vendredi 31 mars 2017

995 Liens de discipline domestique (265 ème édition)

Au menu cette semaine: Fantasmes insolites


Il est fascinant où notre monde fantasmatique peut nous amener. Tant que cela reste dans un registre non nocif pour personne, inutile de se prendre la tête. Mais tout de même...

c'est mon narcissisme qui prend un sacré coup devant mes rêveries militaires.

Rationnellement ce n'est pas mon monde. C'est avec un grand recul que je regarde ceux qui en décident et loin de moi de défendre telle ou telle autre idéologie. Loin de moi de prononcer mes fantasmes militaires devant n'importe qui. Le risque d'une éventuelle confusion entre ma rationalité et mon irrationalité me paraît trop importante. Et je n'ai pas envie de passer des heures pour expliquer ou me justifier. Alors je sors mes rêveries seulement devant un public très intime. L'idée de me faire sermonner par un tatillonnant (et charmant!) supérieur m'inspirait beaucoup quand j'étais ado. Puis, pour mieux me faire comprendre mes erreurs...

...j'étais sollicitée de baisser ma jolie jupe droite réglementaire pour une bonne fessée le derrière à l'air.

Parfois dans l'intimité d'un bureau, parfois devant les autres recrues. Selon mes envies du jour. J'aimais particulièrement imaginer une suite avec exercices de parade dans lesquels pour donner exemple aux autres, je devrais accomplir les pas avec mes fesses rouges toujours à l'air. Mon chéri avait adoré tout de suite mon petit scenario.

et moi qui croyait avoir des fantasmes étranges !

Bref, une fois l'idée implantée dans sa tête, nous sommes rapidement passés à l'acte. Après un petit shopping dans une magasin de farces et attrapes, Monsieur muni d'une cravache et moi seulement habillée de cuissardes hautes avec ma toute nouvelle casquette militaire. Ayant une longue expérience dans la danse, je n'ai eu aucun mal pour apprendre à marcher au pas. Exercice hautement rythmique qui me plaisait beaucoup dans le sens de m'émoustiller particulièrement. Sans oublier la satisfaction narcissique d'une mise au centre de l'attention de mon nouveau compagnon. Évidement pour comprendre un tel fantasme et surtout son effet dans l'entrejambe, il faut se détacher de toute rationalité. En fait, on parle rarement de l'activité motrice, grande source de plaisir pour les petits enfants.

C'est justement cette motricité imposée qui me faisait jouir en accomplissant ma parade.

N'en parlons pas de la stimulation supplémentaire par la cravache. Bref après un entraînement digne d'une cour de caserne, j'ai dû me rendre au pas cadencé dans la chambre pour une mission spéciale.

Détendre en urgence mon supérieur qui en me dirigeant n'était pas du tout resté de marbre...


Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !

Fessée amateur (plusieurs clips)










Belle technique (petit clip)





Je veux la même (en bas de l'écran)








mercredi 29 mars 2017

994 S'afficher résolument fessée ! (Mercredi cinéma)

Vive la fessée décomplexée !

A chaque génération son petit truc à montrer. Et pourquoi ne pas un fessier qui rougit en direct. Peut-être une sorte de crise d'adolescence à retardement. Comme si devenir adulte passait par afficher les différences avec la génération précédente. Je ne sais pas encore ce qui m'attend avec ma fille dans quelques années, mais concernant sa vie sexuelle je serais une maman cool et compréhensible. Ouverte aussi à la discussion sans me laisser bouffer par les tabous.

Quand moi j'étais ado, sur un niveau sage c'était le retour des bas sous forme de dim-up. Sur un niveau de responsabilité arrivait le « sortez couvert » avec les préservatif aux parfums différents dans les sacs des filles. Voila qui pointait largement vers la « mode » de la sucette qui d'ailleurs était le grand sujet avec mes copines. N'oublions pas le BDSM chic qui faisait danser en boite de nuit bien de filles comme moi en cage moyenâgeuse. En tenue suggestive avec un collier en cuir autour du coup, très inspiré par les punks. Puis plus tard s'était l'épilation intégrale. En train de se libéraliser, elle n'était plus que le dada de quelques naturistes d'un certain âge, mais un souci d’esthétique qui cherchait son entrée « dans la norme ». Voila qui donne que de nos jours les poils restent un truc pour nostalgiques. Même mon homme pourtant d'un âge bien posé s'est mis. Enfin c'est plutôt moi qui insiste et je suis toujours pliée de rire quand je lui annonce sa prochaine séance à la cire effectuée par les soins.

