Après
une bonne fessée plus rien n'est pareil !
Laissons de côté pour une fois
l'aspect psychologique qui penchons nous un peu sur ce qui est
proprement « sensationnel ». Personnellement quand j'ai
mes fesses toutes rouges elles ne me sortent pas d'esprit et elles
déterminent bon nombre nombre de comportements dans les heures qui
suivent. Normal, car fraîchement châtiées, la brûlure est
omniprésente et persistera pendant un plus ou moins long moment.
Autant que j'aie du mal à éprouver
du plaisir pendant que je suis rappelée à l'ordre, autant j'aime la
sensation de la brûlure qui perdure. Mon derrière « amplement
préparé » me montre toute une gamme de sensations qu'il est
capable de ressentir. Il réagit différemment à la fraîcheur et à
la chaleur. Il réagit différemment au toucher. S’asseoir devient
une grand aventure. Il réagit différemment selon la coupe ou le
tissu de mes vêtements. Il réagit différemment aux petites
claques de mon homme. Et montre une sensibilité plus intense envers
les caresses. Le ressentir n'est pas non plus le même selon les
instruments. Un effet uniforme d'un travail de main ou au paddle ne
se compare pas aux stries de la canne. Les stries de la canne ne se
manifestent pas de la même manière que les stries du martinet,
plutôt gentillets. Tandis que le strap varie des bandes de grande
sensibilité avec des bandes de sensibilité habituelle. Bref s'ouvre
un nouveau univers de sensation même pas soupçonnées qui fait
prendre conscience que la peau est un organe sexuel de première
ordre.
En hiver, c'est plutôt agréable un
siège qui fait office de radiateur, tandis qu'en été j'ai parfois
l'impression que je suis en train de cuire. Si seulement cette
chaleur pouvait attaquer la cellulite pour affiner mes hanches. De
plus avec mes petites robes et leur tissu fin, il manque l'effet
coussin des vêtements d'hiver pour me permettre de m'asseoir quelque
peu convenablement. Donc en été je gigote encore plus qu'en hiver.
Ce qui se remarque d'ailleurs. Bien souvent, à l'inévitable
question de ce qui m'arrive, je suis devancée par mon chéri qui ne
se prive pas de signaler :
Elle
a encore le feu aux fesses, isabelle !
Expression mise en rapport avec mon vif
tempérament, mon sang chaud, mes colères qui n'épargnent personne,
le fait que je sois toujours active. Bref cela colle tellement bien
avec mon image que quasiment personne ne cherche à voir le sens
littéraire.
Quand je sors avec mon chéri après
une superbe correction, à défaut de voir, je m'adapte au rôle de
celle qui expose.
La
star, c'est mon derrière !
Par exemple dans un assesseur en
tête-à-tête, je soulève ma jupe pour poser une question de
plus innocente :
C'est
toujours aussi rouge ? On voit encore les stries ?
Parfois plus
subtilement, pas forcement dans le sens de faire la coquine, en
voiture :
Conduit
un peu plus doucement, j'ai encore très mal aux fesses !
Mais aussi dans
certains escaliers quand je nous crois loin de tout témoin, en
faisant un petit geste qui dévoile, notamment en saison de petites
robes légères. Toutefois je reste sage. Je ne vais pas baisser
aussi ma culotte ou mon string qui fait mon sous-vêtement favoris
par temps chaud. Voila un tout qui crée une belle page de vie, qui
entretient notre libido et qui se finit le soir par une belle séance
de vanille au lit ...
Je
profite pour signaler la mise à jour de ma rubrique Anecdotes
et récits !
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