jeudi 5 juin 2014

527 L' histoire d'une petite robe bleue

Moi aussi j'avais cette petite robe...


En fait, rien de spectaculaire dans ce clip, plutôt ambiance qu'action, qui reste un de mes préférées (et d'où la réédition), car il m'évoque tant de souvenirs personnels. Comme d'habitude nous restons dans un registre de punition, fantasme et pratique que j'affectionne particulièrement. Et si je n'aurais pas accepté pour rien au monde une telle discipline de la part de mon père, je n'ai eu aucun mal à la projeter dans tous ceux qui ont pris après lui une place dans mon cœur. Il y a avait aussi parfois le coup de chaud, à la vue d'un père d'un de mes princes charmants par exemple qui me fit transpirer sous ma quête en m'imaginant de me faire corriger par lui pour avoir faire tourner la tête de son fils. Voila qui correspond à une époque de ma vie, la deuxième moitié des années 80 quand j'étais ado, quand je commençais à m’intéresser vraiment aux garçons et quand j'avais une robe d'été en bon coton comme celle du clip. Un modèle, on ne peu plus répandu en Allemagne dans ces années-là. Certes je ne disposais pas de porte-jarretelles qui contrairement à ce qui suggère ce clip n'était pas du tout un vêtement courant pour les jeunes filles. L'horrible culotte non plus d'ailleurs, car réservée aux dames adultes. Moi je portais encore du genre petit bateau avec de rigollots imprimés. Je parle de cette robe, car elle apparaît dans plusieurs séries de l'âge d'or de la fessée. Selon un spécialiste de ces publications dans au moins 3 autres. Les voici, mettant en scène de différents fantasmes qui hantaient mes rêveries de jeune fille:


Devoir se rendre sur le grenier sous le regard moqueur d'un public qui sait ce qui va arriver la-haut. Suivi par l'éducateur qui tient ostensiblement le strap en main. Un rituel rodé, qui a toujours cours sous prétexte que la jeune dame en a encore besoin. De quoi a broder de nombreux fils, loin de toute réalité. La petite histoire que l'on se raconte toute seule avant de s'endormir.


Ce qui va dans la direction de ma fameuse rêverie de punition par le père de mon prince charmant. Nudité partielle exigée et indispensable pour l'acte à venir, le tout pour faire frissonner la fautive. En fait, un fantasme tournant autour de mon désir justement de séduire le papa de ce gentil jeune homme. Tout y est et notons que moi non plus, je n'étais pas épilée en ces temps-là. Enfin mon premier rasage intégral (avec le rasoir électrique de mon papa, bonjour les brûlures ! ) n'était pas loin.


Ah un monsieur qui prend son pied et cela me fait chaud au cœur. Cela change de « fesseurs » constipés que l'on voit habituellement. J'aime particulièrement la dernière photo sachant trop bien que même avec recours au châtiments corporels je n'aurais jamais le moindre talent pour la musique.


J'aimerais ajouter que clip est extrait d'un petit film qui s'appelle Dorset Cottage (introuvable en intégralité sur le net je crois), tourné comme son nom indique dans un petit cottage (qui apparaît dans le film) dans le Dorset, comté très pittoresque du sud d’Angleterre. Je me souviens de l'avoir vu pour la première fois, il y a bien longtemps avec mon homme chez en collectionneur en Suisse. Et bien entendu nous avons parlé fessée...

2 commentaires:

  1. Merci d'avoir réédité ce lien, Isabelle! J'avais beaucoup aimé cette vidéo, je savais que je l'avais vu chez toi, mais récemment j'ai voulu la revoir, et plus moyen de me souvenir de son nom. Si tu ne l'avais pas remise, j'aurais dû éplucher tout ton blog, et, sans que ça soit pénible, ça prend du temps (et j'en aurais pas de disponible avant une semaine ou deux). J'aime beaucoup cette petite robe bleue, et la fille dedans à l'air toute fragile...
    Et puis je suis d'accord avec toi. Cela fait du bien de voir un fesseur qui prend plaisir à donner la fessée. Les photos ou les vidéos où ils arborent un air glacial ne m'ont jamais convaincue. J'ai déjà donné la fessée, je sais ce que c'est. Quand on aime la fessée, on ne reste pas avec un air de coincé de l'arrière train! (on se cache du puni, si on veut vraiment être sévère, mais on a toujours l'oeil qui pétille!)

    Constance

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  2. On dit que le regard est le meilleur reflet de l'âme. Par conséquence je pense qu'un air constipé ou contrairement un air détenu de la personne qui applique parle de long et de l'âge sur sa conception du fantasme. Sur sa capacité de prendre du recul devant son monde intérieur et de le considérer avec de l'humour. Sa permissivité fantasmatique. Je pense également qu'il semble exister de personnes friandes d'un fesseur glacial. Enfin la question de la préférence personnelle est intéressante.

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