Je ne m'attribue pas une particularité certaine, parce que le martinet est encore en usage à la maison.

Toutefois sa présence m'est chère comme celle de nos autres instruments. Et ce n'est pas sans un sacré trouble qui me prend toute entière que je me consacre régulièrement à leur entretien. Monsieur aime bien -sans que cela soit systématique- que j'accomplisse ce travail toute nue devant ses yeux. Petit rituel qui l'ému fortement et il n'est pas rare que je reçoive une bonne fessée ludique à la main avant de m'y mettre.

Parce que tu es tellement séduisante avec ta tenue de circonstance !

Entendons par là un fessier joliment rouge qui gigote pendant que je me consacre à cirer nos instrument de discipline. Disons qu'il n'est pas dans mes intentions de m'afficher dans une telle intimité au bon savoir de mon entourage. Mais l'idée de pouvoir accrocher quelque part un martinet, sans qu'il y ait confusion avec notre enfant, me tente pas mal. Ah oui, les plus important peut-être. Autant que je suis décomplexée concernant l'emploi de la fessée coquine, autant que je suis émoustillée par la délicate honte de de voir avouer que …

...ce martinet sert uniquement quand je n'ai pas été bien sage !

vendredi 24 mars 2017

993 Liens de discipline domestique (263 ème édition)

Au menu cette semaine : Séduisant voisin du pallier...


Il est canon le voisin. Non pas celui sur les photos, mais celui qui venait d'aménager un jour dans l'immeuble où j'habitais. Il ne s'est jamais rien passé entre nous, mais il m'a fait transpirer de nombreux soirs sous me couette quand ma fantaisie s'emportait. En fait quand j'étais célibataire, il y avait des hommes qui m'inspiraient une fessée et d'autres qui m'inspiraient une débridée partie de jambes en l'air. Certes, l'un n'exclue pas l'autre, mais trouver les deux à la fois n'est pas une évidence. Mon élégant voisin aux bonnes manières de la cinquantaine triomphante rentrait sans le moindre mal dans les deux catégories. Seulement, hélas son faible concernait les dames de son âge. Envers moi, il sortait plutôt un ton paternel et bienveillant, disponible avec mille et un conseils pour mes petits tracas de la vie quotidienne. Et combien de fois, il m'a dépannée concernant des pannes techniques.

Pensez à mettre la prise avant de vous énerver envers le fabricant, isabelle !

Il n'avait rien compris celui-là, ce n'est pas envers le fabricant que se portait mon courroux, mais envers un certain voisin inaccessible à mon charme. Alors j'ai choisie l'option rêverie. J'imagina par exemple recevoir une bonne fessée de ses main, moi allongée sur ses genoux. Déculottée cela va de soi. Pour en avoir abusé de sa serviabilité et de sa gentillesse. Mais très vite j'ai envisagé une constellation encore plus émoustillante.

J'imaginais que les dames frappant à sa porte allaient recevoir de claquantes fessées.

Et moi dans mon lit, je devenais témoin auditif de leur différents comportements pendant cette action qui met la peau fessière à rude épreuve.

Il y a en avait qui semblaient rester de marbre. Malgré une cadence soutenue pas la moindre réaction audible. Ni sous forme de soupirs de brûlure, ni sous forme d'une excitation montante. Heureusement il y avait aussi des dames expressives. Allant de petits cris d'agrément au belle crises hystériques. Et surtout, Monsieur mon voisin avait l'air doté d'une main inépuisable qui savait imposer à ses dames une superbe cadence.

Entre mes séances de vilaine main, qui contrairement à sa métaphysique en couple, ne me pose pas la moindre question, je me suis aussi penchée sur quelques réflexions de l'ordre pratique à tête reposée.

Que dire à son voisin qui nous a tapé dans l’œil pour recevoir une bonne fessée ?


Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !



Dame de caractère (mini clip)









Punie (petite série)






Fessée disciplinaire (petit clip)






mercredi 22 mars 2017

992 Fessée très coquine (Mercredi cinéma)

Celle qui fait oublier que la fessée à sa base est une punition !

