mardi 18 décembre 2012

242 Discipline domestique pour hommes


Soyons réalistes, cela existe déjà un peu de partout !

Petit sujet, non prévu au programme et inspiré par l'ami Georges. J'ai de manière générale une liste de sujets que j'aimerais traiter, parfois avec des brouillons conséquents. Exercice quelque peu difficile, car je travaille à partir du « logos », simple mot évocateur, sensé de créer un univers. Je ne fais pas partie des blogueurs en manque d'inspiration, mais de ceux et celles qui manquent du temps. Comme aujourd'hui où je ne puis m'engager dans la poursuite de réflexions complexes comme hier.

Donc comme dit en début ce post, je pense que la discipline domestique, imposée par la dame est monnaie courante. Évidement non pas dans le sens qui nous préoccupe sur ce blog, mais quand je regarde en peu dans mon entourage, hein bien ce sont majoritairement les dames qui commandent … dans le couple. Et de manière insidieuse je ne fais pas exception. Comme dit souvent mon homme:

Le chef à la maison , c'est isabelle !

Cela commence dès le petit matin. Il me serait impensable de vivre à avec un homme qui pendrait le petit déjeuner (je ne parle pas du café au réveil) sans être lavé, rasé et convenablement habillé. Avec moi le coiffeur est obligatoire très régulièrement. Je ne supporterais pas une longueur de cheveux sur mon homme qui dépasse une allumette. Cravate le soir pour le sorties en amoureux. Bref je suis très contraignante, mais n'oublions pas que monsieur en bon adepte de la DD me souhaite inspirante dans ma présentation. Alors je ne fais que lui rendre la pareille. Quant à la maison c'est moi qui choisit tout, les sols, les décorations des murs, les meubles etc et c'est monsieur...qui met en œuvre. C'est moi qui choisit les vacances, c'est moi qui..., c'est moi... Mais c'est mon homme qui « impose » la cadence de ce qui se fait. Et là j'ai intérêt à marcher au pas. Et j'adore marcher au pas quand c'est mon homme qui commande !

Je ne jette aucune pierre et aucun regard négatif sur un homme qui manifeste un besoin de discipline sous forme de punitions corporels. On ne choisit pas ses fantasmes. Toutefois je ne saurais être une dominatrice impitoyable et froide comme j'en ai vu certaines qui officient sur leur sites. Mais peut-être dans d'autres circonstances j'aurais pu me retrouver dans un rôle d'une épouse ferme et décidée qui veille sur le comportement de son mari. J'imagine même de prendre vite goûts aux jeux éducatifs et une fois la boite de la Pandore ouverte, me ferais un plaisir d'appliquer un sacré programme d'entraînement à mon champion. Je le guiderais quelque peu maternellement, non pas parce que je le trouve immature ou infantile, mais parce que mon naturel. Sans manquer de main ferme et sans oublier que certains hommes semblent avoir besoin d'une discipline très stricte pour s'épanouir. Je parle bien de discipline et non pas de séances de dressage à quatre pattes ou le monsieur attaché sur une chaise. Plutôt une bonne fessée, bien mérité pour une insolence, style de regarder un peu trop les jupes de mes copines ou pour avoir lâché un blague un peu trop douteuse.

Je ne pars pas de l'idée qu'il soit honteux ou régressif pour un homme de devoir baisser de temps en temps son pantalon devant sa dame pour recevoir de la discipline.

Aucun rapport non plus avec un manque de virilité. Ce qui prime pour moi c'est le courage d'une personne d'admettre à haute voix son besoin de punition et sa bonne volonté de vouloir l'intégrer dans sa vie de couple, dans sa vie amoureuse. Le courage de ne pas s'en fuir dans les bras d'une maîtresse de fortune et de jouer devant moi le mari parfait avec un monde fantasmatique à faire pâlir Monsieur Propre...

Ps : J'ai envie dernièrement de continuer l'histoire de mon couple de DD inversée, Éléonore et Georges-Henry.

