vendredi 6 juin 2014

528 Liens de discipline domestique (117 ème édition)

Non, je ne demanderai pas ma fessée. Je me comporterai avec insolence...


Il y a des personnes qui voient dans la fessée un acte d'amour. Loin de moi de les critiquer, car j'en fais partie. Et quand je me trouve après une sévère correction dans les bras de mon chéri, outre d'un grand apaisement réciproque, nous nous sentons l'un aussi poche de l'autre comme après une belle séance de vanille. Alors pourquoi ne pas considérer certains préparatifs d'une bonne fessée comme un acte de séduction sur un mode d'insolence ? Évidement il faut y être susceptible. Il en existe d'innombrables textes sur et par les dames qui par un comportement joué ou réel, essayent d'inciter le monsieur de les faire passer sur ses genoux. Et nous apprenons mille un petits détails indiscrets et croustillants concernant les états d'âmes de la dame. Par contre, ô combien de fois le monsieur reste d'un vide abyssal. On dirait parfois selon les descriptions qu'il s'agit d'une sorte d'automate qui tape avec la régularité d'un métronome. Qui selon un calcul obscure implique tant de claques avec tel instrument avant de le changer pour un autre. Qui punit, envoie au coin, rappelle pour punir à nouveau. Dans d'autres descriptions nous sentons le monsieur un peu relâché et il se laisse aller aux improvisations. Dans d'autres il est technique, voire virtuose. Et dans d'autres encore et il sait gronder, sermonner, remettre en place pour que la dame perde les pédales dans un jeu qui n'est plus un jeu pour se sentir de plus en plus petite. Mais, mais... nous apprenons rarement quelque chose sur les motivations du monsieur à part qu'il aime taper sur les fesses d'une dame. Dommage !


Il faut l'admettre que ce monsieur a une technique impressionnante. Un peu trop rapide à mon goût. Je préfère les gestes lents, une tension qui monte avec l'impression de risquer de me faire pipi dans ma culotte devant ce qui m'attend. Toutefois il arrive que la méthode rapide livre de bon résultats sur moi. Je me souviens au début de la relation avec mon homme de l'avoir fait chi... pour un truc qui n'en valait vraiment pas la peine. Ma phrase pas encore finie, je me suis déjà trouvée au travers de ses genoux sans même prendre le soin de me déculotter pour une correction grand format. Et miracle... j'ai retenu ma leçons. Enfin, j'ai surtout retenu ce qu'il ne faut absolument pas faire devant mon chéri. (Ah ces mâles qui savent s'imposer, cela me donne toujours des frissons!)


Quel superbe gif. Voilà le genre de truc qui fait craquer mon chéri et lui assure la bonne humeur dès le matin. Il adore que je fasse de la gym sous surveillance ou du moins sur son regard attentif. Il y avait même une phase quand il me souhaitait dans de tenues particulières pour m'exercer. Je n'ai rien contre, mais je me souviens de ses yeux quand je lui ai demandé un beau matin de faire du vélo d'appartement devant moi, en lui tendant comme seul vêtements un casque, des gants et... un string en cuir. Il a fait ! Voilà un bel exemple d'égalité et qui me motive de sauter à la corde toute nue devant ses yeux, même après presque 16 ans de vie de couple.


Je doute que cette dame essaye d'imaginer l'effet de la badine sur ses propres fesses. Car l'expérience de la vie apprend qu'il existe de gentils messieurs qui se languissent de temps en temps d'une main ferme. Le plus souvent par lubie sexuelle pour passer un bon moment. Un terrain favorable parfois pour celle qui sait s'y prendre. Car certaines personnes ignorent leur besoin de punition et surtout que ce besoin se cultive facilement. Et plus vite que l'on ne l'imagine, on a déjà adopté le réflexe de baisser son pantalon quand on a commis une bêtise...

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end de Pentecôte !



















A la pantoufle

2 commentaires:

  1. Je suis d'accord avec vous sur votre premier paragraphe.
    Bon week-end à vous Isabelle.

    RépondreSupprimer
  2. Merci pour la confirmation, Farore. En attendant des réponses...

    RépondreSupprimer