Non, je ne suis gênée pour surprendre mon chéri en écolière adulte, tenue à l’appui pour un petit jeu autour de la fessée. Justement parce qu'avec lui, il n'y a pas d'association dévalorisante comme « attardée » par exemple. C'est un détail qui compte, car dame dévalorisée même sous couvert d'humour, rime pour moi avec une bien moindre envie de recommencer. Ce que j'attends moi, c'est l'enthousiasme de mon homme. Qu'il en bave. Qu'il ait un effet « tout à moi », cette jubilation caractérisant l'ado qui part pour la première fois de sa vie à la découverte intime d'une fille de son âge. Évidement les mauvaises langues trouveraient tout le mal du monde dans ces scénarios d'écolière. Ce que j'en retiens ce sont leurs association spontanées qui me me paraissent pas anodines. Bref pour moi ce jeu est un véritable bain de jouvence, un retours vers une autre époque, vers une adolescence qui n'a jamais existé. Déjà je trouve mon compte dans les préparatifs. Mon cœur bat très fort pendant que je compose ma tenue censée de séduire mon grand amour. Et vu que nous sommes dans un jeu, toutes les coquineries sont permises. Comme la jupette vraiment trop courte qui montre la naissance de mes fesses à chaque pas. Comme un chemisier blanc, à la base très sage, mais qui par sa taille et la taille de ma poitrine ne permet plus de fermer les boutons, donnant ainsi un vertigineux aperçu sur mon décolleté. Bon c'est raté pour les nattes avec moi, mais il suffit de glisser à l'oreille de mon chéri :

Tu sais, mon papa est très sévère et insiste pour que je porte mes cheveux très courts.

Phrase qui ne laisse pas de marbre mon homme.

Ah bon ? Et il te donne aussi la fessée ?

Comme beaucoup de dames je sais rougir sur commande en guise d'une réponse. Voila qui attise encore plus la curiosité. Tandis que sa main remonte ma cuisse pour se glisser sous ma jupe. Pour y rencontrer une authentique culotte blanche en coton. Même au travers du tissus, il est facile de mener d'intéressantes études anatomiques. J'aime quand le suspense dure en appréciant le plaisir de me faire tripoter par une homme qui n'est pas pressé. Sorte de jeu de docteur pour vérifier sur place si une fille émoustillée mouille bien sa culotte. Puis un premier doigt se glisse sous l'élastique découvrant ainsi la douceur d ma peau.

Mais tu n'as pas le moindre poil !

Je me suis épilée rien que pour toi. Tu aimes ?

Aucun doute, il aime. Sans avoir oublié la fessée...

Tu reçois la fessée cul nu ? A la main ?

Ah ces garçons. Quelle indiscrétion et accessoirement quel vocabulaire.

Mais non, je suis trop grande pour la main. Nous avons un martinet.

Je me libère de la main baladeuse pour lui montrer comment on reçoit le martinet. Je lui tourne mon derrière pour baisser ma culotte devant ses yeux émerveillées, puis je me penche - mes jambes légèrement écartées - sur le dossier d'un fauteuil.

Mais on y voit tout !

Cela fait partie de la punition. Je n'avais que mieux me comporter.

La main baladeuse s'empare de mon entrejambe, tandis plus vers l'arrière je sens les égarements d'une langue. Son indécence qui fait rougir une dame sans lui claquer ses fesses en faisant des caresses baveuses et très intimes qui m'évoquent un honteux :

Pas par-là... ...Oh ! Oh oui ! OH ouiii...

Puis au lieu de me faire punir, vilaine écolière que je suis, je me sens doucement pénétrée en levrette de la manière la plus classique au monde. Et c'est seulement maintenant que commence ma fessée. De fortes claques espacées qui me donnent la cadence et à laquelle je me cale sans le moindre mal. Je me sens brûlante de partout, sensation de plus agréable. Il n'y a aucune notion de douleur, mais sais d'avance que la couleur de mes fesses me surprendra plus tard par son intensité. Mais ce n'est rien en comparaison à ce qui se prépare dans mon bassin. Mon homme aime que je sois bruyante et je ne me prive pas...

vendredi 17 mars 2017

991 Liens de discipline domestique (262 ème édition)

Au menu cette semaine: Chercher ma fessée pendant...


