lundi 9 juin 2014

529 Accroître la sensibilité

Après une bonne fessée plus rien n'est pareil !

Laissons de côté pour une fois l'aspect psychologique qui penchons nous un peu sur ce qui est proprement « sensationnel ». Personnellement quand j'ai mes fesses toutes rouges elles ne me sortent pas d'esprit et elles déterminent bon nombre nombre de comportements dans les heures qui suivent. Normal, car fraîchement châtiées, la brûlure est omniprésente et persistera pendant un plus ou moins long moment. Autant que j'aie du mal à éprouver du plaisir pendant que je suis rappelée à l'ordre, autant j'aime la sensation de la brûlure qui perdure. Mon derrière « amplement préparé » me montre toute une gamme de sensations qu'il est capable de ressentir. Il réagit différemment à la fraîcheur et à la chaleur. Il réagit différemment au toucher. S’asseoir devient une grand aventure. Il réagit différemment selon la coupe ou le tissu de mes vêtements. Il réagit différemment aux petites claques de mon homme. Et montre une sensibilité plus intense envers les caresses. Le ressentir n'est pas non plus le même selon les instruments. Un effet uniforme d'un travail de main ou au paddle ne se compare pas aux stries de la canne. Les stries de la canne ne se manifestent pas de la même manière que les stries du martinet, plutôt gentillets. Tandis que le strap varie des bandes de grande sensibilité avec des bandes de sensibilité habituelle. Bref s'ouvre un nouveau univers de sensation même pas soupçonnées qui fait prendre conscience que la peau est un organe sexuel de première ordre.

En hiver, c'est plutôt agréable un siège qui fait office de radiateur, tandis qu'en été j'ai parfois l'impression que je suis en train de cuire. Si seulement cette chaleur pouvait attaquer la cellulite pour affiner mes hanches. De plus avec mes petites robes et leur tissu fin, il manque l'effet coussin des vêtements d'hiver pour me permettre de m'asseoir quelque peu convenablement. Donc en été je gigote encore plus qu'en hiver. Ce qui se remarque d'ailleurs. Bien souvent, à l'inévitable question de ce qui m'arrive, je suis devancée par mon chéri qui ne se prive pas de signaler :

Elle a encore le feu aux fesses, isabelle !

Expression mise en rapport avec mon vif tempérament, mon sang chaud, mes colères qui n'épargnent personne, le fait que je sois toujours active. Bref cela colle tellement bien avec mon image que quasiment personne ne cherche à voir le sens littéraire.

Quand je sors avec mon chéri après une superbe correction, à défaut de voir, je m'adapte au rôle de celle qui expose.

La star, c'est mon derrière !

Par exemple dans un assesseur en tête-à-tête, je soulève ma jupe pour poser une question de plus innocente :

C'est toujours aussi rouge ? On voit encore les stries ?

Parfois plus subtilement, pas forcement dans le sens de faire la coquine, en voiture :

Conduit un peu plus doucement, j'ai encore très mal aux fesses !

Mais aussi dans certains escaliers quand je nous crois loin de tout témoin, en faisant un petit geste qui dévoile, notamment en saison de petites robes légères. Toutefois je reste sage. Je ne vais pas baisser aussi ma culotte ou mon string qui fait mon sous-vêtement favoris par temps chaud. Voila un tout qui crée une belle page de vie, qui entretient notre libido et qui se finit le soir par une belle séance de vanille au lit ...


Je profite pour signaler la mise à jour de ma rubrique Anecdotes et récits !
















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