jeudi 1 novembre 2012

205 Position de la soumise

« La levrette est une position particulière car elle accentue l'aspect symbolique de soumission de la femme. Elle est généralement appréciée par les hommes qui aiment dominer leur partenaire et par les femmes qui préfèrent être soumises. »

Source: L'Express

Effectivement, on peut trouver la soumission un peu partout en cherchant bien. Personnellement il me semble plus important d'aborder cette question au niveau social qu'au niveau de la chambre à coucher. Il fut un temps où la vie se présentait moins compliquée. Sous le polythéisme on adorait des dieux et des déesses de fertilité et on préparait les êtres humains à une approche simple et naturelle au plaisir de la chair. La pulsion sexuelle occupait le premier plan du culte et on la vénérait pour sa beauté et sa puissance créatrice. La pulsion était sollicitée et se pratiquait pendant d’innombrables rites. Puis au moyen âgé l’accent s’est déplacé sur la beauté plastique de la personne aimée et de nos jours on nous fait croire que l’excitation se lie aux qualités humaines. Par conséquence notre langage s’est imbibé d’une hypocrisie à toute épreuve et quand on vante la beauté d’une femme par exemple, il s’agit d’une façon détournée pour exprimer qu’elle soit sexuellement attirante.

Pour ma part je trouve beaucoup de qualités humaines à mon homme, je le trouve très attirant sur un niveau physique, mais en bonne païenne ce qui fait de mon homme celui qui partage mon lit, c'est mon attrait pour sa pulsion virile et surtout de ce qu'il en fait.

Il en va de soi que dans un contexte récréatif certaines positions peuvent suggérer une soumission de la part de la dame. Seulement dans ma tête l’approche est différente. Je conçois mes positions en rapport avec la différence masculin/féminin qui attribue tout naturellement à chacun une place.

A mes yeux je me comporte tout simplement en femme  en tenant compte de mes différences anatomiques.

Je pense que le lien entre soumission sexuelle et position adoptée est purement subjectif. Et il me semble de même pour le lien entre soumission et discipline domestique. Pour ma part j’ai l’impression que la DD fonctionne comme un puissant stimulant qui donne envie à la dame de faire « la fête » au monsieur plus tard dans l’intimité de la chambre du style :

Laisse toi faire mon chéri, j’ai envie de te récompenser pour ton excellent travail d’éducateur…

soumise, pas vraiment…pleinement active oui !

Et comme chez les dames, chez les messieurs aussi toutes les constellations sont possibles. Il n'est donc pas du tout dit que le Monsieur lie la fessée à une attitude soumise de la dame.

Pourquoi il ne serait pas capable d'y voir une forme de désir particulier.

Raison de plus de considérer la DD sous des angles nouveaux qui correspondent mieux à la réalité féminine … qui diffère comme bien entendu selon les dames.

32 commentaires:

  1. Si l'express le dit alors...
    Je déteste ce genre de clichés réducteurs qui font croire qu'on peut résumer le moi profond des individus sur base de leurs préférences sexuelles.
    Ni les fantasmes, ni les préférences liées à la physiologie (Et oui, je ne jouis pas de la même manière couchée ou à 4 pattes) ne peuvent résumer la femme complète que je suis.
    Bref, je suis d'accord avec vous.

    Pauvres féministes (et pauvres hommes de féministes) qui pour des raisons idéologiques se sont privées d'une position bien agréable.

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    1. Très judicieuse votre remarque, Latis!

      "Je ne jouis pas de la même manière couchée ou à 4 pattes."

      Je confirme, moi non plus. Il y a visiblement un hic avec les personnes qui collent la soumission partout. J'ai parfois l'impression que le fait de jouir est déjà un signe de soumission chez certains bien pensants.

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  2. L'express a encore dit une connerie ?
    Comme je suis étonné...

    Ils ont oublié aussi la position inverse, celle où la femme affirme l'aspect symbolique de sa domination : assis sur son homme couché sur le dos...

    Ah la la, ça en dit long... Si, si, on voit ça dans tous les films américains...

    (A tous ceux qui essayent toutes les positions possibles et imaginables, sans arrière-pensées, pour le plaisir des deux amants, un clin d’œil amusé et un bisou complice...)

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    1. Tiens, je me sens concernée par ton clin d’œil amusé et ton bisou complice, Mlk.