3 commentaires:

  1. Désir de discipline
    Je suis en fin d’activité professionnelle et j’aime venir voir de temps en temps les sites web racontant des histoires de fessées, de déculottage en public, de mise au coin et de fesses rouges.
    Je visite régulièrement depuis trois mois environ plusieurs de ces sites qui comportent récits et photos, retrouvant certaines des sensations que j’éprouvais lorsque je subissais la fessée déculotté dans ma jeunesse, j’ai un souvenir particulièrement cuisant d’une fessée déculotté dans le jardin lorsque j’avais huit ou neuf ans, une fessée à main nue qui se termina par un re-culottage dans un slip garni d’ortie fraiche, je ne vous raconte pas l’état des fesses et les brulures. J’ai assisté à plusieurs déculottage et fessées de garçons ou filles à l’école primaire et plus tard j’ai vu une de mes tantes un jour de repas familial menacer plusieurs fois l’un de mes cousins d’un déculottage s’il poursuivait ses pitreries, il avait douze ans mais la troisième fois sa mère l’a tiré par le bras, debout au milieu de la pièce, lui a baissé short et slip puis cinglé quelques claques sur les fesses en le mettant au coin, fesses nues. Mais cela se passait il y a près de cinquante ans.
    De la théorie à la pratique le premier pas
    Il y a un mois environ j’ai montré à ma femme Marie, quelques unes de mes découvertes, elle en fut un peu surprise car au cours de nos nombreuses années de vie commune je n’ai jamais fait mention de mon intérêt pour ces pratiques, d’un naturel pudique, elle se dit offusquée par ces méthodes et refusait catégoriquement de s’y soumettre. Nous avons commenté les scènes évoquées, son intérêt me semblait nul pour tout ce qui peut ressembler à de la soumission. Elle me posa la question de savoir si j’accepterais ce genre de traitement pour moi même, s’attendant à une réponse négative mais je laissai planer le doute par une réponse équivoque : pourquoi pas.
    Une dizaine de jours plus tard, l’idée avait peut-être fait son chemin, Marie m’avait demandé plusieurs fois dans la matinée d’aller chercher la poubelle, après le repas, cherchant le container des yeux elle me dit : lorsque les enfants n’obéissent pas je les mets au coin, tu m’a dis que tu aimerais être puni, je vais aller chercher la poubelle mais tu te mets au coin, tu es punis comme les enfants. J’ai eu une seconde d’hésitation je suis allé au coin, derrière la porte du bureau comme le font les enfants. Marie est allée chercher la poubelle au bord de la rue, en rentrant elle est venue voir si j’avais obtempéré mais elle voulu rectifier la position en me faisant mettre les mains derrière le dos, je jouais le jeu. Au bout de quelque minutes, le prenant comme une plaisanterie, je pris une revue pour meubler l’attente, par provocation et aussi pour voir la détermination de Marie. Un quart d’heure plus tard elle vint voir et marqua sa contrariété devant mon indocilité, elle me fit me remettre au coin et me pria de déboucler ma ceinture puis elle passa les deux mains pour dégrafer mon jean et le descendit aux genoux, je m’attendais à la voir poursuivre l’effeuillage mais elle me fit remettre les mains au dos en disant tu mériterais une fessée déculotté. Nous avions pr évu de faire des courses et peu de temps après Marie me demanda de m’apprêter à sortir la voiture pour l’accompagner.

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  2. De la théorie à la pratique une nouvelle expérience
    Nous n’avons plus parlé de punition pendant plus d’une semaine, noël et les fêtes avaient occupé les esprits puis quelques jours plus tard, en fin de repas de midi comme d’habitude, Marie chercha une boite de chocolat qu’elle avait reçu pour noël, ceux que je préfère, j’avais puisé très largement dans la boite et seuls une ou deux bouchée subsistaient au fond de la boite ; j’ai vu la figure de Marie se figé et me fixé intensément, ce ne fut pas le jaillissement de reproches que j’attendais qui se produisit mais elle me pris par le bras et me conduisit dans le bureau, au coin, les mains sur la tête, quelques minutes plus tard, prise d’une inspiration, elle revint derrière moi, me ceintura pour dégrafer mon pantalon qu’elle abaissa brutalement jusqu’aux chevilles puis, prise d’une nouvelle audace, elle saisit l’élastique de mon slip à deux mains elle le tira vers le bas , le portant aux genoux. Je suis resté ainsi, les fesses exposées pendant plus d’un quart-heure, attendant la fessée qui devait normalement suivre le déculottage mais rien ne vint, Marie vint me libérer et m’annonçant que, c’est décidé, à la prochaine bêtise, je recevrais une bonne fessée.

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  3. Merci pour ce récit, Julien !

    Ce qui me touche particulièrement, c'est de voir s'installer dans un « vieux couple » des nouvelles habitudes. C'est un message très positif à mes yeux. J'aime la manière dont se prend votre dame pour mettre du piment dans votre vie. Un mode d'emploi à suivre sans brûler les étapes.

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