vendredi 25 novembre 2016

964 Liens de discipline domestique (246 ème édition)

Au menu cette semaine : Quand Monsieur déguste...


Mon homme je le souhaite attentionné à ma petite personne, déjà tout simplement parce que je le vaux bien. Et bien que je considère mes fessées punitives, correctives, éducatives... comme un plat de circonstance, basé sur mon comportement...

t'as qu'à bien te tenir, isabelle...

… je souhaite mes fessées coquines comprises comme un plat gourmet, un extra pour embellir notre vie de couple. Par exemple comme surprise dans un lieu insolite. Ou encore à la maison avec mon chérie dans une belle tenue. Non, une cravate n'est pas un luxe pour plaire à sa dame. Je pense même que la triptyque jeans, chemise, cravate devrait être obligatoire dans certaines situations de séduction.

Entretenir son couple en faisant rêver sa partenaire me paraît le meilleur moyen pour le désir à vif.

Il en va de soi que pour ma part aussi, je ne vais lésiner sur un emballage paquet cadeau. Voila qui occupera les doigts de mon homme avant de passer à l'essentiel. Et à vrai dire, il s'occupe bien de moi. Il prend le temps, il explore, tripote, caresse, embrasse , mords... le tout avec enthousiasme. C'est notre pendant de sa pause petit déjeuner dans son bureau quand c'est moi qui « détend » mon champion en lui montrant tout ce que je sais faire sous un bureau. Maintenant il me rend la pareille et moi... je savoure. Puis - cela doit être un tic chez lui, car plus fort que lui - il me claque le derrière. Nous sommes dans un registre de sensation pure donc pas de contexte, pas de faute, pas d'écart de comportement. Plaisir pour les oreilles sous forme de belles sonorités. Notre petite à l'école, je peux me laisser aller en toute confiance. Étant fort bruyante de nature, les choses ne s'arrangent pas par le fait que Monsieur est ô combien susceptible à la poésie de la dame qui traduit les sensations en bruitage... obscène. Et je sais pertinemment à la fin de la séance, il sera dans une forme d'enfer qui ne peut attendre la chambre et demandera satisfaction au beau milieu du salon sur un moelleux tapis. Plaisir pur sans l'ombre d'un nuage, grâce à un précieux conseil de ma maman. Je lui avait parlé une fois d'un terrible mal au dos, survenu disons... subitement. Me connaissant bien, sa réponse fut de plus claire :

Change de tapis ma fille...

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !


















vendredi 18 novembre 2016

963 Liens de discipline domestique (245 ème édition)

Au menu cette semaine :Un geste quasi inné...


Bien que je consulte quasi machinalement à chaque fois que passe devant une glace mon reflet, déjà pour vérifier l'état de mon maquillage qui n'est pas permanent, les choses sont toutes autres après une fessée. Ayant perdu la face, c'est mon derrière qui devient cible de ma curiosité et à laquelle se mêle un certaine volupté. Ce soupçon de honte qu'éprouve la vilaine fille qui reçoit encore la fessée et qui n'ose pas en parler à ses copines de peur de s'attirer les moqueries. Le fait d'être adulte et même une certaine entrée de la fessée dans les mœurs n'y change rien. Parler de ce qui est censé du vrai punitif n'est pas une affaire aisée. Que dire d'ailleurs :

Je suis corrigée à chaque fois que je me montre trop insolente...

Il doit avoir du travail avec toi, ton homme, isabelle...

Situation qui retrace les non-dits d'un autre âge que mon homme a encore connu à l'adolescence. En fait, personne n'aimait se vanter à cette époque de ce qui lui arrivait dans certaines circonstances. Par ce fait mon chéri sait exactement ce qui se passe en moi après une correction.

Je trouve que la fessée te rend beaucoup plus modeste, isabelle !

Effectivement, surtout que dans un contexte entre adultes, il est possible d'ajouter une petite note sadique. Comme l'autre matin quand j'ai reçu une correction grand format, habillée seulement de longues chaussettes blanches et de ballerines. Pour mieux me faire passer mes caprices... de gamine. Déjà je trouve une telle tenue quelque peu ridicule, indigne de ma position de femme adulte, mais en plus, une fois mon châtiment corporel effectué, il reste un plus ou moins long moment de passage au coin pour montrer...

