Un endroit idéal pour te donner une bonne fessée, isabelle !
Que
fut grand mon étonnement, un beau jour après une petite marche en
débouchant sur un col des Pyrénées avec une superbe vue quand mon
homme m'a sorti cette phrase. La tentation de me fesser pour le
plaisir, cela lui arrive, mais c'est rare. J'ai vite cru comprendre
ses motivations. En me suivant dans la monté, il avait pendant un
petit moment mon fessier devant ses yeux. Dans un jeans bien moulant,
spectacle que Monsieur apprécie hautement. Inspiré par la superbe
vue (laquelle?), il a
ajouté un discours quelque peu spirituel. Faisant éloge de le
fessée comme une sorte de philosophie de bien-être. Et là je sais
qu'il est dans la dérision pour m'amuser. En me décrivant une de
ces envies de me claquer bruyamment mon derrière que le
son monte vers les cieux pour briser le silence d'une nature
majestueuse.
Voila ainsi que mon homme, emporté par un élan de plus poétique,
me communiqua sa joie de vivre et sa passion hors commun pour la peau
de mes fesses.
Et moi je faisais de gros yeux en
assurant que j'avais été bien sage ce jour-là. Néanmoins
l'endroit était idyllique et peu
fréquenté. Émue par cette trouvaille, j'ai commencé à baisser
mon jeans par envie de sentir la main de mon chéri.
Euh
… par automatisme surtout. Effet secondaire d'une éducation
stricte.
Si, si je suis
sérieuse là. Nous aimons l'un comme l'autre le romantisme
victorien. Quand je fais des bêtises, c'est la fessée. Et même si
cela se passe à l'âge adulte en parfait consentement on développe
des réflexes. Quand mon homme m'indique de me déculotter, je
m'applique rapidement. C'est une situation qui me fait frissonner
intensément. Elle m'évoque un vrai rapport d'autorité qui me
permet de me sentir toute petite. Grondée avec beaucoup de savoir
faire, se dévoile ainsi la faute qui a motivé mon homme pour me
rappeler à l'ordre. Au point qu'il me semble parfois qu'il connaît
mon besoin de punition mieux que moi et aucune de mes fautes échappe
à sa vigilance et donc à juste punition.
Baisser
sagement ma culotte c'est une affaire de confiance chez nous.
Ce jour là, il a
ajouté :
Enlève
tout, isabelle. J'ai envie de te fesser toute nue dans ce paradis.
J'ai hésité
pendant un court instant. Il faisait super bon. Pas la moindre brise
qui peu être assez frisquette en haute montagne, même en plein été.
L'idée d'éventuel
promeneurs ne me dérange pas (sans toute fois oublier la législation
sur les bonnes mœurs). En ces coins-là on les voit de loin, de très
loin même. Et quand il ne s'agit pas de personnes proches, je me
tape pas mal de leur opinion et qu'il me voient nue, les fesses
toutes rouges ne me gêne pas vraiment. Je ne fais rien pour
provoquer des telles situations, mais quand cela arrive je ne me
prends pas la tête non plus. Puis je connais la prudence de mon
homme. Donc à priori aucun risque.
Il s'installe sur
une grosse pierre et moi je m'allonge toute nue sur ses genoux. Puis
c'est parti. Sans se presser. Un jeu de belle sonorité. Monsieur
exprime son âme musical et il souhaite que cela s'entende de loin.
Vœux exhaussé car la montagne porte les sons. Malgré une belle
brûlure naissante, je ne puis m'empêcher de vivre un sentiment de
grandiose dans ce cadre exceptionnel. Le seul bruit humain à des
kilomètres de ronde émane de la peau de mon postérieur. Je sens
mon homme dans un agréable état d'ivresse et il a besoin de laisser
libre cours à ses inspirations. Alors il claque fort, je serais
tentée de dire solennellement et je sais très vite que j'aurais du
mal à remettre mon jeans.
