J'adore
les situations insolites !
Évidement et surtout parce que je ne
suis pas particulièrement courageuse, tout dépend des
circonstances. Mais je pense que je n'aurais pas dit non quand
j'étais très jeune de mettre à disposition mes fesses à un
talentueux monsieur comme celui-ci. A condition d'éprouver un faible
pour lui, cela va de soi.
Loin des clips qui servent à échauffer
les sang essentiellement masculin, le claquement du derrière prends
ici une toute autre allure. Sans être dupe cette érotisation de
Shakespeare me plaît beaucoup. La star c'est la dame - il n' y a pas
de doute - et il suffit de bien écouter la réaction du public.
Quelque chose de voluptueux se dégage comme bien avant le
politiquement correct quand les gens osaient encore raconter des
anecdotes sur les fessées reçues par autrui sans cacher leur
plaisir et parfois aussi leur trouble. Autre situation insolite qui se passe
au cours d'un spectacle burlesque. Une dame qui incite le monsieur à
participer de manière particulière :
Et comme dans la vraie vie, on constate
à forcer d'insister que le monsieur se laisser aller de plus en
plus. Insolite, non pas pour l'exposition
publique, mais sur un autre point de vue cette:
Sans trop rentrer dans les détails, il
y un trouble qui s'installe doucement en dévoilant quelque peu la
vie intime de cette jeune dame. J'admets que la constellation puisse
déranger, mais justement le problème des fantasmes originaux se
trouve dans la constellation et non comme souvent imaginé dans la
situation. Ceci dit cette confusion entre l'essentiel et le
folklorique restera peut-être à jamais une manne financière pour
les psychanalystes garantissant des analyses à ne plus en finir.
J'aime les images qui mettent une dame
en valeur et/ou qui la mettent dans une situation qui m'inspire. Les
reste se fait par le biais de mon imagination. Je me projette à sa
place et je commence à m'installer dans le contexte. Et voilà le
début d'une belle histoire. Pas toujours de fessée. Parfois des
idées mignons pour surprendre mon homme. A croire que je sois plus
sensible à l'image qu'au mot ? En fait pas du tout. J'ai
beaucoup de mal avec les « textes professionnels », ceux
qui passent en édition. Je survole, puis je lâche. Je n'arrive
quasiment jamais à me projeter dans les personnages féminins. Même
ceux décrits par des femmes. Étrange phénomène que je ne
saurais expliquer.
Je
vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !
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