...ce qui arrive quand on est pas sage !

Mon chéri savoure les mots et profite de l'occasion pour se payer ma tête, activité qui habituellement m'est réservée envers lui. Le pauvre, il n'a pas la vie facile avec moi et notre rituel sert à équilibrer un peu mes abus.

Si tu pouvais te voir, isabelle...

Justement je ne peux pas, je ne suis pas contorsionniste et d'où cette féroce envie de pouvoir enfin sortir de mon coin pour courir vers un glace pour me regarder. Le tout devant les yeux de mon homme qui mine de rien ne perds jamais une miette.

T'as pas la même démarche que d'habitude, isabelle...

Là il me cherche vraiment. Il sait pertinemment que je me sens pas à l'aise en ballerines. Passons, vite, vite mon shoot de narcissisme par le biais d'une glace. Subitement plus de honte, seulement un émerveillent pour mon popotin joliment strié. Comme il sait bien manier le martinet, mon homme. Comme j'aime me noyer dans mon reflet. Persiste encore une délicate brûlure qui donne à ce que je vois une autre dimension, un autre sentiment.

Vanité quand tu nous tiens !


Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !



















Rappel à l'ordre (petite série)

mercredi 16 novembre 2016

962 Éducateur qualifié (Petite fiction ou... non!)

Pas bien de se moquer de son chéri !

J'aime particulièrement me servir des bons mots de ma belle-mère pour me moquer de mon chéri. Il faut savoir qu'il a reçu une éducation stricte dans un temps que les moins de presque... soixante ans ne peuvent pas connaître. Ces corrections méthodiques et ritualisées tombant sur un « terrain favorable » lui ont donné un goût pour la discipline libidinale. Loin de lui de faire l'éloge de telles méthodes et encore plus loin de les utiliser pour notre fille.

C'était un autre époque, isabelle...

… et il n'est pas le seul homme de sa génération de me parler d'une telle
manière. C'est une qualité à mes yeux de pouvoir tirer un trait sur un passe. Enfin, il reste quelques traces mignonnes. Il adore éduquer sa petite femme, notamment quand elle montre de mauvaises manières. Quand elle affiche un comportement de plus agaçant qui lui donne...

...un air d'une odieuse créature sans cœur !

Un air seulement ? Tu me sous-estimes mon chéri !

Ma belle-mère a trouvé en moi une excellente écoute pour les souvenirs de la jeunesse de son fils. Elle me parle aussi tout naturellement de la fessée. C'était un moyen éducatif commun à l'époque et loin de moi de la critiquer pour ce qui lui semblait juste. Nous papotons entre femmes et nous rigolons beaucoup. Ces histoires m'évoquent des images de mon chéri comme je l'ai connu à nos débuts. J'imagine donc l'adulte baisser son pantalon et se prendre une bonne correction pour ceci et cela. Inutile d'ajouter que mon homme n'apprécie pas vraiment le sujet de notre discussion.

De mon côté je trouve dans ces anecdotes une légitimation pour son rôle d'éducateur qualifié auprès de moi.

J'aime beaucoup la compétence se basant sur une réelle expérience. Je me verrais mal avec un monsieur qui considère la fessée exclusivement comme une activité récréative entre adultes. Non, il m'en faut plus.
Pour savoir gérer au mieux les émotions que génère la fessée, il faut les connaître !

Il faut être capable de créer une ambiance vraie qui me donne des frissons partout partout. Et à ce niveau Monsieur assure. Fortement agacé par mes moqueries en présence de ma belle-mère, il reprend au retour vite le rênes en main.

Tu vas voir tes fesses à la maison, isabelle ! On verra bien si tu rigoleras encore !

