon état d'âme. Où serait sinon mon plaisir sadique s'il était impossible de le mettre en colère. J'adore quand je vois que ses nerfs commencent à se crisper. Quand sa main commence à le démanger. Bref une bonne fessée a besoin pour moi que le réalisme de la situation dépasse les protagonistes.

Tu n'est qu'une emmerdeuse, isabelle !

Oh quel vilain mot, je me suis déjà pris une fessée pour moins que cela. Tu mériterais...

Deux fois, isabelle !

Voila qui commence à chauffer. Cela sent le roussi pour mes fesses. Mon approche à ce châtiment est hautement ambigu. Ma raison et surtout ma dignité de femme adulte la refuse, mais ma tension nerveuse se languit d'elle comme le seul salut pour retrouver mon état normal.

Quel favoritisme. Tu me fais ch...

Là, l'irréparable est commis. J'ai beau à rougir et présenter mes excuses sur le champs Monsieur reste intraitable

T'auras le temps pour me présenter tes excuses après ta punition.

Il y a toujours un stress avant une fessée. Même si on peut compter sur un partenaire qui ne tombe pas dans l'abus. Ma punition va être douloureuse, car mon homme compte bien me rappeler à la raison. Non, pas une fois pour toutes, ce qui n'est pas possible. Mais du moins pour quelques semaines. Certes, entre temps il y aura d'autres fessées. Seulement elle obéissent à d'autres mécanismes, correspondent à d'autres satisfactions.

J'ai la chair de poule quand mon homme me baisse mon jeans, puis mon string.

Un frisson plutôt voluptueux, car il va m'arriver exactement ce que j'avais attendu depuis le début. Ma correction va se passer selon un rituel bien rodé, ce qui est toujours rassurant. Quand je gigote trop avant même de m'avoir penchée sur les genoux de mon homme, il m'envoie au petit coin pour les insolentes pisseuses. Inutile de dire qu'il se réserve le droit de surveiller que je m'applique soigneusement à ce qui m'est demandée. Après ce petit sursis, nous passons aux choses essentielles :

Allez jeune dame, un bon tour de manège te feras le plus grand bien.

Voila qui me met en colère, car il a profondément raison. Difficile d'admettre que seul une partie de jambes en l'air sur un mode vilaine gamine me remet correctement les idées en place. Un remède vieux comme le monde et dont seul l'énonciation devant un tiers expose à la honte. Heureusement mon homme est très à l'aise quand il s'agit de me traiter comme il faut. Sans oublier de jouer sur les bonnes paroles.

Et on met sa fierté de côté pour « chanter » à haute voix !

Phrase qui résume le secret du mécanisme. Pas de vrai orage sans pluie et pas de bonne fessée sans larmes. Il faut oser. Il faut un partenaire de confiance. Car ces larmes ne coulent pas sous l'effet d'une douleur. Non, elles se produisent par un profond bouleversement émotionnel.

Toutefois pour ce genre de correction il ne faut pas aller de main morte. Les claques pleines et fort sonores me semblent les mieux adaptées. Un fessier bien sensibilisée est indispensable pour lever les résistances d'un fierté mal placée et de permettre un laisser aller. Il suffit à mon homme d'une application soignée de deux minutes pour que l'on entende de loin le « chant de la fille contrite ». Une fois en route, je n'ai plus la moindre retenue et j'accompagne de chaudes larmes un beau concert de fortes claques. Et ce flux de larmes ne s’arrête pas une fois remise sur mes pieds quand il s'agit de présenter mes excuses pour mon comportement exécrable. Moment des câlins aussi qui me réconfortent sur le droit chemin. C'est seulement au coin, après un bon instant pour me remettre de ce qui m'est arrivée que mon corps reprends son mode de fonctionnement d'adulte. Mon entrejambe exprime son consentement par cette moiteur dont mon chéri est friand.

mercredi 12 juillet 2017

1020 Journée sans culotte

Chiche ou pas chiche ?

Question qui me pose une bonne copine qui souhaite avant tout donner du piment à son couple qui bat un peu de l'aile. Certes, son compagnon est un « homme bien » sous toutes les coutures, mais il semble fortement négliger sa petite dame. J'en ai parlé à mon homme qui réfléchit pendant un court instant avant de prononcer son verdict dans un langage d'initiés :

Celui qui fait du jogging tout le temps ?

En gros mon homme part du principe que les hommes avec une préférence pour les sports d'endurance négligent souvent leurs dames qui pendant le temps de l’entraînement... je ne fais pas un dessin. Mes observations semblent confirmer ses dires. En « bonne copine » je suis au courant de beaucoup de choses dont le monsieur ne se doute pas pour le moins du monde.

Ce matin, la journée sans culotte devient prétexte pour que je me prononce sur la présentation de ma copine. Car son homme n'aime pas la vulgarité. Voila qui tombe bien, le mien non plus n'aime pas la vulgarité.