Mais
qui suis-je pour interrompre une tel état d'osmose avec la nature
environnante ?
Les très longues
pauses entre les claques me permettent de distinguer les différentes
étapes de ce qui m'arrive. Ce qui arrive à mon homme aussi, veut
dire ce qui se passe dans son pantalon. J'aime cette sensation, de me
frotter sur lui au travers de son jeans. Et j'en profite pleinement.
Je l'entend soupirer et les petits mouvements en dessous de moi
m'indiquent son état d'excitation qui va vite en augmentant. Ce
petit jeu me fait oublier la douleur dans mes fesses. Quelque
gigotements d'une lascivité inouïe, quelques entrevues impudiques
de mon mon entrejambe et mon chéri ne se retient plus. Je sens la
chaleur humide qui traverse son jeans, puis ses caresses sur mon
derrière malmenée qui remplacent les claques.
Quand je me lève
j'ai la certitude de ne pas pouvoir me remettre mon pantalon avant un
bon bout de temps. Aller vers la voiture, en string, mes fesses en
l'air ? Pourquoi pas ? Il n'y a personne à la ronde.
Et je pense, quel
joli couple nous formons. Moi les fesses toutes rouges et mon homme
avec une superbe tache sur son pantalon.
L'après-midi
était bonne, isabelle ?
Excellente mon
chéri, excellente !
Je dois vous avouer que nous n'avons jamais osé ce genre de choses, de peur de témoins inattendus.
RépondreSupprimerAllez faire un tour dans les Pyrénées ariègeoises par exemple! C'est un département extrêmement dépeuplé.31 personnes par kilomètre carré. Il n'y a vraiment personne hors saison. Voue ne risquez ...rien!
RépondreSupprimerJ'ai eu la chance de connaître quelques fessées dans la nature et j'avoue avoir vraiment adoré cela. Rien n'égale la peur et l'excitation qu'elles procurent, même si nous avons eu parfois la mauvaise surprise d'avoir quelques témoins ou, pour moi, quelques méchantes piqûres de moustiques... :(
RépondreSupprimerAlors pour les moustiques aucun risque dans les Pyrénées.Ni d'autres méchants insectes qui s'attaquent aux épidermes fessières. Par contre, il m'est arrivée aussi de faire piquer le fessier lors d'une fessée et étrangement la douleur de la piqûre me semblait amplifiée!
RépondreSupprimerC'est bon à savoir pour les Pyrénées (en même temps, on s'en doutait)! On a failli se faire dévorer tout crus par ces satanés insectes dans notre forêt est-européenne... étrangement, on n'était pas tellement partants pour se dire que ça faisait partie de la punition. Ceci dit, on a évité le pire, à savoir l'idée de s'installer sur une belle souche - qui en fait été complètement pourrie et abritait une fourmilière.
SupprimerAh la fourmilière ! Se mettre tout nu dans une fourmilière c'était dans le temps en Allemagne un remède maison contre les rhumatismes. L'acide que contient la piqûre de la fourmi est le même que contient l'ortie.
SupprimerPour donner une idée à quoi cela ressemble voila un lien vers un clip. Ma foi, il faut du courage. Le paillasson ne me semble rien à côté de cela.
http://www.bildschirmarbeiter.com/video/nackt_im_ameisenhaufen/
Lol...
SupprimerVue la réaction du brave gars, ça a l'air assez efficace. (Mais le genre de vidéo "Jackass" avec éclat de rire des témoins du pari est plutôt énervant...)
Je dois avouer que je ne me sens pas tenté du tout. Plus que la douleur, c'est le grouillement des insectes qui me refroidirait ! J'en resterai aux paillassons et aux orties... ;-)
Sinon, joli post... De quoi faire envie ;-)
Je ne sais pas, mais quand j'ai découvert ce clip j'ai pensé aussitôt à toi et tes puni(e)s du jeudi. Il ne va de soi que cela ne me tente pas non plus!
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