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  3. Et une petite anecdote pour vous faire marrer: selon mes sources du XV° siècle, quand un curé essayait de sermonner ses ouailles en leur rappelant que la seule position permise pour faire l'amour c'était celle du missionnaire (pour rappeler l'ordre hiérarchique de la société: l'homme est au dessus de la femme), il arrivait fréquemment que lesdites ouailles se foutent de sa gueule en lui faisant comprendre qu'un gars qui a fait voeu de chasteté ne devrait pas parler de ces trucs là...

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  4. C'est une blague l'ordre hiérarchique ? En fait je me suis souvent posée la question comment l'église justifiait la position du missionnaire. Mais là je reste perplexe!Alors elle est très bonne celle-là!

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    1. Pour la fin du Moyen Age, non, ce n'est pas une blague! Il y a vraiment eu des cons - mais ça, il y en a à toutes les époques - qui ont sérieusement indiqué dans leurs écrits que, l'homme était naturellement supérieur à la femme (parce que créé en premier, eh oui), pour faire l'amour, il fallait que l'homme reste au dessus. Mais je vous rassure, hein. Tous les médiévaux n'ont pas dit ça. (Ils ont aussi dit pas mal de conneries sur le plaisir féminin mais ça c'est parce qu'ils manquaient cruellement de connaissances en biologie, c'est pas leur faute).

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    2. Bonjour Ma'me Constance !!!


      Je reviens sur votre message du 02 Novembre, dans lequel vous rapportiez cette fameuse anecdote du prêtre sermonnant ses ouailles sur leurs devoirs conjugaux.
      Une petite précision : vu le siècle cité (XVè.siècle),l'Eglise est encore en majorité
      de confession catholique. Seule la peninsule héllénique a embrassé l'Orthodoxie (schisme de 1054). Les prêtres catholiques font voeu de célibat, situation qui fait encore et toujours polémique au sein de l'Eglise romaine. Ils ne font pas voeu de chasteté qui, lui, est prononcé par chacun des religieux quant ils entrent dans un ordre cloîtré. Les autres confessions dans l'Eglise autorisent le mariage de leurs propres représentants qu'il s'agissent des pasteurs ou des popes.
      C'est, je crois, l'empereur Charlemagne, qui,le premier, au VIIIè. s., a imposé cette règle aux prêtres qui étaient mariés avec une descendance afin d'éviter le partage de leur patrimoine entre leurs enfants car un édifice religieux faisait partie de leur "héritage" transmissible.Pour couper court à ses problémes d'héritage, il imposa cette "loi" à l'ensemble de la hiérarchie écclésiastique.
      Et depuis cette époque, ni nos souverains successifs ( pas même le Roi-Soleil avec son pouvoir absolu ), ni l'Eglise Romaine n'ont fait annuler cette règle qui, finalement, nous démarque de toutes les autres Confessions.
      On fait souvent la confusion en parlant de la condition des prêtres en matière de conditions
      "maritales", si je puis dire.
      Ceci dit, je ne défend la cause de personne, n'ayant aucun membre de ma famille dans la fonction écclésiale. Je tenais seulement à préciser quelques détails qui ont leur importance.
      Sur ce, je vous souhaite , Ma'me Constance,une bonne journée.