A j'adore quand il a un compte à régler avec moi. Parfois il laisse même le martinet à sa place pour s'en servir comme au bon vieux temps de sa main. Il va déguster le cérémoniel de mon déculottage en se chargeant de l'appliquer lui-même. Puis il m'installe sur ses genoux de manière que cela soit confortable pour moi et surtout pour lui. Que son bras ne soit pas gêné dans sa course pour que l'élan se transmette sans le moindre incident sur mon « Erziehungsfläche » (surface d’éducation) comme on dit en allemand. Effectivement en quelque secondes je ne me moque plus de lui. Mais il me faut encore une bonne dose pour bien comprendre que mon sujet de discussion avec ma belle-mère ne trouve pas l'approbation de mon homme et je ferais mieux à l'avenir de l'éviter. Quelques claques de plus, je suis en train de lui jurer de ne plus jamais recommencer, voire quand la cuisson est à point de lui présenter mes excuses. Après un crescendo pour souligner l’effet éducatif il reste encore un dernier détail régler, un chaleureux remerciement à mon vaillant éducateur pour m'avoir remise sur le droit chemin.

Sacré belle-mère ! De quoi à être fière de son fils !

lundi 14 novembre 2016

961 Fessée orgasmique (Lundi cinéma)

Ce qui n'est pas donné à tout le monde !

Pour bien de personnes la fessée est une troublante expérience, bien qu'elle semble souvent rester loin des mirages orgasmique que nous promettent les fantaisies masturbatoires de notre enfance et adolescence. Déjà, il ne faut pas se prendre la tête si dans la situation de réelle fessée l'orgasme n'est pas au rendez-vous. Nous ne sommes pas dans un registre de performance ou de compétition. Tout dépend des personnes. L'orgasme pointe parfois son nez de manière impossible à imaginer lors de nos fantaisies enfantines. Car si l'acte de la fessée peut s’avérer plutôt douloureux qu’excitant, rien ne dit que émoustillement physique ne se mette pas en route de manière décalée. La discipline domestique telle que je la conçois est pragmatique. Elle tient compte de cette particularité qui m'est personnelle :

Préchauffage sous forme de punition, prise de recul au coin et douce mise en route de mon appétence sexuelle !

Avec tout un après-midi pour méditer sur mes méfaits. Enfin, ce n'est pas la culpabilité de mes actes qui me travaille, mais plutôt des idées coquines. Une lente progression de mon état sensuel. Ce rythme décalé me permet de me transformer en bombe pour le soir au lit. Notons que nous ne sommes pas psychorigides. Il nous arrive parfois de faire suivre ma fessée directement par des câlins. Tout dépend de la situation, de nos humeurs, de nos envies. J'ajouterais que ce n'est pas ma fessée qui est orgasmique, mais la simple vanille qui se passe par la suite. Parfois je me demande si certaines dames qui se font fesser par un partenaire de « rencontre pour », ne vont pas le soir épater leur conjoint par une ardeur... inexplicable !

Balayons l'argument de traces traîtres. On peut très bien se glisser dans un lit sans montrer ses fesses.

Un autre registre se trouve dans la « fessée vicieuse », celle qui alterne claques en caresses, la main baladeuse quoi. J'y vois dans cette pratique une ludique stimulation progressive, pour celles qu'y sont susceptible et qui se finit - pourquoi pas - par un apaisement sensuel de plus fulgurant.
Évidement il faut un partenaire qui sait s'y prendre. Des claques trop chargées en intensité sont un excellent tue-amour me concernant.

Je ne saurais dire si la dame du clip simule ou pas. A vrai dire je m'en tape un peu. Je trouve que le monsieur ne se prend pas trop mal en laissant le temps au cerveau de la dame (ben oui les femmes ont un cerveau) de transformer l'information claquante en voluptueuse expérience. Notons qu'il y a des traces de dents aussi sur le manche de notre martinet et sur notre paddle. Petit détail qui me rend la petite dame du clip fort sympathique...

vendredi 11 novembre 2016

960 Liens de discipline domestique (244 ème édition)

Au menu cette semaine : Curiosité punie !


Quand j'étais ado, il n'y avait pas encore le net. C'était la génération vidéo, notamment en ce qui concernait mes grands frères. Bien évidement ils avaient quelques films osés, du vrai quoi qui ne faisait pas semblant. Préférant pour ma part la compagnie de vrais princes charmants à la poésie d'un écran, j'ai toutefois satisfait ma curiosité en regardant un peu dans leurs collections. D'abord pour m'instruire de peur de passer pour une cruche auprès de mon prince du moment. J'étais surtout impressionnée par les acrobaties des acteurs. Malheureusement manquaient complètement des scènes de fessée dans ces productions et concernant le BDSM, je n'ai su trouver plaisir dans cet univers.

