mardi 8 mai 2012

63 Quand j’étais encore célibataire


Voici un nouveau label (inauguré hier) qui couvre comme son titre indique le temps quand j’étais encore célibataire c’est à dire la phase de ma vie avant mes 24 ans, l’âge auquel j’ai rencontré mon homme. Je parlerai des mes fantasmes de punition et de leur adaptation à la réalité. De mes attentes et espérances de la vie à deux, de mes  approches et tentatives pour trouver un partenaire DD. De mes goûts, de mes copines… un peu de tout de ce qui caractérise la vie d’une jeune célibataire.

N’étant pas vraiment timide, la question comment et/ou dans quels endroits faire des rencontres sérieuses ou pour des aventures ne m’a pas préoccupée. Je me sens à l’aise un peu partout. A priori les aventures ce n’est pas mon truc. J’aime les relations stables avec un projet solide: Vie en commun, sens de la famille, travail régulier, maison, enfant … avec moi il faut mettre rapidement ce genre de cartes sur la table.

Il me semble concernant le fantasme de la discipline domestique qu’il existe une étroite corrélation avec les aspirations d’un couple traditionnel. Je ne saurais dire pourquoi.

Il en va de soi que les hommes sérieux et attirants à mes yeux avec les qualités citées ci-dessus et ayant en plus un faible pour « les structures éducatives » ne courent pas la rue. Bien qu’avec le recul je dirais qu’il en existe plus que l’on ne le pense. Même si la majeure partie n’ose pas avouer ce qui les trouble secrètement et se contente au cas où ils passent à l’acte de petits « jeux educatifs ».

Comme certaines personnes souffrent de leur solitude affective ou sexuelle, mon problème majeur concernait une « solitude fantasmatique ».

Je commence par un constat simple qui n’engage que moi :

Quand on vit avec un besoin de punition qui ne trouve pas de moyen de réalisation/satisfaction, le nombre de fantasmes augmente considérablement. Le moindre détail de la vie courante peut devenir support de l’imagination et déboucher sur des rêves éveillés.

Il m’arrivait régulièrement que mon besoin de punition se réveille en force. Quand je n’étais pas contente de moi, quand je trouvais que l’une de mes actions méritait une suite douloureuse, quand j’avais rencontré un certain type d’homme (ou femme) qui me semblait l’idéal d’un père fouettard ou d’une mère fouettarde, ou encore quand je crevais d’envie de subir une punition sans savoir pourquoi.

Voila mon label-programme est lancé. Je discuterai les cas de figure en détail un autre jour.

A suivre


2 commentaires:

  1. C'est una partie très intéressante de la biographie d'une spankee cette phase celibataire ou, si vous me le pérmetez, vièrge de féssée

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  2. Ravie que cela vous plaise!

    Cela faisait longtemps que j'avais envie d'en parler.Donc acte!

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