(Suite
de : 523
Les vertus de la fessée en pleine nature 2)
(Une petite
fiction, car je suis une fille très sage)
Baisser
mon string ou pas le baisser, that's the question !
Élevé à l'école ancienne, mon chéri
a eu dû mal à se faire à ma passion pour les strings. En quelque
sorte pour lui, ce ne sont que les vilaine filles qui en portent.
Celle qui essayent d'aguicher le monsieur. Hein oui, pas de langue de
bois sur mon blog. Je cherche le désir sous toutes ces formes et non
le politiquement correct. Et si je me permets moi d'exprimer
librement mes associations, j'adore également que mon homme le
fasse. Puis quand il me traite de vilaine fille qui passe son temps
pour le provoquer par ses tenues, il n'a d'abord pas tort du tout.
Puis j'ai aussitôt de petits frissons, notamment quand c'est
prononcé en allemand comme ungezogen
(mal élevée) ou frech
(se comporter de manière insolente et provocante sans montrer honte
et ou respect). Enfin se dernier terme s'utilise aussi pour une jeune
femme active en matière de séduction qui ne loupe pas une pour
faire tourner la tête d'un monsieur. En gros ce qu’apprécie
particulièrement mon chéri de ma part. Voila un riche souterrain
qui le laisse souvent béat et méditatif à ce stade de mon
déculottage. Au bout du compte, à chaque fois, mon string descend.
Une vraie fessée vie du charme du cul nu et elle défend les bonnes
mœurs par un outrage de la pudeur. Acte indécent auquel un
éducateur passionné ne peut résister. Idem pour moi, si mon string
n'est pas baissé, je me sens volée de quelque chose.
Alors je frissonne en tendant mon
derrière à mon homme. C'est archaïque : la « femelle »
devant le « mâle ». Que va-t-il s passer ?
Va-t-en
Simone, j'ai envie de me constituer proie passive !
Je me crois dans un conte de fée de
mon enfance. Non, non, le chasseur au bon cœur n'amène pas Blanche
Neige dans cet endroit pour lui couper le cœur. Je n'ai plus cinq
ans et je sais ce que font les garçons avec les filles! Ils leurs
appliquent une sévère correction sur les fesses. Parce que les
filles ont des fesses rondes et que cela suffit amplement pour
attirer l’intérêt d'un garçon. Bon, je sais aussi que ce n'est
pas en claquant sur un postérieur féminin que l'on fait des
enfants, mais je sais la technique efficace pour m'échauffer non
seulement le siège, mais aussi tous mes sens. Je me vois en Blanche
Neige, version
« frech » qui sous l'emprise de rivalité
féminine a fait voir à sa belle-mère des vertes et des pas mûres.
En lui piquant sa lingerie, destinée à séduire son papa, pour
l'essayer devant le miroir magique :
Qui
est la plus belle... dans la famille ?
Parfois aussi pour piocher dans les
sex-toys de la belle-mère. Blanche Neige en plein émois de se
sentir délicieusement perverse en glissant un de sept superbes
bouchons en métal brillant par la petite porte. Les nains comme elle
aime bien surnommer, ces petits objets destinés à se plonger dans
les cavernes sombres. Chacun avec une personnalité bien à lui et
aussitôt reconnaissable par son savoir faire. Et à chaque fois, un
nain bien en place, Blanche Neige constate ainsi sur son propre corps
que cet orifice offre un plaisir particulier, quelque peu …
chaste ! Celui de la retenue, tant demandée aux filles sage,
celles qui suivent à la lettre le judicieux conseil :
Il
ne faut pas pousser !
Récompense inespérée de la vertu,
cette partie en forêt en charmante compagnie du chasseur. Mais
pourquoi le brave Monsieur a emporte un martinet ? Ah le plaisir
de s'imaginer punie pour ses audaces. Être punie par où l'on a
pêché ! Expier ses péchés sous le ciel donne un air sacrée
à l'acte, se faire surprendre en expiant, honteuse et fière à la
fois. Ne poussons pas le bouchon, pour ma part je ne vais faire une
longue marche avec quelque chose dans mon derrière. Je n'ai pas
envie de me ruiner la santé. Par conséquence, je réserve cela pour
le restaurant en tête à tête ou la maison.
Arrive enfin le grand moment :
Sur mes
genoux, isabelle ?
J'ai dû mal a rester sérieuse. J'ai
même franchement envie d’éclater de rire. L’association avec le
sept nains me fait miroiter que le travail de mon chéri consiste à
passer sa journée à taper sur mes fesses. Puis il est très
méticuleux. Par exemple quand il retrousse les manches de la belle
chemise bûcheron que je lui ai offerte. Tiens, il est même un peu
pudique ce jour-là. Car à son habitude la fessée en plein air se
conçois pour lui accompagnée de ma nudité complète. Alors, un peu
étonnée je m’allonge sur ces genoux.
En plein air, mon chéri n'est pas
pressé. Il aime beaucoup se perdre dans des essais de sonorité,
observer les mouvement de mon derrière après chaque impacte. Se
laisser inspirer par la nature, par ses couleurs. Le romantisme d'un
rouge « lever ou coucher du soleil ». Et bien que cela
commence tout doucement, je sais déjà d'avance que la finale serait
fulgurante. Reproduire au bout du compte une sensation si bien décrit
par la langue allemande :
Den
Arsch vollkriegen (recevoir « plein le cul ») !
Mais ce jour-là, il y a une surprise
au programme. Subitement je sens sur mon popotin bien préchauffé
une claque « étrange ». Ce n'est pas la main de mon
chéri. Sorti de nulle part, il tient visiblement un paddle à la
main et m'impose une belle cadence. J'ai l'impression de participer à
une course hippique, moi à la place de la monture, tandis que mon
cavalier ménage peu la peau de mes fesses. Un nouveau jouet !
Mon chéri apparemment aux anges, en extase surtout en jugeant
l'effet que je sens sous son jeans. Dur, dur pour moi. Quand la
libido excelle il faut bien s'accrocher. Une vraie course
d'obstacles. Entre grandes et petites claques, je me demande quelle
allure que je suis en train d'afficher. Les bonds rythmiques de mon
derrière, mon jeu de jambes bien ardu, mes halètements et cris.
Puis subitement le calme. Je sens mon homme écarter mes fesses
brûlantes et une chose de consistance de ce qui fait la fierté des
messieurs s'approcher de mon petit orifice. Ce dernier, d'une
propreté impeccable grâce à mes préparatifs et toujours luisant
de son traitement post-lavemental à la vaseline, prêt à être
investi au gré des fantaisies de mon homme, ne pose donc pas de
résistance. Comme je peux constater plus tard, le nouveau paddle est
doté d'un manche d'une dimension semblable de ...mon homme. Enfin on
se comprend. Bref une forme qui tient bien en main et qui épouse
aussi à la merveille mes orifices. J'aime la sensation de l'étrange.
J'aime quand mon homme me montre qui décide chez nous par où se
passent les choses. J'aime ma place attribuée par la nature. Et
j'aime découvrir que la disposition polymorphe perverse dont fait
parti la jouissance de vilaines filles par le petit orifice n'est pas
un légende urbaine. Notons mes gémissements aussi évocateurs que
le son d'une solide fessée. Bref, un promeneur saurait aussi bien
décerner ce qui se passe. J'aime aussi que monsieur se réserve pour
plus tard, à la maison pour finir une belle journée entièrement
consacrée à la gloire de mon derrière.
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