Fallait alors que je brode moi-même sous la couette.

J'aimais m'imaginer chez certains messieurs de mon entourage, de préférence avec un air autoritaire qui m'avaient chargé de surveiller... tiens... leur chien ! C'est alors que je découvre en fouillant un peu un magazine dédié à la fessée. Et bien entendu je me fais surprendre en pleine consultation.

T'as pas encore dépassé l'âge de la fessée, isabelle ?

Rentrée en matière de plus habile. J'aime les situations qui me laissent un choix.

A vrai dire je n'en ai jamais reçue.

T'essayes de me faire croire que t'es donc une fille modèle ?

Et voilà nous tournons autour du sujet, à la manière d'un jeu de séduction dont l'enjeu ne concerne pas un rapport classique, mais une fessée déculottée. J'ai toujours trouvé très émoustillant autant de baisser ma culotte que de me montrer fesses nues devant un homme de mon choix. Quoi de mieux pour expérimenter mon potentiel de séduction et surtout mon emprise sur la libido du monsieur. Enfin, étant assez craintive et peu attirée par les émotions fortes, loin de moi de trouver troublant de me mettre entre les mains d'un homme qui m'est (bibliquement) inconnu. Par ce fait et aussi parce qu'il n'est pas dans ma nature de fouiller, je n'ai pas eu l'occasion de vivre une situation de curiosité punie. Je trouve qu' avec mon chéri cela ne compte pas, malgré un sacré mal dans le derrière parfois...


Un jeu de mot difficile à comprendre quand on n'est pas né dans la langue allemande et que j'ai découvert quand j'étais ado. Il se traduit par: Quand Donald penche Daisy (sur un table, un capot de voiture etc), mais à l'époque il m'a inspiré une toute autre histoire...


Une petite pensée pour un grand Monsieur qui vient de nous quitter. Trop triste pour écrire quelques mots...

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !








Monsieur s'amuse (mini clip)










mercredi 9 novembre 2016

959 La discipline domestique est plus qu'un jeu

Je pense que les personnes ayant un besoin de punition le souhaitent pris au sérieux !

D'où une volonté de garder dans les textes sur ce sujet une apparence de morale « sérieuse », objective pour se démarquer du contexte d'un jeu sexuel. Comme si l'on essayait d'échapper au côté ridicule qui accompagne notre étrange passion. Quelle idée aussi pour un adulte de rêver de baisser sa culotte devant son conjoint pour se faire rappeler à l'ordre de manière bien traditionnelle pour les petits manquements au quotidien. Renoncer de son propre gré pendant un instant aux acquis d'une femme moderne pour se faire fesser avec belle sonorité pour une raison, nom de code « la faute » ou « le mauvais comportement » qui ressemble parfois à un pur prétexte. A vrai dire difficile d'être fière de soi dans un tel contexte.

Évidement considérer la situation comme un jeu donne tout de suite une apparence plus honorable.

Ou mieux encore, de s'imaginer soumise entre les mains d'un homme exigent. Voire le plaisir de se sentir forcée. Variantes d'un même fantasme, mais parfois celles qui aiment les dernières constellations se défendent avec sérieux de toute allusion à une vraie punition. Il me semble inutile d'argumenter rationnellement que l'une vision de la pratique soit plus honorable que l'autre, sachant qu'il s'agit de préférences irrationnelles venant de notre libido. Par conséquence la forme exacte de notre fantasme n'est pas un libre choix. Mais je retiens une tendance (y compris chez moi!) de défendre sa croûte pour ne pas être mise dans le même panier avec les autres.

Notons qu'un besoin de punition, reproduisant la « poussée » de la sexualité prégénitale, semble fonctionner comme un accumulateur. Au fil du temps il se charge de plus en plus en devant impérieux et en demandant un apaisement par la douleur.

Pour ceux et celles qui le ressentent, impossible de l'associer à un jeu.

C'est « l'épreuve du feu » qui ouvre la voie vers un apaisement. Souvent vers une sensualité... de plus banale, de plus classique. Cette dernière peut s’avérer fort satisfaisante d'ailleurs, car dépourvue de la composante « qui pousse et qui empresse », déjà satisfaite par la punition.

