jeudi 20 décembre 2012

244 Quoi de neuf sous les jupes des filles ?

Secret de majorette


Voici une nouvelle rubrique dans laquelle je vais me consacrer à ce qui se passe sous les jupes des filles. Un sujet littéralement essentiel pour perpétuer ce monde. Je parlerai de la mode des culottes, des épilations et autres embellissements, des petites rougeurs dues aux corrections, des démangeaison pour s’asseoir, des vilaines mains qui explorent les endroits stratégiques et bien sûr des petites anecdotes personnelles à ce sujet. Voila c'est parti.

La curiosité humaine prend parfois des chemins étranges !

Mon homme a fait partie de ces garçons qui espionnaient déjà très tôt les filles dans les vestiaires. Un jour, pris sur le fait par son institutrice, celle-ci l'a mis sèchement dehors en lui disant :

Ce n'est pas encore de ton âge !

Très vexé, il a dû se résumer de rentrer à la maison sans avoir pu mener sa mission secrète au bout. Il était également connu (selon ses propres dires) à l'âge de trois ou quatre ans pour soulever les jupes des voisines de sa mère. D'ailleurs il s'en souvient encore, notamment des jarretelles couleur chair et des immenses culottes blanches. Puis cette bande de peau blanche qui s'étale entre bas et culotte. Selon ma belle mère cette mauvaise habitude a persisté très longtemps. Et selon moi elle persiste toujours.

Il en va de soi quand je lui ai parlé de mes années de Tanzmariechen, sorte de majorette-danseuse du carnaval allemand, que son intérêt s'est aussitôt porté sur les culottes. En fait il n'avait jamais vu de Tanzmariechen de près pour étudier ses culottes. En bon intellectuel il avait un certain à priori envers les personnes qui se consacrent à une activité qui consiste à lever les jambes en cadence et à parader sur des musiques (quasi) militaires. Toutefois le costume traditionnel, inspiré des uniformes de garde du 18 ème siècle ne le laisse pas de marbre, rien que pour la petite jupette plissée déjà. Alors je lui ai promis pour le week-end une garde féminine en uniforme – rien que pour ses yeux. En lui demandant s'il me souhaitait blonde ou brune, car la perruque fait partie du costume et diffère selon les prestations. Il était particulièrement ravi à l'idée de voir enfin sa « insolente garçonne » avec de cheveux longs.

J'ai toujours eu une grande attirance pour ce qui est rythmique. J'ai eu mes premiers émois frissonnants en accomplissant ce genre de mouvements et il me suffit de regarder ma petite qui elle aussi y prend déjà un sacré plaisir. C'est quelque chose à ne pas sous-estimer pour le développement ultérieur et qui met en rapport direct plaisir charnel et futurs centres d’internet. J'ai également connu le frisson vélo et je ne donne pas tort aux messieurs qui imaginent des agréables effets de frottements chez certaines dames. Concernant le sport de majorette, il y a pas mal de sensations. La courte jupe permet une aisance parfaite du mouvement. Prenant en compte que ce sport se pratique beaucoup en saison froide, les jambes souvent nues et seulement des bottines au pied, on comprend mieux l'expression d'échauffement et la sensation du froid sur les muscles chaudes qui travaillent durement n'est pas à négliger. Puis il y a aussi chez certaines personnes comme moi, le frisson exécuter le mouvements sur commande et de se découvrir par le biais du drill en groupe des automatismes synchronisés. C'est quelque chose qui m'émeut profondément quand on n'entend plus qu'un seul claquement (zut encore, les claquements) ...de talons et quand on rentre avec sa troupe dans une salle comble au pas cadencé avec un grand sourire aux lèvres. Je rassure, je n'ai rien en commun avec les idées militaires, mais la parade je l'ai dans le sang. Coïncidence qui comble mon masochisme social, car selon Einstein...

« ...celui qui défile joyeusement au pas cadencé a déjà gagné mon mépris. C'est par erreur qu'on lui a donne un grand cerveau puisque la moelle épinière lui suffirait amplement. »

Voila une amère réflexion que j'ai eue à mon encontre par un messieur déçu de ne pas avoir gagné mes faveurs. Puis un autre quelque peu spirituel qui voulait m'enseigner la liberté dans la soumission (?!) car j'étais engloutie dans un karma de groupe.

Effectivement selon mes expériences pendant que l'on marche au pas cadencé, le cerveau se met en mode off, ce qui est fort reposant et la moelle épinière transmet des sensations bien agréables. Ne cherchons pas loin, c'est tellement physique et épuisant (hein oui) que les endorphines se libèrent au bout de quelque temps et provoquent un état second.
Le grand jour venu, mon homme prit du temps pour me contempler. Il était ravi de me découvrir en brune. Émerveillement à l'état pur du grand gamin pour qui un rêve se réalise. Ben voilà, le pauvre, en ado timide avait bien entendu reluqué les belles majorettes sans pour autant oser de les aborder. Gêné par un monde fantasmatique pesant, il avait dû mal à accepter son désir de s’occuper de l'éducation d'une provocante majorette, d'une provocante garçonne, étudiante, secrétaire, soubrette et ainsi de suite... Et par conséquence il n'avait pas tenté sa chance avec des filles qui correspondaient parfaitement à ses rêveries de peur d'être dépasser par son souterrain intérieur.

Il en va de soi, musique à l'appui, que je lui ai fait un très belle garde, lui permettant ainsi de se rincer l’œil sous ma jupe en découvrant ma culotte à froufrou. D'une coupe mémère certes, mais nous sommes à la garde dans un spectacle familial et non au crazy horse. Ceci dit depuis j'ai fait des gardes quelque peu spécialisées en string ou même sans rien du tout sous ma jupe. Et inutile dire que d'aussi graves infractions au règlement se payent sur la peau de ses fesses...au claquement cadencé de la musique des majorettes.

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