Non,
je ne demanderai pas ma fessée. Je me comporterai avec insolence...
Il y a des personnes qui voient dans la
fessée un acte d'amour. Loin de moi de les critiquer, car j'en fais
partie. Et quand je me trouve après une sévère correction dans les
bras de mon chéri, outre d'un grand apaisement réciproque, nous
nous sentons l'un aussi poche de l'autre comme après une belle
séance de vanille. Alors pourquoi ne pas considérer certains
préparatifs d'une bonne fessée comme un acte de séduction sur un
mode d'insolence ? Évidement il faut y être susceptible. Il en existe d'innombrables textes sur
et par les dames qui par un comportement joué ou réel, essayent
d'inciter le monsieur de les faire passer sur ses genoux. Et nous
apprenons mille un petits détails indiscrets et croustillants
concernant les états d'âmes de la dame. Par contre, ô combien de
fois le monsieur reste d'un vide abyssal. On dirait parfois selon
les descriptions qu'il s'agit d'une sorte d'automate qui tape avec la
régularité d'un métronome. Qui selon un calcul obscure implique
tant de claques avec tel instrument avant de le changer pour un
autre. Qui punit, envoie au coin, rappelle pour punir à nouveau.
Dans d'autres descriptions nous sentons le monsieur un peu relâché
et il se laisse aller aux improvisations. Dans d'autres il est
technique, voire virtuose. Et dans d'autres encore et il sait
gronder, sermonner, remettre en place pour que la dame perde les
pédales dans un jeu qui n'est plus un jeu pour se sentir de plus en
plus petite. Mais, mais... nous apprenons rarement quelque chose sur
les motivations du monsieur à part qu'il aime taper sur les fesses
d'une dame. Dommage !
Il faut l'admettre que ce monsieur a
une technique impressionnante. Un peu trop rapide à mon goût. Je
préfère les gestes lents, une tension qui monte avec l'impression
de risquer de me faire pipi dans ma culotte devant ce qui m'attend.
Toutefois il arrive que la méthode rapide livre de bon résultats
sur moi. Je me souviens au début de la relation avec mon homme de
l'avoir fait chi... pour un truc qui n'en valait vraiment pas la
peine. Ma phrase pas encore finie, je me suis déjà trouvée au
travers de ses genoux sans même prendre le soin de me déculotter
pour une correction grand format. Et miracle... j'ai retenu ma
leçons. Enfin, j'ai surtout retenu ce qu'il ne faut absolument pas
faire devant mon chéri. (Ah ces mâles qui savent s'imposer, cela
me donne toujours des frissons!)
Quel superbe gif. Voilà le genre de
truc qui fait craquer mon chéri et lui assure la bonne humeur dès
le matin. Il adore que je fasse de la gym sous surveillance ou du
moins sur son regard attentif. Il y avait même une phase quand il me
souhaitait dans de tenues particulières pour m'exercer. Je n'ai rien
contre, mais je me souviens de ses yeux quand je lui ai demandé un
beau matin de faire du vélo d'appartement devant moi, en lui tendant
comme seul vêtements un casque, des gants et... un string en cuir.
Il a fait ! Voilà un bel exemple d'égalité et qui me motive
de sauter à la corde toute nue devant ses yeux, même après presque
16 ans de vie de couple.
Je doute que cette dame essaye
d'imaginer l'effet de la badine sur ses propres fesses. Car
l'expérience de la vie apprend qu'il existe de gentils messieurs qui
se languissent de temps en temps d'une main ferme. Le plus souvent
par lubie sexuelle pour passer un bon moment. Un terrain favorable
parfois pour celle qui sait s'y prendre. Car certaines personnes
ignorent leur besoin de punition et surtout que ce besoin se cultive
facilement. Et plus vite que l'on ne l'imagine, on a déjà adopté
le réflexe de baisser son pantalon quand on a commis une bêtise...
Je
vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end de Pentecôte !
Je suis d'accord avec vous sur votre premier paragraphe.
RépondreSupprimerBon week-end à vous Isabelle.
Merci pour la confirmation, Farore. En attendant des réponses...
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