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    3. Cher Georges, je suis navrée, mais je n'ai nul besoin de détails sur l'histoire de l'Eglise, surtout ainsi résumée à la hache.
      Vous feriez bien de sortir des manuels de lycée périmés, même si à une époque ils vous donnaient de bonnes notes.
      L'anecdote que j'ai évoquée le 2 novembre, j'ai voulu faire court, parce que nous sommes sur un blog qui n'est pas un blog d'historiens, et que mon seul but était de faire rire. Pourtant, cette anecdote est vraie (je vous conseille vivement sur ce sujet l'ouvrage d'Aaron Gourevitch, La culture populaire au Moyen Age).
      Charlemagne n'a pas plus imposé le célibat qu'il n'a inventé l'école: ce n'est pas un souverain qui ponctuellement, change les choses... Surtout sur les mille ans d'histoire que représentent le Moyen Age. Le célibat, la nécessité de mener une vie chaste, "sainte", est rappelé de concile en concile (il existe de très bons manuels sur l'Histoire des conciles). Le vrai tournant sur les questions de célibat et de chasteté, c'est au moment de la réforme grégorienne: pour résumer, on met en pratique ce qu'on considérait déjà comme une norme. C'est alors que commence l'affirmation de la place du pape à la tête du clergé (il n'est plus un évêque comme les autres). D'après ce que vous dites, le célibat est obligatoire mais vivre avec une concubine est toléré: pas du tout, et surtout pas à partir du moment où la réforme grégorienne se met en place (pour vous situer, ça commence plutôt en 1059 et pas avec Charlemagne - ah oui, et sa barbe n'était pas fleurie), et ça dure jusqu'à la fin du XII° siècle, c'est vous dire si une telle réforme n'est pas, ne peut pas être la conséquence d'un fait ponctuel!
      Les orthodoxes (qui ne sont pas qu'en Grèce, une bonne partie de l'empire byzantin étant quand même en Asie mineure)n'ont pas quitté l'Eglise catholique, mais l'Eglise d'Orient et l'Eglise d'Occident se sont séparées, ce qui est bien différent: ce ne sont pas les orthodoxes qui se sont détournés de la vraie foi (vous ne vous en rendez peut être pas compte, mais vous donnez une représentation partisane de l'événement)... et la rupture est bien plus à rapprocher de la différence entre ce qui était l'empire romain d'Orient et l'empire romain d'Occident, que d'une vraie tension religieuse.
      Par ailleurs, si je trouve louable de "préciser quelques détails qui ont leur importance", permettez moi de vous signalez que ces détails, même si je ne fais pas une leçon universitaire à chaque fois que je poste sur le blog d'Isabelle, je les connais, l'histoire médiévale étant à la fois mon métier, l'objet de mes recherches et ma passion depuis maintenant presque dix ans (oui, je suis jeune, mais je pense que mon expérience et mes connaissances en la matière commencent à compter).
      Je me permets de rajouter, ayant quand même appris deux ou trois bricoles sur la période moderne, que Louis XIV (dont le pouvoir absolu était moins étendu que celui du Président de la République aujourd'hui - enlevez les droits féodaux et vous verrez) n'a rien changé au voeu de célibat pour la bonne raison... que c'est un domaine qui ne le concernait pas (il était pas dépositaire du droit canon. L'Eglise, oui).
      Ah, et un autre petit détail: "cette règle qui, finalement "nous" démarque de toutes les autres Confessions"... je sais bien qu'il y a encore quelques catholiques dans notre verdoyante contrée la France, mais, voyez vous, je n'en fais pas partie...

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    4. Chère Constance et cher Georges

      Je n'aurais jamais cru de trouver des réponses à certaines questions que je me pose (comme la la séparation des églises)...sur mon blog de fessée.
      Ceci dit, il y a certainement un rapport entre foi et châtiment corporel. En voici un exemple extrait du livre : « Les exercices de dévotion de M. Henri Roch avec Madame la duchesse de Condor » par Voisenon :


      « Arrêtez ! monsieur, vos scrupules allument les miens. Si vous avez péché, c'est moi qui en suis la cause, c'est à moi de m'en punir; et si le plaisir damne, je dois craindre de l'être, car j'en ai goûté un bien délicieux. Je crains, comme vous, de ne l'avoir pas rapporté entièrement à Dieu; je confesse qu'en recevant vos caresses, surtout lorsque nos cœurs étaient. ensemble, j'ai eu certains moments de distraction où je ne pensais pas à Dieu. C'est par vous que le plaisir et la guérison me sont venus; c'est aussi par vous qu'il faut que le châtiment m'en arrive : prenez cette discipline, frappez-moi!
      En parlant ainsi, madame la duchesse s'abouche sur une ottomane, en criant : — Punissez, monsieur, punissez une pécheresse! »

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    5. En fait je me demande si je n'ai pas les idées un peu mal placées. Voila à partir de votre chaste « disputatio », encore moi qui voit le pêché de la chair partout. A ce propos je trouve fort intéressant que l'attrait pour la confession et tout ce qui se rapporte y compris la punition bien mérité ne nécessite aucune foi. Encore un sujet ! Avec madame la Duchesse et la danseuse russe inspirée par Simon j'ai dû mal a suivre le rythme dont vous me donnez des idées de posts.

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    6. Guten Abend, Isabelle !!

      Décidément, les jours se suivent et ne se ressemblent pas. Tout comme les cinq doigts de la main. Auriez vous pensé, Isabelle, terminer cette journée en apportant une pierre supplémentaire à votre édifice par le biais de notre modeste "joute" verbale ? La vie de tous les jours nous réserve toujours des surprises quelqu'elles soient.
      Sur ce, je vous souhaite, chère Isabelle, une excellente fin de soirée.Bien respectueusement. Georges.

