Il
fallait le faire depuis pas mal de temps, mais ce n'est vraiment pas
un plaisir. Alors j'ai profité du mauvais temps pour bosser et bien
évidement j'ai envie que cela se sache, d'où ce post sans réel
contenu ! M'enfin cela fait pas mal de récits sur deux mois...
Voici donc les derniers ajouts à
ma page Anecdotes et Récits
Sur le mur accroché à
côté de mes ustensiles de cuisine, je vois un martinet, un de ces
trucs à bon marché qui se vendent encore par ici en supérette....
Avant de rencontrer mon
homme quand j'étais encore célibataire j'avais pour habitude de
faire une fois par semaine le « grand ménage » de mon
appartement et ceci dans une nudité paradisiaque ….
Déjà le fait de me
tripoter sans retenue dans l'eau chaude de mon bain mériterais... Ah
comme c'est agréable de m'imaginer des punitions pour comportements
inadmissibles...
Fouillons alors un peu
dans le passé de mon homme pour mieux comprendre. Depuis tout petit
le regard sous les jupes des femmes, c'est sa grande passion.
Notamment quand sa maman nettoie justement le sol...
En très peu de temps mon
homme a su intégrer habilement mes habitudes de célibataire (ménage
à nu) et les petites trouvailles mignonnes venant de notre vie
commune (la déculottée maison, petits tabliers etc) dans sa
« didactique punitive »...
Couple très uni et
quelque peu nostalgique, nous avons su garder une place pour le bon
vieux temps quand les châtiments corporels étaient encore à
l'ordre du jour pour grands garçons en manque de bonnes manières...
La perspective de pouvoir
me passer les nerfs sur la peau des fesses de mon mari me procure un
intense plaisir...
Il est temps alors pour
moi de chercher le martinet et de le présenter à Georges-Henry...
Et depuis il à dû
apprendre, petit à petit, à se plier à mes principes d'éducation.
Je garde toujours un souvenir ému de sa première punition au
martinet...
Vint d'abord le récit
d'un nouveau tour en mon absence dans mon tiroir de lingerie pour
s’imprégner de l'odeur de mes bas et de mes petites culottes. Avec
cette fâcheuse tendance de se frotter ses parties intimes avec mes
jarretelles...
Mais après tout pourquoi
cacher honteusement ce qui peut se vivre au grand jour ?
Alors ayant le sens
pratique j'ai aussitôt exigé de la part de mon mari pour se faire
pardonner et comme preuve d'amour de m'offrir un tel bijoux...
Quand
je suis dans mon coin, après une bonne correction, il se peut que
mon corps manifeste le bienfait de la discipline domestique de
manière très édifiante...
Il me parait
compréhensible que l’acte de ma punition, commencé par mon
déshabillage, la nudité de mes fesses, voir de mon corps en entier,
mes gigotements, cris...
Monsieur a horreur des
poils sur moi. Selon ses dires cela lui coupe toutes ses envies...
Quand
j'étais adolescente j'ai pris beaucoup de plaisir littéralement à
expérimenter l'interactivité humaine. J'étais déjà très
difficile à l'époque...
Tu sais, ce qui me ferait
plaisir, isabelle...Non mon chéri, mais je t'écoute attentivement !
...que tu sortes avec moi un des ces jours sans rien sous ton impair.
L'usage du martinet n'est
pas une question d'âge, isabelle mais une question de besoin.
Prépare-toi !Pour bénéficier pleinement de ce traitement de
faveur...
Pourquoi me demandes-tu
tout le temps de te chercher des livres tout en haut, chéri ?
Pour pouvoir regarder sous
ta jupe , isabelle …
Ce qui se passe dans le
bureau de ma tutrice est avant tout un acte de grande intimité.
Voulu de nous deux. Ma
nudité partielle...
Alors
comme fantasmes il y a entre autres de donner une belle fessée à la
rebelle en jeans et t-shirt pour lui indiquer de main ferme le chemin
vers des allures plus féminines. Disons que ce type de fantasme...
Pensionnat pour jeunes dames (Robert Desnos
1924)
... avec la chambre de la
directrice, femme autoritaire et son arsenal de fouets, de verges et
de cravaches, avec les salles de classes où les chiffres blancs
sympathisent du fond du tableau noir...
Tu mets ton tutu,
isabelle ? Si tu es sages ! Mais oui, on peut aimer la
discipline domestique sans tomber dans une relation ultra rigide...
Pour marquer son autorité
il fait siffler la cravache dans l’air pour me prévenir.
Retourne-toi un peu
isabelle. J’aimerais examiner ta tenue...
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