On peut se contenter de ce constat pour vivre sa DD en toute sérénité quand on arrive à se convaincre de la crédibilité de ce que l'on vit.

Je veux dire par là que la punition est perçue subjectivement comme réelle.

J'ai l'impression que c'est ici parfois que le bat blesse. Car chez certaines personnes la recherche de crédibilité de la punition peut prendre les allures d'une escale. Toujours plus fort, toujours plus raffinée etc. Ce qui peut signaler danger pour le couple. Il serait étrange de parler dans de telles conditions d'un jeu.

Il y a d'un autre côté des fantasmes très proches de la réalité... enfantine, dans lesquels on se fait gronder, mettre au coin ou fesser pour ses mauvais comportement. Le châtiment reste bienveillant malgré une certaine fermeté. Sommes-nous alors dans un cadre de jeu ?

Et s'il y a jeu que satisfait-il ?

Peut-être une fiction, cachée au fond de notre inconscient, complexe par sa structure et difficilement déchiffrable sans recours à un spécialiste. Alors à défaut de connaître son contenu exact, nous essayons ludiquement de s'approcher de son contenu et d'où l'impression d'un jeu...

lundi 7 novembre 2016

958 Fessée vicieuse (Lundi cinéma)

T'as le vice dans la peau, isabelle !

Voila qui me fait rire. A croire que certains hommes (car le mien n'est pas vraiment un original en matière de fantasmes ; gare à mes fesses!) cherchent de le faire partir en tapant sur les fesses de leur dame. Enfin, mon chéri serait malheureux comme tout de me retrouver sans mes vices. Elle serait ennuyeuse sa vie sans mes exubérants élans de le détourner du droit chemin. Notons le charme sous-entendu de certaines constellations de fessée...

...qui expriment le désir par son contraire !

Quand les deux personnes sont sur la même longueur d'onde fantasmatique rien de plus facile (et de plus jouissif surtout!) que de s'accorder d'une manière dont la quintessence échappe à ceux qui s'accrochent au discours de la surface. Alors pour éviter de fâcheuses et inutiles divergences avec son entourage, mieux vaut de garder un discours discipline domestique qui donne des frissons pour soi.

Pour ma part quand je montre trop d’initiative (voilà le contenu caché du mot « vice ») se réveille quasi systématiquement mon besoin de punition. Non, une fille sage ne se vêtit pas de jupes très courtes et de chemisiers avec un décolleté débordant avant de se glisser sous le bureau de son chéri... enfin, je ne vais pas faire un dessin, mais j'adore la situation. Par conséquence il me plaît quand Monsieur 183 se pose comme défenseur de la morale et de toute forme de débauche. En m’appliquant une fessée sans abus qui a le mérite de me débarrasse de ma métaphysique culpabilisante. Parfois même une véritable fessée punitive selon la situation. En fait il est très jovial envers le harcèlement en privée. Par contre il manque de l'humour quand je le « provoque «  en public, non pas par des jeux de mots ou autres gamineries, mais par un langage du corps qui lui fait un effet qu'il ne saurait cacher.

Enfin, une bonne fessée punitive ne me fait pas peur !

Il n'est ni un obsédé de la performance, ni une brute. Pour ma part j'aime les deux variantes, car au fond il est captivé... par moi, par ma petite personne, par mon fessier, par mes ficelles qui je tire. Et j'adore quand il se montre à la hauteur de mon vice. J'aime ses côtés sadiques, style :

Gleich gibts tüchtig was auf den Arsch, isabelle !

(Dans un instant tu va sentir tes fesses!) Utilisant des phrases chargées d'émotion dans ma langue maternelle en recourant parfois aux gros mots gentillets. Frisson garanti pour moi qui trouve certains gros mots terriblement virils dans la bouche d'un homme. Et comme d'habitude, le contexte psychologique emporte chez nous sur le traitement de mes fesses. C'est un peu comme les jeux sous la table. C'est le fait que monsieur sait s'y prendre affectivement avec moi qui me donne envie de me montrer vilaine.

vendredi 4 novembre 2016

957 Liens de discipline domestique (243 ème édition)

Quand Monsieur change l'avis !


