jeudi 29 novembre 2012

227 Faire prendre l'air aux fesses


Un endroit idéal pour te donner une bonne fessée, isabelle !


Que fut grand mon étonnement, un beau jour après une petite marche en débouchant sur un col des Pyrénées avec une superbe vue quand mon homme m'a sorti cette phrase. La tentation de me fesser pour le plaisir, cela lui arrive, mais c'est rare. J'ai vite cru comprendre ses motivations. En me suivant dans la monté, il avait pendant un petit moment mon fessier devant ses yeux. Dans un jeans bien moulant, spectacle que Monsieur apprécie hautement. Inspiré par la superbe vue (laquelle?), il a ajouté un discours quelque peu spirituel. Faisant éloge de le fessée comme une sorte de philosophie de bien-être. Et là je sais qu'il est dans la dérision pour m'amuser. En me décrivant une de ces envies de me claquer bruyamment mon derrière que le son monte vers les cieux pour briser le silence d'une nature majestueuse. Voila ainsi que mon homme, emporté par un élan de plus poétique, me communiqua sa joie de vivre et sa passion hors commun pour la peau de mes fesses.

Et moi je faisais de gros yeux en assurant que j'avais été bien sage ce jour-là. Néanmoins l'endroit était idyllique et peu fréquenté. Émue par cette trouvaille, j'ai commencé à baisser mon jeans par envie de sentir la main de mon chéri.

Euh … par automatisme surtout. Effet secondaire d'une éducation stricte.

Si, si je suis sérieuse là. Nous aimons l'un comme l'autre le romantisme victorien. Quand je fais des bêtises, c'est la fessée. Et même si cela se passe à l'âge adulte en parfait consentement on développe des réflexes. Quand mon homme m'indique de me déculotter, je m'applique rapidement. C'est une situation qui me fait frissonner intensément. Elle m'évoque un vrai rapport d'autorité qui me permet de me sentir toute petite. Grondée avec beaucoup de savoir faire, se dévoile ainsi la faute qui a motivé mon homme pour me rappeler à l'ordre. Au point qu'il me semble parfois qu'il connaît mon besoin de punition mieux que moi et aucune de mes fautes échappe à sa vigilance et donc à juste punition.

Baisser sagement ma culotte c'est une affaire de confiance chez nous.

Ce jour là, il a ajouté :

Enlève tout, isabelle. J'ai envie de te fesser toute nue dans ce paradis.

J'ai hésité pendant un court instant. Il faisait super bon. Pas la moindre brise qui peu être assez frisquette en haute montagne, même en plein été.
L'idée d'éventuel promeneurs ne me dérange pas (sans toute fois oublier la législation sur les bonnes mœurs). En ces coins-là on les voit de loin, de très loin même. Et quand il ne s'agit pas de personnes proches, je me tape pas mal de leur opinion et qu'il me voient nue, les fesses toutes rouges ne me gêne pas vraiment. Je ne fais rien pour provoquer des telles situations, mais quand cela arrive je ne me prends pas la tête non plus. Puis je connais la prudence de mon homme. Donc à priori aucun risque.

Il s'installe sur une grosse pierre et moi je m'allonge toute nue sur ses genoux. Puis c'est parti. Sans se presser. Un jeu de belle sonorité. Monsieur exprime son âme musical et il souhaite que cela s'entende de loin. Vœux exhaussé car la montagne porte les sons. Malgré une belle brûlure naissante, je ne puis m'empêcher de vivre un sentiment de grandiose dans ce cadre exceptionnel. Le seul bruit humain à des kilomètres de ronde émane de la peau de mon postérieur. Je sens mon homme dans un agréable état d'ivresse et il a besoin de laisser libre cours à ses inspirations. Alors il claque fort, je serais tentée de dire solennellement et je sais très vite que j'aurais du mal à remettre mon jeans.

Mais qui suis-je pour interrompre une tel état d'osmose avec la nature environnante ?

Les très longues pauses entre les claques me permettent de distinguer les différentes étapes de ce qui m'arrive. Ce qui arrive à mon homme aussi, veut dire ce qui se passe dans son pantalon. J'aime cette sensation, de me frotter sur lui au travers de son jeans. Et j'en profite pleinement. Je l'entend soupirer et les petits mouvements en dessous de moi m'indiquent son état d'excitation qui va vite en augmentant. Ce petit jeu me fait oublier la douleur dans mes fesses. Quelque gigotements d'une lascivité inouïe, quelques entrevues impudiques de mon mon entrejambe et mon chéri ne se retient plus. Je sens la chaleur humide qui traverse son jeans, puis ses caresses sur mon derrière malmenée qui remplacent les claques.

Quand je me lève j'ai la certitude de ne pas pouvoir me remettre mon pantalon avant un bon bout de temps. Aller vers la voiture, en string, mes fesses en l'air ? Pourquoi pas ? Il n'y a personne à la ronde.

Et je pense, quel joli couple nous formons. Moi les fesses toutes rouges et mon homme avec une superbe tache sur son pantalon.

L'après-midi était bonne, isabelle ?

Excellente mon chéri, excellente !

8 commentaires:

  1. Je dois vous avouer que nous n'avons jamais osé ce genre de choses, de peur de témoins inattendus.

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  2. Allez faire un tour dans les Pyrénées ariègeoises par exemple! C'est un département extrêmement dépeuplé.31 personnes par kilomètre carré. Il n'y a vraiment personne hors saison. Voue ne risquez ...rien!

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  3. J'ai eu la chance de connaître quelques fessées dans la nature et j'avoue avoir vraiment adoré cela. Rien n'égale la peur et l'excitation qu'elles procurent, même si nous avons eu parfois la mauvaise surprise d'avoir quelques témoins ou, pour moi, quelques méchantes piqûres de moustiques... :(

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  4. Alors pour les moustiques aucun risque dans les Pyrénées.Ni d'autres méchants insectes qui s'attaquent aux épidermes fessières. Par contre, il m'est arrivée aussi de faire piquer le fessier lors d'une fessée et étrangement la douleur de la piqûre me semblait amplifiée!

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    1. C'est bon à savoir pour les Pyrénées (en même temps, on s'en doutait)! On a failli se faire dévorer tout crus par ces satanés insectes dans notre forêt est-européenne... étrangement, on n'était pas tellement partants pour se dire que ça faisait partie de la punition. Ceci dit, on a évité le pire, à savoir l'idée de s'installer sur une belle souche - qui en fait été complètement pourrie et abritait une fourmilière.

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    2. Ah la fourmilière ! Se mettre tout nu dans une fourmilière c'était dans le temps en Allemagne un remède maison contre les rhumatismes. L'acide que contient la piqûre de la fourmi est le même que contient l'ortie.
      Pour donner une idée à quoi cela ressemble voila un lien vers un clip. Ma foi, il faut du courage. Le paillasson ne me semble rien à côté de cela.

      http://www.bildschirmarbeiter.com/video/nackt_im_ameisenhaufen/

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    3. Lol...

      Vue la réaction du brave gars, ça a l'air assez efficace. (Mais le genre de vidéo "Jackass" avec éclat de rire des témoins du pari est plutôt énervant...)

      Je dois avouer que je ne me sens pas tenté du tout. Plus que la douleur, c'est le grouillement des insectes qui me refroidirait ! J'en resterai aux paillassons et aux orties... ;-)

      Sinon, joli post... De quoi faire envie ;-)

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  5. Je ne sais pas, mais quand j'ai découvert ce clip j'ai pensé aussitôt à toi et tes puni(e)s du jeudi. Il ne va de soi que cela ne me tente pas non plus!

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