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    7. Bonsoir Ma'me Constance !!


      J'ignorais que vous étiez Historienne de métier et je comprend fort bien que mes propos vous aient fait tousser de surprise !!
      De mon côté, j'étais tout à fait sincère( n'en doutez pas une seconde !)de ce que j'avançais.
      En toute bonne foi, je pensais mes sources justes. L'erreur est humaine, dit-on.
      Je souhaite surtout ne pas avoir heurté vos propres convictions religieuses ou philosophiques. Ce qui me gênerait beaucoup.
      De deux choses l'une, soit ma mémoire me fait défaut (toutes ces infos remontent à plus de trente ans en arrière), soit les informations étaient erronées. Dans ce cas...
      Et je concluerais par une phrase d'un humoriste entendue à la radio : "Un erreur, c'est quoi ? Ben, c'est une vérité qui change !"
      Sur ce, je vous souhaite, Ma'me Constance, une bonne fin de soirée. Bien respectueusement. Georges.

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    8. Non, vous n'avez pas vraiment heurté mes convictions religieuses, à ceci près que, comme je le disais, je ne fais pas partie d'un "nous" qui désignerait les catholiques. Je ne doute pas que vous étiez sincère, mais comprenez que pour quelqu'un dont c'est le métier -je ne l'ai sans doute pas assez dit- ça fait bizarre de se faire reprendre sur des basiques qu'on connaît depuis le début de ses recherches.
      D'autant que, justement, tout travail d'historien (Hérodote, si tu m'entends), est aussi un travail d'enquête. Si je rapporte une anecdote, ce n'est jamais sans l'avoir vue, et vérifiée dans mes recherches, et dans celles de mes prédécesseurs.

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    9. Bonjour Ma'me Constance !!


      Je vous remercie avant tout de votre indulgence. Ne connaissant pas vos convictions, j'ai commis un impair qui m'a ennuyé tout ce week-end passé. J'ai horreur de fâcher ou de commettre une maladresse vis-à-vis des personnes qui me témoignent une certaine sympathie. C'est très important pour moi, vu l'éducation que j'ai reçu. Je vous donne certainement l'impression de me confondre en excuses. Mais je suis terriblement sincère. J'attache une grande importance aux relations que j'entretiens avec les quelques gens qui m'entourent.
      Vous faites un métier très passionnant. Et je crois ,de tous, le plus cartésien, j'imagine (avec la Médecine !). Laborieux certes, avec des heures de travail, de vérifications, mais passionnant. Avoir accés aux vérités du passé pour comprendre le Présent et, de là, en tirer des leçons profitables pour l'avenir. Quelle responsabilité, au fond !
      Après le Bac, j'ai envisagé de préparer une licence d'Histoire mais ma santé précaire m'a obligé à y renoncer. J'ai donc choisi le métier de documentaliste, qui se rapproche de celui de Bibliothécaire. Là aussi, classer et mettre en valeur la documentation ( après lecture rapide du sujet)tout cela demande de la méthode et de la patience.(Ah la fameuse classification Dewey !).
      Perso, je me souviens d'une série d'émissions (il y a une dizaine d'années,je crois) qui était animée par l'incontournable Alain Decaux (et Marcel Julian ?) autour d'une thématique sur un personnage historique ou un évènement particulier. Sans compter les fictions télévisées: "Charlemagne" (en 2 versions: 1976 avec Georges Wilson et 1997/? avec Christian Brendel), "Napoléon" (2 versions
      : 1994/? avec J-F Stévenin et 2008 avec Ch. Clavier rediffusée) et d'autres que j'ai pu oublié... Sans compter les commémorations contemporaines. Les historien/nes sont en quelque sorte "les détectives du Passé". En matière de recherche historique, je pense que le moment le plus émouvant est lorsque vous tenez en main quelque chose qui nous relie au Présent: un vêtement, une pièce de monnaie, un vieil outil ... Qui d'entre nous n'a pas joué au soldat en prenant le sabre ou les bottes d'un aïeul du Second Empire, déniché dans le grenier familial ou frissonné en écoutant les récits de l'arrière-grand-mère ?
      Je profite de vos connaissances: avez-vous entendu parlé de la mission que les Mormons se sont imposés, à savoir retracer l'histoire de l'Humanité à partir des arbres généalogiques présent ? Je vous pose cette question car, ayant une famille secouée par la grande Histoire, je souhaite(rais) dans un avenir plus ou moins proche en retracer l'origine !
      Encore une fois, merci de votre compréhension.
      Sur ces quelques mots(qui je l'espère ne vous auront pas trop ennuyé ) je vous souhaite, Ma'me Constance, une bonne après-midi.
      (P.S. Le diminutif "Ma'me" vous dérange peut-être ? Un clin d'oeil à sa région natale ranime toujours de bons souvenirs.)