Dans notre couple c'est Monsieur qui balade sa main et moi je le laisse faire. Il ne s'agit pas d'une timidité de ma part. Je trouve mon compte de me transformer en leurre, car j'adore que l'on nourrisse mon narcissisme avec doigtée. C'est un vrai bol d'air pour moi de me sentir désirée... physiquement. Avec les beaux jours, parfois, la petite à l'école, nous profitons pour une balade matinale, à deux, en amoureux. Hors vacances scolaire et autres périodes touristiques, il n'y a personne dans notre belle montagne. Ce qui permet de nous adonner à des coquineries en pleine nature. Une fois pomponnée, Monsieur me regarde d'un air surpris. Presque déçu.

Qu'est-ce que ce truc, isabelle ?

C'est rare que monsieur s'attarde autant sur un des mes achats vestimentaires. Visiblement il ne sait dans quel registre ranger ma nouvelle courte veste en cuir.

Je ne peux pas toujours mettre des tailleurs jupe...

Zut, il n'a rien compris à mon ingéniosité vestimentaire. Ce matin il fait très bon et je connais trop bien son penchant pour m'inviter de me mettre à l'aise une fois sur un sentier calme. Me mettre à l'aise, cela veut dire enlever ma habituelle jupe et continuer la promenade les fesses à l'air. De préférence mes jambes gainées par des bas et porte-jarretelles. Non, sur ce point il n'est pas original, plutôt répétitif, mais je l'aime avec ses petits défauts.

Toutefois il ne tardera pas à comprendre ma stratégie. J'ai choisi une robe qui se boutonne par devant et qui permet de l'enlever sans défaire mes hautes sandales. En un clin d’œil ma nouvelle veste met en valeur ma chute de reins et mon aussi tout nouveau string en cuir.

Laisse moi deviner, isabelle, on va participer à une réception sadomaso chez Blanche Neige et les sept nains ?

Pff... Tu te moques toujours de moi.

Je le laisse continuer avec quelques autres piques, sachant très bien que j'aurais le dernier mot. Mon plus précieux allié, son inconscient se mettra comme d'habitude à mon service en stimulant le flux sanguin. Ma courte veste fait un effet fulgurant qui se voit. Maintenant c'est moi qui rigole.

Tu mériterais une bonne fessée isabelle !

J'y compte bien !

Et effectivement je peux compter sur la complicité de sa libido.J'ai beau à lui proposer - manière de voir - une petite gâterie, rien à faire. Tant pis. Je prendrai mon dessert plus tard. Avec un fessier qui brûle intensément. Car me fesser en pleine nature émoustille particulièrement mon chéri.
Allongée sur ses cuisses, rien de ce qui se passe dans son caleçon m'échappe.

Il est au garde à vous en extase devant ma nouvelle veste et apprécie hautement mes gigotements.

Une fessée en pleine nature est toujours une grande aventure. Le son se propage loin et on est jamais à l'abri d'un témoin. Surtout aujourd'hui. Après un long tripotage de mon entrejambe, Monsieur a décidé de me pencher « à chaud » contre un tronc d'arbre pour profiter de mes fesses bien rouges. Et sagement j'ai adopte une position qui lui permet un joli moment de détente en mode vanille. Monsieur s'est réconcilié avec ma nouvelle veste qui sent bon le cuir. Il m'a même demandé de la garder à la maison, rien que la veste et mes sandales au moment de mon dessert. Mon dieu : Quelle forme ! Le printemps est une saison bénie.

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !













Belle sonorité (petit clip)








mercredi 15 mars 2017

990 La poésie de la fessée déculottée

Une démystification de « la force de frappe » !

Un petit clip pour illustrer mes propos et qui me plaît autant pour sa touche d'esthétisme que pour une intensité soutenue sans abus. Nous sommes loin du cliché d'un monsieur qui se défoule sur le popotin de sa dame à la façon d'un règlement de compte style « Ok Corral ». Ceci dit contrairement au cliché de la femme fragile, une grande fille n'est pas en sucre. Son popotin rembourré peut résister au salves de claques du monsieur avec une aisance qui frôle l'insolence. Il suffit de voir le triomphe dans mes yeux quand Monsieur se plaint du mal à la main...