Seulement il ne confond pas vulgarité (qui suppose un regard de la société) avec une attitude dans l'intimité du couple.

Se donner provocante par un comportement ou une présentation lui semble du bon enfant quand il s'agit de donner du désir à son partenaire. En pratique , inspiré par son monde fantasmatique c'est plus complexe :

Une fille bien éduquée ne montre pas sa culotte et encore moins elle ne se montre pas sans culotte !

Sinon...ben, c'est pan-pan cucul. On ne badine pas avec les bonnes manières à la maison. Quand j'ai rencontré mon homme je faisais du « sans culotte » en toute insouciance. Puis j'ai appris qu'il existe un phénomène de perversité transmissible. Bien explicable au fond, car il s'agit d'une réactivation d'un contenu refoulé. Alors depuis quand je me promène sans culotte je me trouve exposée à un frisson constant espérant que cette audace soit découverte et sanctionnée par une claquante fessée.
Il en va donc de soi que cette « journée sans culotte » me procure une belle émotion.

Chiche !

Sans hésitation ! Ma bonne copine est chiche aussi. Elle mettra une jupe très courte une fois revenue à la maison, car son mari n'a pas cette compulsion de vérifier sous ses jupes comme mon homme...

Monsieur a écouté attentivement ces histoires de filles.

J'ai envie de me mettre derrière la fenêtre pour pister si son homme va passer comme d'habitude. Qu'en penses-tu ?

Pas si vite jeune dame. Tu crois que je vais passer sur ton oubli de culotte sans agir...

vendredi 7 juillet 2017

1019 Liens de discipline domestique (278 ème édition)

Au menu cette semaine: Avenir incertain

Je suis tombée, il y a trois jours sur une note concernant les conditions d'utilisation (hélas en anglais) de certains blogs. Il semblerait que l’hébergeur tumblr dont proviennent majoritairement mes liens ait décidé de rendre inaccessible tout contenu coquin aux non inscrits. Le couperet risque de tomber d'un jour à l'autre. Voila qui signifierait tout court la fin de cette rubrique...

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !






















1018 Laisse-toi faire...

Oh, il est encore tout petit ce kiki !

Monsieur m'a offert un jour un bâillon qui affiche coquinement un attribut mâle à mi chemin entre repos et envol vers toute sa splendeur. Il m'a rappelé tout de suite la pause café de mon chéri quand il ne s'est pas encore décidé s'il va rapidement se remettre sur sa lancée ou si une récréation pour se changer des idées s'impose. J'aime l'aider pour résoudre cette question existentialiste, non pas en apportant mon avis, mais en apportant une solution. Hors de question qu'il soit obligé de se « tâter » en cachette.

C'est mon domaine... exclusif.

Voila qui est dit sans prétention. Car si je lui pose sur l'oreiller la question, s'il lui arrive de recourir à la vilaine main, sa réponse est invariablement la même depuis de nombreux années.

Comment veux-tu qu'avec tes exigences que je trouve encore l’énergie. Je n'ai plus 20 ans depuis longtemps.

Au début de notre relation il était un peu gêné de se présenter « mollement » devant moi quand je ne faisais que suivre une subite envie de ma part. J'ai su vite le mettre à l'aise :

Laisse-toi faire...

En lui expliquant que ce « laisse-toi faire » se nourrit de sa passivité qui me laisse toute initiative. Une petite gâterie clef en main, menée de moi de A à Z et dont le Monsieur s'en sort aussi mollement qu'au début de l'aventure.

C'est ici qu'intervient mon fantasme de fessée.

Déjà ado je nourrissait une émoustillante culpabilité de mon acte, imaginant par la suite d'être rappelée à l'ordre pour mon audace*. J'en ai parlé à mon homme qui - après une détente complète – et par conséquence « détendu » sous son caleçon avec la tête libre pour se consacrer entièrement à mes fesses, s'est fait depuis un plaisir de me passer sur ses genoux. Souvent toute nue, parfois avec le bas de mon corps dénudé en gardant seulement mes bas et porte-jarretelles.

Je trouve que mon homme fraîchement débarrassé de toute tension, s'en prend autrement à mes fesses.

Plus exigeant, plus demandant je peux compter sur un fessier rouge uniforme qui brûlera encore le soir. Absence de bleus et la jolie teinte rouge m'incitent à maintes reprises dans la journée de passer devant la glace pour admirer le superbe travail de mon chéri. Inutile de dire que je suis fière de lui.

(* Une piste pour l'interprétation de ce fantasme. Ne cherchons pas tout de suite du côté de l’œdipe, mais dans les identifications primaires avec le père qui se passent bien avant. Une identification par... dévoration intégrale à sa base qui devient partielle plus tard ! Bref il y a quoi de se mériter une bonne fessée avec de telles intention inconscientes!)

mercredi 5 juillet 2017

1017 Punitions bon enfant

Faire du coin grand format !