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    10. Ma participation inutile au débat :

      Je ne connais rien aux religions... J'avais au départ un a-priori positif pour les églises, car j'avais compris que c'est là qu'on fesse...
      J'ai réalisé ma méprise plus tard...

      Ok. Je sors.
      Pardon Madame...

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    11. Le fonds du pantalon, oui...

      :-D

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  5. Cher Georges,

    dois-je vous tirer les oreilles une fois de plus. Je ne vois pas trop le rapport des Mormons avec mon blog.

    Ceci dit, petite anecdote de la fessée promotionnelle dans les années 70. Au début de cette décennie, il y avait Les Jackson 5 et …qui se souvient encore d’autre que mon homme… Les Osmonds. Ceux derniers, frères mormons pour leur part et habillés comme un club de proxénètes locaux, étaient sensés de représenter la réponse de l’Amérique traditionnelles au phénomène Jackson. Ne manquaient pas d’articles à l’époque  qui parlaient de la fessée qu’appliquait le père Osmond quand ses fils chanteurs et en partie adultes déjà fumaient des cigarettes en cachette par exemple. Quand aux Jackson 5 le triste résumé de leur enfant fût rendu public plus tard par Michel Jackson lui-même.

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    1. Guten Tag, Isabelle !!!

      En effet, je m'écarte du sujet principal qui nous réunit sur votre irremplaçable Blog.
      Vous avez certainement lu mon message adressé à Ma'me Constance et en conclusion, je sollicitais de sa part quelques conseils en matière de recherche sinon historiques du moins dans le domaine généalogiques. Bien que votre blog n'est pas pour vocation première de débattre de thématiques à résonnance historique. Mais rien ne vaut l'avis d'une personne spécialisée.
      Une fois de plus, chère Isabelle, comme je vous l'avais dit, chaque journée réserve son lot de surprises. Mon message vous a permis de rebondir sur une anecdote peut-être inattendue qui vient illustrer à propos... vos propos !!! On ne sait jamais de quoi demain sera fait...
      Sur ces bonnes paroles, je vous souhaite, Isabelle, une bonne fin de soirée. Respectueusement. Georges.
      (P.S. : dans votre dernière ligne- "Quant aux Jackson..."- s'agit-il de "enfant" ou "enfance" ? Désolé pour la remarque. )

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    2. Oups, cela arrive. Il y a des jours où j'écris trop. Il fallait lire « enfance ». Ceci dit les débats à résonance historique ont leur place sur mon blog, mais seulement ceux en rapport avec le sujet. Bien que j'aie une vision très large à ce propos... Alors essayez de vous en tenir, Georges, sinon je vous ferai la maîtresse d'école qui se fâche !

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    3. Guten Abend, Isabelle !!!


      Vous êtes tout excusée, d'avance.
      Ne prête-t-on pas aux femmes dans leur grande majorité la capacité de mener plusieurs tâches en même temps ?? Qualité non négligeable quant on mène plusieurs "carrières" domestiques à la fois. Merci pour la petite rectification de langage.Cela changeait un peu le sens de la phrase.
      Dans le domaine qui nous intéresse, je me permets de vous signaler une mini-série de vidéos réalisées par une Dominatrice allemande (Barbara Schwarze). Peut-être en avez-vous entendu parlé pour ses vidéos ? Elle officie Outre-Rhin (en Rhénanie ou en Westphalie ?) auprès de la gent masculine essentiellement. Ses films qui sont en V.O non sous-titrées
      sont disponibles sur son site personnel: barbaraschwarze.com ou s/le site fétichiste: www.laboutiquedezaza.fr.
      Bon, je vous autorise à me tirer les oreilles, juste un peu. Mais pas trop fort. Je tiens à garder mes écoutilles en bon état."la maîtresse d'école"... Voilà encore un bon scénario pour les cancres en manque de bonnet d'âne !!
      (Je vous taquine).
      Sur ce petit intermède, je vous souhaite chère Isabelle, une excellente fin de soirée. Bien respectueusement. Georges.