Je connais bon nombre de personnes dans la génération de mon homme qui ont reçu la fessée. Mon homme y compris. Contrairement aux histoires romancées sur la fessée enfantine, revues et corrigées par la puberté et son cocktail survitaminé d'hormones, il n'a vu rien d'érotique dans ces punitions pour en faire l'éloge de cette époque de sa vie. Si concernant le côté douleur il garde plutôt un souvenir du style même pas peur, même pas mal, son rancune se porte avant tout sur le cérémoniel du déculottage qu'il a vécu comme une grande humiliation. Idem pour d'autres personnes qui m'ont faites des confidences. Et si plus tard il y avait...

...érotisation de la fessée, elle se porte justement sur l'élément d'une pudeur mise à rude épreuve et nettement moins, voire pas du tout sur un plaisir dans la douleur.

Pour ma part je n'ai pas connu la fessée comme pratique punitive. Par contre je me souviens très bien des menaces d'une bonne fessée déculottée, notamment de la part de ma mère. « Auf de blanken » (sur un derrière qui n'est pas couvert) comme on dit en Allemagne moitié pudiquement, moitié moqueur. Avec la variante :

Man sollte dir mal géhôrig de nacktes Arsch versohlen !

(Tu mériterais une bonne fessée cul nu). Promesses vides me concernant et tant mieux ceci dit. Mais un défoulement verbal aussi peut avoir des suites. Les expressions employées se sont vite emparées de mon imaginaire. De plus le terrain était fertile. Depuis toute petite j'ai gardé un brin d'exhibitionniste qui me procure une grande volupté quand j'ai l'occasion de montrer mon derrière tout nu.

Enfin pas à n'importe qui !

Mon plaisir se décuple encore quand mon homme m'impose fermement - par une belle formulation adaptée à la situation et non pas la force - de me déculotter pour recevoir ma fessée. Sur la même longueur d'onde que moi, la sensation de la fessée se trouve reléguée au deuxième rang et notre petit ménage tourne dans sa majeure partie autour de ma nudité fessière ou intégrale avec toutes les variantes possibles. En profitant au maximum de la riche variété de tenues disponibles pour dames pour mettre en valeur la zone concernée du corps.

Ceci dit sans un certain dégrée de douleur une fessée ne sera jamais une vraie fessée et se terminerait sur une impression de promesse non tenue.

Heureusement mon homme sait me claquer le popotin vigoureusement que ce soit à la main ou avec un instrument sans qu'il ne s'installe tout subjectivement un sentiment de souffrance. Avec lui...

...je me sens punie de manière réaliste.

Ce qui est fort satisfaisant et le but de la manœuvre. En notant que la petite voix en moi n'exige pas d'épreuves particulièrement intenses et de son côté pour apaiser son besoin de punir mon homme éprouve grand plaisir à la « composante psychologique de m'éduquer » et en mettant l'accent sur le visuel après ma correction.

La discipline domestique passe avant la pudeur !

Voila pourquoi il est fervent adepte du coin et aussi du ménage punitif qui laisse mes fesses bien en vu. Comblant ainsi mes tendances exhibitionnistes et névrotiques. Je reviendrai sur ce dernier sujet une autre fois...

vendredi 10 mars 2017

989 Liens de discipline domestique (261 ème édition)

Au menu cette semaine : Ces charmants messieurs du voisinage


C'est à l'adolescence que mon regard s'est détourné des garçons de mon entourage vers les messieurs d'un certain âge. Notion tout à fait subjective qui concernait à l'époque les hommes de 35 à 45 ans, dans la force de l'âge. Comme « disait » Hannibal Lector, on convoite ce que l'on voit tous les jours. Je trouvais subitement que les pères de certaines de mes copines étaient tout simplement canon. Notamment quand un physique avantageux se jumela à une élégance vestimentaire. Toutefois mon regard alla vite plus loin que les simples apparences et un de mes critères favoris devenait le... caractère et plus précisément le parfum enivrant d'une certaine sévérité. Qualité ô combien manquante à mon Papa qui pour les reste représentait et représente encore pour moi une personnalité de plus avenante.