«Faire du coin » à sa base est à ma compréhension une punition qui intervient à une époque où l'activité motrice est une source de plaisir physique pour le petit enfant. Il s'agit donc d'une privation de mobilité, censée de stimuler la réflexion. L’intention n'est pas d'humilier l'enfant, mais de favoriser le développement de la pensée comme moyen d'anticipation aux actions futurs. Seulement , pour un petit enfant il est extrêmement difficile de rester sans bouger ce qui fait du coin une punition très sévère. S'ajoute sur cela ce que l'on appelle en Allemagne le sadisme bourgeois. On entend par là l'ajout d'éléments qui aggravent la punition. Par exemple l'obligation de tourner son nez vers les murs, toucher le mur avec son nez, mains sur la tête et ainsi de suite. Il en va de soi que nous sommes d'un registre pédagogiquement indéfendable. Pensons maintenant à un sujet qui est cher à mon d'amateur de la fessée :

Envoyer sa dame au coin, déculottée ou toute nue pour exposer la rougeur de la copieuse fessée qu'elle vient de recevoir !

Je n'ai pas encore discuté avec des personnes ayant connu enfant cette situation, la fessée déculottée suivi du coin donc, mais ne manquent pas de personnes ayant été menacé d'une telle punition. Grand ou petit, peu importe, le sujet stimule l'imagination. Notamment à l'époque où le pudeur se met en place. Entendons ici par pudeur tout basiquement de montrer tout nu les parties intimes de son corps. N'oublions pas qu'un enfant est très tôt au courant où se trouvent les zones de plaisirs « particuliers ». Seulement cela reste encore un peu confus, car analité et génitalité naissante se disputent le terrain. Il semble exister une phase de développement où l'enfant perçoit comme plus honteux de montrer ses fesses nues que la partie de devant. Ajoutons aussi les tendances exhibitionnistes que l'éducation essaye d'endiguer par ses interdits de nudité. Voila qui mène à une situation parfaitement contradictoire :

Ce qui est socialement interdit est exigé et mis en avant lors de la punition !

Alors quand je suis envoyé au coin...

(Quand on aura fini, tu ne feras pas la fière, isabelle!)...

...il y a une multitude de pensées qui me traversent la tête, mais aussi une multitude de sensation qui traversent mon corps. Sortant fraîchement de ma fessée, ma nudité partielle ou intégrale est le cadet de mes soucis.

Sauf... quand j'ai ma culotte ou mon pantalon autour de mes chevilles.

Il en va de soi que le sentiment du ridicule se présente au rendez-vous à cause de la démarche à adopter. C'est en avançant à petits pas, surtout quand je porte de très hauts talons que je m'approche de mon coin.
Il y a aussi cette enivrante chaleur dans mes fesses, caleur qui a été partagée sur les genoux de mon homme.

Partager la caleur est une sensation archaïque qui révèle une grande intimité.

Mes fesses brûlantes me communiquent une agréable impression d'un foyer chaleureux où il fait bon vivre. Et ma fessée prend facilement les apparences d'un acte d'amour. Voila toute la poésie du complexe de Novalis :

« Le complexe de Novalis synthétiserait alors l’impulsion vers le feu provoquée par le frottement, le besoin d’une chaleur partagée.... Il est fondé sur une satisfaction du sens thermique et sur la conscience profonde du bonheur calorifique. La chaleur est un bien, une possession. Il faut la garder jalousement et n’en faire don qu’à un être élu qui mérite une communion, une fusion réciproque. La lumière joue et rit à la surface des choses, mais seule la chaleur pénètre... » 

(Gaston Bachelard)

Une fois au coin la brûlure entame la survenue de toute une gamme de nouvelles sensations. Le flux sanguin s'étale de mes fesses vers mes parties intimes qui commencent à apprécier ce qui est censée être une punition à la base. Étant adulte je sais très bien ce qui m'arrive, cette moiteur qui se voit facilement et qui fait la joie de mon chéri.

Ah ces fameux effets secondaires de la discipline domestique !

A ces moments-là j'ai toujours une impression de vicieuse fille qui au lieu de réfléchir ardemment comment améliorer son comportement pour éviter au futur de nouveaux châtiments se réjouit de son sort, en jouit même. Qui prend plaisir d'exposer ses fesses toutes rouges, ultime triomphe sur le mâle. Sure de sa séduction donc le monsieur ne peut se soustraire. Bosse sous le pantalon à l'appui pendant qu'il regarde au coin l'émoustillante vision du travail de ses mains. C'est au travers de « cette lunette » qu'il faut comprendre cette phrase fétiche que Monsieur clame fièrement :

Nous avons un penchant pour la discipline stricte !