J'aime pas les shorts chez les filles,

disait-il mon chéri au début de notre relation lors d'une séance de shopping en amoureux. Verdict prononcé sur un air de Schtroumpf grincheux qui m'a fait beaucoup rire. Car les « j'aime pas » c'étaient sa grande spécialité. Évidement avec moi il s'était trompée de l'adresse. Quand j'aime quelque chose, je ne me décourage à cause d'un mauvais écho. Puis je vais mettre tout en œuvre - quand il s'agit d'une personne qui m'est très proche - pour lui faire changer de point de vu. Sans avoir peur de recourir à certaines lourdeurs qui peuvent se révéler agaçantes par mon insistance. Toutefois ce jour-là j'ai fais une croix sur mon envie de m'acheter ce petit rien si craquant en jeans usé et dentelle, non pas sans prévenir Monsieur :

Tu ne sais pas ce que tu rates !

Puis j'y suis retournée un jour en semaine après mon travail pour me l'offrir. Décidée de faire la surprise à mon Schtroumpf grincheux à la prochaine randonnée. Et effectivement j'ai vu sa surprise en me découvrant dans une tenue de circonstance. Chaussures de rando avec chaussettes blanches, mon petit short surmonté par un débardeur moulant, sans oublier un coquet sac à dos.

C'est pour aguicher les marmottes ?

Ben oui, peut-être elles au moins savent que le short fait partie de la garde-robe d'une femme moderne !

Et toc. Pour voir les marmottes, il faut se lever tôt. Puis il ne faut pas avoir peur de l'effort physique, ainsi que de la fraîcheur matinale. J'avais donc prévu aussi un blouson tout chaud, coupé d'une manière de ne pas cacher mon short. Mon nouveau chéri marchant derrière moi avait par conséquence une vue imprenable sur mon derrière. De plus le dénivelée et les passages un peu difficiles permettent facilement des aperçus de plus indiscrets. Alchimie qui a montré vite son effet.

J'ai une de ses envies de te fesser, isabelle...

Pour faire fuir les marmottes ? Tu attendras sagement que l'on soit de retour à la maison !

Il a dû attendre presque toute une journée avec constamment mes fesses devant ses yeux. Expérience qui lui a bien mis les idées en place. Depuis c'est lui qui me demande de mettre un short...

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !




















mercredi 2 novembre 2016

956 La fessée régulière rend heureux !

Décomplexons nous !

Il ne s'agit bien évidement pas d'une généralité, mais concernant ceux et celles enclins à notre sujet unfond de vérité ne manque pas. Autant pour celui qui aime appliquer et qui se trouve régulièrement avec une main qui le démange sacrément que pour celle qui se languit d'un fessier brûlant par une série de sonores claques. Pas besoin de rentre dans les détails, dans les motivations les plus intimes, je pense que notre petite phrase se présente comme un excellent consensus dans notre communauté.

D'ailleurs j'ai déjà lu des posts de personnes en mal de pratiquer et qui par ce fait manquent la joie de vivre.

Par contre pas de trace de « blues » (selon leurs écrits!) chez ceux qui arrivent à vivre leur passion sur une base régulière et qui communiquons leur enthousiasme. On peut se poser la question si la fessée serait - comme prétendu récemment - une orientation sexuelle à part entière. Ce qui enlèverait cette « odeur » de perversion qui colle encore à cette pratique. Passons sur les personnes qui -peut-être à cause d'une sensibilité particulière ou un vécu malheureux considèrent la fessée, comme un acte de violence. Visiblement, même avec un consentement entre les partenaires, on ne peut pas plaire à tout le monde.

Voila pourquoi Il me semble important de déculpabiliser les personnes ayant un penchant pour la fessée.

Je parle là de la culpabilité sociale et non pas de certaines culpabilités « raison sine quoi non » qui donnent leur saveur aux mises en scène dans lesquels il s'agit d'avoir...

mérité sa fessée !

Bref souhaitons que dans un avenir proche, comme le prédisait Freud pour notre siècle, que la fessée fasse partie de ces fantasmes « prégénitaux » qui se libéralisent et qui rentrons dans les mœurs. A mon avis il savait bien de quoi il parlait. Car en lisant les résumés d'analyses ou commentaires d'analyse, je suis toujours étonnée de la présence de notre sujet. A croire - encore selon Freud - qu'il s'agit d'un fantasme originaire...