Il en va de soi pour moi qu'un fantasme comme la fessée travaille en grande partie une ado de manière inconsciente. On ne se rend pas encore compte que nos choix sont moins le fruit d'un hasard, mais expression de nos désirs charnels le plus profonds. Bref l'appel d'un monsieur, en apparence compatible avec mes fantasmes, un Monsieur Pan-pan cucul ne me laissait pas indifférente. Quand alors ma meilleure copine me parlait du « caractère rigide » de son géniteur et de ses « élans de sévérité » mes pensées tournèrent moins autour de la compassion, mais prirent la forme d'une rêverie de plus érotique. Dans une je me voyais grondée avec ma copine par son père qui jugea notre comportement inadmissible et décida par conséquence d'un recours à la bonne veille fessée. L'une après l'autre, déculottées bien évident, mais sans dépasser un registre purement punitif et chaste. Dans une autre rêverie je fus témoin d'une fessée appliquée à sa fille, tandis que moi je me tirais par un avertissement :

Estime-toi heureuse que tu ne sois pas ma fille, isabelle !

Enfin non, je ne m'estimais pas heureuse du tout. Plutôt lésée d'une satisfaction particulière. Puis il y a avait la rêverie, moi et le monsieur, seuls... Bien que ce brave homme a toujours eu une conduite irréprochable à mon regard, il devenait dans mes rêveries l'objet de tous mes fantasmes. D'ailleurs ma fessée ne fut qu'un prélude à une torride érotisme, mélange subtil de mes expériences avec les princes charmants de mon âge et mes projections concernant un vrai homme.



Chacun voit midi à sa porte ! L'article montre une visions moins limité que la mienne, car il aborde le BDSM dans une sens large. Effectivement faire une sortie du placard ne me gênerait pas vraiment devant certaines personnes de confiance et avec l'esprit ouvert comme ma famille ou des amis/amies très proches. En fait ma réticence concerne moins une métaphysique de la honte, mais des conséquences néfastes ou irrémédiable sur mes relations sociaux. Et comme je constate, mon « inhibition naturelle » se justifie aussi parfaitement à cause des textes de la loi. Comme explique bien l'article...

...la fameuse notion du consentement n'a pas de valeur juridique.

Par conséquent il me semble futile par exemple d'argumenter avec des personnes qui voient dans la discipline domestique une forme de violence conjugale. La loi est de leur côté et c'est seulement un changement de la loi qui pourrait changer le regard. Ceci dit, l'appréciation dépend des pays. Je me souviens d'un fait divers de BDSM extrême, survenu il y a une vingtaine d'années en Allemagne qui a occupé la plus haute court de mon pays pendant un moment. En fait, la loi définit certains méfaits graves justement par leur caractère oppositionnel à tout consentement...

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !





















mercredi 8 mars 2017

988 Homme pressé...

qui fesse fort !

Prestation impressionnante et surtout quelle rapidité. Enfin, à priori je n'aime pas les hommes pressés. Notamment la variante « homme très occupé » que j'aie pu rencontrer à différentes occasions. Dans le privé je pencherais pour une mauvaise organisation, dans le cadre du travail à une mauvaise capacité de déléguer. Ceci dit quand il travaille mon homme n'aime pas être dérangé.

Tu me montreras ton nouveau rouge à lèvres plus tard, isabelle !

Oh quel mufle ! J'avais tellement envie de partager avec lui ma joie de vivre sur le champ. J'attends quelques secondes, indécise. Il décroche de son texte, réajuste ses lunette, puis me regarde. Un sourire se dessine sans trop le montrer, devant une isabelle de plus en plus triomphante.

Très joli, mais j'ai pas le temps maintenant.

Je me mets à côté de lui, mon derrière à porté de ses mains. L'occasion aussi de lui faire sentir mon parfum du jour. Non, je ne suis pas une em...erdeuse, ostensiblement narcissique et futile qui ne pense qu'à elle. Déjà nous sommes lundi matin et je sais qu'il est encore dans les préparations, dans la docu, dans la réflexion. Il ne s'est pas encore plongé dans cette concentration fructueuse que je ne dérangerais pour rien au monde. Par contre je suis au courant de ses fantasmes et je me souviens très bien quand il m'a parlé de sa préparation pour le bac. De ses envies subites, de sa vilaine main sous son bureau et de la tentation de ses revues de charme pour une petite détente avant de se jeter dans les obligation.

Cela se tient, chez certaines personnes la soif de savoir est convertible en excitation sexuelle.

