Défier
les lois de la nature
Et pourtant elle ne bouge pas (petit clip très sonore)
Librement inspirée par Galilée, je
reste béate. Dans le registre solide fessée sans que cela dégénère
dans un clip d'horreur, massacre sur un derrière nu, je suis
impressionnée comment certaines femmes peuvent se faire claquer les
fesses sans broncher. Certes le « même pas peur », je le
connais aussi. Par contre le « même pas mal », ce n'est
pas moi. Bon, ce petit clip ne dure que deux minutes, ce qui me
semble raisonnable vu la fréquence de claques et l'intensité. Il
m'arrive d'en recevoir de pareilles (3 minutes maximum), mais on
m'entend de très loin. Mieux vaut ne pas avoir de voisins, car je me
laisse aller sans la moindre fierté pour exprimer ce que je ressens.
Dans ce petit exemple j'aimerais bien être souris, enfin
spectatrice pour demander à la jeune dame pourquoi elle a
choisi une telle couleur de cheveux comment elle fait pour
rester si silencieuse. Je constate aussi que dans cette position
celui ou celle qui applique voit vraiment tout. Voila qui m'explique
mieux certains émois de mon chéri.
Grande adepte de l'érotisme qui passe
par les oreilles, ce clip me comble pour sa belle sonorité. Comme
j'aurais aimé, étant célibataire, avoir dans le voisinage des
personnes qui affectionnent la discipline à l'ancienne. Je m'imagine
le soir dans mon lit et subitement j'entends au travers du mur ou par
la fenêtre ouverte une sonorité qui ne laisse aucun doute sur son
origine. Me connaissant je vois bien ma réaction. La même que
devant un film P. J'aime beaucoup les soupirs des actrice (de toute
façon les messieurs sont muets). Cela me berce et je m'endors vite
comme un bébé. Pareil pour les claques régulières.
Rassurée que la bonne discipline d'antan se pratique encore, je me
vois bien tomber dans les bras de Morphée.
Alors là, je me sens trahie (petit clip)
On dirait que le réalisateur s'est
inspiré sur mon couple. Pendant que monsieur bricole pour changer le
décor pour mon plus grand plaisir et celui de notre petite (Papa je
voudrais…. faut voir sa chambre!), je passe de temps en temps pour
donner mon avis. En profitant de l'occasion que mon homme soit
disponible (enfin on se comprend) pour lui demander son avis sur
telle ou telle autre tenue. Alors le pauvre il transpire doublement.
Par le dur labeur et par mon imagination vestimentaire. En fait
quand il bricole, je cherche vraiment ma fessée. De le voir torse nu
dans les positions les plus étonnantes, me fait perdre mon calme et
soit j'ai envie qu'il me prenne sur son chantier (oups, pardon!),
soit qu'il me fesse copieusement pour l'avoir dérangé sans la
moindre retenue. Le plus étonnant, quoiqu'il arrive il livre toujours un
travail soigné et impeccable...
Une magnifique photo qui illustre un
beau récit. La cavalière est arrivée nue sous sa petite robe et
en bottes d'équitation. Quant aux stries, nous restons dans le savoir
faire d'une main qui sait mener la badine... comme fait maison !
De plus un homme « rouge d'agacement », un vrai (rouge !)
comme il le semble, waoh cela me craquer.
Cela se trouve sur un joli blog de fille, régulièrement
mis à jour avec une mise en page magnifique. La peur au ventre que
la famille découvre la passion de la jeune dame pour les activités
claquantes. Voila qui me rappelle un courrier de lecteur dans un
magazine quand j'étais ado. Une jeune femme se fait surprendre avec
les fesses toutes rouges par sa mère dans la salle de bain. Petite
lecture qui a mis aussitôt ma fantaisie en route. Pour un long
moment ceci dit.
Je
vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !
Étrange position, plutôt pour équilibristes (petit clip)
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