vendredi 27 juin 2014

538 Liens de discipline domestique (120 ème édition)

Au programme ce week-end: Fessées atypiques

La soumission d'Emma Marx (bande d'annonce de film)

On dirait que le succès de 50 nuances de gris ait provoqué une prise en compte du désir féminin dans les jeux piquants. Pourtant quand on se balade sur le net cuisant, on a souvent l'impression qu'il existe seulement les dames aimant de l'intensif. Mais peut-être la réalité du désir se trouve auprès de celles qui ne s'expriment peu ou pas du tout, mais qui consomment en masse cette nouvelle vague d'ouvrages sur le sujet.En fait, il me semble que le BDSM susceptible de plaire à une majorité de dames se situe plutôt du côté doux avec un grand accent sur le relationnel. Surgit par conséquence un bel homme initiateur qui apprend à la dame mille et une façons d'être mieux dans son corps et mieux dans sa sexualité. Par bon nombre de jeux qui « visent à accroître la capacité de supporter la douleur au-delà du seuil d’angoisse afin de stimuler le courage nécessaire à l’accomplissement du coït » (Sandor Ferenczi). A vrai dire, je suis peu susceptible à ce genre de poésie de l'initiateur mâle et je pense connaître, sans vouloir me vanter, pas mal de trucs pour initier ou du moins surprendre un homme...


Je ne sais pas d'où vient cette habitude, dès qu'une dame se donne du mal pour faire plaisir au monsieur, de la considérer comme soumise. On se croit presque dans la préhistoire du relationnel.

Est-ce qu'on traite un monsieur qui active sa langue entre les jambes d'une dame comme soumis ?

Passons et penchons nous sur le sujet. Je suis tombée un jour sur un intéressant texte analytique, traitant la phase urétrale qui est en quelque sorte une sexualisation de l’urètre. Cela parlait de la sensibilité de l'engin du monsieur. Sujet que je trouve passionnant. Autant plus que ce texte émettait l'hypothèse que le bout n'est pas systématiquement la partie la plus sensible contrairement à ce que croient bien de dames. Il existe aussi des messieurs qui préfèrent plutôt une attention sur la longueur, c'est à dire une langue habile qui glisse de haut en bas. D'autres encore sont surtout sensibles à la base. Après cette réflexion - déjà tout bénef en soi – l'analyste émettait l'hypothèse que la sensibilité de la base et de la longueur se trouve surtout chez les messieurs chérissant des penchants dont fait partie aussi... la fessée. Évidement je n'ai pas pu résister quand j'ai été encore célibataire de faire le « test » avec mes princes charmants. Je trouve qu'il y a un fond de vrai selon mes expériences...


C'est avant tout très esthétique et très intellectuel. Petit catalogue d'émotions au féminin qui ouvrent la boité à rêves. Cela me rappelle mes propres recherches dans le BDSM quand j'étais très jeune. Collier et laisse y compris, tenez! Toujours dans la subtilité et loin du sport extrême sans toutefois y trouver mon bonheur.

Punis moi (domination féminine)

Un film allemand (Verfolgt; en VO sous-titré en anglais) datant de 2006, acclamé par la critique. Une dame de la cinquantaine qui s'occupe de délinquants mineurs se voit proposé par un parmi eux le rôle ce celle qui applique de véritables punitions corporels. Bon, pas la peine d'un discours sur le besoin de punition et la complexité de la psychologie des personnages.

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !



















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