Ajoutons à ceci chez les scientifiques un amour pour la vérité qui est une manifestation de masochisme pur dans une société moderne. Bref je soupçonne fortement mon chéri certains jours, comme ce lundi-là d'emprunter du moins dans sa tête les chemins de son adolescence. Alors pourquoi ne pas anticiper et de m'en charger de sa détente. De prendre cette initiative qui me procure un grisant sentiment de toute puissance. Mais aussi une monté d'adrénaline due au fait que jouer avec le feu comporte certains risques.

Et si on donnait à tes fesses la même couleur que ton rouge à lèvre ?

Je sens dans mon dos une main qui est en train de me baisser la fermeture éclair de ma jupe. Sans manquer après s'avoir débarrassé de ce qui gêne une bonne « accessibilité ». Sans perdre de temps je me trouve sur ses genoux pour une séance de discipline libidineuse. Monsieur claque fort et heureusement il n'y a personne pour nous entendre. Mais l'idée d'un bienveillant témoin acoustique ne me déplaît pas et stimule mon excitation.

Tiens, isabelle reçoit sa déculottée hebdomadaire ! Tu va voir après elle nous fera du ménage toute la journée, commencé par l’aspirateur.

Monsieur ne s'éternise pas sur mon fessier. Une fois la bonne teinte devant ses yeux il s'arrête. Enfin, sans oublier une très sonore finale.

Voila qui fait du bien !

Puis pensif il passe un doigt dans mon entrejambe. Hamlet a un point crucial de sa vie.

Quelle voie choisir... après cette copieuse fessée rougissante ?

Une levrette dans la règle de l'art pendant laquelle je me laisserai aller sans la moindre retenue. Ou une visite par la porte discrète pendant laquelle je me monterai plutôt guindée en essayant de retenir mes soupirs profonds et langoureux comme il convient à une élégante dame. J'aime dans ce genre de rapport que ma respiration se cale sur les va et viens. Que monsieur m'impose un rythme lent et déterminé. Bref nous sommes loin d'un homme pressé et je sais qu'aujourd'hui il travaillera encore le soir quand notre petite se sera couchée. Notons que le coup de fouet matinal me donnera un péché d'enfer ? Mes fesses trop brûlantes pour me vautrer sur mon canapé je me trouverai mille et une occupations à la maison. Commencez par passer l'aspirateur.

vendredi 3 mars 2017

987 Liens de discipline domestique (260 ème édition)

Au menu cette semaine : Changement de rituel


Tu m'écoutes, isabelle ?

Euh.. pas vraiment...

Non, je ne m'en vante pas. Loin de moi aussi de vouloir mettre en doute l'autorité de mon chéri en me montrant insolente. Car c'est son autorité qui me plaît (parmi tant d'autres attitudes) en lui et sa façon de la faire respecter. Peut-être parce que mes valeurs irrationnels trouvent leur compte dans une hiérarchie qui mélange morale et émoustillement. Mais bien que je réponde à toute petite voix, il y a quelque chose en moi qui considère cette scène dans le bureau de mon homme avec un air moqueur. Me voici avec une belle jupe droite fendue qui permet un troussage facile. A genoux sur un coussin, mes fesses à l'air et ma culotte autour de mes chevilles. Non, pas de cheminée, je n'aime pas l'odeur. Je suis une fervente adepte du confort moderne.

Comme il sait parler avec éloquence !

Qualité rare et par surplus je le trouve fort juste dans son sermon. Il relève sans faille mes petits défauts qui réveillent habituellement mon besoin de punition.

Ah comme la vie est belle avec un derrière qui brûle, mes fesses toutes rouges et une voix rassurante qui m'explique comment améliorer mon comportement !

Nous ne sommes ni dans un registre psychoanaleptique, ni clérical, ni philosophique ou encore mystique de tout genre. Plutôt bienveillant paternel sans oublier que dans notre maison règne une discipline stricte.

Je ne veux plus d’excursion au frigo en cachette.

Je l'ai bien cherché. Effectivement c'est moi qui fait ch...ier Monsieur du matin jusqu'au soir avec mes problèmes de poids. Il doit en avoir marre. Mais au lieu de ne plus s’intéresser à mon souci numéro un en attendant l'été, il m'écoute avec patience et sait me prêter main forte. Pour ce il utilise un bon martinet « familial » à manche jaune pour me montrer que malgré mon attirail de séductrice, malgré mon âge que j'aie encore besoin de discipline traditionnelle.

