vendredi 13 juin 2014

531 Liens de discipline domestique (118 ème édition)

Défier les lois de la nature

Et pourtant elle ne bouge pas (petit clip très sonore)

Librement inspirée par Galilée, je reste béate. Dans le registre solide fessée sans que cela dégénère dans un clip d'horreur, massacre sur un derrière nu, je suis impressionnée comment certaines femmes peuvent se faire claquer les fesses sans broncher. Certes le « même pas peur », je le connais aussi. Par contre le « même pas mal », ce n'est pas moi. Bon, ce petit clip ne dure que deux minutes, ce qui me semble raisonnable vu la fréquence de claques et l'intensité. Il m'arrive d'en recevoir de pareilles (3 minutes maximum), mais on m'entend de très loin. Mieux vaut ne pas avoir de voisins, car je me laisse aller sans la moindre fierté pour exprimer ce que je ressens. Dans ce petit exemple j'aimerais bien être souris, enfin spectatrice pour demander à la jeune dame pourquoi elle a choisi une telle couleur de cheveux comment elle fait pour rester si silencieuse. Je constate aussi que dans cette position celui ou celle qui applique voit vraiment tout. Voila qui m'explique mieux certains émois de mon chéri.

Grande adepte de l'érotisme qui passe par les oreilles, ce clip me comble pour sa belle sonorité. Comme j'aurais aimé, étant célibataire, avoir dans le voisinage des personnes qui affectionnent la discipline à l'ancienne. Je m'imagine le soir dans mon lit et subitement j'entends au travers du mur ou par la fenêtre ouverte une sonorité qui ne laisse aucun doute sur son origine. Me connaissant je vois bien ma réaction. La même que devant un film P. J'aime beaucoup les soupirs des actrice (de toute façon les messieurs sont muets). Cela me berce et je m'endors vite comme un bébé. Pareil pour les claques régulières. Rassurée que la bonne discipline d'antan se pratique encore, je me vois bien tomber dans les bras de Morphée.


On dirait que le réalisateur s'est inspiré sur mon couple. Pendant que monsieur bricole pour changer le décor pour mon plus grand plaisir et celui de notre petite (Papa je voudrais…. faut voir sa chambre!), je passe de temps en temps pour donner mon avis. En profitant de l'occasion que mon homme soit disponible (enfin on se comprend) pour lui demander son avis sur telle ou telle autre tenue. Alors le pauvre il transpire doublement. Par le dur labeur et par mon imagination vestimentaire. En fait quand il bricole, je cherche vraiment ma fessée. De le voir torse nu dans les positions les plus étonnantes, me fait perdre mon calme et soit j'ai envie qu'il me prenne sur son chantier (oups, pardon!), soit qu'il me fesse copieusement pour l'avoir dérangé sans la moindre retenue. Le plus étonnant, quoiqu'il arrive il livre toujours un travail soigné et impeccable...


Une magnifique photo qui illustre un beau récit. La cavalière est arrivée nue sous sa petite robe et en bottes d'équitation. Quant aux stries, nous restons dans le savoir faire d'une main qui sait mener la badine... comme fait maison ! De plus un homme « rouge d'agacement », un vrai (rouge !) comme il le semble, waoh cela me craquer.


Cela se trouve sur un joli blog de fille, régulièrement mis à jour avec une mise en page magnifique. La peur au ventre que la famille découvre la passion de la jeune dame pour les activités claquantes. Voila qui me rappelle un courrier de lecteur dans un magazine quand j'étais ado. Une jeune femme se fait surprendre avec les fesses toutes rouges par sa mère dans la salle de bain. Petite lecture qui a mis aussitôt ma fantaisie en route. Pour un long moment ceci dit.

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !


















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