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    4. Cher Georges, je ne suis pas une spécialiste de la fessée qui se monnaie. Et quant aux dominatrices je connais encore moins, car la domination ne fait pas parti de mes fantasmes. Disons à mon sens ces deux domaines
      concernent essentiellement les messieurs. Ceci dit que chacun fasse comme bon lui semble.

      Disons que mon domaine c'est réaliser ses fantasmes dans un couple amoureux, peu importe la composition du couple.

      Quant au bonnet d'âne n'oublions pas vu que cet animal se réjouissait dans le temps d'une réputation de grande intelligence qu'il est sensé par son port d'augmenter l’intelligence chez l’élevé et non pas comme on pourrait le croire de l'humilier.

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    5. Tant pour les Jackson que pour les Osmond, le problème c'est qu'ils n'aient pas pris de fessées à chaque fois qu'ils chantaient... Tant pis pour nos oreilles...


      Quant au bonnet d'âne, je ne l'ai connu qu'adulte en tant que puni consensuel et je pensais que c'était un accessoire ridicule... C'est effectivement le cas, mais j'ai eu la surprise de me sentir incroyablement humilié à chaque fois que j'y ai eu droit... Tant mieux si ça a augmenté mon intelligence (je n'avais pas remarqué... Vous n'êtes pas obligés d'acquiescer bruyamment, laissez-moi quelques illusions...)

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    6. Hey, pour les Jackson, je ne suis pas d'accord! Enfin, pour Michael Jackson. Les autres, bah, il ne le valait pas (genre Jermaine dans "When the rain begins to fall".
      Mais je suis désolée, Beat it, Thriller, Dirty Diana, Smooth criminal et j'en passe, j'en ai encore des frissons quand je les écoute (et putain le clip de Beat it déchire grave sa mère).
      Tu mérites le fouet, mon lapinou.

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    7. Mon lapinou ???? AAAARGH ! En public, sur un blog qui n'est pas le mien....
      J'ai encore plus la honte qu'avec un bonnet d'âne !!!!


      (Michael Jackson, euh, non, vraiment je passe, au mieux ça me fait l'effet d'un bonbon à la bergamote, sucré et vaguement écœurant. Au pire, c'est carrément beeeeuark... Quant à Beat it, le clip je me souviens juste de petites lumières carrées (wow trop fort) et la seule chose qui déchire, c'est le solo... Pauvre Eddie Van Halen, égaré dans le monde du flouze...)

      (La vache, après ça, le lapinou, il ne va pas se contenter du fouet, il va passer la semaine au coin...)

      :-P

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    8. Je ne connais pas la fessée avec un bonnet d’âne.J'essaye d'imaginer sur un monsieur et cela me fait rire de bon coeur. Ah le malheur de autres. On dit en Allemagne que la joie maligne est le plus sincère...

      Par contre je connais la fessée avec une coiffe blanche ou un chapeau à voilette oui. M'enfin surtout avec un petit truc super sophistiqué comme la voilette la fessée prend toute une autre dimension§

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  6. Mon épouse et moi avions déjà discuté de ce ridicule article de l'Express. Elle avait bien rigolé en disant que pour elle la levrette, ce n'est pas la soumission, c'est juste une envie de bien montrer son cul.

    Je ne savais pas que les curés avaient effectivement vanté la position du missionnaire, je pensais que cette association avec la religion était largement imaginaire... (même s'il me semblait avoir vu des textes condamnant la levrette comme "in more ferarum", c'est-à-dire digne des bêtes sauvages et non des bons chrétiens). Merci Constance.

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  7. Pour compléter mes propos précédents. Nous pratiquons également dans cette position en "levrette" la pénétration par l'autre orifice, et celle-ci revêt un caractère, sinon de soumission, du moins d'acte de confiance.

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  8. Cher Pecan,

    soyons clairs se faire pénétrer peut importe les préférences personnelles relevé à mon sens toujours d'une confiance envers son partenaire, non? Mais nous restons dans le naturel et seul un contexte psychologique personnel peut y interpréter un acte de soumission.

    D'ailleurs je trouve assez absurde aussi que l'on rappelle à chaque fois que la fessée se pratique entre personnes consentants. Comme si c'était différent pour la vanille...le consentement est la base même de toute relation charnelle.

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  9. Je suis d'accord avec vous, mais il me semble que la pénétration an*le requiert plus de confiance, de part la possibilité plus grande de faire mal par maladresse.

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  10. Effectivement,je me verrais mal un monsieur qui ne maîtrise pas ses pulsions...

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