Rappelle-moi ta dernière déculottée, isabelle !

Je rougis, la sauce commence à prendre. L'air surréaliste de la scène se fait discret et la petite voix interne qui a envie de se moquer de moi est en train de se taire.

On va te ramener à la raison.

Oui, il arrive parfaitement de me ramener à la raison. Non pas à cause d'une fessée démesurée, mais à cause de son attention. Pas un mot de travers à cause de mon surpoids, pas une dévalorisation quelconque de ma personne, ni même pour ma faiblesse de empiffrer compulsivement. Au contraire il arrive que je me sente à l'aise dans mon corps. Et en voyant me battre avec mes guêpières, il a su intervenir efficacement. Avec une nouvelle guêpière... à ma taille. Cadeau pour la Saint Valentin. Hautement confortable à porter, même en étant à genoux sur mon coussin en cuir. Malgré ou plutôt à cause de le gêne qui m'évoque le sermon, je me fais trahir par mon entrejambe sous le regard amusé de Monsieur.

Rappelle moi ta dernière masturbation, isabelle !

Là je rougis profondément, car après ma dernière correction j'ai eu recours à la vilaine main. En faisant du coin dans le bureau de mon chéri je n'ai pas pu résister à la tentation quand il était partie pour un bon moment. Il a dû le sentir et s'adapte sans le moindre mal à la nouvelle situation. Il me tend un appareil de massage intime.

Je veux voir et entendre une très vilaine fille au coin.

Comme il a le sens pratique mon chéri. Il sait a quel point j'aime me laisser aller devant lui...


Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !












Solide et méthodique (petit clip)











mercredi 1 mars 2017

986 La copine sévère (Mercrédi cinéma)

A chacun et chacune ses fantasmes

Un peu... beaucoup caricaturale cette fessée ce qui fait justement son charme à mes yeux. De l'un côté deux grandes filles toutes nues avec de belles fesses rouges, de l'autre la sévère copine, parée pour souligner son autorité de lingerie sexy qui donne une jolie touche de fétichisme vestimentaire. Selon le psychanalyste Michel Mogniat...

...il y a principalement deux types de fétiches dans le vêtement féminin ; il y a "l'enveloppant" qui cache le corps ou une partie du corps et il y a "l'attachant", que le fétichiste va percevoir comme une contrainte imposée au corps de la femme, à la partie du corps concernant le fétiche. 

Comme développe l'auteur par la suite, le porte-jarretelles semble particulièrement apprécié, car il est autant attachant par le biais des bas qu'enveloppant, car cachant par le biais de la petite culotte l'entrejambe de la dame.

Mais ce qui me saute encore plus aux yeux dans ce clip, c'est le côté caricatural d'un fantasme à vocation de rester un pur fantasme. Car il me semble peu probable qu'il viendrait à l'idée de trois filles de réaliser une telle constellation avec celle qui punit ainsi vêtue. Enfin on aime ou en aime pas, mais il existe bon nombre de personnes qui rejettent ce genre de clips en bloc pour son côté irréaliste. Ce sont des personnes qui cherchent du vrai dans le sens d'un vraisemblable, ayant peu de goût pour les situations quelque peu délirantes. Des personnes qui souhaitent ardemment réaliser leur fantasmes avec peu ou pas du tout de déclinaison pour la rêverie ludique.

T'es parmi nous, isabelle ? T'as encore oublié...

Ce n'est pas systématique, mais bien souvent est responsable pour mon oubli une petite fantaisie sous forme de rêve éveillée. J'explore mon côté voyeur ou exhibitionniste selon mes envies, mon côté maîtresse dominante ou de fille sage, mais aussi des galipettes rocambolesques au niveau de la vanille comme un petit truc sympa dans un assesseur par exemple.

Non, je ne cherche pas la réalisation, ni exaltation de ma petite personne.

Je succombe au charme de la distraction imaginaire et émoustillante sans toutefois d'envisager une réalisation. Enfin, l'ambiance dans ce clip n'est pas le « genre de nudité qui me plaît ». Je me verrais mieux dans une scène de nudité intégrale ou encore dans une délirante ménagerie costumée...